Déclaration de Manhattan sur le Changement Climatique

[Rappel de la Déclaration de Manhattan qui recueille désormais 1.100 signatures alors qu'elle est largement ignorée par les médias françaises]

Déclaration de Manhattan sur le Changement Climatique
"Le réchauffement global" n'est pas une crise mondiale
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Nous, scientifiques et chercheurs en climatologie et en sciences associées, économistes, décideurs et dirigeants d'entreprises, réunis à Times Square, New York, participant à la Conférence internationale 2008 sur le changement climatique,

Concluant que les questions scientifiques ne doivent être évaluées que par la méthode scientifique ;

Affirmant que le climat global a toujours changé et changera toujours, indépendamment des actions de l'homme, et que le dioxyde de carbone (CO2) n'est pas un polluant, mais plutôt une nécessité pour toute forme de vie ;

Reconnaissant que les causes et l'étendue des changements climatiques récemment observés font l'objet d'intenses débats au sein de la communauté des sciences du climat et que souvent les affirmations répétées d'un prétendu "consensus" des experts du climat sont fausses ;

Affirmant que les tentatives faites par les gouvernements d'imposer de coûteuses réglementations aux industries et aux citoyens pour encourager la réduction des émissions de CO2 vont ralentir le développement tout en n'ayant pas d'impact appréciable sur la trajectoire future du climat global. Ces politiques vont nettement réduire la prospérité future et   ainsi réduire la capacité de la société à s'adapter aux inévitables changements climatiques, et vont par conséquent augmenter au lieu de diminuer la souffrance humaine ;

Notant que les températures plus douces sont généralement moins nuisibles à la vie sur Terre que froides :

Déclarons

Que les plans actuels de limiter les émissions anthropiques de CO2 sont une mauvaise et dangereuse affectation du capital intellectuel et des ressources qui devraient être consacrées à la résolution de réels et graves problèmes auxquels est confrontée l'humanité.

Qu'il n'existe aucune preuve convaincante que les émissions de CO2 de l'activité industrielle moderne a provoqué, provoque ou va provoquer un changement climatique catastrophique.

Que les tentatives des gouvernements d'infliger des taxes et des  réglementations coûteuses à l'industrie et aux citoyens dans le but de réduire les émissions de CO2 vont inutilement restreindre la prospérité de l'Occident et les progrès des pays en développement sans affecter le climat.

Que l'adaptation au niveau requis est largement plus rentable que toute tentative d'atténuation [des émissions] et que la focalisation sur l'atténuation va détourner l'attention et les ressources des gouvernements des vrais problèmes de leurs peuples.

Que le changement climatique d'origine humaine n'est pas une crise mondiale.

Par conséquent, nous recommandons

Aux dirigeants du monde de rejeter les points de vues exprimés par le Groupement Intergouvernemental d'Etude du Climat (GIEC) de l'ONU ainsi que les présentations populaires mais erronées du sujet telles que "Une Vérité Qui Dérange".

D'abandonner immédiatement tous les impôts, réglementations et autres interventions destinées à réduire les émissions de CO2.

Approuvé à New York, 4 Mars 2008.

Texte original
Liste des signataires spécialistes des sciences du climat ou apparentées
Liste des signataires présents lors de la convention à New York
Liste des signataires non présents à la convention mais ayant un cursus leur permettant d'avoir une bonne compréhension du changement climatique sur les plans scientifique, technologique, économique et politique
Liste des signataires faisant partie du grand public.

51.  choucas | 27/06/2008 @ 0:25 Répondre à ce commentaire

Je passe en coup de vent sur ce site et ne peux m’empêcher de répondre à cocaaladioxine

@37

Marot : je n’en reviens pas. Comment une mesure directe du rayonnement IR tellurique absorbé par l’atmopshère pourrait-elle être une “prétendue preuve” d’un effet de serre ? C’est exactement l’effet de serre !

Absolument pas ! Le fait qu’un gaz se réchauffe en absorbant des IR ne signifie absolument pas l’existence d’un effet de serre. Il faut bien s’entendre sur les mots.

L’effet de serre serait le phénomène par lequel le sol s’échaufferait suite à l’absorption d’infrarouges RÉ-ÉMIS par l’atmosphère, pour maintenir son équilibre thermique. Donc, le soleil chauffe le sol, le sol chauffe l’atmosphère en lui envoyant des IR pour se maintenir en équilibre thermique, et l’atmosphère réchauffée réchauffe à son tour le sol par émission d’IR. D’où le soi-disant réchauffement climatique.

Le problème, c’est que l’atmosphère est froide et le sol plus chaud qu’elle. Or un corps froid ne peut réchauffer un corps chaud, sauf s’il y a compensation, c-à-d un apport d’énergie extérieure au système, comme pour un frigo, un congélateur ou une clim. Le transfert de chaleur spontané d’un corps froid vers un corps chaud est une impossibilité physique. C’est une violation du second principe de la thermodynamique. Autant croire au mouvement perpétuel ! Ce serait bien si les radiateurs froids pouvaient réchauffer mon salon !

Pour une démonstration mathématique de l’inexistence de l’effet de serre en physique, voir l’étude de Gerlich et Tscheushner au lien suivant : http://arxiv.org/pdf/0707.1161

Par ailleurs, l’argument d’un effet de serre global qui empêcherait la planète d’être à -18 degrés Celcius est fallacieux lui aussi. Cette température serait issue d’une mauvaise utilisation de la loi de Stefan (toujours selon Gerlich et Tscheushner, et démontrée dans son article).

Sans l’atmosphère, les températures seraient analogues à celles qu’on trouve sur la lune, soit plus de 120 degrés Celsius le jour et moins de -150 degrés Celsius la nuit. L’atmosphère se comporte globalement comme une couche isolante qui empêche le sol de se réchauffer trop le jour et de se refroidir trop la nuit. Il n’y a pas d’effet de serre là-dedans. Freiner un refroidissement n’est pas un réchauffement. Mes habits m’isolent du froid mais ne me réchauffent pas. Un manchon de mousse isolante autour d’un tuyau d’eau chaude l’empêche de se refroidir trop vite, mais ne chauffe pas cette eau. Entre ralentir un refroidissement et réchauffer, la nuance est de taille.

Si l’on modifie la composition de l’atmosphère, on peut théoriquement modifier son pouvoir « isolant ». Par exemple, si elle absorbe plus d’IR, elle devient moins isolante. Conséquences : il pourrait faire plus chaud le jour, mais alors il fera aussi plus froid la nuit. Et je ne suis pas sûr que le bilan soit un réchauffement !

Les modèles de simulation du GIEC sont tous basés sur la supposition que l’effet de serre existe. Et pourtant, ils donnent la preuve formelle qu’il n’existe pas !

Tous ces modèles, sans aucune exception, lorsqu’ils réalisent des simulations, partent du principe qu’une partie de l’atmosphère se réchauffe plus vite que le sol (2 à 3 fois plus vite). C’est la théorie de l’effet de serre qui l’exige ! et c’est une conséquence directe de cet effet. Il existe donc, selon les modèles du GIEC, une empreinte de l’effet de serre dans l’atmosphère (voir appendice 9C du rapport du GIEC 2007). Les modèles prévoient un point chaud sous la tropopause au niveau des latitudes intertropicales.

Maintenant, le test définitif : les mesures de température par les satellites et les ballons sondes. Pas de point chaud ! (plutôt un point froid). Conclusion : l’effet de serre n’existe pas, la théorie sur laquelle se basent tous les modèles ne tient pas la route. Elle doit être rejetée.

Même l’effet de serre dans une vraie serre n’existe pas. Svante Arrhénius a émis une hypothèse concernant son existence, mais ne l’a pas vérifiée. Par contre, son contemporain, Robert Wood, a réalisé une expérience réfutant l’hypothèse d’Arrhénius : il n’y a pas de différence d’échauffement entre une boîte à couvercle de verre (opaque aux IR) et une boîte semblable à couvercle de NaCl (transparent aux IR) lorsque ces deux boîtes sont exposées au soleil en même temps. Pas besoin d’inventer un blocage d’infrarouges par le verre pour expliquer la chaleur d’une serre, la convection suffit. Et si une serre en verre permet de faire mûrir les tomates mieux que dans une serre en polycarbonate, c’est simplement que le verre est meilleur isolant thermique.

Une dernière chose : même les carottages des glaces de Vostok montrent l’inexistence de l’effet de serre dû au CO2 : dans tous les cas, l’élévation du taux de CO2 SUIT celle de la température et ne la précède pas. De même, lorsqu’il y a refroidissement, le taux de CO2 diminue ensuite. C’est une règle générale qui découle du fait que l’océan contient d’énormes quantités de CO2 et du fait qu’une eau plus chaude contient moins de CO2 (et d’autres gaz) qu’une eau plus froide.

52.  laurent | 27/06/2008 @ 0:43 Répondre à ce commentaire

@Choucas

Absolument pas ! Le fait qu’un gaz se réchauffe en absorbant des IR ne signifie absolument pas l’existence d’un effet de serre. Il faut bien s’entendre sur les mots.

Ne te fatigue pas…. j’ai dit à cocaa la même chose au moins 20 fois, ainsi que de vérifier dans les différentes publications du GIEC la définition de l’effet de serre QUI FAIT AUTHORITEE dans la thèse du réchauffement anthropique.
Il a toujours refusé d’aller vérifier, et il est resté bloqué que l’idée que sa propre définition de l’effet de serre est universelle.

Tu peux faire tout ce que tu veux… il est impossible de faire entendre raison à une tête de mule… même en lui mettant le nez sur la réalité en citant directement les textes… il renâcle, saute sur une autre phrase à mâchouiller hors contexte, et recommence à bouriner en ignorant royalement tout ce que les autres on pu dire…
C’est comme cela… certains comprennent très très très lentement…. 😉

53.  cocaaladioxine | 27/06/2008 @ 9:04 Répondre à ce commentaire

Choucas : vous avez tous trouvé ces affirmations – fausses au passage – sur le même site que je ne citerai pas. On ne base pas une conviction sur un site et un article enfin ! Ces deux auteurs se sont fait descendre en flamme…

Je ne suis pas un tête de mule, mais il se fait que je travaille en thermodynamique. Les arguments présentés sur ce site ne tiennent pas une seconde face à une analyse sérieuse…

Par exemple, les modèles ne prévoient pas que l’atmosphère réchauffe le sol, mais que l’atmosphère elle-même se réchauffe car elle perd moins de chaleur vers l’espace qu’en absence d’effet de serre. Si l’atmosphère se réchauffe, alors les autres corps aussi. Simple loi de la conservation de l’énergie et des flux de chaleur.

Entendons-nous toutefois : nous avons la même définition de l’effet de serre. Celle de laurent est la même aussi, mais à laquelle il rajoute « dû à l’homme », mélangeant ainsi effet de serre et théorie anthropique du RC.

Dans une serre, les phénomènes se déroulant n’ont rien à voir avec ceux de l’effet de serre atmosphérique, cela tout le monde le sait. Juste une problème d’appellation malheureuse…

Pour Vostok : dans ce cas, le CO2 suite de 800 ans en effet les montées en T. Notez toutefois qu’à l’époque, il n’y avait pas de combustion des combustibles fossiles. Et que maintenant, l’élévation de T et de CO2 sont simultanés, ce qui nous montre bien qu’il ne s’agit pas du même phénomène !

54.  Curieux | 27/06/2008 @ 9:17 Répondre à ce commentaire

Coco, tu es pathétique, relis toi :

les modèles ne prévoient pas que l’atmosphère réchauffe le sol, mais que l’atmosphère elle-même se réchauffe car elle perd moins de chaleur vers l’espace qu’en absence d’effet de serre. Si l’atmosphère se réchauffe, alors les autres corps aussi

En une phrase, tout et sont contraire. T’essaye la même chose en deux mots ?

55.  Marot | 27/06/2008 @ 9:22 Répondre à ce commentaire

Ce serait intéressant de lire une critique sérieuse ET argumentée du papier de Gerlich et Tscheushner autre que les manifestations de mépris que certains ont énoncées.

Malheureusement, rien de rien pour l’instant.

P.S. un argument bancal comme

les modèles ne prévoient pas que l’atmosphère réchauffe le sol, mais que l’atmosphère elle-même se réchauffe… Si l’atmosphère se réchauffe, alors les autres corps aussi.

Le naïf dira « donc le sol aussi » puisqu’en faut d’autres « corps » je ne vois rien d’autre.

eh bien non, monsieur coca dit que c’est faux.

et d’ailleurs pour contredire un écrit, il faut citer cet écrit, ce qui n’est pas fait, comme d’habitude.

56.  cocaaladioxine | 27/06/2008 @ 11:54 Répondre à ce commentaire

OK, curieux, disons-le avec des mots simples… Il n’y a pas de transport de chaleur net positif de l’atmosphère vers le sol, mais une diminution du transfert de chaleur du sol vers l’atmosphère – car le flux de chaleur est proportionnel aux différences de T.

L’article de Gerlich et Tsche etc. est tellement mauvais qu’il n’a jamais été accepté pour publication dans aucune revue. Ca site le niveau de la chose, et donc aussi l’impossibilité pour moi de fournir des références allant en sens inverse, puisque tout le monde trouve que c’est n’importe quoi.

Alors, évidemment, si vous basez toutes vos connaissances sur des concepts jamais acceptés par personne si ce n’est 2 zouaves dans leur coin…

57.  Curieux | 27/06/2008 @ 12:47 Répondre à ce commentaire

Quel charabia… et tu sait au moins ce que tu écris ?
A

Si l’atmosphère se réchauffe, alors les autres corps aussi

Tu réponds

Il n’y a pas de transport de chaleur net positif de l’atmosphère vers le sol

Donc il y a réchauffement ou pas ?

58.  cocaaladioxine | 27/06/2008 @ 13:03 Répondre à ce commentaire

Curieux – un peu de thermo de base (mais c’est peut-être là votre problème) : un corps se réchauffe si le flux de chaleur par rapport à son environnement (ici, la terre), diminue. Comment dire autrement ? Si un corps perd moins de chaleur, il devient plus chaud (ça commence à devenir bêbête). C’est une question de bilan… Ne confondez pas chaleur et température, que diable.

59.  Marot | 27/06/2008 @ 13:47 Répondre à ce commentaire

Le mot pour le dire. C’est digne d’une copie du bac.

Si un corps perd moins de chaleur, il devient plus chaud (ça commence à devenir bêbête)

60.  cocaaladioxine | 27/06/2008 @ 13:57 Répondre à ce commentaire

Marot : très gentil d’enlever les choses de leur contexte. Le sol est soumis à une source de chaleur (le soleil, pour faire simple) et si sa perte de chaleur en faveur de l’environnement diminue, alorsil se réchauffe car le flux total de chaleur augmente. Vous préférez ?

Comment expliquer qu’un article aussi « génial » que celui que vous citez soir refusé partout et produise surtout l’hilarité générale ? Voyez par exemple la réaction en cours.

61.  cocaaladioxine | 27/06/2008 @ 14:02 Répondre à ce commentaire

Bah, vous n’alles pas le lire et je vous donne donc les conclusions

In particular, it has been shown that:
1. An average surface temperature for a planet is perfectly well defined with or without rotation, and with or
without infrared absorbing gases
2. This average temperature is mathematically constrained to be less than the fourth root of the average fourth
power of the temperature, and can in some circumstances (a planet with no or very slow rotation, and low
surface thermal inertia) be much less
3. For a planet with no infrared absorbing or reflecting layer above the surface (and no significant flux of internal
energy), the fourth power of the surface temperature always eventually averages to a value determined by the
incoming stellar energy flux and relevant reflectivity and emissivity parameters.
4. The only way the fourth power of the surface temperature can exceed this limit is to be covered by an atmosphere that is at least partially opaque to infrared radiation. This is the atmospheric greenhouse effect.
5. The measured average temperature of Earth’s surface is 33 degrees C higher than the limit determined by items
(2) and (3). Therefore, Earth is proved to have a greenhouse effect of at least 33K.
The specific contributions of individual gases such as CO2 to Earth’s greenhouse effect are covered well by the
standard treatments of the subject.

62.  Marot | 27/06/2008 @ 15:32 Répondre à ce commentaire

Je lis les deux documents et j’ai dès après avoir parcouru cette nouvelle référence une observation de fond.

Il s’agit d’un dialogue de sourds.

L’un comme l’autre déroule sa démonstration en solo et clame :

voici à quoi j’arrive.

Fort bien mais c’est parfaitement insuffisant.

Si G. et T. ont fait des erreurs, il faut dire la ou lesquelles et où.

Quand je devais analyser des papiers dont les conclusions établissaient la réalité du mouvement perpétuel sans dépense, il ne suffisait pas que j’établisse un calcul correct, je devais trouver la faille.

Où est la faille chez G. et T. je n’en sais rien encore.

C’est pourquoi le document de S. quelle que soit sa pertinence, ne répond pas à la question.

63.  cocaaladioxine | 27/06/2008 @ 16:09 Répondre à ce commentaire

Bah, un point au moins me semble clair : les auteurs disent que l’effet de serre naturel ne peut pas expliquer la température de la terre car, selon leur modèle (terre sans rotation), cet effet de serre devrait nous faire passer de -129 à 15 degrés (pps 64-65). Pour les cas plus réalistes, les auteurs nous indiquent que

Rough estimates indicate that even these oversimpli ed problems cannot be tackled with
any computer. Taking a sphere with dimensions of the Earth it will be impossible to solve
this problem numerically even in the far future.

Et justement, l’auteur de l’autre article montre que 1- dans le cas d’une sphère en rotation, on peut obtenir des solutions simples et 2- que justement, dans ce cas, la température moyenne en absence d’effet de serre est compatible avec l’amplitude de celui-ci et 3- que la température moyenne observée peut être expliquée par l’existence d’une atmosphère transparente au visible et partiellement opaque aux IR.

On voit bien dans l’article de ces deux personnes d’ailleurs qu’ils commettent une grossière erreur (page 77) en « imposant » que pour que le sol se réchauffe, il faut que l’atmosphère envoie de la chaleur vers le sol. En effet, la principale source de chaleur pour le sol est le rayonnement solaire : nous avons donc une machine à trois réservoirs et non à deux, comme le considèrent les auteurs.

64.  Marot | 27/06/2008 @ 16:41 Répondre à ce commentaire

Certes mais S. ne fait pas un travail de réfutation qui devrait pointer les erreurs d’hypothèses et les fautes de raisonnement.

65.  cocaaladioxine | 27/06/2008 @ 16:51 Répondre à ce commentaire

Euh, si dans le sens où il prouve qu’une terre sans atmosphère transpa visible et opaque IR ne peut pas atteindre la T actuelle. Or, G et T basent justement leur « nouveau modèle » sur un corps n’ayant pas d’effet de serre de ce type. S prouve donc que dans un tel modèle, il est impossible que la T monte à des valeurs proches de celles observées.

66.  Marot | 27/06/2008 @ 17:26 Répondre à ce commentaire

Ergotage habituel.

67.  the fritz | 27/06/2008 @ 20:11 Répondre à ce commentaire

Coca , as-tu fait le calcul de la température moyenne de l’atmosphère; elle est exactement ce que dit la loi de Stéfan; si la température à la surface ( ou à sa base est plus élevée que sa partie supérieure, ce n’est pas pour une histoire d’effet de serre, c’est pour une histoire de pression, ou si tu veux de présence de matière; chaque mollécule capte sa longueur d’onde et transmet son agitation aux autres; s’il n’y en a pas d’autres à côté on ne réchauffe rien; donc les gaz à effet de serre ne font de l’effet que s’il y a de l’atmosphère dense à côté et comme l’absorption est sub totale pour le CO2 ( ce qui n’est pas le cas pour la vapeur d’eau) l’augmentation de celui-ci aura pea- nuts comme effet.

68.  laurent | 27/06/2008 @ 20:34 Répondre à ce commentaire

Une mise au point qui ne servira à rien (pas plus que les précédentes…)

@cocaa

Entendons-nous toutefois : nous avons la même définition de l’effet de serre. Celle de laurent est la même aussi, mais à laquelle il rajoute “dû à l’homme”, mélangeant ainsi effet de serre et théorie anthropique du RC.

Non, je ne mélange rien, et je m’en tiens à la définition stricte donnée par le GIEC (si on veut discuter, il est nécessaire de parler de la même chose).
Puisque tu à négligé jusqu’à maintenant d’aller vérifier quelle est cette définition (qu’on trouve facilement dans la FAQ du GIEC, item 1.3:
« Much of this thermal radiation emitted by the land and ocean is absorbedby the atmosphere, including clouds, and reradiated back to Earth. This is called the greenhouse effect »

Ta définition n’est pas celle du GIEC, point.

69.  Sirius | 28/06/2008 @ 1:33 Répondre à ce commentaire

@67

“Much of this thermal radiation emitted by the land and ocean is absorbedby the atmosphere, including clouds, and reradiated back to Earth. This is called the greenhouse effect”

Trop large comme définition : l’atmosphère inclut tous les gaz qui la composent ; or, certains de ceux-ci n’ont rien à avoir avec l’effet de serre. Témoin l’azote, N2, qui compose à 78% l’atmosphère terrestre.

Par ailleurs, les nuages renvoient aussi une partie de la chaleur (rayonnement infra rouge) venant du Soleil, vers le haut!

Je me goure peut être et si oui, qu’on m’explique.

70.  Curieux | 28/06/2008 @ 10:19 Répondre à ce commentaire

Sirius, Laurent donne la définition de l’effet de serre tel que défini (et donc utilisé) par le Giec.

L’effet de serre en langage courant, c’est le confinement d’un volume d’air dans une enceinte transparente, au sens de transparente pour nos yeux.

Dans le confinement, l’augmentation des T° dans la serre est en quasi totalité lié à la convection.

C’est la confusion volontairement entretenu entre ces deux définitions qui est le moteur de l’alarmisme.

71.  laurent | 28/06/2008 @ 17:50 Répondre à ce commentaire

@Sirius

l’atmosphère inclut tous les gaz qui la composent ; or, certains de ceux-ci n’ont rien à avoir avec l’effet de serre. Témoin l’azote, N2, qui compose à 78% l’atmosphère terrestre.

Tout dépend de comment tu définit « l’effet de serre ». Dans la définition du GIEC, justement, comme l’azote n’absorbe pas (et ne « ré-emet » donc pas, il se contente « d »émettre »), il ne fait pas partie de « l’effet de serre ».

… ce qui est pour moi une abération, cela revient à prétendre que, quand le CO2 se réchauffe en absorbant des IR, l’Azote lui reste neutre, et ne se réchauffe même pas par conduction.
Un mécanisme d’explication de la « régulation thermique atmosphérique » qui se cantonne aux seuls effets radiatifs, constitue, comme l’ont montré Gerlich et Tscheuschner, un non-sens physique.

Mais quelqu’un (Cocaa ?)… va certainement me détromper en me sortant les références d’une étude ou on a prélevé un peu d’air en basse troposphère et ou l’on a démontré que le CO2, la vapeur d’eau, l’oxygène, l’azote, etc… étaient tous à une température différente… genre 100°K pour l’Azote, et 200°K pour le CO2…. 😉

72.  Sirius | 28/06/2008 @ 22:03 Répondre à ce commentaire

@70-71

Merci,

Peut-on en conclure qu’il n’existe pas de définition universelle de l’effet de serre au sens de la climatologie ? Si oui, ça me rassure.

En effet, j’essaie depuis pas mal de temps d’avoir des informations claires sur ce fameux effet de serre mais en vain. Je ne le comprend pas encore tellement ce que je lis est ou bien trop sommaire, ou bien trop spécialisé ou bien contradictoire.

Je sais cependant que l’effet de serre dont parlent les climatologues n’a rien à voir avec l’effet de serre qui se produit dans … une serre. Dans une serre, il y a confinement de l’air chaud par blocage de convection. Dans l’énorme machine atmosphérique terrestre, il ne s’agit naturellement pas d’un confinement par blocage de convection ; il s’agit plutôt de captation des rayonnements IR par les molécules H2O, CO2, etc, (les « gaz à effet de serre ») laquelle agite ces molécules (ce qui réchauffe l’atmosphère) qui en ré émettent aussi en partie (selon les lois de la mécanique quantique) vers le sol, ce qui réchauffe bien entendu la surface (comme un poulet cuit sous une lampe IR) .

Pour le reste, c’est toujours brouillé voire vaseux dans mon esprit.

73.  laurent | 29/06/2008 @ 0:22 Répondre à ce commentaire

@Sirius

ce qui réchauffe bien entendu la surface (comme un poulet cuit sous une lampe IR)

Cette partie la est plus que douteuse…

Ceci dit, si ça peut vous rassurer… ce qui ressort surtout des dizaines de théories plus ou moins contradictoires sur le sujet, c’est qu’aucune des approximations simplificatrices actuelles ne rend correctement compte de la complexité de la « machine atmosphérique »…. et que donc vous n’êtes pas le seul à avoir une vision « brouillée » voire « vaseuse » de la chose, c’est un fait le cas de tous le monde… même si certains scientifiques prétendent le contraire…. 😉

74.  Sirius | 29/06/2008 @ 1:38 Répondre à ce commentaire

@73_Laurent

Merci,

J’aimerais juste préciser mon histoire de poulet. Je voulais signifier que pour garder un poulet déjà cuit au chaud, on le place sous une lampe IR. Il va cependant de soi qu’un poulet cru ne cuit pas sous une telle lampe. Pour qu’il cuise, il faut davantage de chaleur. Pour un petit poulet moyen, environ 2 Kg au plus, il faut au moins 350ºC pendant une bonne heure.

Bon, je pense que ce cours de cuisine est terminé. L’effet de serre est malheureusement plus compliqué.

75.  Stan | 29/06/2008 @ 2:19 Répondre à ce commentaire

Ben quand coca n’est pas la, les commentaires sont bien plus intéressants et bien moins politise, c’est bien et ca repose.
Sinon

Ceci dit, si ça peut vous rassurer… ce qui ressort surtout des dizaines de théories plus ou moins contradictoires sur le sujet, c’est qu’aucune des approximations simplificatrices actuelles ne rend correctement compte de la complexité de la “machine atmosphérique”

Absolument!
Il s’agit bien d’une impasse. On ne pourra jamais explique la machine climatique avec une théorie de l’effet de serre, c’est de toutes evidences bien trop simpliste. R Pielke est particulièrement intéressant sur le sujet, sur son blogue on trouve l’étude d’autres facteurs de premiers ordres. Comme l’étude local des climats et des raisons de leur modification…
Cette homme cherche manifestement a comprendre quand d’autres affirment que la science a tranchée et veulent mettre les negateurs en prisons.

De plus on pourrait ajouter que la modélisation est directement responsable de l’état de l’art climatologique:
ex: on s’intéresse du coup a une température globale moyenne.
Et cette course a la modélisation est du a cette obsession de « prédire » avant de comprendre.

76.  Stan | 29/06/2008 @ 2:23 Répondre à ce commentaire

Tiens pour continuer je vous cite, laurent, car il me semble que ce commentaire d’un autre fil est en plein dans la discution:

L’étude de Gerlich et Tscheuschner est très intéressante. Elle est souvent mal interprétée et décriée pour ce qu’elle ne dit pas.
Elle démonte de façon convaincante la plupart des différentes théories “d’effet de serre” ou “d’effet de serre atmosphérique” proposées jusqu’à aujourd’hui en montrant que les bases physiques invoquées sont mal utilisées (comme par exemple l’assimilation au corps noir du comportement radiatif des gaz “à effet de serre”), ou insuffisantes (cela ne remet bien sur en cause ni l’effet de régulation thermique atmosphérique lui-même, ni les bases physiques utilisées par les différentes théories).
Cette étude dénonce aussi l’utilisation des contraintes dynamiques de flux dans les modèles, dont le seul résultat est de…. faire toujours coller les “prévisions” aux “données”.

77.  Sirius | 29/06/2008 @ 3:55 Répondre à ce commentaire

@75&76_Stan

Merci des références.

Et cette course a la modélisation est du a cette obsession de “prédire” avant de comprendre.

Je suis d’accord. On dessine des modèles à grand coup de suppositions ; on bourre ces derniers par des lapins que l’on sort d’un chapeau. On publie le tout comme des des faits bien établis, ce qui n’est évidemment pas le cas.

Pas fiable que tout cela ; inquiétant même.

78.  Sirius | 29/06/2008 @ 19:24 Répondre à ce commentaire

@_Stan (suite)

Je pense avoir enfin trouvé un bon texte sur la physique de l’effet de serre atmosphérique. Je le recommande à tous : http://icecap.us/images/upload.....of_CO2.pdf

Les auteurs (des physiciens allemands) fouillent le sujet à fond. Ils y montrent notamment (confirmant et précisant par le fait même le sentiment que j’avais) :

 » It is interesting to observe,
• that until today the “atmospheric greenhouse effect” does not appear
– in any fundamental work of thermodynamics,
– in any fundamental work of physical kinetics,
– in any fundamental work of radiation theory;
• that the definitions given in the literature beyond straight physics are very different and, partly, contradict to each other. » (Chapitre 3, page 44.)

79.  Stan | 29/06/2008 @ 19:41 Répondre à ce commentaire

> Oui c’est l’article de Gerlich et Tscheuschner cite par Laurent.

Sinon j’ai une question:
on parle beaucoup de l’effet de serre de Venus.
Mais la temperature Venusienne n’est pas principalement due a la pression atmospherique? Bref connait on la part des differents phenomenes. J’ai cherche un peu mais j’avoue n’avoir rien trouve d’interessant.

80.  Sirius | 29/06/2008 @ 21:56 Répondre à ce commentaire

@76_Stan

Sur 78 : c’est bel et bien le même texte, celui de Gerlich et Tscheuschner. Et je suis bien content de l’avoir pour nourrir mes lectures d’été.

81.  miniTAX | 29/06/2008 @ 22:13 Répondre à ce commentaire

@79 Chercher sur cette page le mot Vénus.

Pour la petite histoire, Hansen, l’alarmiste en chef de l’église de l’apocalypse climatique et un des originateurs de cette vaste hystérie, a fait sa thèse de doctorat sur le climat de… Vénus. Il est donc habitué à la réalité virtuelle et à ce que personne ne puisse contredire ses « vérités ». Ceci explique celà :roll:

82.  Stan | 29/06/2008 @ 23:45 Répondre à ce commentaire

> Merci miniTAX

Ce site est vraiment tres bien, je le lis régulièrement mais j’etais passe a cote de la partie vénusienne.

83.  cocaaladioxine | 30/06/2008 @ 9:53 Répondre à ce commentaire

Faites bien attention : ce site est surtout rempli de fausses vérités…

84.  Marot | 30/06/2008 @ 11:07 Répondre à ce commentaire

#81 Al Gore ajoute sa couche de sottise :

Al Gore a souligné [à l’ONU] que Vénus et la Terre ont presque la même taille, la même quantité de carbone. Mais la différence est que le carbone sur Terre est enfoui dans le sol. Sur Vénus le carbone est dans l’atmosphère. La température moyenne sur terre est de 15 degrés Celsius. Sur Vénus elle est de 455 degrés et les pluies sont faites d’acide sulfurique ».

Cette comparaison est totalement pertinente…, a-t-il dit.

Ca prouve simplement qu’un individu peut dire n’importe quoi.

85.  scaletrans | 30/06/2008 @ 11:15 Répondre à ce commentaire

Faites bien attention : ce site est surtout rempli de fausses vérités…

Pensée Unique ? En voilà une bien bonne! C’est tout à fait le genre d’affirmation gratuite totalement démentie par la valeur du contenu de ce site. Contenu dont l’auteur, un vrai scientifique celui-là, a manifestement une vision globale de la chose, recul dont vous êtes, apparemment incapable.

86.  DM | 30/06/2008 @ 12:22 Répondre à ce commentaire

Un site qui a l’art de la critique, sans fournir de sources scientifiques.

87.  Marot | 30/06/2008 @ 12:30 Répondre à ce commentaire

DM, j’ai l’impression que vous n’avez pas été attentif.

J’ai rarement vu un site où les souces sont aussi systématiquement citées.

Avez-vous un exemple de § où la source n’apparaît pas ?

88.  DM | 30/06/2008 @ 12:36 Répondre à ce commentaire

Les sources ?
J’y vois le monde The Independent etc.. dans le dernier sujet.
Quand la référence est plus sérieuse c’est uniquement pour citer des courbes ou en faire la critique (Nature).
Par contre pas (ou vraiment très peu) de référence à des publications de scientifiques (telles celles qu’on peut trouver avec GoogleScholar).
Sans doute une déformation suite à une discussion très chaude avec un « scientifique » qui refusait tout tant que ce n’était pas l’étude scientifique elle même.

89.  cocaaladioxine | 30/06/2008 @ 12:37 Répondre à ce commentaire

Désolé, mais des affirmations comme

il n’existe, à ce jour, aucune démonstration scientifique de la réalité de « l’effet de serre du CO2 dans l’atmosphère », qui parte des lois fondamentales de la physique, dans toute la littérature scientifique internationale

Concernant G et T, il tombe dans exactement la même bêtise d’imaginer que la théorie de l’effet de serre prévoit un flux de chaleur de l’atmosphère vers le sol. Aucun modèle d’effet de serre ne prévoit cela, mais l’auteur par contre est bien pressé de le faire croire pour démonter ensuite cette théorie imaginaire.

Gerlich et Tscheuschner ont mis en équation le problème complet et démontré mathématiquement que sa résolution exacte est absolument impossible avec les moyens actuels.

alors que les résultats sont connus et publiés depuis belle lurette.. Sans parler du mensonge par ommission (il ne parle pas des observations par satellite de l’effet de serre ?)

Et puis je me pose une question : quelle était la spécialité de ce chercheur durant sa carrière ?

et j’en passe…

90.  Marot | 30/06/2008 @ 12:47 Répondre à ce commentaire

DM je ne comprends pas votre dernière phrase.

Pour le reste, quand on critique des articles de journaux, que voulez-vous citer ?

Par contre pas (ou vraiment très peu) de référence à des publications de scientifiques (telles celles qu’on peut trouver avec GoogleScholar).Par contre pas (ou vraiment très peu) de référence à des publications de scientifiques (telles celles qu’on peut trouver avec GoogleScholar).

Où auriez-vous voulu en voir une ?

Ne restez pas dans des généralités, on n’en sortira pas.

91.  cocaaladioxine | 30/06/2008 @ 12:55 Répondre à ce commentaire

Peut-être DM veut-il faire référence au fait que vous vénérez tous ici l’article de Gerlich et Tscheuschner, qui a été refusé dans toutes les publications où ils se sont proposés… (Il doit bien y avoir une raison.), et que vous jetez au flammes d’autres articles qui ont été vérifiés par des referees.

92.  DM | 30/06/2008 @ 12:56 Répondre à ce commentaire

Désolé, fatigué..
Donc ma dernière phrase fait référence à des échanges avec un « scientifique » qui ne voulait pas de mes références tant que celles ci n’étaient pas des études publiées. Ca se comprend, mais ca ne permet pas de tout rejeter en bloc.

Après je vois dans ce site que de la critique mais peu de choses constructives.
Si dans le dernier sujet il cite nature, c’est pour mieux le critiquer (Nature 453, 646-649 (29 May 2008) | doi:10.1038/nature06982, la ref de Le Monde).
Et la plupart des sources scientifiques se résument à des courbes qu’il utilise ou critique.

93.  Marot | 30/06/2008 @ 13:06 Répondre à ce commentaire

DM, la fatigue est compréhensible.

L’auteur affiche explicitement qu’il veut présenter des « explications alternatives ».
Pour votre critique sur le « peu de choses constructives » , il ne prétend pas produire lui-même des connaissances,
Sur la critique de Nature, je n’attends pas qu’il encense les revues.

Je crois qu’il faut prendre ce site pour ce qu’il revendique d’être et non pour ce qu’il n’est pas.

94.  DM | 30/06/2008 @ 13:56 Répondre à ce commentaire

Je peux comprendre en tant que tel, oui, en tant que divertissement même, mais pas en tant que référence pour répondre sérieusement à des assertions.

95.  Abitbol | 30/06/2008 @ 18:05 Répondre à ce commentaire

@91

Des scientifiques tel Lindzen ont depuis longtemps dénoncé les méthodes des tenants du réchauffisme dans les revues peer review. Ces derniers usent de leur influence pour que des articles allant contre leur religion ne soient tout simplement pas publiés.

96.  scaletrans | 30/06/2008 @ 18:22 Répondre à ce commentaire

#95
Exactement, et c’est pourquoi on ne peut trouver de « pensée alternative » que sur ce genre de site, puisque les me(r)dias traditionnels sont fermés à ce qui n’est pas la pensée unique, surtout en France (Mais je dois dire quand même que nos « réchauffistes » hexagonaux sont moins violents que chez les anglo saxons, à part peut-être le mage Hubert Reeves…)

97.  Sirius | 30/06/2008 @ 20:18 Répondre à ce commentaire

@79_Stan

À propos de Vénus, voir aussi :

http://www.pensee-unique.fr/bonnetdane.html, janvier 2008.

Concepts clés :
• bandes d’absorption du CO2;
• températures de surface de Vénus;
• loi de Wien.

Conclusion de l’auteur : « […] comment explique t’on la température torride de la planète Vénus ? Il y a plusieurs réponses possibles à cette question mais celle qui a rapport avec l’effet de serre nous apprend que les responsables seraient les molécules résiduelles de SO2 ou de H20, (peut être aussi les molécules d’acide sulfurique présentes dans les nuages) qui joueraient dans l’atmosphère de Vénus le rôle qu’on prête au CO2 dans l’atmosphère terrestre… »

P.S. : Bien entendu, on connaît tous ce site mais il a l’avantage de donner des sources.

98.  Sirius | 30/06/2008 @ 20:47 Répondre à ce commentaire

@96_scaletrans

À propos de Hubert Reeves,

Cet astrophysicien de carrière est vraiment excellent dans son domaine. Je l’ai écouté récemment dans une émission radio racontant ses toutes premières recherches sur la nucléosynthèse de certains éléments du tableau périodique. Son discours était d’une rigueur et d’une clarté époustouflantes.

Le professeur Reeves, par ses nombreux livres de vulgarisation, a aussi grandement contribué à intéresser le public à l’astronomie, l’astrophysique et la cosmologie.

Ne serait-ce que pour cela, il mérite selon moi un certain respect.

Mais là où je décroche et vous rejoins, c’est lorsque que ce même Hubert Reeves parle de choses qu’il ne connaît pas particulièrement, soit l’écologie et les changements climatiques. On ne constate plus la même assurance ni le même degré de détails. Je ne sais pas s’il en est vraiment conscient mais il y a là manifestement exploitation médiatique de son aura scientifique visant à impressionner les gens. Ce dans quoi je n’embarque pas!

99.  Fabge | 30/06/2008 @ 21:08 Répondre à ce commentaire

Concernant Hubert Reeves, je crois surtout qu’il subit le sort des « vieux » scientifiques qui se font gentiment manipuler par de plus jeunes qu’eux pleins d’admiration et à cet âge-là, on devient sensible à ce genre d’égards. Je connais d’autres exemples et ce n’est pas du gâtisme.

Ceci n’empêche en rien de maintenir toute son admiration à ce monsieur dont j’ai écouté pour la première fois une conférence en 1968.

100.  cocaaladioxine | 1/07/2008 @ 7:26 Répondre à ce commentaire

c’est pourquoi on ne peut trouver de “pensée alternative” que sur ce genre de site

Il y a deux possibilités : soit les « réchauffises » sont partout, parmi tous les éditeurs de toutes les publications scientifiques dans le monde, de façon à bloquer n’importe quelle tentative de publier autre chose qu’un réchauffement.

Soit les théories alternatives sont très peu convaincantes et ne méritent pas publication.

Je penche plutôt pour la première solution, dans le sens où lorsque les travaux son de qualité, ils sont publiés dans des revues (cf, pex, l’étude sur la diminution de fréquence des ouragans due au réchauffement)

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