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De Girma J Orssengo, MASc, PhD , 10-Oct-2009

Figure 1 : Anomalies des températures moyennes mondiales en °C d'après les données du Hadley Center
Le graphe ci-contre montre une tendance linéaire au réchauffement donnée par l’équation suivante: Composante linéaire de variation du réchauffement en °C = 0,44(année-1850)/100-052.
Maintenant, la question qui se pose est : après une augmentation significative des émissions de CO2 par l’homme, les données d'anomalies de température révèlent-elles une inflexion des températures globales au siècle dernier ?
Pour y répondre, répondons à ces trois questions :
1. Comment le réchauffement linéaire de 0,44 deg C/siècle du siècle dernier, montré ci-dessus se compare-t-il avec le réchauffement linéaire d’il y a deux siècles ?
2. La variation oscillante du siècle dernier, après un usage intensif de carburants fossiles, est-elle inhabituelle ?
3. Quelle est la tendance actuelle de la variation de la température moyenne globale ?
1. Comment le réchauffement linéaire de 0,44 °C/siècle au cours du siècle dernier montré ci-dessus, se compare-t-il avec le réchauffement linéaire d’il y a deux siècles ?

Figure 2 : Evolution de la température moyenne globale avant 1910 d’après les cernes d'arbres
Comme il n’y avait pas de mesures de température directes avant 1850, les données de cernes d'arbres sont utilisées pour représenter le réchauffement linéaire de 1810 à 1910 comme ci-après.
Variation linéaire en °C= 0,47(Année-1810)/100-0,63.
2. L'oscillation du siècle dernier après un usage intensif de carburants fossiles, est-elle inhabituelle ?
Pour étudier l'oscillation séparément, nous retirons la tendance linéaire du réchauffement grâce au logiciel de www.woodfortrees.org en utilisant la valeur DETREND=0,706, qui fait pivoter la droite de tendance montrée à la Figure 1 dans le sens des aiguilles d’une montre à l’horizontale. Le graphe de variation avec sa variation linéaire enlevée (oscillation) est montré ci-après.

Figure 3 : Oscillations en °C d’après les données du Hadley Center
Le graphe ci-dessus montre les inflexions suivantes de la température moyenne globale :
- Refroidissement global de 0,71 deg C de 1878 à 1911, soit 33 ans
- Réchauffement global de 0,53 deg C de 1911 à 1944, soit 33 ans
- Refroidissement global de 0,48 deg C de 1944 à 1976, soit 32 ans
- Réchauffement global de 0,67 deg C de 1976 à 1998, soit 22 ans.
En complément aux données ci-dessus qui montrent des phases de refroidissement et de réchauffement de la température globale, il existe dans les médias des documents de support qui décrivent le climat de ces périodes: Pour le refroidissement global de 1878 à 1911, la manchette du New York Times du 24-Fév-1895 était PROSPECTS OF ANOTHER GLACIAL PERIOD.
Pour le réchauffement global de 1911 à 1944, la manchette du New York Times du 15-Ma1-1932 était Melting Polar Ice Caps to Raise the Level of Seas and Flood the Continents.
Pour le refroidissement global de 1944 à 1976, la manchette de Newsweek du 28-Avril-1975 était The Cooling World.
La Figure 3 montre une variation positive de 0,39 °C pour 1998, ce qui est d’une grandeur similaire à la valeur de 0,38 °C pour 1878. Il en résulte que le maximum de température de 1998, après un large usage des combustibles fossiles, n’est pas inhabituel.
Pour étudier s’il y a un infléchissement des températures moyennes globales, on peut racer un graphe de probabilité normale (NdP : droite de Henry) à partir de l'oscillation. En probabilité normale, si la plupart des points de température de l'oscillation se trouvent sur une droite, ils sont alors normalement distribués. Pour les données de variation oscillante depuis 1850, le graphe de probabilité normale est donné ci-après.

Figure 4 : Probabilité normale pour les oscillations (résiduelles)
La Figure 4 montre que la plupart des points de l'oscillation se trouvent sur une droite avec un coefficient élevé de corrélation de 0,9923. Hormis les 159 points, seules deux températures, pour 1911 et 1909 sont en dehors, ce qui indique une inflexion des températures. Cependant, comme cette inflexion s’est produite bien avant l’usage généralisé des combustibles fossiles, et qu’un refroidissement global similaire s’est produit dans les années 1970 après le refroidissement de 1911, la cause de cette inflexion peut difficilement être attribuée aux émissions de CO2.
L'oscillation étant normalement distribuée, nous pouvons en calculer les limites haute et basse. L’inverse de la pente de la ligne du graphe de probabilité normale est égale à la déviation standard, σ. Par conséquent d’après la Figure 4, σ = 1/6,6 = 0,15 °C. Pour l'oscillation, 99,73% des données se trouvent entre +/- σ 3 = +/- 0,45 °C. Ces valeurs hautes et basses englobent toutes les variations de température de 1850 à 2008 comme montré à la Figure 3.
D’après la Figure 4, basée sur 159 ans de données, la température globale a varié entre -0,32 °C et 0,4 °C, soit au total 0,72 °C. ( NdP :par rappor t à la droite de variation linéaire) Il en résulte que l’augmentation de la température moyenne du minimum au maximum (réchauffement global) ou la diminution du maximum au minimum (refroidissement global), de 0,72 °C est la variation naturelle de la température moyenne globale. En plus de ces oscillations de température, il y a un réchauffement linéaire global de 0,44 °C/siècle.
Sur la Figure 4, toutes les températures du côté droit du graphe, qui reflètent le réchauffement global, se trouvent pratiquement sur une droite. Il en résulte qu’il n’y a aucune inflexion vers un réchauffement global. Pas d’empreinte de CO2, aucune.
3. Quelle est la tendance de la variation de température globale en ce moment ?
Dans le graphe de l'oscillation ci-dessous, regardons l’extrémité de la courbe de variation pour l’an dernier en 2008.

Figure 5 : Oscillation en °C d’après les données du Hadley Center
Regardons également l’extrémité à droite de la ligne horizontale verte d'oscillation nulle. Dans les années à venir, la courbe d'oscillation rouge descendra-telle vers la ligne horizontale et la croiser, ou fera-t-elle une culbute de 180° et s’éloignera-t-elle de la ligne horizontale pour remonter à sa valeur maximale précédente, pour évoluer vers des valeurs supérieures à ce maximum ?
Il est fâcheux que le maximum de l'oscillation se soit produit en 1998 à la fin du siècle dernier. Ce fut juste une coïncidence. A la fin du siècle dernier, si l'oscillation avait été à son minimum, comme en 1911 avec -0,33 °C, il n’y aurait eu aucun changement significatif de la température globale (0,44 – 0,33 = +0,11 °C) au siècle dernier. Il en découle que, selon que le maximum ou le minimum d’une oscillation coïncide avec la fin d’un siècle, nous pouvons avoir un échauffement global de 0,83 °C ou pas de réchauffement sur le siècle.
La Science est une affaire de données. La Science n’est pas une affaire de consensus ou d’autorité.
Le réchauffement global par le CO2 n’est pas confirmé par les données.
Girma J Orssengo, MASc, PhD. orssengo@lycos.com
Source (traduction par Scaletrans et grand merci à lui).
152 réponses à “Le réchauffement global par le CO2 n’est pas confirmé par les données”
Je vois donc que je ne suis pas le seul à être choqué de lire que, selon l’auteur, le réchauffement moyen de siècle passé concerne les températures entre 1850 et 2009. Jusqu’où ira la manipulation pour arriver à « prouver » une absence de réchauffement anthropique ? Je me le demande…
Concernant l’étude de Bristol, Marot et les autres, je vous conseille de relire attentivement l’article. Il y est indiqué que la proportion de CO2 anthropique absorbé reste constante en fonction du temps. Pas que la quantité absolue de CO2 anthropique dans l’atmosphère est constante. Ca n’a rien à voir ! Cela signifierait simplement que la nature est capable d’absorber environ 45% de ce qui est émis annuellement. Mais si les émissions augmentent … la quantité de CO2 aussi (voir figure 1).
C’est toutefois une bonne nouvelle, dans le sens où une stabilisation des émissions pourraient avoir un impact plus important que prévu (si ça se confirme). Une autre bonne nouvelle, mais je n’ai pas de lien sous la main, concerne une équipe de chercheurs qui a montré que la fonte de l’arctique provoquait un feedback négatif intéressant : il y a plus de CO2 absorbé par les planctons des eaux froides non-gelées. Reste à déterminer comment ce feedback-là peut contrer les autres (ordre de grandeur = ?)
Robert (#51),
J’ai écrit :
En réponse, vous avez le culot d’écrire :
Votre conseil imbécile vous pouvez vous le carrer où il se doit, minable donneur de fausses leçons.
À toutes fins utiles.
Cela prouve seulement que vous et d’autres ne savent pas lire le français. Ou que vous êtes de mauvaise foi et avez la lecture qui vous convient de l’article.
Autre preuve :
C’est faux ! Reprenons l’article…
Où lisons-nous qu’il est question de CO2 Anthropique ????
Nulle part !
Ce serait difficile, puisqu’il est impossible de faire la différence entre CO2 naturel et CO2 dit anthropique dans l’atmosphère.
Donc, les quantités de CO2 anthropiques (exemple de la déforestation dans l’article) seraient très surestimées… C’est ce que dit avec précautions l’article.
Pour ceux qui auraient envie à leur tour de traiter des séries longues de températures, voir les séries Central England de 1659 à 2009.
http://hadobs.metoffice.com/ha…..nload.html
Voir notamment Monthly HadCET mean.txt
On peut passer du .txt au .xls ou .xlsx eu utilisant des logiciels.
Concernant le CO2 y a bp des elements qui montre qu’on nous trompe suivant ceci : http://skyfal.free.fr/?p=415&#…..ment-23074
Si non, si certain penses que le CO2 est bien la cause principale du rechauffement climatique peuvent ils me pourquoi ces 12 dernieres on a pas eu un rechauffement malgres l’augmentation du CO2 plus fort (surtout avec la Chine…) et pourquoi a t’on eu rechauffement aussi important de 1910 a 1940 alors que le CO2 n’a pas augmentait a cette periode ???
Williams
Myke (#54),
Les données donnent ceci en graphe :
http://img94.imageshack.us/img94/9153/hadcet.jpg
Une période de réchauffement juste après le minimum de la fin du 17e, qui relativise celle actuelle, des périodes plutôt douces en plein PAG (ce sont les hivers qui sont froids), etc.
Pas vraiment similaire à celle du Giec au niveau mondial.
Bref intéressant mais pas trop.
chria (#56),
D’ailleurs, sur la période, c’est l’hiver qui s’est réchauffé le plus, bien distinctement de l’été (+1,7 pour janvier, 0 pour juin et +0,9 en global).
>Myke (#54),
>Les données donnent ceci en graphe :
http://img94.imageshack.us/img94/9153/hadcet.jpg
>Une période de réchauffement juste après le minimum de la fin
>du 17e, qui relativise celle actuelle, des périodes plutôt douces
>en plein PAG (ce sont les hivers qui sont froids), etc.
>Pas vraiment similaire à celle du Giec au niveau mondial.
>Bref intéressant mais pas trop.
Ces donnees sont ceux du centre de l’Angleterre et non de toute notre planete (SST+sol). Donc ca ne peut pas etre comparable avec ceux du GIEC qui se base du sol+SST puis de toute ou 90% la surface de la terre suivant les mesure mais aussi les calculs d’apres les carottes de glaces…
Williams
Abitbol (#53),
Petit complément
Il en est question dans le résumé de l’article paru dans GRL :
Référence
http://www.agu.org/pubs/crossr…..0613.shtml
À l’opposé, il est vrai que l’auteur ne se fonde pas sur l’analyse du CO2 contenu dans l’air mais sur les quantités émises connues.
Comme d’habitude; le débat part dans de mauvaises direction où tout devient du pinaillage, pour ne pas dire de la tetratrychotomie !
Juste un petit point de vue de zététique appliquée :
Prouver l’absence de quelque chose (de causalité, dans notre cas) est, par définition, impossible. C’est pourquoi c’est toujours à celui qui prétend quelque chose de le prouver. Hors, premièrement les « réchauffistes » pratique à outrance le retournement de la preuve (il ne faut surtout pas s’y laisser prendre : c’est — toujours par définition — une impasse) et deuxièmement, les preuve avancées, soit ne sont pas des preuves (un modèle n’a jamais été une preuve, des courbes non plus et les conséquences que peut avoir un réchauffement climatique sont hors sujet) soit ont été, sans exception, réfutées. De plus se baser sur une idée de nombre ou de consensus est totalement anti-scientifique : ce n’est pas parce que beaucoup de gens (même scientifiques) croient quelque chose que cette chose est vraie.
En résumé, d’un point de vue purement zététique, l’implication anthropogénique dans le climat est une chimère, au même titre les OVNI, sur laquelle il est inutile de perdre sont temps ni dépenser le moindre centime en dehors de toute preuve (et non de supposition) tangible.
L’implication de l’être humain dans un réchauffement est possible (l’absence de preuve n’étant pas la preuve de l’absence), mais sans aucun intérêt tant qu’il ne sera pas prouvé que cette implication existe. En l.occurence, dans ce débat, qu’il existe bien un lien de causalité entre augmentation du CO₂ et température globale (déjà, il faudrait définir ce qu’est une température globale : ce serait un bon début…)
Nous sommes donc en plein dans un cycle d’obscurantisme ou la science cède face à la pression de la croyance. Mais où donc est passée ce « siècle des lumières » ?
Merci Marot d’avoir répondu sur le point de l’aspect anthropique de l’étude. D’ailleurs, le titre de l’article est explicite :
Knorr, W. (2009), Is the airborne fraction of anthropogenic CO2 emissions increasing?, Geophys. Res. Lett., 36, L21710, doi:10.1029/2009GL040613.
Concernant l’inteprétation des résultats, toujours selon le lien vers WUWT :
« It is not that the total atmospheric burden of CO2 has not been increasing over time, but that of the total CO2 released into the atmosphere each year by human activities, about 45% remains in the atmosphere while the other 55% is taken up by various natural processes—and these percentages have not changed during the past 150 years »
Bref, la fraction des émissions anthropiques absorbée par la nature reste constante. Cela signifie donc, comme je le disais, que si plus de CO2 est émis, plus de CO2 restera dans l’atmosphère (cf figure 1)
Marot (#59),
Justement l’étude de Knorr pose la question dans son titre : « La part de CO2 anthropique augmente-t-elle dans l’atmosphère ? »
Puisqu’il est impossible de faire la différence entre le CO2 dit anthropique et le CO2 naturel dans l’atmosphère, nous n’avons que les estimations calculées par des « experts »… D’autre part, le CO2 semble augmenté dans l’atmosphère d’après les mesures…
La question est : est-ce que nous savons estimer les quantités de CO2 que l’homme rejette, et ces émissions ont-elles un impact sur le mécanisme climatique de notre planète ?
Réponse de l’article dans GRL : La nature absorbe toujours le même pourcentage de CO2 présent dans l’atmosphère depuis 1850 !
Etrange non ?
On peut en conclure que soit la nature est bonne fille et essaie de nous aider en absorbant toujours un peu plus de la moitié du CO2 injecté dans l’atmosphère… un peu comme une enfant qui mangerait toujours un peu plus de la moitié des pommes qu’on lui donne; 2 pommes : elle en mange 1 et croque dans l’autre, 20 pommes : elle en mange 11…
Soit le CO2 s’accroît naturellement dans l’atmosphère et les émissions anthropiques sont négligeables et n’impacte pas le système.
Bonjour.

La banquise est dans un état calamiteux. Le plancher de 2007 à la même époques est crevé…
Au 13 novembre, nous avons désormais environ 270000 km² de retard sur 2007. (source IC)
Michel (#63),
A part le fait que l’actique soit devenu un article publicitaire des réchauffistes, c’est un très mauvais indicateur du climat.
Actuellement les T° y sont fortement négatives. Il s’agit d’un problème de courant marin.
Rappelez-vous l’arctique est une banquise donc l’eau (liquide, non gelée) passe dessous.
Ok, mais si l’on compare avec les années 1980, la tendance est quand même très marquée.
Je ne suis « pro » d’aucun bord, j’essaye d’observer, de comprendre, et d’en tirer des enseignements et des indications pour la période à venir proche.
@Michel,
Personne ne dit que ça ne fond pas Michel.
D’abord, ce n’est pas la première fois dans l’histoire et ensuite, Curieux vous dit que ça ne résulte pas du réchauffement de l’atmosphère mais des courants marins parfaitement naturels comme l’ont d’ailleurs montré plusieurs articles (peer-reviewed) et aussi comme cela a été rappelé lors de la dernière conférence WCC3 par des gens du GIEC, eux-mêmes.
IC c’est un peu comme TF1. Ils ne vont pas vous parler de ce qui les dérangent.
Michel (#65),
Les températures au Groenland sont en ce moment conformes aux normales saisonnières, voire légèrement plus froides… vous pouvez vérifier sur le site Météo consult… prenez une ville (ou région) et comparez avec le bouton Voir les normales saisonnières en bas à droite de la fenètre.
http://www.meteoconsult.fr/pre…..groenland/
Merci pour vos réponses et le lien Météo consult qui est très bien fait ! Je vais le consulter régulièrement, ça évite les infos pas très « justes » que l’on trouve un peu partout…
Puis il faut voir aussi qu’il n’y a pas que l’Arctique comme pole et banquise aussi comme on pourait le croire justement comme on parle que de l’Arctique pour montrer le rechauffement. Car la banquise de l’Antarctique elle s’ameliore vu les records des ces dernieres années se qu’on ne parle même pas ou bien dans le sens inverse malgre que c’est faux par exemple comme le vis president du GIEC qui n’a pas hesite de dire que le pole Sud fond aux infos de FR2.
Il faut voir aussi que la banquise de l’Arctique a commence a se reformer qu’en (sept/octobre) donc il y a pas long temps alors on ne peut rien dire ou conclure pour l’instant car l’evolution de la banquise peut changer de vitesse tres vite et donc peut tres bien se rattrapper.
Par exemple on le voit tres bien avec la courbe noir (novembre 2006) dont la banquise de HN a ralentie d’un coup et donc on pouvait dire que c’etait tres mal partie mais apres en decembre 2006 elle a tres bien ratrappé sont retard et est redevenue comme les autres années.
Donc ceci peut etre le cas cette année, faudra voir.
Williams
Williams, vos remarques sont souvent pertinentes, mais vous devriez user plus souvent des virgules, ça en faciliterait la lecture. Merci ! 😉
Il faut aussi tenir compte de l’avertissement qui figure sur le site
http://ocean.dmi.dk/arctic/icecover.uk.php
Les données actuelles sont peu fiables
« Due to repeting data fall-out since 1st of October, the sea ice extent calculation can be unreliable. We are working on solving the problem! «
Daniel (#71),
Bien vu, les réchauffiste ont un tropisme certain pour les mesures émanant de satellites HS ou en voie de l’être !
Rappelons nous l’épisode sur NSDIC, il y a quelques mois, ou la panne d’un satellite a été annoncé comme une fonte accélérée de la banquise Arctique.
Bonjour,
Je vous signale un billet intéressant sur le Blog des énergies nouvelles :
La prévision climatique: une science en guerre et en plein chamboulement ?
Woody (#73), oui, très bon blog, merci du tuyau !
Curieux (#72),
Oui à la mi-février lol, et nombreux étaient convaincus que ce n’était pas un bug, voir fondre la banquise près du pôle nord en février au point de voir l’eau, c’est aussi improbable que de voir le vieux port pris par la glace au mois d’aout.
Curieux : annoncé par qui ? Je n’en ai jamais entendu parler dans les médias ?
Robert (#76),
Euh, annoncé par les internautes avertis, puis enfin par le NSDIC lui même, bien obligé…
http://nsidc.org/arcticseaicenews/2009/021809.html
Robert (#76),
Il y a tant de choses dont les médias ne parlent jamais, ne fait pas l’étonné…
Au fait toujours pas de référence à propos du temps de résidence « moléculaire » ou « massique » dans des papiers peer reviewed parlant du CO2 ?
Robert (#76),
Normal, tu ne sais lire que le « réchauffiste ».
Mon garçon (?), il est grand temps d’apprendre des langues étrangère utiles. Le « réchuaffiste » est en passe de devenir une langue morte.
Robert (#76), Lol, il lit les médias… Alors, abonné au metro-lavage-de-cerveau? Moi ça fait longtemps que j’ai plus de tv et que je suis abonné uniquement à des journaux alternatifs… Veux rester en bonne santé mentale moi. Quand je vois mes zombis de famille et d’ami (bon ça reste mes parents et mes amis, peux pas leur en vouloir) qui ne prient que par le Monde et TF1 qui eux ont la sainte parole et sont la référence encyclopédique, notament pour le réchauffement climatique.
Oui je sais c’est dur de sortir de ce shéma de pensée, mais faut faire un petit effort Roro, le média français est manipulé, d’internet à la TV en passant par l’école bien entendu ou on vous prépare le petit cerveau des enfants à réfléchir « comme il faut » et l’univ où on apprend au futur dirigeant, chef, chercheur à dire ce qu’il faut et à rester dans une pensée cabrée par reflexe sur des choses tels que « la chine c’est mal; l’homme est mauvais; on ne peux pas avoir une économie saine sans mondialisation; il y a toujours des riches et des pauvres; le nb d’enfant par femme est inverse du PIB/hab.; la consommation est mauvaises; Le média- journaux est nul, mais il reste ma référence car le plus diffusé; l’ONU c’est bien; le développement durable est la solution; les ONG sont indépendantes » etc.. etc….
Enfin, vous comprendrez le jour ou comme moi et d’autre, vous aurez sentit le vertige du mensonge,quand vous réaliserez (mais ça fait vraiment mal quand on s’en rend vraiment compte) que l’Histoire ne s’est pas arrétée depuis la chute du mur, et dans ce cas là , vous serez un peu plus poli avec les gens de ce forum…
Ce que je voulais dire c’est que je n’ai pas vu d’annonce dans les médias en février parlant d’une soudaine fonte catastrophique de l’arctique. Je me demandais d’où venait l’expression de curieux comme quoi
En effet, le nsidc n’a jamais dit cela, ni aucun média à ma connaissance. Au passage, supermouton, je ne vois pas ce que j’ai dit d’impoli.
PS : pour le temps de résidence massique, j’ai bel et bien donné une référence, merci de la lire et de me donner votre avis. Nous pourrons en rediscuter dès ce moment. Dans l’immédiat, ne polluons pas le forum avec ce genre de trucs basiques.
Robert (#81),
Tu as juste parlé d’un obscur bouquin, là où j’ai demandé au moins 3 références de papiers peer reviewed, puisque les « scientifiques ne jurent que par ceux-là.
Mon cher ami, les livres publiés par Princeton University Press sont peer-reviewed, c’est bien pour cela que je vous l’ai donné en référence. J’attends toujours vos commentaires…
En attendant, définition du temps de résidence atmosphérique selon le GIEC :
Ceci correspond à ce que j’appelle le temps de résidence atmosphérique massique.
Ce que j’appelle le temps de résidence atmosphérique moléculaire, car il correspond au temps de résidence qu’aurait l’espèce seule, si les autres sources sont maintenues constantes. Voici ce qui est dit concernant « la fausse estimation du temps de résidence » selon le GIEC :
Ce qui explique de facto que dans le lien dont vous parliez, ce n’est pas la même quantité qui est comparée entre les différents articles. CQFD
Robert (#81),
C’est juste votre manière d’écrire qui me semble un peu déplacée… Si on vous demande une ref et que vous l’avez déjà mise, pourquoi ne pas la remettre? Pourquoi aussi dire
Et ensuite s’étonner que tout le monde vous tombe dessus! pourquoi ces guillements autour du « que »? Oh et puis ça m’énnerve vos considération pseudo météorologique et vos déclarations en général, c’est comme si vous n’avez rien compris (sinon vous n’ecririez pas » « que » « ) et que vous aviez la science infuse (vous prendre comme référence).
Dites nous au moins (ou répétez parceque je passe pas ma vie sur skyfal) si vous êtes d’accord que le rapport du GIEC est un rapport qui par rapport aux méthodes scientifiques est à foutre à la poubelle! Au moins (pour ma part) je me sentirai un peu moins agressé par vos propos et relativiserai mieux vos espèces de nuances GIECales…
Enfin ça m’étonnerai parceque
Mais qu’est ce que vous faites là?
Robert (#83),
Oui, donc bref, tu racontes n’importe quoi, pov tâche. Le GIEC n’a jamais utilisé le terme de « massique » ou de « moléculaire », c’est toi qui fait de la soupe en prétendant parler pour lui.
D’ailleurs, même le GIEC que tu cites parle de plusieurs durées : turnover time, residence time, ajustment time… et même son turnover time n’est pas défini de manière unique !(« for each removal process, separate turnover times can be defined »). Bref le GIEC lui-même n’a strictement aucune idée de ce qu’est la durée de vie du CO2, alors que toi, tu sais. Tu ne doutes de rien toi !
Bon, supermouton, je suis désolé si vous vous sentez aggressé quand je me moque des sceptiques, mais reconnaissez que je ne me permets pas de traiter les autres de « pauvres tâches » comme notre ami minitax sait si bien le faire. je répondrai à votre partie sur la météo dans le post correspondant, histoire de ne pas tout mélanger. Et je ne pense pas que le rapport du GIEC soit à foutre à la poubelle : c’est juste une espèce de résumé de la littérature sur le sujet.
Minitax : désolé aussi, mais cette fois-ci pour le vocabulaire que j’utilise. je ne suis pas un pro de la climatologie, ma nomenclature n’est donc probablement pas adaptée. Mais la remarque que je faisais est tout à fait correcte : dans le lien qui compare le temps du vie du CO2 du GIEC et des autres publications, ce n’est pas la même grandeur qui est comparée ! Il est donc normal que ce ne soit pas du tout la même valeur…
La réponse à votre dernière remarque se trouve à la fin de mon post, inutile de revenir là-dessus donc;
Robert (#86),
Pfff, vous jouez au critique de la science, mais vous n’êtes meme pas capable de remettre en cause le totem de la pluie et du beau temps. Donnez des détails, je veux des détails sur ce que vous pensez au sujet du GIEC, non , je ne m’en lasserai pas! je veux tout savoir, voir un peu si vous ne vous êtes pas auto-proclamé de « sauveteur des pauvres sceptiques » car en vous lisant, j’ai ce sentiment…
Robert (#86),
Oui enfin, bref…. comme d’hab tu raconte n’importe quoi et ensuite tu essaie de te raccrocher aux branches.
Comme le montre bien l’extrait GIECien que tu quote, le temps de résidence du CO2 dans l’atmosphère, d’où qu’il provienne, est d’environ 4 à 5 ans (presque 1/4 étant recyclé chaque année par le cyle émission/absorbtion)…. le reste c’est du blabla et de la conjecture.
Temps qui n’est pas le temps de résidence, mais un temps d’impact sur le contenu global …. »estimé » à 100 ans par le GIEC…. sur la base d’études peu sérieuses… et très contreversées.
D’autre part, et au contraire de ce que dit le GIEC, le bilan d’échange de CO2 océan/atmosphère ne dépend pas que de l’échange avec les couches profondes, mais aussi beaucoup de la distribution thermique des couches de surface…. et si on rajoute le bilan encore plus mal connu des échanges biosphère/atmosphère, on s’aperçoit vite que qui conque jette des chiffres en l’air… ne peut être qu’un aimable plaisantin… ou bien pire…
Il n’y a qu’une seule chose importante, c’est le bilan des échanges, et si le GIEC était honnête, c’est la-dessus qu’il devrait communiquer, en expliquant bien l’ampleur des incertitudes (très largement supérieures aux estimations)….
Le fait d’utiliser le mot de « résidence atmosphérique » montre bien qu’on est plus dans la science, mais dans la communication et la politique, en faisant croire au bon peuple que les molécules de CO2 émises par l’homme s’accrochent désespérément dans l’atmosphère pendant 100 ans et plus avec leurs petits bras musclés, et frapper ainsi son imaginaire…. alors que cela est totalement faux… alors que si on parle de bilan d’échange et qu’on donne les incertitudes, c’est tout de suite beaucoup moins « frappant ».
Merci Robert d’aider à montrer que la communication du GIEC tiens plus des histoires de grand méchant loup que de communication scientifique sereine et raisonnée.
bah non, laurent, c’est juste qu’il s’agit de deux grandeurs bien différentes, c’est tout. Ce qui intervient au niveau de la modélisation est, je suppose, le temps de résidence atmosphérique. Et puis, il faut bien admettre que le CO2 s’accumule, non ? Si le temps de résidence qui a une signification physique est, selon vous, le 4-5 ans que vous mentionnez :
– vous devriez être un fan de copenhague, car cela signifierait qu’en 4-5 ans on pourrait retourner à des niveaux de CO2 pré-industriels.
– on pourrait aussi se demander pourquoi le pic isotopique C14 apparu après les test nucléaires en pleine atmosphère ne s’est pas amorti en 4-5 ans, mais qu’après 50 ans on est toujours au-dessus des niveaux pré-tests ?
http://www.physics.arizona.edu…..brate3.htm
Robert (#89),
Décidément, votre incapacité à comprendre des choses simples est confondantes….
Absolument pas… « s’accumuler » laisse entendre que le CO2 émis reste dans l’atmosphère, ce qui n’est pas le cas… La seule chose que l’on peut dire, qui est compréhensible par tout le monde et qui ne prête pas à confusion, c’est que la quantité de CO2 atmosphérique augmente (sans préjuger de la provenance).
Vision simpliste qui présuppose que le bilan des échanges de CO2 est uniquement modulé par les émissions anthropiques…. ce qui n’est bien sur pas le cas… (bien au contraire).
Ça t’est arrivé d’avoir un peu de curiosité et de comparer les variations annuelles de la quantité des émissions anthropique et de la variation réelle de contenu atmosphérique?
Il est évident que le deuxième dépend du bilan cumulé de tous les échanges (émissions anthropiques, blain échanges océans/atmosphère, bilan échanges biosphère/atmosphère, émissions volcaniques, etc….), dont on ne sait pas mesurer les termes élémentaires avec une précision suffisante.
… on en revient donc à la seule chose que l’on peut affirmer avec certitude: le taux de CO2 atmosphérique augmente…. est-tu capable de comprendre la différence qu’il y a entre temps de résidence (temps de séjour en Français) et variation du taux ????
Euh… non… sans doute pas…. 😉
Bien entendu que la quantité absolue de C14 ne s’efface pas complètement en 4-5 ans, puisqu’une partie du C14 absorbé par les océans est ré-émise ensuite (chose que je n’ai jamais contestée)…
Ceci dit, regarde bien le graphe (connu et exploité dans de nombreuses publications)… il montre une demi-vie de l’excès de C14 d’environ 12 ans, et une disparition quasi complète en 30 ans… on est un peu loin des 100 ans, non ??? 😉
Et cet excès n’est pas forcément qu’un résidu des explosions de bombes. Il y a aussi des variations dues aux émissions anthropiques, au rayonnement cosmique, etc…
Cela concorde très bien avec les publications citées par Segalstad (une quarantaine, dont celles utilisant les mesures de radon-222), ou celle-ci, plus récente:
« Potential Dependence of Global Warming on the Residence Time (RT) in the Atmosphere of Anthropogenically Sourced Carbon Dioxide » – Robert H. Essenhigh – 01/04/2009 – Journal of the American Chemical Society…. qui donne un temps de séjour de 16 ans pour le C(14)O2 et 5 ans pour le C(12)O2 (ben oui.. ils ne se comportent pas de la même façon…)
J’aime quand tu tend des bâtons pour te faire battre mon p’tit roro…. encore, stp… 😉
Robert (#83),
Donc, il n’existe nulle part de définition « moléculaire » ou « massique » de la durée de vie du CO2 dans l’atmosphère. C’est bel et bien une invention une invention sémantique de la part de notre cher Robert.
C’est pas bô de mentir, m’enfin on commence à avoir l’habitude de la part de imposteur préféré…
Robert (#81),
Peut-être pas dans les médias, mais dans beaucoup de sites du style info-climat, on a même eu un alarmiste qui est venu poster un message à ce sujet ici
@ 86 ; Effectivement vous ne traitez pas les autres de « pauvres tâches » de manière franche, mais la réthorique que vous utilisez pour vous moquer signifie exactement la même chose, à la différence de la franchise, qu’elle est sournoise et hypocrite…
Sournois et hypocrite, hé ? Moi j’ai surtout l’impression d’être un des seuls ici à avoir un peu de respect pour les autres.
Regardons par exemple le déversement de bile de laurent. Le pire c’est que derrière l’acidité de ses mots, il nous dit en gros que même si le temps de vie moyen du CO2 est de 4-5 ans, le tempss nécessaire pour amortir des variations de CO2 peut être beaucoup plus long que ça à cause des échanges entre réservoirs de C. Bref, c’est exactement la vision du GIEC. Au passage, laurent, si le temps de demi-vie est d’une quinzaine d’années, cela ne change rien au fait que le temps de résidence peut être de plusieurs dizaines d’années :
Abitbol : comme je le disais plus haut, je n’ai jamais prétendu être un expert en climatologie – j’utilise mes propres mots, c’est vrai, je l’avoue. Mais les faits sont là : il y a le temps de résidence du CO2 de 4-5 ans, qui n’a rien à voir avec le temps nécessaire pour amortir une certaine variation de CO2 dans l’atmosphère, qui est de 100 ans semble-t-il.
pour en revenir au sujet de la « fonte » présumée en février, vous ne pouvez pas dire que les médias de masse vous manipulent, puisqu’ils n’en ont même pas parlé !
Robert (#94), le temps de résidence n’a aucun sens ici. Le seul temps qui compte pour estimer la persistance du CO2 fossile dans l’atmosphère, c’est la durée de vie. Cette persistance est toujours une fonction exponentielle négative, ce qui veut dire que mathématiquement, elle n’atteint jamais zéro. C’est pour ça qu’on utilise TOUJOURS la notion de durée de demi-vie dans la vraie science, et non le galimatia giecien du turnover time, residence time, ajustment time…
Donc ce n’est pas parce que tu régurgites sans comprendre de la soupe réchauffiste que ce n’est pas de la soupe. Les « turnover time » multipes (dixit le GIEC), ça a l’air de la science, la couleur de la science, mais c’est quand même de la soupe.
Quant au respect des autres, laisse moi rire. Tu es dans le camp de ceux qui traitent les sceptiques de « négationnistes du climat », de « vendus aux big business » et de saccageurs de la planète. Alors avant de jouer à la victime éplorée, il faudrait déjà que tu arrêtes de faire des insultes permanentes à l’intelligence.
Robert (#94),
Bon sang !! Pourquoi continuer à raconter n’importe quoi ???
Ce qui veut dire en français ???
Robert, vous vous êtes juste servi, très vite après votre arrivée sur le forum, d’un titre d’autorité « scientifique » sans pouvoir le justifier d’après votre identité (d’agent secret), ni d’après vos connaissances (battues en brèche par plusieurs intervenants ici)… mais vous continuez à vouloir nous faire avaler des bêtises de votre invention issues de votre croyance pathologique GIECienne…
Les faits n’existent que dans votre esprit, sinon il suffirait de nous les exposer, non par vos mots propres mais par des preuves !
Concernant les médias au sujet de la « fonte » de février dernier… jamais entendu parlé du mensonge par omission ???
Robert (#94),
Non, ce n’est pas ce que je dis… ni en gros, ni en détail…
Ce que je dis c’est que la quantité de CO2 atmosphérique ne dépend que du bilan des échanges océans/atmosphère et biosphère/atmosphère (les émissions anthropiques faisant partie de ces derniers échanges), POINT!
Le reste c’est du blabla et du maquillage de pseudo-science.
Certainement pas.
Ok… au temps pour moi et cela m’apprendra… je n’aurai pas du argumenter sur le « temps de residence », qui est de toute façon détournée de sa vraie signification et utilisée uniquement pour faire peur au citoyen….
Le « temps de résidence » (temps de séjour en français), est le temps moyen nécessaire à un élément pour passer au travers d’un système à l’équilibre. Utiliser cette notion pour le CO2 présuppose que le système est à l’équilibre (que les échanges susnommés sont stables), et que le CO2 d’origine anthropique vient bouleverser cet équilibre.
Hors…. le système n’EST PAS à l’équilibre. Les échanges biosphère/atmosphère et océans/atmosphère en CO2 sont hautement variables et dépendent d’un grand nombre de paramètres… et les émissions de CO2 anthropiques ne sont qu’une petite partie de ces échanges (environ 5 à 10%)
Définir un « temps de résidence » pour le CO2 anthropique est donc une notion complètement stupide.
Cela peut avoir un sens pour le C14 (et encore…. ) en négligeant les faibles variations naturelle et en regardant la baisse de contenu depuis le pic de la production anthropique (soit 1976… et même là on oublie les essais nucléaires atmosphériques chinois qui se sont poursuivis jusqu’en 1980)… et on s’aperçoit qu’en 30 ans, la quasi-totalité de l’excès a été résorbé.
… et on ne peut en tirer aucune conclusion sur le CO2 d’origine anthropique.
Par contre, en volume d’idioties sorties, tu de défend bien….
bah non…. il n’y a pas de « faits », et le temps de 100 ans est sorti du chapeau et ne correspond à rien de sérieux.
…. répéter une bêtise ne la rend pas « factuelle ».
Et comment expliquez vous laurent que 50 ans après le pic de C14, il nous en reste toujours 10à 15% ?
Questions subsidiaire : combien de temps faudrait-il selon vous pour que les ppms accumulés redescendent aux niveaux de 1900 si toutes les émissions anthropiques s’arrêtaient ?
Robert (#98),
1976-1996, ça fait 30 ans, pas 50…. même pour compter tu a des problèmes?
Je ne sais pas pourquoi il en reste environ 10% au bout de 30 ans… variations naturelles, autres sources, amortissement naturel… je ne connais pas de publication qui explique dans le détail toute la mécanique de variation du C14 atmosphérique…
Je n’en sais rien, et personne n’en sais rien…. parce que comme je l’ai déjà expliqué, cela dépend principalement des BILANS des échanges, qui est loin d’être bien connu.
Et même s’il était connu précisément, Il faudrait que la distribution des température de surface océanique le permette… Cette distribution variant avec le temps (c’est même le moteur principal du climat, au cas ou tu ne serais pas au courant….), ne pouvant pas prévoir le climat, on ne peut pas prévoir ce genre de chose…
Bref, c’est une question à laquelle personne ne peut donner de réponse appuyée scientifiquement.
errata:
remplacer « ne pouvant pas prévoir le climat » par « ne pouvant pas prévoir les variations de circulation océanique ».