Economie du changement climatique/3

2.3.1.3  Il y a un réchauffement des océans.

La chaleur ajoutée par les tenants du CAGW, générée par les gaz à effet de serre en augmentation dans l'atmosphère doit être stockée quelque part. Elle n'a pas été trouvée dans l'atmosphère ces dix dernières années, donc si cette hypothèse est valide, elle doit être dans les océans. Mais ce n'est pas le cas, car les données de températures marines du réseau ARGO de 2003 à 2008 ne montrent pas d'augmentation. Une discussion détaillée peut être trouvée chez DiPuccio [32], qui conclu ceci :

En bref, nous n'avons aucun mécanisme par lequel de grandes quantités de chaleur -manquante- peut être cachée, transferrée ou absorbée dans le système terrestre. La seule conclusion raisonnable – appelez-la l'hypothèse nulle- est que la chaleur ne s'accumule pas dans le système climatique et qu'il n'y a pas de déséquilibre radiatif dû au forçage anthropique. Cela démontre non seulement que les modèles du GIEC échouent à prédire correctement le climat mondial mais aussi que cela recèle un fameux défi à l'intégrité de l'hypothèse AGW.

Roger Pielke Sr. dans [33] et des références précédentes notées ici a soulevé des questions identiques et est parvenu à des conclusions similaires. Sur la diapo 48 Lindzen [22] soutient, en se référant à Schwartz [34,35] que le rythme de changement de la température des océans montre une rétroaction légèrement négative. Hansen et ses collègues affirment [36] que ce réchauffement devrait intervenir. Donc l’essentiel est que les deux parties sont d’accord pour dire que les océans devraient se réchauffer si l’hypothèse 3 est correcte, mais il est prouvé que ce n’est actuellement pas le cas. Donc l’hypothèse de rétroaction du CAGW échoue manifestement dans tous les cas.

2.3.1.4 On devrait observer une diminution du flux de rayonnement sortant de la Terre avec une augmentation de la SST.

Tous les modèles du GIEC montrent une décroissance des flux de rayonnement sortant de la Terre avec une augmentation de la température globale, comme on doit l’attendre de leur hypothèse sur l’effet de serre. Cependant, les données satellite montrent un accroissement du rayonnement sortant, qui est contradictoire avec une haute sensibilité climatique due à l’augmentation du CO2 et une rétroaction positive si cruciale aux yeux de l’ONU.

En Août 2009, Lindzen et Choi publièrent un article [37] qui déduisait des données satellite que la rétroaction n’est pas du tout positive. A l’aide des instruments ERBE du satellite ERBS, ils analysèrent la relation entre la température de surface de la mer tropicale et le rayonnement thermique du sommet de l’atmosphère. Cet article a été critiqué par Trenberth et al. [38].  Lindzen et Choi on répondu par un article revisé [39] en utilisant les données additionnelles de l’instrument CERES du satellite Terra, avec les mêmes résultats généraux. L’article révisé de Lindzen et Choi conclut que les données satellite impliquent une sensibilité climatique de 0,7° C, à comparer avec une CSF pour le seul CO2 d’environ 1°C [21] sans rétroaction. (En 1997 Linzen attestait [40] que la CSF pour le CO2 seul était de 1,2°C).

Spencer et Braswell [41], faisant appel également aux observations par satellites, ici CERES et l’instrument AMSR-E du nouveau satellite Aqua, ont également trouvé une rétroaction négative et une CSF étonnamment similaire de 0,6°C seulement. On peut aussi trouver le raisonnement de Spencer dans [42]. Cela signifie qu’il y a une rétroaction, mais elle est négative, et non positive comme le maintien le GIEC. Ainsi, au lieu d’une CSF de 3°C, on passe d’une valeur de 1,0 à 1,2°C à 0,6 à 0,7°C pour le CO2 seul.
Selon Spencer et Braswell [41], les modèles ont confondu la cause avec l’effet. Ils pensent que ce sont les changements dans les nuages qui causent les changements de température, et non le contraire.

Très récemment, Dessler [43] a prétendu avoir démontré que la rétroaction était positive et non négative. Spencer [44] a répondu que Dessler s’était trompé sur un point fondamental car lorsque les nuages causent un changement de température cela crée l’illusion d’une rétroaction positive, mais ce n’est pas la réalité. Bien que le débat Spencer/Dressler ne soit pas clos au moment de cette rédaction, tous les autres tests existants décrits plus haut plaident pour une CSF bien plus basse. Bien que les analyses des trois premiers ne donnent pas un chiffre plus approprié, Spencer/Brasswell [41] et Lindzen/Choi [39] sont cohérents entre eux et par conséquent très plausibles.

2.3.1.5 Conclusions des quatre tests

Les conclusions sont les mêmes pour chacun de ces quatre cas. L’hypothèse de rétroaction de l’ONU n’est pas confirmée, même partiellement, par ces comparaisons avec les données réelles. Comme Lindzen l’a récemment fait observer [45] concernant ses conclusions sur la comparaison 4 ci-dessus, "Normalement, ces résultats auraient du mettre fin au débat, mais le changement/réchauffement climatique global a développé une telle force d’inertie qu’il a sa propre vie, assez éloignée de la science."

Il va de soi que les données sont loin d’être parfaites, peut-être à cause d’un manque d’efforts de collecte. Mais les preuves disponibles fondées sur des données empiriques (plutôt que sur des modèles) sont cohérentes entre elles. Cela signifie que l’hypothèse doit être rejetée scientifiquement sur la foi des informations disponibles. Naturellement, d’autres tests pourraient amener à d’autres conclusions, mais pour l’instant le rejet est la conclusion normale de l’action. Il est assez probable que des recherches ultérieures puissent amener à des conclusions différentes, mais au moment où ceci est écrit, les preuves confirment fortement une rétroaction négative et une CSF nettement plus faible, et c’est la raison pour laquelle cette CSF plus basse sera utilisée dans cet article et pourquoi je pense qu’elle devrait être utilisée également par les autres analystes. Les conséquences importantes de ce changement de CSF pour l’analyse des avantages économiques de la réduction des émissions de CO2 seront discutées dans le paragraphe 2.6.2 ci-dessous.

Il peut être utile de dire pourquoi cette rétroaction est négative. Une explication est que les modèles du GIEC ne sont pas capables de représenter les effets des nuages avec exactitude. Il est assez évident cependant que les nuages jouent un rôle très important et que leur effet net sur une base mondiale peut être négatif [46].

2.4. Hypothèse 3a : Les changements de température globale sont influencés à l’origine par l’élévation des niveaux de GES autres que la vapeur d’eau dans l’atmosphère.

Si le CO2 à un rôle si important sur les températures globales comme le prétendent le GIEC et les tenants du CAGW, il devrait être possible de discerner son influence dans les données réelles s’y rapportant. Cet axe de recherche est cohérent avec le thème de cet article, c'est-à-dire qu’on devrait faire confiance aux données réelles plutôt qu’aux modèles informatiques pour déterminer la validité ou l’invalidité des hypothèses relatives au climat. Les comparaisons effectuées dans ce chapitre ne prouvent pas la validité ou l’invalidité des diverses hypothèses proposées par les tenants du CAGW. Mais elles servent de contrôle de crédibilité pour savoir s’il est vraisemblablement correct de conclure que les deux hypothèses clé 1 et 2 sont invalides. S’il est clair que l’hypothèse 3a est correcte, on peut raisonnablement suspecter que les conclusions en rapport avec les hypothèses 1 et 2 pourraient être incorrectes, en dépit des preuves réelles surabondantes que la conclusion d’invalidité est correcte, et vice et versa. (NdT : Pfffff !)

Cinq groupes de preuves seront présentés dans les sous chapitres suivants:

2.4.1. Corrélations de divers attributs physiques avec les températures globales.
2.4.2 Corrélations des températures globales avec d’autres explications des variations.
2.4.3 Baisse des températures durant des périodes d’augmentation du CO2.
2.4.4 Les mesures en développement des températures par satellite n’indiquent pas d’influence du CO2.
2.4.5 Absence d’influence du CO2 sur les températures dans les trois derniers millions d’années.

2.4.1. Corrélations de caractéristiques physiques avec les températures globales collectées au sol.

Une revue disponible des données corrélant les niveaux de CO2 avec les températures globales sur les 110 dernières années rend l’hypothèse 3 hautement suspecte. Peut être la façon la plus simple de le démontrer est de corréler différents facteurs avec les températures globales. Une telle étude [47] donne les résultats suivants pour trois facteurs (voir Table 1) :

Tableau 1. Corrélation de diverses caractéristiques physiques avec les températures globales. Source : d’Aleo [47].

actab1.jpg

Il est très clair que la corrélation la plus forte est entre l’indice de réchauffement de l’océan composé de l’Oscillation Décennale du Pacifique et de l’Oscillation Multi Décennale de l’Atlantique (PDO + AMO) et les températures ; la suivante dans l’ordre est avec l’Irradiance Solaire Totale (TSI), et la plus faible est avec le CO2. En fait, selon cette analyse, le CO2 n’a pas de pouvoir explicatif sur la décennie 1998-2007.

2.4.2. Corrélations des températures globales avec d’autres explications des variations.

Une autre hypothèse par Orssengo [48] expliquant les variations de température, fondée sur les relevés de stations au sol dans les 130 dernières années suggère une tendance à l’augmentation progressive démarrant au minimum de Dalton du Petit Âge Glaciaire avec superposition d’un cycle de 60 ans (Ndt. C’est à peu de chose près la conclusion du Pr. Akasofu dans son article On the recovery from the Little Ice Age  traduit pour Skyfal) sans référence au dioxyde de carbone ou autre variable physique essayée par d’Aleo [47]. C’est illustré par la figure 5, qui compare les mesures au sol des températures globales avec l’hypothèse. Cette hypothèse peut être exacte ou non dans la prévision des températures globales futures, mais Orssengo conclut que la corrélation avec les températures passées est de 88% sur la période étudiée. Comme le montre la figure, il n’y a que peu d’années dans les périodes 1890 et 1950 qui ne semblent pas correspondre parfaitement à l’hypothèse. Quoi qu’il en soit, l’hypothèse du CO2 du GIEC ne se trouve pas confortée ici.

Figure 5. Diagramme de l’hypothèse de Orssengo sur les températures globales. Source : Orssengo [48].

acfig5.jpg

1.  François | 22/09/2011 @ 11:09 Répondre à ce commentaire

Lorsque j’étais en prépa, j’avais un professeur de chimie qui nous expliquait les choses grâce à ce qu’il appelait  » la loi de la catastrophe ».
Cette loi disait que les produits d’une réaction tendent toujours à s’opposer à celle ci. (aujourd’hui on dirait « rétroréaction négative).
Car si ce n’était pas le cas, disait il, si les produits dune perturbation augmentaient les effets de celle ci, ( rétroaction positive), toute variation serait divergente dans ses conséquences et il y a beau temps que la terre aurait disparu et que nous ne serions plus là pour nous poser la question.

2.  Bob | 22/09/2011 @ 13:17 Répondre à ce commentaire

François (#1),

Vous aviez un prof de chimie intelligent, visiblement, mais ce qu’il disait était assez proche de la loi de Le chatelier 1884.

Certains l’ont évoqué, de manière générale, pour évoquer l’évolution du climat et la nécessité des rétroactions négatives.

http://www.bibnum.education.fr.....nalyse.pdf

3.  RanTanPlan | 22/09/2011 @ 15:56 Répondre à ce commentaire

François (#1),
Comment considère t’on une réaction en chaîne ? Comme une explosion nucléaire, par exemple ?

4.  François | 22/09/2011 @ 17:31 Répondre à ce commentaire

RanTanPlan
Que fait le soleil? C’est une réaction nucléaire naturelle stabilisée et non divergente depuis des milliards d’années et pour aussi longtemps encore…
Il doit bien y avoir ici aussi des rétroactions négatives pour l’empêcher de diverger et respecter la « loi de la catastrophe »…
Votre exemple de l’explosion nucléaire concerne un système purement artificiel, très difficile à obtenir, requérant une grande précision et limité à un petit périmètre. On a jamais vu une explosion de cette sorte se propager au monde extérieur en le transformant lui même en bombe.

5.  RanTanPlan | 22/09/2011 @ 18:22 Répondre à ce commentaire

Le soleil est un système fermé qui s’auto entretient. Pas de « divergence » possible (l’explosion ne se propage pas en dehors du système), mais aucune rétroaction négative non plus. Dans une réaction nucléaire en chaine, on se place dans des conditions effectivement particulières qui font que le produit de la réaction entraine statistiquement une ou plus autre réaction identique.
La « rétroaction » (soleil ou bombe atomique) est simplement du au combustible qui s’épuise.

6.  Bob | 22/09/2011 @ 18:57 Répondre à ce commentaire

Rantanplan #5
-L’idée que les soleil est un bombe atomique (Bombe H en l’occurence) est actuellement contestée. Un certain nombre de caractéristiques observées ne semblent pas vraiment coller. A vrai dire, le soleil c’est encore pour beaucoup « terre incognita ».
-En réalité la totalité de l’énergie du soleil est dissipée dans l’espace sous forme de rayonnement (dont nous parvient une petite fraction seulement = (1/215) au carré).
Le soleil est apparemment l’équivalent d’un corps noir pratiquement en équilibre thermique, à la différence de l’atmosphère terrestre.

7.  François | 22/09/2011 @ 19:16 Répondre à ce commentaire

@ RanTanPlan
Epuisement du combustible? Dans le cas d’une bombe, peut être, mais dans le cas du soleil, j’ai un doute. Il en a encore pour quelques milliards d’années avant d’épuiser son combustible.
D’autre part, les fluctuations de l’activité solaire ( connues depuis des siècles) prouvent qu’il faut bien que quelque chose se passe pour que son activité diminue. Et ce quelque chose ne peut pas être l’épuisement du combustible puisque son activité croît à nouveau après avoir diminué, et ainsi de suite…

8.  Bob | 22/09/2011 @ 20:00 Répondre à ce commentaire

François (#7),

Il en a encore pour quelques milliards d’années avant d’épuiser son combustible.

4 milliards d’années. Dit-on…
On a un peu de temps devant nous.

9.  Marot | 22/09/2011 @ 20:57 Répondre à ce commentaire

Bob (#8)
Raaaah, c’est une ressource non renouvelable.

Il faut faire quelque chose !

10.  Marco33 | 22/09/2011 @ 21:00 Répondre à ce commentaire

Marot (#9), Y planter des éoliennes? 😈

11.  Mihai V | 22/09/2011 @ 23:14 Répondre à ce commentaire

Bob (#8),

4 milliards d’années. Dit-on…

Quand même un peu plus que cela, si l’on en croit l’article principal sur le Soleil (pas encore (trop) pollué par les activistes écolos-bobos).

Je résume rapidement :
Notre soleil, une étoile ordinaire de la Galaxie est une étoile naine jaune. Le Soleil est une étoile âgée de 4,6 milliards d’années, soit à près (un peu moins) de la moitié de son chemin sur la séquence principale, elle devrait donc encore durer plus ou moins 7.5 milliards d’années avant de se transformer en géante rouge. Pendant cette séquence principale elle consomme l’hydrogène pour le transformer en hélium.

Quand elle atteindra le stade de géante rouge elle gonflera et sa taille dépassera celle de l’orbite terrestre : la Terre ne sera plus alors qu’un désert calciné.
Elle consommera ensuite son hélium avant de se transformer en naine blanche puis de s’éteindre progressivement.

Voir l’article pour les détails. Tout particulièrement les parties Présentation générale et surtout Histoire naturelle.

12.  Bob | 22/09/2011 @ 23:21 Répondre à ce commentaire

Mihai V
4 milliars d’années, dit-on, c’est la durée encore habitable de la terre. Du moins, dit-on.
Mais très franchement, les astrophysiciens ne sont pas vraiment d’accord sur ces questions. C’est encore pire que pour le RCA.

13.  Bob | 22/09/2011 @ 23:24 Répondre à ce commentaire

Mihai (suite #11) et j’ajoute que Wikipedia n’est pas vraiment une référence, dans les domaine controversés comme le soleil.

14.  Mihai V | 22/09/2011 @ 23:25 Répondre à ce commentaire

Mihai V (#11), (suite)

Image reprise de Wikipédia

Représentation schématique des étapes de la vie du Soleil.

15.  Mihai V | 22/09/2011 @ 23:47 Répondre à ce commentaire

Bob (#13),

C’est bien parce que je connais le « sérieux » de Wikipédia que j’ai écrit : « si l’on en croit Wikipédia ».

Sur mon (ébauche de) site canin je propose la traduction d’un article publié en l’anglais :
Pourquoi je ne recommande plus Wikipédia ?

L’auteur, un Américain, résume le problème majeur de Wikipédia :
« L’essentiel, c’est que vous n’avez pas idée si la dernière personne à avoir modifié la page wiki que vous lisez est un professeur titulaire de deux doctorats ou un [étudiant] raté de 24 ans du Kentucky. »

P. S. : Les amateurs de vieilles chansons françaises cliqueront avec profit sur le chien pianiste au bas de la page d’accueil.
Je déconseille aux croyants, de cliquer sur le A écarlate, à sa droite.

16.  Laurent Berthod | 23/09/2011 @ 0:34 Répondre à ce commentaire

Une bien bonne.

Un astrophysicien donne une conférence sur le système solaire. Il parle de la future explosion du soleil en géante rouge qui fera disparaître la terre.

Au moment des questions-réponses une dame dans la salle dit :

-Professeur, je suis très angoissée par ce que vous nous avez dit. Le soleil et la terre vont vraiment disparaître d’ici environ quatre millions d’années ?

Le professeur :

-Madame, vous m’avez mal compris, j’ai parlé de quatre milliards d’années.

– Ah ! Professeur, merci, vous me rassurez !

laugh

17.  Marot | 23/09/2011 @ 2:13 Répondre à ce commentaire

Un très très grand merci à scaletrans et MichelN35 pour ce très bon et très considérable travail de traduction.

18.  JG2433 | 23/09/2011 @ 11:49 Répondre à ce commentaire

Marot (#17),

Un très très grand merci à scaletrans et MichelN35 pour ce très bon et très considérable travail de traduction.

Encore que, pour ce qui est de vous, Marot, vous comprenez et pratiquez la langue anglaise parfaitement !
Et j’ai déjà eu l’occasion de vous remercier de vous donner la peine de traduire en français les contenus des articles en anglais que vous commentez sur Skyfall.

Alors les remerciements que je me permets d’adresser aujourd’hui à scaletrans et MichelN35 vont sans dire – et encore mieux en les disant ! 😐

19.  scaletrans | 23/09/2011 @ 21:22 Répondre à ce commentaire

Marot (#17), JG2433 (#18),

Et aussi un très très grand merci à Araucan qui se dévoue pour faire vivre ce site .

20.  JG2433 | 24/09/2011 @ 8:25 Répondre à ce commentaire

scaletrans (#19),

Et aussi un très très grand merci à Araucan qui se dévoue pour faire vivre ce site.

Je m’associe à vous dans les remerciements à Araucan.

21.  pastilleverte | 24/09/2011 @ 10:54 Répondre à ce commentaire

@Mihai V
lettre A en bas à droite ?
il n’y a pas de quoi brûler un hérétique fouettre un chat (SPA Help !).
En revanche l’affichage vestimentaire de cette lettre A rouge (sang ?), me met mal à l’aise;

Bonne démarche de « dédiaboliser » (c’est très à la mode…) les athées (et je suis « croyant » comme vous dites), mais est-il besoi d’afficher sa différence (quelle différence ?)Pourquoi pas un K comme pour le Klu Klux Klan ou une étoile (couleur au choix) , ou une barbe, une burqa, ?

22.  Mihai V | 24/09/2011 @ 14:10 Répondre à ce commentaire

pastilleverte (#21),

En revanche l’affichage vestimentaire de cette lettre A rouge (sang ?), me met mal à l’aise;

Ce sont des pratiquants – de mémoire, probablement des évangélistes américains – qui ont proposé d’obliger les sites athées à afficher un A rouge pour mettre en garde les pratiquants. Un peu comme on indique « Interdit aux moins de 16 ans » pour certains films.
Les athées ont choisi alors cet A écarlate comme symbole. Un autre symbole moins connu est la licorne noire.

A mon âge, il ne me viendrait pas à l’idée de porter un T-shirt avec ce symbole. Mais je ne trouve pas cela plus ridicule que de porter à son cou un bijou représentant un instrument de torture.
[fin du HS]

23.  Murps | 25/09/2011 @ 22:04 Répondre à ce commentaire

d’obliger les sites athées

C’est quoi un site athée ?????????
Obliger qui ? obliger quoi ???
Qui sont ces fascistes ?

Les sites religieux ne devraient pas être interdits, plutôt et tant qu’on y est ??

24.  Mihai V | 26/09/2011 @ 5:57 Répondre à ce commentaire

Murps (#23),

J’aurais dû être plus précis. Il s’agit bien sûr de tous les sites s’attaquant ouvertement aux religions établies, faisant la promotion de l’athéisme ou de la laïcité.
Ne pas oublier qu’aux USA, il y a une longue tradition puritaine (une population principalement d’origine protestante anglo-saxonne), s’afficher comme athée y est considéré comme une tare pour qui veut faire une carrière politique, etc.

Si l’on veut continuer à discuter de ce sujet, je propose de le faire au Bistrot.

25.  thierry_st_malo | 27/09/2011 @ 18:39 Répondre à ce commentaire

Bob (#6),
Je suis tombé par hasard sur votre post, et en le lisant je me suis souvenu avec amusement qu’au XVIIe siècle le jésuite Athanase Kircher prétendait que le Soleil est un astre froid et que ses rayons sont obscurs, lumière et chaleur n’étant produites que par leur arrivée dans l’atmosphère terrestre…
Ceci dit il est bien clair que je ne suis qu’un ignare en physique ( entre autres ). Je ne mentionnais cela qu’à titre d’amusement. Il faut bien rire un peu !

26.  Nobody | 27/09/2011 @ 19:21 Répondre à ce commentaire

dégraissage…

27.  Nobody | 27/09/2011 @ 19:22 Répondre à ce commentaire

Ooops… mauvais fil…

Sorry, the comment form is closed at this time.