1051.  JC | 14/06/2018 @ 10:25 Répondre à ce commentaire

 » La perte de masse provient d’«une accélération de la perte des glaciers du secteur de la mer d’Amundsen de l’Antarctique Ouest et de la péninsule», précise Andrew Shepherd. Des zones de la mer d’Amundsen, tel le glacier Thwaites, perdent de la masse de manière inéluctable, avec une accélération du phénomène ces dernières années. En revanche, la situation de l’Antarctique Est semble assez stable, avec en moyenne, un gain de 5 milliards de tonnes par an, mais avec une marge d’erreur énorme, dix fois supérieure à cette valeur. «L’étude est moins précise sur l’Antarctique Est, qui est une région très étendue et difficilement accessible», remarque Gaël Durand. Malgré l’incertitude, le signal de cette zone est très faible, avec «une accumulation de neige de deux à trois fois supérieure à l’Ouest», explique Éric Rignot.
Cette inconnue contribue à une marge d’erreur importante: la perte de 2720 milliards de tonnes est connue avec une incertitude de 1390 milliards de tonnes
« .

La fonte a lieu à l’ouest où se trouve un rift et donc des volcans. Rien à voir avec le réchauffement de la planète. Vous remarquerez qu’on parle d’une situation STABLE à l’est avec une AUGMENTATION du volume de glace !!!!!!!! Evidemment quand ça augmente, c’est stable !

1052.  patilleverte | 14/06/2018 @ 10:35 Répondre à ce commentaire

Marco40 (#1049),
Ainsi fond, fond fond…
3000 milliards de m3 (même en 25 ans) ?
Bon, si il reste encore un peu de glace sur le continent Antarctique, qu’on me prévienne, parce que ça voudrait dire que 10% du total des glaces auraient « disparu/fondu » en 25 ans, avec, de plus, aucune nouvelle accumulation sur cette période.
Il est vrai que le chiffre impressionne plus que 3 millions… de km3 (« fondus ») , par rapport aux 30 000 milliards de m3, volume estimé (source Wikipédia)

1053.  Hug | 14/06/2018 @ 10:57 Répondre à ce commentaire

Dioex (#1048),

le C02 ayant le pouvoir obscur d’agir sur le climat de manière dangereuse même sans grand effet sur les températures…..

Ben oui, plus de gaz satanique dans l’atmosphère, c’est forcément plus de tempêtes, plus d’orages, plus de blizzard, plus de vagues de froid intense et plus de canicules. Vous vous attendiez à quoi ? A ce que ça favorise la croissance des végétaux ? Mwouarf, non mais vous croyez au père Noël aussi peut-être ?

le modèle théorique s’effondre mais la peur irrationnelle doit perdurer.

Ben ouais, si la supercherie est démasquée, que vont faire tous les charlatans qui en vivent ? Comment les escrologistes vont-ils faire pour imposer la dictature verte ? Que vont bien pouvoir raconter les journalistes pour racoler le lecteur ? Comment les politocards vont-ils justifier les taxes ? Comment les riches des pays pauvres vont-ils faire pour essayer d’extorquer 100Mds€ chaque année aux pauvres des pays riches (malgré leur dettes colossales) ?

1054.  Hug | 14/06/2018 @ 11:15 Répondre à ce commentaire

Marco40 (#1049), DURAMEN (#1050),
MeteofRance y va aussi de sa propagande sur l’antarctique:
http://www.meteofrance.fr/clim.....re-fragile
On aimerait qu’ils nous apportent des preuves sur le prétendu léger réchauffement depuis 1950, à base par exemple des relevés de températures effectués depuis cette date sur les bases installées là-bas (Dumont d’Urville et autres). Mais on peut toujours attendre, sachant qu’à Dumont D’Urville, des relevés de température existent depuis la fin des années 50 et qu’ils ne montrent pas de réchauffement.
Au vu de ce qu’ils disent sur l’impact de la fonte glaciaire sur la banquise et de la récente baisse importante de l’étendue de la banquise, j’en déduis que la fonte glaciaire s’est arrêtée…

1055.  Bernnard | 14/06/2018 @ 13:14 Répondre à ce commentaire

Ils vont bien finir par se lasser de faire prendre des vessies pour des lanternes aux gens !
Prétendre qu’il y a un réchauffement oui, c’est facile avec des variables inappropriées. C’est et ça restera improuvable pendant longtemps en continuant des statistiques basées sur la température, la fonte des glaces, le niveau des mers, des fréquences des évènements extrêmes …. Personne ne sait faire un bilan bouclé et mesuré de l’énergie sous toutes ses formes sur l’ensemble du système terre/atmosphère/mer. La lassitude finira par siffler la fin de cette duperie. Il y a des prémices de cette lassitude et c’est ce qui les affole.

1056.  the fritz | 14/06/2018 @ 14:16 Répondre à ce commentaire

DURAMEN
Vous avez loupé la phrase la plus importante

Mais les marges d’erreur sont importantes.

alors quelle confiance accorder à

L’Antarctique a perdu 3 000 milliards de tonnes de glace depuis 1992, assez pour faire monter le niveau global des océans de presque 8 millimètres
https://www.lemonde.fr/planete/article/2018/06/13/la-fonte-des-glaces-de-l-antarctique-s-est-acceleree_5314492_3244.html

Comparez cela avec Cazenave au Collège de France

Vitesse d’élévation (1993-2012) = 3.2 +/- 0.4 mm/an

https://www.college-de-france.fr/media/anny-cazenave/UPL6200497677490435963_Cours_4___Glaces_continentales__niveau_de_la_mer_et_climat___A_Cazenave.pdf
Il n’y a donc pas que les marges d’erreur qui sont importantes , il y a aussi les erreurs et lacunes des journalistes et des scientifiques aussi, n’en doutons pas
8 mm en 26 ans cela représente le 1/10 ème de l’augmentation donnée par Cazenave ( 25 x 3,2 = 83,2).

Contribution Groenland + Antarctique :
(2003-2012)  0.8 +/- 0.15 mm/an

Si on va à la diapo 26 on remarque que l’ Antarctique a perdu un peu plus de 1000 GT de glace entre 92 et 2011 ; si on fait confiance au Monde , on aurait perdu en 7 ans le double de ce qu’on a perdu en 19 ans ; c’est franchement horrible

Fonte des glaciers de montagne: ~ 300-400 milliards de tonnes par an entre 1993-2010
Hausse du niveau de la mer de ~ 1 mm par an

Si on résume en gros son papier , le relèvement du niveau de la mer est lié pour un tiers à la fonte des calottes , le Groenland perdant le double de l’Antarctique, pour un autre tiers à la fonte des glaciers de montagne et un dernier tiers à l’expansion thermique suite au réchauffement des eaux de surfaces
Barrages et vidange des nappes phréatiques s’annulent
Pas un mot sur le rebond isostasique post glaciaire qui vide une grande partie des mers peu profondes de la zone arctique
Mais en faisant se compenser les marges d’erreur importantes de tous ces relevés on arrive en fin de compte à retomber sur ses pattes

1057.  Dioex | 14/06/2018 @ 14:52 Répondre à ce commentaire

Bernnard (#1054),

Oui devant le meme discours répété à l’infini la lassitude s’empare du public.
Surtout avec un discours qui tient de l’inverse de la réalité, l’antarctique se porte parfaitement bien avec un gain de masse et le niveau des océans est stagnant depuis 2015.

C’est comme le C02 qui pourrait etre toxique pour la croissance des plantes,auparavant le verdissement incontestable de la planète était reconnu, maintenant la propagande veut éliminer tout bénéfice potentiel de l’accroissement du C02.

Ils vont meme jusqu’à accorder des superpouvoirs au C02 qui pourrait déclencher des évènements extrèmes meme avec un effet sur les température bien moindre qu’estimé.

C’est un signe que la propagande s’enlise dans ses contradictions et pourrait bientôt atteindre ses limites,une nouvelle stagnation des température voir un refroidissement pourrait les faire voler en éclat.Ca se précise..

1058.  Dioex | 14/06/2018 @ 14:55 Répondre à ce commentaire

L’effet direct du C02,ça fait peur.Plus besoin d’effet de serre ou de substratum physicochimique pour étayer la théorie, le C02 agit directement comme par magie…

1059.  Nicias | 14/06/2018 @ 14:56 Répondre à ce commentaire

«Cette étude aéroportée, d’une ampleur extraordinaire, a balayé tout l’Ouest, mais beaucoup moins l’Antarctique Est», précise Éric Rignot.

Il n’y a pas de budget pour étudier les zones ou le volume de glace augmente. Elle est belle la science réchauffiste.

1060.  Nicias | 14/06/2018 @ 14:59 Répondre à ce commentaire

Dioex (#1057),

le niveau des océans est stagnant depuis 2015.

C’est pas sérieux comme propos. C’est une période super courte et en plus avec un el nino carabiné. Cela m’étonnerai d’ailleurs beaucoup que le niveau des océans ait stagné avec un el nino…

1061.  the fritz | 14/06/2018 @ 15:19 Répondre à ce commentaire

Nicias (#1060),

Cela m’étonnerai d’ailleurs beaucoup que le niveau des océans ait stagné avec un el nino…

Ben théoriquement si; parce que pendant El Nino, l’océan cède de la chaleur à l’atmosphère et devrait donc se refroidir ; peut-être qu’en plus il augmente les précipitations neigeuses sur l’Antarctique , qui sait ? En tout cas il augmente les précipitations sur le continent sud américain qui devrait les retenir un certain temps

1062.  Nicias | 14/06/2018 @ 16:19 Répondre à ce commentaire

the fritz (#1061),

Il se passe plein de choses théoriquement et en pratique pendant un el nino. Un des derniers articles de Cazenave cherchait la hausse manquante du niveau des mers dans les nappes phréatiques en raison des changements dans les précipitations dues aux cycles el nino/la nina…

A mon souvenir le niveau des mers monte pendant un el nino. C’est particulièrement marqué dans le pacifique au niveau de l’équateur. Je n’ai rien lu sur les causes. Je suppute que c’est à cause du réchauffement de la couche superficielle de l’océan. Un organisme scientifique européen (un article chez Huet) avait d’ailleurs diagnostiqué le dernier el nino (en 2015 à tord puisqu’il n’est arrivé qu’en 2016… suite à un changement méthodoligique chez la NOAA … el nino en 2015 était bien présent pour la NOAA avant d’être reporté en 2016*) avec un satellite altimétrique…

Dans des articles sur l’OHC des océans et le niveau des mers, j’avais lu que le réchauffement ne produisait pas la même hausse du niveau des mers selon la profondeur. Ceteris paribus, pour une même augmentation de l’OHC, la dilatation est plus grande pour les couches supérieures que pour les couches profondes. Comme quoi on peut faire monter le niveau des mers sans réchauffement et cela n’empêchera pas Annie Cazenave de chercher à boucler son budget du SLR alors que c’est peut être une voie sans issue.

C’est fascinant de regarder ces gens chercher pourquoi les données divergent avec les modèles, trouver des biais dans les données et des phénomènes explicatifs auxquels ils n’avaient pas pensé, tout ça pour quelques mm (ou dixièmes de ° C) étalés sur 40 ans ou 150. C’est bien de chercher mais ils manquent tellement d’humilité. Ils sont incapables de reconnaitre dans leur immense majorité qu’on ne sait pas si l’Antarctique perd de la masse glaciaire ou pas, qu’on ne sait pas si dans ce cas le phénomène s’accélère ou pas depuis 150 ans, et Annie qui cherche à boucler son budget du SLR au mm près dans ces conditions. Ils lancent des satellites super chers, avec des appareils de mesure dont la précision est fantastique, et ça ne suffit pas tellement ce qu’ils cherchent à mesurer est petit et insignifiant. C’est particulièrement vrai pour le niveau des mers ou le déséquilibre radiatif à la TOA.

*Cela arrive tout le temps en macro-économie. La date du début d’une de récession (ou autre), et son ampleur, change avec le temps qui passe. On a l’habitude. Mais on ne change pas ces dates sur la foi de modèles ou en direction des résultats de modèles. On a plus de données, qui prennent du temps à collecter, on fait aussi des changements méthodologiques, mais je ne vois rien de cela motivé par l’idéologie et la foi en des modèles. De toutes façons les économistes n’ont aucune fierté pour la plupart et savent bien ce qu’est une science molle ; et le public n’a aucune confiance en eux, ça aide. L’humilité donc, et les budgets (€) à défendre. Quand on se prend une grosse claque sur le pic-oil, on devient humble. On ne renie pas tout bien sur, et il ne faut pas, mais on modère très sérieusement son jugement. Les climatologues ne savent pas faire ça.

1063.  the fritz | 14/06/2018 @ 17:11 Répondre à ce commentaire

Nicias (#1062),

A mon souvenir le niveau des mers monte pendant un el nino. C’est particulièrement marqué dans le pacifique au niveau de l’équateur

Cela dépend où? A l’est ou à l’ouest; en principe pendant un El Nino on évacue de l’eau de l’ouest vers l’est dans le Pacifique ; cela n’est qu’une histoire de vase communiquant ; ce dont je parle est une histoire de dilatation thermique

1064.  the fritz | 14/06/2018 @ 17:13 Répondre à ce commentaire

Pour continuer à s’amuser

Question

« Selon vous parmi ces 2 facteurs, fonte des glaces et dilatation de l’eau due à l’élévation de température, quel est le plus impliqué dans la montée du niveau marin ? »

Réponse

Depuis un siècle, le niveau moyen des mers est monté d’une quinzaine de centimètres. Pendant la même période, la température moyenne de la Terre a augmenté de 0,6°C. Le coefficient de dilatation thermique de l’eau est de 2,6.10-4°C-1. La tranche d’eau des océan est divisée par la thermocline, qui sépare les eaux profondes, froides, des eaux superficielles en équilibre avec la température de l’atmosphère. Cette thermocline se situe en moyenne vers 1000 m de profondeur.

Si le premier kilomètre de la mer (105 cm) voit sa température monter de 0,6°C, cela entraîne une dilatation de : 105 x 2,6.10 -4 x 0,6 = 15,6 cm. On voit donc que l’ordre de grandeur de la dilatation thermique correspond à peu près à la dilatation observée, ce qui permet de dire que pour l’instant la fonte des glaciers n’a qu’un rôle négligeable (ou du moins largement minoritaire).

Remarque. Les glaciers qui ont fondu notablement depuis un siècle ne sont que les glaciers de montagnes. La fonte des 2 grandes calottes (Groenland et Antarctique) n’a pas encore commencé de façon significative.

http://planet-terre.ens-lyon.f.....ee-mer.xml

1065.  Murps | 14/06/2018 @ 17:13 Répondre à ce commentaire

A l’afis, ils baissent dans mon estime.
Bon, à leur décharge, les articles publiés n’engagent que leurs auteurs, mais cet article ci est… surprenant.
http://www.pseudo-sciences.org.....rticle3004

« Séismes, éruptions volcaniques… arguments de certains anthropo-climato-sceptiques »
« C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique. Pourquoi y a-t-il de plus en plus de volcanisme, de tremblements de terre, et un sol plus chaud ? »

Ca va faire un moment que je hante skyfall et que je consulte les différentes infos relatives au climato réalisme et jamais, au grand jamais je n’avais entendu parler de cette théorie fantaisiste d’une terre qui se réchauffe toute seule par radioactivité naturelle.

Le pompon c’est le choix de ce site http://www.matierevolution.fr/ comme référence sceptique.
Au delà du fait que je n’avais jamais entendu parler de ces activistes, le contenu est vraiment présenté de manière « space ».

1066.  the fritz | 14/06/2018 @ 18:01 Répondre à ce commentaire

Murps (#1065),
https://www.livescience.com/60989-slow-earth-rotation-triggers-earthquakes.html

Tiny Slowdown in Earth’s Rotation Could Unleash Major Earthquake
A tiny slowdown in Earth’s rotation next year could trigger more earthquakes than usual, new research suggests.
Mais qu’est-ce que les séismes et les éruptions volcaniques ont à voir avec les émissions anthropiques ; à part Hollande qui mettait en relation RCA et tsunamis , je ne vois pas qui d’autre trouverait un lien ; je pense même que Jouzel ne s’y aventurerait pas

1067.  Nicias | 14/06/2018 @ 18:55 Répondre à ce commentaire

the fritz (#1063), **

Cela dépend où? A l’est ou à l’ouest

C’est très confus. Ils parlent d’anomalie de température donc on ne sait jamais ce qu’il se passe pour les températures absolues. On peut avoir une augmentation relative des températures à l’ouest (ou l’est) par rapport à l’est et cela ne signifie pas que dans les deux zones la température n’augmente pas.

1068.  Nicias | 14/06/2018 @ 19:10 Répondre à ce commentaire

Murps (#1065),

Des sceptiques disent des âneries. L’AFIS dénonce (enfin donne son avis) et c’est très bien comme ça. Des climato-sceptiques ridicules, ça existe, faut faire avec. Le problème est quand l’Afis ne dénonce pas les articles ridicules réchauffistes. Ils le font sur les OGM, les anti-vaccins etc… A chaque fois que les journalistes dérivent sur la science ils sont là. Sauf sur le réchauffisme et c’est pénible.

1069.  Bernnard | 14/06/2018 @ 19:20 Répondre à ce commentaire

Murps (#1065),
Effectivement, la chaleur interne de la terre actuelle résulte du reste de l’énorme chaleur obtenue lors de la formation de la terre par le bombardement des objets (nombreux à cette époque) qui entraient en collision. Elle est certainement dûe aussi à la radioactivité naturelle des éléments lourds piégés au centre. Mais je rajoute aussi, car cela s’observe sur les satellites des planètes géante, une activité sismiques qu’on attribue aux forces internes de marée. Pourquoi en serait-il autrement sous nos pieds où la masse en grande majorité est pâteuse voire par endroits fluide et elle est soumise aux variations du champ de gravité du l’ensemble du système solaire. Cette masse est composée de fluides mobiles qui.se frottent en étant de viscosité différentes et ces frottements apportent de la chaleur. Du moins c’est mon hypothèse.

1070.  Hug | 14/06/2018 @ 19:45 Répondre à ce commentaire

Nicias (#1068), Bernnard (#1069),
Je crois que ça a déjà été abordé sur skyfall, mais la radioactivité contribue bien à la température interne de notre planète. C’est d’ailleurs grâce à elle qu’on a pu évaluer l’age de la terre: http://www.laradioactivite.com.....rTerre.htm
Mais il est effectivement admis par tout le monde, à quelques exceptions près donc, que la température de notre atmosphère résulte presque intégralement de la chaleur apportée par le soleil et…de l’effet de serre (ou d’atmosphère pour ceux qui préfèrent).
Bon les volcans sous-marins et les rifts océaniques chauffent tout de même un peu les océans et cette chaleur finit bien par être transférée à l’atmosphère mais, au moins pour les rifts, cette chaleur provenant de la terre ne doit pas varier beaucoup dans le temps.

1071.  JC | 14/06/2018 @ 20:06 Répondre à ce commentaire

Pour l’élévation du niveau océanique, il y a aussi l’activité des dorsales océaniques qui joue un rôle. Une dorsale très active donc très volumineuse, surélève le niveau de l’eau (sans en changer le volume).

1072.  Dioex | 14/06/2018 @ 20:13 Répondre à ce commentaire

Nicias (#1060),

Si j’en crois ces données de la Nasa c’est plutôt stagnant depuis 2015:

https://climate.nasa.gov/vital-signs/sea-level/

1073.  JC | 14/06/2018 @ 20:19 Répondre à ce commentaire

Le flux géothermique, mesuré en W.m-2 ou en W (= J/sec) correspond à la dissipation de l’énergie (par transfert thermique) provenant des profondeurs de la Terre à la surface du globe. Il dépend du gradient géothermique mais aussi de la conductivité thermique des roches.
Sa valeur moyenne est de 65 mW.m- 2 (ou 44 TW).
52 % est de ce flux est dû à la radioactivité de la Terre et l’autre moitié de la puissance dégagée par la Terre est produite par le refroidissement de la masse de la Terre, que l’on appelle refroidissement séculaire.

La terre reçoit du Soleil : 174 000 TW.

1074.  Murps | 15/06/2018 @ 10:11 Répondre à ce commentaire

JC (#1073), Ok.
Au delà du fait que ces valeurs sont des ordres de grandeur estimés à la grosse louche, on remarque que le flux total tourne autour de la dizaine de mW par m2.
A comparer avec les 100 W/m2 qu’on récupère par temps très couvert avec le soleil.
Et je ne parle même pas des 1400 W/m2 Top Of Atmosphere.

Autrement la contribution de la radioactivité, c’est peanuts. Ces calculs ressemblent aux diagrammes de Trenberth sauf que là on peut conclure.

Nicias (#1068), bien vu. L’afis semble engagé politiquement quoiqu’ils semblent dire.

1075.  Hug | 15/06/2018 @ 11:48 Répondre à ce commentaire

Murps (#1074),

L’afis semble engagé politiquement quoiqu’ils semblent dire.

La position de l’AFIS sur ce sujet est clairement exposée ici : http://www.pseudo-sciences.org.....rticle2238
Ici aussi également: http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article841
Je ne pense pas qu’ils soient « engagés politiquement », ils ont simplement pris le parti d’adhérer à la thèse dominante comme l’ont fait les grands organismes scientifiques (eux c’est logique vu que ça leur amène des crédits de recherche).
Le reproche qu’on peut leur faire, c’est comme dit Nicias, de ne pas relever les nombreux délires et excès médiatiques et scientifiques sur ce sujet. On pourrait pourtant s’attendre à cela de leur part au vu de la critique qu’ils ont formulé vis à vis du GIEC.

1076.  Dioex | 15/06/2018 @ 13:52 Répondre à ce commentaire

Nicias (#1060),

Et ce n’est pas la seule période de stagnation selon le graphique.L’élévation des océans n’est pas linéaire ,elle s’accélère dans les périodes chaudes et stagne dans les période plus froide.

Avec une empreinte des phases actives du cycle solaire ou l’irradiance dilate l’eau ,comme le cycle 24 en 2 phase avec 2 phases d’accélération du niveau océanique.C’est normal que ça stagne actuellement.

Ce qui surprend c’est que malgré sa faiblesse le cycle 24 a eu un grand effet avec une impression d’amplification;Comme pour les rayons cosmiques qui vont battre des records, le champ magnétique térrestre est le premier bras de levier dans les interactions Soleil/Terre.Son affaiblissement est mesurable tout comme l’augmentation de l’irradiation sur Terre.Prendre l’avion est de plus en plus à risque,les cosmonautes n’ont aucune chance de parcourir de longues distance dans l’espace sans un bouclier magnétique.

Le PDO est en général synchronisé sur ces phases chaudes et froides.Actuellement l’anomalie de température mondiale est en dessous de 0.2C, le PDO passe en phase négative,l’activité solaire est minimale et l’AMO lui aussi pourrait suivre également en phase négative.
Anomalie océanique mondiale 0.1C sur 79/2000.Anomalie de l’atlantique nord 0.0C.

Rien qui ressemble de près ou de loin à un réchauffement galopant llié au C02.En été, quand la Terre est au plus loin du soleil et que les anomalies de températures des poles diminuent, il y a de grande chance que l’anomalie de température mondiale soit minimale.

Il y a une raison simple qui explique pourquoi il y a une asymétrie nord/sud,l’effet Soleil/Terre est plus puissant en hiver et c’est pendant l’hiver boréal que la Terre est la plus proche du Soleil.

https://oz4caster.files.wordpress.com/2018/06/d6-gfs-grta-daily-2013-2018-06-14.gif

Des schémas climatique des années 70 se sont multiplié devant nos yeux depuis cet hiver, il a très peu de chance que l’évolution du climat suive les prédictions du GIEC,la réalité va encore plus s’éloigner de l’AR5.Quand on se base sur des paramètres naturels objectifs,il n’y a aucun doute qu’un nouveau hiatus est en train de se produire.

Les nouvelles fraîches du réchauffement climatique ne vont pas s’arrêter demain.

1077.  papijo | 15/06/2018 @ 14:01 Répondre à ce commentaire

33 géologues britanniques écrivent à leur président une lettre lui demandant de prendre officiellement position sur le RCA pour se démarquer du « consensus ». Extrait (traduction):

La position du GIEC correspond aux observations selon lesquelles près de la moitié du réchauffement qui s’est produit au cours des quelque 150 dernières années depuis le début de l’ère industrielle avait déjà eu lieu en 1943, bien avant l’augmentation rapide du CO2 industriel. Cette différence d’opinion est critique, car si le CO2 n’a pas causé le réchauffement d’avant 1943, le consensus prétendu que le RCA catastrophique soit causé par les émissions de CO2 humaines depuis la révolution industrielle, qui est soutenu par GSL (Geological Society of London), doit être erroné.

Source: WUWT en VO et en « français » (non vérifié)

1078.  Nicias | 15/06/2018 @ 16:10 Répondre à ce commentaire

Dioex (#1076),

En été, quand la Terre est au plus loin du soleil et que les anomalies de températures des poles diminuent, il y a de grande chance que l’anomalie de température mondiale soit minimale.

De quel été parlez vous ? Les pôles, c’est tout petit…
Voici typiquement ce qui se passe pour les océans de l’hémisphère nord :

L’anomalie de température double l’été. C’est pareil pour les océans du sud mais en moins marqué. Au global cela vous donne un graphique à double bosse. La première petite lorsque le sud atteint son maximum lors de notre hiver et une deuxième bosse plus prononcée l’été. AMHA avis, les pôles pèsent peu face à cela :

1079.  Nicias | 15/06/2018 @ 16:21 Répondre à ce commentaire

Dioex (#1072),

Si j’en crois ces données de la Nasa c’est plutôt stagnant depuis 2015:

Non…
Il y a eut une montée de plus de 12 mm en moins d’un an à partir de la fin 2014 liée à l’el nino. C’est l’équivalent de 4 ans de hausse ! Que ça stagne un peu après (à partir de 2016 et non 2015) n’est pas étonnant.

1080.  Marco40 | 15/06/2018 @ 16:59 Répondre à ce commentaire

Et si on faisait du cherry picking comme les journalistes?

Depuis plus de 2 ans, les températures mondiales s’effondrent, et personne m’en parle….étrange non?

1081.  Dioex | 16/06/2018 @ 13:15 Répondre à ce commentaire

Nicias (#1078),

Je parlais plutôt de l’anomalie mondiale de température en rapport avec les paramètres orbitaux de la terre avec une configuration actuelle hiver chaud/été froid.Il y a 11000 ans c’était l’inverse.

L’anomalie de température du pole nord n’est pas toute petite, c’est une large part du réchauffement climatique et de la « surchauffe » de l’hémisphère nord.

Dans les chiffres ça compte

1082.  Nicias | 16/06/2018 @ 14:28 Répondre à ce commentaire

Dioex (#1081),

Je n’ai pas parlé du temps long et me suis borné aux évolutions saisonnières.
L’anomalie de température du pôle nord est grande et plus élevée l’hiver que l’été. Cela ne pèse pas lourd dans les faits et c’est contre intuitif :

Toutes les bosses de l’anomalie de température sur les océans de l’hémisphère nord (donc y compris l’arctique), c’est l’été qu’elles se produisent.

Vous avez dit :

En été, quand la Terre est au plus loin du soleil et que les anomalies de températures des poles diminuent, il y a de grande chance que l’anomalie de température mondiale soit minimale.

Je comprends pourquoi vous dites cela mais il se passe le contraire et il faut faire avec.

1083.  Cdt Michel e.r. | 16/06/2018 @ 19:07 Répondre à ce commentaire

Dioex (#1076),

Rien qui ressemble de près ou de loin à un réchauffement galopant llié (sic) au C02 (re-sic).En été, quand la Terre est au plus loin du soleil et que les anomalies de températures des poles (re-sic) diminuent, il y a de grande chance que l’anomalie de température mondiale soit minimale.

Il ne faut pas exagérer l’importance de la distance Soleil-Terre. L’ellipse de l’orbite de la Terre est presque circulaire (excentricité de 0,016).
https://fr.wikipedia.org/wiki/Orbite_de_la_Terre
D’autres paramètres astronomiques terrestres influencent bien plus le climat, dont ceux de Milanković.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Param%C3%A8tres_de_Milankovi%C4%87

P.S. : Cela fait déjà quelque temps que je ne lis plus qu’en diagonale les articles « scientifiques » sur l’évolution du climat.
Ras le bol de voir que l’on s’excite pour des variations de centièmes de degré des T moyennes globales, alors que les températures des stations sont mesurées avec une précision inférieure au degré depuis le début de la période industrielle et qu’elles sont ensuite torturées (corrigées, homogénéisées, etc.) pour leur faire avouer ce que l’on désire.
Je dois être atteint de fatigue climatique, en plus de la maladie de Waldenström (un cancer hématologique qui me pourrit bien plus la vie).

1084.  JC | 17/06/2018 @ 17:31 Répondre à ce commentaire

« Il ne faut pas exagérer l’importance de la distance Soleil-Terre. L’ellipse de l’orbite de la Terre est presque circulaire (excentricité de 0,016) »

Justement l’excentricité varie au cours du temps : de 0.005 à 0.065.
Actuellement elle est de 0.0167 et elle décroit.
Cela fait quand même varier la constante solaire de 1220.32 à 1584 W/m2.

1085.  the fritz | 17/06/2018 @ 22:37 Répondre à ce commentaire

JC (#1084),

Cela fait quand même varier la constante solaire de 1220.32 à 1584 W/m2

A quel moment de la révolution ?

1086.  Cdt Michel e.r. | 18/06/2018 @ 1:07 Répondre à ce commentaire

the fritz (#1085),
Cela se passe sur de très longues périodes, d’après ce que j’ai pu lire sur le wiki.

Phénomènes modifiant l’excentricité
[…]
L’excentricité de l’orbite terrestre est, elle aussi, variable sur de très longues périodes (en dizaines de milliers d’années), essentiellement par interaction avec les autres planètes. La valeur actuelle est d’environ 0,0167, mais dans le passé elle a déjà atteint une valeur maximale de 0,07

Wiki
Bien entendu, les auteurs pas-du-tout-écolo-bobos de l’article continuent avec l’Influence sur le climat :

Par l’action combinée entre la variation d’orientation du grand axe de l’orbite terrestre et de la précession des équinoxes, les dates d’occurrence du périhélie et de l’aphélie avancent lentement dans les saisons.
Dans les 10 000 prochaines années, les hivers de l’hémisphère nord deviendront progressivement plus longs et les étés plus courts. Toute vague de froid sera néanmoins compensée par le fait que l’excentricité de l’orbite terrestre sera presque réduite de moitié, réduisant le rayon moyen de l’orbite, augmentant ainsi les températures dans les deux hémisphères.

Annoncer ce qui se passera (peut-être) dans quelque dix mille ans, voilà qui ne risque pas d’être contredit.

La Planète, qui ne nous demande rien, sera certainement encore là. Elle en a vu d’autres au cours de ses quelque 5 milliards d’années, mais l’espèce humaine aura peut-être disparu de sa surface pour faire place à une autre.

1087.  Astre Noir | 18/06/2018 @ 8:06 Répondre à ce commentaire

Je viens de découvrir cet article, qui a plus de deux mois, je ne sais pas s’il a déjà été chroniqué ici, mais à tout hasard, je le redépose :
Le retour de la terreur qui fait très très peur

1088.  amike | 18/06/2018 @ 9:47 Répondre à ce commentaire

Astre Noir (#1087),
– L’institut « polonais » (sic) de Postdam ?
– Le lien vers le site de Nature plutôt que l’article ?
– Des mesures du Vème à « de nos jours » ?
– Le Modèle qui confirme et prédit l’avenir ?
– L’oubli des variations décennales ?
– L’absence d’une once d’esprit de contradiction ?
Oui, il s’agit bien d’un article destiné à attirer les clics…

1089.  Hug | 18/06/2018 @ 10:34 Répondre à ce commentaire

Astre Noir (#1087),
Je crois que ça a été évoqué, mais il vaut mieux lire ce qu’en dit La Chaine Meteo plutôt qu’un site comme Politis.

1090.  the fritz | 18/06/2018 @ 13:46 Répondre à ce commentaire

Cdt Michel e.r. (#1083),

Je dois être atteint de fatigue climatique,

Moi aussi , mais je vais faire un dernier effort avec les mails qui suivent

1091.  the fritz | 18/06/2018 @ 14:01 Répondre à ce commentaire

JC (#1084),
l’ensoleillement , la chaleur reçue par la terre ne change en rien ( ou presque, c’est pour clouer le bec au pinailleur ) malgré les variations d’excentricité , d’obliquité et de précession ; sur un cycle annuel , c’est kif kif sauf variation de l’activité solaire
Ce qui fait rentrer dans des cycles glaciaires , c’est la variation de cette chaleur en fonction des latitudes et des saisons ; pour rentrer dans une période glaciaire, il faut bien sûr
– ensoleiller l’équateur et pas les pôles , de préférence le pôle nord , le plus sensible à ces variations
– faire en sorte que les variations saisonnières de ces pôles soient les plus faibles possibles pour éviter les fontes estivales
Voilà , j’attends vos commentaires

1092.  the fritz | 18/06/2018 @ 14:07 Répondre à ce commentaire

Astre Noir (#1087),

Tous les courants de l’Atlantique s’affaiblissent sous l’effet du dérèglement climatique.

C’est terrible comme on retourne les arguments en ce moment
Il aurait fallu écrire
« puisque les courants de l’Atlantique s’affaiblissent le dérèglement climatique est en marche , ….comme la république d’ailleurs

1093.  Hug | 18/06/2018 @ 16:46 Répondre à ce commentaire

Marco40 (#1080),
Un cherry picking que je trouve mieux consiste à considérer l’évolution de la température globale sur les 20 dernières années. Ce n’est pas encore les 30 ans considérés comme climatiquement significatifs, mais ca commence à être significatif et ça permet de faire démarrer les courbes en plein pic consécutif à l’El Nino de 1997/98. smile
Selon la base de données terrestres, il fait aussi chaud aujourd’hui qu’il y a 20 ans, selon la base de données satellitaires, il fait moins chaud de 0,4°C environ.

1094.  papijo | 18/06/2018 @ 20:29 Répondre à ce commentaire

J’avais signalé il y a quelques temps un débat entre J. Curry, M. Mann, etc. Le débat a eu lieu (pas vu de vidéo). Voici la présentation de J. Curry. Extrait:

1095.  JC | 18/06/2018 @ 20:34 Répondre à ce commentaire

the fritz (#1091),
Oui j’avais calculé que la moyenne de l’énergie solaire reçue par la Terre sur une année était de :
1396.09 W/m2 pour une excentricité de 0.065
1384.95 W/m2 pour une excentricité de 0.0167 (actuel)
1384.18 W/m2 pour une excentricité de 0.005

1096.  JC | 18/06/2018 @ 20:59 Répondre à ce commentaire

Voici mon analyse :

L’excentricité actuelle est de 0.0167 et elle décroit.
Actuellement la Terre est en Périhélie en Janvier càd quand l’hémisphère nord est en Hiver et l’hémisphère sud en été.
De plus, la Terre est en Aphélie en juillet càd quand l’HN est en été et l’HS en Hiver.
Donc :

Actuellement :
– l’hémisphère nord (HN) reçoit bcp d’énergie solaire (1431 W/m2) pendant l’hiver donc les hivers sont doux (c’est l’hiver car les jours sont courts).
– l’hémisphère sud au même moment reçoit bcp d’énergie solaire (1431 W/m2) pendant l’été donc les étés sont chauds (c’est l’été car les jours sont longs : HS penché vers le Soleil).
et
– l’hémisphère nord (HN) reçoit peu d’énergie solaire (1338 W/m2) pendant l’été donc les étés sont doux.
– l’hémisphère sud au même moment reçoit peu d’énergie solaire (1338 W/m2) pendant l’hiver donc les hivers sont frais.

Donc actuellement globalement nous avons un climat doux (doux en été en hiver dans l’HN + été chauds et hiver doux dans l’HS) (nous sortons du petit âge glaciaire).

Vers quoi va-t-on ? L’excentricité baisse donc :
– l’hémisphère nord (HN) reçoit peu d’énergie solaire (1398 W/m2) pendant l’hiver donc les hivers vont se refroidir dans l’HN.
– l’hémisphère sud au même moment reçoit peu d’énergie solaire (1398 W/m2) pendant l’été donc les étés vont se refroidir dans l’HS.
– l’hémisphère nord (HN) reçoit peu d’énergie solaire (1370 W/m2) pendant l’été donc les étés sont doux.
– l’hémisphère sud au même moment reçoit peu d’énergie solaire (1370 W/m2) pendant l’hiver donc les hivers sont frais.
Donc nous allons vers un refroidissement du climat par rapport à l’époque actuelle.

1097.  Marco40 | 18/06/2018 @ 21:28 Répondre à ce commentaire

Hug (#1093), Pas mal aussi
good
Jouer leur propre jeu, ça un côté défouloir assez marrant.

1098.  the fritz | 18/06/2018 @ 21:48 Répondre à ce commentaire

JC (#1095),
C’était juste pour ne pas affoler les lecteurs non avertis

1099.  rpf | 18/06/2018 @ 22:56 Répondre à ce commentaire

Interview de M. Richard Lindzen par Grégoire Canlorbe en mai 2018

1100.  the fritz | 18/06/2018 @ 23:54 Répondre à ce commentaire

rpf (#1099),

Richard Lindzen: Encore une fois, je ne suis pas sûr de ce que vous demandez. Le soutien idiot de cette question par des gens comme Macron, Merkel et le pape François a peu d’impact aux États-Unis. Je soupçonne que la plupart des gens ordinaires réalisent qu’il s’agit d’un problème bidon et qu’il est clair aux États-Unis que le manque d’intérêt de Trump pour cette question n’a pas été un problème politique pour lui.

Le soutien idiot de cette question par des gens comme Macron, Merkel et le pape François

Je trouve que le « idiot » n’est pas à sa place

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