Les réchauffistes sont incapables de s’arrêter d’eux-mêmes

Les tactiques des alarmistes du climat – l'exagération, les représentations biaisées, le mépris et le dénigrement – ont plus nui au mouvement qu'ils ne l'ont aidé. Ce  n'est pas surprenant. Les membres d'une secte sont toujours les derniers à reconnaître la folie de leurs entreprises.

• • • • •

Lorsquelle a surgi, l'idée dun dangereux réchauffement climatique d'origine anthropique (RCA) provoqué par les émissions des combustibles fossiles, a trouvé un terrain fertile au sein dune vaste variété d'intérêts. Pour les chercheurs, cela signifiait financement et reconnaissance. Pour les médias, la formidable captation de l'attention reposant sur la peur. Pour les militants, la mater dolorosa de toutes les menaces écologiques. Les entreprises y ont vu l'opportunité d'énormes profits tandis que les bureaucrates y ont perçu la possibilité  dune récupération massive de puissance et de contrôle.

Pour les politiciens ce fut encore plus évident, avec dun côté la promesse dune forte popularité, et de lautre, seulement des dénigrements.

Limpressionnante locomotive du RCA, vite mise sur les rails, a commencé à tracter un luxueux convoi de centaines de milliards de dollars. Fin 2009, tout était prêt pour une éblouissante manifestation des forces RCA au sommet sur le climat de Copenhague, ouvrant la voie triomphale du très vert et très propre nouveau monde promis par les éco-prophètes.

Cest alors que survint le Climategate. Et voilà que les roues du convoi ont commencé à se déglinguer.

En réalité, la vaste structure du RCA sest construite sur une base fragile de prophéties très douteuses, élaborée par une petite coterie duniversitaires de troisième ordre dont la réputation et la carrière ont été presquentièrement basées sur des prédictions catastrophistes à propos du changement climatique, qui se sont révélées soit fausses, soit douteuses, et dans le meilleur des cas à vérifier. Lexpressiontroisième ordre est utilisée en connaissance de cause. Les déclarations retentissantes concernant le RCA ont été à la fois pleines d'incertitudes et confrontées à un certain nombre de critiques incontournables. La crédibilité et la réputation bien fondées de la recherche ne sont pas basées sur des spéculations incertaines et des prévisions non vérifiées. Les scientifiques compétents évitent de telles spéculations et prennent bien soin de quantifier clairement les limites et les incertitudes relatives aux opinions ou aux prédictions qu'ils peuvent mettre en avant.

A de rares exceptions près, tous les principaux promoteurs scientifiques du catastrophique RCA ont été des universitaires inconnus jusqu'à ce qu'ils sembarquent sur le train en marche du changement climatique, et ils ont commencé à élaborer les prédictions dramatiques dune catastrophe imminente. Les quelques personnalités qui avaient une réputation en dehors du catastrophisme climatique semblaient s’être déjà engagées sur des vues catastrophistes d'autres menaces environnementales parmi lesquelles le RCA n'était que la dernière, la plus importante et la plus populaire. Celle-ci présentait également l'avantage supplémentaire d'être de loin la plus gratifiante.

En outre, la climatologie était un domaine d’études peu connu, hautement interdisciplinaire, dans lequel des chercheurs de presque n'importe quelle discipline pouvaient participer et se faire appeler climatologues. Sy intégrer en proposant quelques alertes effrayantes sur le RCA procurait une publicité certaine dans les news avec l'onction du qualificatif d’«expert» attribué par les médias.  De généreuses subventions suivraient.

Pour un universitaire ayant plutôt une réputation limitée à risquer, il savérait difficile de résister à la tentation – particulièrement pour ceux souffrant de cette maladie universitaire courante, lopinion exagérée de sa propre importance et de sa capacité intellectuelle. L'opportunité d'une voie royale pour la gloire et la fortune en contournant la corvée normale et fastidieuse de l'expertise reconnue était certainement pour ceux-là trop évidente pour leur apparaître comme un simple coup de chance. Cela devait avoir un parfum de Destin et devait donc être défendu avec toute la férocité de vrais croyants.

Dans l'alarmisme climatique, l’évidente justesse de la cause a conduit à un abandon total de ce qui était considéré comme une pratique scientifique indispensable. Dans la recherche climatique, ont été acceptées et généralisées les pratiques consistant à refuser de révéler les méthodes et les sources, dignorer les preuves contraires, de déformer les résultats, dexagérer la confiance, dempêcher la publication d’études contradictoires et dutiliser le dénigrement personnel pour discréditer quiconque ose poser des questions à propos du flux sans fin des derniers résultats et affirmations. Et ces pratiques déviantes devenues omniprésentes impliquent généralement des questions techniques tellement complexes quelles exigent un niveau considérable de connaissances de base pour en comprendre les arguments.

Cependant, les questions éthiques fondamentales sont quelque chose que chacun peut comprendre et c'est là où les alarmistes ont fait le pire pour se discréditer. Chaque fois que des preuves claires dun comportement malhonnête par les promoteurs du RCA ont été exposées, au lieu de simplement condamner cette faute, ils ont suivi le schéma suivant : ils ont dabord essayé de la nier, puis, en cas d'échec, tenté de la justifier. Enfin, lorsque linformation défectueuse a été mise en pleine lumière, ils ont cherché à banaliser l"erreur" comme étant sans véritable importance. En faisant cela, ils ont démontré clairement que tout ce qui pourrait concerner la vérité était subordonné à la justesse de leur Cause.

Avant que linconduite scientifique systématique généralisée ait commencé à apparaître dans la recherche climatique, la science bénéficiait dun niveau élevé de confiance. En abusant de cette confiance les alarmistes ont acquis un avantage de courte durée. Cependant, les inévitables révélations (derreurs ou de déformation des faits NDLR) ont causé un préjudice grave et de longue durée à la fois pour leur propre cause mais aussi envers la réputation de la science elle-même. Cela sera difficile à réparer.

Aujourdhui il semble que l’élévation des températures, l'extinction des espèces, les conditions météorologiques extrêmes, la fonte des glaciers, l'accélération de la montée du niveau des mers, les épidémies, les mauvaises récoltes et diverses autres calamités climatiques commencent à être considérées comme de sinistres prédictions qui ont échoué. Les alarmistes, après avoir nié toute possibilité de variabilité naturelle dans la légère hausse de la température moyenne mondiale observée dans la dernière partie du 20e siècle, ont désormais du mal à expliquer pourquoi leurs plus sûres certitudes ne se sont pas matérialisées. Qu'ils aient pu s’être trompés pendant tout ce temps est pour eux,  bien sûr, impensable.

Pour faire face à une contradiction de plus en plus évidente avec la réalité des faits, leur réponse a été simplement d’élever le niveau de l'alarme et daffirmer encore plus de certitude. Cela semble une stratégie bizarre, surtout de la part d'un groupe qui prétend être composé de scientifiques de haut niveau. Ils doivent sans doute estimer que la réalité, elle-même, obéit à une théorie douteuse ratifiée seulement par le consensus dun groupe.

De l'extérieur, cela ressemble à un retranchement dans des fortifications pour le dernier combat des partisans fanatiques d'une secte extrémiste, se préparant au martyre dans un paroxysme final vertueux. C'est probablement la bataille prophétique dArmageddon, les partisans droits dans leurs bottes du postmodernisme affrontant l'idée satanique d'une réalité objective, indépendante de tout ce qu'on peut décider de croire. Ou peut-être est-ce  simplement que la représentation constamment erronée de la réalité, devenue la norme dans la recherche climatique, est tellement ancrée dans leurs esprits que ses adeptes ont du mal à différencier la réalité de limaginaire, un peu comme dans la maladie que les psychiatres nomment mythomanie.

Cependant, cela est évident, les tactiques actuelles des alarmistes dans le débat public ne font rien pour restaurer leur crédibilité, ce qui ne sert qu’à les faire apparaître de plus en plus stupides et indignes de confiance. Sils sont vraiment aussi sûrs deux qu'ils prétendent l’être, la meilleure chose qu'ils pourraient faire à ce stade serait de se taire. S'ils ont raison, la réalité devrait les conforter assez rapidement. Et si la science est établie, comme ils le prétendent, il n'est, de toute façon,  pas nécessaire d'intensifier la recherche.
Evidemment ils ne feront rien de la sorte. Se taire reviendrait à accepter de renoncer à toute cette attention flatteuse et aux financements qu'ils sont venus rechercher pour leur juste cause.

Donc, selon toute probabilité, le spectacle se poursuivra, non pas comme un débat mais comme une farce, avec des personnages principaux de plus en plus follement satisfaits d'eux-mêmes jusqu'à ce que le public soit fatigué de payer les factures et trouve quelque chose de mieux à faire avec largent de ses impôts.

Source : Walter  Starck dans Quadrant on line – traduction jmr -posté par Bob

85 Comments     Poster votre commentaire »

1.  Bob | 13/12/2013 @ 10:23 Répondre à ce commentaire

Bonne lecture !

2.  Murps | 13/12/2013 @ 11:53 Répondre à ce commentaire

Bravo pour le choix de ce texte et la qualité de sa traduction.

élaborée par une petite coterie d’universitaires de troisième ordre

C’est féroce mais hélas, probablement exact.
Pour certains la roche Tarpéienne n’a jamais été aussi proche du Capitole…

3.  chercheur | 13/12/2013 @ 12:41 Répondre à ce commentaire

Murps (#2),

Le probablement est de trop. Quand vous étudiez toute la littérature scientifique des écologues et des climatologues, vous vous apercevez que pratiquement tout est pratiquement faux.
Certains essayent de le montrer comme le livre de Christian Lévêque « L’écologie est-elle encore scientifique ». Mais le problème est qu’il affirme des choses vraies sans les démontrer. On ne peut pas faire autrement quand on veut faire un livre court et digeste.
Pour les démontrer, il faut prendre une à une toutes leurs théories, les exposer, et montrer où sont les erreurs scientifiques, quand ce n’est pas des falsifications.
J’essaye de le faire actuellement, mais c’est terriblement long et compliqué, parce que l’écologie s’est posée comme experte dans tout un tas de domaines différents. Elle se prétend « la science des sciences ». Démonter tout cela devient vite indigeste.

4.  JG2433 | 13/12/2013 @ 12:57 Répondre à ce commentaire

Bob (#1),

Bonne lecture !

Votre souhait s’est parfaitement réalisé !
Superbe texte dont la qualité de la traduction de jmr ne l’ai pas moins. 😛
_______

Une (très mineure) faute de frappe :

Enfin, lorsque l’information défectueuse a été mise en peine lumière

corriger peine => pleine.

5.  Bob | 13/12/2013 @ 14:12 Répondre à ce commentaire

JG2433 (#4),
Merci. J’ai corrigé.

6.  AlainCo | 13/12/2013 @ 18:48 Répondre à ce commentaire

s’il n’y avait que le climat.

7.  pastilleverte | 14/12/2013 @ 10:35 Répondre à ce commentaire

Murps (#2),
+1
(spécialement pour la qualité de la traduction) !

Pas de réaction dans la presse francophone ? (running gag !) smile

8.  Gilles des Landes | 14/12/2013 @ 12:01 Répondre à ce commentaire

Texte fort instructif.

Le constat ne concerne hélas pas que les « scientifiques », les écologistes (NB : adeptes de l’écologisme, ne pas confondre avec écologue, merci…) s’en donnent à cœur joie en matière de désinformation.

J’avais réagi récemment sur le site de Notre Planète info (désinfo ?), mais la dernière lettre vaut son pesant de cacahuètes ; un aperçu concernant les titres :

– « le plus puissant cyclone de l’histoire, le super-typhon Haiyan, dévaste les Philippines » Ah, bon, je croyais que le tir avait été rectifié ;

– « Quelle est la température la plus froide sur Terre ? Record battu en Antarctique » pour comprendre, voir ci-après :

– « Accélération de la fonte des neiges dans la péninsule antarctique » Extrait : « Au 20ème siècle, la fonte de la neige était accompagnée d’un réchauffement de surface de 1,5°C par rapport au millénaire précédent ». Et : « La traduction locale du changement climatique se lit donc clairement dans la péninsule antarctique ». Il fait plus froid, donc ça fond et c’est à cause du RCA… logique, non ?

– « Le trou dans la couche d’ozone » Tiens, ça fait un moment que l’on n’en parle plus. Article intéressant (bien sûr orienté). Un extrait surprenant : « En diminuant notablement les concentrations en CFC, le protocole de Montréal a permis aussi d’atténuer l’effet de serre. En effet, les CFC sont aussi de puissants gaz à effet de serre. Grâce au protocole de Montréal, leur concentration sera en 2010 moitié moins importante qu’en l’absence de traité. Ainsi, c’est environ 11 Gt éqCo2 par an qui seront évités (OMM, 11/2008) » Of course… on sait désormais pourquoi les températures baissent … (tiens, ça leur a échappé !)

– « La déforestation » extrait « La déforestation contribue à 25% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, c’est le troisième poste émetteur après l’approvisionnement énergétique et l’industrie. 70 % des émissions proviennent du Brésil et 80 % de l’Indonésie » ; évocation du « stock » de Carbone qui diminue et du REDD (Réduction des Emissions liées à la Déforestation et à la Dégradation des forêts)

– un petit dernier pour la route : « Le charbon propre : un mythe sans réalité » ; ce ne serait pas « une réalité sans mythe » (du CO2)

Pas mal pour une lettre dite « d’info »

Pour ceux qui ont du courage (et du temps à perdre) :
http://www.notre-planete.info/.....php?id=288

Ceci étant je reste admiratif sur la qualité du site et des lettres d’info (hormis bien évidemment sur leur contenu…), je me demande comment tout cela est financé (malgré l’appel aux dons, et la pub).

A quand un site climato-réaliste équivalent ? (bien entendu financé par les pétroliers, on attend leurs dons…)

9.  chercheur | 14/12/2013 @ 12:42 Répondre à ce commentaire

Gilles des Landes (#8),

Pourquoi pensez-vous que les écologues ne sont pas des adeptes de l’écologisme?

A la lecture des écrits des écologues, on constate qu’au moins 95% d’entre eux sont des adeptes de l’écologisme. Les écologues qui s’y refusent sont largement rejetés comme le sont les climatologues qui se refusent à cautionner le réchauffement climatique.

10.  chacalou | 14/12/2013 @ 13:35 Répondre à ce commentaire

chercheur (#9),

Gilles des Landes (#8),

Pourquoi pensez-vous que les écologues ne sont pas des adeptes de l’écologisme?

Parceque c’est deux choses différentes, même si ce n’est pas incompatible…

A la lecture des écrits des écologues, on constate qu’au moins 95% d’entre eux sont des adeptes de l’écologisme.

Cette statistique m’a l’air de sortir de nulle part…

11.  Gilles des Landes | 14/12/2013 @ 14:40 Répondre à ce commentaire

chercheur (#9), tout simplement parce que je distingue la science professée par un écologue, de l’idéologie qui sous-tend bien souvent cette science.
Comme le dit Chacalou, ce sont deux choses différentes qui peuvent se rejoindre, mais dans l’absolu l’écologue devrait faire abstraction de l’idéologie en ne répondant qu’à une démarche purement scientifique.
chacalou (#10), pour les 95% je suppose que Chercheur établit un parallèle avec le niveau de confiance tel que défini par le GIEC (chez qui les « statistiques » semblent aussi sortir de nulle part…)

12.  chercheur | 14/12/2013 @ 15:39 Répondre à ce commentaire

chacalou (#10), Gilles des Landes (#11),

Je comprends que vous soyez choqué par mon affirmation.
Elle est le résultat des nombreux cours d’écologie de niveau universitaire que j’ai pu lire depuis quelques années. J’ai lu également une dizaine de thèses de doctorat. Je n’ai rien lu qui ne puisse pas être qualifié d’écologisme pur et dur. La seule différence est que certains d’entre eux sont pro nucléaire et d’autres non. Mais pour le reste, ce sont des clones.
Faut-il s’en étonner? Avez-vous entendu des professeurs d’écologie en France s’élever contre l’écologisme? Ils peuvent s’élever contre certaines actions, mais dans l’ensemble ils y adhèrent sans réticence.
Vous écrivez que l’écologue devrait faire abstraction de l’idéologie en ne répondant qu’à une démarche purement scientifique. Comment ne pas être d’accord avec cette affirmation? Ce n’est malheureusement pas le cas.
Si vous lisez des cours d’écologie, vous constaterez qu’ils font tous mention de lois de l’écologie. Aucune, et je dis bien aucune, n’est pertinente scientifiquement. La plus part d’entre elles sont de simples sophismes, d’autres ne sont tout simplement pas validées par l’expérience. Pourtant, cela ne les empêche pas de les considérer comme des lois scientifiques.
Les sciences naturelles étaient une science de l’observation tout à fait pertinente. L’écologie a voulu dépasser ce stade en prétendant avoir trouvé des lois. C’est une supercherie.
Encore une fois, je comprends vos réactions, mais prenez le temps d’analyser le contenu des cours d’écologie d’université. Vous changerez d’avis.

13.  jean l | 14/12/2013 @ 18:02 Répondre à ce commentaire

chercheur (#12),

Si vous lisez des cours d’écologie, vous constaterez qu’ils font tous mention de lois de l’écologie. Aucune, et je dis bien aucune, n’est pertinente scientifiquement.

Peut-être parce que ce n’est pas une science. Les « sciences » de la nature, c’est un peu comme les sciences humaines : l’oeil de l’observateur et son interprétation des phénomènes étudiés sont parfois très dominants sur l’aspect proprement scientifique. Et moins elles en sont proches, plus elles se parent des signes de la science. Voyez par exemple toutes ces équations qui « agrémentent » les manuels d’écologie (style Ramade) et qui sont parfaitement inutilisables sur le terrain. Or, les sciences de la nature sont avant tout des sciences de terrain. Mais si le ridicule tuait, il ne resterait plus guère de ces écolos de bureau.

14.  chacalou | 14/12/2013 @ 19:03 Répondre à ce commentaire

chercheur (#12),

De quelles lois d’écologie parlez vous? Je ne vois pas trop le rapport entre l’écologie scientifique (qui à mon sens est l’étude des interactions entre les êtres vivants et avec leur milieux) et le fait d’être pour ou contre le nucléaire?

15.  Bernnard | 14/12/2013 @ 19:23 Répondre à ce commentaire

Gilles des Landes (#11),

Les sciences naturelles étaient une science de l’observation tout à fait pertinente. L’écologie a voulu dépasser ce stade en prétendant avoir trouvé des lois. C’est une supercherie.

Bien sûr ce n’est plus une science de l’observation, mais en grande partie une science de simulation et d’utilisation des stats dans le but de prouver une idée préconçue! Le pire est que cette démarche leur échappe noyés qu’ils sont dans leurs préjugés.

Pour en revenir au titre:

Les réchauffistes sont incapables de s’arrêter d’eux-mêmes

Ils s’auto-alimentent et puisent de l’Énergie en circuit fermé et c’est bien le seul cas d’entorse au second principe avec une accélération exponentielle des thèses réchauffistes sans forçage négatif! smile

16.  Bernnard | 14/12/2013 @ 19:26 Répondre à ce commentaire

Bernnard (#15),
Erreur: c’était une réponse pour:chercheur (#12),

17.  JG2433 | 14/12/2013 @ 19:27 Répondre à ce commentaire

chacalou (#14),
Je me trompe peut-être… mais j’ai cru comprendre, à la lecture du post de chercheur (#12), ceci : parmi les adeptes de l’écologisme « pur et dur », il y a des pro et des anti-nucléaires.
Aucune corrélation de ces opinions avec l’écologie scientifique n’est présentée…

18.  Laurent Berthod | 14/12/2013 @ 23:15 Répondre à ce commentaire

chercheur (#12),

Avez-vous entendu des professeurs d’écologie en France s’élever contre l’écologisme?

Oui. Christian Lévêque in : L’écologie est-elle encore scientifique ? Editions Quae.

19.  Murps | 14/12/2013 @ 23:32 Répondre à ce commentaire

Faut quand même se dire que si l’écologie est une science, c’est bien la seule qui inspire et donne son nom à une politique et à des partis qui ont leurs représentants dans toutes les grandes démocraties.
Vous connaissez le parti des chimistes organiciens ? celui des mécaniciens Newtoniens ? des électroniciens numériques ?

Ce mélange est fichtrement malsain.
L’écologie : science ? morale ? projet de société ? outil de lobbyisme et de manipulation des masses ? germe de totalitarisme ?

En tout cas l’écologie que je connais n’est pas une science, et la question de savoir si il existe de véritables scientifiques pratiquant l’écologie est oiseuse, car le fruit est pourri.
C’est un peu comme l’ethnologie en France, elle a laissé un tel mauvais souvenir lors de la dernière guerre qu’il n’y a pas de statistiques ethniques en France. C’est ce qui attend l’écologie politique ; un méchant retour de bâton historique et social.

Ca sera bien fait pour leur pomme bio !

20.  Gilles des Landes | 14/12/2013 @ 23:56 Répondre à ce commentaire

La dérive sociale de l’écologisme a conduit à une dévalorisation de l’écologie, parfois (souvent ?) guidée par des idéologies.
Rappelons que l’écologie est l’étude des relations entre les être vivants et leur environnement. L’Homme fait partie des être vivants ; mais l’écologie « anthropique » dérive souvent vers la politique. Ce qui explique bien des choses, mais ne les justifie pas.
L’écologie prend donc une connotation déviante vers certaines formes d’idéologies ; dans la réalité, ceux qui pratiquent l’écologie sont en majorité tentés de glisser vers certaines idéologies ; quant à l’écologue, c’est le « docteur » en écologie, et en tant que scientifique, il se devrait de rester sur le strict débat scientifique (là encore, ce n’est pas toujours le cas).
Et je ne suis pas en désaccord avec Chercheur, on se trouve juste sur un dialogue sémantique concernant une sujet -comme le dit Murps – concernant un fruit pourri.
Pour fréquenter les « écologistes » de terrain, je reconnais que la majorité respecte fidèlement le discours imposé par la doctrine. Pire encore, dans le milieu professionnel, on peut difficilement exposer un avis contraire à la pensée écologiste ambiante… J’en sais quelque chose !

21.  Araucan | 15/12/2013 @ 0:02 Répondre à ce commentaire

Murps (#19),

S’il n’y a pas de stats ethniques en France, c’est à cause de la Constitution pas de la seconde guerre mondiale.

jean l (#13),

Nombre de formules sont effectivement plus des modèles que des formules au sens physique.

22.  Murps2 | 15/12/2013 @ 0:34 Répondre à ce commentaire

Araucan (#21), ne vous méprenez pas sur mes propos.
Je constate simplement que l’utilisation d’une science à des fins politiques comme cela a été le cas pour certaines sciences sociales avant guerre a abouti a des discriminations graves, des déportations et des crimes.
Sans mettre l’écologie au même niveau que celui du lien ci-dessus, on peut reconnaître que le mécanisme social qui a lieu actuellement est similaire.

Au fait, qu’est ce qui a suggéré l’interdiction de statistiques ethniques dans notre constitution ? n’est ce pas leur utilisation a des fins politiques ?

Si c’est le cas c’est stupide. L’absence et l’interdiction de ces statistiques nourrit tous les fantasmes.

La science est un outil, et son éventuelle dangerosité dépend de la main qui le brandit. Une sagaie à propulseur peut servir à nourrir votre tribu ou tuer votre frère. On est tout de même pas obligé de choisir entre mourir de faim ou être fratricide, non ?

23.  chercheur | 15/12/2013 @ 0:43 Répondre à ce commentaire

Laurent Berthod (#18),

Oui, Christian Lévêque fait parti des 5% des écologues dont je parlais comme refusant l’écologisme.

24.  chercheur | 15/12/2013 @ 1:05 Répondre à ce commentaire

JG2433 (#17),

Merci pour la réponse. J’aurais écrit la même.

Gilles des Landes (#20),

A vous lire, nous n’avons effectivement qu’un débat sémantique. Mais je ne saurais trop vous conseiller de vous plonger dans des cours d’écologie de l’université. Il faut les lire en ayant à l’esprit qu’ils ont formés des dizaines de milliers d’experts en écologie. On comprend mieux pourquoi, comme vous l’avez écrit, la majorité respecte fidèlement le discours imposé par la doctrine. Cette doctrine leur a simplement été transmise par leurs professeurs.

25.  JG2433 | 15/12/2013 @ 8:49 Répondre à ce commentaire

chercheur (#24),

Cette doctrine leur a simplement été transmise par leurs professeurs.

J’en avais pris conscience lors d’une conversation avec mon fils, en classe de 2e de lycée au début des années 1990, à propos de l’écologie, sujet abordé par le prof de SVT.

26.  Gilles des Landes | 15/12/2013 @ 10:48 Répondre à ce commentaire

chercheur (#24), JG2433 (#25), Nous sommes bien d’accord, il s’agit de doctrine, dont on trouve les « enseignements » même dans les manuels scolaires (et universitaires comme l’indique Chercheur), ce qui est gravissime, puisque ces mêmes manuels (et les enseignants qui professent) sont censés apprendre aux élèves la rigueur scientifique, elle-même fondée sur la véracité et l’exactitude de la chose enseignée.

27.  Bob | 15/12/2013 @ 11:21 Répondre à ce commentaire

Dans la ligne du billet ci-dessus :

Conseil aux climatologues besogneux :

Vous êtes un chercheur assez obscur et la renommée (et les promotions) tardent à venir ?

Pas de problème ; Vous écrivez un article ultra alarmiste sur les perspectives à long et très long  terme de la hausse du niveau des mers en l'assortissant d'une citation historique style "We have awoken a sleeping giant, he is now here to stay.'"
" Nous avons réveillé un géant qui dormait et il restera avec nous" (en écho à une déclaration célèbre de l'amiral japonais Yamamoto après l'attaque de Pearl Harbor). Succès inoxydable, garanti et durable.

Vous pouvez toujours compter sur les revues en papier glacé (comme Nature, Scences) pour publier votre scoop, comme, autrefois, la crosse de hockey.

Triple avantage :

1) Vous ne risquez pas d'être démenti par les faits de votre vivant. Pour ce qui est des modèles, pas de problème, c'est tellement hypothétique que personne ne peut dire  si c'est juste ou faux.

2) Vous faites la une des médias en moins de deux. Vous passez à la télé, vous êtes nommé "expert" auprès des politiques etc. Belle carrière en perpective.

3) Vous évitez ainsi le long et difficile processus de la recherche patiente et rigoureuse des besogneux pour parvenir illico dans les top-ten de votre université.

Et c'est gagné.
Ah que c'est beau, la science !

28.  chercheur | 15/12/2013 @ 12:17 Répondre à ce commentaire

Gilles des Landes (#26),

Le manque total de rigueur scientifique de tous ces universitaires et chercheurs considérés comme des scientifiques de haut niveau est certainement le problème le plus important pour l’avenir. C’est une évolution très préoccupante. Il me semble que les grands scientifiques soucieux de conserver la rigueur scientifique comme fondement de la science, devraient se bouger un peu. Ils vont perdre toute leur crédibilité puisque pour le public, il est impossible de faire la différence entre un scientifique rigoureux et un charlatan.

29.  Bob | 15/12/2013 @ 12:24 Répondre à ce commentaire

chercheur (#28),

les grands scientifiques soucieux de conserver la rigueur scientifique comme fondement de la science, devraient se bouger un peu.

Bien d'accord….Mais c'est risqué et demande un peu de courage ainsi que le désir et la disponibilité  pour se plonger dans ce "grand arcane".

Le "publish or perish" en vogue actuellement n'est pas en faveur d'une mobilisation des chercheurs des autres disciplines sur un sujet dont il ne connaissent rien.
Ils ont tort. Leur crédibilité est aussi en jeu mais je ne suis pas du tout optimiste. Sauf quelques rares exceptions, bien sûr.

30.  chercheur | 15/12/2013 @ 12:39 Répondre à ce commentaire

Bob (#27),

A votre lecture, je me suis livré à une petite recherche sur « Scientific reports ».

Ce doit être une splendide pompe à bénéfice.
– 1 000 euros pour être publié.
– pour la rigueur, il est annoncé que le contrôle avant publication est assuré par au moins un membre de la communauté académique. Ce qui veut dire que ce n’est pas sérieux, mais surtout que les frais sont minimums.
– Tout se fait par internet, donc frais mini.
– La marge nette doit être au minimum de 70% et ils ont publié 260 articles en novembre. Cela devrait faire un peu plus de 2 millions d’euros de bénéfice avant impôts par an alors qu’ils viennent de lancer ce service depuis à peine un an.
– Ce service fait partie de groupe Nature qui doit exploser quand on voit le nombre incroyable de publications en écologie, climatologie mais aussi épidémiologie.
– Les chercheurs étant maintenant évalués au nombre de publications, il ne faut pas s’étonner que la science soit à la dérive.

31.  chercheur | 15/12/2013 @ 12:44 Répondre à ce commentaire

Bob (#29),

Tout cela fait un peu fin de civilisation…à l’image des grecs et des romains. C’est dommage, je la trouvais belle il y a quarante ans.

32.  Clem | 15/12/2013 @ 13:46 Répondre à ce commentaire

chercheur (#28), Oui, hier je relisais l’interview au Spiegel d’il y a quelques mois de l’allemand Hans von Storch, professeur à l’Institut de Météorologie de l’Université de Hambourg et directeur de l’institut de Recherche Côtière à Geesthacht en Allemagne, spécialisé dans les modélisations climatiques, en train de virer sa cuti.
La conclusion de son interview :

Sans aucun doute, la plus grande erreur des climatologues a été de donner l’impression qu’ils détiennent la vérité absolue. Ce faisant, ils ont joué avec et perdu la chose la plus importante qui soit pour des scientifiques : la confiance du public.

33.  chercheur | 15/12/2013 @ 14:26 Répondre à ce commentaire

Clem (#32),

Malheureusement, les dirigeants allemands ne semblent pas avoir compris qu’ils vont mener leur pays dans la récession avec leur politique énergétique.
Ca vient de tomber…

Allemagne: le chef du SPD, Sigmar Gabriel, ministre de l’Economie et vice-chancelier

Le chef des sociaux-démocrates allemands Sigmar Gabriel sera le ministre de l’Economie et de l’Energie, ainsi que le vice-chancelier du nouveau gouvernement de « grande coalition » d’Angela Merkel et Frank-Walter Steinmeier sera ministre des Affaires étrangères, a annoncé M. Gabriel dimanche.
M. Gabriel aura notamment la charge de piloter la transition énergétique, l’un des plus gros chantiers de l’Allemagne pour les années à venir. M. Steinmeier retrouve le poste qu’il occupait dans le premier gouvernement Merkel (2005-2009) qui rassemblait déjà conservateurs et sociaux démocrates.

Je doute que cet homme fasse les bons choix pour l’économie de son pays. Il était ministre de l’environnement dans le premier gouvernement Merkel. L’avenir le dira…

34.  chercheur | 15/12/2013 @ 14:48 Répondre à ce commentaire

La Suède a tout compris…

La Suède envisage de taxer les carburants à 900%

Le gouvernement suédois veut arriver à éliminer tous les carburants d’origine fossile. Pour inciter les automobilistes à abandonner l’essence et le diesel, il faudrait au minimum tripler les prix, affirme l’Institut national de conjoncture.

35.  chercheur | 15/12/2013 @ 15:14 Répondre à ce commentaire

Une dernière savoureuse. Un article sur BFMTV qui reprend un article du Monde sur le Stilnox.

Moins + moins = plus

Le « miracle » correspond à une règle mathématique simple: moins + moins = plus, explique Le Monde dans un article publié mardi. En temps normal, l’activité neuronale possède un schéma en forme de boucle: le cortex frontal, siège de plusieurs fonctions cognitives comme le langage et le raisonnement, active et inhibe plusieurs structures du cerveau, jusqu’à la stimulation finale du cortex frontal.

http://www.bfmtv.com/planete/s.....64924.html

Ce sont les mathématiques du XXI ème siècle…
Il faut admettre que cela ressemble aux calculs des écologistes. Ils sont persuadés qu’en additionnant les mesures négatives, le résultat sera positif.
Sérieusement, c’est quand même grave tout ça.

36.  yvesdemars | 15/12/2013 @ 15:21 Répondre à ce commentaire

on peut faire un parallèle entre la dérive des alarmistes refusant de voir la réalité des faits et la dérive d’un chef d’entreprise en difficulté qui n’hésite pas à truquer ses comptes pour maintenir la fiction d’une solvabilité non irrémédiablement compromise.

La différence c’est que dans le second cas il existe des mécanismes de correction : commissaires aux compte dont la responsabilité pénale est engagée, oeil externe des banquiers prêteurs qui peuvent aussi être mis en cause ….

dans le cas de la science religion climatique officielle il n’y aucun contre pouvoir: les réviseurs sont manipulés et ne contrôlent pas le rapport final, quand à l’argent il coule à flots, enfin les responsables onusiens bafouent les conclusions des rapports du GIEC voir le typhon Haiyan …..

37.  Bob | 15/12/2013 @ 17:40 Répondre à ce commentaire

chercheur (#35),

Le “miracle” correspond à une règle mathématique simple: moins + moins = plus, explique Le Monde

Le plus grave est que l’auteur de cette perle y croit.
Il a mal assimilé ce qu’on lui a expliqué à l’école, alors il est devenu journaliste…
Je suis pessimiste et J’ai un peu peur que beaucoup de lecteurs n’aient rien vu et pensent qu’effectivement moins + moins =plus. Qui sait ?

38.  AntonioSan | 15/12/2013 @ 17:56 Répondre à ce commentaire

chercheur (#34), Allez la Suede, stoppez toutes les importations de combustibles fossiles des maintenant. Quand on se veut si vertueux il faut montrer l’exemple… Il ne le feront jamais puisque le jeu consiste a taxer d’abord…

39.  chercheur | 15/12/2013 @ 18:55 Répondre à ce commentaire

Bob (#37),

Le plus grave est que l’auteur de cette perle y croit.

Le plus grave, c’est surtout que l’article initial, publié par Le Monde, soit repris par de nombreux médias. Ils sont donc nombreux, dans les médias, à penser que moins + moins= plus.
Je serais curieux de connaître le pourcentage de personnes qui pensent que c’est vrai. Il est, je pense, très important.

40.  pastilleverte | 15/12/2013 @ 19:34 Répondre à ce commentaire

AntonioSan (#38),
C’est bien connu qu’en Suède, pays étendu à faible densité de population et forte de forêts, les fossiles sont remplaçables (et remplacés en partie) par « du bois » (et dérivés).
Et chacun sait que le bois brûlé ne dégage pas de CO2, ou du moins que le bilan carbone est neutre… au bout de quelques décennies (et encore).
Quant à la Norvège, quelques « petits » millions d’habitants pour une surface égale aux 2/3 de celle de la France, une géographie très favorable à l’hydroélectricité et devinez quoi ? L’électricité y est à plus de 95% (chiffre fétiche…) d’origine « renouvelable », « propre », « verte », au choix.
Bref, un modèle pour les autres pays européens (et démerde toi pour avoir les mêmes conditions « socio-naturelles »…

41.  Araucan | 15/12/2013 @ 19:36 Répondre à ce commentaire

chercheur (#34),

Lu une interview de Caffin, EELV où il donnait les objectifs écolos pour 2014 : 2 projets sur 3 sont des taxes. Qu’ils continuent, cela les aidera pour les élections…

42.  yvesdemars | 15/12/2013 @ 20:11 Répondre à ce commentaire

pastilleverte (#40),

mais l’utilisation du bois en Suède produit des pollutions aux particules fines et il me semble que l’UE a menacé la Suède de sanctions là dessus (comme la France à cause du diesel)

On rappellera que la pollution londonienne il y a cent ans et plus était due aux chauffages bois et charbon. Le remplacement par le gaz et le fioul a contribué grandement à l’assainissement de l’air de la métropole anglaise

43.  Jean-Marc Laroche | 15/12/2013 @ 21:01 Répondre à ce commentaire

Araucan (#21),

A quel article de la Constitution faites-vous allusion?

44.  Araucan | 15/12/2013 @ 23:02 Répondre à ce commentaire

Jean-Marc Laroche (#43),

Le premier ….

http://www.conseil-constitutio.....#preambule

45.  Daniel | 15/12/2013 @ 23:04 Répondre à ce commentaire

Un article de Walter Starck sur Quadrant Online, traduction jmr / Skyfall

http://www.contrepoints.org/20.....n-empecher

46.  Bob | 15/12/2013 @ 23:15 Répondre à ce commentaire

Daniel (#45),
Mais Daniel, c’est justement l’article publié ici depuis deux jours, en haut, qu’ils viennent de pomper !
Ils citent Skyfall, d’ailleurs.

47.  Araucan | 16/12/2013 @ 0:35 Répondre à ce commentaire

pastilleverte (#40),

Mais ils importent pas mal de bois (industrie oblige) mais aussi pour l’énergie….

48.  chercheur | 16/12/2013 @ 0:51 Répondre à ce commentaire

Araucan (#41),

Oui, et il n’y a pas que les élections, leur image se dégrade aussi. Et là, pour une fois, je suis content de leurs projets. Ca devrait les enfoncer, en espérant qu’ils ne s’en relèvent pas.

49.  Jojobargeot | 16/12/2013 @ 6:32 Répondre à ce commentaire

chacalou (#14), ON S’EN FOUT DE TES QUESTIONS JUSTE BONNES POUR TROLLER. Et gnagnani et gnagnagna, pour toi le diable est dans les details, alors que sur le fond t’as tout faux. Commence par lire autre chose que tes pamphlets ecologistes, essaie de te faire une opinion et non pas celle que certain ont decides que tu devais avoir, soit objectif dans ce monde qui ne sait plus l’etre. Pour l’instant on est loin du compte tu ne fais et ne sais que troller, jamais un arguments valable ni debut de preuve sur quoi que ce soit. Mais nous devrions repondre a tes questions qui ne font que noyer le poisson, dans quel but? Gagner du temps? Mais le temps joue contre les rechauffistes, meme ca tu ne le pige pas?

50.  Cdt TSM JCl Michel e.r. | 16/12/2013 @ 7:44 Répondre à ce commentaire

Une dernière erreur à corriger dans le texte. Au début du deuxième paragraphe :

Lorsqu’elle a surgi, l’dée d’un dangereux réchauffement climatique …

l’idée, œuf corse