L’intestin des poissons explique le mystère du cycle marin du carbone

L'intestin des poissons joue un rôle majeur pour maintenir le fragile équilibre de l'acidité des océans, vital pour la santé des récifs coralliens et des autres espèces marines, selon une étude publiée jeudi.

• • • • •
Réchauffement climatique
Un ban de poissons dans l'océan pacifique

Cette découverte, réalisée par une équipe de chercheurs britanniques, américains et canadiens, pourrait aider à résoudre le mystère de l'équilibre du pH (acidité) des mers, que les scientifiques s'efforcent de percer depuis des décennies.

Ces travaux parus dans la revue américaine Science datée du 16 janvier apportent un nouvel éclairage sur le cycle du carbone des océans qui subit des changements rapides et importants, conséquence de l'accroissement global des émissions de dioxyde de carbone (CO2).

Jusqu'ici, les scientifiques pensaient que le carbonate de calcium dissous dans les océans, et qui rend les eaux alcalines, provenait des squelettes des organismes microscopiques formant le plancton marin.

Cette étude montre qu'en réalité de 3 à 15% du carbonate de calcium est produit dans les intestins des poissons et rejeté dans leurs excréments.

Ces chercheurs estiment que ce pourcentage pourrait être potentiellement trois fois plus élevé et que les poissons jouent probablement un rôle majeur dans la fourniture du carbone inorganique aux océans et dans le maintien d'un équilibre de leur acidité.

Ils prévoient même qu'une augmentation attendue des températures des eaux océanes et l'accroissement du CO2 risquent de provoquer une production encore plus élevée de carbonate de calcium par les poissons.

Les auteurs de l'étude ont créé deux modèles informatiques indépendants qui pour la première fois ont permis d'estimer à peu près la masse totale des poissons dans les océans.

Ils ont ainsi calculé qu'il y avait entre 812 millions et 2,05 milliards de tonnes de poissons dits osseux dans les océans et estimé, en se basant sur des recherches en laboratoire, que ces poissons devaient produire environ 110 millions de tonnes de carbonate de calcium annuellement.

Ce calcium est seulement produit par les poissons osseux ou à arêtes, un groupe comprenant 90% des espèces des poissons marins à l'exclusion des requins et des raies.

Les poissons osseux boivent continuellement de l'eau de mer pour éviter de se déshydrater, ce qui les conduit à ingérer trop de calcium qu'ils précipitent en cristaux de carbonate de calcium dans leurs intestins avant de les déféquer.

Source AFP

1.  Sirius | 20/01/2009 @ 4:01 Répondre à ce commentaire

Je ne connais strictement rien à cette histoire de carbonate de calcium marin et son lien avec le le CO2 atmosphérique. Je note cependant ceci :

Les auteurs de l’étude ont créé deux modèles informatiques indépendants qui pour la première fois ont permis d’estimer à peu près la masse totale des poissons dans les océans.

Ils ont ainsi calculé qu’il y avait entre 812 millions et 2,05 milliards de tonnes de poissons dits osseux dans les océans et estimé, en se basant sur des recherches en laboratoire, que ces poissons devaient produire environ 110 millions de tonnes de carbonate de calcium annuellement.

Pas pire… Nonobstant l’énorme, voire carrément obscène, marge d’incertitude sur le tonnage estimé de poissons osseux (il faut dire que c’est de l' »à peu près »), voici ma question : where is the beef?

2.  miniTAX | 20/01/2009 @ 9:53 Répondre à ce commentaire

Pas de boeuf aujourd’hui. Juste du poisson, avec des arêtes (dit osseux).

3.  jeff hersson | 20/01/2009 @ 10:28 Répondre à ce commentaire

miniTAX (#2), On n’est pas vendredi, pourtant…

4.  Araucan | 20/01/2009 @ 11:53 Répondre à ce commentaire

Bon je vais remettre ce que j’avais mis dans une autre liste

110 M de tonnes par an avec la densité de la calcite égale à 2,71 cela nous fait 40,5 M de m3 de calcite soit une hauteur de 1 m de calcite sur 4059 ha.

Ou encore avec 380 M de km2 d’océans, un dépôt moyen de 289 kg par km2 soit 29,4 grammes par hectare et par an.
Sur un million d’années, cela représente 29,4 tonnes par hectare, soit 10,8 m3 par ha, soit un peu plus 1 mm de calcite de haut. (si je ne me suis pas trompé dans les calculs…)

Comparaison avec les dépôts de calcite réellement constatés ? Par exemple au Tertiaire ? (65 M d’années cela fait 6,5 cm de calcite de haut). Si les dépôts se concentrent juste sur 10 % de la surface des océans cela ferait 65 cm de haut.
Cela ne me semble être à la mesure des dépôts du Tertiaire mais peut être y avait-il plus de poissons à l’époque ? 😉

Ah oui, de plus l’article n’explique pas vraiment où il y a un manque dans le cycle du carbone dissout.

5.  Araucan | 20/01/2009 @ 12:27 Répondre à ce commentaire

On pourrait aussi ajouter :
Sauvez la planète , ne mangez plus de poissons marins ! 😆

6.  Piloteman | 20/01/2009 @ 13:24 Répondre à ce commentaire

Nouvelle idée de sortie du week end: Sauvez la planète en faisant crotter votre poisson rouge dans l’océan.

7.  miniTAX | 20/01/2009 @ 13:37 Répondre à ce commentaire

Araucan (#5),
Les poissons d’eau douce aussi, ça stocke du carbone, probablement. Mais pour en savoir plus, les climatologues ont besoin de seulement 13 Millions $ en recherches préliminaires.
Une paille pour « protéger le climat ». :roll:

8.  Araucan | 20/01/2009 @ 16:19 Répondre à ce commentaire

miniTAX (#7),

Oui certainement mais pas 110 M de t/an, chiffre adéquat pour impressionner les foules mais qui à vue de nez, ne représente même pas la masse de CO2 présente dans le Bassin parisien, même si l’on considère des dépots pendant 30 M d’années.

Je lisais récemment que le montant des recherches sur le climat aux USA (non signataire du PK) s’élevaient à 5 milliards $ par an…

13 M€ c’est une paille ! 😉

Piloteman (#6),

Ce qui permet infailliblement de faire mourir votre poisson rouge et de diminuer votre bilan carbone (aquarium, aérateur, lumière, dégagement de CH4 du-dit aquarium etc)

9.  Sirius | 21/01/2009 @ 3:29 Répondre à ce commentaire

@4_Araucan
Merci pour vos savants calculs sur les poissons, très intéressants en eux-mêmes et dont je ne saurais point mettre en doute, c’est sûr. Mais au bout du compte, ils ne répondent pas à ma question…:o

10.  Murps | 21/01/2009 @ 10:16 Répondre à ce commentaire

Bah…
Encore un chapitre à rajouter au grand livre des croyants de la réchaufffiologie…

Des trucs spéculatifs absolument invérifiables et qui ne servent à rien.

sad

11.  Charles II | 21/01/2009 @ 14:07 Répondre à ce commentaire

Messieurs, la Science :

Dans le cadre de ses rencontres oecuméniques, le presbytère protestant de Niederroedern a organisé mercredi soir une conférence sur le thème du réchauffement climatique, animée par le météorologue Yves Hauss, responsable du service départemental de météo à France Alsace.
M. Hauss a tout d’abord précisé qu’il avait fait des recherches bibliques concernant un éventuel réchauffement climatique dans l’Antiquité. Il n’en avait trouvé trace dans la Bible. Il pense donc – et il n’est pas le seul – que c’est un phénomène relativement récent. Sa conférence, agrémentée d’un diaporama présentant des courbes de températures, des graphiques et des photos, s’est déroulée en trois étapes. En Alsace, dans les dix dernières années, les températures relevées aussi bien en hiver …

Ici dans les Dernières Nouvelles d’Alsace (si au moins, il s’agissait bien des dernières!).

Evidemment, si on n’en trouve trace dans la Bible …
A moins que le déluge …

12.  maurice | 21/01/2009 @ 14:19 Répondre à ce commentaire

Charles II (#11),

en matière de Science, la FARCE c’est « Je pense donc tu suis »

13.  joletaxi | 21/01/2009 @ 16:03 Répondre à ce commentaire

Marrant comme on peut présenter deux sujets avec un même but
http://sciences.blogs.liberati.....logue.html
http://www.liberation.fr/scien.....ees-frimas

14.  Marot | 21/01/2009 @ 16:31 Répondre à ce commentaire

joletaxi (#13), merci jo

Allez, encore une sottise dans le 2e lien :

hémisphère sud, où existaient alors peu de mesures météorologiques. [années 1970]

Voici les relevés en décembre 1978 :

et en décembre 2008 :

Chacun verra quand il y a le plus de trous.

15.  chria | 21/01/2009 @ 17:11 Répondre à ce commentaire

joletaxi (#13),
J’ai pas pu m’empêcher de laisser un message sur le premier…

Marot (#14),
J’ai quand même du mal avec les figures, puisque on a T versus anomaly 1951/1980, donc il existait forcément des mesures depuis 1951…
Mais qu’est-il arrivé aux carrés qui ont disparu ? Des postes météo ont fermé ?

On voit bien aussi la relation entre la temp de l’air en Europe du sud-ouest et au nord de la Russie et Scandinavie (inv)

16.  miniTAX | 21/01/2009 @ 17:26 Répondre à ce commentaire

Mais qu’est-il arrivé aux carrés qui ont disparu ? Des postes météo ont fermé ?

chria (#15),
Bah oui, le nombre de stations au sol actuel a été divisé par 3 par rapport à 1990. Et ne parlons même pas de la manière dont la température est mesurée sur les océans (2/3 de la planète tout de même !).
Mais hé, c’est la « science » climatique.

17.  Araucan | 21/01/2009 @ 17:27 Répondre à ce commentaire

Marot (#14),

Y’a un truc : sur le première carte comment comparer 78 ) la période de référence 51-80. Si ce n’est aps de la prévision, cela …

chria (#15),

Le fait que le nombre de stations au sol a fortement diminué ces vingt dernières années (notamment avec le fin de l’empire russe) et la libéralisation de nombre de services météo est une réalité que le post de Marot éclaire particulièrement.
Ne pas oublier que les données GISS sont tirées de ces stations au sol, dont nombre ne sont pas aux normes de l’OMM.
Allez explorer Watts up with that et Climate Audit : les données issues des stations (moyennes, etc, …) au sol ne peuvent être considérées comme fiables.

18.  chria | 21/01/2009 @ 17:35 Répondre à ce commentaire

Ouaih… Tant qu’on voir que ça chauffe, c’est le principal non ?

19.  Araucan | 21/01/2009 @ 18:01 Répondre à ce commentaire

chria (#18),

C’est ce que ces deux sites soupçonnent fortement : un biais de lecture des données allant toujours dans le même sens : il n’est pas innocent que les données GISS soient plus « chaudes » que les données satellite depuis quelques années, si une fraction notable des données au sol sont mesurées dans des zones ou l’effet ilôt urbain joue. Il semblerait aussi que les ajustements annoncés pour « corriger » cet effet, n’en soient pas réellement (http://www.climateaudit.org/?p=4901).

De plus, on peut se poser la question de savoir si les mesures satellite et si les mesures au sol mesurent la même chose.
(même type de question d’ailleurs le changement de méthode de mesure du CO2, où en passant du chimique à la spectrométrie, on s’aperçoit que cette dernière est susceptible de donner des résultats avec des biais liés à d’autres composants de l’atmosphère qui réagissent dans les mêmes longueurs d’ondes, lien plus tard).

Sirius (#1&9)

Désolé, quelle est la question ?
Je crains d’être de manquer de références culturelles quant à sa nature… 😕

20.  Marot | 21/01/2009 @ 18:03 Répondre à ce commentaire

Araucan (#17),
Oui y a un truc, mais bof j’ai laissé courir.

Les deux cartes sont là pour montrer les trous en Afrique, en Amérique du sud et ailleurs ! mais ça vous l’aviez bien vu.

21.  Laurent | 21/01/2009 @ 19:40 Répondre à ce commentaire

Araucan (#19),

savoir si les mesures satellite et si les mesures au sol mesurent la même chose

La réponse est clairement non.
Les mesures satellites ne sont pas directes, elles sont issues de l’inversion de données des sondeurs verticaux (IR et micro-ondes), l’inversion étant issu d’un calcul itératif complexe, qui doit être calibré, et intercalibrés entre tous les instruments utilisés… au niveau du sol, le résultat est beaucoup moins fiable qu’en altitude.
De plus la tache au sol est de quelques dizaines de km… alors qu’un thermomètre n’est représentatif que d’une surface assez réduite (… la réponse varie suivant les offices météo…).
Comparer sur des degrés carrés le résultat des mesures satellites et la somme des interpolations des mesures thermomètres… c’est à mon humble avis un peu osé… 😉

Pour la quasi-totalité des variables météo et climato, quand il s’agit de grands volumes) on maitrise en fait très mal la physique de la mesure (et dans certains cas, l’erreur est du même ordre de grandeur que la mesure)… et après on viens nous expliquer qu’on maitrise la physique qui explique leur variation? (et en plus avec des modèles radiatifs ultra-simplistes)????
Après tout pourquoi pas… 😉 c’est moi qui doit être idiot…

22.  Araucan | 21/01/2009 @ 20:15 Répondre à ce commentaire

Donc, si je vous suis, même les sceptiques utilisent des courbes sur un même graphique avec une même unité pour des données mesurées qui ne sont pas les mêmes (et je parle parle des questions de calibrage entre les unes et les autres…).

Si l’on veut être rigoureux, évitons de mélanger mesures satellite et mesures au sol…

23.  Araucan | 21/01/2009 @ 20:16 Répondre à ce commentaire

Laurent (#21),

Mais non, mais non, éviter de mélanger les choux et les carottes c’est la base de l’art ! 😉

24.  super.mouton | 21/01/2009 @ 21:17 Répondre à ce commentaire

(lol l’article, p*$**$, on fou vraiment l’argent en l’air…au fait j’ai été virée, bon rien a voir avec mes fréquentation, c’est juste qu’il était un peu susceptible quand je lui ais dit que la production=puissance x temps pour les éoliennes… (je lui ais répété quand meme 3 fois… bon… ça lui a pas plus le chiffre trois…maintenant vais faire des vrai maths, mais avec tout cet argent gaspillé, j’ai peur de pas trouver du boulot ailleurs qu’à la météo belge, seul site ou il y a du boulot….)

25.  scaletrans | 21/01/2009 @ 21:31 Répondre à ce commentaire

super.mouton (#24),

Le courage et l’honnêteté coutent cher de nos jours…
Tous mes vœux vous accompagnent.

26.  joletaxi | 21/01/2009 @ 21:41 Répondre à ce commentaire

@24
Aïe.Es-tu capable de lire un thermomètre à la météo belge?20° après lecture donne 24°
Pour avoir le poste, je te conseille de dire mieux;24,5 ou 25
Si tu suis bien le mouvement,un poste éminent est possible à la NASA.Faut juste suivre le mouvement
A part ça bon courage

27.  Araucan | 21/01/2009 @ 21:47 Répondre à ce commentaire

super.mouton (#24),

Ben oui quoi, on ne vous enseigne pas cela à l’école de maths qu’il ne faut jamais mettre un chef en face de ses manques ou de ses contradictions (encore pire si c’est devant des tiers !).
De toute façon bon courage et bonne chance…

28.  super.mouton | 21/01/2009 @ 22:13 Répondre à ce commentaire

@25, 26 et 27
Cool! Merci pour vos encouragement, je ferai de mon mieux pour la hoax attitude!

29.  miniTAX | 21/01/2009 @ 22:25 Répondre à ce commentaire

super.mouton (#28),
Oui bon courage de ma part aussi.
Et désolé si jamais on a été pour quelque chose dans ta persécution ! C’est pas très porteur d’être hérétique de nos jours, surtout publiquement et surtout contre les brasseurs de vent de l’IPCC (l’Inquisition Panel on Climat Change).
Et bonne chance pour la suite.

30.  Araucan | 21/01/2009 @ 22:45 Répondre à ce commentaire

Laurent (#21),

Voici un lien sur la question des mesures de CO2.

A lire attentivement :

http://www.globalwarmingskepti.....4175#p4175

ou là (même contenu)

http://www.greenworldtrust.org.....2da182448b

31.  Sirius | 22/01/2009 @ 0:44 Répondre à ce commentaire

@29_miniTAX
IPCC = Inquisition Panel on Climat Change

Excellente interprétation! Elle est à noter. Pour preuve de sa validité, voici encore un argument (parmi tant d’autres) : http://www.pensee-unique.fr/paroles.html#pielke

32.  Curieux | 22/01/2009 @ 0:51 Répondre à ce commentaire

Araucan (#30),
Ne sautez pas hâtivement sur l’article sans aller . La réponse me paraît bien supérieur à l’article. Entre autre, et ça sautait aux yeux, après l’élimination de H2O par congélation, la discrimination entre les autres GES se fait via leurs bandes d’absorption.

A mon avis à oublier.

33.  Sirius | 22/01/2009 @ 1:25 Répondre à ce commentaire

@5_Araucan

Sauvez la planète , ne mangez plus de poissons marins ! 😆

Vive la barbote!

34.  Araucan | 22/01/2009 @ 1:47 Répondre à ce commentaire

Curieux (#32),

Merci beaucoup, voici une mienne incertitude de levée : les choses semblent claires.

Sirius (#33),

Si vous parlez d’une loche, moi j’appelle cela une moutoile…
Et c’est plein d’arrêtes, mais un bon bon vif pour le brochet smile

35.  Sirius | 22/01/2009 @ 3:08 Répondre à ce commentaire

#34_Araucan
Ah! Pour le brochet, ça va. Bien meilleur que la loche en tout cas, ça c’est sûr. Ce poisson d’eau douce (chez-nous, au Québec, qualifié de requin de lac) est résolument délicieux en filets grillés à la poêle avec beurre et amandes:

à

36.  Araucan | 22/01/2009 @ 11:07 Répondre à ce commentaire

Sirius (#35),

Donc avec moins d’arêtes que le brochet lui-même pour le manger ainsi : le brochet est généralement fait au court-bouillon. Le sandre est plus à recommander (moins d’arêtes). Mais pour les filets à la poêle au beurre blanc, je recommande la perche !

Si je vais au Québec, je essayerai de gouter le requin de lac !

Comme quoi, il y a des alternatives crédibles au poisson de mer ! 😉

37.  Myke | 25/01/2009 @ 16:58 Répondre à ce commentaire

Charles II (#11)
Le conférencier aurait pu aussi consulter les écrits de Nostradamus.
Sur les 6 000 et quelques centuries, c’est bien le diable si on ne trouve pas quelque chose.
Qui est volontaire ?

38.  tror | 13/01/2010 @ 18:55 Répondre à ce commentaire

j’en ai attrapé 5 d’afilés !!!!!

39.  Argus | 13/01/2010 @ 19:58 Répondre à ce commentaire

@super-mouton #24

Désolé !
Il fallait faire lire le texte de Jancovici sur les éoliennes à votre patron.

Janco est bien en cour et son jugement sur les éoliennes est sans appel …Inutiles et coûteuses.

On en peut pas se tromper à chaque fois…

40.  pecqror | 13/01/2010 @ 22:00 Répondre à ce commentaire

Argus (#39), jancovici consultant pour areva, edf et ademe c’est normal qu’il soit partisan du nucléaire et contre les éoliennes, pas mal de sceptique sont pro-nucléaire aà défaut d’autre chose, donc mis à part le CO2 il est normal de trouver des points communs… D’ailleurs dans ces dernière conférence d’entreprise, il a laisser tomber la crosse de hockey, ce qui n’est pas le cas à l’école des mines..

Sorry, the comment form is closed at this time.