Arguments sceptiques

 

Point chaud atmosphérique

Les modèles climatiques prévoient une forme particulière de réchauffement de l'atmosphère pendant les périodes de réchauffement de la planète. Le changement le plus frappant qu'ils prédisent est un réchauffement sous les tropiques à 10 km d’altitude environ, le « point chaud » ou « hotspot ».

Dans leur théorie, le point chaud est le signe de l'amplification (voir figure 1). La théorie dit que le point chaud est causé par une évaporation supplémentaire et que la vapeur d'eau en plus pousse la troposphère inférieure à se réchauffer et à être plus humide dans le volume précédemment occupé par de l'air frais et sec. La présence du point chaud doit indiquer que l'amplification se produit et vice-versa.

Nous mesurons les températures atmosphériques avec des ballons météorologiques depuis les années 1960. Des millions de ballons-sondes météorologiques ont construit une bonne image des températures atmosphériques des dernières décennies, y compris la période de réchauffement des années 1970 à fin des années 90. Ces données importantes et centrales n’ont pas été rendues publiques par le monde climatique jusqu'en 2006, puis ont été mises dans un endroit obscur. [13]


Voici ce qu'il en est :

 

defig6.jpg

Figure 6 : À gauche les données collectées par des millions de ballons-sondes météorologiques. [14] À droite ce que les modèles climatiques disent qu’il se passe. [15] La théorie (selon les modèles climatiques) est incompatible avec les observations. Dans les deux graphes, l'axe horizontal porte la latitude et l'axe vertical à droite porte l’altitude en kilomètres.

 

En réalité, il n'y a pas de point chaud, même pas un petit. Donc, en réalité il n'y a pas d'amplification. L'amplification de la figure 1 n'existe pas. [16]

 

Rayonnement sortant

Les modèles climatiques prédisent que lorsque la surface de la terre se réchauffe, moins de chaleur est rayonnée par la terre dans l'espace (sur une échelle de temps hebdomadaire ou mensuelle). Selon la théorie, c'est parce que la surface plus chaude provoque une plus grande évaporation et donc il y a plus de vapeur d'eau qui retient la chaleur. C'est le mécanisme qui retient la chaleur qui est responsable de l'amplification supposée dans la figure 1.

Les satellites mesurent le rayonnement émis par la terre depuis les deux dernières décennies. Une étude importante a lié les changements de température de la surface de la terre aux changements dans le rayonnement sortant. Voici les résultats:

 

defig7.jpg

 

Figure 7 : Rayonnement sortant de la terre (axe vertical) en fonction de surface de la mer (horizontale), telle que mesurée par les satellites Erbe (graphe en haut à gauche) et tel que « prédit » par 11 modèles climatiques (les autres graphes). [17] Notez que les pentes des courbes pour les modèles climatiques sont opposées à la pente du graphe pour les données observées.

Cela montre que la terre émet en réalité plus de chaleur lorsque sa surface est plus chaude. C'est le contraire de ce que les modèles climatiques prédisent. Cela montre que les modèles du climat séquestrent trop agressivement la chaleur et que leur amplification supposée montrée dans la figure 1 n'existe pas.

 

Conclusions

 

Toutes les données d’ici ont des origines impeccables, satellites, Argo et ballons météorologiques. [18]

Les données de température de l'air et des océans montrent que les modèles climatiques surestiment l’augmentation de la température. Le cénacle climatique dit que le refroidissement dû aux aérosols détectés pourrait être responsable de l'échec des modèles à ce jour, mais cette excuse est à bout de souffle, cela continue à ne pas réchauffer autant qu’ils le disaient ou de la façon dont ils  le prévoyaient. D'autre part, l'augmentation de la température de l'air a été plus forte que celle prévue par les sceptiques à cause du CO2. L'excuse des sceptiques, c'est que la hausse est principalement due à d'autres forces – et ils soulignent que le monde a eu une tendance au réchauffement relativement stable de 0,5 ° C par siècle depuis 1680 (avec une alternance de périodes d'environ 30 ans de réchauffements et de refroidissements faibles) alors que la grande majorité de toutes les émissions humaines de CO2 ont été faites après 1945. Nous avons vérifié toutes les prédictions principales des modèles climatiques face aux meilleures données:



Test Modèles climatiques
Températures de
l'air depuis1988

Hausse
surestimée,

même si le CO2 est
considérablement réduit

Températures de
l'air depuis1990
Hausse tendancielle
surestimée
Températures de
l'océan depuis 2003
Hausse tendancielle
grandement surestimée
Point chaud
atmosphérique
Totalement absent →
pas d'amplification
Rayonnement sortant Face à la réalité
→ pas d'amplification

 

Les modèles climatiques ont tout faux. Les données, tant du point chaud manquant que du rayonnement sortant, prouvent indépendamment que l'amplification des modèles climatiques n’est pas présente. Sans l'amplification, les prédictions de température du modèle climatique sont réduites d’au moins deux tiers, ce qui expliquerait pourquoi ils surestiment l’augmentation récente de la température de l'air et des océans. Par conséquent,

  1. Les modèles climatiques sont fondamentalement viciés. Leur supposition de triplement de l’amplification par les rétroactions n’existe
    pas dans les faits.

  2. Les modèles climatiques surestiment la montée des températures en raison de CO2 par au moins un facteur trois.

Le point de vue sceptique est compatible avec les données.

 

Quelques points politiques

 

Les données présentées ici ont des origines impeccables, très pertinentes, accessibles au public et viennent de nos meilleurs instruments. Pourtant, cela n'apparaît jamais dans les médias traditionnels – avez-vous jamais rien vu de pareil que tous ces chiffres dans les médias traditionnels? Cela suffit à vous dire que le « débat » est politique et de pouvoir et non sur la science ou la vérité.

C’est un problème politique inhabituel parce qu'il y a une bonne et une mauvaise réponse et que tout le monde saura ce qu’il en est par la suite. Les gens vont de l'avant et émettent du CO2 de toute façon, nous en faisons l'expérience: soit le monde se réchauffera de plusieurs degrés d'ici à environ 2050 soit il ne le fera pas.

Notez que les sceptiques sont d'accord avec les scientifiques du climat gouvernementaux au sujet de l'effet direct du CO2, ils sont juste en désaccord sur les rétroactions. Le débat sur le climat est entièrement sur le sujet des rétroactions, tout le reste n’est qu’un numéro de cirque. Pourtant presque personne ne le sait. Les scientifiques du climat gouvernementaux et les médias dominants ont encadré le débat en termes d'effet direct des émissions de CO2 et d’effets annexes tels que les glaces arctiques, le mauvais temps ou la psychologie. Ils ne mentionnent presque jamais les rétroactions. Pourquoi cela ? Qui a le pouvoir de faire que cela se produise?

 

Le Dr David Evans MW fut consultant à temps plein par l'Australian Greenhouse Office (maintenant Département de l'évolution du climat) de 1999 à 2005 et à temps partiel de 2008 à 2010. Il a modélisé le carbone d'Australie dans les usines, les débris, le paillis, les sols, la foresterie et les produits agricoles. Evans est mathématicien et ingénieur avec six degrés universitaires, y compris un PhD de l'Université de Stanford en génie électrique. Son domaine d'activité avec le plus d'expérience et de sophistication est dans le traitement des rétroactions et l'analyse des systèmes complexes. Les aspects les plus cruciaux et les plus controversés de la compréhension du système climatique sont les rétroactions. La preuve soutenant l'idée que les émissions de CO2 sont la cause principale du réchauffement climatique s'est inversée de 1998 à 2006. Elle a fait qu’Evans de réchauffiste est devenu sceptique.

Les notes du texte figurent à la page suivante.

1.  Patrick Bousquet de Rouvex | 2/03/2012 @ 3:15 Répondre à ce commentaire

Beau travail qui récompense le lecteur de veiller la nuit ! Quel plaisir de le découvrir en primeur. Je suis sûr qu’il plaira aussi aux autres ! Si nous faisions le blog dont on a parlé, cette page pourrait en être la première. Sinon, il faut trouver le moyen de le référencer sur Google pour que tous les citoyens curieux puissent la lire, encore et encore.
Merci Marot pour tout ce boulot si clair et si concis.

2.  Patrick Bousquet de Rouvex | 2/03/2012 @ 3:17 Répondre à ce commentaire

car le piégé par la vapeur d’eau qui est le principal GES

manque quelque chose…

3.  Patrick Bousquet de Rouvex | 2/03/2012 @ 3:27 Répondre à ce commentaire

Dr James Hansen, le « père de réchauffement de la planète »:

du réchauffement me paraît plus juste…

La température de l’océan est essentiellement stable depuis nous avons commencé à la mesurer

depuis que

4.  Marco33 | 2/03/2012 @ 4:21 Répondre à ce commentaire

Bonjour l’insomniaque 😉

Effectivement, voilà un excellent travail qui se « vend » facilement : les graphiques montrant la réalité versus modèles du GIEC sont terribles pour ces derniers!!!!
Comment ne peut-on pas raisonnablement un minimum s’interroger lorsque l’on est réchauffiste??????
Cela démontre vraiment que les réchauffistes « actifs » sont avant tout guidés par d’autres intérêts que la science……………..

5.  Marco33 | 2/03/2012 @ 4:31 Répondre à ce commentaire

Merci Marot pour ce travail de traduction.
Question : serait-il possible d’avoir cet article sous forme powerpoint afin que je puisse le diffuser?
Merci d’avance!

6.  Yagloo | 2/03/2012 @ 7:33 Répondre à ce commentaire

Les rétroactions atténuent ou réduisent l’effet direct du CO2 supplémentaire en le divisant à peu près par moitié

La phrase correcte ne serait-elle pas : « les rétroactions atténuent ou réduisent l’effet direct du CO2 supplémentaire en le divisant à peu près par deux » ?

7.  Yagloo | 2/03/2012 @ 7:34 Répondre à ce commentaire

Autre possibilité : « les rétroactions atténuent ou réduisent l’effet direct du CO2 supplémentaire en le réduisant à peu près par moitié »

8.  Clem | 2/03/2012 @ 8:15 Répondre à ce commentaire

C’est clair et net !
Merci Marot !

9.  jojobargeot | 2/03/2012 @ 8:32 Répondre à ce commentaire

Patrick Bousquet de Rouvex (#2), Non, il y a quelque chose en trop.
car le piégé par la vapeur d’eau qui est le principal GES. Le en moins et ça marche!
Marco33 (#4),

Cela démontre vraiment que les réchauffistes “actifs” sont avant tout guidés par d’autres intérêts que la science……………..

Quelques citations:
Peu importe que la science soit fausse, il y a des avantages écologiques collatéraux… Le changement climatique offre la plus grande chance d’apporter la justice et l’égalité à la planète.
Christine Stewart, Ministre de l’Environment du Canada (Calgary Herald, 2003)

Le « réchauffement climatique » est devenu la grande narrative politique de notre époque, en remplaçant le Marxisme en tant que force dominante pour contrôler la liberté et les choix de l’Homme.
Philip Stott, Professor Emeritus, Department of Biogeography, University of London, UK

Pas besoin de les chercher bien loin, elles sont sur le site.

10.  JG2433 | 2/03/2012 @ 9:44 Répondre à ce commentaire

Merci Marot pour cette présentation claire et accessible à la compréhension d’un large public — dont je suis.

le « débat » est politique et de pouvoir et non sur la science ou la vérité.

De cela, j’en ai eu d’emblée l’intime conviction, à partir de lectures — en gros depuis 1990 et mon rejet de l’écologisme radical (dep-ecology).

L’abus dans l’usage d’arguments d’autorité « pseudo-scientifiques » et, à partir de ceux-ci, cette sorte d’unanimisme « joyeux », « fusionnel » des défenseurs de la planète (?), auquel chacun ne pouvait moralement échapper, sauf à passer pour ignare, fou ou inhumain, a forgé mon scepticisme et mon refus du « prêt-à-penser contemporain.

11.  Mihai V | 2/03/2012 @ 9:47 Répondre à ce commentaire

jojobargeot (#9),

Pas besoin de les chercher bien loin, elles sont sur le site.

Sauf que certaines sont plutôt mal traduites.
C’est quoi « la grande narrative politique », sinon du franglais ?

12.  scaletrans | 2/03/2012 @ 10:19 Répondre à ce commentaire

Mihai V (#11),

La grande saga ? Ou quelque chose d’équivalent au « story telling »…

J’abonde à la proposition de Marco pour une version ppt.

13.  papijo | 2/03/2012 @ 10:42 Répondre à ce commentaire

Très bonne présentation !

Juste une remarque, serait-il possible d’ajouter en clair les liens correspondant aux graphiques (il y a aussi des « anti-sceptiques » sceptiques !)

14.  Bob | 2/03/2012 @ 10:43 Répondre à ce commentaire

Merci pour la traduc utile.

Dans températures de l’océan, j’aime bien l’expression les « bouées canards » Mais ça fait inévitablement penser à ça :

Peut-être que « des bouées plongeantes » serait plus neutre…mais moins rigolo.

15.  Araucan | 2/03/2012 @ 11:45 Répondre à ce commentaire

Merci pour vos remarques, je reprendrai tout cela demain.

16.  Marot | 2/03/2012 @ 12:38 Répondre à ce commentaire

Bob (#14)
C’est la traduction littérale de « buoys duck » et j’ai trouvé l’expression plaisante.

17.  pastilleverte | 2/03/2012 @ 12:50 Répondre à ce commentaire

merci Marot,
et encore, le fameux +1,1°C de « sensibilité » du doublement du CO2 seul, ne fait pas totalement l’unanimité.
Lidzen aurait tendance à la placer entre +0,5 et +1,0°C.
Mais bon, du moment qu’il y a des observations, on attend avec impatience la réaction de nos plus fidèles réchauffistes, qui vont bien arriver à nous sortir quelques courbes Mannesques.
Pour moi, le plus « parlant » c’est quand même l’absence de » hot spot » au-dessus de l’équateur, assez peu et en tout cas insuffisamment repris, sauf parles « sceptiques » il est vrai.
Encore lu ce matin sur enerzine un article « scientifique » sur des bactéries mangeuses d’hydrogène, dont une des phrases mantra était, devinez ?
« Le CO2 principal responsable du réchauffement climatique »
OK ça bégaie, ça bégaie (ça bayroutise, quoi).

18.  Bob | 2/03/2012 @ 14:09 Répondre à ce commentaire

Marot (#16),

19.  Bob | 2/03/2012 @ 14:10 Répondre à ce commentaire

Marot (#16),

Oui. Elle l’est !

20.  Jean-Michel Bélouve | 2/03/2012 @ 16:50 Répondre à ce commentaire

pastilleverte (#17),

Il est en effet très hasardeux d’attribuer la valeur de +1,1° C à la sensibilité climatique au CO2. Cette valeur est calculée à partir des données fournies par Kiehl et Trenberth dans un article de 1997 sur le bilan radiatif qui est, avec la courbe de Michael Mann, la pièce maîtresse du troisième rapport du Groupe1 du GIEC. L’incidence des gaz à effets de serre sur la température actuelle était chiffrée à +33° C, résultant d’une température observée de +15° C (288 K), et d’une température calculée « sans effet de serre » de -18° C (255 K). Le CO2 était tenu pour responsable de 26% de cette augmentation de +33° C.

Cette argumentation est totalement impertinente, car, si l’on accepte de considérer la température théorique correspondant à un flux net d’énergie solaire de 240 W par m² de surface terrestre, qui est effectivement de 255 K, on ne voit vraiment pas ce qui autorise à dire que cette température théorique devrait se situer à la surface de la terre. En effet, le soleil chauffe (directement et indirectement) la terre dans trois dimensions, latitude, longitude et altitude. Si on tient absolument à chercher une température moyenne, il faudrait moyenner les températures des différentes masses accumulant cette énergie solaire, et, pour s’en tenir à la seule atmosphère, aller chercher cette moyenne à l’altitude où la pression est de 0,5 atmosphère. Il se trouve qu’à cette altitude, la NOAA donne une température de -15° C. On n’est vraiment pas loin des -18° C théoriques !

Mais ce débat sur les températures est vain. Un moyenne globale de températures est un nombre dépourvu de toute signification scientifique. Faire la moyenne de températures d’eau de mer avec des températures continentales mesurées à 1,5 m au dessus du sol est une ineptie. On ne sait pas mesurer les parts relatives de la conduction, de la convection, des changements d’état, du rayonnement et du travail mécanique dans les échanges thermiques au sein de l’atmosphère et entre la surface et l’atmosphère. On ne sait pas encore quelles lois président à la formation des nuages. On ne sait pas chiffrer comment l’énergie stockée évolue verticalement, dans le temps, au sein des océans, ni calculer les calories que l’océan emprunte ou restitue à l’atmosphère. On n’a aucune idée du bilan carbone de la vie bactérienne. etc.

Et malgré toutes ces lacunes, on bâtit d’énormes modèles censés nous apporter, -avec une probabilité de 90% !-, la connaissance de l’évolution du climat sur cent ans et plus !

21.  miniTAX | 2/03/2012 @ 17:34 Répondre à ce commentaire

Bob (#14), ça me fait plutôt penser aux canards de la Nasa (si si, c’est de la « science » climatique) : http://effetsdeterre.fr/2008/1.....-disparus/

22.  miniTAX | 2/03/2012 @ 17:42 Répondre à ce commentaire

Un moyenne globale de températures est un nombre dépourvu de toute signification scientifique.

Jean-Michel Bélouve (#20), oui, d’ailleurs, c’est la position scientifique de Météo France, qui ne parle pas de « température en France » mais de « indicateur de température en France ». Mais ce genre de contorsion de langage qui cache mal la pseudo-science sous-jacente, les réchauffistes ne s’en embarrassent pas beaucoup dans la propagande carbocentriste à destination de la populace. Pourquoi vouloir semer la confusion quand c’est tellement plus facile à vendre des certitudes :

Comme la majorité des gens, nous aimerons voir un monde meilleur, ce qui se implique ici que nous travaillions à réduire les risques d’un changement climatique potentiellement catastrophique. Pour cela, nous devons avoir des soutiens importants afin de frapper l’imagination du public ce qui suppose bien sûr d’avoir un maximum de couverture médiatique. Pour cela, nous devons proposer des scénarios effrayants, faire des déclarations simples et dramatiques et éviter de mentionner le moindre doute que nous pourrions avoir. Stephen Schneider, auteur-coordinateur principal du GIEC

23.  Bob | 2/03/2012 @ 18:13 Répondre à ce commentaire

miniTAX (#22),
La suite de feu Schneider :

« …doutes que nous pourrions avoir. Chacun d’entre nous doit choisir entre l’efficacité et l’honnêteté »

Brrrr…

24.  JG2433 | 2/03/2012 @ 18:18 Répondre à ce commentaire

miniTAX (#22),

nous aimerons voir un monde meilleur

« Je préfère un monde meilleur possible au meilleur des mondes. » (François Dubet)
[italique ajouté]

25.  miniTAX | 2/03/2012 @ 18:18 Répondre à ce commentaire

Bob (#23), le pire c’est que les réchauffistes n’ont été ni honnêtes, ni efficaces, warf, warff. La définition type de bras-cassés.

26.  pastilleverte | 2/03/2012 @ 20:25 Répondre à ce commentaire

@ jean michel bélouve #20
Oui, tout à fait d’accord, et merci de le dire en termes à la fois précis et accessibles au « layman » que je suis (même si très intéressé et faisant de mon mieux)
N’étant ni scientifique ni a fortiori physicien, j’arrive à comprendre que parler de la T° moyenne de la Terre est une ineptie.
Comme je disais à mon chat : « Regarde Pitou, ce thermomètre qui a 2 sondes et que je pose sur la table du salon, et bien au bout de quelques minutes les deux températures sont différentes de presque 1°C, alors que les deux sondes ne sont distantes que de quelques centimètres »
Et savez-vous ce qu’il m’a répondu ?
….
Miaooowww (ce qui voulait dire : « ta g…. j’ai faim »)

27.  Patrick Bousquet de Rouvex | 3/03/2012 @ 0:07 Répondre à ce commentaire

jojobargeot (#9), Vous avez une grande narrative dans votre entourage, vous ? (Je ne parle pas à Murps) Je pense qu’il faudrait retraduire cette phrase.

28.  Patrick Bousquet de Rouvex | 3/03/2012 @ 0:09 Répondre à ce commentaire

scaletrans (#12), Pardon, je n’avais pas vu votre proposition qui me semble tout à fait valable.

29.  Patrick Bousquet de Rouvex | 3/03/2012 @ 0:13 Répondre à ce commentaire

Bob (#18), Ce type de canard qui vole en rase-mottes et fonce en profondeur pour attraper un poisson s’appelle un plongeon, je crois ?

30.  Patrick Bousquet de Rouvex | 3/03/2012 @ 0:16 Répondre à ce commentaire

Bob (#23),

feu Schneider

JG2433 (#24),

nous aimerons voir un monde meilleur

Il nous y précède, donc, l’heureux homme…

31.  Patrick Bousquet de Rouvex | 3/03/2012 @ 0:21 Répondre à ce commentaire

Jean-Michel Bélouve (#20), Je m’étonne que Murps n’ait pas manifesté de réticences sur au moins ce point, et sur l’affirmation que « les sceptiques » étaient tous d’accord sur l’action réchauffante du CO2vtelle que décrite ici : des nuances et des incertitudes devraient être sans doute apportées, du genre que ce point de la discussion n’est pas le plus en cause, mais que c’est celui des rétroactions qui doit être mis en valeur, etc. Je ne pense pas que ce point du réchauffement dû au CO2 soit si bien établi…

32.  Murps | 3/03/2012 @ 9:01 Répondre à ce commentaire

Patrick Bousquet de Rouvex (#31), vous avez raison.
Je n’ai rien dit à cause de cela. Vous sembliez tous si satisfaits de cet article, je ne lui accorde pourtant pas la valeur que certains semblent lui attribuer.

Ceci dit et HS je m’absente une petite semaine pour les vacances.
Bonne continuation à tous.
😉

33.  Marot | 3/03/2012 @ 9:36 Répondre à ce commentaire

Murps (#32)
e pense que c’est justement à cause de cela que vous auriez dû donner votre avis.

Une critique fait plus que dix louanges.

34.  Patrick Bousquet de Rouvex | 3/03/2012 @ 13:54 Répondre à ce commentaire

Murps (#32), J’étais satisfait de la forme et de la clarté de l’

35.  Patrick Bousquet de Rouvex | 3/03/2012 @ 13:57 Répondre à ce commentaire

Murps (#32), J’étais satisfait de la forme et de la clarté de l’article, permettant une diffusion et une discussion avec les carbonistes grand public, ce qui ne veut pas dire que ce point-là ne m’a pas fait tiquer. Mais comme on en parle à longueur de colonnes ici… la science n’est pas « settled » mais on peut insister sur ces histoires de rétroaction en attendant, ce qui montre l’inanité des modèles du GIEC et c’est déjà pas mal ! A diffuser donc largement à tous nos interlocuteurs non spécialistes.

36.  Marot | 4/03/2012 @ 9:57 Répondre à ce commentaire

Je viens de passer pas mal de temps à chercher les données suivantes :

Résultats des mesures du flux rayonnant total sortant de la Terre via les satellites ERBE, évolution globale dans le temps.

Je n’ai pas trouvé. Quelqu’un a-t-il un lien pour ces données ?
Merci.

37.  Mihai V | 4/03/2012 @ 11:27 Répondre à ce commentaire

Marot (#36),

NASA Earth Radiation Budget Experiment (ERBE) pour la théorie.
Cette page renvoie vers le NASA Langley Research Center pour les données archivées.

These data products are now available from the Langley Distributed Active Archive Center.

Manque de pot, on nous signale qu’une maintenance y aura lieu du 2 au 8 mars 2012.

38.  Araucan | 4/03/2012 @ 18:59 Répondre à ce commentaire

Marco33 (#5),

Je vous mets la version .pdf de Marot à coté de la source en tête d’article.

papijo (#13),

Vous les retrouverez à la source … http://mises.org/daily/5892/The-Skeptics-Case
Sinon voir les légendes …
Bob (#14),

Je mets ‘bouées plongeantes’.
Là on trouve le terme de « flotteurs profileurs autonomes » … smile

http://wwz.ifremer.fr/lpo/SO-Argo-France

39.  Bob | 4/03/2012 @ 20:09 Répondre à ce commentaire

Araucan (#38),

“flotteurs profileurs autonomes”

Ce ne sont pas vraiment des flotteurs; Les bouées Argo plongent.
Autonomes. oui, elles le sont … quoique.
Profileur ?
D’après le Larousse, un profileur est un terme utilisée en criminologie (de l’anglais profiler). Un profileur est un criminologue spécialisée dans le profilage disent-ils.
http://www.larousse.fr/diction...../profileur

Si, je comprends bien le sabir de l’Ifremer, les bouées Argo sont, des engins autonomes utilisés en criminologie….

Et de fait, c’est vrai. L’Ifremer sait de quoi il cause.
Les bouées Argo traquent la chaleur perdue de Trenberth laquelle a disparu suite à un rapt criminel organisé par un commando de climato-sceptiques équipés de scaphandres autonomes. D’où le profilage indispensable.

40.  Laurent Berthod | 4/03/2012 @ 20:36 Répondre à ce commentaire

Bob (#39),

Déjà que l’Ifremer est nul sur les nitrates et les algues vertes (enfin, je dis nul, pour ne pas dire menteur). Je ne savais pas qu’il en était autant sur le climat. Pauvre France ! Ta recherche fout le camps !

41.  Marco33 | 4/03/2012 @ 21:25 Répondre à ce commentaire

Araucan (#38), Merci !
Téléchargement effectué.

42.  Araucan | 4/03/2012 @ 21:31 Répondre à ce commentaire

Bob (#39),

Bien vu … On pourrait presque fait un feuilleton -participatif- « Mais qui a volé la chaleur perdue ? »

Laurent Berthod (#40),

Pourriez-vous me rappeler le lien sur la site de l’Inra où il aurait une vue divergente ? Merci d’avance.

43.  jopechacabri | 4/03/2012 @ 22:34 Répondre à ce commentaire

Vous établissez le postulat suivant en tout début de billet :

« L’effet direct des émissions de CO2 est bien établi par la physique sur la base de résultats de laboratoire et est connue depuis plus d’un siècle. »

Cela me parrait présompteux :
L’effet d’absorbtion d’énergie par les gaz dits « à effet de serre » est effectivement connu et prouvé depuis plus d’un sciècle.
Le réchauffement par convection qui en résulterait est aussi connu et calculable. (ce qui déboucherait d’ailleurs sur la notion d’un « hot-spot »)

En revanche, la notion d’effet de serre résulte d’éllucubration (à mon sens douteuses) qui n’ont jamais pu être reproduite dans aucun laboratoire du monde et depuis la nuit des temps.
ça aussi c’est un fait.

Tout le monde s’attache à reproduire, pour le compte de l’effet de serre, la différence calculée entre un « corps noir » et notre terre actuelle. Alors que cette différence tient globalement compte de la géothermie, de l’effet de serre des nuages, des poussières et aérosols, et de toutes les convections océaniques terrestres…
Les CO2, CH4, N2O et autres vaudevilles n’intervenant qu’en altitude, leur effet sur la température terrestre est tout benoitement négligeable.

Mais ça fait rien on peut continuer à piller notre sous-sol, les minier peuvent se gaver et s’enrichir en bradant la matière qui ne leur appartient pas, pendant ce temps tout le monde a les yeux rivés sur le temps qu’il fait, et chacun s’active à scier la branche sur laquel il est assis !

44.  Laurent Berthod | 4/03/2012 @ 23:46 Répondre à ce commentaire

Araucan (#42),

Pourriez-vous me rappeler le lien sur la site de l’Inra où il aurait une vue divergente ? Merci d’avance.

Il s’agit de cet article : Guy Barroin, Gestion des risques. Santé et environnement : le cas des nitrates. Phosphore, azote et prolifération des végétaux aquatiques.

Vous trouverez des notes de synthèse sur le site de l’Institut scientifique et technique de l’environnement en cliquant ici.

Mes articles de vulgarisation sont ici.

Bien à vous.

45.  Araucan | 5/03/2012 @ 0:39 Répondre à ce commentaire
46.  Astre Noir | 5/03/2012 @ 9:48 Répondre à ce commentaire

miniTAX (#22),
Bob (#23),

Vous pourriez me donner les références de la citation ?

Merci d’avance

47.  miniTAX | 5/03/2012 @ 10:27 Répondre à ce commentaire

Astre Noir (#45), cf colonne de gauche de Skyfall, page « Citations ».

49.  Clem | 5/03/2012 @ 10:54 Répondre à ce commentaire

Bob (#47),
Pour tous ces gens là : Cause > Science
« brrr » comme tu dis…

50.  Patrick Bousquet de Rouvex | 5/03/2012 @ 12:37 Répondre à ce commentaire

jopechacabri (#43), c’est l’auteur de l’article, David Evans, qui prête cette affirmation aux carbo-hystériques, ce n’est pas une affirmation de ce qu’il pense…

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