Des promesses … Toujours des promesses … Rien que des promesses. Deuxième partie – PapyJako

Voici la deuxième et dernière partie partie de notre série "Les espoirs décus". La première est ici.

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6. Les héros du combat pour le réchauffement

L’annonce de l’invention des «tipping points» (voir 4 ci-dessus), et des premiers résultats que l’on pouvait attendre (voir 5 ci-dessus), intervenaient à point nommé pour renforcer la détermination des différents acteurs. Ces acteurs, galvanisés par l'importance de l'enjeu, ont redoublé d’efforts en matière de production de GES. Les résultats obtenus ont dépassé les espérances puisque les émissions de ces Gaz à Effet de Serre providentiels explosèrent de façon continue depuis 1998.
  
 Les deux meilleures performances mondiales en ce domaine ont été atteintes par la Chine, qui a plus que doublé ses émissions de GES, et par l’Inde, qui a presque atteint cette performance. Ces deux pays méritent la gratitude des générations futures pour les efforts consentis. On doit en particulier souligner le cas de la Chine, qui a obtenu ses brillants résultats grâce au fait qu’elle a réussi à atteindre le rythme extraordinaire de mise en service de deux centrales électriques à charbon nouvelles par semaine. La Chine et l'Inde ont, lors d’une réunion internationale qui s’est tenue récemment à Cancun (voir vidéo déjà indiquée plus haut), réaffirmé leur détermination à poursuivre sans faillir leurs remarquables efforts.
  
 Il convient d’espérer que la détermination de la Chine et de l’Inde ne faiblira pas en matière de production de GES. En effet, un malencontreux accident de parcours a, à l’inverse, frappé les pays développés ces dernières années, accident qui a lourdement impacté l’accélération de la production des GES.
 
 Il semblerait que, dans ces pays, pour l'essentiel situés en Europe, les investissements productifs de GES aient été – à la suite de l'intervention de groupes de pressions dont les motivations n'ont pas été élucidées à ce jour – massivement détournés de leur objectif au profit d’énergies dites «nouvelles». Ces "nouvelles" sources d'énergie présentent, certes, quelques avantages en matière de décoration du paysage, mais ont finalement prouvé leur complète inefficacité en matière de production de GES, et même – mais cela est accessoire – de production d’électricité, du moins au moment où on en a vraiment besoin.
 
 Ces pays sont de ce fait décrits ironiquement comme "en voie de sous-développement durable". Mais certains d'entre-eux – l’Espagne, l’Allemagne et, plus récemment la France – semblent avoir pris la mesure du problème, et sont en train d’en examiner les solutions. Tout espoir n’est donc pas perdu.

Des promesses … Toujours des promesses … Rien que des promesses. Première partie – PapyJako

Cet article est assez long, je l'ai donc divisé en deux. Voici la première partie.

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Avertissement :
Les lecteurs qui n'apprécient pas l'exercice d'équilibrisme qui consiste, tout en citant des faits rigoureusement vrais, à pratiquer de façon constante l'humour au deuxième degré, au risque de franchir parfois la limite du troisième, sont dispensés de la lecture de cet article. Il y a des choses moins acrobatiques à lire sur skyfall. A tous, y compris ceux qui n'iraient pas plus loin, je souhaite un Joyeux Noël.

Résumé :
Depuis une bonne vingtaine d’années déjà, les Scientifiques nous bercent de prévisions rassurantes sur l’avenir de notre Planète. Une théorie nommée «Réchauffement Climatique Anthropique» (RCA) nous avait assuré que les «Gaz à Effet de Serre» (GES), en particulier le CO2, émis en quantités croissantes par l’homme du fait de son activité, pourraient avoir pour effet une amélioration notable du climat terrestre.

Cette théorie a conduit les nations, dans un effort sans précédent en faveur des générations futures, à accroitre considérablement les émissions de GES. Cet effort aurai-il été consenti en pure perte ?… La question se pose, car un certain nombre d’événements, dont certains très récents, semblent indiquer que le réchauffement qui nous avait été promis, en récompense de nos efforts, ainsi que certains autres avantages annexes, manquent à l’appel.
Faut-il perdre espoir ?


 

1. Introduction : on souffle le froid, puis le chaud


Dans les années 1970, des prophètes de malheur avaient profité d’une baisse, lente mais assez régulière, des températures du monde dans les trente années qui précédaient, pour attirer l’attention du monde entier sur le dangereux refroidissement de la terre, découlant disaient-ils de l’activité industrielle. L’affaire est allée jusqu’à alerter le grand public par des publications dans des revues à grande audience qui ont brandi le spectre d’une nouvelle glaciation, Et il est vrai que de telles prédictions avaient largement de quoi alarmer.


 
 L’histoire de l’humanité a en effet démontré – sans contestation – que les plus grandes misères et catastrophes humaines se sont produites durant des épisodes particulièrement froids. Le Petit Age Glaciaire (PAG) par exemple, qui a duré plus de cinq siècles à partir de 1300, durant lequel il arriva que l’on ramasse, au bord des chemins, des corps gelés avec la bouche remplie d’herbe. Le PAG a été de façon constante décrit par les historiens comme une période, particulièrement meurtrière pour l'homme, de froids intenses, mauvaises récoltes, avec leur corollaire macabre : la famine et ses dizaines de millions de morts.

A l’inverse, les périodes plutôt chaudes du passé ont toutes, sans exception, reçu des noms (Optimum Holocène, Optimum Romain, Optimum Médiéval) qui évoquent plus la prospérité et le bonheur que la désolation et le malheur, peut-être parce que les historiens y avaient cherché en vain des récits de catastrophes, naturelles du moins. 



2. Des promesses …


 C’est donc sans déplaisir aucun qu’on a constaté, dans les années 1980, une inflexion de la courbe de température qui, repartie à la hausse, éloignait progressivement la menace de glaciation. De ce fait les prophètes de malheur ont progressivement cédé la place aux chantres des douceurs d’un réchauffement planétaire radieux. On a d’ailleurs rapporté à ce sujet que certains, sans aucune pudeur, pour garder leur place – il faut bien vivre – ont simplement retourné leur veste.

En se basant sur des mesures et calculs – dont il est, hélas, assez difficile de vérifier la correction – les Scientifiques, regroupés dans un club intergouvernemental nommé GIEC, ont en effet déclaré avoir établi que la température moyenne du globe avait augmenté, entre 1850 et 1998, c'est-à-dire en 148 ans, de 0,5 (pour les pessimistes) à 0,7 (pour les optimistes) degrés centigrades. Ils ont également déclaré avoir la preuve que cette amélioration du climat terrestre avait sa source dans l’accroissement des émissions de GES par l’humanité.



3. Les premiers doutes …

Des rabat-joie, dont les intentions sont restées assez obscures – peut-être sont-ils simplement opposés pour des raisons religieuses à la consommation de ces combustibles fossiles essentiels à une production efficace de GES ? – avaient bien tenté de faire remarquer qu’à tout prendre 0,6°C, étalés sur 148 ans, ne représentent qu’environ 0,004 degrés par an – variation qu’ils estiment négligeable au regard des variations "naturelles" et qui en seraient donc indiscernables – simple question de "rapport signal/bruit" disent-ils de façon un peu énigmatique.

Certains de ces dissidents, particulièrement malicieux, avaient fait observer qu’il paraissait étrange d’atteindre des précisions de l’ordre du dixième de degré en basant les calculs sur des instruments qui, du fait principalement de leur implantation, et d’après les textes officiels, sont notoirement dans l’incapacité de mesurer la température «naturelle» avec une précision inférieure à un ou deux degrés.

La station de mesure de Concord en Californie, la sortie d'un climatiseur soufle dessus

                      La station de mesure de Concord, en Californie
              (note pour les non anglicistes : "A/C unit" veut dire "climatiseur")

 Les plus virulents de ces "négateurs" sont même allés jusqu'à émettre l’hypothèse selon laquelle les mesures de température auraient pu être volontairement biaisées.

La Science du climat dans ses oeuvres ?
La science du climat dans ses œuvres ?

Ces mêmes mauvaises langues avaient en effet fait remarquer que l’ampleur des corrections manuelles opérées à la hausse sur les températures était du même ordre de grandeur que l’augmentation «mesurée». Elles ont observé que cela jetait un trouble, et que leur seul point d’accord avec le GIEC est que le réchauffement climatique est bien dû à l’homme … Il le fait à la main.

Les manipulations alléguées auraient été, toujours selon les mêmes mauvaises langues, le fait de scientifiques en mal de célébrité, de crédits pour leurs laboratoires, et de voyages dans des destinations exotiques. Il faut effectivement reconnaître que les destinations exotiques sont généralement considérées comme de puissants amplificateurs de découvertes scientifiques en matière de climat. Le scientifique du climat n’atteint jamais un meilleur rendement que lorsqu’il se réunit pour travailler en conclaves, agrémentés de banquets festoyants, à Rio de Janeiro, à Bali, à Cancun ou ailleurs, mais jamais à Romorantin-Lanthenay …

La neige ?… cette chose du passé !… Signé : « Les modèles », mars 2000 – PapyJako

Voici le premier article de PapyJako  sur Skyfall. Longue vie à ses billets …
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Une succession, en Europe, d'hivers doux il y a quelques années avait été largement surexploitée par les tenants de l'alarmisme climatique. La diminution de l'enneigement était, bien sûr, considérée comme un signe tangible de ce réchauffement climatique qui allait nous emporter vers ce qu'un certain ex-Ministre Français appellera pus tard la "Poële à frire".Certains, s'appuyant sur les modèles interprétés par des scientifiques – et fortement relayés par une presse aux ordres, ou simplement avide de catastrophes – étaient allés jusqu'à prédire la totale disparition de la neige qui était devenue, disaient-ils "Une chose du passé". Il semble de bonne guerre de rappeler ces prévisions, avec dix années de recul, et de les comparer à la réalité.Au fil des années, depuis plus de 20 ans, la grande presse a complaisamment passé en boucle des déclarations alarmistes de tous ordres, qui ont progressivement convaincu le grand public du fait que, par sa faute, la planète filait un mauvais coton, et ne serait plus jamais ce qu'elle avait été, au détriment des pauvres générations futures.
Le point commun entre toutes ses déclarations alarmistes est qu’elles sont fondées sur des extrapolations obtenues en utilisant les résultats produits par des modèles informatiques implantés sur des ordinateurs géants.

Or, tous ceux qui ont fréquenté, même de loin, le monde de la modélisation, savent qu’un modèle n’a pas pour but de prédire l’avenir, et que les modèles se sont toujours, dans tous les domaines, et sans aucune exception connue, montrés assez pauvres dans cet exercice.

 Il ne me semble pas possible d'évoquer l'infirmité des modèles en matière de prévision sans évoquer ce qu'il est advenu des brillantes prévisions des modèles économiques d'il y a quelques années.
Aucun modèle n'a vu venir la crise économique que nous vivons. Dans le passé, aucun modèle n'a anticipé aucun des événements qui ont structuré notre vie durant ce dernier siècle. Si vous voulez savoir pourquoi, je vous conseille la lecture de l'ouvrage de Nassim Nicholas Taleb "Le cygne noir : La puissance de l'imprévisible", vous y trouverez entre autres de réjouissants récits de voyages dans deux contrées intellectuelles qui nous sont assez familières dans nos débats sur le climat : Le Médiocristan et l'Extrémistan

met-office-computer.jpgDans le domaine climatique, on ne peut aborder ce sujet sans évoquer, au moins brièvement, les extraordinaires mésaventures du Met Office (L'équivalent Britannique de Météo France). Le Met Office dispose d'un des plus gros ordinateurs du monde. Voir ci-contre la photo de baptême de "Deep-Black", fier de ses 1000 Tera-Flops (Floating point Operations per Second), qui a couté 39 millions d'Euros aux contribuables Britanniques, et qui possède une superbe "empreinte carbone" de 14400 tonnes de CO2 par an. Le Met-Office y enfourne, par grandes pelletées, les monceaux de données climatiques disponibles dans le monde – après confirmation de conformité au dogme opérée sous le contrôle du CRU de Phil Jones – et "fait tourner" les meilleurs modèles climatiques existants pour y lire le futur du climat mondial.
Le Met-Office a tenté, il y a quelques années, l'aventure de prévisions climatiques à moyen terme (à quelques mois) et régulièrement publié chaque saison les prévisions pour la saison suivante. Il est devenu, en quelques années, la risée de tous, en émettant des prévisions dont le climat a absolument refusé de tenir compte, faisant systématiquement et exactement le contraire de ce qui lui était ordonné. Il est vrai que les "prévisions" saisonnières du Met-Office étaient consternantes de platitude : les hivers seraient doux, tous, et les étés caniculaires itou  … Réchauffement climatique oblige.
Vous n'êtes pas obligés d'aller consulter un court exposé des aventures comiques du Met Office dans mon article de mars dernier : Le MET office mange son chapeau … l’hiver le plus froid depuis 30 ans.

A la suite du tollé soulevé, en Angleterre, par cette succession de "flops" (mot prédestiné !…), le Met-Office a officiellement annoncé qu'il s'abstiendrait dorénavant de toute prévision saisonnière (Met Office seasonal forecasts to be scrapped), en déclarant notamment "Par leur nature, les prévisions sont d'autant moins précises qu'elles sont lointaines" (Pourrait-on s'amuser à ajouter "surtout lorsqu'elles concernent le futur ?"). Cela ne l'a pas empêché cet automne, sans pour autant par prudence faire de déclaration trop spectaculaire, de prévoir, il n'y a guère plus d'un mois – peut-être en application des consignes reçues à l'approche de Cancun ? – un "très probable hiver doux" …
Et l'actualité de cette dernière semaine invite à revenir sur certaines des déclarations d'éminents scientifiques armés de leurs modèles climatiques alimentant de gros ordinateurs, tellement efficaces pour la création de cette terreur climatique, laquelle terreur étant elle-même un ingrédient essentiel à la repentance, et donc indispensable à la docilité.

Les scientifiques les plus avisés … ou les plus prudents … ne s'avisent guère de faire des prévisions à moyen terme, car ils savent que le risque est grand d'être contredits par les faits. Il n'est pas toujours agréable de se faire retourner sa prédiction dans la … figure … quelques années ou même une décennie plus tard.

Les scientifiques les plus prudents, donc, font des prévisions à 50 ans.  Ainsi, s'ils sont contredits, ce ne sera pas de leur vivant. Les plus avisés, qui ne veulent pas prendre le risque de l'évolution future de l'espérance de vie – et qui sont soucieux de leur descendance immédiate – font, eux, des prévisions à 100 ans. Ceux là sont absolument garantis de ne pas être contredits, même du vivant de leurs enfants et petits enfants.

On voit donc fleurir, abondamment diffusées par les média ravis de l'aubaine, des prévisions sur la fin du siècle, voire le siècle prochain. Ces prédictions, qui sont toutes catastrophiques – autrement quel serait leur intérêt ? – n'engagent que … ceux qui les croient, et qui acceptent de ce fait avec ferveur le régime de la soupe froide qu'on leur impose en guise de pénitence.

C'est ainsi, puisque personne ne peut vous obliger à y accorder la plus petite parcelle d'importance, que vous pourrez vous amuser du superbe graphique offert par l'UNEP (United Nations Environment Programme) ci-dessus. Grâce à ce graphique, vous êtes déjà en mesure de planifier les vacances de ski de vos (arrière)-petits enfants pour les 20 dernières années de ce siècle, à partir de 2080. "Elle est pas belle ma Science ?"… Mais, ne riez pas trop fort, ce sont vos impôts qui servent à financer les jeux dispendieux de ces gamins.

Mais il y a aussi des "scientifiques" téméraires, ou simplement irréfléchis, qui, jetant aux oubliettes tout "principe de précaution", se risquent à des déclarations qu'on est en droit aujourd'hui, avec le recul, de trouver hilarantes.

Voici, à titre d'exemple, une traduction de larges extraits d'un article paru, il y a dix ans, dans la section "environnement" de "The Independent", quotidien généraliste Anglais qualifié par wikipedia de journal "de format tabloïd mais de contenu sérieux". L'article titrait, tout simplement, et sans une ombre d'ironie :


Snowfalls are now just a thing of the past

Soit, en Français :

Les chutes de neige sont maintenant du passé


Voici une traduction de quelques extraits de ce texte historique (si vous lisez l'Anglais, je vous conjure d'aller le lire à la source) :
L'hiver Anglais se termine demain avec de nouvelles indications d'un changement climatique majeur : la neige commence à disparaître de nos existences … Les luges, bonhommes de neige, boules de neige et l'excitation de s'éveiller pour découvrir que cette couverture s'est installée dehors, tout cela est une partie de la culture Britannique qui disparaît rapidement, à mesure que des hivers plus doux – que les scientifiques attribuent au réchauffement climatique – produisent maintenant non seulement moins de Noëls blancs, mais aussi moins de janviers et févriers (ndt : émouvant n'est-ce pas ?).
[…]
D'après le Docteur David Viner, scientifique expérimenté (ndt "senior scientist") au "Climatic Research Unit" (CRU) de l'Université d'East Anglia (ndt, voir [A]), d'ici quelques années, les chutes de neige en hiver vont devenir un événement "très rare et passionnant", "les enfants ne vont même pas savoir ce qu'est la neige" a-t-il dit.
[…]
Michael Jeacock, un historien local de Cambridge, a ajouté qu'une génération grandissait "sans jouir d'une des plus grandes joies et d'un des plus grand privilèges de la vie dans cette partie du monde : le patinage en plein air".
[…]
Le Professeur Jarich Oosten, anthropologue à l'Université des Pays-Bas (ndt : ils étaient tous de sortie …) a dit que même si nous ne voyons plus de neige, elle restera culturellement importante. "Nous n'avons presque plus de loups en Europe, mais ils sont toujours une partie de notre culture, et tout le monde sait à quoi ils ressemblent" (ndt : ouf, me voici rassuré).
[…]
David Parker, du Centre pour la Prévision Climatique de Hadley (ndt : le fameux "Hadley Centre" du Met Office, créé par Margaret Thatcher) dit finalement que les enfants Britanniques pourraient n'avoir qu'une expérience virtuelle de la neige. Grâce à Internet, ils pourraient s'émerveiller devant des scènes polaires, ou, finalement, "ressentir" du froid virtuel (ndt : est-ce assez sot ?).
[…]

[A]

Interrogé par le Daily Mail en janvier dernier, le Docteur Viner a maintenu ses déclarations d'il y a 10 ans. Il est vrai qu'il est aujourd'hui le patron d'un projet (British Council) "international de sensibilisation au réchauffement climatique"  dont la mission est de "former un réseau d'élite de jeunes d'influence". Le budget annuel de son organisation est de 12 000 000 d'Euros. Peut-on sérieusement imaginer qu'il va scier lui-même la branche sur laquelle il est assis ?
Rendez-vous dans 10 ans, ou la bulle aura-t-elle éclaté avant ?
 
Conclusion

L'insondable stupidité des déclarations suscitées des "scientifiques", bardé de leurs certitudes et de leurs "modèles" sera largement démontrée par les quelques images qui suivent, de quatre hivers successifs (et l'hiver – météorologique – vient à peine de commencer, vous n'avez pas tout vu !) :

Londres, hiver 2007-2008


    

Londres, hiver 2008-2009
    Londres, hiver 2009-2010
       

·  900 vols annulés après la fermeture des aéroports de Gatwick et Edinburgh.
·  Les magasins manquent de produits de première nécessité car les camions peinent à livrer.
·  Des passagers bloqués toute la nuit dans des trains gelés dans le sud-est
·  La police recommande à la population de ne sortir qu'en cas d'absolue nécessité.
·  Les températures vont chuter de 6°C, avec des vents qui vont empirer le phénomème.
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La Loire, Orléans, 1er décembre 2010 à cent mètres de chez moi.
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Mon jardin, 30 novembre 2010
Le bonhomme de neige promis à mes petits "Yankees"

Bien entendu, ceux qui vous annonçaient que la neige allait disparaître à cause du réchauffement, sont les mêmes qui – sans pudeur aucune – vous disent que c'est ce même réchauffement qui est la cause des chutes de neige.

Et, dans le même paquet, puisqu'on nous a livré un froid intense en plus de la neige, et puisque vous avez déjà gobé tout le reste, on a l'extraordinaire culot d'invoquer la "Science" pour vous faire avaler que c'est le réchauffement qui est la cause du froid.

La surabondance de neige, cet hiver et les quelques précédents, est manifestement une erreur scientifique flagrante – une "aberration" – puisqu'elle est en contradiction avec les résultats issus des "modèles".

On attend donc avec intérêt de voir comment les "scientifiques" du CRU – et autres – vont "ajuster" la réalité pour qu'elle se conforme à leurs modèles.

Changer les modèles eux-mêmes ne peut bien sûr être envisagé, car, a dit le Goracle

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SCIENCE IS SETTLED

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