Suite du Fil info de sceptiques 2016/1.
Ici, on parle du changement climatique, du climat, de la physique de l’atmosphère voire de la météo ou de sujets proches. Pas de recettes de couscous ou de propos sur le dernier smartphone.
·:[ Changement Climatique
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Des nouvelles fraîches du réchauffement climatique
Suite du Fil info de sceptiques 2016/1.
Ici, on parle du changement climatique, du climat, de la physique de l’atmosphère voire de la météo ou de sujets proches. Pas de recettes de couscous ou de propos sur le dernier smartphone.
amike (#5299),
Vérifier les propriétés radiatives des GES est très facile. Vous investissez la modique somme de 4,51 € (livraison comprise depuis la Chine) dans un thermomètre à infrarouges, puis vous le dirigez vers le ciel (de préférence sans nuages et la nuit).
Vous constaterez que vous ne mesurez pas une température de -270°C proche du zéro absolu (que vous pourrez vérifier le jour où vous ferez un tour dans l’espace), mais plutôt 20 ou 30°C au-dessous de l’ambiance, (disons -20°C en cette saison). C’est donc bien que des « GES » ont rayonné vers vous un peu de chaleur qui a empêché votre thermomètre de descendre à – 270°C !
Amike parlait du CO2, dont la signature thermique est un peu noyée dans l’ensemble des GES, mais cela fonctionne en effet avec du matos chinois à bas-coût.
On fait des détecteurs de nuages avec ces capteurs, lorsque la température mesurée remonte par rapport à une température de référence du ciel clair (le graphique change tous les jours, s’il n’y a pas de nuage vous ne verrez qu’une ligne horizontale vers -20°C) :
http://moondog.astro.louisvill.....index.html
papijo (#5294),
Pour la fermentation, le fait de rentrer du foin pas sec est souvent à l’origine des incendies de granges … Mon père a été témoin d’un tel départ de feu.
micfa (#5293),
Le papier , ce n’est pas top : les allume-feux sont plus efficaces…
Araucan (#5303), Araucan (#5304),
Effectivement, si la fermentation émet (même en petites quantités) des gaz inflammables dans un volume restreint avec une température un peu élevée et de l’oxygène, une faible ignition énergétique déclenche l’embrasement.
J’ulilise les boîte à œuf comme allume feu.
Chose surprenante : pour allumer un feu dans une cheminée, en disposant une grosse bûche bien sèche au fond, et en confectionnant au dessus une pyramide de petits bois, en terminant par le combustible le plus inflammable, le départ du feu est garanti en allumant le haut ! (je pense que l’efficacité du tirage de la cheminée est important). En tous cas cette méthode évite d’avoir beaucoup de fumées au démarrage.
papijo (#5301), de toute façon, votre thermomètre ne peut indiquer que jusqu’à -50 °C, vous ne pourrez donc jamais mesurer -270 °C. Il a un spectre IR assez large, alors que capte t-il exactement?
Bernnard (#5305), je fais la même chose, et ne comprends pas pourquoi j’ai bataillé pendant si longtemps avec la méthode ‘conventionnelle’ qui ne fonctionne pas bien, fume, demande plein de petits bois avec des sections de plus en plus importantes à organiser en pyramide, et de l’attention tant que la flamme ne s’est pas correctement propagée vers là bûche, qui semble vouloir s’enflammer à contre-coeur. La corvée.
À l’inverse, une bûche (ou mieux, 2 bûchettes bien sèches) fendues et posée et présentant leur plat vers le haut reçoivent un petit tas d’éclats de bois bien sec posées sur elles ; allumage du petit-bois, et je ne m’en occupe plus : départ garanti, sans fumée. Oui, le tirage y fait quand même beaucoup. Voilà comment je m’explique la différence : par le bas, il faut plus de petit-bois pour que la flamme commence à attaquer ce qui est souvent l’écorce de la bûche que l’on met au-dessus ( 1er mauvais point); l’ensemble des petits-bois à tendance à s’enflammer vite, pour brûler lui sur toute sa répartition, et pas sur un point condensé de la bûche (autre mauvais point) ; comme l’ensemble du petit-bois s’enflamme, la combustion devient mauvaise (fumées) parce que l’oxygène est capté par les braises les plus ardentes au détriment des autres qui se mettent à fumer (autre mauvais point) ; avec la combustion des branchettes qui désorganise la pyramide, la bûche peu les écraser et modifier la répartition du montage initiant.
Tout ces problèmes disparaissent avec la méthode par le haut : ce n’est pas la flamme (mal répartie) des branchettes qui attaque les bûches par en-dessous, mais les braises (beaucoup plus agressives) qui se forment sur le coeur bien sec des bûches, qui sont rassemblées en un point condensé. Si nécessaire, on peut rajouter un peu de petit bois facilement, ce qui n’est pas aussi simple avec la méthode par en-dessous. Pour résumer : une surface réduite de branchettes qui créent un point très chaud de braises qui se communiquent naturellement à la bûche sèche fendue, ce que ne fait pas l’allumage par le bas. Le tirage aide.
On est sur le fil ‘info des septiques’ ? ah oui c’est vrai. Pour corriger le truc : comme la combustion initiale est meilleure, on largue moins de CO et CO2 au démarrage. Voilà, je suis revenu dans le sujet !
jdrien (#5306), il capte une moyenne ! bien sûr que le capteur thermopile ne descend pas très bas, mais dans les ordres de grandeurs mesurées, on est bon.
jdrien (#5306), papijo (#5301),
Il faut relativiser en observant le comportement de la lumière visible. Les IR sont des ondes électromagnétiques tout comme la lumière visible.
Que se passe-t-il en regardant le ciel ? Voit-on du noir ? Non ! La lumière diffuse et il en est de même avec les IR !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Couleur_du_ciel
jdrien (#5306),
Effectivement, ces modèles ne descendent pas à -270°C, mais, même dans mon congélateur, … je n’ai jamais eu l’occasion d’approcher les -50°C !
Araucan (#5303),
Effectivement ! Je me souviens que chez moi, si le foin était « limite », on répandait du sel dessus pour piéger l’humidité. Je ne sais pas si c’était efficace, … mais ça faisait les affaires des marchands de sel ! (ça date d’avant les botteleuses et presses à balles, maintenant ce ne serait plus possible !)
ppm451 (#5307),
Merci !
papijo (#5288),
Cet article mériterait d’être publié ici. C’est vraiment un travail remarquable et d’une grande clarté.
scaletrans (#5312),
Quand j’ai mis le lien, j’ai hésité à faire la même demande !
Cela fait un bout de temps que je demandais à quel moment était apparue la notion de forçage au sens que lui donne l’abbaye de Ste Greta. La question ne manque pas d’intérêt parce qu’on peut raisonnablement affirmer que cette stupidité marque l’entrée de la climatologie en pseudo-science. Les travaux précédents cette invention bénéficient a priori de la présomption d’innocence car c’était encore la période des tâtonnements.
Vérification faite, la notion apparaît en 1979 dans le rapport Charney et est baptisée en 1981 dans le papier de Hansen.
On ne s’étonnera pas que la climatologie soit devenue une pseudo-science au moment même où elle prenait une dimension politique.
phi (#5314), en général, lorsqu’on critique la notion de forçage, on vous demande si vous connaissez quelque chose en sciences.
Cette notion est pourtant totalement fantaisiste et surtout absolument invérifiable.
Paul Homewood vient de publier un article sur l’ouragan Florence qui mérite l’attention…
Il faut se rappeler que l’ouragan Florence a sévit en septembre 2018 et a fait de gros dégâts dans les Carolines aux US. Il a provoqué la mort de 53 personnes et engendré 45 milliards de dollars de dégâts.
Une étude avait été réalisée à cette époque pour mesurer l’influence du changement climatique sur cet ouragan. Il est utile de noter que cette étude a été publiée le 12 septembre soit 2 jours avant que l’ouragan ne touche les côtes.
https://cpb-us-e1.wpmucdn.com/you.stonybrook.edu/dist/4/945/files/2018/09/climate_change_Florence_0911201800Z_final-262u19i.pdf
Les résultats sont sans appel. « Les quantités de pluie prévues pour l’ouragan Florence sur les Carolines sont augmentées de plus de 50 % en raison du changement climatique et des températures de surface de la mer plus chaude et de l’humidité disponible dans l’atmosphère. » et « La taille prévue de l’ouragan Florence est environ 80 km plus grande en raison de l’effet du changement climatique sur l’environnement à grande échelle autour de la tempête. »
Cette étude avait été reprise par de nombreux médias aux US.
https://www.nationalgeographic.com/environment/2018/09/hurricane-florence-rain-climate-change-science/
https://www.axios.com/hurricane-florence-climate-change-ties-579b80d1-c2b9-4351-9391-d06b596d4880.html
https://www.theguardian.com/world/2018/sep/13/climate-change-means-hurricane-florence-will-dump-50-more-rain
https://www.newsweek.com/2018/10/05/global-warming-turbocharging-monster-storms-hurricane-florence-1135919.html
Cette étude avait même été utilisée pour affirmer que Trump se trompait…
https://thinkprogress.org/trump-says-florence-is-just-mother-nature-a-stunning-new-climate-study-says-hes-wrong-7bf6311110be/
Et pourtant, voilà qu’au 01/01/2020, les mêmes auteurs de l’étude en question publient une nouvelle étude qui infirme totalement la première:
https://advances.sciencemag.org/content/6/1/eaaw9253.full
L’augmentation des pluies due au changement climatique passe de 50% dans la première étude à 4,9+-4,6%, soir pratiquement aucun effet, et l’augmentation de la taille de l’ouragan passe de 80 kms à 9 kms…
Tout cela montre le manque total de crédibilité que peuvent avoir les climatologues quand il est annoncé « que la science a dit que… ». Alors certains diront que c’est tout à leur honneur d’avouer qu’ils se sont trompés. Je conteste ce type de réaction, car des scientifiques dignes de ce nom n’auraient jamais dû publier leur étude catastrophiste, mais aussi parce qu’ils ont été capables d’ajouter dans le résumé de leur dernière étude:
Ces climatologues ont perdu la raison.
Murps (#5315),
Il suffit de demander à votre interlocuteur de vous expliquer comment on calcule la variation d’entropie associée à un forçage. Dans 90 % des cas, il bastera et dans le 10 % restant il dira une énorme bêtise. Il n’y a pas d’autre alternative puisque par définition ce calcul est impossible. C’est d’ailleurs pourquoi cette notion est stupide.
phi (#5316), SVP, pouvez-vous expliquer pour les non physiciens ? Parce que ça m’intéresse bougrement à renvoyer dans la tronche de physiciens adeptes de Sainte Greta.
phi (#5314),
+ 1000
Michel Le Rouméliote (#5317),
Je tente l’exercice.
La notion de forçage dérive de celle de déséquilibre, en particulier ici de celle de déséquilibre radiatif. Un déséquilibre radiatif positif peut provenir soit d’une augmentation de l’énergie entrant dans le système soit d’une réduction de l’énergie sortant du système.
Si vous avez une augmentation brusque de 10 W/m2 de l’énergie solaire entrante, vous aurez un déséquilibre radiatif instantané de 10 W/m2. Ce déséquilibre va se résorber plus ou moins rapidement selon un mécanisme thermodynamique qui dépend notamment de l’entropie. La variation d’entropie se calcul au moyen de trois grandeurs 1) le flux de chaleur, 2) la température de la source de chaleur, 3) la température du corps qui absorbe la chaleur.
La notion de forçage radiatif est l’expression de l’hypothèse selon laquelle tout déséquilibre radiatif se résorbe de manière identique et donc indépendamment de la cause du déséquilibre. Par conséquent, les températures des corps qui sont à l’origine du déséquilibre ne sont pas censées impacter l’effet du déséquilibre. Autrement dit, la notion de forçage n’est pas associée aux températures des causes. Cette hypothèse rend les forçages additifs.
Si vous dites à un climatologue que tel événement va produire un forçage de 10 W/m2, il croira être capable de vous décrire ses effets sur le climat sans avoir à vous demander l’origine de ce forçage. Il sera bien entendu incapable de calculer la variation d’entropie associée puisqu’il ne connaît pas la cause et donc pas non plus les températures associées.
Dans le monde réel et dans l’univers de la thermodynamique, l’entropie constitue une grandeur clé. Clé perdue par l’abbaye Ste Greta.
Le forçage du RCA est basée sur la notion de la variation de température du système climatique terrestre en fonction du taux de CO2. Le résultat du calcul est censé donner la nouvelle température moyenne du globe après avoir été « perturbée » par la présence de l’excès de CO2.
Le terme « forçage » suppose que le système quitte sa trajectoire dans l’espace des paramètres thermodynamiques ou il aurait du rester.
En fait on ne sait rien sur cette supposée stabilité et on bute même sur une description claire dudit système climatique dont la représentation est actuellement axée sur cette fameuse température moyenne.
Les autres phénomènes qui pourraient perturber le système ne sont pas appelés « forçage » à ma connaissance.
Le terme forçage est utilisé avec pertinence pour décrire le comportement d’un système dynamique simple dont on a parfaitement fixé les paramètres.
Mais utilisé en climatologie, c’est de l’escroquerie : rien n’est vérifiable.
Pour le calcul d’entropie, au débotté, je sèche.
Murps (#5320),
Pour les climatologues, sauf erreur, toutes les perturbations sont forcées c’est à dire que toutes les causes sont des forçages ou ramenées à des forçages.
C’est à dire, il peut probablement être utilisé avec pertinence s’il est défini autrement. Sinon, le forçage tel que défini par les climatologues ne peut jamais avoir la moindre validité.
ppm451 (#5292),
Prenons l’histoire de la navette devant transporter un tigre et une chèvre.
— On n’essaye pas de faire cohabiter les deux. —
Parce que le tigre est un carnivore. Comme à propos de l’Homme et du feu.
Le climatologue Spencer constate lui aussi que l’Homme est la principale cause d’allumage de feu : Les feux de brousse en Australie s’aggravent-ils à cause des changements climatiques d’origine humaine?
Murps (#5320),
J’ai posté un long commentaire sur ce fil, il y a environ 1h30. Il semble parti aux oubliettes. Si vous pouviez le retrouver…merci d’avance.
chercheur (#5324),
Votre commentaire était retenu par la modération automatique chatouilleuse. Il est libéré. (#1316).
phi (#5320),
Il est exact qu’une variation d’entropie est liée à une température.
Par définition : delta S = delta Q/T.
Il y a une impossibilité de calculer cette variation sans connaissance de la température associée.
Bernnard (#5325),
Je n’imaginais pas pouvoir chatouiller la modération automatique…mais merci de l’avoir débloqué.
Araucan (#5289),
Il y a surtout que les eucalyptus des forêts australiennes sont des plantes « pyrophytes« , c’est-à-dire qu’elles ont besoin d’incendies de forêt pour se reproduire !
Tant et si bien que les eucalyptus vont jusqu’à produire des vapeurs inflammables pour susciter des incendies de forêt ! Cela s’appelle des « pyrophytes actifs » : qui provoquent des feux de forêt…
Présentement, avec les nombreux feux, les forêts d’eucalyptus australiennes sont aux anges. Malheureusement, les koalas qu’elles abritent brûlent avec…
L’erreur des hommes est de construire des maisons et d’aller vivre près d’écosystèmes aussi dangereux, mais le réchauffement climatique n’y est pour rien !
C’est comme ceux qui construisent sur les flancs d’un volcan (Hawaï, Naples…), puis qui s’étonnent…
Ph.
https://www.lesalonbeige.fr/et-si-les-incendies-en-australie-etaient-une-consequence-de-la-dictature-ecologique-et-non-du-rechauffement-climatique/
Philippe (#5328),
Très intéressant merci
Philippe (#5328),
Non, « cuisent »…
les firehawks utilisent le feu comme un outil pour se nourrir.
Cependant, il ne s’agit que de propagation, ils n’allument rien, et l’ignition spontanée sans cause humaine reste donc un événement exceptionnel, même si les conditions sont favorables.
Les incendies australiens auraient émis dèjà 400 mégatonnes de CO2. S’ils avaient brulé les arbres dans des centrales thermiques, le bilan CO2 aurait été nul. Bienvenu dans un monde gouverné par la logique écolo.
La météo c’est la tendance de long terme à la hausse des pluies. Le climat (et le RCA), c’est 2018-2019. Normal tout est inversé dans hémisphère sud.
En relation avec le « pacific shift » ?
phi (#5320), Merci pour votre explication parfaitement claire, même si j’ai eu recours à l’Universalis pour la définition de quelques termes, comme l’entropie. En bon néohelléniste, j’en étais resté à la notion de honte : ντροπή μου ! Honte à moi !
Si j’ai bien compris ces fameux « forçages radiatifs », qui ne peuvent qu’être additifs, ne sont qu’un deus ex machina provenant de nulle part, donc du n’importe quoi. Et il suffit de demander l’origine du fameux forçage et boum !
Ici des exemples choisis de villes de France où la T° a augmenté au cours du temps :
https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2020/01/03/2019-est-la-troisieme-annee-la-plus-chaude-en-france-visualisez-la-hausse-dans-votre-ville_6024699_4355770.html
Bizarre du choix de changer la couleur d’une T° précise selon chaque cas :
https://www.team-aaz.com/up-pics/images/1578681242.png
Philippe (#5328),
La production d’essences est aussi une adaptation à la sécheresse : comme le fait que la levée de dormance des eucalyptus est une adaptation aux feux. Laquelle a précédé l’autre ?
Quant à l’autoallumage des composants des essences d’eucalyptus, je n’ai pas de données. Ce qui est sûr, c’est que ces essences augmentent l’inflammabilité des forêts à eucalyptus ainsi que le risque de feux incontrôlables.
Messieurs, soyez conscients d’être un objet d’étude ! On vous observe, on se perd en conjectures sur vos comportements, on classe vos experts, on suppute sur vos motivations! Bref, vous êtes célèbres. Bientôt vous serez cités dans les amphis… car vous avez fait l’objet d’une thèse! Vos familles ne vous regarderons plus comme avant!
https://journals.openedition.org/vertigo/14007?lang=en#authors
« Mise en débat de la figure de l’expert dans les échanges en ligne sur les changements climatiques: héros, anti-héros et représentations de la science »
Baptiste Campion
volauvent (#5337), la bonne blague.
Ca n’est pas une étude sociologique mais une prise de position pour le RCA ou contre ses contradicteurs.
Après la pseudo-science du climat, voici la pseudosociologie.
Et ce n’est pas l’absence totale de connaissance scientifique de l’auteur qui lui permettra d’avoir une opinion sur un sujet qu’il ne maîtrise clairement pas.
Climat : Macron, volontariste, ouvre la porte à un référendum
Le chef de l’État a voulu rassurer, vendredi soir, les membres de la Convention citoyenne et s’est dit ouvert à un référendum
https://www.lefigaro.fr/flash-actu/macron-souhaite-un-referendum-sur-des-propositions-de-la-convention-sur-le-climat-20200110
volauvent (#5337),
Avant parution (autour de 2015 ?), Campion intervenait chez Huet sous le pseudo de Superdupont, je ne crois pas qu’il se soit compromis sur Skyfall. Le bonhomme était plutôt sympathique. Il n’avait aucune connaissance technique en climatologie ce qui ne l’empêchait pas de l’ouvrir en débitant la doxa de base sans la comprendre. Son papier aura peut-être un intérêt documentaire pour les historiens qui écriront sur la déraillement de la science au début du XXIème siècle.
Quelqu’un a-t-il du nouveau de Benoit Rittaud et de son site MMM’S?
the fritz (#5341),
BR doit faire la grève contre cette *#*¤ de réforme des retraites !
Hier Macron a rendu visite à ses 150 citoyens-experts du climat pour savoir où en était la résolution du problème du réchauffement climatique. Avec en plus, précédemment, Delevoye aux manettes des retraites, on comprend maintenant que Macron s’entoure des meilleurs spécialistes pour résoudre les problème de la société.
Murps (#5338),
Le chapitre consacré à Skyfall est plutôt objectif. Je n’ai noté qu’une petite pique typique :
Ben non justement…
volauvent (#5337),
J’ai l’impression que c’est surtout Minitax l’objet d’études d’où un certain biais dans les résultats…
JC (#5342),
J’ai appris ! Un référundum en vue !; on pourrait organiser un petit concours et désigner comme vainqueur celui qui rédigera la proposition de référendum la plus voisine de celle que nous sortira le gouvernement ; ma proposition
Qui dit mieux ?
Le référendum c’est comme le boomerang : les expériences passées devraient alerter les gouvernants, les gens en profitent pour exprimer leur rejet (justifié ou non) pour s’essayer au « dégagisme »
Je répondrait non à la réduction des gaz à effet de serre (salaud que je suis et fier de l’être ) même si cela ne sera pas suivit d’effet , chacun a en mémoire le fameux non à Maastrich.
the fritz (#5345), J’en ai une mieux : « Êtes-vous pour ou contre une politique décisive de lutte contre les émissions humaines de gaz à effet de serre qui amènent la planète au chaos et à la destruction de l’humanité ? »
Ça me paraît plus objectif…
the fritz (#5345), voulez vous euthanasier 40 pour cent de la population pour vous geler les fesses de 1 degré en 2050 (extrêmement probable) ?
Pigouille (#5348),
Vous allez un peu loin.
Voici ma version douce :
« Êtes vous pour la suppression des allocations familiales et de la demi-part de reduc IR pour lutter contre le réchauffement climatique ? »
Araucan (#5344),
Son vocabulaire est partout dans les citations !
Même moi lorsque je suis cité, c’est pour avoir déploré le départ d’un gars à cause de lui (entre autre).
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