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351.  Lepieux | 1/02/2018 @ 18:52 Répondre à ce commentaire

Volauvent

Il semble que vous ne connaissiez pas les bases de l’atmosphère isotherme et adiabatique

.

Cette atmosphère n’existe pas… Vous ne pourrez jamais enlever le rôle de la gravitation, quand vous comprimez un gaz il chauffe point barre.

352.  phi | 1/02/2018 @ 19:50 Répondre à ce commentaire

Nanuq (#350),

Je ne comprends pas ce passage :

Pour les phénomènes d’ été, dans un anticyclone ou il y a convections nuageuses (vent de vallée) mais aucun orage, c’est que la masse d’air montante est plus froide que l’air ambiant (adiabatique sèche). La montée s’arrête, car la poussée d’Archimède est plus faible que le poids, la masse d’air retourne vers son point de départ.

Pourquoi dites-vous que la masse d’air montante est plus froide que l’air ambiant ?
Qu’est-ce qui stoppe l’ascension de cette masse d’air ?
Pourquoi, ayant atteint une altitude donnée redescend-elle ?

353.  papijo | 1/02/2018 @ 20:04 Répondre à ce commentaire

Lepieux (#351),

quand vous comprimez un gaz il chauffe point barre

Il se confirme que vous ne comprenez pas la différence entre isotherme et adiabatique !

354.  the fritz | 1/02/2018 @ 20:14 Répondre à ce commentaire

joletaxi (#346),

la gravité ne produit aucune énergie

Je me disais bien ,que nos scientifiques sont des tarés ; pourquoi avoir essayé de faire ITER alors que la gravité ne produit aucune énergie

355.  jdrien | 1/02/2018 @ 20:34 Répondre à ce commentaire

the fritz (#354), où intervient la gravité dans ITER? il me semblait qu’un champ magnétique créait un plasma dans lequel pouvait apparaitre la fusion, ou ai-je faux?

356.  the fritz | 1/02/2018 @ 21:52 Répondre à ce commentaire

jdrien (#355),

Qu’est-ce que la fusion ?
(Click to view larger version…)
La fusion est la source d’énergie qui alimente le Soleil et les étoiles. Dans les conditions de pression et de température extrêmes qui règnent au cœur de ces corps stellaires, les noyaux d’hydrogène entrent en collision et fusionnent pour former des atomes d’hélium et libérer de considérables quantités d’énergie au cours de ce processus.
De toutes les réactions de fusion possibles, c’est la réaction entre le deutérium et le tritium (deux isotopes de l’hydrogène) qui se révèle la plus accessible en l’état actuel de notre technologie.
Dans un tokamak, trois conditions doivent être remplies pour obtenir des réactions de fusion : une température très élevée (de l’ordre de 150 millions de degrés Celsius), une densité de particules suffisante pour produire le plus grand nombre de collisions possibles, et un temps de confinement de l’énergie suffisamment long pour que les collisions se produisent avec la plus grande vitesse possible.
Lorsqu’un gaz est porté à très haute température, les atomes se dissocient : les électrons et les noyaux sont séparés les uns des autres et le gaz se transforme en plasma (quatrième état de la matière). C’est dans ce milieu que les noyaux légers peuvent fusionner et générer de l’énergie.
Dans un tokamak, des champs magnétiques très puissants sont mis en œuvre pour confiner et contrôler le plasma.

Pour moi pression=gravité ( ou l’inverse ) et éventuellement chaleur , tous les facteurs pour créer un plasma

357.  Bernnard | 1/02/2018 @ 22:02 Répondre à ce commentaire

La gravité est un « champ ». Si une masse se déplace dans ce champ gravitaire, elle produit de l’énergie. Tout comme le magnétisme est un  » champ ». Si une charge électrique se déplace dans ce champ, elle produit de l’énergie. Il ne faut pas confondre

358.  Nanuq | 1/02/2018 @ 22:17 Répondre à ce commentaire

phi (#352),
18 ans de parapente à scruter l’emagramme, regtherme, températures de surface VS températures à 1000m pour le gradient (instabilité), point de rosée, adiabatique sèche, on apprend beaucoup mais on est loin d’avoir tout comprit!

Pourquoi dites-vous que la masse d’air montante est plus froide que l’air ambiant ?

Veuillez reprendre la phrase en son entier avec correction:

Pour les phénomènes d’ été, dans un anticyclone ou il y a convections nuageuses (vent de vallée) mais aucun orage, c’est que la masse d’air montante est plus froide que l’air ambiant (adiabatique sèche). La montée s’arrête, car la poussée d’Archimède est plus faible que le poids, la masse d’air retourne vers son point de départ.

J’aurais dût dire:
c’est que la masse d’air montante devient plus froide que l’air ambiant dans une adiabatique sèche et dans une inversion.

phi (#352),

Qu’est-ce qui stoppe l’ascension de cette masse d’air ?

L’inversion ou l’isothermie et l’adiabatique sèche.

phi (#352),

Pourquoi, ayant atteint une altitude donnée redescend-elle ?

Parce que la poussée d’Archimède devient insuffisante pour maintenir la structure en place, l’équilibre thermique retrouve son état initial…

Nanuq

Edit: Après avoir ramé un bon moment, je n’ai toujours pas trouvé comment faire un barré sur ce blog. Si quelqu’un pouvait m’aider, merci..

359.  phi | 1/02/2018 @ 23:00 Répondre à ce commentaire

Nanuq (#358),
Merci pour ces précisions. Je ne saisis toujours pas bien pourquoi vous parlez d’une masse d’air froid mais peu importe, un vent de vallée peut être ressenti comme un vent frais.
Ok pour la limite d’élévation. Ce qui m’échappe toujours, par contre, c’est la raison pour laquelle vous pensez qu’une masse d’air donnée atteignant une altitude donnée sous l’effet de la poussée d’Archimède ne serait soudain plus en équilibre et redescendrait. Il y a bien entendu les GES mais leur action est trop dissipée. Ne pensez-vous pas que ces masses d’air qui viennent d’être chauffées à la surface vont plutôt rester en altitude le temps d’être suffisamment refroidies ?

360.  Lepieux | 1/02/2018 @ 23:15 Répondre à ce commentaire

papijo (#353),

Bah je connais l’isotherme 0° ou celui de 10° mais pas d’atmosphère isotherme (ça reste à inventer). D’ailleurs si on y regarde à 2 fois, une atmosphère ne peut pas être à la fois adiabatique et isotherme…

361.  volauvent | 1/02/2018 @ 23:32 Répondre à ce commentaire

papijo (#353),

Oui, et pour moi c’est la preuve que c’est un clown.

362.  Curieux | 1/02/2018 @ 23:53 Répondre à ce commentaire

Nanuq (#358),
(strike)…(/strike) vous remplacez les ( ) par les delimiteurs de balise.
phi (#359),

c’est la raison pour laquelle vous pensez qu’une masse d’air donnée atteignant une altitude donnée sous l’effet de la poussée d’Archimède ne serait soudain plus en équilibre et redescendrait

Excellente question. Le phénomène est bien réel, si l’ascendance est forte la « déguelante » l’est tout au tant, c’est bien corrélé. Je me hasarde à l’explication suivante : l’air ascendant arrivé à la couche d’inversion continue par inertie à monter et ce trouve donc plus froid que l’air ambiant et par nécessité redescend. Sans oublier que le pied de l’ascendance aspire l’air à l’entoure. A vérifier.

363.  Nanuq | 2/02/2018 @ 9:37 Répondre à ce commentaire

phi (#359), phi (#359),

Merci pour ces précisions. Je ne saisis toujours pas bien pourquoi vous parlez d’une masse d’air froid mais peu importe, un vent de vallée peut être ressenti comme un vent frais.
Ok pour la limite d’élévation. Ce qui m’échappe toujours, par contre, c’est la raison pour laquelle vous pensez qu’une masse d’air donnée atteignant une altitude donnée sous l’effet de la poussée d’Archimède ne serait soudain plus en équilibre et redescendrait.

Soyez indulgent pour mon émagramme, hein…

Il est 14h00. la courbe rouge est celle de la température de l’atmosphère, diminuant avec l’altitude. La courbe bleue, celle de l’humidité ou point de rosée ( le plaf en para..). En gris, la formation nuageuse, un congestus pour l’exemple, et en noir, la température à une altitude donnée..C’est pour l’exemple, les valeurs sont fausses.
La température à 3000m est de 15°C. La température au départ de la convection (surface du sol) est de 30°C.
A 4000m, la température atmosphérique n’ est que de 18°C. Dès 5000m, notre nuage atteint une t°c de 16° alors que l’atmosphère environnant est de 20°C. Le cumulus se casse la noisette mais la forte convection au sol continue. Un nouveau congestus se reforme puis s’efface etc..

16H00, l’énergie au sol est moins forte, la convection ralentit.
21H00, la convection au sol est stoppée par manque d’énergie, une inversion se forme entre surface sol et 1500m. Le poids de la colonne ascendante, par manque de convections (poussée d’Archimède), redescend. L’air qui arrive à la surface est plus chaud que la température ambiante.
Les valeurs de températures sont farfelues, je n’ai pas d’exemple sous le coude..

Nanuq

Edit: Curieux (#362), Merci.

364.  Lepieux | 2/02/2018 @ 10:16 Répondre à ce commentaire

volauvent (#361),

Si vous le dites, néanmoins je ne vous ai pas encore vu me fournir une explication détaillée incluant les lois de la physique démontrant que je pourrais avoir tort.

Je le redis une fois encore tant que les climatosceptiques continueront sur cette voie, ils n’auront jamais aucune crédibilité. Il est grand temps pour certains de se poser les bonnes questions, la première étant sur leurs propres compétences.

365.  phi | 2/02/2018 @ 10:37 Répondre à ce commentaire

Nanuq (#363),
Les émagrammes sont un peu flippant pour les non initiés. Je suppose que vos deux courbes noires sont des adiabatiques humides. Je ne comprends toujours pas ce qui vous fait dire que les masses d’air ascendantes sont froides ni ce qui, selon vous, provoquerait leur retour vers la surface.

J’insiste sur ces points parce qu’ils sont en directe relation avec la discussion sur le rôle des GES et que ce rôle jette une lumière particulièrement crue sur la théorie du RCA et son barda de concepts absurdes.

366.  phi | 2/02/2018 @ 11:05 Répondre à ce commentaire

Pour donner une vague idée de ce qu’est ce barda absurde, première phrase du second paragraphe de ce commentaire : Lepieux #321.

367.  papijo | 2/02/2018 @ 11:31 Répondre à ce commentaire

Lepieux (#364),

je ne vous ai pas encore vu me fournir une explication détaillée incluant les lois de la physique démontrant que je pourrais avoir tort

Un exemple:

une atmosphère ne peut pas être à la fois adiabatique et isotherme

Prenez un volume d’air enfermé dans un bidon étanche et parfaitement isolé.
L’atmosphère à l’intérieur du ballon sera très rapidement isotherme, c’est à dire à une température uniforme, et adiabatique, c’est à dire qu’elle n’échange aucune chaleur avec l’environnement.

Maintenant, si vous comprimez avec un piston (bien isolé) votre volume d’air, sa température va augmenter, mais il sera toujours « isotherme » (l’ensemble du volume sera à une température identique) et « adiabatique » (car s’il a échangé du travail, il n’a pas échange de chaleur). En réalité, dans ce bas monde, rien n’est parfait et il y aura toujours un échange entre gaz et parois du volume, mais si le mouvement du piston est rapide (compression ou détente dans un moteur à combustion par exemple), ça reste vrai !

368.  Nanuq | 2/02/2018 @ 11:55 Répondre à ce commentaire

phi (#365),

Je suppose que vos deux courbes noires sont des adiabatiques humides.

Ce sont celles des températures..

Je ne comprends toujours pas ce qui vous fait dire que les masses d’air ascendantes sont froides .

Ascendantes dans l’inversion ( le flux chaud) mais, je me rends compte que ce n’est peut être pas possible!

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Growing_cumulus_clouds_in_time_lapse.ogv

ni ce qui, selon vous, provoquerait leur retour vers la surface

Je me rends soudainement compte que ce n’est peut être pas la colonne d’air dans laquelle je me trouve qui créé la descente mais peut être celle d’à côté tout comme l’inversion au sol!! Différence de convection entre deux colonnes, dynamique des fluides..

Arfff! terrain glissant! Je vais en rester là pour le coup!
Merci phi de m’avoir ouvert les yeux..

Amitié, Nanuq

369.  Lepieux | 2/02/2018 @ 13:10 Répondre à ce commentaire

papijo

Prenez un volume d’air enfermé dans un bidon étanche et parfaitement isolé.

Je vous en prie, cessez de dire de telles bêtises. L’atmosphère est un milieu ouvert votre comparaison est par conséquent irrecevable.

Maintenant, si vous comprimez avec un piston (bien isolé) votre volume d’air, sa température va augmenter,

Idem, mais quand après l’avoir poussé vous relâchez le piston l’air qui en sort est froid (détente adiabatique) et la composition du gaz n’a rien à y voir puisque c’est avec le même processus qu’on fabrique l’azote liquide…

370.  Nanuq | 2/02/2018 @ 15:10 Répondre à ce commentaire

phi (#365),

Je suppose que vos deux courbes noires sont des adiabatiques humides.

Vous avez raison.. j’ai la tête qui se prend dans les pieds aujourd’hui!
Mes excuses..

Nanuq

371.  Curieux | 2/02/2018 @ 15:24 Répondre à ce commentaire

Nanuq (#368),
Avec un cumulus la mécanique est différente, le nuage EST une machine thermique.
Quand la vapeur d’eau se condense l’energie emmagasinée pour la vaporiser est restituée, vous aurais donc dans le nuage des ascendances et corrélativement leurs corolaires des descendantes (l’air propulsé vers le haut doit être remplacé). Ceci est parfaitement observable dans une rue de nuages ou, collé sous le nuage vous avez une pompes déconnectée du sol qui peut vous emmener sur des kilomètres (et décalez-vous de quelques dizaines de mètres et ce sera une sérieuse dégueulante).
En cas de cunimb, c’est carrément époustouflant, ils ont tellement d’energie qu’ils peuvent remonter le vent !

372.  phi | 2/02/2018 @ 15:58 Répondre à ce commentaire

Nanuq (#370),
Il y a des jours comme ça, et puis ça passe.

Lepieux (#369),

Bien, le piston. Vous compressez, ça chauffe, et puis… ça se dissipe pour égaliser les températures avec l’environnement.

Même chose pour l’atmosphère, à supposer que vous l’ayez mise en place à la petite cuillère. Chauffage par compression selon la pression, puis… égalisation des températures. Et après ? C’est un fusil à un coup !

Si vous comptez sur les mouvements convectifs pour maintenir le gradient, ça demande de gros muscles. Ce serait moins fatiguant pour vous d’ouvrir un manuel de thermodynamique.

373.  volauvent | 2/02/2018 @ 17:20 Répondre à ce commentaire

Lepieux (#364),

Mais sur la plupart des points que vous citez, nous sommes presque d’accord….
Climatosceptique ne veut pas dire contester la physique de l’atmosphère….

Simplement, la plupart du temps, vous vous exprimez tellement mal et de façon tellement arrogante qu’on ne comprend pas ou vous voulez en venir.
Finalement, vous considérerez vous comme sceptique sur les affirmations officielles du GIEC, ou êtes vous d’accord? Cela n’est pas du tout clair.
Si j’ai bien compris, votre message principal est que le réchauffement de l’atmosphère se fait par thermalisation? Qu’est ce que cela change? Le résultat est bien que la température d’émission est fixée en partie par l’équilibre radiatif des dernières couches, donc à une température plus faible qu’à la surface, donc ça émet moins, d’où déficit d’émission du système terre plus atmosphère, d’ou chauffage avant nouvel équilibre ….
On ne peut séparer « l’effet d’absorption des gaz » de l’effet de gravité. C’est un tout. L’un et l’autre sont nécessaires pour assurer la convection indéfiniment.

Concernant le débat sur une atmosphère isotherme, c’est juste une considération théorique. Dans ce cas, il y aurait toujours un gradient de pression, mais qui diminuerait exponentiellement avec l’altitude.

La principale bévue des tenants de « l’effet de serre adiabatique » « qui n’a pas besoin de gaz à effet de serre » oublient que le volume de l’atmosphère n’est pas contraint. Sans le « point froid » de la zone d’émission, à température fixée (en simplifiant) par l’équilibre radiatif, la température s’homogénéisera, elle en a parfaitement le droit.

374.  Nanuq | 2/02/2018 @ 17:39 Répondre à ce commentaire

Curieux (#371), Libériste..? ^^,
J’ai fais mes posts dans la précipitation, sans trop réfléchir..
Pour cette histoire de descente d’air chaud le soir en bord de relief, on se disait régulièrement avec des amis, que ce vent chaud était la résultante d’une journée très thermique ( il ne dure généralement pas plus de deux heures). C’est faux! Je n’ai jamais cherché plus loin!
La couche convective ayant été brassée la journée, il y a une homogénéisation de l’air. Il ne peut donc pas y avoir de courant descendant chaud. Ce doit être probablement dût au relief. Les surfaces en altitude se refroidissent plus vite que l’air, en résulte un courant descendant. En descendant, ces vents se réchauffent et s’assèchent peu à peu et donnent ce vent chaud et sec..
Pas sur de mon coup mais voilà..

Nanuq

375.  papijo | 2/02/2018 @ 17:55 Répondre à ce commentaire

volauvent (#373),
Est-ce moi qui suis visé dans votre dernier commentaire ? Je me suis peut-être mal exprimé.
Si nous parlons d’atmosphère terrestre dans son ensemble, si l’on veut qu’elle soit adiabatique … il faut commencer par supprimer le soleil. Je n’ai pas osé aller jusque là, et je me suis donc contenté de l’atmosphère à l’intérieur d’un « volume fermé » (c’est plus facile à visualiser)!

Puisque nous en sommes à pinailler, vous avez raison de dire que s’il n’y avait pas de point(s) froid(s), la température de l’atmosphère terrestre s’homogénéiserait. Les points froids en question peuvent être soit le « sommet » de l’atmosphère, soit les pôles (non chauffés par le soleil et refroidissant l’atmosphère par convection au sol et rayonnement IR du sol vers l’espace), soit plus généralement n’importe quelle zone à faible température en raison de l’alternance des saisons et jour/nuit, ou de différences d’inertie thermique, ou de coefficient d’absorption, etc.

376.  Lepieux | 2/02/2018 @ 18:54 Répondre à ce commentaire

volauvent (#373),

La principale bévue des tenants de « l’effet de serre adiabatique »

Je n’ai jamais défendu cette idiotie, car l’effet de serre ne peut pas s’exprimer en l’absence d’un gradient de pression et donc de température relire avec soin Dufresne. L’effet de serre existe parce qu’il y a un gradient de pression

Concernant les rapports du GIEC je suis d’accord avec le fait qu’il y a réchauffement et que nous en sommes largement responsables car brûler des fossiles au rythme où nous le faisons n’est pas anodin et sans conséquences. Où je ne suis pas d’accord, c’est sur la manière de régler le problème car on ne peut pas se passer des fossiles sous peine de voir notre société s’effondrer.

phi,
Cessez de parler de choses dont vous ignorez tout.

377.  phi | 2/02/2018 @ 19:12 Répondre à ce commentaire

volauvent (#373),
Vous avez un côté burlesque extraoridinaire :

Si j’ai bien compris, votre message principal est que le réchauffement de l’atmosphère se fait par thermalisation? Qu’est ce que cela change?

Ben, ouaip, quoi ! Que les climatologues racontent des salades ou pas, qu’est-ce que ça change, au fond ?

Lepieux (#376),

Innénarable Lepieux !

Lepieux #224 :

les GES ne réchauffent ni ne refroidissent l’atmosphère.

Lepieux #296 :

Comment expliquez vous que sur Saturne il y ait un gradient de température proche de l’adiabatique sèche alors qu’il n’y a aucun gaz à effet de serre dans son atmosphère ?

Lepieux #321 :

Pour votre info 90% du rayonnement émis par la terre et capté par les GES sert à thermaliser l’atmosphère

Lepieux #360 :

une atmosphère ne peut pas être à la fois adiabatique et isotherme…

Et j’en passe !

378.  Lepieux | 2/02/2018 @ 19:48 Répondre à ce commentaire

phi (#377),

phi

Merci de confirmer que vous n’ y comprenez rien… Trouvez moi un scientifique d’accord avec votre théorie !!!

379.  phi | 2/02/2018 @ 21:13 Répondre à ce commentaire

Lepieux (#378),
Mon pauvre ami. Vous ne touchez pas terre. Même quand on parle d’atmosphère, ce n’est pas un compliment.

Premièrement, vous ne comprenez pas que je n’ai pas de théorie personnelle, je vous l’ai déjà dit, mais bon.

Ensuite, mon message ne promeus pas ma critique mais liste quelques unes de vos âneries, en plus contradictoires mais toujours aussi éloignées que possible de la réalité reconnue.

Allez, je vous accorde encore un peu de ma patience.

Lepieu #234 est en contradiction avec Lepieu #321, vu ?

Lepieu #321 est une ânerie que vous êtes allez pêcher je ne sais où dans la vulgate. Les GES sont des émetteurs nets d’IR, compris ?

Lepieu #296. Vous n’avez même pas lu l’encadré de votre référence Wikipedia.

Lepieu #360. Une atmosphère qui n’échange pas de chaleur et qui n’est concernée par aucun travail ne peut qu’être à terme isotherme. Tout manuel de thermodynamique vous expliquera ça.

Aucun thermodynamicien ne viendra contredire ce que je viens d’énoncé, ou alors, il repartira d’ici la queue entre les jambes.

380.  jdrien | 2/02/2018 @ 21:55 Répondre à ce commentaire

phi (#379), j’ai peur que vous ayez affaire à çà

381.  volauvent | 2/02/2018 @ 23:09 Répondre à ce commentaire

Lepieux (#376),

Alors, quelle est la solution que vous proposez?

382.  Lepieux | 3/02/2018 @ 0:14 Répondre à ce commentaire

phi (#379),

Les GES sont des émetteurs nets d’IR, compris ?

Du pur phi totalement faux, comme le reste Les GES ne sont pas plus des émetteurs d’ IR que les autres gaz composant l’atmosphère.
Faut pas se mêler de sujets quand on ne possède aucune connaissance sur eux, surtout sur la thermo dont vous ignorez jusqu’au B A BA …. Pour votre gouverne tout corps dont la température est supérieure à 0 K émet du rayonnement infrarouge et au niveau de la tropopause tous les gaz émettent un rayonnement IR filant dans l’espace et pas seulement les GES…

Vous n’êtes pas le nouveau Wegener mais juste un guignol de première classe.

383.  Claude C | 3/02/2018 @ 8:39 Répondre à ce commentaire

SVP, si l’on pouvait éviter les invectives de toutes sortes, ça soulagerait…!

384.  phi | 3/02/2018 @ 9:44 Répondre à ce commentaire

Ben, si vous retirez les invectives à la production de Lepieux, vous retirez le peu de ce qui est potentiellement cohérent dans ses messages.

A part ça, le bonhomme illustre parfaitement les dégâts provoqués dans le public par la vulgarisation de la théorie de l’effet de serre.

385.  volauvent | 3/02/2018 @ 9:53 Répondre à ce commentaire

phi (#377),

Ben, ouaip, quoi ! Que les climatologues racontent des salades ou pas, qu’est-ce que ça change, au fond ?

Je voulais dire: cela ne change rien au raisonnement sur le sujet précis dont on parlait. Cela change bien sûr les calculs….Il me semble d’ailleurs qu’il est clairement démontré que la thermalisation est très minoritaire par rapport à la réémission, contrairement à ce que dit Lepieux.

Sur un plan général et politique, ce que vous dites est vrai: cette affaire climatique est maintenant déconnectée de sa base scientifique. Le climat est devenu une sorte de mot valise emblématique dans lequel on met tout ce qu’on veut., .

386.  Cdt Michel e.r. | 3/02/2018 @ 9:58 Répondre à ce commentaire

Claude C (#383),
+1
Il serait temps de revoir la Charte d’utilisation de ce blog pour inclure l’interdiction du « flood », du spam et du tr.ll (message polémique).

Sur plusieurs forums ou blogs que je fréquente ou que j’ai fréquentés, le manque de politesse élémentaire (dire Bonjour, Merci, Au revoir) vous fait rappeler à l’ordre immédiatement et bannir en cas de récidives. L’ambiance y est du coup bien plus sympathique.

Sur un de ceux-ci, l’inscription vous est même refusée si vous ne vous présentez pas de la manière prévue dans un formulaire.

Notez qu’en répondant à un gnome de la mythologie nordique, vous faites son jeu et vous devenez vous-même un gnome malfaisant. D’où le DNFTT, seule manière éprouvée de lutter contre les empêcheurs de discuter de choses sérieuses

Certains devraient lire ou relire le Manuel du Sceptique de Joanne Nova (traducteur principal, Pierre-Ernest Lallemand). Téléchargement direct (PDF 4.7 Mo).

Étaler ici des divergences de vue sur des points de détails de la « science du climat » n’ajoute rien à notre crédibilité. Au contraire, cela fait la joie des anti-sceptiques et cela rebute le lecteur de passage qui cherche de l’information sérieuse.

387.  phi | 3/02/2018 @ 12:25 Répondre à ce commentaire

Cdt Michel e.r. (#386),

Étaler ici des divergences de vue sur des points de détails de la « science du climat » n’ajoute rien à notre crédibilité.

C’est une position politique sur la question et vous avez une opinion sur ce qui est du détail et ce qui est important. C’est parfaitement légitime. Chacun a son point de vue, chacun a sa propre opinion. Au reste, c’est aux propriétaires d’un site de décider librement des règles. Personnellement, je regretterais une orientation plus politique et une plus grande restriction dans les commentaires car je pense précisément que le caractère réel de la question climatique n’est pas du tout établi et qu’il est intéressant d’en discuter. Les velléités de restreindre la liberté de débattre me laissent toujours songeur.

388.  rpf | 3/02/2018 @ 13:10 Répondre à ce commentaire

Cdt Michel e.r. (#386),
+1
Certains intervenants ne postent que dans le but de nuire.
Il semble que l’on puisse travailler à l’lPSL , au LSCE … LMD etc. tout en postant ici même, en changeant si nécessaire de pseudo.
Dans une intention évidente, décrite en # 386.

Votre conseil est donc judicieux: DNFTT

389.  the fritz | 3/02/2018 @ 13:18 Répondre à ce commentaire

Je ne suis plus tous les propos ici, mais je trouve que le climat se dégrade et je suis d’accord avec Claude C sur ce point
Est-ce que les principaux intervenants pourraient se soumettre à un petit interrogatoire
– oui ou non l’effet de serre existe-t-il ou pas
– quand ils parlent de réchauffement , est-ce qu’ils parlent de la surface ou de toute l’atmosphère
– Quand ils parlent de GES, est-ce qu’ils n’oublient pas la vapeur d’eau; j’ai entendu qu’on va passer au gaz RENOUVELABLE bientôt; le méthane émet deux molécules de vapeur d’eau et une de CO2
– Est ce qu’ils pensent que la durée de vie de ces deux molécules est primordiale vu leur rapport de quantité dans l’atmosphère
– Est-ce qu’ils pensent oui ou non que la combustion des fossiles est responsable de l’augmentation du CO2 atmosphérique ou y a-t-il d’autres sources
Je laisse les questions de l’interrogatoire ouvertes, il doit en exister plein d’autres

390.  Curieux | 3/02/2018 @ 13:39 Répondre à ce commentaire

the fritz (#389), phi (#387),

car je pense précisément que le caractère réel de la question climatique n’est pas du tout établi

Pour pour aller dans vos sens,
Quelle est la capacité de l’atmosphère à emmagasiner de l’énergie par rayonnement ?
Réponse, quasi nul, sinon la T° atmosphérique devrait augmenter avec l’épaisseur traversée de celle-ci et les pôles seraient bien plus chaud et l’équateur bien plus froid.
Quelle est l’inertie thermique de l’atmosphère ?
Réponse, très faible, quand la T°du sol est glaciale même après une très belle journée la T° chutera vertigineusement au couché du soleil. Même si, faible, elle assure un transfert des zones tropicale vers les pôles bien qu’une analyse fine montrera, à mon sens, que cette « inertie » est lié à un refroidissement adiabatique quand l’air s’élève sous les tropiques suivi d’un réchauffement adiabatique quand il redescend aux pôles (avec escale, cellule de Hadley !).

Sur ce blog la plupart pinaillent des détails dans des domaines complexes sans vraiment les maitriser et font ainsi oublier que l’atmosphère est négligeable dans le bilan. En citant Minitax, c’est croire que c’est la queue qui remue le chien.
Le seul effet atmosphérique qui peut avoir un réel retentissement sur la T° de la planète est l’effet iris qui empêche le réchauffement du sol.

391.  volauvent | 3/02/2018 @ 15:56 Répondre à ce commentaire

Curieux (#390),

Sur ce blog la plupart pinaillent des détails dans des domaines complexes sans vraiment les maitriser

Parce que vous avez l’impression de maîtriser, alors qu’apparemment vous confondez chaleur, énergie, contenu énergétique d’un rayonnement, que vous oubliez la vapeur d’eau dans « l’inertie thermique » de l’atmosphère….

392.  Curieux | 3/02/2018 @ 17:58 Répondre à ce commentaire

volauvent (#391),
Vous devriez mieux lire… Comme je ne suis pas spécialiste de thermodynamique ou autre – comme la quasi totalité des intervenants ici – j’évite les discussions.
Mon dernier post ne fait référence qu’a des expériences sensibles avec une opinion « c’est croire que c’est la queue qui remue le chien »

– vous confondez chaleur, énergie, Heu, la chaleur c’est de l’énergie dégradée.
– contenu énergétique d’un rayonnement, késako ? j’ai écrit ça ? ou ?
– vous oubliez la vapeur d’eau dans « l’inertie thermique » de l’atmosphère, encore une fois ou ?
J’ai écrit : Quelle est la capacité de l’atmosphère à emmagasiner de l’énergie par rayonnement. Il est ou le problème, le soleil (et la Terre) ne fournirait pas d’énergie à l’atmosphère via (principalement) les IR ?

Ce que je suggère c’est que l’atmosphère terrestre est maintenu à sa T° via les transferts thermiques des continents et des océans. Et croire que l’atmosphère est responsable du réchauffement de la planète c’est croire que c’est la queue qui remue le chien.

393.  Lepieux | 3/02/2018 @ 20:07 Répondre à ce commentaire

Curieux (#392),

Et croire que l’atmosphère est responsable du réchauffement de la planète c’est croire que c’est la queue qui remue le chien.

Pourtant c’est bel et bien le cas, le rayonnement émis par la surface terrestre doit traverser l’atmosphère pour pouvoir s’échapper dans l’espace…

394.  Curieux | 3/02/2018 @ 20:12 Répondre à ce commentaire

Lepieux (#393),
Dodo Lepieux…

395.  the fritz | 3/02/2018 @ 21:42 Répondre à ce commentaire

Curieux (#392),

la chaleur c’est de l’énergie dégradée

D’ailleurs avec de la chaleur on fait de l’énergie électrique ou mécanique

396.  Lepieux | 4/02/2018 @ 0:15 Répondre à ce commentaire

Curieux (#394),

Un argument qui irait dans votre sens ? Tourner les autres en dérision est en général révélateur d’une grande ignorance

Au fait

la chaleur c’est de l’énergie dégradée

Absolument pas, faudrait apprendre l’alphabet de la thermo….

397.  volauvent | 4/02/2018 @ 8:28 Répondre à ce commentaire

Curieux (#392),

Comme je ne suis pas spécialiste de thermodynamique ou autre –

Alors allez voir les manuels, essayez de comprendre, et revenez nous voir.

398.  the fritz | 4/02/2018 @ 9:34 Répondre à ce commentaire

Curieux (#392),
Je pensais que vous alliez nous brancher sur l’électricité et les histoires de rendements lors de sa fabrication; c’est pourquoi c’est ridicule de se chauffer à l’électricité faite avec du charbon comme font les Allemands ; vaudrait mieux qu’ils reviennent au bon vieux poêle à charbon
Avec le nucléaire , même si le rendement n’est guère mieux, je ne connais pas encore le petit réacteur personnel pour assurer chaleur et électricité home made

399.  Curieux | 4/02/2018 @ 12:04 Répondre à ce commentaire

the fritz (#395),

– vous confondez chaleur, énergie, Heu, la chaleur c’est de l’énergie dégradée.

Ici j’eusse dû écrire :
– vous confondez chaleur, énergie, Heu, la chaleur c’est encore de l’énergie.
ou
– vous confondez chaleur, énergie, Heu, la chaleur c’est toujours de l’énergie.
J’avais oublié que je suis en présence de pointures en thermo…
volauvent (#397),

Alors allez voir les manuels, essayez de comprendre, et revenez nous voir.

Vous auriez du écrire : Alors allez voir les manuels, essayez de comprendre, et revenez nous voir. na !
ça me parait plus adapté à votre niveau.

400.  Nanuq | 4/02/2018 @ 13:35 Répondre à ce commentaire

A vous tous:

N’oubliez pas que le climat reste un débat. Un débat qui nous pousse à l’interrogation et à avancer dans la compréhension climatique.
On vous lit avec passionsss alors, évitez les propos blessants, d’un côté comme de l’autre.
Lepieux avance des arguments et c’est tant mieux. C’est un débat ouvert qui nous pousse à la curiosité et à la réflexion. Normal qu’il y ai des tensions mais le but est de chercher et de comprendre malgré nos différences d’opinions.
Sans Lepieux, beaucoup ne feraient pas les recherches qu’ils font!
J’ai fait beaucoup de débats sur d’autres forums entre sceptiques et réchauffistes et les plus passionnants, où l’on en apprenait le plus, étaient ceux où deux avis ce mettaient en contradictions en argumentant… Le débat d’idées.. Peut importe qui a raison ou tort en fin de compte, puisque personne ne sait avec certitudes ce que sera la météo, le climat de demain…!

Passionnez-nous et respectez vous.

Merci, Nanuq.