Comprendre l’effet d’atmosphère /fin.

Le cas de Vénus

Il y a beaucoup de confusion dans la comparaison de la Terre et de Vénus, en ce qui concerne l’effet de serre. Plusieurs personnes se focaliseront sur la température élevée de la surface de Vénus qui serait une sorte de confirmation de l’idée de serre atmosphérique. Ceci est incorrect. En s’intéressant à la température de surface très élevée de Vénus, qui est 460°C, nous devons aussi prendre en considération trois faits très éclairants.

Premièrement, Vénus est plus proche du Soleil, ce qui veut dire qu’elle reçoit beaucoup plus de radiations solaires, et donc plus de chaleur. Cependant, Vénus a aussi une couche nuageuse d’acide sulfurique qui réfléchit une très grande quantité de radiation solaire incidente, de telle sorte qu’elle a en réalité une température d’équilibre radiatif plus faible que celle de la Terre. L’albédo de Vénus est égal à 0.67, et sa distance vaut 72.3% de celle de la Terre et donc sa température d’équilibre radiatif est calculée vers –25°C, ce qui est juste un petit peu plus froid que celle de la Terre. Et aussi comme la Terre, Vénus a un chauffage maximum sous le Soleil au zénith d’environ 80°C, même avec son albédo élevé.

Deuxièmement, Vénus a un jour extrêmement long, Ce qui signifie qu’elle tourne sous le Soleil très, très lentement. Le jour de Vénus en fait dure deux cent quarante trois (243) jours de la Terre ! Avec une rotation aussi lente, il y a beaucoup de temps pour que l’hémisphère faisant face au Soleil collecte une grande quantité d’énergie qu’elle distribue autour sous forme de chaleur avant qu’elle ne quitte la vue du Soleil maintenant ainsi son atmosphère très épaisse. L’atmosphère épaisse fait circuler de manière très efficace la chaleur collectée du côté jour vers le côté nuit, ainsi l’hémisphère sombre de Vénus ne refroidit pas réellement beaucoup par rapport à sa situation quand il est éclairé par le Soleil.

Troisièmement, et ceci est le point très important qui relie le tout ensemble, l’atmosphère de Vénus est quatre-vingt douze fois plus dense à sa surface si on la compare à la Terre ! Ce niveau de pression n’est trouvé qu’à environ 1 kilomètre de profondeur sous la surface de l’océan sur Terre, là où même les sous-marins nucléaires d’attaque modernes les plus sophistiqués seraient écrasés. En fait, des températures et des pressions semblables à celles de la Terre sont trouvées dans l’atmosphère de Vénus à une altitude d’environ 50 kilomètres, et au-dessous la température et la pression augmentent en raison de la compression et du réchauffement adiabatique. Et ceci sert de point zéro pour déterminer la température au sol de Vénus par la même équation adiabatique que nous avons utilisée pour la Terre. La composition atmosphérique de Vénus est très différente de celle de la Terre, mais son gradient adiabatique et cependant très semblable autour de 9K/km. Ainsi, la température atmosphérique vénusienne à 50km d’altitude est voisine de 15°C, donc à 50 km de profondeur à la surface du sol, l’équation adiabatique dérivée
ci-dessus donnerait 465°C, ce qui est en réalité très près de ce qu’est en fait la température au sol de Vénus.
•••••
Nous pouvons maintenant comprendre ce qui est entendu par l’expression « emballement de l’effet de serre », quand elle est utilisée pour décrire la situation sur Vénus. Tout d’abord, la température sur la surface de Vénus est exactement ce qu’elle est supposée être : l’appeler effet d’« emballement » est un tour de passe passe pour quelque chose qui n’est pas supposée être. Deuxièmement, la température sur Vénus est plus élevée que le maximum de chauffage possible en raison de la lumière reçue, alors que sur Terre, la température maximale mesurée au sol est beaucoup moindre que le maximum possible, étant donnée la densité d’énergie du flux de lumière solaire incident. Ainsi, sur Terre, nous voyons que l’atmosphère a un effet net de refroidissement, parce que la température moyenne du sol est moindre que la température maximum que le Soleil peut produire à son zénith. Mais sur Vénus, l’atmosphère rend la température moyenne de surface plus chaude qu’elle pourrait l’être du fait du chauffage solaire, non à cause d’un piégeage radiatif par l’atmosphère, mais simplement à cause de son pouvoir massif de chauffage adiabatique. L’atmosphère de faible densité de la Terre en fait se comporte à l‘opposé de l’atmosphère de très haute densité de Vénus en terme de régulation de la température de surface de la planète. Et ainsi l’aspect pseudo « emballement » de Vénus renvoie simplement à son atmosphère de densité très élevée et très profonde [épaisse], qui rend la surface plus chaude que cequi est possible par la quantité de radiation solaire qu’elle absorbe, et ceci n’a absolument rien à faire avec le piégeage d’une radiation indisponible près de la surface. Ceci implique que la seule façon réelle d’accroître la température de surface de la Terre par un gaz à « effet de serre” est d’augmenter la densité de notre atmosphère. Cependant, nous serions confrontés avec le problème de trouver plus d’air pour réaliser cela ! Bien sûr, la quantité de variation du CO2 dans l’atmosphère est négligeable en concentration, et son effet sur la pression atmosphérique est trop petit pour même être mesuré.

101.  Bob | 25/01/2012 @ 19:32 Répondre à ce commentaire

Alpiniste (#98),

Je n’ai pas su faire le lien direct avec les bonnes courbes.

C’est impossible je pense. C’est Java (interactif).
Le mieux est de sauver l’image (shift printscreen) et de la publier avec
http://img245.imageshack.us/

par exemple.

102.  Hacène | 25/01/2012 @ 19:48 Répondre à ce commentaire

Titoune (#100),
On expliquait déjà il y a 20 ans que le terme cyclone était de plus en plus réservé aux cyclones tropicaux. C’est une tendance lourde. Mais vous avez raison, le terme est encore employé de manière générique. Peut-être de la part de chercheurs ayant du mal à se départir de leurs anciennes habitudes (de la même manière, on entend encore très souvent dire Europe n°1, alors que cette radio s’appelle Europe 1 depuis… 1974 !). Peut-être aussi plus en météo qu’en climato. On trouve d’ailleurs cette équivalence dans La dynamique du temps et du climat, de Leroux, qui avait fait de la prévision, si je ne m’abuse, et qui de toute façon n’était pas un perdreau de l’année.

103.  Araucan | 25/01/2012 @ 21:55 Répondre à ce commentaire

@MichelNL35

Cela devrait vous intéresser …

http://noconsensus.wordpress.c.....fun-stuff/

104.  Mihai V | 25/01/2012 @ 22:28 Répondre à ce commentaire

Bob (#101),

Shift PrintScrn ne fait rien d’autre que PrintScrn, à ma connaissance et sur mon PC sous Windows XP Home Edition. C’est Alt+PrintScreen qu’il faut utiliser.

Voici ce que dit l’Aide de Windows himself

Pour copier le contenu de la fenêtre ou de l’écran
– Pour effectuer une copie de la fenêtre active, appuyez sur ALT+IMPR.ÉCRAN.
– Pour copier l’intégralité de ce qui est affiché à l’écran, appuyez sur IMPR.ÉCRAN.
Remarque
Pour coller l’image dans un document, cliquez dans le menu Edition de la fenêtre du document sur Coller.

Il faut ensuite Coller le contenu du presse-papiers dans un éditeur d’images, retoucher l’image éventuellement et l’enregistrer sur le disque dur pour pouvoir l’envoyer à ImageShack, par exemple.

Bien qu’il y a des moments où seul PrintScrn peut être utilisé, je préfère de loin utiliser un logiciel de capture d’écran : PrintKey2000 pour les captures courantes, FastStone Capture, si je veux les retravailler (ajouter un titre, une flèche, une ellipse ou un cercle + du texte, etc).
Ces deux logiciels gratuits et en français sont proposés sur l’excellent site de Sylvie Pierrard (qui ne propose que des freewares gratuits qu’elle a testé personnellement)
Voir la page Capture d’écran, dans Freeware français – Outils graphiques.

105.  Bob | 25/01/2012 @ 23:09 Répondre à ce commentaire

Mihai V (#104),
OK, mihai V.
Il y a une touche spéciale en haut à droite sur la plupart des claviers modernes qui fait la copie d’écran.
Elle s’appelle (sur le mien) Imprecr Syst

106.  JG2433 | 26/01/2012 @ 8:26 Répondre à ce commentaire

Bob (#105),
Sur Mac,
Raccourci clavier : Shift+ (c-à-d Cmd)+4 transforme la flèche du pointeur en un rond contenant un « + » ;
sélectionner l’image (ou tout autre partie d’écran) par appui maintenu sur le bouton gauche de la souris, en partant dans un coin et en le relâchant dans le coin opposé.

Par paramétrages préalables dans « Préférences » du menu Captures d’écran, choix de l’endroit où adresser la capture (le bureau par ex.), le format (PNG, JPEG,…)

Pour une capture complète d’écran :
Shift+ (c-à-d Cmd)+3

107.  MichelLN35 | 26/01/2012 @ 10:28 Répondre à ce commentaire

Araucan (#103),

Oh oui ! c’est bien intéressant et aussi les discussions, y compris l’article de Spencer et celui de Nikolov qui est à l’origine mais cela demande du temps surtout, pour un non physicien de formation.

Pour tous ces propos, surtout s’ils demeurent corrects, ma grille de lecture reste celle des 6 conclusions de G&T.
1) Fiction de l’Effet de serre comme dans une serre.
2) Moyenne de T mais pas de T moyenne d’une planète.
3) 33K sans signification et calculé faussement.
4) Radiation du Corps Noir utilisée à tort et mal, car cavité et non convexité ni équilibre thermodynamique.
5) Bilan radiatif équilibré non physique.
6) Conduction et convection non nulles.

Je fais l’hypothèse par ailleurs, qu’à peu près la même explication doit convenir pour tous les « objets planétaires » à atmosphère du système solaire. Rasoir d’Occam.

108.  Alpiniste | 26/01/2012 @ 20:50 Répondre à ce commentaire

Araucan (#103),
Bien d’accord avec l’article de Weinstein.
Les réchauffistes ont utilisé (en la faussant) l’analogie de la serre pour développer leur propagande.
J’utiliserai l’analogie de la maison individuelle. 8)

En hiver quand il fait 0°C dehors, pour obtenir 20°C à l’intérieur de la maison, il faut développer une certaine énergie de chauffage sachant qu’il y a un flux thermique au travers des murs qui dépend évidemment de la conductivité thermique de ceux-ci mais aussi de leur épaisseur (loi de fourrier: Flux= c.ΔT/e, où c est la conductivité thermique, ΔT la différence de t° entre l’intérieur et l’extérieur, et e l’épaisseur).
Si j’augmente l’épaisseur des murs (sans modifier leur conductivité thermique), je diminue le flux de chaleur à travers ceux-ci. A énergie de chauffage égale, j’aurai donc une température supérieure à 20°C à l’intérieur (autrement dit, je peux réduire le chauffage pour obtenir 20°C vue que les déperditions thermiques sont moindres grâce aux murs plus épais).
Si on assimile la surface du globe à l’intérieur de la maison, l’atmosphère aux murs, l’espace à l’air environnant l’extérieur de la maison, et l’énergie solaire à l’énergie de chauffage intérieur de la maison (même si contrairement au chauffage intérieur de la maison, le soleil n’est pas à l’intérieur du système, il chauffe bien la surface du globe donc l’intérieur du système à travers l’atmosphère quasi-transparente à ses rayons), une augmentation de l’épaisseur de l’atmosphère (càd de sa masse), conduit bien à une augmentation de la température de surface.
Le flux de chaleur dans l’atmosphère se fait certes par convection et non pas par conduction comme dans un mur, mais cette analogie simpliste me semble tout de même valable. D’ailleurs de même qu’à une certaine altitude, l’atmosphère se refroidit par rayonnement IR dans l’espace, la surface extérieure du mur rayonne également dans son environnement, c’est clairement visible de nuit avec une caméra thermique.

A énergie solaire donnée, pour déterminer la température qui règne à la surface d’une planète, l’épaisseur de son atmosphère (qui se traduit par une pression atmosphérique donnée à sa base) est le premier paramètre à considérer. Les autres paramètres (sa composition chimique, la présence d’aérosols et/ou d’eau,…) sont évidemment également importants, mais ignorer totalement le premier paramètre et prétendre que la t° qui y règne ne dépend que des autres tient de l’escroquerie.

109.  Titoune | 27/01/2012 @ 21:58 Répondre à ce commentaire

Alpiniste,

il chauffe bien la surface du globe donc l’intérieur du système à travers l’atmosphère quasi-transparente à ses rayons), une augmentation de l’épaisseur de l’atmosphère (càd de sa masse), conduit bien à une augmentation de la température de surface.

Il faut donc que l’atmosphère soit opaque aux rayonnement infrarouge émis par la terre.

110.  lemiere jacques | 28/01/2012 @ 14:24 Répondre à ce commentaire

AntonioSan (#63),
mais ce ne sont pas des descriptions rigoureuses!!!!
C’est souvent de l’interprétation…et de l’explication…le juge de paix c’est toujours la capacité à prévoir non à expliquer.
Et quand vous vous gelez les miches …rien à cirer du nom de l’anticyclone…et pareil quand un type utilise des noms savants pour expliquer le temps de la veille.

111.  lemiere jacques | 28/01/2012 @ 14:55 Répondre à ce commentaire

basta??? donnez moi une définition non ambiguë d’un AMP…. ( j’espere que ça ne va pas être lire tout leroux ou regarder une photo satellite!!!)
soit une définition qui me permette quand j’ai une carte de pression et de déplacement des vents de dire ..voila un AMP….
mais d’accord basta sur ce sujet…
de ce que je comprends leroux est un don quichotte qui se bat( tait) contre des théories que je trouve descriptives donc arbitraires …

Car à part l’ironie sur les interprétations de la météo classique je ne vois pas ce que ça amène comme connaissance.

scaletrans (#92),
intepretation..via le prisme d’un représentation théorique arbitraire…

Mais je suis d’accord pour fermer cette parenthèse..

Le jour où j’entendrais parler de previsions lerouxienne je lirai peut etre son bouquin.
EN ce qui me concerne, je le répète,que il n’est pas impossible de faire des prévisions à partir d’un état atmosphérique donné ( d’ailleurs tout le monde le fait ) ces prévisions ne dépassent pas quelques jours.
D’un autre côté, je n’ai jamais vu personne faire des prévisions météorologiques à plus de dix jours fiables alors….

112.  yvesdemars | 28/01/2012 @ 15:28 Répondre à ce commentaire

MichelLN35 (#107),

ajoutons l’incompatibilité du modèle « effet de serre » avec les lois de la thermodynamique (2ème principe)..
impossible de réchauffer un corps chaud avec un corps plus froid

113.  miniTAX | 28/01/2012 @ 17:33 Répondre à ce commentaire

Le flux de chaleur dans l’atmosphère se fait certes par convection et non pas par conduction comme dans un mur, mais cette analogie simpliste me semble tout de même valable.

Alpiniste (#108),
Eh non, votre analogie n’est pas du tout valable en terme de conduction (rappelons que le transfert de chaleur se fait par 3 moyens : conduction + convection + radiation)

Dans le cas du mur, plus on ajoute de la matière, plus on isole, OK. Mais dans le cas de l’atmosphère, c’est le contraire qui se passe, plus on crée du vide, plus on isole ! Du moins, si l’on se réfère aux lois de la physique établie, celle qu’on applique dans les bouteilles thermos où l’on se décarcasse à faire du vide entre deux parois et non celle d’Eglise de ScienceduClimatologie qui voudrait qu’ajouter du gaz revient à mettre une couverture supplémentaire.

D’ailleurs, c’est ironique de voir à quel point l’un des arguments d’autorité basé sur cette analogie et maintes fois répétés par la FARCE est obscurantiste tellement il se contredit : cet argument postule que balancer plus de gaz satanique à l’atmosphère ne peut que forcément, inévitablement et incontestablement la rendre plus isolante (donc dérèglement climatique, donc cata, donc on va tous mourir dans d’atroces souffrances si on ne se laisse pas racketter sans couiner paie pas une grosse taxe now…) et que ça relève de la certitude scientifique voire de la logique élémentaire, en oubliant de citer un bien meilleur isolant encore, à savoir… le vide, tel qu’on trouve dans l’espace !
Comme quoi, avec les analogies simplistes, on peut démontrer tout et n’importe quoi.

114.  AntonioSan | 28/01/2012 @ 19:37 Répondre à ce commentaire

lemiere jacques (#109), lemiere jacques (#110),

le juge de paix c’est toujours la capacité à prévoir non à expliquer.

Vous avez parfaitement raison! Rien ne sert de comprendre et d’expliquer le temps de la veille, ou bien l’histoire ancienne! Prevoir sans savoir…

Et quand vous vous gelez les miches …rien à cirer du nom de l’anticyclone…et pareil quand un type utilise des noms savants pour expliquer le temps de la veille.

C’est le truc qui rentre dans le machin et ca fait froid aux miches. Dans le jargon savant de la medecine, cela s’appelle un suppositoire.

basta??? donnez moi une définition non ambiguë d’un AMP…. ( j’espere que ça ne va pas être lire tout leroux ou regarder une photo satellite!!!)

Un AMP c’est de la pate a crepe!

soit une définition qui me permette quand j’ai une carte de pression et de déplacement des vents de dire ..voila un AMP…

« La Dynamique du Temps et du Climat », Marcel Leroux, Dunod 2004, chapitre 5.2 l’AMP: champ de pression et de vent, page 113-120.

Allez bon vent! 😉

115.  joletaxi | 29/01/2012 @ 16:51 Répondre à ce commentaire

miniTAX (#113),

si je puis me permettre

(rappelons que le transfert de chaleur se fait par 3 moyens : conduction + convection + radiation)

il me semble que vous passez sur un un des points pour moi le plus important, l’évaporation, condensation qui est le véhicule le plus efficace pour transporter ou transformer de l’énergie.

Par contre, vous faites bien d’insister, et on ne le fait pas assez, sur l’exemple de la bouteille thermo,qui reste le plus sur moyen d’isoler efficacement.

Je ne sais pour quelle raison,la « doxa » actuelle se concentre sur la radiation, qui dans le système que nous connaissons, compte pour pas grand chose,
Je trouve que la piste évoquée par Ensenbach dans un de ses derniers billets est très intéressante,comme la théorie de l’Hotwater bottel.

116.  lemiere jacques | 29/01/2012 @ 18:34 Répondre à ce commentaire

AntonioSan (#114),
navré je n’achèterai pas ce livre et ce que je lis sur le net http://lcre.univ-lyon3.fr/climato/amp.htm me laisse bien dubitatif….par contre je dois dire que je partage tout à fait les critiques faites sur la page wikipedia… n’ayant pas de réponse de votre part autres que celle d’aller lire le bouquin bon vent à vous aussi.

117.  miniTAX | 29/01/2012 @ 18:58 Répondre à ce commentaire

joletaxi (#115), je parlais uniquement de la chaleur sensible bien sûr. Parce que sinon, les transferts de chaleurs du climat réel sont bien plus complexes que les 3 modes listés. Les cyclones par ex. transportent avec une puissance phénoménale la chaleur des océans vers la haute atmosphère. En 1 seconde, un cyclone de catégorie 3 dissipe autant d’énergie que plusieurs centaines de bombes d’Hiroshima. Tout ça est bien sûr zappé par la science Nintendo de la fable simpliste des réchauffistes.
C’est pour ça que leur propagande massive pour attribuer aux modèles climatiques des vertues non seulement descriptives mais aussi prédictives est tellement risible. Le plus étonnant, c’est que ça suit parfaitement une vieille loi établie par les théoriciens de la manipulation de masse tel que Himmler : « quel que soit le mensonge, répétez le assez souvent et il deviendra vérité ».

118.  Titoune | 29/01/2012 @ 20:38 Répondre à ce commentaire

Pendant qu’on y est , on va rappeler le fonctionnement de la bouteille isotherme :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Bouteille_isotherme

On va aussi rappeler à Minitax l’importance de la chaleur sensible par rapport aux autres flux de chaleur : 30 Wm2; pas de quoi fouetter un chat.

119.  AntonioSan | 29/01/2012 @ 21:36 Répondre à ce commentaire

lemiere jacques (#116),

par contre je dois dire que je partage tout à fait les critiques faites sur la page wikipedia

Eh bien amusons-nous! Quelle sont-elles ces critiques que vous partagez « tout à fait »?

Ce concept a été critiqué pour plusieurs raisons :

le fait que ce concept soit censé remplacer ceux autour du front polaire, plutôt que de le compléter ;

Alors la si comme le pauvre Edouard vous en êtes encore au concept éculé du Front Polaire, cela montre que vos qualités d’observation des phénomènes est défaillante. Les animations satellites prouvent votre erreur.

le peu d’utilité des concepts explicatifs dans la prévision du temps, comme l’auteur le reconnaît lui-même ;
corollaire, l’absence de mise en pratique du concept dans une prévision météorologique même amateur (que l’auteur annoncerait pourtant meilleure que celle des modèles).
d’un point de vue plus pratique, l’impossibilité d’intégrer les images satellitaires utilisées par Leroux (données de réflectance dans diverses longueurs d’onde, sans indication d’altitude) dans les modèles (dont les conditions aux limites sont des grandeurs physiques telles que température, pression et humidité en fonction de l’altitude, qui peuvent être issues d’observations instrumentales satellitaires, mais pas extraites des images).

On croirait lire du Legras et c’est bien sur faux. Il suffit de lire la thèse de Barbier dont Hacène mit le lien dans un commentaire précédent pour démonter cette ânerie. Mais faut-il encore en prendre le temps… Quant à l’intégration aux modèles, c’est évidemment un faux problème: les images satellites montrent le phénomène, il suffit d’instrumenter pour obtenir des données. Cela donna Fastex… 😉

Cependant, le point majeur qui prête le plus fortement flanc aux critiques est sa croyance que les modèles numériques de prévision actuels sont fondés sur les concepts de front polaire, de dépression et d’anticyclone[1]. Ils sont en fait fondés sur les équations fondamentales de la dynamique des fluides, les forces agissant dans l’atmosphère (voir équations primitives atmosphériques)[2]. Les concepts explicatifs qu’il décrit ne sont utilisés que par les présentateurs météo qui les trouvent utiles pour décrire le temps à un public non spécialisé.

Là encore, il suffit de lire Leroux pour s’apercevoir que ce tissu de bêtise caricaturant la position de Leroux est purement fabriqué. Mais là encore, il faut s’investir et non faire le Wiki-savant!

Le deuxième point majeur est que la théorie des AMP ne constitue pas une alternative à la compréhension moderne des instabilités météorologiques ayant fait l’objet de centaines de travaux publiés depuis les articles fondateurs de Charney et Eady en 1949-1950. Ces travaux démontrent que la descente d’air polaire observée est une conséquence et pas la cause du développement de la perturbation. Voir par exemple l’étude de Davies, Schär et Wernli où ceci est clairement visualisé[3]. La force centrifuge qui selon Leroux explique l’éjection de l’air froid est simplement ineffective : elle est compensée par l’aplatissement de la Terre aux pôles et incorporée dans la gravité apparente locale à laquelle est perpendiculaire la surface du géoïde de référence (la surface moyenne des océans). Elle ne peut donc mouvoir l’air selon l’horizontale et en latitude.

Le problème que j’avais déjà mentionné mais qui passa largement au dessus de votre occiput, c’est que les polycopiés du LMD qui décrivent les masses d’air froid polaire comme ayant une épaisseur de 6 km -le calcul dont visiblement l’auteur Wikipedia se prévaut- est démontré faux par l’observation et les mesures en altitude. J’ajouterai que l’épisode du volcan islandais le démontra de nouveau, des photos de dispersion du panache aux mesures radars…

CQFD et au moins cette discussion aura eu le mérite d’exposer vos méthodes, votre connaissance et votre bonne foi. Merci, tout à fait, merci!

120.  Murps | 29/01/2012 @ 22:26 Répondre à ce commentaire

La force centrifuge qui selon Leroux explique l’éjection de l’air froid est simplement ineffective : elle est compensée par l’aplatissement de la Terre aux pôles et incorporée dan

Ca me surprendrait qu’il n’y ait pas un effet d’éjection vers l’extérieur par une accélération |a|. Je le vois bien maximisé pour une latitude moyenne et nul à l’équateur et au pôles.
Genre :
|a| = R.cos(lambda).sin(lambda).w^2
Avec lambda la latitude, R le rayon terrestre et w la pulsation correspondant à la rotation terrestre.

Cette fonction (calculée de tête à l’arrache) admet un extremum pour lat = Pi/4 soit la latitude 45.
Après cet effet centrifuge diminue puis s’annule à lambda = 0 car la composante maximale de l’accélération est dirigée vers le ciel au zénith.

J’ai pas bon ????

Après, qu’on vienne me dire que cet effet sur les masses d’air polaire n’est pas suffisant, c’est autre chose… Mais faudrait me dire d’où vient l’air froid l’hiver alors.

121.  AntonioSan | 29/01/2012 @ 22:50 Répondre à ce commentaire

Murps (#120), la encore je serai prudent car c’est l’interpretation que cet auteur Wikipedia en fait et je ne me souviens pas que cela soit la cause de l’ejection pour Leroux, encore de la wiki-desinformation: « strawman argument »

122.  Murps | 29/01/2012 @ 23:01 Répondre à ce commentaire

AntonioSan (#121), désolé.
Je suis un grand naïf.
😉

123.  Hacène | 30/01/2012 @ 0:12 Répondre à ce commentaire

AntonioSan (#121),

(…) in the form of mobile anticyclones under the combined impetus of the increase in the cooled mass, centifugal force and the slope of the land (the catabatic winds of Antarctica and Greenland).

(page 29, 2nde édition in english)

124.  Laurent Berthod | 30/01/2012 @ 1:30 Répondre à ce commentaire

miniTAX (#117),

c’est que ça suit parfaitement une vieille loi établie par les théoriciens de la manipulation de masse tel que Himmler : “quel que soit le mensonge, répétez le assez souvent et il deviendra vérité”.

Rendons à César… Ce n’est pas Himmler, qui était juste un bureaucrate zélé et cruel. C’était le sinistre génie de la sinistre propagande nazi, le sinistre Goebbels.

125.  lemiere jacques | 30/01/2012 @ 1:54 Répondre à ce commentaire

AntonioSan (#119),
bof non je trouve les critiques très bonnes … mais adaptées aussi à tous les descriptions…
la question centrale étant est reste que la dynamique de l’atmosphère doit être déduite de la physique …dynamique des fluides et échange de chaleur essentiellement.
Je ne fais pas le wiki savant…mais j’avoue ma leroux ignorance , comme mon ignorance dans les modèles norvegiens suédois ou autres qui sont pour moi toujours des descriptions forcement reductrices donc pour moi perte de temps
J’abandonne…..je ne vois pas où ça me mène….

126.  AntonioSan | 30/01/2012 @ 2:48 Répondre à ce commentaire

Hacène (#123), Merci, ce n’etait pas la seule cause.
lemiere jacques (#125),

reste que la dynamique de l’atmosphère doit être déduite de la physique …

Personne -et certainement pas Leroux- ne s’oppose a cela. En revanche, la dynamique calculee, issue de l’application des lois de la physique se doit d’etre conforme aux faits observes.

127.  Patrick Bousquet de Rouvex | 30/01/2012 @ 9:36 Répondre à ce commentaire

Pour voir l’atmosphère de haut, je vous recommande ça : http://www.youtube.com/watch?v....._embedded#!
C’est beau, ça fait du bien : mettez-le en écran large, la musique ne gâte rien.

128.  scaletrans | 30/01/2012 @ 12:40 Répondre à ce commentaire

Patrick Bousquet de Rouvex (#127),

Magnifique!

129.  Bernnard | 31/01/2012 @ 13:52 Répondre à ce commentaire

Patrick Bousquet de Rouvex (#127),
scaletrans (#128),
La ligne « orange » que vous apercevez à 3:47 et 4:38 est la frontière éclairée entre l’Inde et le Pakistan.

130.  Patrick Bousquet de Rouvex | 31/01/2012 @ 15:04 Répondre à ce commentaire

Bernnard (#129), et non la grande muraille de Chine, soi-disant vue clairement de la Lune ! (par qui, par les Luniens ?) selon la légende !! Il paraît qu’on y voit aussi les serres d’Andalousie : j’ai comme un doute !

131.  Bernnard | 31/01/2012 @ 15:24 Répondre à ce commentaire

Patrick Bousquet de Rouvex (#130),
Oui , j’avais vu cette vidéo il y 1 mois environ (sur un site dont je n’ai pas noté l’adresse) et comme vous j’ai douté quand j’ai lu les commentaires.
Cependant en comparant les cartes et la forme de la frontière: c’est bien elle.

Cette frontière est entièrement clôturée et éclairée pour éviter les trafics entre ces deux pays.

Plusieurs sites en parlent:
1
2
3
……

132.  Patrick Bousquet de Rouvex | 31/01/2012 @ 16:59 Répondre à ce commentaire

Bernnard (#131),

et comme vous j’ai douté quand j’ai lu les commentaires.

Mais non, je n’ai pas douté de votre info !!

133.  Bernnard | 31/01/2012 @ 17:11 Répondre à ce commentaire

Patrick Bousquet de Rouvex (#132),
j’ai cru que vous n’y croyez pas.
J’ai mal interprété
désolé!

134.  lemiere jacques | 31/01/2012 @ 17:21 Répondre à ce commentaire

AntonioSan (#126),

non en fait c’est assez conforme au fait observés regardez cette jolie simulation on jurerais y voir un amp
http://www.youtube.com/watch?v.....re=related
par contre
je viens de jetr un oeil à ce qu’à ecrit leroux ou ces eleves ici
http://lcre.univ-lyon3.fr/climato/amp.htm

Le déficit thermique dans les hautes latitudes, permanent mais plus fort en hiver, est responsable du refroidissement à la base et de l’affaissement de l’air au-dessus des hautes latitudes : Arctique-Groenland et Antarctique. L’affaissement de l’air refroidi le solidarise progressivement avec la rotation de la Terre, et lorsque le volume d’air froid atteint une masse critique, il se détache (comme une goutte d’eau) et s’éloigne des pôles dans les basses couches formant une lentille mobile d’air dense, de 1 500 mètres d’épaisseur moyenne et de 2 000 à 3 000 km de diamètre.

Contrairement à ce que pense leroux c’est tout sauf « évident » et surtout incompréhensible hors de la mécanique générale de l’atmosphère.
Et si ça explique la taille des amp chapeau…
Tout est dans la « masse critique » d’ailleurs…

Le gros problème c’est que pour croire aux amp…en tant que regime normal de transport de chaleur , ben faut les voir… toujours….

Moi je n’ai vu que deux ou trois photos satellites …quand j’essaye de trouver des animations satellite c’est moins evident et surtout on ne voit ni les temperatures ni les isobares…

135.  AntonioSan | 1/02/2012 @ 7:49 Répondre à ce commentaire

lemiere jacques (#134),

Moi je n’ai vu que deux ou trois photos satellites …quand j’essaye de trouver des animations satellite c’est moins evident et surtout on ne voit ni les temperatures ni les isobares…

lemiere, si vous vous donniez la peine d’observer cette jolie simulation ou bien simplement d’aller sur accuweather ou autres sites genre Deutsche Wetterdienst montrant des animations satellites de la réalité et des cartes synoptiques, vous noteriez par exemple sur la simulation (faite durant l’hiver austral) au large des cotes du Chili puis du Pérou, que l’AMP à 0,07 sec. se transforme et se fond à l’agglutination anticyclonique vers 0,12 sec. démontrant ainsi l’inanité du Front Polaire dont vous vous fîtes l’avocat récemment.

Le gros problème c’est que pour croire aux amp…en tant que regime normal de transport de chaleur , ben faut les voir… toujours….

Eh bien la si vous ne les voyez pas c’est que vous ne voulez pas les voir ! Et c’est bien connu il n’y a pas pire aveugle… Ce n’est nullement une question de croyance ! Quant au régime normal de transport de chaleur, regardez la génération quasi continue d’AMPs et que croyez vous que les bandes nuageuses à leur front transportent si ce n’est de l’énergie egalement sous forme de chaleur latente ? ERBE prouve que le transport d’énergie vers les pôles se fait majoritairement par l’atmosphère et Leroux en détermina la géométrie.

Et puisque vous êtes allé chercher la NASA, alors citons-les :

http://earthobservatory.nasa.g.....p?id=44246

“The models allow scientists to test different scenarios, while the observations provide a reality check. Both are necessary in understanding how and why Earth’s atmosphere, land, and oceans function together as they do.”

Leroux ne dit rien d’autre et de plus offre les observations précises et les reconstructions de la géométrie de la circulation. Ne nous faites pas le coup de Jeffreys et Wegener sur la base d’une page de lecture…

Alors de grâce, arrêtez de nous bassiner avec vos caricatures du travail de Leroux tant votre refus de le lire vous expose à raconter de nouvelles âneries à chaque intervention, de votre défense du front polaire au régime de transport méridien de chaleur au front des AMPs.

136.  lemiere jacques | 1/02/2012 @ 17:28 Répondre à ce commentaire

AntonioSan (#135),
vous bassiner?
bon je ne dis pas que les amp ne sont pas un concept permettant de décrire la circulation atmosphérique ou de la préciser….
mais….
par exemple pour expliquer la création des amp…( ce qui n’est pas rien!!!)
considerer une taille critique du vortex est bien obscur…je présume que leroux doit expliquer ça quelque part…
en ce qui me concerne aucune force telle que l’impulsion liée au tourbillon polaire voire la force centrifuge liée à la rotation de la terre ne peuvent expliquer la création d’une AMP…
ces « forces ou pseudo forces existent avant la création de l’ amp…
et pour faire simple, si l’air froid du tourbillon ne se tire par vers les tropiques c’est que il y a sur sont chemin de l’air…qui exerce une réaction égale à la force centrifuge…. ce qui peut faire que le tourbillon se « déforme  » c’est l’amoindrissement local de la réaction de l’air autour du vortex polaire… et non la dynamique interne du vortex!

sans parler de savoir d’ou peut sortir de ce concept de criticité du vortex la taille des amp…. ça me laisse songeur….

donc pour moi : la création d’un amp ne s’explique pas sans invoquer la dynamique des masses d’air autour du vortex…

Soit…. ensuite, si on se focalise sur des masses d’air froid plus dense que l’air alentour de 2000 km de large….il semble que la dynamique de ses masses d’air tant qu’elles existent ( car ces vortex naissent et meurent) doivent répondre de la force centrifuge « relative » toutes choses égales par ailleurs elles se meuvent comme se meut une goutte d’air dense dans un environnement moins dense et donc ont une direction méridienne affectée par la rotation de la terre…..

je ne dis pas que le concept ne représente pas la réalité mais j’aimerais d’abord comprendre « l évidence selon leroux de la création des amp.

E je vous le répète , compte tenu que leroux n’explique pas bien comment naissent les amp…
que leur dynamique repondent….ben à la mécanique des fluides des fluides….autant faire de la mécanique des fluides…

Sauf votre respect…c’est selon moi parce que les théories de leroux ne sont pas quantitatives ( pour ce que j’en sais) qu’il se borne à analyser les temps qu’il a fait…car en pratique il ne sait pas prévoir le déplacement d’une amp…ou de tout autre masse d’air d’ailleurs.
Autant ffaire directement de la mécanique des fluides …

Quand aux modeles suedois norvegiens ou guatemaltèques…ce ne sont pas des outils de prévision du temps, ce sont des représentation schématiques de la dynamique des masses d’air…expliquant un peu le régime des vents….

Le gros problème auquel on est confronté en regardant un systeme turbulent c’est qu’il est bien difficile de le décrire simplement….

137.  AntonioSan | 1/02/2012 @ 17:58 Répondre à ce commentaire

lemiere jacques (#136),

bon je ne dis pas…
je présume…
en ce qui me concerne…
ça me laisse songeur…
donc pour moi…
il semble que…
je ne dis pas…
E je vous le répète…
c’est selon moi…
pour ce que j’en sais…

Qu’attendez-vous pour publier? Vous avez là de quoi révolutionner la climatologie, peut-être même vous placer parmi les nobélisables en Physique! 😉

138.  Araucan | 1/02/2012 @ 18:49 Répondre à ce commentaire

AntonioSan (#137), lemiere jacques (#136),

Je ne pense pas que l’on en apprendra beaucoup à vous voir poursuivre ce débat … smile

139.  the fritz | 1/02/2012 @ 20:25 Répondre à ce commentaire

Araucan (#138),
Ca dépend qui, et puis cela doit leur faire du bien; pendant ce temps leurs femmes sont tranquilles smile

140.  Mihai V | 1/02/2012 @ 20:32 Répondre à ce commentaire

Araucan (#138),
+1
Je me demande par ailleurs combien lisent encore ce « dialogue » qui devient ennuyeux et je m’efforce de rester poli.

141.  the fritz | 1/02/2012 @ 21:10 Répondre à ce commentaire

Araucan (#138),
D’ailleurs , les AMP, c’est de la météo, pas de la climato; tout ce qui a une durée de vie inférieure à un cycle de Schwab est dorénavant et jusqu’à nouvel ordre, interdit de commentaires sur ce site

142.  AntonioSan | 1/02/2012 @ 21:11 Répondre à ce commentaire

Mihai V (#140), Infiniment désolé…
http://www.youtube.com/watch?v.....re=related

143.  Marot | 1/02/2012 @ 21:26 Répondre à ce commentaire

Mihai V (#140)
-1 j’y apprends pas mal de choses sur les faits et sur les personnes.

144.  Laurent Berthod | 1/02/2012 @ 22:57 Répondre à ce commentaire

Patrick Bousquet de Rouvex (#127),

Quand on voit la superficie terrestre couverte pas les nuages, on ne doute pas qu’une des causes les plus puissantes qui comptent dans le bilan radiatif soit l’albédo. Si la formation des nuages est bien dépendante de l’activité solaire, alors celle-ci ne peut indubitablement qu’avoir une grande influence sur la température d’équilibre résultant du bilan radiatif. Sur ces images ça devient évident.

145.  Mihai V | 2/02/2012 @ 0:17 Répondre à ce commentaire

Marot (#143),
Anéfé 😉
Dans ce genre de discussion on apprend plus sur les personnes et leur caractère que sur les faits

146.  Titoune | 2/02/2012 @ 10:00 Répondre à ce commentaire

Laurent Berthod (#144)

Les nuages ont une doubel rétroaction, négative par l’albédo et positive par leur « effet de serre » quelle est la rétroaction la plus forte ? Là, réside la grande incertitude qu’ont les scientifiques même si à priori ce devrait être la positive. Par contre que la formation des nuages soit dépendante d l’activité solaire est très très loin d’être prouvé (et les premiers résultats de ClOUD le confirme).

Pour ce qui est de la thèse de Leroux, elle n’apporte rien.

147.  scaletrans | 2/02/2012 @ 11:45 Répondre à ce commentaire

Titoune (#146),

Ce n’est pas parce que les nuages de basse altitude ralentissent le refroidissement nocturne que le bilan ne reste pas négatif: moins de rayonnement solaire parvient au sol. Point barre

148.  Marot | 2/02/2012 @ 13:48 Répondre à ce commentaire

scaletrans (#147)
Ami, je crois que vous n’avez pas saisi le fond de cette argumentation scientifique post-moderne.

Relisez soigneusement : a priori la contre-réaction doit être positive.

Il n’y a donc rien à mesurer ni à discuter, le prophète a dit et tout est dit.

149.  Bob | 2/02/2012 @ 13:58 Répondre à ce commentaire

Titoune (#146),

Les nuages ont une doubel rétroaction, négative par l’albédo et positive par leur “effet de serre” quelle est la rétroaction la plus forte ? Là, réside la grande incertitude qu’ont les scientifiques même si à priori ce devrait être la positive.

Caramba, encore raté !
On sait tout ça depuis longtemps.
La rétroaction est globalement négative. (-27,7)
source

150.  Clem | 2/02/2012 @ 15:29 Répondre à ce commentaire

Les réchauffistes me font penser au titre de ce magnifique (et illustre) film titré « Arrête de ramer, t’es sur le sable ! »

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