4651.  andqui | 9/10/2019 @ 15:04 Répondre à ce commentaire

rpf (#4649), Le problème, c’est pas les 33% qui doutent, c’est les 66% qui ne doutent pas.

4652.  AntonioSan | 9/10/2019 @ 16:23 Répondre à ce commentaire

rpf (#4649), C’est vraiment La Croix et la Banniere Open Society…

4653.  rpf | 9/10/2019 @ 23:06 Répondre à ce commentaire

AntonioSan (#4652),
Extinction Rébellion, c’est la Bannière forte.
Le don du ciel, c’est Soros.
La Croix (javel), c’est Monsieur Propre.

4654.  pastilleverte | 10/10/2019 @ 15:26 Répondre à ce commentaire

andqui (#4644),
Et, malheureusement, c’est la même AFIS qui traite les (divers scientifiques) climato réalistes de pseudo scientifiques,par la grâce de François Marie Bréon, leur « climatologue » attittré et officiel
Ils devraient faire les mêmes tests statistiques avec tous les fameux/fumeux modèles climatiques !
Et tant que je suis sur l’AFIS, dans leur dernière conférence sur l’épidémiologie avec une pointure, suite à une question post conférence sur le glyphosate (qui n’était pas sa spécialité), Catherine Hill a dit (quasi) texto « Je me fiche de savoir si c’est Monsanto qui finance l’étude, du moment que les données sont vérifiables et que la méthode scientifique est appliquée ».
Cf. les soi-disant conflits d’intérêts voire pots-de-vin avec/versés par les « lobbies » (mot devenue très à la mode, remplaçant le Grand Kaapital cher à Georges Marchais) pétroliers, charbonniers, bref « fossiles ».
smile

4655.  Hug | 10/10/2019 @ 18:44 Répondre à ce commentaire

https://www.lepoint.fr/politique/emmanuel-berretta/cette-commission-semble-vraiment-pendue-aux-levres-de-greta-thunberg-09-10-2019-2340207_1897.php
Mon attachement pro-Europe est mis à mal depuis quelques temps. La il en prend un sérieux coup.
Bravo à cette blonde députée italienne. En plus elle est jolie comme l’est notre Brune, mais en l’occurence, contrairement aux clichés, c’est la blonde qui a la tête sur les épaules.

4656.  Le Rouméliote | 10/10/2019 @ 18:58 Répondre à ce commentaire

Hug (#4655), Désolé de vous décevoir, mais c’est bien l’UE qui pilote le délire antiCO2 et justifie toutes les débilités de notre brave Brune : https://www.consilium.europa.eu/fr/policies/climate-change/

4657.  AntonioSan | 10/10/2019 @ 21:05 Répondre à ce commentaire

Hug (#4655), La defense de Greta par ce « commissaire au climat » prouve encore un fois que Greta n’est qu’un outil qui permet a ces gens de se retrancher derriere une gosse pour faire passer leur politique totalitaire.
D’ailleurs, le CV du fameux Timmermans est revelateur… C’est un pur produit OTAN qui a trempe dans l’affaire ukrainienne.

4658.  rpf | 10/10/2019 @ 21:46 Répondre à ce commentaire

Mascarade, suite:
Convention citoyenne sur le climat : une diversité d’apparat par Philippe Charlez

Or, quand on observe de près la composition du comité de gouvernance et de ses garants, il y a de quoi être surpris par son manque de diversité.
Alors que les scientifiques en sont pratiquement absents, l’étiquette Science-Po est surreprésentée, les membres sont majoritairement marqués à gauche avec un passé de syndicaliste ou de militant dans des organisations écologiques et altermondialistes. Les connivences entre les différents membres ne sont pas surprenantes.

C’est à lire ici

4660.  AntonioSan | 11/10/2019 @ 20:52 Répondre à ce commentaire

Marc Cherki, le commissaire politique au climat du Figaro decouvre:
Il decouvre les rivieres atmospheriques et se fait revenir la-dessus.

Les images de Sao Paulo plongée dans le noir, en août 2019, ont choqué le monde entier. Cette nuit en plein jour dans la première ville d’Amérique du Sud était la conséquence d’importants feux de forêts, plus nombreux que d’habitude, allumés dans l’Amazonie, la plus vaste forêt tropicale au monde. Sao Paulo est pourtant située à plus de 2000 kilomètres de la forêt amazonienne. Mais des flux atmosphériques de nord-est ont apporté «de la fumée et des suies des feux de forêt», explique le Pr Antonio Donato Nobre, chercheur à l’INPE, l’Institut national de la recherche spatiale au Brésil qui a travaillé trente-trois années à l’Institut de recherche amazonienne.
Ces nuages noirs sont un phénomène moins heureux que celui des «rivières volantes», popularisées en Amérique latine par le même scientifique brésilien et l’aviateur suisse Gérard Moss, qui se sont rencontrés en 2006. Ce sont pourtant deux expressions des mêmes flux atmosphériques, appelés par les météorologues «low level jets», ou flux…

L’ignorance de Cherki se decline exclusivement pour les abonnes… On rigole de penser que ce zouave dont le CV scientifique demeure un des secrets les mieux gardes du journalisme francais, s’etonne que « Sao Paulo pourtant situee a plus de 2000 km de la foret amazonienne » recoive « des flux atmospheriques de NE »…
C’est un autre Mr Jourdain, que ce Cherki!

P.S.: Nobre a publie avec Makarieva, une physicienne russe connue pour ses concepts novateurs qui defient les idees recues, pour les cyclones par exemple. Que l’humidite de la foret amazonienne soit transportee par la circulation atmospherique est une evidence…
On ne parle plus des feux dans la foret amazonienne en ce moment… Parce que la mousson amazonienne s’est mise en place:
https://weather.gc.ca/data/satellite/goes_gedisk11_1070_m_2019@10@11_19h40m.jpg

4662.  Pigouille | 12/10/2019 @ 1:12 Répondre à ce commentaire

[NEP] Nicolas Hulot veut mettre des taxes aux frontières de l’UE pour empêcher les gens d’acheter des fraises, euh de vendre des fraises, euh des circuits courts pour remplacer le commerce international.
http://www.fondation-nature-ho.....veblen.pdf

Des solutions existent pour faire évoluer les systèmes et initier un cercle vertueux du point de vue social, environnemental mais aussi de gouvernance. Les modèles d’agriculture agro-écologique familiale contribuent à la préservation des équilibres écologiques, de la biodiversité et la lutte contre le dérèglement climatique. Sur le plan purement économique, le modèle de l’agriculture familiale est souvent plus stable et résistant en situation de crise

4663.  scaletrans | 12/10/2019 @ 10:04 Répondre à ce commentaire

Pigouille (#4662),

Par contre, le contrôle des produits de première nécessité pour éviter les spéculations en cas de disette implique un contrôle des frontières. c’était le cas pour les farines sous l’Ancien Régime, jusqu’à ce que, justement, les spéculateurs nés aient fait abandonner cette précaution par nos derniers souverains.

4664.  Christial | 12/10/2019 @ 11:28 Répondre à ce commentaire

A la fin de l’année 2018, les parlementaires ont inclus dans le budget une disposition qui exclut les produits à base d’huile de palme d’une exonération fiscale, et ce dès le 1er janvier 2020. Selon Total, cette disposition mettait à bas le modèle économique de La Mède, et lui coûterait de 70 à 80 millions d’euros par an. Le groupe a donc saisi le Conseil constitutionnel, en espérant faire censurer cette disposition, au motif quelle serait une « discrimination » contre l’huile de palme…

Dans sa grande sagesse le Conseil Constitutionnel présidé par un grand sauveur de Planète (il l’était déjà quand Greta portait encore des couches culotte, c’est dire), a décidé que :

le Parlement « a pu, sans méconnaître la Constitution, exclure l’huile de palme d’un régime fiscal favorable prévu pour les biocarburants ». « Le législateur a, en l’état des connaissances et des conditions mondiales d’exploitation de l’huile de palme, retenu des critères objectifs et rationnels en fonction du but poursuivi », souligne le Conseil. Il note également que, pour prendre ces décisions, le Parlement « a tenu compte du fait que la culture de l’huile de palme présente un risque élevé, supérieur à celui présenté par la culture d’autres plantes oléagineuses, d’induire indirectement une hausse des émissions de gaz à effet de serre ». Une manière de reconnaître que le besoin de terres agricoles pour la production d’huile de palme entraîne une déforestation qui joue un rôle important dans le changement climatique.

https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/10/11/huile-de-palme-le-conseil-constitutionnel-inflige-un-revers-a-total_6015133_3234.html

Petit oubli dans l’objectivité et la rationalité, l’huile de palme permet des rendements de l’ordre de 10 fois supérieurs à ceux de ses concurrents soja ou colza, autrement dit la déforestation est bien moindre avec des biocarburants utilisant l’huile de palme.
Cependant le mieux serait encore, en terme de bilan CO2 et de rationalité, plutôt que de déforester pour produire du biodiesel, d’utiliser les produits pétroliers !!

4665.  andqui | 12/10/2019 @ 12:57 Répondre à ce commentaire

Christial (#4664), Défricher la forêt pour une plantation de palmiers à huile est bénéfique pour la réabsorption de CO2: en effet, la production de matière sèche d’une culture est systématiquement bien supérieure à celle d’un couvert forestier (dans le cas des palmiers, c’est encore plus vrai, car leur vigueur est très forte), et, en plus, elle est exportée, alors que dans une forêt, elle reste sur place et se décompose, ce qui produit du CO2.
Vive l’agriculture!!!!
Ceci dit, le CO2, je m’en tape!

4667.  Jojobargeot | 12/10/2019 @ 20:47 Répondre à ce commentaire

Christial (#4664), Allez expliquer ça au WWF qui joue avec notre émotivité depuis 40 ans avec des affiches de bébés Orang-Outan. Ils n’ont pas levé le petit doigt quand on coupe 1/3 d’une forêt primaire pour faire du biocarburant. Avec ces cons, pour sauver la forêt, on la coupe.
Et après ça il nous font la morale sur la bio diversité.
Tous pourris!
La gueule de la jeune et jolie étudiante embauchée pour obtenir des dons.
Pire encore quand le WWF se voit attribuer 60.mia de $ pour sauvegarder une portion de forêt amazonienne grâce au programme REDD de l’ONU et qui déporte les tribus autochtones sous ce prétexte, la pauvre, elle fût déçue.

4668.  Araucan | 12/10/2019 @ 21:03 Répondre à ce commentaire

Christial (#4664),
La culture du Colza n’entraîne pas de déforestation ( plante tempérée)
.andqui (#4665),
Vous avez des chiffres ?

4669.  AntonioSan | 12/10/2019 @ 22:38 Répondre à ce commentaire

Alors que les propagandistes de Meteo France se faisaient jouir le 4 octobre en recensant exclusivement les points chauds…

Ce début de mois d’octobre est globalement marqué par de fortes anomalies de températures dans l’hémisphère nord : de très nombreux records mensuels de températures ont été battus, dans de très nombreux pays. Les records chauds s’enchaînent depuis le début du mois et concernent des zones géographiques remarquablement étendues. Petit tour d’horizon d’un début octobre 2019 en surchauffe.

Ils auraient du attendre un peu plus longtemps…
scaletrans (#4666), Denver et
Et ici dans l’ouest canadien…

Environment Canada says the temperature at Vancouver International Airport dipped to 0.7 C Monday morning.
“That’s the coldest Oct. 10 in 123 years, so this is pretty significant,” said Environment Canada meteorologist Matt MacDonald.
It was the second record in two days for Vancouver, which saw thermometers dip to 0.8 C Wednesday, wiping out the old record of 2.8, which had stood since 1960.

Mais voila, ce genre de record ne fait pas jouir les faiseurs d’actualite de chez Meteo fRance…

4670.  andqui | 12/10/2019 @ 22:42 Répondre à ce commentaire

Araucan (#4667), Non, j’ai pas les chiffres (et je ne sais même pas s’ils existent; si oui, ils varient selon la nature du couvert forestier et du couvert cultivé) mais en tous cas, une parcelle cultivée ( quelque soit l’espèce) fixe toujours plus ce CO2 qu’une parcelle forestière non cultivée parce qu’elle exporte la récolte, composée pour l’essentiel de chaînes carbonées, glucides, lipides et protéines, alors qu’en forêt (non cultivée) les bois morts réémettent du CO2 en pourrissant. De plus, la vigueur d’une plante cultivée est bien supérieure à celle d’un arbre âgé pour lequel la photosynthèse s’exerce surtout au niveau de la canopée. Le raisonnement vaut si on reste sur le système de la parcelle. Maintenant, si on considère ce que devient la récolte, aliment ou produit transformé, sa consommation produira du CO2.
Bilan: neutralité « carbone » sur toute la ligne (aux pets des vaches près, approximatif évidemment)
Je crains que la notion, délirante, de « puits de carbone » ne puisse pas s’appliquer à la végétation, si on considère toute la chaîne.
Le problème avec nos crétins préférés, c’est que leur ignorance crasse les empêche de mener un raisonnement à son terme en envisageant toute la globalité du problème.

4671.  the fritz | 13/10/2019 @ 7:30 Répondre à ce commentaire

andqui (#4669),

Maintenant, si on considère ce que devient la récolte, aliment ou produit transformé, sa consommation produira du CO2.

Ah! quand même boredom

4672.  andqui | 13/10/2019 @ 11:44 Répondre à ce commentaire

the fritz (#4670), Quand-même quoi? Devrais-je me réjouir de l’onction alsacienne en matière d’honnêteté intellectuelle? Seriez-vous l’arbitre des élégances climatiques?
Votre suffisance m’indispose un tantinet, et je vous engage à une modestie bienveillante: chacun y trouvera son compte.

4673.  Araucan | 13/10/2019 @ 18:01 Répondre à ce commentaire

andqui (#4670),
Mais vous ne réglez en rien la question du devenir du stock initial …
De plus, vous ne prenez pas en compte dans la culture intensive, la part qui repart directement dans le sol, la part de la récolte perdue ou gaspillée, ce qui réduit le bilan et ce sans compter, les intrants et l’utilisation d’engins …

4674.  andqui | 13/10/2019 @ 18:23 Répondre à ce commentaire

Araucan (#4673), 1- Je ne comprends pas ce que le stock initial vient faire là; en tous cas, ce n’était pas mon propos,
2- Vous avez raison sur ce que je n’ai pas abordé, mais c’est du 2è voire 3è ordre par rapport à la production de matière sèche et à l’utilisation des récoltes (en ce qui concerne le CO2 bien sûr),
3- Je ne comprends pas cette histoire de réduction du bilan; j’ai dit que les 2 cas, forêt ou culture, étaient à peu près neutres en matière de CO2.
Cela dit, on peut toujours pinailler, selon ses opinions sur la forêt ou l’agriculture dite intensive (qualificatif écolo dévalorisant et absurde) mais pour y voir clair (quelque soit le sujet d’ailleurs) il vaut mieux avoir une idée des ordres de grandeur plutôt que d’argumenter sur les détails, enfin, c’est mon avis…Non?

4675.  the fritz | 13/10/2019 @ 20:01 Répondre à ce commentaire

andqui (#4665),

Ceci dit, le CO2, je m’en tape!

Faut pas en abuser surtout s’il est dans la bière ou le champagne

4676.  the fritz | 13/10/2019 @ 20:19 Répondre à ce commentaire

andqui (#4665), Je ne sais pas trop ce que l’on fait du bois en défrichant une forêt pour planter des palmiers : mais je pense qu’on ne stocke pas ce bois pour qu’il ne se transforme pas en CO2 ; alors je pense que si on s’en sert pour faire autre chose que des poutres , il dégagera plus de CO2 que le palmier en fixera pour grandir
J’espère ne plus être là quand la terre sera couverte de palmiers de colza et d’éoliennes

4677.  the fritz | 13/10/2019 @ 20:25 Répondre à ce commentaire

andqui (#4670),

une parcelle cultivée ( quelque soit l’espèce) fixe toujours plus ce CO2 qu’une parcelle forestière non cultivée parce qu’elle exporte la récolte, composée pour l’essentiel de chaînes carbonées, glucides, lipides et protéines, alors qu’en forêt (non cultivée) les bois morts réémettent du CO2 en pourrissant.

Que deviennent ces glucides lipides et protides exportés ? Ils sont stockés ? Je pense qu’ils sont brûlés plus vite que les bois morts

4678.  the fritz | 13/10/2019 @ 20:58 Répondre à ce commentaire

andqui (#4670),

Je crains que la notion, délirante, de « puits de carbone » ne puisse pas s’appliquer à la végétation,

Je ne sais pas qui c’est qui délire , mais les bilans d’émission et de puits de carbone sont à peu près admis par tout le monde , dénialistes , réalistes ou réchauffistes , à savoir que la moitié de ce que l’homme émet comme CO2 en brûlant des fossiles reste en l’air , et l’autre moitié passe dans des puits que se partage la végétation terrestre et le biotope océanique

4679.  Murps | 13/10/2019 @ 21:53 Répondre à ce commentaire

the fritz (#4678), je n’en suis pas convaincu plus que cela.
Invérifiable.

4680.  andqui | 13/10/2019 @ 22:22 Répondre à ce commentaire

the fritz (#4678), Ecoutez, il est tard, allez vous reposer, et ne vous en faîtes pas trop pour tout ça, c’est pas vraiment important. La vérité est au fond du puits… de carbone?

4681.  Araucan | 13/10/2019 @ 22:44 Répondre à ce commentaire

andqui (#4674),
1) Le stock initial part dans l’atmosphère et s’y ajoute… Que ce soit sous forme de bois ou de fossiles ou de sols et il faut du temps pour les reconstituer.
2) Le fait que la culture soit intensive est important sur le plan des engrais et du rendement annuel : là votre propos peut se tenir ( plus forte récupération de matière carbonée annuelle dont il faut toutefois évaluer la pérennité ). Sans engrais, les calculs de 2nd ou 3e ordre ne le sont certainement plus. Et sur des sols pauvres comme le sont les sols amazoniens… Enfin en forêt et en agriculture, si l’on veut faire des comptes et des analyses de cycles de vie autant les faire sur dix ans …
3) Je chercherai des chiffres à l’occasion sinon on peut encore causer longtemps …

4682.  andqui | 14/10/2019 @ 6:48 Répondre à ce commentaire

Araucan (#4681), On peut causer autant de temps que vous voulez, mais je crains d’avoir perdu le fil de cette discussion. Mon propos, ce n’est que de dire qu’il n’y a pas de différence significative entre un couvert végétal non cultivé et un couvert végétal cultivé en matière de CO2. Si vous trouvez des études qui montrent le contraire, et bien je m’inclinerai.
Mais derrière cette discussion, assez futile je pense, il y a un autre point de vue, c’est celui de la défense des forêts dites primaires (Amazonie, Indonésie,…) face aux défrichements en cours pour la mise en culture. Chez nous, cette défense de la forêt est souvent très affective, mais aussi un tantinet néo colonialiste. Il ne semble pas que les populations de ces régions aient émis la moindre critique quand les Abbayes ont défriché la quasi totalité de la grande forêt européenne il y a plus de 1000 ans. A l’origine, les sols étaient là tout aussi pauvres (la règle en matière de sols forestiers) et ce sont les pratiques agricoles qui les ont enrichi et l’agriculture moderne y a également contribué.
La nature n’est pas un terrain de jeu pour les bobos.

4683.  the fritz | 14/10/2019 @ 7:05 Répondre à ce commentaire

Murps (#4679), Vous êtes pas convaincu de quoi ? que la moitié de ce que l’homme brûle comme fossile va ailleurs que dans l’atmosphère :
Alors de deux choses l’une : ou les données charbon pétrole et gaz sont trafiquées , ou les données Mauna Loa fausses; après, comme dit Araucan, on peut ergoter entre le % qui va dans le couvert végétal ou les sols et celui qui va dans l’océan

4684.  the fritz | 14/10/2019 @ 7:56 Répondre à ce commentaire

andqui (#4682),
La mise en culture d’une prairie
conduit au déstockage du
carbone du sol alors que le
boisement de terres cultivées
provoque un stockage.
https://www.ademe.fr/sites/default/files/assets/documents/7886_sol-carbone-2p-bd.pdf

4685.  scaletrans | 14/10/2019 @ 9:24 Répondre à ce commentaire

Comme andqui, le carbone je m’en tape. Juste pour dire que l’augmentation de la concentration atmosphérique est -peut-être- d’origine anthropique, et que c’est un bienfait !
Quant aux pugilats sur les temps de résidence (parlons plutôt de cycle) on pourra ergoter longtemps avec les signatures isotopiques, ça m’est totalement équilatéral.

4686.  andqui | 14/10/2019 @ 11:10 Répondre à ce commentaire

the fritz (#4684), Il ne faut pas confondre « régime transitoire »: le changement de destination d’une parcelle, avec « régime établi », la comparaison de deux parcelles différentes sur la durée. Dans votre exemple, vous avez évidemment raison, mais ce n’était pas mon propos.
Quant à la référence de l’Adème, c’est grotesque: poncifs animistes, « le sol est vivant », culpabilisation, l’agriculture « intensive » le tue, j’en passe et des bien pires. L’agroécologie, ce n’est pas de l’agronomie, c’est de l’écologie et de la pire espèce et, comme toujours, ça rend con voire fou. Franchement, épargnez moi-ça, vous valez mieux.

4687.  pastilleverte | 14/10/2019 @ 11:19 Répondre à ce commentaire

JC (#4659),
Oui bon très bien, mais quand M Chaline parle d’une T° moyenne , quoique cela puisse vouloir dire, de +21°C, alors qu’on cite habituellement une fourchette 14-15°C, et qu’il reprend le « -15°C » sans effet de serre », alors que les physiciens les plus sérieux parlent plutôt de # -80°C, ça me dérange.
Pour le reste, un futur (?) adhérent )à l’ACR ?

4688.  pastilleverte | 14/10/2019 @ 11:23 Répondre à ce commentaire

scaletrans (#4666),
Eh oui, la météo quoi !!!
smile

4689.  the fritz | 14/10/2019 @ 12:01 Répondre à ce commentaire

scaletrans (#4685),andqui (#4686),
Eh ben! Les forumeurs de skyfall deviennent de plus en plus des dénialistes ; c’est vrai que le blog du climatoréaliste attire de plus en plus de malades du CO2 ce qui peut expliquer cela
C’est vrai que l’Ademe raconte beaucoup de conneries sur l’avenir énergétique de la planète , tout autant que le GIEC sur l’avenir climatique de celle-ci ; mais il faut savoir faire le tri , et c’est là qu’on reconnaît ceux qui parlent de sciences et ceux qui font parler leur idéologie

4690.  the fritz | 14/10/2019 @ 12:10 Répondre à ce commentaire

pastilleverte (#4687), Difficile de laisser passer de telles erreurs alors qu’on a gagné 1 degré en 1 siècle ; par ailleurs les -15 ° c’est la loi de Stefan qui n’a rien à voir avec tous les autres critères qui influences la températures de la surface : effet de serre , albédo principalement

Pour le reste, un futur (?) adhérent )à l’ACR ?

J’espère que non , cela donnerait du grain à moudre à FMB

4691.  andqui | 14/10/2019 @ 12:38 Répondre à ce commentaire

the fritz (#4689), Moi, cher ami, je ne suis pas agronome par idéologie mais par formation (INA 71) Dans le domaine du sol, ma spécialité de l’époque, vous manquez de connaissances et vous allez les chercher au mauvais endroit.
En outre, vous êtes énervé donc nos échanges s’arrêtent là.
Amitiés néanmoins.

4692.  the fritz | 14/10/2019 @ 12:57 Répondre à ce commentaire

andqui (#4691),
Faites donc une lettre à l’ADEME; j’ai mis cette référence pour vous énerver , mais il y en a des centaines qui disent pareil ; moi , ma spécialité en géologie, c’est la pédologie avec un doctorat sur les argiles ; alors dommage que vous voulez arrêter les échanges

4693.  MichelLN35 | 14/10/2019 @ 14:54 Répondre à ce commentaire

Murps (#4679),
@ Murps #4679
Vous avez raison, (comme vous l’avez dit pour moi il y a quelques années, merci) c’est invérifiable.

Il est inutile de discuter cycle du CO2 avec the Fritz. Il est tout à fait convaincu de la responsabilité humaine d’un prétendu effet de serre du CO2, car marqué par le déficit en 13C. Cette question devrait maintenant être considérée comme résolue depuis des travaux bien antérieurs à l’affaire climatique, rappelés ici tabl 3.2.12 https://tinyurl.com/y9sazpsb

Pourtant, même Spencer, qui croît à l’effet de serre de ce gaz de la vie, a parfaitement démontré que les variations de la teneur atmosphérique en CO2 est toujours postérieure à celle de la température, surtout des océans et à toutes les échelles de temps. Comme ces variations concordent en temps et en amplitudes, la source du CO2 atmosphérique est forcément l’eau salée océanique et douce terrestre.

Une bonne façon d’aborder cette question me semble être d’investiguer la notion et la mesure de la température comme je vous l’ai signalé sur M,M &M ici :
https://mythesmanciesetmathematiques.wordpress.com/2019/10/02/les-hoquets-de-la-science-climatique/#comment-14773 . J’interviens souvent avec du retard si bien que les discussions de redémarrent plus, cependant j’attends toujours que des arguments logiques me soient opposés.

4694.  the fritz | 14/10/2019 @ 16:59 Répondre à ce commentaire

MichelLN35 (#4693),
copie à San A.

Il est inutile de discuter cycle du CO2 avec the Fritz. Il est tout à fait convaincu de la responsabilité humaine d’un prétendu effet de serre du CO2

Ne venez pas troubler des discussions entre scientifiques ici : si on confond cycle du carbone avec effet de serre on va chez le tétard trempé ; il n’attend que vous pour animer son blog

4695.  the fritz | 14/10/2019 @ 17:04 Répondre à ce commentaire

Murps (#4679),
Vous avez le droit d’assister Michel sur le blog de GED
http://sogeco31.blogspot.com/

4696.  andqui | 14/10/2019 @ 17:59 Répondre à ce commentaire

the fritz (#4692), Des centaines disent « pareil »? ça doit faire dans les 98% non? Désolé, je ne résiste pas…
Sinon respect pour le doctorat! Je pense qu’il s’agit des argiles géologiques, silicates d’alumine; l’agro, lui, s’intéresse aux argiles granulométriques: inf 0,2 micron, pour leur comportement colloïdal et leur faculté à s’associer avec les acides humiques.
Allez, on change de sujet.

4697.  Philippe | 14/10/2019 @ 20:05 Répondre à ce commentaire

D’après le GIEC eux-même, la part de CO2 d’origine humaine dans l’atmosphère n’est que de 3,8% (rapport AR5 du GIEC, page 471, figure 6.1).

4698.  BenHague | 14/10/2019 @ 20:51 Répondre à ce commentaire

MichelLN35 (#4693),
Et fritz n est pas le seul ….

4699.  the fritz | 15/10/2019 @ 11:11 Répondre à ce commentaire

BenHague (#4698),

Et fritz n est pas le seul ….

Vous pouvez développer ?

4700.  Hug | 15/10/2019 @ 11:14 Répondre à ce commentaire

Philippe (#4697),
Vrai pour les flux annuels, mais faux pour la quantité totale de CO2 présent dans l’atmosphère: 589 PgC naturel + 240 PgC anthropique = 829 PgC (PgC = 10^15 gC).
240/829=0,29 soit 29% du CO2 atmosphérique d’origine anthropique.
Et 29% de 400ppm, cela fait 116ppm d’origine anthropique. 400-116=284ppm. On retombe bien sur la proportion de CO2 estimée pour la période pré-industrielle.
La théorie du RCA repose sur ça: la part anthropique des émissions annuelles de CO2 dans l’atmosphère qui se limite à 4% rompt l’équilibre naturel d’émissions-absorptions de CO2 et conduit à cette augmentation significative dans la durée de concentration de CO2 dans l’atmosphère.
Ca se défend.
Ca repose aussi sur le principe que cette augmentation renforce de manière significative l’effet de serre atmosphérique.
C’est là que ça se complique et que ça devient contestable.

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