Un été sans nuage …

Les climatologues vont enfin pouvoir tester leurs modèles climatiques en conditions extrêmes grâce à une découverte faite par le Professeur Minik Rosing, de l'Université de Copenhague. En effet, Rosing a résolu l'un des grands paradoxes de notre passé géologique : pourquoi la surface terrestre n'était-elle pas recouverte de glace il y a quatre milliards d'années, alors que les rayons du Soleil étaient bien plus faibles ? Jusqu'à maintenant, les scientifiques supposaient que l'atmosphère de cette époque était constituée d'environ 30% de dioxyde de carbone, ce qui recouvrait la Terre d'une membrane protectrice et gardait la chaleur par effet de serre. Or, de nouveaux résultats publiés dans le journal scientifique Nature montrent que la réponse à ce paradoxe est en fait tout à fait différente.

En 1972, l'astronome Carl Sagan et son collègue George Mullen ont formulé pour la première fois "Le paradoxe du faible et jeune Soleil". En effet, le climat terrestre a été très stable pendant presque 4 des 4 milliards et demi d'années de son existence, malgré une augmentation de la radiation solaire de près de 30%. Une réponse possible fut proposée en 1993 par Jim Kasting, chercheur intéressé par les questions atmosphériques. Ses calculs théoriques montrèrent que, il y a quatre milliards d'années, l'atmosphère terrestre était essentiellement constituée de dioxyde de carbone. Cette atmosphère empêchait ainsi par effet de serre l'eau de geler.

Coucher de soleil Des chercheurs du Muséum d'Histoire Naturelle du Danemark, et Christian Bjeerum, du Département de Géographie et de Géologie de l'Université de Copenhague ont, en collaboration avec des collègues de l'université américaine de Stanford en Californie, découvert pourquoi il "manquait" un âge de glace, résolvant ainsi ce paradoxe qui a hanté des cercles scientifiques durant plus de 40 ans.

Le professeur Minik Rosing explique : "Ce qui a empêché la formation d'une couche de glace sur la surface terrestre n'est pas une haute concentration en dioxyde de carbone, mais le fait que la couche de nuages était bien plus fine que ce qu'elle est aujourd'hui. De plus, la surface terrestre était couverte d'eau. Cela signifie que les rayons solaires pouvaient chauffer la couche d'eau quasiment sans obstruction, créant des couches d'eau plus ou moins chaude et empêchant ainsi toute formation de glace. Le peu de nuages présents à cette époque peut être expliqué par leur mode de formation, qui nécessite des substances chimiques émises par des algues et des plantes, n'existant pas à cette époque. Or, les scientifiques ont utilisé la relation observée actuellement entre les radiations solaires et la température à la surface de la Terre pour calculer que la Terre aurait dû être couverte de glace durant les trois premiers milliards d'années de son existence. Sagan et Mullen ont attiré l'attention sur ce paradoxe entre les calculs théoriques et la réalité géologique puisque les océans n'ont pas gelé. Ce paradoxe entre ces faibles radiations solaires et les océans non gelés est maintenant résolu."

Minik Rosing et son équipe ont résolu ce paradoxe en analysant des échantillons de roches âgées de 3.8 milliards d'années provenant d'un affleurement de néphrite, datant de l'Archéen, situé à l'ouest du Groenland. D'autre part, ces analyses ont aussi donné des réponses à une question fondamentale que se posaient les climatologues travaillant sur le changement climatique : la concentration en dioxyde de carbone a-t-elle été très fluctuante ou plutôt stable pendant ces derniers milliards d'années ?

"Les analyses de la concentration de CO2 dans l'atmosphère de l'époque, qui peuvent être déduites de la roche trouvée, montrent que l'atmosphère contenait au moins 1 partie par mille de ce gaz à effet de serre, ce qui représente trois à quatre fois la concentration actuelle. Cette information est à relier à la composition de l'atmosphère de l'époque, dans laquelle la part de dioxyde de carbone était bien supérieure au 30% observés aujourd'hui. Globalement, on peut conclure que la quantité de dioxyde de carbone totale présente dans l'atmosphère n'a donc pas beaucoup changé depuis. Aujourd'hui, on observe une augmentation nette de sa concentration, qui est clairement reliée à l'activité humaine et à l'utilisation de combustibles fossiles. Il est ainsi vital d'avoir une idée du passé géologique et atmosphérique de la Terre afin de comprendre le présent et peut-être un jour le futur, et d'améliorer les modèles climatiques et les calculs faits sur le sujet," souligne Minik Rosing.
Le Professeur Rosing est déjà connu pour ses recherches sur l'apparition de la vie sur Terre, ainsi que sur l'impact de la présence de vie sur la formation de la masse continentale.

(Source)

52.  Daniel | 11/06/2010 @ 20:46 Répondre à ce commentaire

global.daily.ice.area.withtrend.jpg

http://arctic.atmos.uiuc.edu/c.....htrend.jpg

53.  Patrick Bousquet de Rouvex | 11/06/2010 @ 20:58 Répondre à ce commentaire

Daniel (#52), depuis les années70, l’Arctique aurait perdu environ 1 million de km² d’étendue (extend) de glace sur une quinzaine en hiver et sur plus de 23 en été environ, mais le plus bas aurait été atteint il y a deux ou trois ans et une légère augmentation se manifesterait depuis…

54.  g. | 11/06/2010 @ 21:24 Répondre à ce commentaire

Patrick Bousquet de Rouvex (#53),

l’Arctique aurait perdu environ 1 million de km² d’étendue (extend) de glace sur une quinzaine en hiver et sur plus de 23 en été environ, mais le plus bas aurait été atteint il y a deux ou trois ans et une légère augmentation se manifesterait depuis…

depuis ?

55.  yvesdemars | 11/06/2010 @ 21:27 Répondre à ce commentaire

pareil, affelou mon cher

56.  yvesdemars | 11/06/2010 @ 21:27 Répondre à ce commentaire

c’est fou

57.  yvesdemars | 11/06/2010 @ 21:29 Répondre à ce commentaire

et en plus on ne paye que l’an prochain, mais d’ici là grâce au RCA nous serons tous cuits (PS ici pour l’instant c’est pas le cas dans le Sud Ouest été pourri en vue où est passée la canicule ???)

58.  Warm | 11/06/2010 @ 21:31 Répondre à ce commentaire

Patrick Bousquet de Rouvex (#53),

Daniel (#52), depuis les années70, l’Arctique aurait perdu environ 1 million de km² d’étendue (extend) de glace sur une quinzaine en hiver et sur plus de 23 en été environ, mais le plus bas aurait été atteint il y a deux ou trois ans et une légère augmentation se manifesterait depuis…

Je connais cette théorie 😉

59.  yvesdemars | 11/06/2010 @ 21:35 Répondre à ce commentaire

faire la corrélation entre 1989 et 2010 est intéressant

60.  yvesdemars | 11/06/2010 @ 21:40 Répondre à ce commentaire

encore mieux serait d’avoir 1922 2010 mais les données sont perdues

L’Océan Arctique se réchauffe, les icebergs se font de plus en plus rares et dans certains endroits les phoques trouvent l’eau trop chaude. Tous les rapports pointent vers un changement radical des conditions climatiques et jusqu’à des températures inconnues jusqu’à présent dans la zone arctique. Des expéditions nous rapportent que pratiquement aucune glace n’a été vue au dessus d’une latitude de 81 degrés 29 minutes. D’énormes masse de glace ont été remplacées par des moraines de terre et des pierres tandis qu’en de nombreux endroits, des glaciers bien connus ont entièrement disparu.
Bureau Météorologique des Etats Unis en … 1922

61.  g. | 11/06/2010 @ 21:42 Répondre à ce commentaire

yvesdemars (#59),

faire la corrélation entre 1989 et 2010 est intéressant

Je trouve plus pertinent de prendre en compte les 32 points plutôt qu’en sélectionner 2.

62.  Warm | 11/06/2010 @ 21:45 Répondre à ce commentaire

yvesdemars (#60),

Et si ce type qui a fait se rapport en 1922 le refaisait en 2007, il écrirait quoi d’après vous ?? Il aurait peut-être trouver la situation encore pire ? Aucune donné chiffré globale dans ces données de 1922, juste des impression, difficile de comparer…

63.  phi | 11/06/2010 @ 21:58 Répondre à ce commentaire

g. (#61),
Hem, je commence à avoir une petite idée de ce que vous entendez par basique.

64.  yvesdemars | 11/06/2010 @ 22:02 Répondre à ce commentaire

en fait warm et g. sont sans doute le même

65.  yvesdemars | 11/06/2010 @ 22:03 Répondre à ce commentaire

mais robert non

66.  Patrick Bousquet de Rouvex | 11/06/2010 @ 22:07 Répondre à ce commentaire

yvesdemars (#64), non, g fait moins de fautes d’orthographe…

67.  zigzagzug | 11/06/2010 @ 22:16 Répondre à ce commentaire

Comme le dit le Prof. Lindzen :
Pourquoi faire toute une salade pour les pôles : depuis les mesures satellites, si on regarde l’oscillation d’embacle et de débacle, pour le nord
http://arctic.atmos.uiuc.edu/c.....arctic.png
et le sud
http://arctic.atmos.uiuc.edu/c.....arctic.png
celle-ci est assez régulière, rien de quoi s’alarmer, et lorsqu’on regarde la somme totale de glace océanique, la somme encore aujourd’hui présente une anomalie quasiment nulle, voir légèrement positive.
http://arctic.atmos.uiuc.edu/c.....htrend.jpg

Alors : pourquoi s’alarmer ?!?

On pourrait même rajourter qu’en regardant les températures polaires (nord) celle-ci ne varient quasiment pas au fil des années. De quoi avons-nous peur ?
http://ocean.dmi.dk/arctic/meant80n.uk.php

Je me demande bien ce que fais le CO2 ! A bon entendeur …

68.  Warm | 11/06/2010 @ 22:42 Répondre à ce commentaire

On pourrait même rajourter qu’en regardant les températures polaires (nord) celle-ci ne varient quasiment pas au fil des années. De quoi avons-nous peur ?

Vous montrez les résultats d’un modèle, et « les modèles, c’est le mal » ! 😉 … ah non, j’oublie le corollaire de cet axiome, dit corollaire de Goddard & Watts: … » sauf si le modèle montre quelque chose qui conforte notre position » 😉

69.  g. | 11/06/2010 @ 23:22 Répondre à ce commentaire

zigzagzug (#67),

les températures polaires (nord) celle-ci ne varient quasiment pas au fil des années

C’est vrai uniquement pour les mois de débâcle. Mais c’est normal: la fonte plus importante consomme plus d’énergie.

70.  scaletrans | 11/06/2010 @ 23:33 Répondre à ce commentaire

Daniel (#51), yvesdemars (#64), Patrick Bousquet de Rouvex (#53),

A votre place, j’aurais déjà dit des gros mots, j’admire votre patience.

71.  Fétrocho | 12/06/2010 @ 0:47 Répondre à ce commentaire

g. (#49),

Autre technique du troll de base à ajouter au manuel de Marot.

Accumuler autant que possible, même jusqu’à l’incontinence verbale, les rappels pseudo scientifiques en longue logorrhées de terminologies confuses. L’effet est a son top en y ajoutant une tournure soit ampoulée soit faussement enigmatique.

laugh ENDOTHERMIQUE TA MERE !!!!! laugh

Allez vendre vos salades chez la Huet …. y a des preneurs….
et je commence à me rendre compte que les tournures stylistiques de notre pauvre g. me rappellent vraiment qq chose.

72.  Daniel | 12/06/2010 @ 8:58 Répondre à ce commentaire

yvesdemars (#60),

Idem en 1817

« It will without doubt have come to your Lordship’s knowledge that a considerable change of climate, inexplicable at present to us, must have taken place in the Circumpolar Regions, by which the severity of the cold that has for centuries past enclosed the seas in the high northern latitudes in an impenetrable barrier of ice has been during the last two years, greatly abated.

(This) affords ample proof that new sources of warmth have been opened and give us leave to hope that the Arctic Seas may at this time be more accessible than they have been for centuries past, and that discoveries may now be made in them not only interesting to the advancement of science but also to the future intercourse of mankind and the commerce of distant nations. »
President of the Royal Society, London, to the Admiralty, 20th November, 1817

73.  Frédéric, admin skyfall | 12/06/2010 @ 9:32 Répondre à ce commentaire

Daniel (#72),
1817, c’était pourtant au milieu du minimum de Dalton, où la planète avait subi des vagues de froid effroyables (la bataille de Bérézina était en 1812), aggravées par l’éruption massive du Tambora (l’année sans été en 1816).
Donc les observations de réchauffement au pôle Nord en 1817 par la Royal Society devaient concerner les décennies avant le minimum de Dalton.

74.  monmon | 12/06/2010 @ 12:09 Répondre à ce commentaire

32,33 etc
Il est intéressant de noter que la banquise fond le plus difficilement dans la zone du passage du nord ouest au niveau des iles arctiques où ne débouche aucun grand fleuve.
De plus la fonte de la banquise débute en face des grands fleuves (Léna Mac Kenzie etc)ce qui provoque d’impressionants phénomènes d’engorgement.
Enfin il est intéressant de noter que que les zones affectées par les glaciations récentes sont presque exclusivement situées en Amérique du Nord et en Europe occidentale et très peu en Sibérie ce qui indique que les glaciations sont générées par des précipitations neigeuses et pas seulement par des baisses des températures.
Je suis totalement convaincu que nous manquons d’observations sur ces régions inhospitalières.

75.  yvesdemars | 12/06/2010 @ 13:55 Répondre à ce commentaire

scaletrans (#70),

oui c’est vrai mais je suis victime de ma trop bonne éducation …

76.  yvesdemars | 12/06/2010 @ 13:57 Répondre à ce commentaire

Daniel (#72),

et remarquons que, loin de s’en inquiéter comme nos pastèques, la Royal Society se félicitait de ce réchauffement, à l’instar d’Arrhenius …

77.  Marot | 13/06/2010 @ 12:24 Répondre à ce commentaire

La discussion a dérivé vers les calottes polaires, pourquoi pas, vu nos connaissances minuscules sur les premiers âges de la Terre et l’inutilité de la chose vis-à-vis du CO2 actuel.

Là, on peut faire une analyse intéressante des alarmismes successifs.

Je crois que tout a commencé avec les tripatouillages de données de températures en Arctique faites par le GISS.
Ça a donné lieu à de nombreux articles y compris celui du canari dans la mine.
Là-dessus, des vilains pas beaux ont sorti l’englacement au pôle sud qui grandit.
Le contrefeu a été un très tordu article sur un prétendu réchauffement en Antarctique, il a fait long feu.
Retour au pôle nord avec l’hystérie injustifiée du « passage » jamais ouvert.
Là aussi un pschitt car il l’est depuis longtemps.

La surface englacée au minimum annuel remonte en 2008 et 2009 et Vicky Pope (on n’est toujours trahi par les siens) dit que ce sont des remontées d’eaux et non les températures de surface qui ont provoqué la chute de 2007. Exit donc le GISS, le canari et les températures de surface. Lindzen finit de river le clou zigzagzug (#67). Je compte évidemment pour rien l’individu qui sort ici que ptêt-ben Lindzen ne sait pas que la fusion de la glace est endothermique Warm (#21).

Qu’à cela ne tienne, nos alarmistes essaient de lancer la « glace pourrie », un autre flop, cela n’accroche pas.

Changement de cap, ce n’est plus l’étendue simple (extent) ou pondérée (area) qu’il faut regarder puisque cela ne marche plus.

Non monsieur, l’important c’est le volume, le vo lu me on vous dit.
Le volume c’est l’étendue (ça c’est rapé) avec l’épaisseur.

On fait alors un foin pas possible sur les Catlin et le mirifique Étienne-premier-à-oser-aller-en-ballon, etc. (c’est faux, un ballon était parti en 1897, expédition Andrée perdue, un autre a réussi en 1926, Roald Amundsen et Umberto Nobile). Curieux ces prétendus scientifiques qui n’existent que pour la pub de compagnies d’assurances (Catlin et Generali).
Simultanément il y a un silence pesant sur les vraies mesures faites par l’institut Wegener qui observe des épaisseurs en légère croissance.
Rien n’est simple mon bon monsieur.

C’est alors qu’arrive un groupe d’individus qui, le cul dans leur fauteuil à Washington, font tourner un « modèle » qui dit que le volume baisse (PIOMASS). Ah les bons apôtres !

Pas de bol, la marine américaine qui a besoin de connaître ces choses là, a son propre service opérationnel qui dit que les volumes ne baissent pas (PIPS).

Ennuyeux direz-vous, mais le contre feu des terriens (pas celui des marins qui s’en trouvent bien) est immédiat :
1) ne jamais les citer, c’est raté;
2) si par malheur quelqu’un les cite, surtout ne pas entrer dans la discussion, les rejeter sous des prétextes fallacieux dont un démoli ici (The Polar Ice Prediction System (PIPS 2.0) is the current U.S. Navy’s operational ice forecasting system, juin 2010).

Le « truc » de Warm (#44) disant qu’ils sont « poussiéreux » n’est qu’un coup de pied de l’âne.

Quand l’affaire du volume sera morte, on nous sortira la compacité ou une autre calembredaine pour entretenir le marronnier.

78.  Manu95 | 13/06/2010 @ 12:54 Répondre à ce commentaire

Excellente analyse !

79.  Marot | 13/06/2010 @ 14:46 Répondre à ce commentaire

Marot (#77),
L’observateur attentif va s’apercevoir que j’ai omis un épisode qui date de 2008-2009.
Oui, j’ai omis de citer la rengaine de la « glace jeune », antérieur à la « glace pourrie » (rotten ice).

Les alarmistes affoleurs ont seriné un temps que la glace d’un an c’est bien différent de la glace de 2-3-4 ans.

Les blocs de banquise interrogés jusqu’au bout ont toujours refusé de répondre.

Le truc a donc fait long feu (si j’ose dire). On n’en parle plus.

80.  scaletrans | 13/06/2010 @ 15:10 Répondre à ce commentaire

Manu95 (#78),

Je « plussoie ».
Marot, la campagne de l’Institut Wegener, c’est bien celle qui fut faite avec un DC 3 équipé ?

81.  Manu95 | 13/06/2010 @ 18:47 Répondre à ce commentaire

scaletrans (#80),
C’est bien cela. Pendant que des ecolo-clowns se les gelaient en forant des troutrous à la main dans la glace, un avion a survolé l’Arctique et a ramené des mesure nettement plus fiables obtenues grâce à un radar pendu sous l’avion. Malheureusement je n’ai pas de référence.

82.  Marot | 13/06/2010 @ 19:00 Répondre à ce commentaire

scaletrans (#80), oui, équipé de l’EM-bird (l’oiseau électromagnétique)

83.  miniTAX | 13/06/2010 @ 19:05 Répondre à ce commentaire

Manu95 (#81), non seulement Em-bird a ramené des mesures fiables mais en plus, ces mesures ont démontrée que la glace s’est épaissie sur la période étudiée. Les auteurs de l’expédition doivent cauchemarder pour trouver la meilleure manière de le dire sans perdre le budget pour continuer leur campagne.
En tout cas, si c’est dit (comme promis), ils ne l’ont pas crié sur les toits. Quelle surprise !

84.  Argus | 13/06/2010 @ 19:21 Répondre à ce commentaire

@Manu95

Malheureusement je n’ai pas de référence.

On en trouve quelques unes dans ce billet de P.U..

85.  Manu95 | 13/06/2010 @ 19:31 Répondre à ce commentaire

miniTAX (#83),
Je n’osais pas donner des détails n’ayant pas de référence.
Me font un peu marrer tous ses explorateurs des temps modernes, qui savent pouvoir être récupérés dans les jours qui suivent par des équipes de secours qui prennent des risques à cause de leur impréparation.

Quelqu’un ici comparait Paul-Émile Victor au touriste médiatique Dr Étienne. La grosse différence c’est que PEV et ses collaborateurs parcouraient le Groenland avec des traîneaux à chien en ne pouvant pratiquement compter que sur eux-mêmes.

86.  Manu95 | 13/06/2010 @ 19:37 Répondre à ce commentaire

Argus (#84),
Il me semblait bien que Jean Marin en avait parlé, mais comme il manque une boussole pour naviguer sur son site je n’ai pas cherché où il fallait.
Une recherche avec « Wegener » ne m’a rien donné de précis.

87.  miniTAX | 13/06/2010 @ 20:22 Répondre à ce commentaire

Manu95 (#86), essayez cette syntaxe ou celle-là.

88.  Argus | 13/06/2010 @ 20:30 Répondre à ce commentaire

@ Manu95 87

Ben si ! Je viens d’essayer. Il y a en haut et à droite de chaque page un moteur de recherche avec « rechercher sur le site »
Si vous indiquez « Weneger », il vous amène sur la bonne page.
Puis vous recherchez dans cette page avec le moteur de votre navigateur qui, lui, travaille sur la page sur laquelle vous êtes tombé.

89.  Marot | 13/06/2010 @ 21:24 Répondre à ce commentaire

scaletrans (#80), Les résultats du survol de l’Arctique, Polar 5, en 2009 sont ici.

90.  Warm | 13/06/2010 @ 21:40 Répondre à ce commentaire

Marot (#77),

Tous les paramètres de la banquise arctique sont extrêmement alarmant, on pulvérise jour à près jour les record de minimum d’extent, d’area, et de volume, et le taux de fonte est actuellement 15% plus rapide qu’il ne l’a jamais été depuis le début des mesures.

Franchement, ouvrez les yeux:

Bien sûr que l’on ne peut pas encore savoir avec certitude ce qui se passera en septembre, mais Mai-Juin 2010 resteront dans les annales comme des mois exceptionnels quand à la vitesse de fonte et l’extent minimum.

Sinon, il y a aussi ce modèle de volume passé sous silence par WUWT, on se demande pourquoi:

2010:

2008:

91.  Marot | 13/06/2010 @ 21:58 Répondre à ce commentaire

Warm (#90),
on se fout de vos considérations météorologiques à la semaine ou au mois.

92.  scaletrans | 13/06/2010 @ 22:06 Répondre à ce commentaire

Marot (#89),

Merci. Donc la glace est plus épaisse qu’annoncé par les alarmistes. Et le delta de température de l’Arctique doit être important vu la puissance des AMP éjectés cet hiver… et encore à l’heure actuelle. On est loin des « ondulations du front polaire » qu’on nous apprenait en météo.

93.  Marot | 13/06/2010 @ 22:18 Répondre à ce commentaire

scaletrans (#92),

Donc la glace est plus épaisse qu’annoncé par les alarmistes.

En 2009, oui.

94.  miniTAX | 14/06/2010 @ 13:56 Répondre à ce commentaire

Température de l’Arctique, par une agence qui n’a pas torturé à mort les données : aucun réchauffement par rapport à il y a 50 ans.

95.  Abitbol | 14/06/2010 @ 14:18 Répondre à ce commentaire

Tous les paramètres de la banquise arctique sont extrêmement alarmant, on pulvérise jour à près jour les record de minimum d’extent, d’area, et de volume, et le taux de fonte est actuellement 15% plus rapide qu’il ne l’a jamais été depuis le début des mesures.
Franchement, ouvrez les yeux:

Même pas peur ! 😉

96.  miniTAX | 14/06/2010 @ 14:30 Répondre à ce commentaire

ouais, même pas peur !
Et c’est les mêmes qui reprochent aux sceptiques de confondre météo et climat et de tirer des conclusions hâtives sur un hiver 2010 sur TOUT l’hémisphère Nord qui a pulvérisé les records de neige depuis 30 ans. Mais hé, c’est la science climagique.

97.  Warm | 14/06/2010 @ 15:54 Répondre à ce commentaire

Et c’est les mêmes qui reprochent aux sceptiques de confondre météo et climat et de tirer des conclusions hâtives sur un hiver 2010 sur

J’ai écrit « plus rapide qu’il ne l’a jamais été depuis le début des mesures. » C’est donc bien une estimation climatique.

Quand au rapport entre l’extent de neige en hiver et l’extent de la glace en été… je vois pas trop le rapport… l’extent de neige en été aurrait été plus indiqué:

La neige en hiver n’est pas un bon indicateur de température, c’est plutôt un indicateur du niveau de précipitations.

98.  Warm | 14/06/2010 @ 15:57 Répondre à ce commentaire

miniTAX (#94),

par une agence qui n’a pas torturé à mort les données : aucun réchauffement par rapport à il y a 50 ans.

Ah MiniTAX, on ne perd jamais une occasion de se taire, hein ?

Ce que vous nous montrez, c’est le résultat d’un modèle. Donc données torturée à mort.

Et en plus, étant donné que la fonte de la glace est un changement d’état endothermique, le maintient d’une température proche de zéro sur le bassin arctique est tout à fait normal.

99.  Fétrocho | 14/06/2010 @ 16:35 Répondre à ce commentaire

Warm (#98),

Ce que vous nous montrez, c’est le résultat d’un modèle. Donc données torturée à mort.

Du genre ?…. Vous pouvez nous donner qq détails qu’on apprécie l’horreur de la torture ?

la fonte de la glace est un changement d’état endothermique

La répétition aussi est une forme de « torture à mort »

100.  g. | 14/06/2010 @ 18:17 Répondre à ce commentaire

Marot (#91),

Non monsieur, l’important c’est le volume, le vo lu me on vous dit.
Le volume c’est l’étendue (ça c’est rapé) avec l’épaisseur.

De nombreux paramètres sont importants. Le volume, c’est la masse. La masse est une grandeur fondamentale pour les bilans. La superficie, c’est aussi par exemple l’albédo.

Depuis 30 ans, le volume et la superficie en fin de débâcle, et même moyenne, s’effondrent.

A cogiter.

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