Transcript de la vidéo The Great Global Warming Swindle

0:00 —- La grande fraude du réchauffement global.

Quand on me demande si je crois au réchauffement global, je dis je crois au réchauffement global mais je ne crois pas que le réchauffement global est causé par le CO2.

Il y a quelques années, si vous m’aviez demandé, je vous aurais dit: c’est le CO2. Pourquoi, parce que comme n’importe qui d’autre dans le public, j’écoutais ce que les médias disent.
Chaque jour, les nouvelles deviennent de plus en plus apocalyptiques. Les politiciens n’osent plus exprimer de doute au sujet du réchauffement climatique.

Il y a une telle intolérance pour n’importe quelle opinion dissidente…
“…Ils sont parmi les pire criminels climatiques de la planète…”
que ça devient la chose la plus politiquement incorrecte de douter de l’orthodoxie du changement climatique.
Le réchauffement climatique dépasse la politique. C’est devenu une nouvelle forme de moralité.
Le premier ministre est revenu de ses vacances, non repentant et non gêné de son nouveau trajet vers des destinations lointaines.

En effet, comme la frénésie autour d’un réchauffement global provoqué par l’homme grandit, de nombreux scientifiques expérimentés disent que les preuves scientifiques qui sont à la base de la théorie sont en train de s’effondrer.

Il y a des moments dans l’histoire de la terre où nous avions un taux de CO2 3x celui actuel, d’autres où il était 10x celui actuel et si le CO2 a un effet important sur le climat, alors nous devrions le voir dans les reconstructions de température.

Si nous regardons le climat sur une échelle géologique, nous n’aurions jamais suspecté le CO2 comme le moteur principal du climat. Aucun des changements climatiques majeurs de ces mille dernières années ne peuvent être expliqués par le CO2.

Nous ne pouvons pas dire que le CO2 dirige le climat. Cela ne s’était certainement pas produit ainsi dans le passé.
J’ai entendu dire souvent qu’il y a un consensus de milliers de scientifiques au sujet du problème du réchauffement global et que l’homme est en train de provoquer une catastrophe en changeant le système climatique. Moi, en tant que scientifique et beaucoup d’autres pensons que ce n’est tout simplement pas vrai.

Le réchauffement global anthropique n’est en aucun cas une théorie scientifique ordinaire. Il est présenté aux médias avec le sceau de l’autorité d’une organisation internationale impressionnante, le Groupement Intergouvernemental pour l’Etude du Climat, le GIEC (IPCC en anglais).

L’IPCC, comme n’importe quel organe de l’ONU, est politique. Les conclusions finales sont guidées par la politique. L’affirmation selon laquelle l’IPCC serait représenté par 1500 ou 2500 meilleurs scientifiques mondiaux n’est simplement pas vraie quand vous regardez tout simplement la bibliographie des auteurs. Il y a un grand nombre de non-scientifiques.

Quand ils disent qu’il y a jusqu’à 2500 scientifiques, ils parlent du nombre de reviewers ou n’importe qui proches d’eux. Et personne parmi ceux que j’ai interrogé ne sont d’accord. Beaucoup d’entre eux sont en désaccord.

Les personnes qui sont spécialistes mais qui sont en désaccord avec la polémique démissionnent. Il y a un certain nombre que je connais dans ce cas. Ils sont simplement mis sur la liste et font alors partie de “ce consensus des 2500 meilleurs scientifiques mondiaux”.

Ces personnes ont décidé que vous devez convaincre d’autres personnes, en disant que comme aucun scientifique ne rejette la théorie, vous non plus ne devriez pas la rejeter. Quand vous entendez cela en science, c’est de la pure propagande.

Ceci est un documentaire sur la manière dont une théorie sur le climat se transforme en idéologie politique. Sierra Club ne devrait vraiment plus être appelé un mouvement écologiste parce que c’est devenu vraiment un mouvement politique activiste et ils sont devenus énormément influent à l’échelle de la planète.

C’est l’histoire de la distorsion de tout un pan de la science. Les climatologues ont besoin de dire qu’il y a un problème pour avoir des fonds. Nous avons un intérêt réel à créer la panique. Ainsi, l’argent va affluer vers les sciences climatiques.
S’il y a bien une chose que vous ne devriez pas dire, c’est “il n’y a peut-être pas de problème [climatique]”.
C’est l’histoire d’une campagne politique qui s’est transformé en un convoi bureaucratique.

Le fait est que des dizaines de milliers de jobs dépendent du réchauffement climatique juste en ce moment.
C’est un big business. C’est devenu en lui-même une grosse industrie. Et si toute la structure du réchauffement global s’effondre, il y aura un nombre terrible de personnes qui se retrouveraient au chômage et en train de chercher un travail.

C’est une histoire de censure et d’intimidation.
J’ai vu et entendu cette fureur crasse envers n’importe qui et je suis en désaccord avec eux car ce n’est pas une manière (scientifique).
C’est l’histoire d’occidentaux qui évoquent la menace de désastres climatiques pour empêcher les progrès industriels vitaux dans les pays en voie de développement.

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Une chose claire qu’on peut voit dans n’importe quel débat gouvernemental est qu’il y a quelqu’un qui a envie de tuer le rêve africain. Et le rêve africain est de se développer.
Les mouvements écologistes se sont transformés en la force la plus grande qui existe pour empêcher le développement dans les pays en développement.

L’histoire du réchauffement global est un message d’avertissement sur comment une nouvelle médiatique sensationnaliste est devenue un concept fondateur de toute une génération.
Tout le business du réchauffement global est devenu comme une religion. Et les gens qui sont en désaccord sont appelés hérétiques. Je suis un hérétique. Les producteurs de ce programme sont tous hérétiques.

En 2005, une commission d’enquête de la Chambre de Lord a été mis en place pour examiner les preuves scientifiques sur l’origine humaine du réchauffement global.

Une personnalité de premier rang de cette commission d’enquête est Lord Lawson of Blaby, qui était ministre des finances dans les années 80, qui était le premier politicien qui a impliqué de l’argent public dans la recherche sur le réchauffement global. Nous avons vraiment une théorie basée sur des preuves données par divers experts du domaine. Ce qui m’avait vraiment surpris est à quel point ces preuves étaient faibles et incertaines. En fait, il y a de plus en plus de gens sensés, dont certains sont trop effrayés pour se prononcer en public, mais dont d’autres osent déclarer publiquement: “attendez une minute, tout cela ne colle tout simplement pas”.

On nous dit que le climat terrestre est en train de changer. Mais le climat de la Terre en toujours en train de changer.
Dans la longue histoire de la Terre, il y a eu d’innombrables périodes où celle-ci était bien plus chaudes et bien plus froide qu’aujourd’hui, quand la plus grande part de la Terre était recouverte de forêts tropicales ou au contraire de larges plaques de glaces.
Le climat a toujours changé et changé sans aucune aide venant de nous les humains.

Nous pouvons retracer la tendance actuelle au réchauffement depuis au moins 200 ans, à la sortie d’une période très froide de l’histoire de la Terre. Cette période froide est connu par les climatologues sous le nom de “petit âge glaciaire”.

Au 14e siècle, l’Europe était plongée dans le petit âge glaciaire. Et nous voyons des preuves de cela, toutes ces vieilles illustrations and écrits et images de la Tamise de nos ancêtres parce que durant les hivers les plus durs et les plus rudes de ce petit âge glaciaire, la Tamise était gelée. Et il y avait de merveilleuses kermesses de la glace organisées sur la Tamise, le patin à glace et des gens qui vendaient en fait des choses sur la glace.

Si nous regardons encore plus en arrière, avant le petit âge glaciaire, nous trouvions un âge d’or de temps doux, où la température était sensée être plus haute que celle d’aujourd’hui, une période connu des météorologistes sous le nom d’optimum médiéval.

Il est important aux gens de savoir que le climat a permis un mode de vie différent lors de la période médiévale. Nous avons la vision actuelle d’un réchauffement aux conséquences apocalyptiques. En fait, à chaque fois que vous décrivez cette période chaude [de l’optimum médiéval], elle apparaît comme associée à la richesse.

En Europe, c’était l’âge d’or des constructeurs de cathédrales. Une période où, selon Charlesir, les vignobles prospérait même au Nord de l’Angleterre. Partout dans la cité de Londres, il y a des petits vestiges des vignes qui avaient poussé lors de la période chaude médiévale. Ainsi, c’était une période merveilleusement riche, et cette petite église en un sens, est le symbole de cela, parce qu’elle vient de cette période de grande prospérité.

En remontant davantage dans le temps, avant l’optimum médiéval, nous trouvons des périodes chaudes encore plus grande, en particulier celle au cours de l’âge de bronze, connu des géologistes sous le nom d’Holocène Maximum quand les températures étaient significativement plus haute que celles de maintenant, qui durait plus de trois millénaires.

Si on revenait en arrière de 8.000 ans, durant cette période de l’Holocène, nos mesures montrent que c’était bien plus chaud que maintenant.
Maintenant, les ours polaires ont de toute évidence survécu à cette période qui était bien plus chaude que maintenant. Ils sont très adaptables et cette période chaude du passé, appelée Hypsithermal, ne leur posait aucun problème.

Les variations climatiques du passé sont clairement naturelles.

10:00 —-

Alors pourquoi nous pensons que cela serait en quoi que ce soit différent aujourd’hui?

Dans l’alarmisme actuel au sujet du réchauffement global, le coupable est la société industrielle. Grâce à l’industrie moderne, les luxes qui étaient autrefois réservés exclusivement aux riches, sont disponibles maintenant en abondance aux gens ordinaires. La technologie moderne a rendu la vie plus facile et plus riche. Avec le transport et la communication moderne, le monde semble moins étranger et moins distant. Le progrès industriel a changé notre vie. Mais a-t-il changé également le climat.

D’après la théorie du réchauffement global provoqué par l’homme, la croissance industrielle DEVRAIT entraîner une hausse de température.
Mais est ce le cas ?

N’importe quelle personne qui dit que le CO2 est responsable de la plus grande part du réchauffement du 20e siècle, n’a pas regardé les chiffres les plus élémentaires. La production industrielle au début du 20e siècle était encore dans son enfance, restreinte à un petit nombre de pays, handicapé par les guerres et les récessions économiques. Après la seconde Guerre Mondiale, les choses changèrent. Les biens de consommations tel que les réfrigérateurs, les machines à laver, les télés, les voitures commencèrent à être produit en série pour un marché international. Les historiens appellent cette explosion globale de l’activité industrielle le boom économique d’après guerre.

Alors, comment cette histoire industrielle se compare-t-elle aux enregistrements de température?

Depuis le milieu du 19e siècle, la température de la Terre s’est élevée d’à peine plus de 0,5°C. Mais ce réchauffement avait commencé bien avant que les voitures et les avions aient été inventés. De plus, la plus grande part du réchauffement s’était produit avant 1940, durant une période pendant laquelle la production industrielle était relativement insignifiante.

Après la seconde guerre mondiale, durant le boom économique d’après guerre, la température, en théorie, devrait augmenter. Mais elle ne l’a pas fait. Elle baissait. Pas pendant 1 ou 2 ans, mais pendant 4 décennies. En fait, paradoxalement, ce n’était que jusqu’à la récession mondiale au cours des années 1970 que la température cessait de baisser.

Le concentration de CO2 avait commencé à augmenter expontiellement à partir d’environ 1940. Mais la température avait en fait commencé à baisser à partir de 1940 et avait continué jusqu’à environ 1975. Ainsi, on voit le contraire à la relation. Quand le CO2 augmentait rapidement, la température baisse cependant. Nous ne pouvons pas dire que le CO2 et la température vont ensemble.

La température augmentait significativement jusqu’aux années 1940, quand la production humaine de CO2 était relativement faible. Et puis durant les années d’après-guerre, quand l’industrie et l’économie mondiale avaient vraiment décollé et les courbes de CO2 étaient en hausse, la température mondiale baissait. En d’autres mots, les faits ne collent pas avec la théorie.

Juste la période après la guerre où l’industrie était en pleine boom, et que le CO2 augmentait, pourtant, la Terre se refroidissait ce qui avait déclenché l’alarmisme d’un âge glaciaire imminent. Cela n’a absolument aucun sens.

Pourquoi supposons nous que le CO2 serait responsable du changement du climat. Le CO2 forme seulement une très petite part de l’atmosphère. En fait nous modifions le CO2 à hauteur de dizaines de part par millions (ppm).

Si vous prenez le pourcentage de CO2 par rapport à tous les gaz dans l’atmosphère, l’azote, l’oxygène etc., c’est 0,05 ou 0,04%. C’est une portion incroyable petite. Et si vous prenez la portion que l’homme est sensée ajouter, ce qui est le point central qui nous concerne, c’est encore plus petit.

Bien que le CO2 est un gaz à effet de serre, les gaz à effet de serre sont eux même une petite part de l’atmosphère. De plus le CO2 est un gaz à effet de serre relativement mineur.

L’atmosphère est composé d’une multitude de gaz, il y a une petite portion de ces gaz qu’on appelle les gaz à effet de serre. 98% de ces gaz à effet de serre sont la vapeur d’eau.

La vapeur d’eau est un gaz à effet de serre. De loin le plus important gaz à effet de serre.
Alors y-a-t-il une manière de vérifier si la récente hausse de température serait due à la hausse des gaz à effet de serre. Il n’y a qu’une seule façon de le dire, c’est de regarder dans le ciel, ou la partie de ce ciel connu par les scientifiques sous le nom de troposphère.
Si c’est le réchauffement global par les gaz à effet de serre, vous devriez avoir un réchauffement plus important au sein de la troposphère (les 10, 12 premiers km de l’atmosphère) plutôt qu’à la surface. Il y a de bonnes raisons théoriques à cela quand ils s’agit de considérer comment les gaz à effet de serre fonctionnent.

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L’effet de serre fonctionne ainsi: le soleil envoie sa chaleur vers la terre. Sans l’effet de serre, ces radiations solaires vont rebondir vers l’espace, laissant une planète froide et inhabitable. Les gaz à effets de serre emprisonnent la chaleur qui s’échappe de la terre au niveau de la troposphère, à quelques km au dessus de la surface. Et c’est là, d’après les modèles climatiques, que le rythme de réchauffement devrait être le plus grand, si c’était les gaz à effet de serre qui avaient causé cela.

Tous les modèles sans exception ont trouvé que le rythme réchauffement devrait être plus rapide au fur et à mesure où vous vous élevez dans l’atmosphère. En fait, le maximum de réchauffement au niveau de l’équateur devrait se produire à une altitude d’à peu près 10 km.

Le scientifique, largement responsable de la mesure de température dans l’atmosphère est Professeur John Christy. En 1991, il avait reçu la médaille de la Nasa pour performance scientifique exceptionnelle. Et en 1996, reçut un prix exceptionnel de Société Météorologique Américaine pour avoir contribué à faire avancer à manière fondamentale notre capacité de surveillance du climat.
Il était auteur principal du GIEC (Groupe Intergouvernemental d’Etude du Climat ou IPCC en anglais).

Il y a deux manières de prendre la température de l’atmosphère. Les satellites et les ballons sondes. Ce que nous avons trouvé de manière consistante, est que sur une grande partie du globe, le gros de l’atmosphère n’est pas en train de se réchauffer autant que la surface dans ces régions et cela est vraiment un casse-tête pour nous parce que la théorie est assez claire et la théorie dit que si la surface se réchauffe, alors l’atmosphère au-dessus devrait se réchauffer rapidement. La hausse de température dans cette partie [la troposphère] de l’atmosphère n’est vraiment pas importante et ne colle pas avec ce que prévoit la théorie des modèles sur le réchauffement climatique.

Un des problèmes qui plombe les modèles est qu’ils prévoient que vous montez dans l’atmosphère, accepté pour les régions polaires, le rythme de réchauffement augmente. Et il est très clair, à partir de 2 séries de données, non seulement des séries satellite dont tout le monde parle, mais aussi des ballons sondes, que nous ne voyons pas cet effet. En fait, tout se passe comme si les températures de surface augmentent plus que la température là-dessus. Et cela fait une grosse différence.

Ces données vous prouvent que ce que nous voyons au niveau du réchauffement n’est probablement pas dû aux gaz à effet de serre.

Les observations ne constatent aucune augmentation de température avec l’altitude. En fait, la plupart des observations montrent une baisse dans le rythme de réchauffement avec l’altitude. Ainsi, dans un sens, vous pouvez dire que l’hypothèse d’un réchauffement causé par l’homme est réfuté par des preuves.

Ainsi, la raison est que le réchauffement de la Terre se produit au mauvais endroit au mauvais moment. La plus grande part du réchauffement s’est produit au début du 20e siècle, près de la surface, le contraire même de ce qui devrait se produire selon la théorie du réchauffement climatique anthropique.

Je suis Al Gore. J’ai été le futur président des USA. Le film émouvant de l’ancien vice-président Al Gore “une vérité qui dérange” est considéré par beaucoup comme la présentation populaire de la théorie du réchauffement climatique. Son argument repose sur une observation de toute première importance, basé sur des forages glaciaires, où les scientifiques creusent profondément dans la glace pour remonter dans l’histoire de la Terre des centaines de milliers d’années en arrière. Le premier forage glaciaire a eu lieu à Vostok, en Antarctique. Ce qu’il trouve, est ce qu’Al Gore a correctement noté, à savoir une corrélation claire entre le CO2 et la température.

Nous remontons maintenant dans le temps, 600.000 années en arrière. Ceci est la température qui a été sur notre Terre. Maintenant, une chose qui saute aux yeux en quelque sorte est … est ce que les courbes collent l’une avec l’autre ? C’est la chose la plus ridicule que j’ai entendue. La relation est en fait très compliquée, mais il y a une relation qui est de loin bien plus important que les autres et c’est celle-ci: quand il y a plus de CO2, la température est plus chaude.

Al Gore dit que la relation entre la température et le CO2 est compliquée, mais il ne dit pas en quoi c’est compliqué. En fait, il y avait une chose très importante dans les données des forages glaciaires, qu’il a oubliée de mentionner.

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Professeur Ian Clark, est un scientifique de premier rang en paléoclimatologie de l’Arctique, qui examine les enregistrements des données du climat terrestre, des dizaines de millions d’années en arrière.

Quand nous regardons le climat sur une longue échelle, nous regardons le matériel géologique qui enregistre en fait le climat. Si vous prenez un échantillon de glace par exemple, nous utilisons des isotopes pour reconstruire la température, cad nous libérons l’atmosphère qui est dans cette glace et nous regardons la teneur en CO2.

Professeur Ian Clark et d’autres ont en effet trouvé ce qu’a dit Al Gore, à savoir un lien entre CO2 et température. Mais ce qu’Al Gore n’a pas dit, c’est qu’il a cité le lien dans le mauvais sens.

Ainsi, nous regardons ici le forage glaciaire de Vostok. Ici nous voyons en rouge la température qui augmente depuis les temps les plus anciens vers les plus récents. C’est que nous sortons des glaciations et nous voyons la température augmenter. Ensuite, nous voyons augmenter le CO2. Le CO2 suit cette hausse de température. Vous avez un retard d’environ 800 ans. Ainsi, la température précède l’augmentation de CO2 d’environ 800 ans.

Il y a maintenant plusieurs forages glaciers majeurs, tous montrant la même chose: la température augmente ou baisse et puis quelques centaines d’années après, le CO2 suit.

Ainsi de toute évidence, le CO2 n’est pas la cause de ce réchauffement. En fait, nous pouvons dire que le réchauffement est responsable de l’augmentation du réchaufffement. Clairement, le CO2 ne peut pas être responsable des changements de température. Il est la conséquence de la température. Il suit les changements de température.

Les carottes glaciaires sont au coeur du problème que nous avons ici. Ils disaient: si le CO2 dans l’atmosphère augmente, alors la température augmente. Mais les enregistrements des carottes glaciaires disent exactement le contraire. Ainsi, l’hypothèse centrale de toute la théorie du changement climatique causé par l’homme est clairement fausse.

Mais comment est il possible qu’une température plus haute entraîne une concentration plus forte de CO2 dans l’atmosphère ? Pour comprendre cela, il faut rappeler un point évident qui est que le CO2 est un gaz naturel, produit pour tout ce qui est vivant.
Peu de chose m’agace plus que d’entendre les gens qualifier le CO2 de polluant. Vous êtes du CO2, je suis du CO2. CO2 est ce assure la croissance des êtres vivants.

De plus, l’homme n’est pas la source principale de CO2. L’homme produit un petit pourcentage à un chiffre du CO2 qui est produit dans l’atmosphère. Les volcans produisent en une année plus de CO2 provenant des usines, des avions, des voitures et de toutes les sources de CO2 générées par l’homme mises ensembles. Plus encore de CO2 provient des bactéries et des animaux qui produisent 100 GT de carbone par an, comparé à seulement 6,5 GT par les humains. Une part encore plus importante de CO2 provient de la décomposition des végétaux, par exemple des feuilles qui tombent en automne. Mais la plus grande source de CO2, et de loin, se trouve dans les océans.

Carl Wunsch est professeur d’océanographie au MIT. Il a été également professeur d’océanographie à l’université d’Harvard, et de l’université de Londres et professeur senior de mathématiques et de physique à Cambridge. Il est l’auteur de 4 manuels majeurs sur l’océanographie.

L’océan est le réservoir majeur dans lequel le CO2 qui est dans l’atmosphère est absorbé et duquel le CO2 est réémis dans l’atmphère. Si vous chauffez la surface de l’océan, l’océan a tendance émettre du CO2. De même, si vous refroidissez l’océan, il peut dissoudre davantage de CO2.

Ainsi, plus l’océan est chaud, plus il émet du CO2 et plus il est froid, plus il absorbe du CO2.
Comment se fait il qu’il y ait un retard de 800 ans entre un changement de température et un changement de la quantité de CO2 qui va dans ou hors de l’océan ?

La raison est que les océans sont si grands et si profonds qu’ils prennent littéralement des centaines d’années pour se réchauffer ou pour se refroidir. Ce décalage fait que les océans possède ce que les scientifiques appellent une mémoire des changements de température.
L’océan a une mémoire des événements passés qui peut aller jusqu’à 10.000 ans. Ainsi, si quelqu’un dit qu’il constate des changements au Nord de l’Atlantique, cela ne voudrait pas dire que le climat est en train de changer. Cela veut dire simplement que quelque chose s’était passé à un endroit éloigné dans l’océan il y a des décennies voire des siècles dont l’effet ne se montre que maintenant dans l’Atlantique Nord.

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Le réchauffement actuel s’était produit bien avant que l’homme ne possède des voitures ou des ampoules électriques. Pendant les 150 dernières années, la température n’avait augmenté que de seulement 0,5°C. Mais la plus grande part de cette hausse s’était produit avant 1940. Depuis cette date, la température a chuté pendant 4 décennies puis augmenté pendant 3 décennies. Il n’y a absolument aucune preuve pendant la longue histoire du climat de la Terre, que le CO2 n’ait jamais déterminé la température globale.
Mais si ce n’est pas le CO2 qui conduit la température terrestre, qu’est ce d’autre ?

La grande fraude du réchauffement global.

La croyance répandue du rôle du CO2 sur la température globale ne colle pas avec les données scientifiques. Les données des ballons-sondes, des satellites, des carottes glaciaires, des enregistrements historiques de température.
Mais si ce n’est pas le CO2 qui conduit la température terrestre, quoi d’autre ?

N’est ce-t-il pas bizarre, s’agissant d’humains, que de croire qu’en conduisant les voitures, en allumant la lumière, nous commandons le climat. Regardez juste le ciel !
Regardez cette chose massive, le soleil. Même l’humanité avec notre population actuelle de 6,5 milliards est minuscule par rapport à cela.

A la fin des années 90, le physicien solaire Piers Corbyns décida d’essayer une nouvelle façon radicalement différente de prévoir le temps. Malgré les ressources énomes de l’agence officielle Met Office, la nouvelle technique de Corbyn produit systématiquement des résultats plus précis. Il a été acclamé dans la presse nationale comme étant le superman de la météo. Le secret de son succès, est le soleil. L’origine de notre technique de prévision du temps à long terme vient originellement des études sur les tâches solaires et le désir de prévoir des creux de l’activité solaire et nous avions pensé qu’il serait intéressant d’utiliser le soleil pour prévoir le temps.

Nous savons à présent que les tâches solaires sont d’intenses champs magnétiques qui apparaissent lors de phases de forte activité solaire. Mais pendant des centaines d’années, bien avant qu’elles ne soient comprises, les astronomes à travers le monde ont compté le nombre de tâches, en pensant que plus il y a de tâches, plus le climat est chaud. En 1893, l’astronome britanique, Edward Maunder, observa que durant le petit âge glaciaire, il y avait à peine quelques tâches solaires visibles, une période d’inactivité solaire appelé Minimum de Maunder.

Mais quelle est la fiabilité des tâches solaires en tant qu’indicateur du temps.
J’ai décidé de tester cela en pariant contre les prévisions officielles de la Met Office chez le bookmaker William Hill. Et je gagnais de l’argent mois après mois après moi.

L’hiver dernier, la Met Office a dit cela pourrait ou drevrait être un hiver exceptionnellement froid. Nous disons, non, c’est absurde. Ce serait très proche de la normale et nous disions précisément quand ce serait froid: ce serait entre Noël et Février. Nous avions raison, ils avaient tort.

En 1991, des scientifiques de haut rang de l’Institut Danois de Météorologie décidèrent de compiler les données sur les tâches solaires au cours du 20e siècle pour les comparer aux enregistrements de température.

Ce qu’ils ont trouvé, c’est une incroyable corrélation entre l’activité du soleil et les changements de températures sur Terre. L’activité solaire, ont-il trouvé, augmente fortement jusqu’en 1940, chute pendant 4 décennies jusque dans les années 1970 et puis augmente de nouveau après.

Quand nous avons vu cette corrélation entre la température et l’activité solaire ou les cycles des tâches solaires, les gens nous ont dit, mais ça ne peut pas être juste une coïncidance. Comment pouvons nous prouver que ce n’est pas juste une coincidence. Une des pistes évidentes est d’avoir des séries plus longues ou d’autres série. Ainsi, nous avons remonté dans le temps. Le professeur Friis-Christensen et ses collègues examinèrent 400 ans d’enregistrement astronomiques pour comparer l’activité des tâches solaires avec les variations de température. Une fois de plus, ils trouvent que les variations d’activité solaire sont intimement liées aux variations de température sur Terre. C’était le soleil, semble-t-il qui était le moteur des changements climatiques.

En un sens, ce n’est pas surprenant. Le soleil nous affecte directement bien sûr comme il nous envoie sa chaleur. Mais à présent, nous savons également qu’il nous affecte indirectement par les nuages.

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Les nuages ont un effet refroidissant puissant. Mais comment sont ils formés ?
Au début du 20e siècle, les scientifiques ont découvert que la Terre est constamment bombardées par des particules subatomiques. Ces particules, qu’ils appelent les rayons cosmiques, sont issues, croit-on, d’explosions de supernovae, situées bien au delà du système solaire. Quand les particules frappent la terre, notamment les particules de d’eau qui s’évaporent de l’océan, l’ensemble forme des goutelettes d’eau qui elles-mêmes forment des nuages. Mais quand le soleil est plus actif et le vent solaire plus fort, moins de rayons cosmiques parviennent jusqu’à la terre.
Moins de nuages sont formées.

La puissance de cet effet n’a été connue que récemment, quand un astrophysicien, le professeur Nir Shaviv décida de comparer ses propres données sur les rayons cosmiques générateurs de nuages avec les enregistrements de température d’un géologiste, le professeur Jan Veizer en remontant jusqu’à 600 millions d’années. Ce qu’ils ont trouvé est que quand les rayons cosmiques augmentent, la température baisse. Quand les rayons cosmiques baissent, la température s’élève. Les nuages et le climat terrestre sont très liées. Pour voir à quel point c’est lié, il n’y qu’à retourner la courbe.

Nous avons comparé les graphiques et c’est étonnant. Jan Veizer me regarde et dit, tu sais, nous avons là des données explosives.
Je n’ai jamais vu des données de sources aussi différentes qui concordent aussi superbement et qui montrent réellement ce qui s’était passé pendant une période aussi longue.

Le climat était commandé par les nuages. Les nuages étaient commandées par les rayons cosmiques. Et les rayons cosmiques étaient commandées par le soleil. Tout se résume au soleil.

Si vous aviez des yeux qui peuvent voir les rayons X, ce qui apparaît comme une boule jaune inoffensive et bienveillante apparaîtrait comme un tigre enragé. Le soleil est une bête incroyablement violent. Il produit de grandes explosions, des pulses de gaz, et des vents solaires ininterrompus qui balaient la Terre. En un sens, l’atmosphère terrestre fait partie du soleil. L’intensité du champ magnétique du soleil a plus que doublé durant le 20e siècle. En 2005, les astrophysiciens de l’Université de Harvard ont publié un graphique dans l’AGU (American Geological Union). La ligne en bleu représente les changements de la température de l’Arctique sur les cents dernières années. Et en jaune est la hausse de CO2 sur la même période. Les deux ne sont pas connectées de manière évidente.

Maintenant, regardons de nouveau les enregistrements de température puis la courbe en rouge qui décrit les variations de l’activité solaire sur le 20e siècle enregistrées indépendamment par les scientifiques de la Nasa et de la NOAA (National Oceanographic & Atmospheric Administration). L’activité solaire sur les cents dernières années et les dernières plusieurs centaines d’années corrèlent très bien sur l’échelle décennale avec la glace de mer et la température arctique.

Selon l’astrophysicien de Harvard et de nombreux autres scientifiques, la conclusion est sans appel. Le changement climatique est provoqué par le soleil. Le CO2 n’a rien à voir.

Mais si c’est cela, alors comment se fait il que nous soyions bombardé, jour après jour, par des nouvelles des médias au sujet du réchauffement global provoqué par l’homme? Pourquoi autant de gens dans les médias et ailleurs considèrent cela comme un fait indisputable ?

Pour comprendre la puissance de la théorie du réchauffement climatique, nous allons vous raconter l’histoire de sa genèse.
Le satelite météo décrit une planète qui soufre de la perte de ses récoltes… Les prédictions catastrophistes du climat ne sont pas chose nouvelle. En 1974, le reportage de la BBC nous avertissait d’un désastre imminent qui pourrait nous sembler étrangement familier. Les nouvelles citaient encore et encore toute une série de désastres due au temps. Le Mid-Ouest américain soufre de la pire sécheresse depuis les années 1930, et les tornades font des ravages.

Et qu’est ce qui a été la cause de ces désastres ? L’homme qui était l’auteur de cette série est l’ancien éditeur du journal New Scientist, Nigel Calder.

Dans la série la Machine Climatique, nous rapportions le point de vue dominant de l’époque qui était le refroidissement global et la menace d’un nouvel âge glaciaire.

35:00 —-

La glace naturelle nous enserre… Après 4 décennies de baisse de température, les experts avertissent qu’un monde plus froid aurait des conséquences catastrophiques. Il y a la menace permanente d’un refroidissement drastique. Un nouvel âge glaciaire va-t-il envahir nos terres et enterrer les cités au Nord.

Mais dans cette ambiance de catastrophe, il y a une voix qui exprime l’espoir. Un scientifique suédois du nom de Bert Berlin essaya de suggérer que le CO2 produit par l’homme pourrait aider à réchauffer la planète. Il y a de grosses quantité de pétrole et de charbon et nous sommes en train de les brûler à un rythme toujours croissant. Si nous continuons ainsi, dans à peu près 50 ans, le climat pourrait être de quelques degrés plus chaud que maintenant. Nous ne savons tout simplement pas.

Nous étions également les premiers à présenter dans nos documentaires le suédois Bert Berlin qui a présenter devant toutes les télés du monde les dangers du CO2. Et j’ai été violemment critiqué par les meilleurs experts pour avoir permis au suédois d’exprimer de tels fantasmes. Au plus fort de l’hystérie du refroidissement global au milieu des années 70, la théorie excentrique de Bert Berlin sur le réchauffement causé par l’homme semblait absurde.

Deux événements allaient changer les choses. D’abord, la température commençait à monter. Ensuite, les mineurs se mettaient en grève.
Pour Margaret Thatcher, l’énergie était un problème politique. Au début des années 70, les chocs pétroliers avaient plongé le monde dans la récession et les mineurs avaient démis le gouvernement conservateur précédent. Ms Thatcher avait décidé que cela n’aillait pas lui arriver et était déterminée à briser leur pouvoir.

Ce que nous voyons dans ce pays, est l’émergence d’une minorité révolutionnaire organisée, préparé à exploiter les conflits industriels mais dont le but réel est de briser la loi et l’ordre et de détruire le gouvernement démocratique parlementaire.

La politisation du sujet avait commencé avec Margaret Thatcher. Elle était très soucieuse, et je peux vous dire en tant qu’ancien Secrétaire d’Etat à l’Energie, de promouvoir l’énergie nucléaire, bien avant le problème du changement climatique, parce qu’elle était préocuppée par la question de la sécurité de l’énergie, parce qu’elle ne faisait pas confiance au Moyen Orient, aux syndicats des mineurs, au pétrole et au charbon. Par conséquent, elle sentait que nous devions vraiment encourage le nucléaire. Alors quand le sujet du réchauffement global était apparu, elle a dit, c’est très bien, ce sera un argumentaire de plus pour le nucléaire qui n’émet pas de CO2 et c’était principalement ce qu’elle avait dit même si ce qu’elle avait dit a souvent été déformé.

37:57 —-

1.  Geoffroy | 30/07/2007 @ 23:55 Répondre à ce commentaire

Il existe-t-il une version formatée pour vlc ?

2.  Frédéric, admin skyfall | 4/08/2007 @ 9:30 Répondre à ce commentaire

Bonjour
Pour visionner avec VLC, voir ici

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