Température globale en temps réel

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Pour suivre la température mensuelle du globe, je conseille www.woodfortrees.org, site très bien fait pour afficher graphiquement en ligne la température de différentes sources mais aussi d'autres mesures comme le taux de CO2, les taches solaires…

On peut justaxposer les courbes et en choisir la plage de dates. Enfin les données peuvent être chargées sous format texte pour analyse ultérieure. Comble du luxe, le paramétrage du graphique peut-être fait en modifiant directement le lien url généré par le site.

Woodfortrees.org a été mis dans la zone liens du blog, rubrique "Température temps réel", pour être retrouvé facilement. Je suis sûr que ce sera un de vos liens préférés pour vérifier la corrélation (ou non) entre température et CO2 ou autres variables climatiques.

Quelques exemples de graphiques générés :

Graphique 1 : Température mensuelle globale de 4 sources différentes

Graphique 2 : Température globale et CO2 atmosphérique

Graphique 3 : Température globale et taches solaires

Graphique 4 : Température globale et PDO (oscillation décennale du Pacifique)

1.  miniTAX | 25/05/2008 @ 20:20 Répondre à ce commentaire

C’est juste une impression ou la température ne colle pas du tout au CO2 (fig 2) mais colle quasi-parfaitement (« consistent » dans le jargon du jiek) à la PDO 😈

2.  jnoel70 | 25/05/2008 @ 20:23 Répondre à ce commentaire

nan nan ce n est pas qu une impression, mais chutttttttttt

3.  Sirius | 25/05/2008 @ 22:35 Répondre à ce commentaire

Bonjour! Je suis nouveau. Je suis un climat-sceptique dans la mesure où je refuse de croire quelque autorité sans d’abord comprendre son discours et m’assurer de la solidité (vérité) de ses prémisses et la validité (logique) de ses raisonnements. Or, il se trouve que le discours actuellement dominant en matière de changement climatique ne me satisfait pas, tant dans ses aspects scientifiques que dans ses dimensions politiques et idéologiques. (DIGRESSION : Si nous étions Martiens, le climat des échanges seraient moins passionné ; malheureusement ce n’est pas le cas, car nous sommes tous dans l’éprouvette. Cela explique en partie selon moi le caractère parfois carrément irrationnel, voire odieux, sans précédent dans l’histoire des sciences, de la problématique du changement climatique.) Cela dit, le lien suggéré est très utile. Il nous permet de confronter des données comme nous les demandons contre d’autres données qui nous sont présentées sans procès par d’autres sources (publications scientifiques, sites de toutes tendances, média de masse, etc.). Incidemment, il faudrait aussi vérifier de second ordre les données que nous donne ce site… Merci.

4.  laurent | 26/05/2008 @ 1:11 Répondre à ce commentaire

#1

Et avec PDO+AMO, cela marche encore mieux… dommage qu’on y ait pas accès sur le site woodfortree.

5.  cocaaladioxine | 26/05/2008 @ 8:27 Répondre à ce commentaire

Vous allez encore me traiter de tous les noms, je le sens… Mais je suis simplement allé sur le site pour porter en même temps la température globale et le taux de CO2 et j’obtiens des résultats que je trouve un opposition par rapport à ceux du dessus…

Qu’en pensez-vous ?

6.  cocaaladioxine | 26/05/2008 @ 8:34 Répondre à ce commentaire

Et voici ce que je trouve pour le lien PDO-température

Moyenne à 12 mois, renormalisé et changement déchelle pour lisibilité

7.  cocaaladioxine | 26/05/2008 @ 8:37 Répondre à ce commentaire

ou encore ceic, depuis 1900

A priori (il faudrait faire le calcul évidemment), je ne vois pas de corrélation forte entre PDO et température globale durant les 30 dernières années…

8.  miniTAX | 26/05/2008 @ 8:40 Répondre à ce commentaire

@5
Sur ton graphique, la corrélation entre CO2 et température est NEGATIVE pour les périodes 1950-1970 et 1998-2008, soit sur 30 ans.
Donc pour l’instant, si corrélation devait signifier causalité, la « théorie » de l’effet de serre anthropique ne se vérifie que la moitié du temps.
Ca ressemble nettement plus à du snake-oil qu’à une théorie.

9.  miniTAX | 26/05/2008 @ 8:46 Répondre à ce commentaire

@7
La température que tu affiches est celle de l’hémisphère Nord, dont la hausse récente est principalement due aux capteurs qui sont envahies par la croissance urbaine, hausse qu’on ne voit pas dans les températures satellites.
Si tu veux comparer avec la PDO, compare avec la température globale pour mieux tenir compte des océans.

10.  cocaaladioxine | 26/05/2008 @ 9:04 Répondre à ce commentaire

Merci miniTAX, je n’avais pas remarqué que j’avais sélectionné uniquement l’hémisphère nord. Voici pour les températures globales (moyenne à 12 mois)

pour les corrélations CO2/temp, je me suis permis de retirer la tendance linéaire pour qu’on voie mieux les cycles à temps courts

Vous remarquerez la forte corrélation. A noter aussi : il y a un décalage systèmatique de 2-3 ans entre les pics de température et les pics de CO2. Possible que ce soit un effet de dégazage ???

11.  jnoel70 | 26/05/2008 @ 10:28 Répondre à ce commentaire

Non cela s ‘explique tout simplement par le faite que c’est la temperature qui fait augmenter le co2 et pas l’inverse, contrairement a ce que veux nous faire croire votre prix nobel de la paix

12.  cocaaladioxine | 26/05/2008 @ 10:34 Répondre à ce commentaire

concernant le lien température – CO2. Les relevés de Vostok indiquent que le décalage température-CO2 est normalement de plusieurs centaines d’années et d’amplitude bien plus importante. Je ne pense donc pas qu’il s’agisse du mécanisme classique que vous mentionnez.

D’après moi, cela ressemble à s’y méprendre à une boucle autocatalytique à temps courts. Une augmentation de CO2 atmsophérique induit une augmentation de T qui, à sont tour, engendre une augmentation de CO2 atmosphérique.

13.  jnoel70 | 26/05/2008 @ 10:51 Répondre à ce commentaire

et pourquoi pas une augmentation de temperature qui augmente le taux de co2 qui lui meme augmente la température? Bref l’histoire de l’oeuf et de la poule.

de toute manière on donne trop d’importance au co2, ce n’est qu’un petit detail minuscule dans la variabilité du climat.C’est juste un pretexte pour faire des economies d’énergie et faire changer le mode de consommation du pauvre citoyen roulé dans la farine. Un prétexte qui tombe à merveille dans la convergence d’intérêt sur le « rechauffement climatique » des scientifiques, politologues et medias.

Les principaux acteurs comme le soleil le pdo, les nuages et bien d’autres phénomènes sont relégués au dernier rang. mais le refroidissement va commencer, le pdo est devenu négatif, le soleil va connaitre un cycle très faible, trembler réchauffistes, votre théorie va s’écrouler comme un château de carte, une chance pour vous que nous ne soyons plus au moyen age car le chatiment réserver aux prophètes de malheur etait extrêmement sévère…

14.  miniTAX | 26/05/2008 @ 11:44 Répondre à ce commentaire

Vous remarquerez la forte corrélation. A noter aussi : il y a un décalage systèmatique de 2-3 ans entre les pics de température et les pics de CO2. Possible que ce soit un effet de dégazage ???

Le décalage n’est pas de 2-3 ans mais de l’ordre de 6 mois. Et bien sûr que c’est un dégazage, il y a même une loi pour ça: la loi de Henry.

Si on enlève une tendance linéaire de 0.6°C/siècle (totalement négligeables par rapport aux variations corrélées à la PDO), on s’aperçoit que la T suit parfaitement la PDO (hormis quelques décrochages lors des éruptions volcaniques).

Ce qui veut dire que la corrélation avec le CO2, qui n’a été bonne que sur 30 ans entre 1970 et 2000, est factice et semble uniquement bonne qu’après un lissage des données sur 10, 20 ans, ce qui est une ineptie statistique: plus on lisse 2 courbes, plus la corrélation augmente forcément: un sinus finit par « se corréler bien » à un cosinus quand on filtre à mort les 2 courbes.
Ici, rien de tout ça entre PDO et température, des valeurs annuelles « détrendées » (soustraite de la tendence linéaire sur un siècle) suffisent. Nul besoin de modèles à plusieurs millions de $ pour « démontrer » l’influence du CO2 en simulant des tendances sans et avec gaz à effet de serre grâce à des programmes qui ne pourront jamais être audités de toute façon.

L’éléphant dans le couloir, que le GIEC fait désespérément semblant de ne pas voir, c’est l’océan et ses cycles océaniques.

15.  miniTAX | 26/05/2008 @ 11:47 Répondre à ce commentaire

D’après moi, cela ressemble à s’y méprendre à une boucle autocatalytique à temps courts. Une augmentation de CO2 atmsophérique induit une augmentation de T qui, à sont tour, engendre une augmentation de CO2 atmosphérique.

Le CO2 ne fait qu’augmenter. Comment avec ta « boucle autocatalytique » (quoi que ça puisse vouloir dire), tu expliquerais les BAISSES de CO2 observées sur les courbes que tu as tracées toi-même ? Ha !

16.  cocaaladioxine | 26/05/2008 @ 12:07 Répondre à ce commentaire

et pourquoi pas une augmentation de temperature qui augmente le taux de co2 qui lui meme augmente la température?

car le taux de CO2 atmosphérique actuel dépasse de plus de 30% celui qui correspondrait à un dégazage.

de toute manière on donne trop d’importance au co2, ce n’est qu’un petit detail minuscule dans la variabilité du climat.C’est juste un pretexte pour faire des economies d’énergie et faire changer le mode de consommation du pauvre citoyen roulé dans la farine.

Hélas, la grande majorité des climatologues pense que le CO2 n’est pas « un détail minuscule ». Et les anti-réchauffistes, ne sont-ils pas eux aussi « roulés dans la farine » par des intérêts masqués ?

Le décalage n’est pas de 2-3 ans mais de l’ordre de 6 mois. Et bien sûr que c’est un dégazage, il y a même une loi pour ça: la loi de Henry.

la loi d’henry étant une loi d’équilibre, elle ne peut prédire le décalage. Il faudrait un modèle dynamique. Les 6 mois sont alors probablement dus à l’inertie de réchauffement des masses océaniques, en comparaison à l’atmosphère.

Si on enlève une tendance linéaire de 0.6°C/siècle (totalement négligeables par rapport aux variations corrélées à la PDO), on s’aperçoit que la T suit parfaitement la PDO

Ceci signifie donc que la PDO ne peut donc pas reproduire l’augmentation de température observée, mais qu’elle explique les fluctuations autour de cette rampe plus ou moins linéaire.

Ce qui veut dire que la corrélation avec le CO2, qui n’a été bonne que sur 30 ans entre 1970 et 2000, est factice et semble uniquement bonne qu’après un lissage des données sur 10, 20 ans, ce qui est une ineptie statistique: plus on lisse 2 courbes, plus la corrélation augmente forcément: un sinus finit par “se corréler bien” à un cosinus quand on filtre à mort les 2 courbes.

remarquez que vos courbes sont des moyennes à un an, exactement comme les miennes. Si ce n’est que le taux de corrélation est semble-t-il plus élvevé dans le cas CO2/temp. Ca me fait un peu rire cette idée que « la PDO explique le réchauffement climatique, à l’exception de l’augmentation de la température »

Le CO2 ne fait qu’augmenter. Comment avec ta “boucle autocatalytique” (quoi que ça puisse vouloir dire), tu expliquerais les BAISSES de CO2 observées sur les courbes que tu as tracées toi-même ? Ha !

L’évolution périodique autour de la moyenne croissante est simplement due aux saisons. Tout le monde pourra vous le confirmer.

17.  miniTAX | 26/05/2008 @ 14:05 Répondre à ce commentaire

L’évolution périodique autour de la moyenne croissante est simplement due aux saisons. Tout le monde pourra vous le confirmer.

@16
La courbe de CO2 que tu as tracée est une moyenne mobile sur 12 mois, donc il n’y a plus de fluctuations saisonnières (trace la sans detrend et vois par toi-même).
Les fluctuations du CO2 sur la courbe sont de périodicité plus longue que l’année (si tu vois une périodicité saisonnière, il est temps de changer tes lunettes) et sont directement provoquées par les fluctuations de la PDO.
Tu ne réfléchis pas et tu racontes des énormités. Ca commence à devenir pénible.

18.  cocaaladioxine | 26/05/2008 @ 17:52 Répondre à ce commentaire

Cher minitax,

vous faisiez donc référence au deuxième graphe reprenant le taux de CO2 et non au premier. Sur lequel on peut effectivement voir les cycles saisonniers, comme je le supposais.

Certaines de mes remarques tiennent néanmoins toujours, même à propos du deuxième graphe : la PDO permet d’expliquer les fluctuations autour de la rampe croissante de température, mais pas la rampe elle-même.

19.  Murps | 26/05/2008 @ 20:20 Répondre à ce commentaire

La loi de Henri ne marche qu’à T constant et surtout à saturation.

Que je sache, on est pas à saturation…

20.  miniTAX | 28/05/2008 @ 7:29 Répondre à ce commentaire

la PDO permet d’expliquer les fluctuations autour de la rampe croissante de température, mais pas la rampe elle-même.

La pente elle même est de 0,6°C/siècle, soit une variation de 0,06°C/décennie, donc totalement négligeable par rapport à l’amplitude des fluctuations corrélables avec la PDO montrée ci-dessus et en tout cas totalement indétectable avec le réseau de mesure de température terrestre vu les « ajustements » arbitraire qu’on applique aux données.

Regarde par exemple ici pour voir l’écart entre données brutes et données « corrigées » de manière discrétionnaire par le GISS (pour l’autre fournisseur officiel de température, le CRU dont la T est utilisé par le GIEC, les données brutes et méthodes ne sont même pas rendues publiques): http://www.climateaudit.org/?p=2793
(sur la courbe du bas, on voit que la température une fois ajustée est plus haute de 2°C par rapport à la valeur brute, juste sur 50 ans!)

Et puis de toute façon, que la température « dérive » sur le long terme, je ne vois pas en quoi on peut lier çà aux gaz à effet de serre. Le climat n’est jamais stable donc en traçant une droite entre 2 périodes, on trouvera toujours une pente, positive ou négative. La pente positive, on l’a depuis la sortie du petit âge glaciaire ou pendant la période 1900-1940, soit bien avant que le problème des émissions ne se pose. Chercher à vouloir expliquer ce qu’on ne connaît pas et surtout à le relier à une cause, c’est de l’animisme climatique.

21.  miniTAX | 28/05/2008 @ 7:39 Répondre à ce commentaire

La loi de Henri ne marche qu’à T constant et surtout à saturation.

@19
La loi de Henry dit que la pression partielle d’un gaz (ici la concentration dans l’air) est proportionnelle à sa concentration dans la phase liquide. Et cette constante de proportionnalité est croissante avec la température. Donc plus la concentration de CO2 augmente, plus les océans absorbent vite le CO2. Et plus la T augmente, plus ça dégaze et inversement.

Mais bon, le tiers des émissions anthropiques de CO2 est porté disparu dans le bilan des climatologues (googler « missing sink ») donc on est très loin de savoir ce qui se passe réellement, malgré la certitude affichée par la FARCE. Eh oui, la « science » du climat est aussi mauvaise que ça.

22.  cocaaladioxine | 28/05/2008 @ 8:03 Répondre à ce commentaire

(sur la courbe du bas, on voit que la température une fois ajustée est plus haute de 2°C par rapport à la valeur brute, juste sur 50 ans!)

Euh, me trompe-je ou la température ajustée est en rouge, soit plus basse de 2 deg ? Sinon, les légendes sont illisibles et les ordonnées manquent.

23.  miniTAX | 28/05/2008 @ 8:15 Répondre à ce commentaire

@22,
Il s’agit de la hausse de température sur 50 ans, qui n’existe pas et qui après « ajustement » devient 2°C. Que la température soit plus basse de 2°Cil y a 50 ans ou plus haute de 2°C maintenant, le résultat est la même: une hausse artificielle ajouté de manière arbitraire et non documentée par ceux chargés de compiler la « température globale ». Les gens de la FARCE ont soit refroidi le passé (plus facile à faire) soit réchauffé le présent (en ne corrigeant pas l’effet de bulle urbaine).

Alors, autant dire que la dérive long terme de 0,6°C/siècle dont il était question ci-dessus, si elle existait serait complètement noyée dans le bruit donc impossible à falsifier. On ne fait pas de la science avec des pseudo-données expérimentales.

24.  Marot | 28/05/2008 @ 8:39 Répondre à ce commentaire

Et quand on ne peut plus décemment manipuler les données fournies par les instruments, on rejette les instruments et on prend un « proxy » qui marche.

Voyez la discussion « Claude Allègre chez FOG ».

25.  scaletrans | 30/05/2008 @ 15:19 Répondre à ce commentaire

Tout nous ramène au soleil, la PDO n’étant, après tout qu’un phénomène de convection (de grande ampleur il est vrai). Il faudrait peut-être regarder la Lune au lieu de regarder le doigt qui la montre.

26.  Marot | 30/05/2008 @ 16:55 Répondre à ce commentaire

#20 Les mêmes prétendus ajustements à la baisse des données anciennes sont faites ailleurs et semble-t-il très systématiquemenr. Voir ici le cas de la Nouvelle Zélande :
http://www.appinsys.com/Global.....ealand.htm

Station de Wellington :

Station de Christchurch :

Station de Hokitica :

Station d’Auckland :

27.  cocaaladioxine | 31/05/2008 @ 12:02 Répondre à ce commentaire

Et il n’ya aucune justification à ces corrections ?

28.  Marot | 31/05/2008 @ 20:05 Répondre à ce commentaire

#27
Cherchez-les !

Pour moi c’est une bonne manipulation pour obtenir le résultat souhaité.

Hansen, déjà en 1987 disait ses objectifs ici
http://pubs.giss.nasa.gov/abst.....edeff.html

Error estimates are based in part on studies of how accurately the actual station distributions are able to reproduce temperature change in a global data set produced by a three-dimensional general circulation model with realistic variability.
Soit : les estimations d’erreurs sont faites pour coller aux modèles.

Fermez le ban.

29.  Paul Clark | 5/06/2008 @ 18:19 Répondre à ce commentaire

J’espère que vous excuser mon terrible français, en utilisant Google Traduction … Je vous remercie de vos aimables commentaires sur woodfortrees.org!

Juste une chose: Pour votre lien de référence, je vous suggérons ce qui suit:

http://www.woodfortrees.org/pl.....set:-0.238

Cela vous donne les dernières 10 années, chaque fois que vous visitez, et inclut également les ajustements de base (pas toutes les sources de données utilisent la même période de référence).

Meilleurs voeux

Paul Clark
woodfortrees.org

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