Une autre menace plane, dont on a peu entendu parlé. L’un des meilleurs moyens d’éviter le cancer est de consommer fruits et légumes en quantité. Or, les produits bio sont 10 % à 20 % plus chers que les autres produits ; on a donc tendance à acheter moins lorsqu’on passe au bio.
Si vous réduisez la consommation de fruits et légumes de votre enfant de seulement 0,03 grammes par jour (soit l’équivalent d’un demi grain de riz) en optant pour des produits bio plus coûteux, le risque global de cancer augmente. Achetez ne serait-ce qu’une pomme de moins tous les vingt ans parce que vous êtes passé au bio et la santé de votre enfant en pâtira.
Je n’ai pas l’intention de dissuader d’acheter bio. J’estime simplement qu’il est nécessaire de connaître les différentes versions d’une histoire.
Prenons un exemple qui a fait la couverture des plus grands magazines et journaux du monde : la situation désespérée de l’ours polaire. On nous dit que le réchauffement planétaire rayera cette animal majestueux de la surface de la terre. Or, on passe sous silence le fait que ces quarante dernières années – alors que les températures ont augmenté –, la population mondiale d’ours polaires est passée de 5.000 à 25.000 individus.
Pour sauver ces créatures, les militants et les médias exhortent à la réduction des émissions de dioxyde de carbone. Alors, faisons le calcul. Imaginons que tous les pays du monde – y compris les Etats-Unis et l’Australie – signent le Protocole de Kyoto et réduisent leurs émissions de CO2. Prenons par exemple la population de 1.000 ours la plus étudiée, qui vit dans la partie occidentale de la baie d’Hudson. Combien d’ours sauverions-nous par an ? Dix ? Vingt ? Cent ?
A l’heure actuelle, nous sauverions moins d’un dixième d’un individu.
Si nous tenons réellement à sauver des ours polaires, il y a plus simple et plus efficace : interdire de les chasser. Chaque année, 49 ours sont tués rien que dans l’ouest de la Baie d’Hudson. Alors, n’est-il pas plus judicieux d’empêcher la mort de 49 ours par an de cette façon que de dépenser des milliards de dollars pour un effet dix fois moindre ?
Entre la promotion de l’alimentation bio et les déclarations sur la disparition imminente des ours polaires, les médias nous bombardent d’avertissements peu objectifs. Le réchauffement mondial figure en tête de liste des préoccupations urgentes, suivi par le terrorisme, les pesticides et la disparition de la biodiversité – et la liste semble ne jamais finir. Pendant ce temps, nous sommes conscients des conditions terribles dans lesquelles vit la majorité de la population mondiale : on compte plus d’un milliard de pauvres, deux milliards de personnes sans électricité et trois milliards sans eau potable ni système sanitaire.
La majeure partie de mon travail consiste à donner du sens à ces avertissements planétaires. Je m’efforce de faire la part des choses et de déterminer quels signes sont inquiétants et à quel moment il convient d’agir.
Cela vous surprendra peut-être, mais je suis d’avis qu’il ne faut pas tout résoudre immédiatement. Si un problème donné ne trouve pas de solution satisfaisante, il vaut mieux dans un premier temps se pencher sur un autre problème. Après tout, quand on ne sait pas de quoi sera fait le jour même, il semble difficile de s’inquiéter des températures des décennies à venir.
La situation s’est grandement améliorée dans le monde en développement aussi bien que dans le monde développé. Ces cent dernières années, les scientifiques ont remporté de nombreuses batailles contre les maladies infectieuses, au point que c’est désormais la pauvreté qui explique l’absence de traitement. L’espérance de vie mondiale était de 30 ans en moyenne en 1900, contre 68 ans aujourd’hui.
De nos jours, les denrées alimentaires sont abondantes et abordables, en particulier dans le monde en développement où la disponibilité en calories a augmenté de 40 % par personne en 40 ans, et où le prix des aliments a été réduit de plus de moitié. Par conséquent, la proportion de personnes affamées dans le tiers-monde est passée de 50 % en 1950 à moins de 17 % aujourd’hui, tandis que les revenus ont plus que triplé partout dans le monde.
Peut-être plus important encore, on s’attend à ce que toutes ces tendances positives perdurent. Les Nations Unies estiment que l’espérance de vie moyenne atteindra 75 ans avant le milieu du siècle et que la proportion de ceux qui souffrent de la faim chutera en dessous de 4 %.
D’ici la fin du siècle, les revenus seront six fois plus importants dans les pays industrialisés et douze fois plus importants dans les pays en développement – en 2100, l’individu lambda du monde en développement sera plus riche que l’Américain ou l’Européen moyen d’aujourd’hui. Le nombre de pauvres chutera d’un milliard à moins de cinq millions.
Cela ne signifie pour autant que nous devons cesser de nous soucier du futur. Arrêtons plutôt de paniquer et mettons-nous à réfléchir calmement pour être sûrs de nous pencher sur les bonnes questions. Si les alertes entraînent chez les riches occidentaux une certaine culpabilité, elles ne nous permettent pas de comprendre correctement la situation. Il est donc nécessaire d’entendre tous les sons de cloche.
147 réponses à “Alertes planétaires”
#99
Je ne vois toujours pas les termes climat global.
C’est toujours la température globale, la moyenne quoi, ce qui reste un indicateur très général.
Climat global ne veut pas dire grand chose (moyenne de mousson + désert = climat tempéré ?).
@ gorsky.
Tu te trompe, ton point de vue est typiquement le point de vue du plat de nouille servi par les média français, à l’image du RC.
Prend un pays voisin de la Chine, la Corée du SUD. Au sortir de la guerre de Corée, c’est une dictature assez féroce qui est au pouvoir. Comme elle est du côté américain elle va entrer dans le marché mondial. Pour y être compétitive, elle va former sa population, créer des écoles, des universités. Moins d’une vingtaine d’années plus tard arrivent les premières grosses secousses sociales (logique, la population estudiantine est éduquée). Aujourd’hui c’est une VRAI démocratie.
Nos pays, l’Europe, ont accompli ce parcours en… plus d’un siècle !
Et tu voudrais que les chinois qui ont entamé ce processus au début des années 1980 le réalisent, eux, en 3 mois ? Mais ils sont 1,3 milliards !
Et quand je te dis qu’en Chine pour la rue, le communisme est mort, il est mort. Va voir.
Curieux, il est probable que je me trompe, je te le concède. D’ailleurs, je ne dis pas autre chose que toi sur la mort du régime tel qu’il existait à la différence près que la subversion de cette idéologie a imprégné les esprits au point où ses méthodes passées sont devenues monnaie courante avec une telle banalité dans les démocraties que je l’exprime comme une réussite, non bien sur sur le plan économique, mais politique. Je n’ai pas à juger si ceci est bon ou mauvais, je me borne simplement à montrer quelques faits.
L’exemple de la Corée du Sud, et donc son parallélisme avec la Chine, est, en partie, erroné, pour plusieurs bonnes raisons.
D’ailleurs, un fait qui va dans le sens opposé à la tendance est le nombre, en constante augmentation, des membres du PCC (Parti Communiste Chinois) qui s’élève à 73 millions dont l’augmentation est surtout remarquable par l’identité de ceux qui en sont à l’origine : les étudiants et les élites…Et la personne la plus puissante d’une province est non pas son gouverneur mais le secrétaire général du parti, qu’il travaille ou non dans le secteur public ou privé…
Il est aussi probable que le PCC se vide peu à peu de tout son sens idéologique, mais, ce serait encore une erreur grossière de le penser en toute certitude.
Mais, arrêtons là ce débat, car, l’objet de ce site, jusqu’à plus ample informé, n’est pas un lieu pour développer des sujets politiques, à moins qu’il ouvre, à l’avenir, une nouvelle rubrique.
Et comme je suis celui qui a initié ce débat sur l’idéologie communiste, avant que la patience de l’administrateur ait atteint ses limites, je préfère y mettre un terme.
#98. DM
Le mythe du réchauffement global réside dans le concept lui même. Même s’il y a une moyenne (fabriquée) qui montre une tendance au réchauffement, celle ci n’est pas générale, d’où une tendance au refroidissement ici, à la constance là et au réchauffement ailleurs… La tendance qui n’est pas la même partout ne peut pas s’exprimer en moyenne pour donner une tendance générale ou globale comme on ose l’exprimer. Il y a des oscillations dans lesquelles on identifie des tendances qui se renversent, sans rapport direct avec les GES qui ne sont pas les seuls intervenants dans les changements, à dire même qu’ils n’existaient pas (ceux anthropogènes) lors des changements préhistoriques et géologiques (quaternaires).
Ok, gorsky
#105
Quand on me donne la température moyenne dans le sud de la France ou dans le nord, je n’ai pas le même résultat et ca ne m’étonne pas.
Si cette moyenne change dans le temps, on peut l’attribuer à tel ou tel facteur mais ca veut dire quelque chose.
Si la température moyenne augmente sur tout le globe c’est que la planête retiens davantage de chaleur et ca a une signification aussi ! Même si ca ne dit rien sur la température au Groenland, à Paris ou à Ouagadougou.
…ou que plus d’énergie arrive sur Terre !
Absolument pas. Si la température moyenne au sol (plus précisément à 1m du sol et sous abri, ce qui est normalement la spécification des mesures de températures du réseau synoptique) augmente…. alors la seule chose que cela montre (en absence de connaissance précises sur les interactions), c’est que la température sous abri à 1m du sol augmente…. (sur la globalité du réseau synoptique)
Cela ne dis rien sur la température aux différentes altitudes, dans les différentes couches atmosphériques, pas plus que sur les température des profondeurs marines.
… La ce sont d’autre types de mesures qu’il faut mettre en œuvre (sondage, imageurs en infrarouge thermique, etc…), et en absence de mesures, des théories sur les interactions et des modèles mettant en œuvre ces théories peuvent TENTER de prédire ces différentes températures.
… or…. il se trouve qu’on a du mal à faire concilier mesures diverses, théories et modèles prédictifs….
De fait, il existe une méthode normalement « simple » pour savoir si la planête « retiens d’avantage de chaleur », qui est la seule qui donne une mesure directe, et qui n’a rien à voir avec les températures de surface, et donc pas sensible aux erreurs de modèles: c’est la mesure de l’albedo terrestre sur l’ensemble du spectre (si l’albedo diminue au cours du temps, alors c’est que la planête « retiens d’avantage de chaleur »).
Il y a déjà eu plusieurs expériences pour faire cette mesure (voir expériences ERBE par exemple)… mais jusqu’à aujourd’hui, aucun système de mesure n’a été suffisement précis pour pouvoir déterminer des tendances d’évolution.
Nous auront sans doute une réponse grossière à cette question dans 10 ou 20 ans… et des réponses plus précises dans les dizaines d’années qui suivront.
Ce qui est bien avec Laurent c’est qu’on apprend toujours un truc nouveau. Merci 😉
Quand nous parlons de température moyenne cela englobe toutes les mesures qu’elles soient en mer, sur terre ou dans l’atmosphère basse.
Va revoir et relire les articles et les graphiques du GIEC DM…. tu verra à quel point tu te trompe…
La calibration des modèles se fait bien sur les données synoptiques (et uniquement sur ces données en ce qui concerne la température)
Pardon DM, je t’avais mal lu…
Les mesures dont tu parle (terre, mer et atmosphère basse) sont des mesures synoptiques. Les mesures en mer sont données par les bouées météo et les mesures atmosphère basse par des radiosondages.
Renseigne-toi sur le nombre et la densité des bouées météo et des radiosondages…. déjà que le réseau synoptique terrestre est largement inhomogène et disparate, les autres mesures sont tout à fait non représentatives…. et le fussent-elles, elles ne représenterait en rien les échanges thermiques avec la basse atmosphère, la haute atmosphère, et l’espace.
… on en revient à ce que j’ai dit, en aucun cas ces mesures ne démontrent que la terre « retiens d’avantage de chaleur »
#113 Le CRU, fournisseur officiel de la température globale utilisée par le GIEC vient juste de publier sa liste des stations utilisées pour sa compilation (liste tenue secrète jusqu’alors, d’ailleurs, les données brutes ne sont toujours pas publié). On apprend qu’AUCUNE station rurale n’est utilisée en France.
Autre exemple d’aberration de la mesure de température, toujours pour la France (on pourrait en discuter pour Ouagadougou mais ce serait trop long): le GISS, autre fournisseur de température officiel du globe, ne possède pas les données pour les mois janvier, février, mars 1991 dans AUCUNE station française. Vous ne me croyez pas ? Allez sur le site du GISS et vérifiez par vous-même (clic sur la carte milieu de page sur la France puis choisir la station et charger la table ascii avec le lien « Download monthly data as text » sous le graphique , par exemple pour Marseille, Dijon, Bordeaux…
La France a eu un gros cataclysme qui a fait disparaître toutes les données météo les 3 premiers mois de 1991. Incroyable n’est ce pas et pourtant vrai! Ca donne une idée sur la façon dont est calculée la « température globale ».
#109
Mais les modèles le font, en désaccord bien sûr ! Tu as des tendances autant que tu as de modèles, ou à vrai dire différentes valeurs de tendances.
Je crois que les réponses précises sont déjà là, dans l’histoire du climat. Les courbes du passé sont largement précises mais celles du futur restent dans le flou, tout comme le 4ème jour et + des prévisions météo.
Si ce n’était pas l’absence d’émissions de GES qui était à l’origine du petit âge glaciaire, pourquoi alors pense t-on que ce sont ces GES qui lui mettent fin ? Avec les quelques fractions de degrés de réchauffement, les tendances sont relativement insignifiantes (elles se renversent souvent) et incomparables aux plusieurs degrés de variations naturelles qui faisaient alterner glaciations et déglaciations, ainsi que montées et baisses du niveau de la mer de l’ordre de plusieurs dizaines de mètres… Pourquoi le « RC » ne peut-il pas être interprété comme une continuité naturelle d’une fin naturelle d’un petit âge glaciaire naturel ? Soit une tendance vers un nouvel optimum climatique tel que celui de l’Holocène d’il y a seulement quelques milliers d’années.
#113
Ces mesures donnent à un moment donné la température.
C’est vrai qu’il faut mettre en parallèle les autres facteurs changeant comme l’activité solaire.
Au départ il était question de température globale ou de climat global, et je n’ai toujours pas lu d’exemple montrant que des scientifiques utilisaient ce terme de climat global, j’attends encore.
Et pour la température globale, c’est un paramètre, s’il change, ca signifie bien quelque chose.
#114
Quels sont les modèles qui prédisent un décroissement de la température ?
Tous, à ma connaissance, prévoient un réchauffement, ils divergent sur le degré de réchauffement uniquement (et ils se montrent plutot fiable quand on leur demande de reconstituer le passé).
#116 Salut DM,
C’est pourtant pas compliqué de trouver !
#117 Le problème, c’est que tu ne t’y connais pas grand chose aux modèles. Facile d’y greffer ses fantasmes.
Les modèles peuvent « prévoir » ce qu’on veut, mais ça on en a déjà discuté.
Hello,
#117
Si on m’avait répondu plus tôt cela aurait évité beaucoup de blabla.
C’est vrai que j’aurais pu faire un essai avec google..
Sur des sites comme celui ci c’est un terme générique, même s’il est impropre :
http://www.techno-science.net/…..;news=4601
#118
Les courbes sur le rapport du GIEC montrent toutes une croissance.
Nous en avons déjà discuté, oui, parce qu’on n’a pas toutes les données on ne devrait pas essayer.
S’ils ont un certain succés à retracer les dernières decennies, ces modèles peuvent avoir un minimum de notre confiance pour le futur, même s’il manque certains paramètres importants. Cela n’empêche pas qu’aucun ne prévoit de baisse des températures.
#116. DM
Nous sommes d’accord, je n’ai pas dit que les modèles prévoient la baisse des températures… Je n’ai même pas dit qu’ils divergent… J’ai simplement dit qu’ils ne s’accordent pas sur les valeurs des tendances. Et quand ils retracent le passé, c’est qu’ils en connaissent la courbe, alors le reste c’est de la cuisine : ils mettent au modèle les ingrédients (inputs) bien dosés pour qu’ils restituent (output) ce qu’ils ont déjà dans les archives paléoclimatiques, autrement ils ne seraient pas précis. Mais pour le futur, les résultats des prédictions sont fonction de ce qu’on prévoit comme paramètres et c’est ainsi qu’on a 2 à 8 °C d’augmentation et maintenant, ils s’efforcent à réviser… même dans le passé (à voir sur ce site « La terre se refroidit… da
… dans le passé ».
#115
Soit tu ne lis pas ce que je dis, soit tu ne le comprend pas.
Température de quoi? En science on définit une variable, autrement, cela n’a aucun sens.
En l’occurence, il s’agit de la température moyenne du réseau synoptique, soit à 98% la température à 1m sous abri (poluée par quelques températures de ballons-sondes et de bouées marines)… et cela ne prouve donc en rien que la « planète » retiens plus de chaleur (comme tu le prétend faussement)
…. défini « température globale » stp… et dis nous comment on la mesure. (PS: c’est une variable, pas un paramètre).
Juste une question de paramétrisation: ils sont directement liés à l’augmentation de CO2 (rajouté au modèle en tant qu’équation d’état, n’intervenant pas dans les équations de flux)….. regarde bien les différentes courbes et leur paramétrages, les différences de tendances sont directement corrélées aux hypothèses sur l’activité humaine et la quantité de CO2 rejetée dans les 100 prochaines années.
Une petite question pour te faire comprendre. Quand tu remplit un verre, est-ce qu’il se vide?
La quantité de liquide dans le verre au bout de 1mn est directement liée au débit du robinet….. ok?
Et bien pour les modèles climatiques c’est exactement la même chose. Le résultat final est directement lié aux équations d’états qui servent à fermer le système (autrement il est insoluble), les équations de flux n’apportant pas grand chose d’autre que de …. (auto-censure…)
Si ce n’était pas le cas, le système serait soit insoluble, soit divergerait rapidement (comme les modèles météo).
#120
Les modèles climatiques ne sont pas ajustés sur les données de paléoclimatologie.
Ils sont ajustés sur les données synoptiques du début du siècle (séries 1900-1980), et testés sur les 30 dernières années (avec des résultats tout à fait déplorables…).
#123
Peux tu donner des preuves de cette assertion ?
Sinon je peux la mettre en parallèle avec des assertions opposées et ca ne mène à rien.
#122
Si on prend la température de la surface des océans, de l’air près du sol, de l’air en basse atmosphère, partout dans le monde et qu’on garde ces mêmes références pour les comparer plus tard on a bien quelque chose de valable pour voir si ca croit ou si ca décroit.
Après si tu contestes les mesures c’est un autre débat déjà abordé et c’est HS.
Que la température augmente à rayonnement égal (le seul apport extérieur d’énergie) ou que ca augmente plus rapidement que ca ne le ferait avec l’augmentation du rayonnement solaire seul, ca montre bien qu’on cumule plus de chaleur.
Le problème dans tout ca ce sont les simplifications à outrance.
Le mieux serait de demander l’avis d’un modélisateur et de confronter vos points de vue au sien. Il aurait du répondant et pourrait être précis.
Sinon il y a ceci :
http://scholarsandrogues.wordp…..debunking/
@ 106 ; il semblerait que d’autres, bien plus qualifiés que ma personne, expriment sensiblement les mêmes analyses, malgré tout : « L’environnementalisme est une idéologie totalitaire, donc imperméable à toute forme de réfutation. Il échappe à ce que Karl Popper appelle la « falsifiabilité ». Cela rend quasiment inutile toute tentative de faire des contre-démonstrations ou de parler en s’appuyant sur des faits. Je sais aussi que, comme diverses idéologies totalitaires antécédentes, l’environnementalisme a su recruter des scientifiques qui, vendant leur âme au diable, n’hésitent pas à recourir à diverses falsifications et autres travestissements pour servir ce qu’ils estiment être la Cause : ils ne sont pas les premiers à se comporter ainsi, le marxisme-léninisme a eu ses Lyssenko et ses Mitchourine, le nazisme ses médecins psychopathes et meurtriers façon Docteur Mengele. »
J’ai néanmoins espéré que la vague montante finirait par se briser avant d’avoir fait trop de dégâts. J’ai pensé qu’en adressant des mises en garde aux gens encore non contaminés par l’idéologie, et qu’en rappelant le caractère profondément destructeur d’idéologies totalitaires passées, il serait possible de dresser des garde-fous. J’ai pris comme des signes encourageants le succès planétaire du livre de Bjorn Lomborg, « L’environnementaliste sceptique », et l’existence en France de quelques ouvrages émanant d’esprits libres tels que Claude Allègre, Cécile Philippe ou, plus récemment, Christian Gérondeau.
Mais la vague continue à monter. On ne peut, en France, ouvrir la radio ou la télévision sans entendre parler de « réchauffement global dû aux activités humaines », des méfaits du dioxyde de carbone, des bienfaits du vélo et des éoliennes. Un « Grenelle de l’environnement » a été organisé à Paris dont les résultats seront bientôt connus, et dont on peut d’ores et déjà attendre le pire. Des réunions planétaires sont organisées sous l’égide de l’ONU. Et maintenant, comme si tout cela n’était pas amplement suffisant, Al Gore se voit décerner le prix Nobel de la paix.
(…). Néanmoins, c’est la première fois que le comité Nobel récompense quelqu’un qui prend la pose d’un faux prophète à l’échelle planétaire.
C’est la première fois qu’il salue l’entreprise d’une personne dont toutes les actions vont à l’encontre de la recherche scientifique dans des domaines cruciaux tels que la médecine, la chimie ou la physique, qui font eux-mêmes l’objet de prix Nobel. C’est aussi la première fois que le tenant d’un discours aussi radicalement et explicitement anti-humaniste se trouve ainsi mis en avant.
À l’échelle française, cela encouragera ceux qui voudraient que nous nous mettions tous à la pédale, que nous nous éclairions à la bougie, que nous mangions « bio », que nous arrêtions de voyager, que nous renoncions au nucléaire et, pourquoi pas, à l’électricité.
À l’échelle planétaire, on prétendra davantage encore « combattre » l’effet de serre en dépensant des milliards de dollars qui auraient été bien plus utiles pour donner à manger à ceux qui ont faim ou soigner ceux qui sont malades, et on condamnera davantage encore des millions de gens qui n’ont pas eu accès au progrès scientifique à une mort certaine.
Derrière les grandes cérémonies des gourous de l’idéologie environnementaliste, il y a une face cachée, et celle-ci est un grand crime contre l’humanité en train de se commettre.
(…). Qu’un ancien vice-président du pays le plus riche et le plus innovant du monde veuille entraîner son pays sur la voie d’un suicide identique est absolument lamentable.
Qu’au nom de lubies suicidaires de gens riches, on condamne tant de pauvres au désespoir et au néant est scandaleux et répugnant. Ce dont les plus pauvres sur la planète ont besoin, c’est de développement économique, d’innovations technologiques, de sources d’énergie performantes, de réfrigération, d’eau potable, pas d’idéologues.
Guy Millière pour les 4 Vérités hebdo le 17 octobre 2007
DM tu l’écris toi même, si…
Laurent t’explique que ça n’est pas fait, sais-tu lire ?
Bien entendu….. suffit de voir les prévisions de Reading (sur le climat à 6 mois, la position du FIT et les amplitudes de mousson, diffusées tous les 6 mois par l’OMM), faites avec ces modèles. Le taux d’échec est de 80%
Décidement, tu ne sais pas lire….même des choses simples… je commence à me dire que tu ne VEUX PAS lire… ou que tout cela te dépasse complètement.
Je t’ai dis avec quoi étaient faites les quelques mesures de température de surfaces des océans (les mesures SST faites avec les imageurs AVHRR de la NOAA ne SONT PAS utilisées par le GIEC… pour tout un tas de raisons que je ne vais pas développer ici), elles sont faites avec les bouées météo… tu peux compter combien il y en a et décider toi même de la représentativité de ces mesures…. de même pour les radiosondages.
Question simple… quand tu moyenne 3 mesures avec 10.000, le résultat sera représentatif des 3 ou des 10000?… quand tu aura répondu à cette question, tu aura peut-être avancé un peu dans la compréhension des mesures…. et tu comprendra que ce qui est mesuré est réprésentatif DE LA TEMPERATURE A 1M SOUS ABRI SUR LE RESEAU SYNOPTIQUE.
Je ne conteste rien du tout… j’explique… et tu ne comprend malheureusement pas.
Et pour la nième fois, que la température augmente à 1m du sol sur les terres émergées NE PROUVE EN RIEN que la terre cumule plus de chaleur. ET CE SERAIT PAREIL si les mesures étaient représentative de l’interface terre/mer/océan et de la basse atmosphère…. vu que le SEUL MOYEN de prouver que la terre cumule plus de chaleur, c’est de MESURER la chaleur qui rayonne vers l’espace, et donc l’ALBEDO terrestre global.
Répond à la question suivante: Si l’interface terre-mer-océan se réchauffe (rajoute la basse atmosphère pour faire bon poid), et si le reste de l’atmosphère se refroidit globalement, comment le déterminer si la « terre retiens plus de chaleur » ou non?…. je pense que même un enfant de 5 ans doit pouvoir répondre à cette question.
Oui mais bon, il faut différencier la perception de la réalité aussi. Le Grenelle, malgré toute la médiatisation qui en est faite, n’a mobilisé lors de la « consultation nationale » que quelques milliers de péquins. Les français n’en ont en fait rien à taper du délire des écolos (et du nôtre lol) et ils ont bien raison.
Par contre les faux prétextes que le gouvernement ne manquera pas d’en tirer pour nous assommer avec encore plus de réglementations et de taxes, ça c’est encore une autre histoire.
#123. Laurent
Oui c’est un peu exagéré, mais les anciennes données font déjà partie des archives anciennes, car la convention veut que les 30 dernières années soient représentatives du climat actuel, par opposition aux « paléoclimats » plus ou moins anciens. Effectivement, une courbe de tendance ne se base que sur les données chiffrées prises en compte (la période). Si un modèle avance ou recule un peu en arrière, la tendance ne peut que suivre jusqu’à s’inverser même.. Toute la question est là : si les modèles prennent en compte le passé d’avant le thermomètre, quelle serait la tendance (moyenne ?)…
#129
Par contre les faux prétextes que le gouvernement ne manquera pas d’en tirer pour nous assommer avec encore plus de réglementations et de taxes, ça c’est encore une autre histoire.
C’est ben vrai çà! d’ailleurs taxation et règlementation vont toujours ensemble car il faut bien payer le gendarme qui fait appliquer la règlementation
Pour Laurent #128
et pour le casoù il ne le connaîtrait pas, voici la référence du
projet Earthshine de mesure de l’albédo terrestre.
La mesure d’albédo est globale. La réflectance de la Terre est mesurée par l’illumination de la face sombre de la Lune, ce que nous appelons la lumière cendrée (ashen light).
Les variations sont importantes comme on peut le voir ci-dessous, 6% d’augmentation dans les 7 dernières années. Après calibration, cela correspond à une variation de 5 W/m².
Image reprise du blog d’Anthony Watts plus disponible que le site d’origine, merci à lui.
La cause majeure ne semble être que la couverture nuageuse.
#127
On s’en fou ce n’est pas la question.
La question est : un réchauffement est il égal à cumul d’énergie ou non.
Tu es HS.
#128
Pareil on s’en fou de la représentativité des mesures, ce n’est PAS LE SUJET de la question.
C’est l’art de la dérive..
C’est toi qui a amené cette température à 1 m du sol, ce n’est pas la question, ne dérive pas s’il te plait pour avoir raison.
L’objet n’est pas la validité des mesures.
Ah, quand même, tu comprends la question, ou plutot tu l’aborde enfin..
D’abord commence par répondre avec respect. Tes remarques à la guimauve tu te les gardes. J’aimerais bien voir ta réaction devant un vrai spécialiste qui te ridiculiserais.
Tout se passerai largement mieux si au lieu de ridiculiser sans expliquer il y aurait une réelle discussion ou on tient compte de la question de départ et avec un peu de tact.
Tu es en train de faire du « curieux », dans tout son mépris.
Et pour en revenir à la question, évidemment si l’atmosphère se refroidit d’autant, alors dans sa globalité, rien ne change. Mais c’est un principe de thermodynamique de base.
Mais par contre on peut dire qu’il se passe quelque chose à l’intérieur d’anormal !
Ma réponse précédente dépend bien sur de la compréhension de cette question formulée bizarrement.
Pour l’albédo, d’abord une définition prise au hazard :
Albédo
Fraction du rayonnement solaire reflété par une surface, exprimée en pourcentage. Les surfaces enneigées ont un albédo élevé; les surfaces couvertes de végétation ont un faible albédo. L’albédo de la Terre varie surtout en fonction de la couverture nuageuse, de l’enneigement et de l’englacement, de la surface boisée terrestre.
Ce qui rejoint au passage #132.
Cela ne me semble pas du tout évident que l’albédo refléterait la quantité de chaleur cumulée.
#134
Albedo : Quotient du flux renvoyé par la planète dans toutes les directions au flux de lumière solaire qu’elle intercepte. (E. Schatzman, Astrophysique, 1963, p. 142).
On ne parle pas de refléter mais de réfléchir.
Il n’a jamais été question de quantité cumulée.
Quant aux évidences, on s’en passe aisément.
Explications donc ?
En quoi une couverture nuageuse est-elle représentative de la chaleur cumulée ?
Non ce n’est pas moi, c’est la nature même du réseau synoptique…. ce que tu ne veux pas comprendre… mais j’abandonne….
DM… c’est clair… tu ne comprend rien et ne veux rien comprendre.
Le fait que tu ne vois même pas le rapport entre albedo globale (rapport d’énergie entre énergie reçue et énergie réfléchie) et énergie non réfléchie (donc accumulée) est symptomatique… ton cas est désespéré
Ne te plaint pas si on te parle comme à un gamin buté… vu que tu te comporte en gamin buté.
Si tu n’a pas le minimum de culture scientifique pour pouvoir intervenir sur les sujets exposés, pourquoi le fait-tu? par pu Trollisme? Pour te rendre intéressant? Pour faire croire que tu connais quelque chose?
Pour ton info, je suis un expert en télédétection (qui a bossé quelques années sur des projets climato, pour la partie télédétection et mesures physiques).
#136 Il n’est ^pire sourd !
Il n’a JAMAIS été question de cumul de chaleur.
Prière de ne pas rester hors sujet.
On reprends depuis le début, heureusement que le forum garde l’historique :
Ca a commencé comme ca :
#107
Et Curieux à correctement répondu ensuite :
En 109 Laurent répond :
Donc en reformulant mon affirmation. Je parlais de température globale. Je simplifais à l’extrême.
C’est encore toi qui redéfinit ce que j’ai dit.
Je parle de température du globe, cela inclus toutes les mesures qu’on peut retrouver, pas seulement les stations météos, c’est toi qui réduit volontairement.
Pour l’albedo, désolé mais pour moi c’était très aproximatif dans ma tête, et au lieu de dire « tu ne comprends rien » ca serait mieux de corriger mes erreurs (albédo réfléchie).
Pourquoi je participe ? Parce que je n’aime pas les critiques faciles, parce que j’aime comprendre les choses, parce que le sujet en vaut la peine. Le problème est que le temps me manque pour étudier cela à fond.
Ce qui rend difficile l’échange c’est que tu ne reprends pas mes arguments pour montrer précisemment en quoi je fais fausse route, mais tu réexpliques ton point de vue.
Perso j’ai juste fait un DEUG de physique donc je n’ai pas de bagage suffisant pour aller loin dans ce domaine sauf si j’en prends le temps. Ensuite je me suis orienté dans l’informatique ce qui n’apporte pas grand chose au sujet.
@ DM, # 133 à propos de # 127,
Oh, oh, prenons un litre d’essence qui est un « cumul d’énergie » en DM courant, mettons le au frigo et observons. Au bout d’une heure il s’est refroidi ! A ben tiens, on arrive à refroidir un « cumul d’énergie ».
Plus sérieusement DM la chaleur est la forme d’énergie la plus dégradée. Donc si tu as réchauffement c’est que tu as un « décumul » d’énergie (toujours en DM courant).
Conclusion, soit le DM courant est une langue incompatible avec la physique, soit
#140
Ne perds pas ton temps à t’attarder sur mes expressions écrites à la va vite. Tu sais ce que je voulais dire.
Par contre si ca se refroidit plus que d’habitude dans mon frigo il y a plusieurs solution : un meilleur isolant (un intervenant à changer le revêtement ou l’a épaissit), le moteur décrassé fonctionne mieux (chaleur dégagée plus importante également), le bouton de réglage de la température a bougé (cycles).
Je ne redéfini rien, et je ne réduis rien. J’essaie juste de t’expliquer, sous plein de formes différentes quelque chose que tu n’arrive pas à comprendre:
1) Aucun système de mesure ACTUEL ne mesure la « température globale » telle que tu la définis…. celui qui s’en approcherait le plus est une mesure de l’Albedo globale
2) Les courbes de températures soumises à revues et publiées par le GIEC ne SONT EN AUCUN CAS des courbes de mesure de la température globale telle que tu la définis…. elles sont STRICTEMENT issues du réseau synoptique (et rien d’autre).
Ce n’est pas une lubie ou une invention de la part, c’est très exactement décrit dans les dites publications (que tu n’as donc sans doute pas lu…)
Question: arrive-tu à comprendre que je ne « réduis » rien? que je décris ce qu’utilise les publications du GIEC?
3) Comme je l’ai déjà expliqué (et je ne vais pas revenir dessus pour la quinzième fois…), La moyenne de température issue des mesures du réseau synoptique est représentative (sans même parler des approximations de mesures) de la TEMPERATURE A 1M SOUS ABRIS.
La encore, ce n’est ni lubie ni invention de ma part, c’est ce que cherchent à mesurer tous les organismes météo du monde, et donc ce qui est collecté et redistribué par le réseau synoptique OMM et utilisé par les publications soumises à revues au GIEC.
Question: quelle partie de ce que je viens d’écrire ne comprend-tu pas…. afin que je puisse développer la partie en question?
Pour ce qui va suivre, ce sont des précisions… si tu ne comprend pas, ce n’est pas grave, l’essentiel est dans les points 1 à 3
Les mesures satellitaires NE SONT PAS Utilisées comme données d’entrées dans les modèles. Elles sont soit:
– écartées par considérées comme « non valides » pour tout un tas de raisons (cas des SST de l’AVHRR) mettant en cause la calibration et tout un tas d’autres phénomènes (et je vais éviter de faire du mauvais esprit en invoquant que c’est surtout parce qu’elles ne collent pas avec les autres données…. oooops…. trop tard…)
– soit utilisées pour comparaisons/validations avec les SORTIES de modèles (cas des données de sondeur vertical (AMSU et autres).
Ces données (qui sont à la base des données de luminances) ne sont de toutes façon pas directement inversibles, c’est par confrontation avec des modèles de prévision basées sur les données synoptiques (et plusieurs itérations pour faire converger les prévisions et les données) que l’inversion est faite.
Pour repartir de la phrase initiale de ton post que j’ai commenté
Si la température moyenne augmente sur tout le globe c’est que la planête retiens davantage de chaleur
#142 La Terre ressemble plus à une casserole SANS couvercle qu’à un frigo.
J’ai appuyé sur le mauvais bouton avant de finir… désolé.
Pour repartir de la phrase initiale de ton post que j’ai commenté
Le terme « température moyenne » doit être défini pour pouvoir donner une signification à ta phrase.
2 Possibilités:
1) Soit tu t’accroche à ta définition de « température moyenne globale », qui ne correspond à rien de mesuré réellement, et qui est donc une quantité purement théorique, ta phrase est une conjecture théorique, qui devrait être déclinée au conditionnel… et qui de toute façon n’apporte rien au débat (n’étant pas reliable à une entitée physique mesurée)
2) Soit tu parle de ce qui est mesuré, et alors, comme je me suis épuisé à te le démontrer, ce qui est mesuré ne concerne qu’une toute petite partie de l’atmosphère et ne prouve en rien que « la planète retiens d’avantage de chaleur », et ton affirmation est donc fausse.
#143
Disons qu’il y a un peu des 2 si c’est possible..
La vapeur d’eau de la casserole va dans l’espace contrairement à celle de l’atmosphère.
#142
1) ce n’était pas l’objet de ma remarque, je supposais qu’on connaisse une température globale. C’est une vue de l’esprit. En fait c’est un constat général des mesures synoptiques mais également des températures satellites des océans et de l’atmosphère.
2) et 3) ce n’est pas que je ne comprends pas mais plutot qu’on ne comprends pas ce que l’autre voulait dire. Il y a eu abus de langage de ma part, ok, je ne suis pas rigoureux. Ma remarque était vraiment très générale. Ce n’était pas une démonstration.
J’ai compris le fait que les données satellitaires ne sont pas utilisées telles qu’elles par les modèles mais servent de base/repère pour paramétrer ces modèles (indirectement, pas par injection dans les paramètres d’entrée).
Ma vision était beaucoup plus simple.
D’ailleurs il est arrivé plusieurs fois sur ce forum que nous discutions du réchauffement de la basse atmosphère et du refroidissement de la haute troposphère etc..
#144
Un mix de 1 et 2.
Bon on va arréter là non ?
Ca cri déjà assez dans les rues
Je présente mes excuses pour mon premier poste de la journée qui a suivit une route très très pénible et une incompréhension incompréhensible
Je me retiendrai de poster avant d’écrire des messages comme le #107 à l’avenir, ca évitera de la fatigue inutile. Apparemment ici il faut être rigoureux ou ne pas être..