Voici un texte resté longtemps non traduit sur le site de Skyfal. Merci à Manu95 pour sa traduction.
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Contrairement à une croyance répandue, l'effet de serre aurait plus à voir avec l'eau dans notre atmosphère que des gaz comme le dioxyde de carbone.
Les variations extrêmes de la météo locale et des saisons conduisent aisément les gens à invoquer l'« effet de serre », et à rejeter la faute sur le dioxyde de carbone. Conjointement à d'autres gaz produits par l'homme, tel que le méthane, le dioxyde de carbone dans l'atmosphère a eu mauvaise presse depuis de nombreuses années et est généralement cité comme la principale cause de l'effet de serre. Ce n'est tout simplement pas correct. Si l'augmentation du dioxyde de carbone peut être la source d'un effet de serre accru, et donc d'un réchauffement climatique, le rôle de la molécule la plus vitale de notre atmosphère – l'eau – est rarement discuté. En effet, l'eau est à peine mentionnée dans les centaines de pages du rapport de 2001 du Groupe d'experts intergouvernemental sur le changement climatique.
Figure 1
De nombreux aspects de la molécule d'eau en apparence simple concourent à rendre difficile la modélisation de ses effets sur notre climat. Contrairement à la plupart des autres gaz atmosphériques, la distribution de l'eau dans l'atmosphère varie fortement avec le temps, le lieu et l'altitude (figure 1). L'eau est également unique parmi les molécules de l'atmosphère, parce qu'elle change de phase aux températures terrestres. Cela signifie qu'elle peut transférer de l'énergie de sa forme solide (glace) aux pôles à ses formes liquide et gazeuse (vapeur d'eau) dans l'atmosphère. Une fois dans l'atmosphère, l'eau se déplace avec les vents et peut même se diffuser jusqu'à la stratosphère, où elle est responsable de la destruction de la couche d'ozone qui protège des ultraviolets.
L'atmosphère joue un rôle crucial dans le bilan radiatif de la Terre car elle absorbe à la fois le rayonnement entrant reçu du Soleil et le rayonnement sortant qui est réfléchi par la surface de la planète. Toutefois, le rayonnement dans chacun de ces processus a des longueurs d'onde très différentes. Le soleil émet à peu près comme un corps noir à une température de 5800 K, qui culmine dans la région optique à une longueur d'onde d'environ 0,6 µm. Le profil du rayonnement réfléchi, en revanche, est beaucoup plus proche d'un corps noir à une température de 275 K, et a un pic de longueurs d'onde beaucoup plus dans l'infrarouge (environ 11 µm). Les processus physiques qui conduisent à l'absorption du rayonnement dans les deux régions sont différents, mais la vapeur d'eau joue un rôle dominant dans les deux.
Équilibrer les comptes
Les physiciens ont modélisé l'atmosphère de la Terre depuis plus d'un siècle, et nous avons acquis une connaissance très détaillée des processus clés qui sont impliqués dans le bilan énergétique global (figure 2). Par exemple, il est maintenant bien établi que la haute atmosphère de la Terre reçoit une quantité d'énergie moyenne provenant du Soleil de 342 W par m2. Cette moyenne est calculée en connaissant la quantité d'énergie qui est émise par le Soleil et l'angle que la Terre sous-tend. Si les rayonnements entrants et sortants ne sont pas égaux alors le bilan total de l'énergie n'est pas équilibré et la température de la planète changera jusqu'à ce qu'un nouvel équilibre soit établi. L'on peut alors craindre qu'une accumulation de gaz à effet de serre provoque une augmentation de l'absorption du rayonnement infrarouge sortant.
Les mesures par satellite montrent que 235 W/m2 du rayonnement solaire incident est absorbé par la Terre, mais les modèles les plus récents et les mesures indiquent que l'atmosphère est responsable de seulement 67 W/m2 de ce montant. Le reste est absorbé par le sol et les océans, qui jouent un rôle clé dans le bilan énergétique en raison de leur grande capacité thermique et leur capacité à stocker le dioxyde de carbone, et, bien sûr, la vapeur d'eau.
L'effet de serre est précisément la différence entre le rayonnement de grande longueur d'onde qui est émis par la surface de la Terre et le rayonnement thermique montant qui quitte la tropopause – la limite supérieure de la partie turbulente de l'atmosphère que nous habitons tous. L'effet de serre est d'environ 146 W/m2 par ciel clair et de quelque 30 W/m2 supérieur s'il y a une couverture nuageuse.
Il existe un certain nombre d'idées reçues sur l'effet de serre, notamment qu'il s'agit d'une mauvaise chose. Au contraire, l'effet de serre est un facteur important qui rend la Terre habitable. Sans lui, la température moyenne sur Terre serait plus basse d'environ 30 K, ce qui rendrait la plupart de la surface de la planète complètement glacée. En outre, c'est la vapeur d'eau dans les 10 km environ de la partie basse de l'atmosphère, plutôt que les émissions de dioxyde de carbone d'origine humaine, qui contribue le plus à cet effet de réchauffement.
L'absorption de la lumière par les molécules dans l'atmosphère se fait généralement par deux processus moléculaires de base : transitions « liées-libres »1 et « liées-liées ». Les transitions « liées-libres » se produisent dans la partie la plus énergétique du spectre ultraviolet et provoquent la rupture des molécules. Dans les transitions « liées-liées », qui se produisent à des longueurs d'onde plus longues, les molécules sautent d'une certaine combinaison d'états de rotation et de vibration à une autre, ce qui produit une "signature" bien distincte (figure 3). Il est donc très facile de repérer quels absorbeurs atmosphériques interviennent, mais il est beaucoup plus difficile de travailler sur les chiffres réels. Néanmoins, de grandes bases de données qui listent toutes les transitions moléculaires connues et leurs propriétés associées ont été constituées. La plus utilisée est la base de données sur l'absorption moléculaire par transmission à haute résolution, (HITRAN), qui a été développée pendant de nombreuses années par Larry Rothman, désormais au Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics à Cambridge aux États-Unis.
Tous les modèles ne sous-estiment pas la quantité de l'absorption atmosphérique parce que certains physiciens choisissent d'ajouter une absorption supplémentaire à leurs modèles pour éponger l'excédent de rayonnement. Toutefois, la cause physique du manque d'absorption par ciel clair et sa distribution exacte en longueurs d'onde restent non résolues, et se révèlent être une source de nombreuses hypothèses. La molécule favorite de chacun est une candidate possible.
L'effet précis de ces bandes d'absorption est difficile à déterminer, malgré les grands efforts déployés par de nombreux scientifiques talentueux et dévoués.
(1) http://en.wikipedia.org/wiki/Atomic_spectral_line,
http://fr.wikipedia.org/wiki/Spectroscopie_UV-visible,
@ Laurent,
Justement c’est ce que j’ai fais pour avoir la moyenne de certaines de ces donnees pour chaque mois en lati/longi. Pour l’instant j’ai trouvés la moyenne des données en lati/longi pour les 12 mois qui dans le schema correspondent à : L, D, H, le C je pense et J
Williams
c’est dans l’eau que se joue le climat et non dans c’est dans l’air de France 5 !
http://www.electron-economy.or.....86045.html
@ Yvesdemars,
Non c’est bien ca d’apres moi aussi et voir une question d’equilibre aussi. Car lors de El Nino il y a plus de nuages et de precipitations a l’Est du Pacifique et inverse dans l’Ouest du Pacifique. Et inverse lors de La Nina. Et pour les temperatures c’est pareil.
Williams
Réchauffement climatique : une pause qui dérange
http://energie.lexpansion.com/.....-3974.html
@ Mizaël FAUCON
Çà change de l’Express !
Dans l’article signalé par Mizaël, voici le texte des pétitionnaires avec les x « réfutations » d’Allègre !
http://www.futura-sciences.com.....llegre.pdf
Bonne lecture ! 😉
Williams (#51),
Tu a vu des choses qui correspondent à D, H et C mesurées par ERBE?????
Pas possible mon gars…. Un satellite, ça vole au-dessus de l’atmosphère, pas dedans….
Je ne suis pas très sur que tu comprenne comment fonctionne un radiomètre…
Je te le répète, Les mesures radiatives satellitaires ne concernent que ce qui sort de l’atmosphère, soit la flèche « B » du schéma pour les courtes longueurs d’onde, et la somme de « J » et de « L » pour le spectre infrarouge.
Le reste, tu n’y a pas accès, il n’existe aucune mesure (hormis extrêmement locale par des radiomètres terrestres ou embarqués sur avion), toute valeur globale est issue d’un « calcul », pas d’une mesure.
Et dans le cas de ce schéma, ce n’est même pas basé sur un calcul, mais des postulats qui ignorent tout transfert de chaleur qui n’est pas radiatif, et qui poussent l’idiotie jusqu’à faire se réchauffer la surface terre+océan plus par la re-radiation (324 W/m2) que par le soleil lui-même (168 W/m2)…
On ne devrait même pas discuter de telles inepties…
Dans l’article de l’Expansion signalé par Mizaël FAUCON ,a mon avis c’est la deuxième partie qui est la plus intéressante ,lire a partir de :
Pour Mojib Latif, directeur de recherche à l’Institut Leibniz des sciences marines en Allemagne : « A l’heure actuelle, le réchauffement est en train de prendre une pause.
Araucan (#56),
Sur Futura-Sciences, voici le type de débat qu’on peut engager (gras ajouté) :
C’est le débat à la mode des allatoyahs du carbone : d’accord pour le débat tant que ça reste dans la science « établie ». C’est comme avec la Ford T, vous avez le choix de la couleur, tant que c’est du noir.
Voici une réponse d’Olivier Talagrand sur « La religion de la catastrophe » d’H.Atlan , communiquée par H. Le Treut.
http://blogs.lexpress.fr/le-cl.....t-a-la.php
Bien sur, il défend ses modèles, mais on y lit la phrase suivante:
« l’hypothèse ne peut être exclue que l’échauffement récent soit dû, au moins en partie, à d’autres causes que les activités humaines »
Bonne lecture!
Bernard (#60),
Le nommé Talagrand fait de la physique politique avec son « guide de modèle », pourquoi pas Duce ou Conducator ?
Les lois de conservation n’ont jamais rien guidé, elles contraignent.
Imaginez un comptable vous soutenant que l’équilibre du bilan est le guide de la comptabilité.
Même son « code pour ordinateur » est daté de plusieurs décennies.
Plus au fond, il arrive à prouver son incapacité à comprendre que les données d’observation n’ont aucun rapport direct avec les paramètres de ses modèles, à moins qu’il s’agisse d’une mauvaise foi avérée.
Enfin, nous infliger cette tartine sans même évoquer le fait qu’il pourrait exister des mécanismes inconnus montre le scientiste dévoyé.
miniTAX (#59),
Je sais ce qu’il en est d’info-climat : c’est le document de réfutation qui est à regarder avec attention, je suis sur qu’il y a moyen de s’amuser avec …
Marot (#61),
Je pense en effet, mais je ne suis pas un coutumier des modèles informatiques, que dans sa réponse il y beaucoup à redire!
miniTAX (#59),
Ce texte est encore plus caricatural quand on observe qu’il est une réponse à une actualité affichée par le « staff » comme ils disent.
L’actualité : 16h15
Le texte qui ferme la discussion : 17h10 par un « modérateur » affolé par les conséquences prévisibles de cette
satanée, merde, saloperied’actualité.C’est tellement plus facile de laisser Masson-Delmotte raconter sans contradiction ses histoires de concentration de méthane qui a augmenté en 2007 et 2008, information vigoureusement démentie par Dlugokencky .
forums.futura-sciences.com/commentez-actus-dossiers-definitions/362129-actu-sommet-de-copenhague-groenland-glace-quelques-siecles.html
Ah que c’est reposant de discuter des deux pénis d’un lézard, information ridicule car c’est la règle chez les saurophidiens.
@ Laurent,
Oui ca ok, mais là je citais tout les donnees de ce schema dont j’ai trouvé pour l’instant. Car pour C et voir peut etre H c’est par calcul et voir pour comme tu dis par des mesures par avions ou radiomètres terrestres. Car par exemple pour C c’est A-B comme tout les deux sont mesurables par satellite.
Apres pour D ca doit etre suivant des mesures par avions comme tu dis.
Williams
Williams (#65),
« Après D ça doit être suivant des mesures par avions… »
Des scientifiques embarqués à bord d’un jet à haute performance sillonnent désormais l’atmosphère pour récolter et analyser l’atmosphère, de la surface aux plus hautes couches atteignables par l’appareil.
La mission devrait durer jusqu’en 2011 : la planète entière doit en effet être « cartographiée ». Pour cette première série de prélèvements, l’appareil vole au dessus de Pacifique, sur un circuit les amenant du Colorado au cercle arctique, puis à Tahiti, l’Antarctique, l’Île de Pâques puis Costa Rica.
À nouveau, il s’agit d’obtenir plus d’informations sur la « machinerie climatique » de la planète, dans le processus de dérèglement climatique en cours. Loin de la vue d’ensemble quasi instantanée des satellites, cette méthode permettra cependant d’obtenir des données beaucoup plus précises.
http://www.scientificamerican......al-warming
Mizaël FAUCON (#66),
Je pense préférable de mettre variations que dérèglement.
Un dérèglement est par rapport à une base considérée comme « point de fonctionnement » normal.
Question: Quel est ce « point de fonctionnement? ».
C’est juste une question de termes mais ca a son importance.
Bernard (#67),
« le processus de dérèglement climatique en cours », c’est une traduction libre sortie du chapeau de Mizaël, c’est pas dans l’article original par Scientific American, pourtant, au pedigree réchauffiste impeccable et toujours à l’affût de la moindre annonce de catastrophe climatique imaginaire.
Mais bon, les trolls climato-hystériques ne sont plus à un bobard près.
miniTAX (#68),
Touchez pas à mon fond de commerce…je respecte le votre !
Williams (#65),
Je ne suis pas sur que cette discussion soit bien utile…
Mais bon, pour ton information, sur le schéma:
– B: c’est l’albédo terrestre dans les courtes longueurs d’ondes, dépend principalement du taux d’ennuagement.
– J+L (sans possibilité de distinguer entre les deux), c’est accessible par la mesure d’émissions IR TOA… a peu prêt la seule chose dans le schéma qui peut se mesurer assez précisément.
– H: c’est éventuellement mesurable par des photomètres terrestre. Le réseau installé est largement insuffisant pour avoir une mesure globale avec une incertitude raisonnable.
– D: c’est techniquement non mesurable. C’est éventuellement calculable à condition de disposer de mesures précises de température, d’humidité, de rugosité, d’évapotranspiration, etc…
On ne dispose pour aucun de ces paramètres de réseau de mesure suffisamment dense pour pouvoir intégrer un calcul global précis (avec mieux que 10 à 20% d’erreur).
De plus, le chiffre donné dans le schéma est totalement faux. Les calculs se basant sur ce qu’on a de mieux en terme de mesure de paramètre cités plus haut donnent des valeurs de 70 à 80 W/m2 pour l’émission d’IR de la surface…. on est loin des 390 W/m2 du schéma.
Si cela ne te suffit pas pour poubelliser ce schéma (sans même parler de la stupidité du reste), alors je ne sais plus quoi dire.
Quand au magma du milieu… c’est juste stupide….
Williams (#65), laurent (#57),
J’avais, sur un autre fil avant le 20 janvier mais je ne le retrouve plus, signalé que Vincent Gray avait déconsidéré le bilan de Kiehl et Trenberth en remarquant que D = 390 w par m2 correspondait tout simplement à l’irradiance du corps noir à 15°C (288K). VGray produisait le calcul suivant :
The global warming scam
Vincent Gray
http://nzclimatescience.net/im.....Scam3a.pdf
L’imposture du réchauffement global
V. GRAY (extrait p24)
La plupart des calculs des modèles doivent utiliser des équations non linéaires qui ne peuvent pas être appliquées à des moyennes arithmétiques, seulement à des courbes de distribution, qui sont inconnues.
Un exemple est la figure ci-dessus pour l’énergie radiative émise par la terre, qui est donnée pour 390W/m2.
Si la terre est un « corps noir » alors l’intensité de la radiation de la terre, E, en W/m2 est liée à la température absolue T (en °Kelvin) par l’équation de Stefan-Boltzmann :
E=sT4
– où s = 5.67 x 10-8 W/m2/K, la constante de Stefan-Boltzmann.
La température moyenne de la terre est considérée par Kiehl et Trenbreth (1997) comme étant 288K (15°C) (bien qu’il n’y ait aucune preuve de cela). Si vous entrez 288 dans l’équation de Stefan-Boltzmann, vous obtenez 390W/m2, la quantité de la figure ci-dessus. Cela signifie que Kiehl et Trenbreth ont supposé que la terre était un corps noir idéal avec une température uniforme de 288K (15°C). Une telle affirmation est incorrecte.
La moyenne de la puissance quatrième de la température n’équivaut pas à la puissance quatrième de la température moyenne. La courbe de distribution de T à la puissance quatrième est déviée vers les hautes températures. La radiation de la terre est beaucoup plus importante à partir des régions chaudes que des froides parce qu’elle dépend de la puissance quatrième, aussi les températures au dessus de la moyenne ont une beaucoup plus grande influence que celles en dessous.
Prenons seulement un exemple, la terre peut être divisée en quatre zones de température,
313K (40°C)
293K (20°C)
283K (10°C)
et 263K (-10°C)
Moyenne = 288K (15°C)
Les énergies émises par chaque région, par Stefan-Boltzmann sont :
544.2
417.9
363.7
271.3
Moyenne : 399.2 W/m2
– une différence de +9.2W/m2 sur la moyenne globale.
Cette erreur est beaucoup plus grande que les effets proclamés des gaz à effet de serre additionnels depuis 1750, qui sont autour de 1.6W/m2.
Je trouve cela lumineux et minitax, si je me souviens bien, l’avait trouvé aussi.
Je pense qu’il faudrait approfondir la théorie adiabatique qui semble commander le climat de la basse atmosphère jusqu’à 0,2 bar. C’est celui qui nous intéresse. La théorie radiative serait valable ou dominante pour les pressions inférieures à 0,2 bar, notamment dans la stratosphère. C’est ce que j’ai compris de la présentation de JeanM sur PU où sont les références bibliographiques
La théorie de Willis Eschenbach (une traduction serait utile) « steel greenhouse » présentée sur WUWT le 17 11 2009 améliore le bilan ici présenté mais utilise toujours les 390 w/m2.
Celle de Thieme me semble plus intéressante tout en partant de la même hypothèse :
voir http://freenet-homepage.de/klima/indexe.htm
et encore mieux mais désormais en allemand seulement sur ce site car geocities semble fermé.
Elle est compatible avec les analyse de G&T.
@ MichelLN35 et Laurent,
OK et merci pour ces infos. Car je cherchais de me renseigner là dessus comme maintenant il est pas facile a trouver des infos et qu’il est delicat a bien savoir se qu’on doit vraiement tenir compte quand on voit que parfois on abuse sur se qu’on nous dit ou…
Williams
Williams (#72),
J’ai oublié deux autres références récentes et très pertinentes :
http://wattsupwiththat.com/201.....more-18240
et chez Lubos Motl :
http://motls.blogspot.com/2010.....ivity.html
La façon d’interpréter l’atmosphère de Vénus me semble tout à fait déterminante pour la valeur d’une théorie.
Juste une remarque:
« La température moyenne de la terre est considérée par Kiehl et Trenbreth (1997) comme étant 288K (15°C) (bien qu’il n’y ait aucune preuve de cela) »
« La moyenne de la puissance quatrième de la température n’équivaut pas à la puissance quatrième de la température moyenne. »
Ils ont en fait « calculé » 288K à partir de leur estimation d’un flux de 390W/m2, cette valeur ne vient pas d’une « moyenne globale » des températures.
xlm (#74),
En résumé 288 K vient de 390 W/m²
et 390 W/m² est impliqué par les 288 K.
La seule question est :
Où a été placé le doigt mouillé ?
Du coup, on ne sait même pas si ce chiffre de 15 °C est réellement représentatif et démontré ou mesuré…
On nage dans les croyances et les approximations.
Feynmann, au secours, revient !
Voilà qui n’était pas prévu par le GIEC!
L’eau revient au Maghreb occidental.
@ Bernard
Un article sur le Figaro environnement
Au Maroc, le désert reverdit peu à peu
http://www.lefigaro.fr/environ.....a-peu-.php
plombier (#78),
C’est vrai, le « changement climatique à l’envers », puisqu’on nous a prévu, l’été dernier, une sécheresse sévère et en novembre dernier, la même source affirmait que le Maroc se mauritanise sur le plan climatique, tout en prônant que le climat de Nouakchott s’installe à Casablanca! Deux années exceptionnellement humides se sont succédées, alors qu’on nous conseillait d’oublier la phase humide 2008-2009! ici
laurent (#57), question : ça voudrait dire que si on utilise un pyromètre très directif dirigé vers le ciel pour ne pas prendre des flux d’IR tellurique, on ne mesurera aucune re-radiation IR par les GES depuis le ciel (par temps clair sans nuage, je m’entends) ?
@ Abder
Extrait d’un article de La Terre du Futur
L’analyse pays par pays donne des résultats parfois très encourageants. Ainsi, en 1998, un bulletin établi conjointement par le Comité permanent inter-Etats de lutte contre la sécheresse au Sahel (CILSS) et la FAO fait état « d’une extraordinaire saison des pluies du Sahel qui s’est achevée en octobre » et prévoit que la Mauritanie pourrait connaître sa meilleure année de production, le Mali un record de production rizicole alors que le Burkina et le Niger s’attendent à une production exceptionnelle des cultures pluviales. L’imagerie satellite confirme une couverture végétale propice à l’élevage. La même année, le service national météorologique rapportait que Niamey, qui reçoit normalement 400 à 600 mm de pluie par an, avait enregistré 1 000 mm au 8 septembre. L’année suivante (1999) est, elle aussi, marquée par des précipitations bien réparties et supérieures à la moyenne dans certains endroits.
Posté sur La Terre du Future le le 27 décembre 2004 ,avec une photo
de la foret des cèdres au Maroc .
http://www.laterredufutur.com/.....038;sid=22
miniTAX (#80),
Exemple de mesure ac pyrometre « pointé vers le ciel » et un autre pointé vers le sol:
miniTAX (#80), ça c’est bien vu, cette histoire du radiomètre dirigé vers le ciel.
Ca donne quoi ?
Ca devrait donner un flux d’infrarouge qui diminue avec l’altitude, c’est ça ?
Manifestement je ne peux inserer d’image.
Pour repondre a miniTax voici un lien vers une mesure en temps reel (Toulouse): Pyrometre pointé vers le ciel et Pyrometre pointé vers le sol:
http://ufrpca-phy.ups-tlse.fr/.....RayCG3.png
En haut à gauche, je lis ça : « Nous sommes à la croisée des chemins. Un pas nous mène à un accord fondamental sur le changement climatique; l’autre au néant. Secrétaire Général de l’ONU Ban Ki Moon, lors de la conférence climatique de Bali, décembre 2007 »
Il ne croyait pas si bien dire le pépère : le voilà retourné au néant, donc.
Comme je n’ai pas trouvé le fil Billet hors sujet , excusez -moi de déposer le commentaire suivant ici . Par Laura Roberts publié le 15 avril 2010 .
Les scientifiques ont mis en garde la Grande-Bretagne qui peut s’attendre à subir une série d’hivers extrêmes , comme on en n’a pas vu depuis plus de 300 ans.
Les chercheurs ont constaté que la faible activité solaire – marquée par une diminution du champ magnétique du soleil, influences les conditions météorologiques dans le nord de l’Europe.
Des experts de la science d’Allemagne, de la Corée et du Royaume-Uni et de la Technologie Services Conseil ont également contribué à l’article publié dans le journal Environmental Research Letters.
http://www.telegraph.co.uk/ear.....nters.html
plombier (#88),
C’est là qu’il faut le mettre
http://www.skyfall.fr/?p=485
Et cela ouvre le concours ! 😉
plombier (#88),
La livraison de Environmental research letters est passionnante.
attention : lien temporaire vers la dernière livraison.
On y voit la prise de virage de deux réchauffistes acharnés vers la prise en compte du soleil Lockwood et Benestad.
Lockwood et al. Are cold winters in Europe associated with low solar activity? réponse OUI
Benestad, le rasmus de realclimate qui tartine sr le minimum de Maunder : Low solar activity is blamed for winter chill over Europe.
On vit une époque formidable.
miniTAX (#80),
Voici ce que donne une mesure de flux IR (acquisition à Toulouse en temps reel), radiomètre pointé vers le ciel et radiomètre pointé vers le sol:
miniTAX (#93), JG2433 (#94), ben oui, ça fait drôle de voir que je poste souvent et le genre de reproche que certain se ramasse ! (Je lui ai moi-même reproché la teneur de ses messages sur Le Mythe climatique, pas leur fréquence !) Mais je ne me sens pas coupable pour autant juste assez impuissant par rapport à ce qui se passe à Bonn ou bientôt à Cancun : on cause, on poste, et ils continuent comme si de rien n’était, traités de moins que rien alors qu’il y a certainement des scientifiques reconnus parmi vous ! J’enrage !
miniTAX (#80),
Ce type d’expérience existe, et donne des mesures (de nuit par ciel clair) variant entre 250 et 350 W/m2.
Ce que je reproche au schéma n’est pas d’indiquer une valeur au flux d’IR descendant, mais de faire implicitement croire aux esprits simples que ce flux d’IR descendant participe au bilan thermique de surface de la même façon (et donc prépondérante) que le rayonnement solaire.
@ Marot
On vit une époque formidable.
Lockwood sur New Scientist ( et Environmental Research Letters)
Souvent cité par les sceptiques comme une cause du réchauffement climatique .(le soleil )
http://www.newscientist.com/ar.....n-ice.html
plombier (#97), a propos de : http://www.newscientist.com/ar.....n-ice.html (Grrr… ces Anglais, ils pourraient pas écrire français comme tout le monde) confirmation du refroidissement ? C’est sorti avant l’éruption du volcan islandais, heureusement ! Sinon les réchauffistes auraient encore dit que c’était à cause du volcan qu’on se serait refroidi !! (Et si le CO2 a augmenté brutalement, qu’est-ce qu’ils pourront dire ? La faute des Chinois ?) En attendant, si ça dure, on va doublement se les geler ! Les marchands d’isolation (écolo bien sûr) et de chauffage économique (et renouvelable évidemment) vont gagner leur vie, et tant mieux pour eux. Mais les gens qui avaient misé sur le tourisme des zones réchauffées par le GIEC vont-ils80 sortir le fusil !?
Williams (#53),
merci
et je vous joins le lien sur un article d’un climatologue finlandais Jyrki Kauppinen qui devrait publier une étude dans Nature en juin concluant que le CO2 ne contribue que pour 5 à 10% au réchauffement. Conclusion assez voisine des opinions de Lindzen, Pielke et sans doute Spencer. On lui souhaite bonne chance pour le peer reviewing car les troupes de choc de Pachauri vont essayer de le démolir par tous les moyens légaux ou non …
plombier (#97),
Et en lisant bien ce papier de Lockwood il y a cette perle :
Attention ces variations dues au soleil ne marchent qu’en Europe, pas ailleurs, non, non, non.
Marot (#95),
La NASA GISS se trompe de plus de 10° C sur les températures de mars pour la Finlande .
http://climateaudit.org/2010/0.....n-finland/
plombier (#97),
On leur avait pourtant dit et répété :
Trafiquez tant que vous voudrez mais que ça ne se voit pas trop.
Le type à mi-temps, dixit gavin, s’est foutu dedans ou a fait une bourde volontaire.
Patrick Bousquet de Rouvex (#90),
Rassurez-vous, mon propos ne voulez pas vous viser, vous personnellement.
Attaque « ad hominem », beurk !
En reprenant le concept funeste inventé par Robespierre et consorts, je voulais tout simplement mettre en évidence l’imposture juridique dans laquelle, immanquablement, on tombe.
J’en conviens, le raccourci (sans jeu de mot…) par moi employé, était peu explicite.
Mes excuses pour ce malentendu.
… et à Frédéric pour le H.S.
LaurentC (#89),
il y a aussi des IR descendants qui ne sont pas renvoyés par l’effet de serre mais viennent du soleil
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