Discussions sur l’effet de serre

L’effet de Serre atmosphérique engendre d’innombrables discussions sur son interprétation et son fonctionnement. Voici une page dédiée aux commentaires le concernant.

Un peu de lecture pour le comprendre :

Taking greenhouse warming seriously par Richard Lindzen

L’effet de serre atmosphérique : plus subtil qu’on ne le croit ! par Jean-Louis Dufresne

Comprendre l’effet de serre par P. de Larminat

Les commentaires seront lourdement modérés. Pas de hors-sujet et restons courtois.

Le fil de discussion précédent est archivé ici.

 

4 421 Comments     Poster votre commentaire »

351.  Hug | 21/02/2018 @ 15:17 Répondre à ce commentaire

JC (#349), MichelLN35 (#350),
Epaisseur optique

352.  JC | 21/02/2018 @ 15:23 Répondre à ce commentaire

MichelLN35 (#350),
Merci, je n’ai pas ce livre, je vais me le procurer.

Dans les autres bouquins que j’ai on ne parle que très peu ou pas du tout du RF alors que toute les conclusions du giec sont basés sur ces calculs qui proviennent apparemment de deux publications (que je me suis pas encore procuré).

A noter que dans les bouquins sur le climat écrits par des géographes, ces derniers voient la cause humaine comme une vague hypothèse non encore prouvée. Ils sont bien plus prudents que les climatologues eux-mêmes.

353.  MichelLN35 | 21/02/2018 @ 15:24 Répondre à ce commentaire

Hug (#351),
Vous avez tout à fait raison mais cela ne parle pas beaucoup plus au non physicien que je suis.
Par contre, dans un post suivant, je vais répondre à Bennard et Jdrien sur la notion de température en relation avec les mathématiques élémentaires.

@ JC l’éditeur est Mélibée 2013

354.  MichelLN35 | 21/02/2018 @ 15:58 Répondre à ce commentaire

@ Bernnard #304 , @ jdrien #305

Nous en avons discuté en effet plusieurs fois, c’est vrai ; mais jamais vous n’avez répondu à l’argument que je soutiens et qui invalide toutes les TEMPERATURES MOYENNES en météo et climato. Cet argument peut être résumé comme ceci : il n’y a pas de relation linéaire (ex. diverses échelles de températures) possible entre une série de grandeurs cubiques et une série correspondante de grandeurs au carré.

Votre argument principal pour affirmer la linéarité des grandeurs température et énergie est la constante kB de Boltzmann mais cette constante est celle de l’entropie, elle n’est pas linéaire (puissance -1 de T soit 1/T ou T^-1 , hyperbolique si je ne m’abuse ?) et ne correspond pas à de l’énergie cinétique échangeable. Par définition (de Boltzmann) c’est la grandeur de l’entropie.

Celle de l’énergie électromagnétique c’est sigma = 5,67*10^-8 * T^4, de laquelle il faudrait peut-être enlever l’entropie pour trouver l’énergie cinétique. Mais l’entropie augmente vers les basses températures alors que l’énergie électromagnétique, comme l’énergie cinétique qui est issue de sa transformation thermodynamique, augmentent vers les hautes températures en T^4 pour l’EM en M*v^2 pour l’EC.

La variation de température est, pour moi, la variation d’un indice volumique (ou plus exactement du volume spécifique d’un liquide, mais la différence étant très faible pour le mercure, de l’ordre de 1,8*10^-4 .°C, gardons la variation de volume) selon la formule VT = V0 (1+(T – T0)). Cette variation de volume, pour les gaz, correspond à une variation proportionnelle d’énergie cinétique et/ou de volume spécifique selon la formule p*V = nRA*T, d’où T = p*V/nRA. C’est l’équation des gaz parfaits qui donne, par exemple, pour une molécule gramme de tous les gaz moléculaires, quel que soit le nombre d’atomes ou leur poids atomique (H2, N2, O2, CO2, Cl2) ou un atome-gramme des gaz atomiques (He, Ne, Ar…), à la pression de 1 atmosphère (76 cm de Hg) ; T = 273K, température de la glace fondante, V = 22,4 L et nRA = 1*6,022…*10^23 molécules.

Ce que je comprends, mais je me trompe peut-être, c’est qu’il y a, dans ces conditions à 0°C (273K), le même niveau d’énergie, représenté par l’index volumique de la température de 273K quelle que soit le masse atomique du gaz. Si je garde la pression identique de 1 atmosphère et que je choisi de l’hydrogène ou de l’oxygène, Jean Perrin nous dit p. 105 : « la molécule d’hydrogène est 16 fois plus légère que celle d’oxygène mais elle va en moyenne 4 fois plus vite ». Ceci est cohérent avec la nature de la chaleur ou énergie cinétique de translation, w=3/2*R/N*T ; et aussi (Ec = M*v^2) , avec l’homothétie de l’unité d’énergie cinétique en joules J = kg*m^2*s^-2.

Tout serait pour le mieux dans le meilleur des mondes si le thermomètre électrique, apparu en 1888 fondé sur les lois du déplacement de charges, d’inertie négligeable, dans les conducteurs, n’était venu bouleverser les échelles linéaires d’équivalence volume/chaleur adoptée par exemple par Celsius en 1741 en relation avec le système métrique alors en gestation, mais aussi, avant lui, par Réaumur (0-80R entre glace et ébullition de l’eau) et par Fahrenheit sur d’autres constantes physiques.

Mais à l’époque, la physique de l’énergie cinétique ou chaleur n’était pas bien connue, le choix fut donc arbitraire. Les lois du déplacement des charges dans un conducteur peuvent être résumées par P (puissance) = U*I et, comme V = R*I, pour moi, depuis le cours complémentaire (1949-54), P = R*I^2, d’où R = P/ I^2, ou R = P*I^-2 ; et, depuis ma seconde je crois, 1 ampère = 1 coulomb / seconde.

Les formules de l’énergie cinétique (EC = M*v^2) et de l’énergie électrique (P = R*I^2) me paraissent homothétiques. Après avoir analysé des expériences de l’enseignement secondaire (classe de seconde) j’ai trouvé la table de correspondance officielle des valeurs corrigées de la résistance R et des valeurs entières de t ou T utilisées pour le calibrage des sondes Pt100 et j’ai constaté que, malgré les corrections vers la linéarité imposées aux fabricants de thermomètres, il subsistait une relation d’ordre 3 entre R et T sur l’ensemble de la gamme -200 à +329 °C (73K à 602K). C’est un FAIT EXPERIMENTAL INCONTESTABLE, codifié ici pour les fabricants de thermomètres électriques : https://fr.wikipedia.org/wiki/Thermomètre_à_résistance_de_platine

J’ai alors eu l’intuition d’une possible relation linéaire entre les racines cubiques de TK et racines carrées des valeurs de R. Une table de calcul Excel m’a permis de constater que les valeurs de R en fonction de TK de l’échelle de Kelvin étaient bien liées par la relation linéaire y(R) = 0,3842x(T) – 6,1256 ; R^2 = 0,9995 entre -200°C (73K) et 329°C (602K). Ceci traduit l’efficacité des CORRECTIONS apportées aux valeurs de résistance constatées dans des milliers d’expériences par les fabricants de sondes Pt100 pour assurer leur calibrage sur l’échelle linéaire de Kelvin entre glace fondante et eau bouillante.

Cependant, les racines carrées de R et les r. cubiques de T, pour les mêmes valeurs, sont encore mieux corrélées, R^2 = 1 pour les 529 valeurs de la table de calibrage des « résistances thermométriques platine Pt100, à 0°C suivant NF C 42-321 relations température/valeur ohmique » y (rac. car. R(73-602) = 0,4035 (rac. cub. T(73-602K)) + 2.4416 ; donc, si nous gardons la première relation nous admettons implicitement que chaque degré Celsius ou Kelvin correspond à une quantité équivalente d’énergie, alors qu’avec la deuxième relation, la relation des valeurs de températures et d’énergie n’est plus linéaire, les moyennes de T devraient être quadratiques et il me semble opportun de mesurer les erreurs commises lors des mesures et des calculs de moyennes. Je m’y suis attelé dans les documents trouvables ici : https://dropcanvas.com/00rhf ; en particulier dans les docs : T1 ; T2 ; T4 ; Reflex entrop. Cst Boltzmann.

Ou bien mon analyse est juste ; et les conséquences sur les moyennes de températures sont ENORMES, ou bien j’ai tort ; et il doit être facile pour des ingénieurs habitués à la manipulation des chiffres et aux notions de physique de me le démontrer. J’aimerais bien aussi reconstituer les valeurs originales de R pour une sonde Pt 100 avant correction vers la linéarisation. Cela doit pouvoir se faire à partir des équations données dans la référence de Wiki pour -200 à 0°C et de 0 à 850°C. Merci d’avance.

355.  Imaz-Aizpurua | 21/02/2018 @ 17:35 Répondre à ce commentaire

MichelLN35 (#354),
Si P (puissance) = U x I, alors U (tension) = R x I
(et non pas V, même s’il s’agit de Volts)
Je trouve que votre analyse est ENORMEMENT injuste.
Mais je ne suis qu’un simple électricien…
JAIA

356.  Bernnard | 21/02/2018 @ 18:07 Répondre à ce commentaire

MichelLN35 (#354),
Vous vous fixez (à mon avis) sur une idée qui est que pour vous, deux Delta T de 1°C, quelconques dans l’échelle des températures, devraient représenter la même variation d’énergie cinétique des particules en mouvement.
Ce n’est pas du tout la bonne vision des choses : un thermomètre est gradué linéairement (la section ne change pas dans une colonne cylindrique du thermomètre) et donc pour vous (reprenez-moi si je me trompe), entre 58°C et 59°C et entre 77°C et 78°C il devrait y avoir la même énergie cinétique.
Je ramène votre raisonnement à l’indication de vitesse.
Un compteur de vitesse qui est gradué de manière linéaire sur un arc de cercle vous donne une indication de vitesse. Votre remarque sur les températures procède pour moi du même raisonnement que si vous me disiez qu’entre 58 et 59 Km/h et entre 77 et 78 Km/h il devrait y avoir la même énergie cinétique (pour une même masse).
Bien sûr, il n’y a pas la même énergie cinétique.
Il s’agit d’instruments (un thermomètre et un compteur de vitesse) qui indiquent un niveau dans chaque cas, mais jamais une énergie. Il ne faut pas considérer le problème sous l’angle énergétique en observant les puissances. Comme tout instrument les graduations qui y sont faites suivent des conventions sans plus.
Au passage, votre remarque met le doigt sur la vraie signification des valeurs intensives et extensives. Si les températures et les vitesses sont intensives, c’est à cause de ce que je viens de vous dire.
Seule l’énergie est extensive.

357.  jdrien | 21/02/2018 @ 18:40 Répondre à ce commentaire

MichelLN35 (#354),

J’aimerais bien aussi reconstituer les valeurs originales de R pour une sonde Pt 100 avant correction vers la linéarisation.

contrairement à ce que vous avez l’air de croire, les valeurs de la sonde platine ne sont pas corrigées. La linéarisation consiste à déterminer les coefficients de l’équation de degré n qui passe au mieux par les points obtenus par étalonnage, une formule mathématique étant plus facile d’emploi qu’une table de valeurs. Il peut toutefois exister un petit écart entre les points d’étalonnage et les points correspondants de la courbe plus n est petit. Météo-France n’utilise que le premier coefficient pour la gamme de températures en France (voir ce document page 6)

358.  MichelLN35 | 21/02/2018 @ 19:17 Répondre à ce commentaire

Bernnard (#356),

Vous avez vu juste, je suis pleinement d’accord avec vous mais si vous dites cela comme moi je le dis depuis longtemps, les moyennes de T kelvin ne sont pas des moyennes d’énergies donc elles n’ont aucun intérêt dans un bilan énergétique. Or, quand des météorologistes et des climatologues comparent des moyennes d’anomalies de température, ils pensent comparer et faire des bilans de chaleur. C’est la raison pour laquelle il vous disent que le réchauffement climatique est maximal en région arctique. Tout le monde confond température (échelle de Kelvin) et niveau d’énergie calorique.

Depuis le début des discussions j’ai dit qu’il y avait plus d’énergie cinétique entre 90 et 100 °C qu’entre -10 et 0 °C, tout le monde m’est tombé dessus, jdrien le premier, avec la définition de la calorie : « énergie cinétique nécessaire à faire s’élever la température de 1°C, de 1g d’eau, n’importe où sur l’échelle de Celsius-Kelvin. »

Pour bien voir que l’erreur est ancienne, voici le point n° 35 sur la température absolue du livre de Jean Perrin, « Les atomes » Champs Flammarion :

« Le produit pv du volume par la pression, constant pour une masse donnée de gaz à température fixée (Mariotte), change de la même façon pour tous les gaz quand la température s’élève (Gay-Lussac). De façon plus précise, il s’accroît de 100/273 de sa valeur quand on passe de la glace fondante à l’eau bouillante. On sait que cela permet de définir (au moyen du thermomètre à gaz) le degré de température comme étant tout accroissement de température qui pour une masse gazeuse quelconque augmente le produit pv (donc simplement la pression si on opère à volume constant) de 1/273 de la valeur qu’a ce produit dans la glace fondante (en sorte qu’il y a 100 de ces degrés entre la glace fondante et l’eau bouillante).

Or nous venons de voir que l’énergie moléculaire est proportionnelle au produit pv. Ainsi, depuis longtemps, sans le savoir on se trouvait avoir choisi, pour marquer des marches égales sur l’échelle des températures, des accroissements égaux de l’énergie moléculaire, l’accroissement d’énergie étant pour chaque degré 1/273 de l’énergie moléculaire dans la glace fondante. Comme nous l’avions déjà pressenti (4) chaleur et agitation moléculaire sont en définitive la même réalité, examinée à des grossissements différents. »

C’est assez comique comme raisonnement circulaire de la part d’un immense scientifique, le degré avait été défini par Celsius, vers 1742, comme le 1/100 de la dilatation volumique du mercure entre glace fondante et eau bouillante avant que l’on sache quoique ce soit de l’énergie cinétique dans les molécules gazeuses. Mais il faut dire que toute la communauté des scientifiques qui venait de comprendre la mécanique quantique était du même avis et continue de l’être encore maintenant.

Personne, sauf peut-être Boltzmann et de désespoir de ne pouvoir convaincre ses collègues, il s’est suicidé, n’avait remarqué qu’il ne pouvait exister de relation linéaire entre deux séries de mesures de distribution ou d’ordre différent, ce que sont toutes les échelles de T à « marches égales ». Personne n’avait repéré le théorème de Thalès. Pour faire des moyennes significatives de températures à partir des échelles linéaires, il est absolument nécessaire de passer par les racines carrées et cubiques pour les thermomètres à dilatation liquides ou gaz.

Les ingénieurs fabricants de thermomètres s’en sont surement rendu compte, eux qui probablement ont écrit dans Wikipédia « La norme CEI 60751 encadre (en Europe) la production et l’usage des thermomètres à résistance de platine industriels. Elle exclut les thermomètres dont les incertitudes sont inférieures à 0,1 °C. »

Si j’ai bien compris, il faut que ces thermomètres aient une erreur garantie supérieure à 0,1°C. D’habitude on cherche la précision, ici c’est l’inverse on garantit une erreur au moins de 0,1°C. La figure 8 du dernier doc de mon drpcvs, reflex. etc. montre bien qu’entre 0 et 100 °C les températures observées sont à +/-0,1°C

359.  JC | 21/02/2018 @ 19:51 Répondre à ce commentaire

MichelLN35 (#358),
« Pour faire des moyennes significatives de températures à partir des échelles linéaires, il est absolument nécessaire de passer par les racines carrées et cubiques pour les thermomètres à dilatation liquides ou gaz. »

Mais peut-être que les instituts chargés de mesurer les T° du globe font ce calcul par les racines pour obtenir leurs moyennes ?

360.  jdrien | 21/02/2018 @ 19:59 Répondre à ce commentaire

MichelLN35 (#358),

La norme CEI 60751 encadre (en Europe) la production et l’usage des thermomètres à résistance de platine industriels. Elle exclut les thermomètres dont les incertitudes sont inférieures à 0,1 °C.

cela veut simplement dire que la norme ne s’applique pas aux thermomètres dont la précision est meilleure que 0.1 °C, comme ils sont trop bons, ils n’ont pas besoin d’être encadrés par une norme.

(il s’agit d’une norme de fabrication industrielle)

361.  JC | 21/02/2018 @ 23:53 Répondre à ce commentaire

362.  JC | 21/02/2018 @ 23:54 Répondre à ce commentaire

http://i68.tinypic.com/xctzde.png

363.  Cdt Michel e.r. | 22/02/2018 @ 12:14 Répondre à ce commentaire

JC (#362)

En copiant le code HTML pour site Web, c.-à-d. le premier proposé sur TinyPic et le copiant directement ici, l’affichage de votre image est parfait :

364.  JC | 22/02/2018 @ 12:46 Répondre à ce commentaire

Ah ben merci, J’ai pourtant essayé deux fois en insérant le code dans la fenêtre Img.

En fait la clé des erreurs du giec – si erreur il y a (soyons prudent, comme l’est le giec) – se trouve dans le calcul des forçages radiatifs.
J’essaie de rassembler les publications sur lesquelles s’appuient en permanence le giec sur ce sujet.
Or je n’arrive pas à mettre la main sur celle-ci :
Wigley, T. M. L. “Relative Contributions of Different Trace Gases to the Greenhouse Effect.” Climate Monitor 16 (1987)

Si qqun peut me la trouver…

365.  Cdt Michel e.r. | 22/02/2018 @ 14:32 Répondre à ce commentaire

JC (#364),

Il y a peu de chance de trouver cette publication.

J’ai retrouvé un article qui en parle ;
IPCC on Radiative Forcing #1: AR1(1990)
Par Steve McIntyre — 04 janvier 2008

Wigley(1987)
Wigley (1987) was published in Climate Monitor, an in-house CRU organ. This publication is not carried by the University of Toronto and I’ve been unable to locate any online versions. I’ve emailed Wigley for a copy this morning; he promptly answered, saying

« I don’t have a copy of this. CRU library will have all back issues of C. Mon. so they may be able to send you a copy. Of course, this is way out of date.It may have been one of the first papers to look at multiple GHGs, but it is certainly not *the* first. »

Ce qui donne, en français :

Wigley (1987)
Wigley (1987) a été publié dans Climate Monitor, un organe interne du CRU. Cette publication n’est pas diffusée par l’Université de Toronto et je n’ai pu trouver aucune version en ligne. J’ai envoyé un courriel à Wigley pour une copie ce matin; il m’ a répondu promptement en disant ceci

« Je n’ai pas de copie. La bibliothèque du CRU aura tous les anciens numéros de C. Mon. pour qu’ils puissent vous envoyer une copie. C’est peut-être l’un des premiers articles à avoir examiné plusieurs GES, mais ce n’est certainement pas *le* premier. »

Traduit avec http://www.DeepL.com/Translator

Compter sur le CRU pour obtenir un document montrant leur turpitudes est probablement illusoire.

366.  JC | 23/02/2018 @ 20:28 Répondre à ce commentaire

Ah ah ah… je viens de recevoir ce mail des éditions Nathan :

Cela renvoie à ce site : https://www.equalx.eu/experience-pedagogique/rechauffement-du-climat-causes-consequences-et-solutions

Je pourrais peut-être lui poser mes questions sur la démonstration des formules des calculs du forçage radiatif ?

367.  AntonioSan | 23/02/2018 @ 20:33 Répondre à ce commentaire

JC (#366), Bourrage de crane destine aux jeunes… quelle honte.

368.  JC | 23/02/2018 @ 20:40 Répondre à ce commentaire

Vous pensez que Jouzel prend un petit pourcentage ou bien il fait ça bénévolement pour sauver la planète ?

369.  jdrien | 23/02/2018 @ 20:53 Répondre à ce commentaire

JC (#366), ils ont oublié d’indiquer son prix Nobel smile

370.  Bernnard | 23/02/2018 @ 20:53 Répondre à ce commentaire

AntonioSan (#367),
C’est sûr qu’avec des lycéens il limite les risques !

371.  JC | 23/02/2018 @ 20:57 Répondre à ce commentaire

jdrien (#369),
Tu rigoles, va voir sur le site, rien n’a été oublié, manquerait plus que ça !
j’aime bien la phrase :
« … Face aux fakenews, aux théories complotistes et aux climatosceptiques, une nouvelle approche globale est nécessaire.  » Qu’est-ce que la nouvelle approche globale ? Unifier la pensée à l’échelle globale ?

372.  Ecophob | 24/02/2018 @ 11:28 Répondre à ce commentaire

JC (#366), C’est absolument révoltant.
Il faudrait que les climato-réalistes organisent également ce genre de rencontres et passent après lui dans les écoles pour rétablir l’esprit critique et remettre la science à la place qu’elle doit occuper.

373.  MichelLN35 | 25/02/2018 @ 16:25 Répondre à ce commentaire

JC (#359),
jdrien (#360),

Ceux qui sont chargés de faire ces normes sont ceux à qui incombe la responsabilité des respecter ces normes absurdes puisque l’étalonnage des thermomètres de précision possible au millième de °C (infér. au centième d’Ohm) ils sont obligés de le faire sur des thermomètres à mercure précis à ~0.5°C. C’est bien sûr l’inverse qu’il faudrait faire.

La norme n’a pas été réalisée avant puisque la table donne une relation linéaire de coeff de détermination R ^ 2 inférieur à celui de la relation linéaire entre les racines carrées et cubiques, R ^ 2=1. Aucun des savants physiciens du 1er congrès Solvay de 1911 ne s’est aperçu de l’erreur de définition sur le degré. Je ne sais comment l’inventeur de la statistique physique de l’entropie Boltzmann, avait expliqué le problème mais devant les moqueries il s’est suicidé et n’est pas sur la photo, ce qui est une honte pour la science.

Et pourtant, même maintenant, cette entorse au théorème de Thalès ne semble toujours pas comprise. Lorsque des thermodynamiciens ont des difficultés avec la linéarité notamment des hautes températures vs énergie, ils utilisent l’autre relation de Boltzmann, avec Stefan, celle du corps noir ; mais elle aussi est fautive car elle ne s’applique pas à la thermodynamique et ne vaut que dans le vide pour l’énergie radiative, pas dans un monde moléculaire avec de l’entropie.

Au plan mathématique, Benoît Rittaud, dans « Le mythe climatique », p90-91 explique bien le problème des moyennes mais laisse la solution en plan.

Imaz-Aizpurua (#355),

J’aime bien votre tendre ironie mais si vous lisez les docs que j’ai souvent proposés, vous verrez que les erreurs sur les basses températures dans la table officielle, sont vraiment ENORMES et même si mon explication est bancale, sur l’inverse de l’effet joule en supposant que l’énergie électrique est un carré et la mesure du thermomètre un cube, la relation entre les racines, elle, est bien linéaire de R^2 = 1.

Comment l’expliquer autrement que par les cubes et les carrés surtout que l’objet mesuré est bien M*vitesse ^2 des molécules.

374.  jdrien | 25/02/2018 @ 17:24 Répondre à ce commentaire

MichelLN35 (#373), puisque vous avez beaucoup de sympathie pour Boltzmann, lisez ceci (et les liens indiqués)

Par ailleurs, avez-vous déjà vu une éprouvette graduée? Les graduations sont linéaires, ce qui prouve qu’on peut mesurer un volume (en L ^ 3) par une longueur en L ^ 1 et donc que votre raisonnement est FAUX

Aucun des savants physiciens du 1er congrès Solvay de 1911 ne s’est aperçu de l’erreur de définition sur le degré

et pour cause, puisque c’est la définition même du degré; c’est la sonde platine qui doit s’adapter à la définition et non l’inverse.

375.  jdrien | 25/02/2018 @ 17:49 Répondre à ce commentaire

MichelLN35 (#373), et j’ajouterai que lorsque Boltzmann met du T dans sa formule de l’entropie, il s’agit bien de la température telle que définie officiellement et pouvant être mesurée par un thermomètre à mercure (même s’il n’est pas gradué directement en Kelvin)
Toute la thermodynamique et la calorimétrie sont homogènes avec la définition de la mesure de température.

376.  JC | 1/03/2018 @ 19:21 Répondre à ce commentaire

Nouveau mail de Nathan : Finalement c’est gratuit !
J’espère qu’ils remboursent ceux qui s’y étaient déjà inscrit. A moins que personne ne se soit inscrit !

377.  jdrien | 1/03/2018 @ 20:12 Répondre à ce commentaire

JC (#376), le 22 mars, c’est pas une journée de manifs ?, il faudra choisir entre défiler ou aller voir Jouzel smile

378.  JC | 1/03/2018 @ 20:59 Répondre à ce commentaire

Effectivement, ils ont mal choisi la date…

379.  Marco40 | 1/03/2018 @ 21:28 Répondre à ce commentaire

JC (#376), ça sent l’échec en termes d’inscriptions. D’où la gratuité.
Peu motivé les français?🤣🤣🤣

380.  micfa | 10/03/2018 @ 11:53 Répondre à ce commentaire

On nous dit que depuis l’ère industrielle le taux de CO2 est passé de 280 à 400ppm et que cette augmentation de 120ppm aurait fait monter la température de 1° . Si on en croit le site la pensée unique
(rubrique : « 7 bonnes raisons de douter de l’effet de serre anthropogénique ») les paléoclimatologues ont établi que le taux de CO2 a été largement supérieur à celui d’aujourd’hui dans le passé. Par exemple il y a 600 millions d’années il était d’environ 7500ppm soit un écart de 7100ppm par rapport à aujourd’hui. Si on applique les règles de la proportionnalité (et pourquoi ne l’appliquerait-on pas ?), avec 120ppm pour 1° , 240ppm pour 2° , pour 7100ppm on a la bagatelle de 60° . La température globale de la planète devait donc être 60° supérieure à aujourd’hui soit 75°. Senior que calor !!! sous les tropiques où la T° moyenne est de 30° il devait faire 90°. C’était le temps où les océans étaient de la soupe de poissons bien salée. C’était la période géologique de l’Ichtyosoupéen. C’est ce que Jouzel va certainement apprendre aux élèves dans ses conférences.

381.  Murps | 10/03/2018 @ 16:00 Répondre à ce commentaire

micfa (#380),

C’était la période géologique de l’Ichtyosoupéen

Cher confère, ne voulez-vous pas plutôt dire le « bouillabaissien » ???

382.  JC | 10/03/2018 @ 16:31 Répondre à ce commentaire

micfa (#380),
Oui et à cette époque l’ordovicien avec 4200 ppm de CO2, on nous parle d’une T° de 16°C. Reste à voir la position de la Terre par rapport au Soleil à cette période .

383.  JC | 10/03/2018 @ 16:35 Répondre à ce commentaire

Une question :
Cet article de 1995 a-t-il été traduit sur votre site et commenté ? C’est apparemment l’article de base du Giec qui prouve que le CO2 est responsable du réchauffement.
https://www.gfdl.noaa.gov/bibliography/related_files/bds9601.pdf
ça vaudrait peut-être le coup de l’étudier.

384.  8ic | 10/03/2018 @ 17:47 Répondre à ce commentaire

JC (#382), micfa (#380),

Il reste surtout à Jouzel d’expliquer aux micfa, JC et autres savants du site que le soleil brillait bien moins fort il y a 600 millions d’années.
La bouillabaisse n’avait donc pas pu mijoter et prendre le goût prévu par la « science » élaborée dans l’arrière cuisine de Skyfall.
N’est-ce pas bien plus comique comme cela avec micfa, inoubliable, dans le rôle de l’arroseur arrosé ?

385.  JC | 10/03/2018 @ 18:32 Répondre à ce commentaire

8ic (#384),
Effectivement 8ic, sans l’énergie solaire, même avec des taux 10 fois plus élevé de CO2 qu’actuellement, ce CO2, via l’effet de serre, ne réchauffe rien !

386.  Curieux | 10/03/2018 @ 18:57 Répondre à ce commentaire

JC (#382),

la position de la Terre par rapport au Soleil

Allons monsieur, vous n’y pensez pas, Le CO2 vous dis-je, le CO2 !

387.  Nicias | 11/03/2018 @ 16:04 Répondre à ce commentaire

8ic (#384),

Jupiter vas mettre fin à l’augmentation du rayonnement solaire des que la lutte contre le réchauffement sera dans la constitution.

388.  CK66 | 12/03/2018 @ 4:32 Répondre à ce commentaire

Point de vue de Leif Svalgaard sur le changement climatique ( pdf )
http://www.leif.org/research/C.....y-View.pdf

389.  Cdt Michel e.r. | 12/03/2018 @ 11:29 Répondre à ce commentaire

CK66 (#388),

Merci !

J’ai déjà traduit ce document, avec DeepL Traducteur
Climate Change: Evidence, Models, and Speculation
Leif Svalgaard, Stanford University, September, 2015

J’ai mis le premier jet sur Dropcanvas au format ODT [pour ceux qui peuvent le lire. Tant pis pour les autres 😉 ].
Ce Doc est encore bilingue. Il me reste à vérifier la traduction, déjà excellente, corriger les fautes de typographie et refaire la mise en page, après avoir supprimé le texte anglais.
Je mettrai la traduction définitive sur le même Dropcanvas au format PDF (et peut-être DOCX, si je suis de bonne humeur)

390.  micfa | 12/03/2018 @ 11:41 Répondre à ce commentaire

8ic (#384), Jouzel qui va nous dire que le soleil était beaucoup moins brillant il y a 600 millions d’années ? Alors il va falloir qu’il accorde ses violons avec ses collègues climatologues, notamment Ramstein qui écrit dans un livre : « A la sortie du protérozoïque il y a 600 millions d’années la puissance du soleil n’est plus très éloignée de celle que nous connaissons aujourd’hui. » Il précise aussi que la luminosité du soleil était inférieure de 30% à celle d’aujourd’hui, mais c’était il y a 4,5 milliards d’années et elle a augmenté de 7% par milliard d’années. Donc entre 500 et 600 millions d’années (période où le taux de CO2 dépassait 7000ppm) , la puissance du soleil n’était plus que de 3 à 5% inférieure à celle d’aujourd’hui. Pour vous, ces quelques pour cent de puissance en moins auraient donc suffi à limiter l’action du CO2 pour la ramener de 60° à 10° maximum pendant cette période. On imagine quelle devait être la température de la planète pendant l’archéen (il y a 3,5 milliards d’années) avec 25% de puissance solaire en moins: le zéro absolu. C’est l’effet de serre dans un congélateur, si la terre ne reçoit rien, elle ne rayonne rien, le CO2 n’absorbe rien même avec un taux astronomique, et la T° ne bouge pas. Comme le dit JC, ce n’est pas le CO2 qui chauffe, c’est le soleil. Pourtant l’océan archéen n’est pas froid puisqu’on trouve les premières traces de vie. La cuisine que vous évoquez n’est que la pure et simple application de la recette réchauffiste qui attribue au CO2 une efficacité démesurée en tant que GES. Vous pouvez remballer votre arrogance et ranger votre tuyau d’arrosage.

391.  the fritz | 12/03/2018 @ 14:03 Répondre à ce commentaire

micfa (#390), 8ic (#384),
http://pst.chez-alice.fr/tsp1.htm
Vous avez à la fin du chapitre 22 une image avec les teneurs estimées en CO2 de l’atmosphère ; vous avez le droit de na pas y croire , mais alors ne parlez pas de ce sujet , ou publiez
Vous vous rendrez compte que des glaciations , il y en a eu au précambrien et au primaire alors que les teneurs en CO2 étaient bien plus fortes qu’actuellement ; et puis il y a le permien et l’actuel qui coïncident avec des teneurs très faibles et malheureusement avec la période d’extinction biologique la plus forte , celle du Permien et peut-être comme l’annoncent les réchauffistes , la période actuelle
Pour le précambrien , certes le soleil était faible, la teneur en CO2 sans doute très élevée puisqu’il est maintenant enfoui dans la croûte via des processus biologique et sédimentaire dans les carbonates et les kérogènes , mais n’empêche que la température des océans d’après les premiers marqueurs minéraux avoisinait les 60°C

392.  Bernnard | 12/03/2018 @ 14:37 Répondre à ce commentaire

the fritz (#391),
La terre était très jeune encore chaude avec une croûte de faible épaisseur. Non ?

393.  Cdt Michel e.r. | 12/03/2018 @ 14:55 Répondre à ce commentaire

micfa (#390),

Pourquoi perdre votre temps avec un clone du Robertus Minus, à moins que ce ne soit encore lui-même sous un de ses autres pseudos ?

Je retourne à ma « traductation » qui est presque terminée.

394.  the fritz | 12/03/2018 @ 15:42 Répondre à ce commentaire

Bernnard (#392),
Bien sûr , et une forte chaleur interne héritée de la formation du système solaire

395.  amike | 12/03/2018 @ 16:21 Répondre à ce commentaire

Tant qu’on ne « debunk » pas les 2 affirmations suivantes, qui deviennent corrélation et donc cause-effet, on peut toujours prendre des références passées, cela ne sert à rien…

– jamais il y a eu aussi vite autant de CO2 ajouté à l’atmosphère
– jamais il y a eu aussi rapide montée des températures mondiales

Vu qu’on ne peut remonter dans le passé qu’avec une précision de plusieurs siècles, il ne reste plus qu’à être particulièrement méfiant sur les relevés de températures actuels, ou tout autre quantification des conséquences du supposé réchauffement (dégâts assurance, météo, agriculture, …).

396.  Cdt Michel e.r. | 12/03/2018 @ 16:34 Répondre à ce commentaire

CK66 (#388),
Cdt Michel e.r. (#389),

Traduction du Point de vue de Leif Svalgaard sur le changement climatique (PDF) terminée et mise sur Dropcanvas
Bonne lecture !

397.  micfa | 12/03/2018 @ 17:26 Répondre à ce commentaire

the fritz (#391), Le chapitre 4 (bilan et futur) est intéressant: » la vapeur d’eau contribue à 98% à l’effet de serre », ce qui sous-entend que les autres gaz dont le CO2 n’y contribuent qu’à 2%, ce qui corrobore ma conclusion, et j’ajouterai que la part injectée par l’homme y contribue encore moins. Pour les teneurs en CO2 au cours des temps, merci pour l’article mais je les connais déjà d’autant que le schéma ne va pas au-delà de 600 millions d’années. Le taux aurait même dépassé 60 PAL (1PAL=280ppm) il y a 3,2 milliards d’années, c’est pourquoi je parlais de taux astronomique.

398.  the fritz | 12/03/2018 @ 17:30 Répondre à ce commentaire

amike (#394),
Vous déconnez
Lisez un peu la littérature ; des relèvements de température il y en a eu des plein plus rapides qu’actuellement pendant les événements DO ; et le CO2 je crois que tout le monde le reconnaît , suit comme un mouton les variations de températures

être particulièrement méfiant sur les relevés de températures actuels

Si vous ne faites pas confiance aux mesures actuelles qui sont cent fois plus précises que les mesures passées , c’est que vous ignorez les précisions des mesures passées et actuelles ; peut-être que certains organismes traficotent un peu; mais c’est de gnognote ; et surtout ne confondez pas les modélisations issues de ces traficotages avec ce que le passé nous raconte

399.  the fritz | 12/03/2018 @ 17:33 Répondre à ce commentaire

micfa (#397),
Je répondais surtout à 7ic

400.  rpf | 12/03/2018 @ 18:19 Répondre à ce commentaire

Cdt Michel e.r. (#396),
Merci pour ce document « Point de vue de Leif Svalgaard sur le changement climatique » traduit par vos soins.
On peut recommander sa lecture pour qui veut s’instruire: références récentes, hypothèses multiples mais point de vue distancié, approche globale.