Vague de froid : du jamais vu en France


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La France en aout 2007, source wikipedia.

Bon, à vrai dire, du jamais vu sur les thermomètres de Météo France, et en moyenne. Ce n’est pas comme si il y avait quelque chose de spécial à voir ou ressentir dans un pays globalement tempéré comme la France. Reste que mon titre n’est pas faux.

Matinée de mai la plus froide depuis 40 ans

07/05/2019Retour sur la matinée de ce lundi 6 mai 2019, particulièrement fraiche à l’échelle nationale après le retour du froid le week-end dernier.

C’est MF qui le dit, enfin presque :

Ce 6 mai 2019 rentre même dans le top 12 des matinées de mai les plus froides des 73 dernières années (depuis 1947), dont voici le classement :

Indicateur national de température minimale

Date

1,2 °C

1er mai 1960

1,2 °C

7 mai 1957

1,8 °C

5 mai 1979

1,9 °C

3 mai 1979

2,1 °C

1er mai 1976

2,1 °C

1er mai 1962

2,2 °C

7 mai 1979

2,4 °C

4 mai 1979

2,4 °C

2 mai 1960

2,5 °C

3 mai 1960

2,5 °C

6 mai 2019

2,5 °C

3 mai 1967

Je ne vois pas d’autre 6 mai dans ce tableau, donc il n’y en a jamais eut d’aussi froid depuis que MF pond son « indicateur ».

C’est pas de chance pour John Christy qui était de passage à Paris lundi. Un record de froid en mai en Alabama ou en Californie, c’est surement plus agréable qu’ici. On a fait salle comble et c’était bien. Il y aura des vidéos.

Profitez bien de la grêle et du réchauffement climatique.

Cheers smile


98 réponses à “Vague de froid : du jamais vu en France”

  1. Euh profusion d’insectes ça dépend lesquels. Il y en a beaucoup moins en Europe depuis quelques années comme l’ont montré plusieurs enquêtes. Par contre certaines espèces prolifèrent comme les tiques (transmettant la boreliose), les moustiques , des invasifs comme la pyrale du buis qui a dévaste les massifs de jardin ou les bois de montagne.

  2. Euh profusion d’insectes ça dépend lesquels. Il y en a beaucoup moins en Europe depuis quelques années comme l’ont montré plusieurs enquêtes. Par contre certaines espèces prolifèrent comme les tiques (transmettant la boreliose), les mouches,les moustiques , des invasifs comme la pyrale du buis qui a dévaste les massifs de jardin ou les bois de montagne. La pyrale étant un papillon ce sont les chenilles qui bouffent les buis. Puis d’autres comme les frelons asiatiques qui eux détruisent les abeilles qui n’avaient pas besoin de ça.

  3. Zimba (#52),
    peut être qu’il y a en a moins mais globalement, l’environnement propice au développement des insectes s’est modifié: rien que dans les élevages, la gestion des effluents est plus confinée et maitrisée, ce qui laisse moins de substrat pour les insectes. Idem pour les déchets ménagers. En deux mots, notre environnement est plus propre qu’il y a 30 ans.
    Une idée pour faire « revenir » les insectes, serait de remettre les tas de fumier, déchetteries au grand air et partout.
    laugh

  4. Zimba (#49),

    Je maintiens que l’emploi de normale au lieu de moyenne est pervers.
    Par ailleurs, s’il y a eu une augmentation de 2 degrés en moyenne depuis les années 70, ce qui reste à vérifier, c’est sans doute que la période précédente a vu une baisse de 1 degré.

  5. douar (#53),

    déchetteries au grand air et partout.

    Dans ma bonne ville de Saintonge romane, là où ont été installés des conteneurs enterrés, c’est devenu effectivement le cas…
    M’enfin… c’est vrai, quoi : Pourquoi utiliserait-on son badge (donc être taxé) pour ouvrir le tiroir donnant accès au conteneur où tombera son sac « noir » ? Alors qu’il est si simple – et ça ne coûte rien ! – de le déposer par terre, à même le trottoir, à côté de l’installation !
    Encore une saine invention… no

  6. douar (#53),

    Une idée pour faire « revenir » les insectes, serait de remettre les tas de fumier …

    Effectivement, et pas seulement: regardez:, par exemple:
    – on peut maintenant se promener sur les trottoirs de nos villes sans risquer de poser le pied dans la m… d’un chien (les pauvres ne sont même plus libres de faire là où ça leur chante !)
    – les poulaillers ont disparu de nos campagnes et de nos banlieues et les petits tas de fumier qui allaient avec aussi
    – au fond des jardins, les petits cabanons n’existent plus
    – les vaches / moutons / porcs qu’on trouvait dans la moindre petite ferme ont presque tous disparus (et les petites fermes aussi !), et les crottes / bouses dans les prés aussi

    Depuis un peu plus d’un an, le fermier à côté de chez moi a cessé son élevage de vaches laitières, et … miracle ! Je n’ai plus de mouches !

    NB: En tant qu’ancien professionnel des ordures, je suis toujours un peu choqué quand on confond « déchetterie » et « décharge » !

  7. papijo (#56),

    En tant qu’ancien professionnel des ordures, je suis toujours un peu choqué quand on confond « déchetterie » et « décharge »

    Le terme « déchetterie » est assez récent il me semble. Dans ma jeunesse, j’ai souvenir que nous allions à la « décharge » où les chiffonniers, ferrailleurs et autres venaient faire leurs courses.

  8. scaletrans (#54),
    Oui car tout écart à la « normale » est anxiogène pour qui ignore l’histoire des caprices du temps et du climat.
    En réalité les indicateurs meteo présentent des écarts significatifs les 2/3 du temps environ.

  9. douar (#57),
    Les déchetteries sont apparues en France d’après mes souvenirs vers la fin des années 90. Les déchets ne font qu’y transiter vers d’autres destinations (décharge, compostage, centre de tri, incinération, etc …).

    Les « décharges » (les « écolos » vous expliqueront que ça n’existe plus, et qu’il n’y a que des « Centres de stockage de Déchets Ultimes – CSDU » ou encore « Installation de Stockage de Déchets Non Dangereux – ISDND » !) au contraire accueillent les déchets pour des durées … infiniment plus longues que les stockages de déchets radioactifs (qui ont l’heureuse propriété de se désintégrer tout seuls contrairement à vos vieux pots de peinture, piles au mercure, etc.). Les « déchets ultimes », c’est votre poubelle grise. Ils sont ultimes parce qu’il y a un centre de tri dans le secteur pour la « poubelle jaune » … (c’est de la terminologie écolo, comme les « maisons à énergie positive » par exemple ou « l’électricité verte » …)

  10. douar (#57),
    Ah nostalgie des chiffonniers qui passaient dans la rue, poussant leur charrette à bras et gueulant
    « Gueilles ferrailles »
    NB à Bordeaux gueilles = chiffons, et longtemps j’avais cru comprendre « vieilles » ferrailles

  11. Anecdote (#58),

    la météo en France évolue en permanence entre des courants océaniques (pluie et fraîcheur en été, intempéries et douceur en hiver) et d’est (beau temps et chaleurs estivales et froid hivernal avec soleil ou brouillards). Ces conditions prédominent plusieurs jours à chaque fois et ce n’est que lors de transitions qu’on mesure des températures soi-disant normales et qui ne sont que des moyennes.

    Ceci est bien sûr schématique et simplificateur …

  12. Decidemment les alarmistes ont rien à se foutre sous la dent en ce moment, entre un mois de mai éternellement frais, un banquise arctique qui suit la tendance de l’année précédente (toujours pas de fonte cataclysmique comme on nous la promettait à la fin des années 2000 pour 2020 avec un pole nord libre de glace

    Y’a juste l’Antarctique en ce moment ou ils peuvent constater une banquise en retrait, ces salopards cachant évidemment les records d’englacement absolus en 2014 avec plus de 1,5 millions de km2 d ‘excédent. En 2014 deja ils nous parlait depuis 30 ans de la fonte des glaces, jamais lu un traitre mot sur ces records qui se sont succédé entre 2007 et 2014 sur cette banquise antarctique et la hausse de la surface englacée depuis 1979…

  13. un autre document utile qui provient de l’ifremer,organisme largement plus credible que le giec.
    on peut voir qui le niveau des oceans n’est stable que depuis 6000 ans.
    pendant les 140 siecles precedents il augmentait de 1 à 1.5 metres par an et sans CO2
    Pour un total de 120 metres

    https://www65.zippyshare.com/v/f9gZXt9Q/file.html

  14. Icelake21 (#68), Attention ! Dire que la banquise est stable actuellement relève du blasphème écologique. La Commission de Discipline Climatique présidée par Jouzel va vous infliger un carton vert (équivalent du carton jaune au foot) et une bonne amende à verser à la banque du climat. Vous êtes peut-être dysorthoclimatique, comme moi.

  15. Bonjour,

    un membre de ma famille est climato réaliste et m’a demandé de m’y intéresser.
    J’y suis pas vraiment opposé et je commence à faire mes recherches mais c’est vrai qu’au milieu d’une canicule à 42°C c’est pas évident. Pouvez vous publier quelque chose concernant la chaleur? Que vous restiez silencieux quand il y a une canicule alors que vous faites un peu les malins quand il y a une vague de froid nuit à votre crédibilité un peu.

  16. malo (#73), Ben non, une canicule, pardon, une caniculette comme ce qui vient de passer, c’est de la météo (on est en été, hein!!!). On n’a pas à se justifier. Donc si on fait « les malins » comme vous écrivez, c’est pour montrer le ridicule de tels affolements, préludes aux taxes et interdictions de toute sortes. Par contre, dites moi pourquoi les médias ne disent rien quand il y a des vagues de froid hors norme? C’est auprès d’eux qu’il faudrait interroger le 2 poids 2 mesures.
    Puisque vous vous intéressez un peu, je vais faire comme les réchauffistes, niveau méthode :
    http://www.woodfortrees.org/pl…..fset:-0.10
    Question : en voyant , ces courbes sur presque 3 ans (une éternité pour les réchauffistes médiatiques), avez vous l’impression d’une accélération du réchauffement? Ou autre chose………..?

  17. [… ]
    [Nul besoin d’être insultant envers un nouveau venu dont le message est courtois et le contenu tout à fait justifié. Nicias]

  18. malo (#73),
    Bienvenue !
    Un article sur les températures pour commencer ! 😉
    http://www.science-climat-ener…..arle-t-on/

    Vu que le présent épisode caniculaire n’a pu être comparé qu’à l’épisode de 1947 (avant les données n’étaient pas très fiables selon MF), à une période où les villes étaient moins sujettes à l’effet d’îlot urbain et où la température moyenne de la terre était paraît -il plus basse, que peut-on retirer du présent épisode ?
    Rien en terme de fréquence, périodicité, au mieux quelques records sur 70 ans . Au mieux, au regard de ces deux cas extrêmes, un épisode caniculaire n’est pas lié à un état de la température moyenne.
    Bon, ce n’est pas très agréable à vivre dans une ville où l’effet d’ilo urbain fonctionne à fond (Paris) mais en quoi est-ce significatif ?

  19. malo (#73),

    Que vous restiez silencieux quand il y a une canicule alors que vous faites un peu les malins quand il y a une vague de froid nuit à votre crédibilité un peu.

    Vous devriez envoyer ceci à San Antonio et vous verriez qu’on ne reste pas silencieux

  20. Araucan (#76), La conclusion de l’article est intéressante. On voit combien il est difficile de donner une température précise de la planète à cause des nombreux biais. Aussi compliqué que donner le nombre de fourmis dans une fourmilière. On nous a abreuvés de records alors que comparer les records actuels avec ceux de 70 ou 100 ans en arrière n’a plus aucun sens pour des villes dont l’agglomération a doublé ou triplé, et dont la circulation a décuplé, et qui sont devenues des îlots de chaleur urbains (ICU). Mais vous ne risquez pas d’entendre parler de ce fait avéré alors que la rigueur et l’honnêteté devraient relativiser tous ces records. On sait par exemple que Paris connaît un réchauffement urbain continu qui était déjà de 0,6° en 1980 par rapport à celui de l’hémisphère nord. Jeudi on a eu 42,6° à Paris-Montsouris alors qu’on a eu 40,6° à Trappes, tout à l’ouest. Autres exemples : 40,4° à Lyon Bron et 39,4° à Lyon ST-Exupéry le 24/07; 42,1° à Brive La Roche, 40,6° à Brive-Souillac le 23/07. Et c’est ainsi pour toutes les grandes villes. Autant de points de mesures, autant de T° différentes. Comment peut-on s’y retrouver? Il suffit d’observer les T° de la région parisienne pour voir leur hétérogénéité. On pourrait faire une moyenne de toutes les stations de cette région pour obtenir une moyenne globale, mais il suffirait de rajouter d’autres points de mesure ou d’en retirer pour la modifier, alors pensez donc à l’échelle de la planète ! Certes il a fait très chaud par endroits mais est-ce qu’il y a fait plus chaud qu’en 1947 (40,4° à Paris)? Qu’en 1701 (40° à Paris) ? Et j’en passe. Il n’y a que les sorciers du climat qui peuvent le dire en lisant la température dans les viscères de poule.

  21. Araucan (#80),

    Il faut remarquer qu’entre 1950 et 1985, il y a eu une stabilité de la température. Pourquoi? Je doute que l’effet d’îlot urbain se soit stabilisé.

    Elle n’a explosée qu’après 1985. Que s’est-il passé depuis 1985? Sachant que cette explosion n’est pas propre à Paris, mais se retrouve partout pratiquement dans le monde entier.

    Ce sont des questions que je me pose depuis longtemps, sans avoir jamais eu de réponses.

  22. chercheur (#81),
    Stabilité moyenne certes mais avec des variations…
    Pour essayer d’interpréter cette partie de la courbe, il faudrait d’autres données, pour autant que cette stabilité moyenne ait pour le cas présent une signification…
    D’où avez-vous constaté cette stabilité de l’EIU dans d’autres villes ?

  23. De 1960 à 1980 les températures ont baissé de 0,4° au Mont Aigoual. Légère baisse à Strasbourg, Brest, Lille, Montpellier, Rennes. Les stations étant en périphérie des villes, elles étaient moins impactées par l’ICU à l’époque, car les agglomérations étaient beaucoup moins étendues. A Paris cette baisse naturelle a peut-être été compensée par l’ICU.

  24. micfa (#83),
    La station Montsouris située dans le parc du même nom, n’a guère dû bouger … et était déjà en ville en 1950 …

  25. Araucan (#82),

    Vous m’avez mal compris. Je ne conteste pas l’EIU, bien au contraire, il a un effet majeur.

    On peut en déduire que la température a significativement baissé à Paris hors EIU entre 1950 et 1985 car on peut imaginer que l’EIU a augmenté régulièrement durant cette période de 35 ans. Et tout d’un coup, à partir de 1985, il y a une forte augmentation qui dépasse certainement l’augmentation de l’EIU, 1,5°C en 27 ans…

    Pour le reste, sur les courbes officielles ci-après:

    http://www.meteofrance.fr/clim…..-en-france

    Si on se place en 1985 et que l’on regarde les températures passées avec une augmentation régulière du CO2 dans l’atmosphère, je serais curieux de savoir qui pouvait imaginer l’évolution des températures futures sans prévoir de la manipuler.

  26. chercheur (#85),
    Pour la France, l’effet des politiques des réductions de certaines émissions de polluants dans l’air et notamment des poussières ?
    Je me souviens avoir vu un article néerlandais qui associait l’augmentation de 1 degré C à une moindre réflexion de l’atmosphère au dessus de l’UE et aux politiques menées suite au dépérissement des forêts dans les années 80, lié en partie à la pollution ( mais surtout aux sécheresses).

  27. chercheur (#81),

    N’est-ce pas en 1985 qu’on passe des thermomètres classiques aux thermomètres digitaux ? Il me semble qu’un auteur allemand avait noté un écart important en faveur des derniers (0.9° ?).

  28. scaletrans (#87),
    Et ici, chez nous à Igueldo (San Sebastián) (Igeldo, Donostia) :
    « Avec les mesures automatiques, les températures augmentent »
    D’ailleurs :
    « À Igeldo, la température a augmenté de 0,2 degrés depuis 1928 »
    (Margarita Martín, responsable du centre météorologique (AEMET))
    (El Diario Vasco, 26 juin 2005)
    JAIA

  29. Araucan (#84),

    La station Montsouris située dans le parc du même nom, n’a guère dû bouger … et était déjà en ville en 1950 …

    D’accord, mais la ville a beaucoup changé !
    A défaut de 1950, le parc Montsouris et sa station météo vers 1900 (lien)

  30. Vous serez certainement ravis d’apprendre que la dernière « canicule » a déjà un bel article dans Wikipedia et qu’on a déjà fait le décompte des morts (6 dont un belge !)
    Lien: Wikipedia

  31. papijo (#89),
    Non la ville n’a pas tellement changé. Le gros changement par rapport à 1950, c’est le boulevard périphérique construit dans les années 60/70 et son flot de voitures. Il n’est pas très loin du parc mais je constate que le jour du record à 42°C, la t° y était descendue à 25°C le matin contre 28°C pour la station du site Meteo-Paris située à St-Germain-des-Prés plus en centre-ville, le seul fait d’être située dans un parc suffit apparemment à compenser en partie l’effet ICU. Je pense que l’effet ICU n’a pas beaucoup changé à Paris intra-muros depuis 1950, mais il s’est par contre probablement étendu en grande banlieue.

  32. papijo (#90), 200 contributions en 6 jours ! J’ai appris dans cet article que Brive est en Bretagne intérieure. Quant aux morts français ils sont seulement « potentiellement » liés à la canicule. Après les morts prématurés, les morts potentiels.

  33. Hug (#92),
    Je ne suis pas d’accord avec vous. Ce qui importe, ce n’est pas seulement l’environnement immédiat du thermomètre, c’est aussi l’environnement plus lointain. Le parc Montsouris est bien trop petit pour que les constructions et routes de Paris et la banlieue (qui s’est énormément étendue) n’aient aucune influence ! En hiver, il est facile de voir que la neige tient bien en banlieue et est absente ou fond très rapidement à Paris et proche banlieue. En été, il faut surveiller le thermomètre de sa voiture pour s’en rendre compte … à condition de ne pas être pris dans les embouteillages, ce qui fausse la mesure !

  34. papijo (#94), Hug (#92),
    L’étendue de la zone urbanisée est en effet primordiale. Pendant longtemps, j’ai parcouru les environs de l’aéroport Charles-De-Gaulle en voiture et j’ai observé la décroissance de la température au fur et à mesure de l’éloignement de la zone d’activité et au fur et à mesure de l’étendue de l’urbanisation. Il est certain que la déperdition des calories est moins rapide si la zone urbanisée s’étend. Ainsi pour un relevé fait régulièrement à une heure précise, on n’aura pas la même indication de température pour une zone urbaine étendue sur une petite surface par rapport à une grande surface.

  35. Hug (#92),
    Pas d’accord: l’effet ICU c’est comme l’effet de serre et les radiateurs à accumulation de chaleur ; en 1950 les Parisiens fait encore du feu dans leurs demeures , preuve qu’ils se caillaient ; maintenant c’est climatisé laugh

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