Phénomènes climatiques émergents

Par Willis Eschenbach

Article paru sur WUWT, traduction par Scaletrans.

Dans un post récent, je décrivais comment l’altération El Niño/La Niña opère comme une pompe géante. Lorsque l’Océan Pacifique devient trop chaud à sa surface, la pompe El Niño/La Niña se met en marche et enlève l’eau chaude du Pacifique, la pompant d’abord vers l’ouest puis vers les pôles. J’ai aussi écrit à propos des dauphins dans un article intitulé “Here There Be Dragons”.

Remplissant une obligation à laquelle je m’étais engagé dans l’article précédent en disant que j’écrirais à propos d’émergence et de climat, permettez-moi de prendre un point de vue plus large sur la situation en notant que El Niño et les dauphins sont tous les deux des exemples de choses que l’on nomme phénomènes “émergents”.

emergent-fig-1

Figure 1. Mains émergeant du papier…

L’émergence est un concept très important. Les systèmes avec phénomènes émergents opèrent selon des règles radicalement différentes des systèmes simples. Aujourd’hui, je voudrais parler des systèmes émergents, et pourquoi ils doivent être analysés de façon différente des systèmes sans phénomène émergent.

Les exemples de phénomènes émergents qui nous sont familiers comprennent les dunes de sable, le comportement des vols d’oiseaux, les vortex de toutes sortes, les termitières, la conscience, et naturellement la vie elle-même. Les phénomènes climatiques émergents familiers comprennent les orages, tornades, nuages, cyclones, El Niños et tourbillons de poussière.

De façon générale, nous reconnaissons les phénomènes émergents parce qu’ils nous surprennent. Par phénomènes émergents, je veux dire ceux qui ne sont pas directement prévisibles à partir de la configuration sous-jacente et de la physique de la situation. Regardons un termite, si nous ne savions rien à propos des termitières, il n’y a aucune chance que vous puissiez dire “hé, je parie que ces insectes construisent des structures très complexes mille fois plus grandes qu’elles, avec une circulation d’air spéciale pour les maintenir au frais”. Vous ne pourriez en aucun cas imaginer les termitières en regardant les termites. Il s’agit d’un phénomène émergent.

Le phénomène El Niño est un autre excellent exemple d’émergence. En regardant une étendue d’eau comme le Pacifique, il n’y a aucune chance que vous puissiez dire “Hé, je parie que cet océan possède un système naturel complexe qui se déclenche lorsqu’il devient chaud et qui pompe l’eau chaude jusqu’aux pôles”. Vous ne pourriez déduire l’existence d’El Niño de l’existence de l’Océan Pacifique. C’est aussi un phénomène émergent.

Outre leur surprenante émergence depuis l’arrière plan, quelles autres caractéristiques les phénomènes émergents possèdent-ils pour nous permettre de les distinguer d’autres phénomènes non émergents ?

Une propriété commune des phénomènes émergents est qu’ils sont des systèmes fluides éloignés de l’état d’équilibre. Il s’en suit qu’ils doivent évoluer et changer pour survivre. Ils sont mobiles et mutables et non fixes et sans changement. Et à l’échelon local (mais pas globalement évidemment), ils peuvent inverser l’entropie (organiser l’environnement local). En fait, l’autre nom pour les phénomènes émergents est “phénomène auto-organisé”.

Un autre critère de reconnaissance des phénomènes émergents est qu’ils surgissent spontanément lorsque les conditions sont optimales. Ils n’ont pas à être générés artificiellement. Ils se créent eux-mêmes en réponse à des stimuli externes.

Ensuite, ils ont souvent une durée de vie. Par durée de vie je veux dire qu’ils viennent à exister à certains moments et certains lieux, souvent lorsque quelque seuil naturel est dépassé. Ensuite leur existence se prolonge durant un certain temps, et à la fin de cette période, ils se dissipent ou disparaissent.

Autre caractéristique des phénomènes émergents : ils ne sont pas cycliques, ou pseudo-cycliques dans le meilleur des cas. Ils ne se répètent ni ne se déplacent de façon ordonnée ou répétitive. Souvent ils peuvent se mouvoir indépendamment, et lorsque c’est le cas, leurs mouvements sont difficiles à prévoir.

Autre particularité des phénomènes émergents : ils sont souvent basés sur un seuil. Cela veut dire qu’ils émergent rarement en dessous de ce seuil, mais au-dessus, leur nombre s’accroît rapidement.

Autre attribut des systèmes émergents est qu’ils sont souvent associés à des changements de phase dans les fluides en rapport, p. ex. les nuages apparaissent à cause d’un changement de phase de l’eau.

Un dernier attribut des systèmes émergents basés sur des seuils est important dans cette discussion – ils présentent une “sur-réaction ” ou hystérésis (1). Dans la circulation de Rayleigh-Bénard montrée ci-après, cela prend un certain seuil de différence de température du sommet jusqu’à la base pour causer l’émergence du modèle de circulation. Mais une fois la circulation établie, elle persiste même si vous baissez la température bien en dessous du seuil de déclenchement.

Donc ce sont quelques aspects caractéristiques des phénomènes émergents. Ce sont des systèmes fluides éloignés de l’état d’équilibre qui surgissent spontanément, souvent lorsqu’un seuil critique est franchi. Il ne sont pas clairement prévisibles à partir des conditions sous jacentes. Ils se déplacent et se comportent de façon imprévisible, ils sont souvent associés à des changements de phase, et présentent une “sur-réaction“ (hystérésis).

Cependant, tous les systèmes émergents ne sont pas créés égaux. Certains sont ce que nous pourrions appeler de “domaine étendu”. Par exemple, nous avons l’émergence spontanée de circulation naturelle de “Rayleigh-Bénard” dans un fluide chauffé de la base au sommet.

emergent-fig-2

Figure 2. Circulation de Rayleigh-Bénard. Curieusement, le sens de lecture est du haut en bas de la colonne de droite, puis du haut en bas de la colonne de gauche. A la fin émerge une série organisée de zone surgissant et tombant. Elle se caractérise par des parties étroites montant rapidement, séparées par des parties descendantes plus larges et plus lentes. Légende d’origine : naissance et développement de cellules de convection thermique Rayleigh-Bénard. Noter la régularité des “Bulles” initiales et leur coalescence pour former de plus grandes boucles.

Autre type de système émergent plus complexe qui pourrait être qualifié “d’indépendant”. Des exemples dans le monde climatique sont les orages et les tourbillons de poussière. Contrairement aux phénomènes émergents de domaine étendu, ils sont libres de traîner dans le paysage. Comme tous les systèmes de flux éloignés de l’équilibre, ils s’ajustent et évoluent continuellement pour répondre aux contraintes physiques. Par exemple, les orages se déplacent de préférence vers des zones plus chaudes.

Comme je l’ai dit plus haut, je désire mettre en lumière la différence entre l’analyse de systèmes qui contiennent des phénomènes émergents et ceux qui n’en contiennent pas. Ma thèse est que les systèmes à phénomènes émergents ne peuvent pas être analysés de la même façon que les systèmes sans phénomènes émergents. Le corollaire étant que les modèles climatiques ne sont appropriés que pour les systèmes sans phénomène émergent. Laissez moi vous donner un exemple de chaque sorte de système afin que vous puissiez voir la différence.

Pour le premier système, considérons une plaque de fer plane chauffée dans le vide par le soleil ou autre source. Si la source de chaleur varie, la température de la plaque de fer varie aussi. Cette variation de température avec apport d’énergie est assez régulière et prévisible. Si nous traçons la courbe, nous verrons qu’il n’y a pas d’angles dans la courbe. En outre, plus la plaque de fer reçoit d’énergie, plus elle chauffe, selon une relation mathématique inchangée entre le rayonnement reçu et la température de la plaque de fer. Donc, nous pouvons l’approcher par une ligne droite.

Maintenant, remplaçons la plaque de fer plane par une plaque d’eau fraiche, et nous ajouterons la potentialité de nuages et d’orages comme phénomène émergent. Avec l’eau fraîche, nous voyons au début à peu près la même chose qu’avec la plaque de fer – plus nous ajoutons d’énergie, plus l’eau se réchauffe. Tout est gentiment proportionnel, l’eau se comportant juste comme le fer. (Oui, il y a un million de détails [en plus], mais suivez-moi, c’est un exercice intellectuel).

Mais à un certain moment, une chose curieuse et surprenante se produit. Un seuil est dépassé, et des nuages se forment. Et lorsque cela arrive, ils renvoient une partie de l’énergie entrante vers l’espace. Ainsi nous avons un point d’inflexion dans la courbe énergie entrante/température. Nous ne réchauffons plus aussi vite qu’avant.

emergent-fig-3Toutefois, si l’énergie entrante continue à augmenter, une chose plus surprenante arrive. Une autre limite est franchie et des orages commencent à se former. Ils refroidissent la surface de différentes manières, la plus importante étant par aspiration de l’air chaud de surface via le centre des orages vers les hautes altitudes. Ceci soustrait presque tous les gaz à effet de serre ( H2O et CO2) de la basse troposphère, et permet le libre rayonnement d’énormes quantités d’énergie thermique vers l’espace. Mais ce n’est pas tout, les orages différent radicalement d’une rétroaction parce qu’ils refroidissent la surface bien en dessous du seuil de température de déclenchement d’orage. Cela signifie qu’ils peuvent non seulement ralentir une élévation de température mais la stopper.

Et à ce stade, lorsque les orages commencent à se former, l’eau cesse simplement de se réchauffer. Des accroissements supplémentaires d’énergie se traduisent simplement par des accroissements supplémentaires d’orages et des changements de leur orientation, ce qui fait que la température de surface se réchauffe difficilement après cela.

Maintenant, l’une des affirmations des supporters du RCA est qu’il y a une relation linéaire entre énergie entrante et température. Ils disent que toute augmentation d’énergie entrante doit se traduire par une augmentation de température de surface. En dépit du caractère non linéaire du système, l’affirmation est que, dans un intervalle étroit, une approximation linéaire de la relation entre énergie et température est une représentation très raisonnable de la réalité.

Mais dans la partie orage du régime thermique tropical, il est important de noter que, non seulement la relation entre énergie entrante et température n’est pas linéaire, mais en fait il n’y a pas de relation entre énergie entrante et température. Donc on ne peut même pas la représenter par une relation linéaire. Dans ce régime, les hausses d’énergie entrante sont généralement absorbées par un accroissement du nombre d’orages et une augmentation de l’évaporation et de la convection, laissant seulement de petites variations résiduelles de température.

Donc une raison pour laquelle on ne peut simplement pas coller une approximation linéaire à une relation non linéaire est parce que dans le régime d’orage il n’y a presque pas de relation, non linéaire ou autre, entre énergie entrante et température. Étant donné le nombre de changements de phases de l’eau en jeu dans le système orageux, cela ne devrait être aucunement surprenant – la même situation se produit exactement lorsque l’eau bout. La température de l’eau bouillante ne peut même plus être évaluée en regardant la quantité d’énergie entrant dans l’eau. Le système de l’eau bouillante déplace simplement l’énergie en son sein à un rythme plus élevé, il ne chauffe pas plus. Exactement la même chose se produit dans le régime orageux. Si vous augmentez le rayonnement solaire, tout ce que vous obtenez est plus orages se déplaçant plus rapidement. La surface ne devient pas plus chaude, l’énergie et l’eau circulent juste plus vite.

Il y a une deuxième raison pour laquelle vous ne pouvez pas juste faire une moyenne, notez que la moyenne ne varie pas beaucoup et suppose la linéarité. Le problème est que sous les tropiques, la sensibilité climatique diffère grandement selon l’heure du jour. Voici pourquoi : d’abord, sans référence à quoi que ce soit d’autre ; la sensibilité climatique est une fonction inversement proportionnelle à la température pour plusieurs raisons.

· Le rayonnement est fonction de T^4.

· Les pertes parasites augmentent avec la température

· Les mécanismes émergents de refroidissement (orages, tourbillons de poussière, pluie) sont fonction de la température lorsqu’elle est nettement plus élevée que le seuil d’émergence.

Donc il est clair que la sensibilité climatique est en proportion inverse de la température, chutant lorsque la température augmente. Ce n’est une constante dans aucune acception du mot.

Ensuite, la sensibilité climatique varie en temps et en espace. A l’aube dans les tropiques éminemment critiques où l’énergie entre dans le moteur thermique planétaire que nous appelons climat, la température s’élève rapidement à cause de l’absence de nuages – une forte variation de température par watt (haute sensibilité). A la fin de la matinée, les watts augmentent toujours mais les nuages réduisent fortement l’élévation de température – variation de température par watt plus faible (basse sensibilité). Et en réalité, certaines zones à certains moments peuvent montrer une sensibilité négative, et certaines zones de la planète ne sont pas du tout sensibles au forçage.

Maintenant, la sensibilité climatique moyenne globale, celle que les gens considèrent comme constante, n’est rien de plus que la moyenne de ces sensibilités hautement variables. Mais la moyenne est extrêmement trompeuse parce qu’elle est considérée comme constante ou semi-constante. Dans le monde réel cependant, la sensibilité climatique n’est pas constante en quoi que ce soit. Elle est à la fois inversement proportionnelle à la température et hautement non linéaire.

Par exemple, dans la Figure 3 ci-dessus, la “sensibilité climatique” est considérée comme la pente moyenne de la tendance linéaire reliant température et rayonnement entrant. Comme on peut le voir, si la terre était comme une plaque de fer sans phénomène émergent, une ligne droite approche extrêmement bien la courbe à toute température. Mais dans le monde réel avec eau et nuages, la ligne de tendance ne signifie rien – elle ne représente nullement la véritable sensibilité climatique à quelque température que ce soit.

Le résultat est qu’on ne peut pas juste dire que, parce que la température globale de surface varie peu, on peut la traiter comme une constante. La moyenne n’est pas réelle, c’est une chimère mathématique. Dans le monde réel, nous ne voyons pas de température moyenne. Si la “température moyenne” s’élève d’un degré, et cela se produit de façon uniforme, n’oublions pas que la température matinale est de, disons, 7°C à 8°C, alors que l’après midi elle est de 22°C à 23°C.

Mais la sensibilité climatique et sa variation avec la température sont très, très différentes dans les deux régimes de température du matin et de l’après midi. Cela prend beaucoup, beaucoup plus d’énergie de passer de 22°C à 23°C que de passer de 7°C à 8°C. Donc, le fait que la température moyenne ne varie pas beaucoup est hautement trompeur. En réalité, la dépendance de la sensibilité à la température fait une énorme différence dans la façon dont le système réagit au forçage.

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51.  Imaz-Aizpurua | 13/12/2016 @ 18:12 Répondre à ce commentaire

Géd (#46),

Ici, sur ce site, la croyance de base est que
l’homme n’est pas responsable du réchauffement climatique

En ce qui me concerne, électricien, ayant fait de la science
bien avant de faire de technicien
(cf. Munibe 1977, 3-4, page 198 ; Aranzadi)
j’affirme en totale impunité que :
je suis à 97% sûr que l’homme, ni la femme d’ailleurs,
« n’est pas responsable du réchauffement climatique » !

ni Eschenbach, ni Tsih et encore moins le sieur Imaz-Aizpurua
ne sont Galilée ou Einstein

Concernant les « grands » hommes, que nous ne le sommes pas,
(je ne sais pas si je l’ai bien écrit…)
il y a quelques jours, chez l’équivalent de Pour la Science
(Investigación y Ciencia), j’ai écrit (Joxanjel) :

Ne dit-on pas que derrière un grand homme y il a toujours une femme?
Qui lui lave le caleçon ?

Investigación
Bref, humilité et méfiance à tous les 97%…
JAIA

52.  math | 13/12/2016 @ 18:31 Répondre à ce commentaire

Géd (#48),

Mais mon cher ce qui est affirmé sans preuve peut être démontré sans preuve il me semble.

Si il y avait une preuve scientifique alors le débat n’existerait plus. non ?
Alors sachez accepter les différences hypothèses dans la recherche de la compréhension du fonctionnement du climat en respectant vos interlocuteurs. A moins bien sur que vous pensassiez que l’homme à tout compris sur le fonctionnement du climat terrestre et que le débat est clos.

Personnellement je préfère les gens qui se posent des questions à ceux qui comme vous avalisent la pensée unique dogmatique.

53.  papijo | 13/12/2016 @ 18:40 Répondre à ce commentaire

Géd (#48),

Quant aux modèles climatiques n’en parlons pas, ils ont le tort de donner des indications sur ce qui nous attend, c’est vraiment insupportable n’est-ce pas ?

Vous êtes sûr de ce que vous écrivez ?

Voici un graphique tiré du dernier rapport du GIEC qui compare (pour une fois) les calculs aux observations. Pourriez vous nous dire ce qu’il signifie pour vous (il représente la vitesse du réchauffement observée par le HADCRUT et calculée dans le cadre CMIP5 exprimée en °C par décennie) et à quel échauffement on (vous peut-être, mais pas moi) devrait arriver en 2100 ?

J’espère que vous n’allez pas nous dire que le GIEC ne publie que des inepties !

54.  scaletrans | 13/12/2016 @ 19:11 Répondre à ce commentaire

tsih (#45),

Il faut quand même remarquer qu’Einstein s’était un peu beaucoup servi des travaux de Poincarré sur la relativité restreinte. Fait largement reconnu dans les pays autres que la France…

55.  tsih | 13/12/2016 @ 19:52 Répondre à ce commentaire

scaletrans (#54),

Vous avez raison, mais c’est reconnu, tout de même, et il n’y a pas seulement les travaux du grand Poincaré qui l’ont puissamment épaulé. A un moment donné un individu exceptionnel émerge parfois qui, monté sur les épaules de ses prédécesseurs, est capable et ose remettre en cause ce que les autres considéraient comme acquis et allant de soi.
Faire de grandes choses en science n’est au fond rien d’autre que surmonter ses préjugés.
Ensuite Einstein a lui-même beaucoup tâtonné et s’est trompé sur la nature de la mécanique quantique et avec la constante cosmologique par exemple.

56.  BenHague | 13/12/2016 @ 21:03 Répondre à ce commentaire

tsih (#38),

C’est curieux cette manie des marins de faire des phrases ….

Encore une fois je ne fais que proposer d’introduire les articles (pas de les filtrer) et de présenter sommairement l’auteur ( journaliste , blogueur , Scientifique du xxxx , etc ) .

Une autre proposition serait aussi de publier des articles/papiers « rechauffistes » afin de mener une critique constructive et argumentée (quelle est le point faible de l’argumentation, existe t il un papier adoptant une autre position ? pourquoi ? …. ). Parce que re-publier des articles d’autres sites ayant la meme opinion , c’est bien , mais le risque est de tomber dans une chambre d’echo . Je trouve qu’en cela le site de Judith Curry est trés bien …

57.  Nicias | 13/12/2016 @ 21:32 Répondre à ce commentaire

tsih (#50),

Je ne vois pas en quoi le fait de ne pas avoir de formation scientifique empêcherait de rapporter, honnêtement et sans les déformer, les travaux des scientifiques.

sauf bien sûr si au lieu d’être Huet, un réchauffiste pur et dur, c’est Eschenbach, un « climatosceptique » notoire et qui n’a pourtant strictement rien fait d’autre ici.

Mais il n’a pas dit que Eschenbach était décrédibilisé par son cv ! Il est « subtil ». Il n’a fait que poser la question de manière répétée sans y répondre. On imagine que le script est bien conçu. Des « time pass out » ou des « try catch error » ont sans doute empêché le système de planter ou le processeur de surchauffer. Le problème non résolu du cv de Huet conduisant irrémédiablement le ventilo à faire griller l’alim dans le cas contraire, qui sait ?

Il a même reconnu des mérites à un texte de Eschenbach. Fin stratège, capable de battre aux échecs des grand maîtres comme Robert ou Luc, Ged ne pouvait manquer de voir que Eschenbach, qui tapait sur les « 22 vérités » de Bardinet, s’embarquait bêtement dans une lutte contre « son propre camp ». Ged a-t-il compris quelque chose au temps de résidence du carbone dans l’atmosphère ? Nul ne le saurait le dire. Le principe de parcimonie nous dit que non. On a pas besoin de cette hypothèse que rien ne vient étayer.

Enfin Ged nous explique que l’article d’Eschenbach sur l’émergence est douteux car « il remet en cause la validité des modèles climatiques ». Voyez, pas besoin du cv d’Eschenbach pour juger de la qualité de l’article. Ni de ne rien comprendre au sujet d’ailleurs.

Encore une insulte, tsih, pour qui que ce soit, et je vous colle au purgatoire de la pré-modération pour de longs mois.

58.  Nicias | 13/12/2016 @ 21:34 Répondre à ce commentaire

BenHague (#56),

Vos propositions ont quelques mérites et nécessitent un volontaire pour les réaliser.
Je ne sais pas si vous avez remarqué mais on publie de manière outrageusement fréquente des articles issus du blog de JC.
Bon cordialement, je suis pas forcement au meilleur de ma forme au niveau du management.

59.  Gilles des Landes | 13/12/2016 @ 22:28 Répondre à ce commentaire

Imaz-Aizpurua (#51), faut-il réellement relever face à tant de « négationnisme » ?
D’aucuns sont bien loin de la réalité et sont prêts à toute forme de violence pour faire passer leurs idées.
Je préfère quant à moi rester dans l’objectivité sans entrer dans une stérile et inutile polémique.
A propos, j’espère que le piment d’Espelette n’est pas menacé par le RC(A) ??? avec tout ce qu’on entend aujourd’hui, je m’inquiète…
Adishatz mon ami et bon courage…
ah, comme disait Alphonse … (lequel ?)
« il ne faut pas prendre la vie au sérieux car on n’en ressort jamais vivant »
J’adore…

60.  tsih | 13/12/2016 @ 23:02 Répondre à ce commentaire

Nicias (#57),

Nicias, je ne me contorsionnerai pas avec vous en pretzel. Je suis d’une nature très fruste, vous savez. Je ne m’intéresse ni de près ni de loin à la « subtilité » de « l’argumentation » dont vous parlez, je n’y vois qu’une lamentable tentative de diversion pour cause de vacuité totale du discours au niveau de la seule chose qui compte vraiment, à savoir le fond, comme je l’ai déjà dit.
Un tel comportement quand il m’interpelle personnellement de façon répétée et me fait perdre mon temps ne mérite et ne déclenche de ma part que des insultes et du mépris. Si cela implique un futur séjour au purgatoire voire en enfer ainsi soit-il. L’air est très pur au grand large.

61.  7ic | 13/12/2016 @ 23:18 Répondre à ce commentaire

tsih (#35),

Bof non, les simulations de nuages à très haute résolution sont en accord avec les observations. C’est un peu discuté dans le dernier IPCC (7.2.2). Pour en savoir plus, il va falloir lire autre chose que WUWT.
Quant à l’article de Willis Eschenbach, c’est, sans surprise, une catastrophe.
Vous passez votre temps à raconter n’importe quoi. Ironique, pour quelqu’un qui traite tout le monde de « benêt ».

62.  tsih | 13/12/2016 @ 23:20 Répondre à ce commentaire

BenHague (#56),

Je trouve qu’en cela le site de Judith Curry est trés bien …

Ben ça tombe bien, moi aussi, comme celui de Roy Spencer d’ailleurs et j’y laisse un commentaire ou deux parfois.
J’espère surtout que vous avez bien noté que la position scientifique de ces gens là, comme la mienne d’ailleurs, n’a rien du tout à voir avec et ne rentre pas du tout dans la caricature dans laquelle les réchauffistes les plus enragés aimeraient bien l’enfermer.
Ce qui décuple encore leur fureur.

63.  Géd | 14/12/2016 @ 1:08 Répondre à ce commentaire

math (#52),

Si il y avait une preuve scientifique alors le débat n’existerait plus. non ?

Le débat sur quoi au juste ?

Si vous pensez au rôle prépondérant du CO2 dans le réchauffement climatique le « débat » n’existe que chez les climatosceptiques.

64.  Géd | 14/12/2016 @ 1:15 Répondre à ce commentaire

Nicias (#57),

Ged a-t-il compris quelque chose au temps de résidence du carbone dans l’atmosphère ? Nul ne le saurait le dire. Le principe de parcimonie nous dit que non.

C’est bien de prendre les gens pour des cons en prenant exemple autour de soi, mais ça finit par se voir et ça n’est pas vraiment à votre avantage Nicias.

Je sais parfaitement ce qu’est le temps de résidence du carbone dans l’atmosphère, contrairement à votre ami Bardinet qui est allé se ridiculiser sur WUWT et s’est fait démonter en petits morceaux par bon nombre de commentateurs, dont Willis Eschenbach.

D’ailleurs je n’ai pas souvenir avoir vu grand chose ici sur ce moment épique, essayeriez-vous de cacher la misère de vos petits copains ?

Autrement j’ai bien aimé votre comparaison du cerveau humain avec un ordinateur, on voit l’informaticien qui ressort et ça ressemble fort à du vécu.

65.  Abitbol | 14/12/2016 @ 8:57 Répondre à ce commentaire

Si vous pensez au rôle prépondérant du CO2 dans le réchauffement climatique

Tout comme il n’y a pas de débat au Vatican sur la prépondérance de dieu dans notre existence.
Mais je ne suis pas obligé de payer pour les croyances des chrétiens. Si les réchauffards ne nous taxaient pas, il n’y aurait aucun problème, je les laisserai vivre selon leur croyance.
Le département de l’énergie vient de refuser une « information request » à Trump, on peut espérer un peu de ménage dans les églises climatiques et une loi de séparation type 1905 concernant le RCA.

66.  tsih | 14/12/2016 @ 8:59 Répondre à ce commentaire

7ic (#61),

Bof non, les simulations de nuages à très haute résolution sont en accord avec les observations

Ben voyons.

Comme aimait à le rappeler John Von Neumann:

With four parameters I can fit an elephant, and with five I can make him wiggle his trunk.

Et après les gens s’offusquent parce qu’on les traite de benêts. Là j’ai encore un autre mot qui me vient à l’esprit.

67.  Nicias | 14/12/2016 @ 10:03 Répondre à ce commentaire

7ic (#61),

Bof non, les simulations de nuages à très haute résolution sont en accord avec les observations. C’est un peu discuté dans le dernier IPCC (7.2.2).

Oui c’est dingue ce qu’on arrive à faire avec des paramètres dans un modèle « à très haute résolution » même quand « the fundamen-
tal details of these microphysical processes are poorly understood » (7.2.3).

Ceci dit Tsih parlait des GCM pas de modèles qu’on fait tourner quelques heures avec une résolution de quelques dizaines de m.
Et même si on y arrivait à avoir des ordinateurs assez puissant, et bien on aurait pas les données pour les nourrir.

68.  Nicias | 14/12/2016 @ 10:07 Répondre à ce commentaire

Géd (#64),

Je sais parfaitement ce qu’est le temps de résidence du carbone dans l’atmosphère

C’est loin d’être démontré mais c’est possible. sauf qu’on s’en fout puisque ce n’est pas une information utile lorsqu’on analyse vos commentaires.

69.  Imaz-Aizpurua | 14/12/2016 @ 10:37 Répondre à ce commentaire

Gilles des Landes (#59),
Climat et Vie…
Vie…

Ne prenez pas la vie trop au sérieux,
de toute façon, vous n’en sortirez pas vivant.
(Bernard le Bovier de Fontenelle [1657-1757])

Parole de Sioux
Climat…

Piment d’Espelette : L’Or rouge se porte bien (06/07/2016)

France 3
Adishatz, agur!
JAIA

70.  7ic | 14/12/2016 @ 10:42 Répondre à ce commentaire

Nicias (#66),

Non. Tsih ne parlait pas des GCM, mais faisait l’hypothèse que des GCM à la résolution dont on parle existent : « Supposons que par magie l’on puisse disposer d’un ordinateur assez puissant pour réduire la taille du maillage par un facteur 10, 100 ou même 1000 ». Je ne dis pas que si c’était le cas, les incertitudes seraient réduites à 0 (elles seraient significativement réduites). Je ne vous dis pas que tout est compris. Je vous dis juste que vous racontez n’importe quoi.
Concernant votre dernière phrase, là aussi n’importe quoi : un GCM n’est pas « nourrit » par des données (sauf si par là vous pensez à l’insolation, les GES, etc ? Mais dans ce cas, ben, vous racontez quand même n’importe quoi).

71.  7ic | 14/12/2016 @ 10:51 Répondre à ce commentaire

Nicias (#67),
je rajouterai ceci : ce n’est pas parce que tel ou tel processus est mal représenté, qu’on ne peut pas représenter le comportement du système. Tout dépend de l’importance du processus en question. Donc votre citation, sans plus de discussion, c’est du vent. Vous comprenez ?

72.  the fritz le testut | 14/12/2016 @ 12:39 Répondre à ce commentaire

Imaz-Aizpurua (#69),
Salut ,
tes commentaires sont toujours les bien venus
Fritz

73.  the fritz le testut | 14/12/2016 @ 13:52 Répondre à ce commentaire

the fritz le testut (#70),
Pour les physiciens qui font le tour du monde
Les théorèmes d’incomplétude de Gödel qui expliquent en fin de compte les phénomènes d’émergence, n’ont cependant toujours pas expliqué la théorie du tout de notre cosmologiste réputé Stephen Hawking qui a toujours besoin d’un créateur pour expliquer la naissance de l’univers à partir de rien
Ce même Stephen qui nous annonce la fin de l’humanité à cause du réchauffement provoqué par elle-même
« Le plus célèbre astrophysicien du monde, Stephen Hawking, vient d’annoncer sur BBC 4 que la plus grande menace pour notre humanité est… elle-même. Les avancées technologiques notamment les robots dotés d’intelligence artificielle et, pêle-mêle, la possibilité d’une guerre nucléaire, le réchauffement climatique, les virus issus de nos manipulations génétiques, peuvent nous faire basculer dans le néant beaucoup plus tôt que prévu, dès les siècles prochains…. Seul espoir pour lui : disperser l’humanité, en premier lieu sur Mars »
Je pense que les physiciens , qu’ils soient astro ou climato physiciens devraient voir leurs limites quand il s’agit de prévoir l’avenir de milieux chaotiques et se résigner à décrire le passé comme le font, avec beaucoup d’humilité , les paléoclimatologues

74.  Imaz-Aizpurua | 14/12/2016 @ 15:49 Répondre à ce commentaire

the fritz le testut (#71),
Avec la permission de Nicias,
un hors sujet, quoique…
Pour moi, Stephen Hawking est aussi un
« phénomène émergent », tout comme la naissance
d’une passion pour le climat, pour de gens qui
ne se sont jamais intéressé ni à la science,
ni au passé, puisque pour le climat il faut,
semble-t-il, 30 ans de passé..
S’il n’était pas « accroché » à un fauteuil roulant,
il n’aurait pas « émergé » du « bruit de fond » des
autres physiciens ; parce que, qui s’intéresse
aux étoiles qui finissent en étoiles à neutrons
ou en trous noirs ?
Et, sans le « réchauffement climatique »,
qui se serait intéressé pour Jouzel, Mann, etc.,
noyés dans un « bruit de fond » de scientifiques

de métier que, chaque année, parcourent des milliers
de titres, lisent des centaines de résumés et
s’attardent sur quelques articles

?
(Stephen Jay Gould, 1983, Quand les poules auront des dents)
JAIA

75.  Marco40 | 14/12/2016 @ 16:32 Répondre à ce commentaire

the fritz le testut (#71), Je pense que c’est typiquement humain (ou de culture judéo-chrétienne?) cette peur de l’inconnue, du lendemain de la maîtrise des sciences.
Elle peut être partiellement fondée du fait de nombreux cas de quasi extinction des espèces vivantes depuis les débuts de la vie sur Terre. Mais je trouve cela profondément pessimiste. Même en allant sur Mars, limitant l’extinction de notre espèce si nous ne pouvions empêcher un cataclysme naturel de se produire, on pourrait ajouter au même chapitre et dire que notre système solaire pourrait rencontrer un trou noir….

76.  the fritz le testut | 14/12/2016 @ 18:07 Répondre à ce commentaire

Marco40 (#75),
Qu’est-ce que le pessimisme a à voir avec la science ? et les extinctions avec le CO2 où l’activité humaine ; quant aux cataclysmes et l’absorption du système solaire par le trou noir de la voie lactée , je pense que la collision avec la galaxie d’Andromède se passera bien avant

77.  Hug | 14/12/2016 @ 18:50 Répondre à ce commentaire

the fritz le testut (#73),

Seul espoir pour lui : disperser l’humanité, en premier lieu sur Mars


Mwouarf, sacré Devin Hawking

78.  Géd | 14/12/2016 @ 18:54 Répondre à ce commentaire

papijo (#53),

Voici un graphique tiré du dernier rapport du GIEC

On peut faire dire n’importe quoi à un graphique tiré de son contexte.

Il y a peut-être des milliers de graphiques dans les rapports du GIEC et vous m’en sortez un sans donner aucune référence, aucun lien, et surtout pas les commentaires qui vont avec, et vous voulez que je vous donne mon avis ?

Quant à la fiabilité des modèles climatiques, les projections de James Hansen en 1988 se portent plutôt bien.

79.  Cdt Michel e.r. | 14/12/2016 @ 19:14 Répondre à ce commentaire

Géd (#77),
Et Sa Suffisance nous met un lien vers le site scientifique de référence du Têtard mouillé. Mouarf !!!
Tout est bon pour nous attirer dans son marécage.

80.  tsih | 14/12/2016 @ 19:47 Répondre à ce commentaire

the fritz le testut (#73),

Pour les physiciens qui font le tour du monde

Vous savez ce qu’elle vous dit la marine française ?

Voir la célèbre pièce de Marcel Pagnol.

Après j’ai malheureusement tout de suite calé là:

Les théorèmes d’incomplétude de Gödel qui expliquent en fin de compte les phénomènes d’émergence

Vous ne vous seriez pas endormi à coté du radiateur chauffé aux vilains fossiles ?

81.  Hug | 14/12/2016 @ 19:52 Répondre à ce commentaire

Cdt Michel e.r. (#79),
Il a tout de même raison de dire que les projections de Hansen se portent bien:

A part le pic de 2016 qui n’avait pas été prévu, le scénario C est remarquablement proche de la réalité de la T° globale donnée par son propre service (GISS).
Euh, on me dit à l’oreillette que:
1. le scénario C, c’est taux de CO2 atmosphérique stabilisé à partir de 2000, alors que le taux de CO2 a en réalité augmenté conformément au scénario B, voire A.
2. la T° globale établie par le GISS souffrirait en plus d’ajustements à la hausse un peu excessifs et que même le scénario C serait au-dessus de la réalité.
On nous aurait menti ? En fait Hansen se serait trompé ?

82.  the fritz le testut | 14/12/2016 @ 19:59 Répondre à ce commentaire

tsih (#80),

Après j’ai malheureusement tout de suite calé là:

Moi aussi , après les phénomènes d’émergences de Willie et vos commentaires ; je suppose que la Marine Française a fait le tour du monde avant les phénomènes d’incomplétudes , m…., les théorèmes

83.  tsih | 14/12/2016 @ 20:33 Répondre à ce commentaire

Cdt Michel e.r. (#79),

Ayez pitié de Son (In)Suffisance, elle s’ennuie à mort dans son caniveau et manque cruellement d’amour.

Personne pour lui exprimer toute son admiration devant la profondeur de ses « analyses » et la quintessence de ses « articles » qui consistent courageusement à copier des commentaires de vrais articles ici ou ailleurs pour les coller chez lui et les couvrir de son vomi et de son fiel.

Je propose que l’on fasse preuve de générosité avec Noêl qui approche et qu’on lui rende une courte visite pour déposer chacun un petit commentaire bien aimable.

Cela lui ferait tellement plaisir et après tout bien couvert avec tenue de protection, masque et gants ce ne serait pas la mer à boire.

84.  papijo | 14/12/2016 @ 20:46 Répondre à ce commentaire

Géd (#78),

On peut faire dire n’importe quoi à un graphique tiré de son contexte.
Il y a peut-être des milliers de graphiques dans les rapports du GIEC et vous m’en sortez un sans donner aucune référence, aucun lien, et surtout pas les commentaires qui vont avec, et vous voulez que je vous donne mon avis ?

Et moi qui croyais que le dernier rapport était votre livre de chevet ! Vous trouverez la figure à la page 771 du 9ème chapitre consacré à l’évaluation des modèles

Bien entendu, je vous ai caché que si les modèles sont minables pour prévoir le futur, ils sont bien meilleurs pour prédire le passé ! Dans ce chapitre, vous verrez aussi d’autres figures qui disent comme celle-ci que les modèles n’ont pas prédit le hiatus, mais avec des échelles tellement « travaillées » … qu’il faudrait sortir la loupe pour voir quelque chose !

85.  Cdt Michel e.r. | 14/12/2016 @ 21:10 Répondre à ce commentaire

tsih (#83),

Est-ce bien prudent ?
Ne faudrait-il pas d’abord désinfecter scrupuleusement cet endroit pestilent ? Certains crapauds ne sont-ils pas dangereux ?
Est-ce qu’une tenue NBC complète avec masque anti-gaz serait suffisante ? Avec scaphandre lourd complet peut-être ?
N’étant plus en ordre de vaccinations typhus, para-typhus, tétanos, fièvre jaune et autres, je préfère m’abstenir.

Mais qu’est-ce que je raconte ? Mon fidèle Firefox me dit :
Erreur de chargement de la page

Adresse introuvable
Firefox ne peut trouver le serveur à l’adresse sogeco31.blogspot.fr.

Après de longues recherches, j’ai enfin l’explication.
Mon fichier Hosts contient la ligne suivante :
0.0.0.0 sogeco31.blogspot.com sogeco31.blogspot.fr sogeco31.blogspot.be #Tetard mouille

86.  tsih | 14/12/2016 @ 21:46 Répondre à ce commentaire

Cdt Michel e.r. (#85),

N’étant plus en ordre de vaccinations typhus, para-typhus, tétanos, fièvre jaune et autres, je préfère m’abstenir.

La fièvre jaune çà irait encore pour moi, mais vous avez raison, oublions ça, j’avais complètement sous-estimé la préparation et l’entraînement nécessaire.

87.  Gilles des Landes | 14/12/2016 @ 22:37 Répondre à ce commentaire

Imaz-Aizpurua (#69), ah, c’était le centenaire Fontenelle… mes études littéraires sont bien loin !
Et Espelette, tiens, je vais peut-être y passer demain pour aller faire un ballade du côté de Dancharrinea ( via les ventas…) ; et tant pis pour mon budget carbone ! Ca fera pousser un peu mieux les arbres du Pays Basque et les Hêtre d’Irati…

88.  Géd | 15/12/2016 @ 1:18 Répondre à ce commentaire

Hug (#81), c’est bien de sortir un graphique de votre chapeau, ce serait mieux si vous donniez la source afin que l’on puisse juger de sa « qualité ».

Quand je montre un graphique je donne toujours la source, apparemment ce n’est une habitude ici.

89.  Marco40 | 15/12/2016 @ 7:30 Répondre à ce commentaire

the fritz le testut (#76),

Qu’est-ce que le pessimisme a à voir avec la science ?

C’est justement un problème de biais….

90.  the fritz le testut | 15/12/2016 @ 8:49 Répondre à ce commentaire

Gilles des Landes (#87),
veinard !

91.  scaletrans | 15/12/2016 @ 15:36 Répondre à ce commentaire

the fritz le testut (#90),

Mon cher Pays Basque me manque à moi aussi…

92.  AntonioSan | 16/12/2016 @ 6:24 Répondre à ce commentaire

Gilles des Landes (#87), scaletrans (#91), Ainhoa…

93.  Gilles des Landes | 16/12/2016 @ 8:42 Répondre à ce commentaire

AntonioSan (#92), c’est fait, un petit tour aux ventas et quelques centaines de grammes de CO2 offferts à nos amis Basques au passage…