Lettre ouverte au Secrétaire Général des Nations-Unies Ban Ki Moon
Copies aux Chefs d'Etat des pays signataires
13 décembre 2007
Au sujet de la conférence climatique de l'ONU
Il est impossible de stopper le changement climatique, un phénomène naturel qui a affecté l'humanité à travers les âges. Les témoignages géologiques, archéologiques, oraux et écrits historiques attestent tous des défis fondamentaux qu'ont dû affronter les sociétés anciennes face aux changements imprévus de température, de précipitations, de vents et d'autres variables climatiques. Nous devons par conséquent armer les nations à résister à tous ces phénomènes naturels en promouvant la croissance économique et la création de richesse.
Le Groupement Intergouvernemental sur le Changement Climatique (GIEC) a publié des conclusions de plus en plus alarmistes sur l'influence climatique du CO2 d'origine humaine, un gaz non polluant qui est essentiel à la photosynthèse des plantes. Bien que nous comprenions les arguments qui l'ont conduit à considérer les émissions de CO2 comme dangereuses, les conclusions du GIEC sont absolument injustifiées et ne doivent pas aboutir à des politiques qui vont significativement réduire la prospérité future. En particulier, il n'a pas été établi que ce serait possible de changer significativement le climat global en réduisant les émissions humaines de gaz à effet de serre. Par-dessus tout, parce que les tentatives de réduire les émissions vont ralentir le développement, l'approche actuelle de l'ONU sur la réduction du CO2 est susceptible d'aggraver la souffrance humaine due aux changements climatiques futurs plutôt que de la réduire.
Contrairement à l'impression donnée par le Résumé pour Décideurs du GIEC :
- Les observations récentes des phénomènes comme le retrait des glaciers, la hausse du niveau des mers et la migration d'espèces ne témoignent pas d'un changement climatique hors normes car aucun de ces changements n'est au-delà des limites de la variabilité naturelle qu'on connaît.
- Le rythme moyen de réchauffement de 0,1 à 0,2°C/décennie enregistré par les satellites dans les dernières décennies du 20e siècle sont dans les limites naturelles du rythme de réchauffement et de refroidissement observé sur ces 10.000 dernières années.
- Des scientifiques de premier plan, y compris des représentants importants du GIEC, reconnaissent que les modèles informatiques actuels ne peuvent pas prédire le climat. En accord avec cela, et malgré les projections des ordinateurs d'une hausse de température, il n'y a pas eu de réchauffement global depuis 1998. Le plateau de température actuel qui a suivi une période de réchauffement à la fin du 20e siècle est en accord avec des cycles naturels multi-décennaux ou millénaires.
- A l'exact opposé d'une affirmation souvent répétée que la science du climat "ne fait plus débat", un nombre important de nouvelles publications dans des revues à comité de lecture mettent toujours plus en doute l'hypothèse d'un réchauffement dangereux d'origine humaine. Mais comme les groupes de travail du GIEC ont pour instruction d'examiner les publications jusqu'à mai 2005 (cf. http://ipcc-wg1.ucar.edu/wg1/docs/wg1_timetable_2006-08-14.pdf) ces conclusions importantes ne sont pas incluses dans leur rapport ; ce qui veut dire que les rapports d'évaluations du GIEC sont basés sur des résultats déjà obsolètes.
La conférence sur le climat de Bali est destinée à amener le monde sur le chemin d'une restriction sévère de CO2, en ignorant les leçons évidentes qu'on peut tirer de l'échec du protocole de Kyoto, le chaos dans le marché d'échange de CO2 établi par l'Europe et l'inefficacité d'autres initiatives coûteuses destinées à réduire les émissions de gaz à effet de serre. Des analyses coût/bénéfice objectives discréditent l'introduction de mesures globales destinées à limiter et à réduire la consommation d'énergie pour réduire les émissions de CO2. De plus, il est irrationnel d'appliquer le "principe de précaution" car de nombreux scientifiques reconnaissent qu'un refroidissement et un réchauffement sont tous les deux des issus réalistes pour le climat à moyen-terme.
L'effort actuel de l'ONU pour "combattre le changement climatique", tel que présenté dans le Rapport sur le Développement Humain du Programme de Développement de l'ONU du 27 novembre 2007, détourne l'attention des gouvernements de la menace de changements climatiques inévitables, sous ses différentes formes. La planification nationale et internationale face à de tels changements est nécessaire, en aidant prioritairement les citoyens les plus vulnérables à s'adapter aux conditions futures. Tenter d'empêcher le climat de changer est futile et constitue une mésallocation tragique de ressources qui seraient bien mieux utilisées à résoudre les vrais et les plus pressants des problèmes.
Liste des signataires :
Bjarne Andresen, PhD, physicist, Professor, The Niels Bohr Institute, University of Copenhagen, Denmark
Geoff L. Austin, PhD, FNZIP, FRSNZ, Professor, Dept. of Physics, University of Auckland, New Zealand
Timothy F. Ball, PhD, environmental consultant, former climatology professor, University of Winnipeg
Ernst-Georg Beck, Dipl. Biol., Biologist, Merian-Schule Freiburg, Germany
Sonja A. Boehmer-Christiansen, PhD, Reader, Dept. of Geography, Hull University, U.K.; Editor, Energy & Environment journal
Chris C. Borel, PhD, remote sensing scientist, U.S.
Reid A. Bryson, PhD, DSc, DEngr, UNE P. Global 500 Laureate; Senior Scientist, Center for Climatic Research; Emeritus Professor of Meteorology, of Geography, and of Environmental Studies, University of Wisconsin
Dan Carruthers, M.Sc., wildlife biology consultant specializing in animal ecology in Arctic and Subarctic regions, Alberta
R.M. Carter, PhD, Professor, Marine Geophysical Laboratory, James Cook University, Townsville, Australia
Ian D. Clark, PhD, Professor, isotope hydrogeology and paleoclimatology, Dept. of Earth Sciences, University of Ottawa
Richard S. Courtney, PhD, climate and atmospheric science consultant, IPCC expert reviewer, U.K.
Willem de Lange, PhD, Dept. of Earth and Ocean Sciences, School of Science and Engineering, Waikato University, New Zealand
David Deming, PhD (Geophysics), Associate Professor, College of Arts and Sciences, University of Oklahoma
Freeman J. Dyson, PhD, Emeritus Professor of Physics, Institute for Advanced Studies, Princeton, N.J.
Don J. Easterbrook, PhD, Emeritus Professor of Geology, Western Washington University
Lance Endersbee, Emeritus Professor, former dean of Engineering and Pro-Vice Chancellor of Monasy University, Australia
Hans Erren, Doctorandus, geophysicist and climate specialist, Sittard, The Netherlands
Robert H. Essenhigh, PhD, E.G. Bailey Professor of Energy Conversion, Dept. of Mechanical Engineering, The Ohio State University
Christopher Essex, PhD, Professor of Applied Mathematics and Associate Director of the Program in Theoretical Physics, University of Western Ontario
David Evans, PhD, mathematician, carbon accountant, computer and electrical engineer and head of 'Science Speak,' Australia
William Evans, PhD, editor, American Midland Naturalist; Dept. of Biological Sciences, University of Notre Dame
Stewart Franks, PhD, Professor, Hydroclimatologist, University of Newcastle, Australia
R. W. Gauldie, PhD, Research Professor, Hawai'i Institute of Geophysics and Planetology, School of Ocean Earth Sciences and Technology, University of Hawai'i at Manoa
Lee C. Gerhard, PhD, Senior Scientist Emeritus, University of Kansas; former director and state geologist, Kansas Geological Survey
Gerhard Gerlich, Professor for Mathematical and Theoretical Physics, Institut für Mathematische Physik der TU Braunschweig, Germany
Albrecht Glatzle, PhD, sc.agr., Agro-Biologist and Gerente ejecutivo, INTTAS, Paraguay
Fred Goldberg, PhD, Adjunct Professor, Royal Institute of Technology, Mechanical Engineering, Stockholm, Sweden
Vincent Gray, PhD, expert reviewer for the IPCC and author of The Greenhouse Delusion: A Critique of 'Climate Change 2001, Wellington, New Zealand
William M. Gray, Professor Emeritus, Dept. of Atmospheric Science, Colorado State University and Head of the Tropical Meteorology Project
Howard Hayden, PhD, Emeritus Professor of Physics, University of Connecticut
Louis Hissink MSc, M.A.I.G., editor, AIG News, and consulting geologist, Perth, Western Australia
Craig D. Idso, PhD, Chairman, Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, Arizona
Sherwood B. Idso, PhD, President, Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, AZ, USA
Andrei Illarionov, PhD, Senior Fellow, Center for Global Liberty and Prosperity; founder and director of the Institute of Economic Analysis
Zbigniew Jaworowski, PhD, physicist, Chairman – Scientific Council of Central Laboratory for Radiological Protection, Warsaw, Poland
Jon Jenkins, PhD, MD, computer modelling – virology, NSW, Australia
Wibjorn Karlen, PhD, Emeritus Professor, Dept. of Physical Geography and Quaternary Geology, Stockholm University, Sweden
Olavi Kärner, Ph.D., Research Associate, Dept. of Atmospheric Physics, Institute of Astrophysics and Atmospheric Physics, Toravere, Estonia
Joel M. Kauffman, PhD, Emeritus Professor of Chemistry, University of the Sciences in Philadelphia
David Kear, PhD, FRSNZ, CMG, geologist, former Director-General of NZ Dept. of Scientific & Industrial Research, New Zealand
Madhav Khandekar, PhD, former research scientist, Environment Canada; editor, Climate Research (2003-05); editorial board member, Natural Hazards; IPCC expert reviewer 2007
William Kininmonth M.Sc., M.Admin., former head of Australia's National Climate Centre and a consultant to the World Meteorological organization's Commission for Climatology
Jan J.H. Kop, MSc Ceng FICE (Civil Engineer Fellow of the Institution of Civil Engineers), Emeritus Prof. of Public Health Engineering, Technical University Delft, The Netherlands
Prof. R.W.J. Kouffeld, Emeritus Professor, Energy Conversion, Delft University of Technology, The Netherlands
Salomon Kroonenberg, PhD, Professor, Dept. of Geotechnology, Delft University of Technology, The Netherlands
Hans H.J. Labohm, PhD, economist, former advisor to the executive board, Clingendael Institute (The Netherlands Institute of International Relations), The Netherlands
The Rt. Hon. Lord Lawson of Blaby, economist; Chairman of the Central Europe Trust; former Chancellor of the Exchequer, U.K.
Douglas Leahey, PhD, meteorologist and air-quality consultant, Calgary
David R. Legates, PhD, Director, Center for Climatic Research, University of Delaware
Marcel Leroux, PhD, Professor Emeritus of Climatology, University of Lyon, France; former director of Laboratory of Climatology, Risks and Environment, CNRS
Bryan Leyland, International Climate Science Coalition, consultant and power engineer, Auckland, New Zealand
William Lindqvist, PhD, independent consulting geologist, Calif.
Richard S. Lindzen, PhD, Alfred P. Sloan Professor of Meteorology, Dept. of Earth, Atmospheric and Planetary Sciences, Massachusetts Institute of Technology
A.J. Tom van Loon, PhD, Professor of Geology (Quaternary Geology), Adam Mickiewicz University, Poznan, Poland; former President of the European Association of Science Editors
Anthony R. Lupo, PhD, Associate Professor of Atmospheric Science, Dept. of Soil, Environmental, and Atmospheric Science, University of Missouri-Columbia
Richard Mackey, PhD, Statistician, Australia
Horst Malberg, PhD, Professor for Meteorology and Climatology, Institut für Meteorologie, Berlin, Germany
John Maunder, PhD, Climatologist, former President of the Commission for Climatology of the World Meteorological Organization (89-97), New Zealand
Alister McFarquhar, PhD, international economy, Downing College, Cambridge, U.K.
Ross McKitrick, PhD, Associate Professor, Dept. of Economics, University of Guelph
John McLean, PhD, climate data analyst, computer scientist, Australia
Owen McShane, PhD, economist, head of the International Climate Science Coalition; Director, Centre for Resource Management Studies, New Zealand
Fred Michel, PhD, Director, Institute of Environmental Sciences and Associate Professor of Earth Sciences, Carleton University
Frank Milne, PhD, Professor, Dept. of Economics, Queen's University
Asmunn Moene, PhD, former head of the Forecasting Centre, Meteorological Institute, Norway
Alan Moran, PhD, Energy Economist, Director of the IPA's Deregulation Unit, Australia
Nils-Axel Morner, PhD, Emeritus Professor of Paleogeophysics & Geodynamics, Stockholm University, Sweden
Lubos Motl, PhD, Physicist, former Harvard string theorist, Charles University, Prague, Czech Republic
John Nicol, PhD, Professor Emeritus of Physics, James Cook University, Australia
David Nowell, M.Sc., Fellow of the Royal Meteorological Society, former chairman of the NATO Meteorological Group, Ottawa
James J. O'Brien, PhD, Professor Emeritus, Meteorology and Oceanography, Florida State University
Cliff Ollier, PhD, Professor Emeritus (Geology), Research Fellow, University of Western Australia
Garth W. Paltridge, PhD, atmospheric physicist, Emeritus Professor and former Director of the Institute of Antarctic and Southern Ocean Studies, University of Tasmania, Australia
R. Timothy Patterson, PhD, Professor, Dept. of Earth Sciences (paleoclimatology), Carleton University
Al Pekarek, PhD, Associate Professor of Geology, Earth and Atmospheric Sciences Dept., St. Cloud State University, Minnesota
Ian Plimer, PhD, Professor of Geology, School of Earth and Environmental Sciences, University of Adelaide and Emeritus Professor of Earth Sciences, University of Melbourne, Australia
Brian Pratt, PhD, Professor of Geology, Sedimentology, University of Saskatchewan
Harry N.A. Priem, PhD, Emeritus Professor of Planetary Geology and Isotope Geophysics, Utrecht University; former director of the Netherlands Institute for Isotope Geosciences
Alex Robson, PhD, Economics, Australian National University Colonel F.P.M. Rombouts, Branch Chief – Safety, Quality and Environment, Royal Netherland Air Force
R.G. Roper, PhD, Professor Emeritus of Atmospheric Sciences, School of Earth and Atmospheric Sciences, Georgia Institute of Technology
Arthur Rorsch, PhD, Emeritus Professor, Molecular Genetics, Leiden University, The Netherlands
Rob Scagel, M.Sc., forest microclimate specialist, principal consultant, Pacific Phytometric Consultants, B.C.
Tom V. Segalstad, PhD, (Geology/Geochemistry), Head of the Geological Museum and Associate Professor of Resource and Environmental Geology, University of Oslo, Norway
Gary D. Sharp, PhD, Center for Climate/Ocean Resources Study, Salinas, CA
S. Fred Singer, PhD, Professor Emeritus of Environmental Sciences, University of Virginia and former director Weather Satellite Service
L. Graham Smith, PhD, Associate Professor, Dept. of Geography, University of Western Ontario
Roy W. Spencer, PhD, climatologist, Principal Research Scientist, Earth System Science Center, The University of Alabama, Huntsville
Peter Stilbs, TeknD, Professor of Physical Chemistry, Research Leader, School of Chemical Science and Engineering, KTH (Royal Institute of Technology), Stockholm, Sweden
Hendrik Tennekes, PhD, former director of research, Royal Netherlands Meteorological Institute
Dick Thoenes, PhD, Emeritus Professor of Chemical Engineering, Eindhoven University of Technology, The Netherlands
Brian G Valentine, PhD, PE (Chem.), Technology Manager – Industrial Energy Efficiency, Adjunct Associate Professor of Engineering Science, University of Maryland at College Park; Dept of Energy, Washington, DC
Gerrit J. van der Lingen, PhD, geologist and paleoclimatologist, climate change consultant, Geoscience Research and Investigations, New Zealand
Len Walker, PhD, Power Engineering, Australia
Edward J. Wegman, PhD, Department of Computational and Data Sciences, George Mason University, Virginia
Stephan Wilksch, PhD, Professor for Innovation and Technology Management, Production Management and Logistics, University of Technolgy and Economics Berlin, Germany
Boris Winterhalter, PhD, senior marine researcher (retired), Geological Survey of Finland, former professor in marine geology, University of Helsinki, Finland
David E. Wojick, PhD, P.Eng., energy consultant, Virginia
Raphael Wust, PhD, Lecturer, Marine Geology/Sedimentology, James Cook University, Australia
A. Zichichi, PhD, President of the World Federation of Scientists, Geneva, Switzerland; Emeritus Professor of Advanced Physics, University of Bologna, Italy
Superbe déclaration!
histoire de mettre une bonne couche d’huile sur le feu, au cas où vous n’auriez pas compris la finalité de ces tristes sires, cette dépêche AFP vous l’apprend en clair et sans décodeur !
http://fr.news.yahoo.com/afp/2.....fc3_1.html
en particulier ce paragraphe, à propos des futures négociations avec les USA :
Pour accélérer les choses, Steve Sawyer, un vétéran des négociations sur le climat, aujourd’hui responsable de Global Wind Energy Council (GWEC), un lobby de l’énergie éolienne basé à Bruxelles, va même jusqu’à souhaiter un « nouveau Katrina », un désastre naturel qui accèlèrerait la prise de conscience et accroitrait les pressions sur le gouvernement fédéral.
ouioui, vous avez bien lu…
quand je parlais des tristes sires, c’étaient bien sûr les 15000 vacanc… euh pardon, glande… euh pardon, « conférenciers » à Bali, n’est-il pas… 😉
Quelqu’un pourrait-il donner une source ?
Car les sources officielles donnent plutot ca :
http://ipcc-wg1.ucar.edu/wg1/C.....meset.html
ce genre d’information est très bien mais comment la faire circuler, comment la faire apparaitre dans les dépêches AFP, sur Yahoo, 20 minutes, etc…
#4
et tant d’autres, il faut chercher un peu.
Je viens d’apprendre que parmi les signataires, il y a déjà quelques membres peu objectifs (ce n’est absolument pas exhaustif mais ca donne une idée..) :
DM …
En fait, autant dire, sans le dire, tout en le disant, pas trop fort, mais suffisamment quand même, suis-je bien clair, que le complot n’est pas loin.
Je suis sur que si on s’amuse à chercher des informations sur les « pro »réchauffement climatique, on trouverait des liens avec des sociétées de fabrication d’éolienne, d’énergie propre, et j’en passe…
Non, je crois que DM dans sa très grande sagesse veut nous dire que ceux qui interviennent pour le GIEC, administration de l’ONU, sont responsable de la non intervention de l’ONU au Rwanda ou en Sierra Leone et l’inefficacité de celle-ci au Kosovo et en ex-Yougoslavie.
DM, doit-on prévoir des bancs supplémentaires au tribunal de la Haye ?
Je me demande d’ailleurs si dans cette liste souillée de l’oeuvre du diable ne se cacherait pas de dangereux agents sionistes travaillant pour la CIA et le Mossad, allez savoir, après tout on est plus à ça près !!
Toutefois, cela risque d’être difficile vu que sans aucun doute ils ont entre-temps changé d’identité….Ah ! les méchants, ils brouillent les pistes !
Mais qu’a fait le rejeton de la SDN pour qu’on ose remettre en cause son Autorité Suprème ?
Désormais, tout scientifique travaillant en dehors de la sphère du GIEC sera considéré comme hérétique, qu’on se le dise ! Cela a que trop duré !
@ Dyblast
je vous suggère de jeter un oeil sur mon post numéro 2 de ce même fil…
et puis tiens, voici un lien concernant les gros interêts d’un certain prix Nobel !
http://www.generationim.com/
moi qui me demandait ce qu’il avait à gagner avec son « cirque », voici la réponse !
Et derrière les fabricants d’éolienne on trouve des pétroliers, fournisseur d’électricité etc…
C’est marrant l’argument de l’absence d’objectivité, des scientifiques rachetés, ne marche que dans un sens…
Désolé pour le pseudo curiosité, je m’en étais servi pour un post précédent (du à l’usurpation d’identité d’un autre participant).
Désolé Curieux.
Al Gore est un cas particulier. Ce n’est pas un scientifique, c’est un politique.
Bonjour à tous…
Désolé pour le hors sujet, mais je ne sais pas où mettre cette demande.
dans Libé d’aujourd’hui, sous la plume de Sylvestre Huet (plutôt un extrémiste-réchauffiste), on peut lire cet article :
http://www.liberation.fr/trans.....894.FR.php
N’étant pas spécialiste, je ne peux pas juger de la pertinence de l’article.
Est ce que parmi les participants à ce blog quelqu’un aurait des infos ?
Bonjour Astre Noir,
Sylvestre Huet est un journaliste particulièrement virulent vis à vis des gens qui ne sont pas de son avis sur le réchauffement.
Je me rappelle parfaitement l’avoir entendu lors de l’émission « Arrêt sur Images » prononcer une phrase du genre « on a le droit d’exagérer les effets du réchauffement sur les neiges du Kilimandjaro, à partir du moment ou c’est pour la bonne cause… ».
Brrrrr !
Ce genre de mentalité me fait froid dans le dos, sans jeux de mots.
Le rôle d’un journaliste est de relayer l’information.
Certes le journalisme peut être d’opinion, mais ce que fait Sylvestre Huet est véritablement scandaleux : non seulement il présente toutes les théories « réchauffistes » comme des vérités scientifiques gravées dans le marbre, mais il ne se prive pas de ridiculiser, (voire insulter dans le cas d’Allègre..), et de mettre en doute les qualités professionnelles des scientifiques qui ne sont pas de cet avis.
Ces méthodes intellectuelles sont vomitives et dignes de l’URSS et des pays totalitaires.
Toutes les ficelles y passent : accuser ses adversaires d’être des vendus à la solde du capitalisme pollueur, d’être incompétents dans leur domaines, matraquage par propagande outrancière, muselage médiatique de « l’opposition », manipulation des esprits (vous êtes coupable…), etc…
Il n’y a qu’à relire ses articles pour s’en convaincre, je n’exagère rien du tout.
En ce qui concerne l’article, moi non plus je ne suis pas climatologue, tout en étant scientifique.
Mais je suis de l’avis d’Allègre : la climatologie n’existe pas…
Quand à Courtillot, c’est un grand chercheur, connu depuis des années dans le sérail.
Huet ferait bien de réfléchir à deux fois avant de tirer dessus à boulets rouges. C’est probablement son manque de goût pour l’économie de marché et le capitalisme qui l’anime.
Seulement on peut très bien ne pas être d’accord avec l’économie de marché sans adhérer à cette stupide lubie du réchauffement.
Cordialement.
Murps
Le papier de Bard et al. est disponible ici :
http://www.cerege.fr/IMG/pdf/Bard07epsl.pdf
on n’y lit aucune accusation ad hominem.
Le nommé Huet extrapole et fabule.
@7 à propos des collusions sceptiques/industriels
Le dernier en date des vendus aux sociétés pétrolières émettrices de CO2 est un certain Jean-Louis Etienne, puisque son projet de ballon polaire est sponsorisé par Total.
Il faut donc se calmer de ce côté-là. Dés qu’on cherche un budget, on se trouve devant ce type de choix.
Donc, que M. Ball ou autre éminent sceptique ait des contrats privés avec l’industrie n’est en rien une preuve de sa malhonnêteté intellectuelle. C’est autrement plus difficile, à mon avis, de résister aux pressions médiatiques des gens qui se prétendent des sauveurs de la planète.
Je pense que l’intérêt des acteurs de l’énergie est au contraire d’avoir des analyses les plus objectives possibles sur l’évolution du climat pour faire leurs propres prévisions d’activité.
Huet a pondu sa propagande en pompant texto un fil sur Realclimate écrit par Raypierre intitulé « les chevaliers de l’ordre de la terre plate » (admirez la courtoisie entre scientifiques) en ajoutant ses platitudes habituelles de bigot de la religion du RC, comme par exemple « les leaders qui font autorité de la reconstruction de la température du 20e siècle » en parlant de Jones qui n’a JAMAIS publié les données ni méthodes de sa « reconstruction ».
Huet est un misérable plagiaire dont l’ignorance sur la question climatique n’a d’égale que son hystérie et son intolérance. Il ne mérite que du mépris.
Dans la même veine, je viens de lire ça dans Le Monde. Hormis le fait que Le Monde saute sur toute critique sceptique et passe sous silence celles des réchauffistes, quelqu’un a-t-il des informations sur ce sujet ?
#22 C’est la même cabale sur le même sujet pour les mêmes auteurs.
#23, Une lettre saignante de Charles Muller à ces 2 pisse-papiers Huet (Libé) & Foucard (Le Monde), à consulter d’urgence sur climat-sceptique.com
Au moins, ce n’est pas du plagiat et c’est écrit par un vrai journaliste qui connaît son sujet.
Très drôle cette polémique sur les courbes de Courtillot, mais à les regarder, « tronquées » de bonne ou mauvaise foi puis corrigées elle sont beaucoup plus prochent des variations des températures que la courbes du CO2 ne l’est elle-même !
En l’espèces la courbe erronée, si c’est avérée, sera plus productive que celle réputée exacte du CO2 !
Le meilleur est de regarder les commentaires des lecteurs de libé… c’est à pisser de rire.
Au sujet d’une éventuelle stabilité de la température depuis quelques années :
http://www.realclimate.org/ind...../#more-523
Au sujet d’une éventuelle stabilité des températures :
http://www.real climate.org/index.php/archives/2008/01/uncertainty-noise-and-the-art-of-model-data-comparison/#more-523
Qu’il est naif ce Gavin.
http://motls.blogspot.com/2008/01/weather-climate-and-noise.html
C’est quoi les petits points.. ?
Au passage je trouve que Roger Pielke. Jr. a été facilement contré dans ses arguments.
très belle lettre ouverte, mais je doute que les destinataires soient ouverts à une quelconque remise en question….
C’est symétrique.
#33.
c’est celui qui dit qui est ? zzzzz……
C’est le genre de critique qui peut être facilement retourné, donc cela n’a que peu de valeur de vérité.
En attendant j’aime bien les titres actuels au sujet du RC:
« 2008, une des années les plus chaudes du siècle selon les prévisions »….
En 2007 les titres etaient « 2007, année la plus chaude de l’histoire selon les prévisions », mais au final ne se classe que 7éme année la plus chaude….
Les journalarmistes deviendraient-ils plus prudents chaque année ?…
Cet hiver démarre chaudement tout de même.
11° dans le nord en plein mois de Janvier..
En décembre nous avions eu du vrai froid comme on aime
Des records de froid ont bel et bien été battus récemment.
http://www.centpapiers.com/Rec.....ement,2836
Concernant le redoux actuel, de nombreux papiers indiquent qu’il n’est pas exceptionnel (il serait même récurrent)
Interessant ce lien.
Ce n’est pas le cas en France pour l’instant.
Dans les années 80 nous avons eu jusqu’à -25 °C dans l’avesnois (nord)…
oui c’etait réellement exceptionnel sur toute la france. Neige à Antibes et même sur les plages Corses…hiver 85/86 je crois
#37, « du froid comme on aime »… quand on est bien au chaud et qu’on a les moyens de se chauffer.
Ma femme sert de la soupe aux SDF (dont pas mal viennent du Nord et descendent par ici en hiver), elle n’est pas de ton avis mais alors là pas du tout !
Les gens ont perdu tout sens des proportions ou bien ???
#41.
je crois que les mêmes (alarmistes) qui reprochent aux RC-sceptiques de ne vouloir rien changer sont au contraire les vrais conservateurs. Ce mot ( « du froid comme on aime » ) est plus l’expression d’une certaine nostalgie que d’une reflexion (sauf tout le respect dû à l’auteur et sans méchanceté aucune).
Un peu comme tout ce qu’on peut entendre des radicaux-écolo qui pronent le « retour à la terre » en somme….
tiens je viens de trouver ceci….ça fait peur
suis-je paranoïaque ou ai-je bien lu que les « habitants indifférents » seraient soumis à taxes ??!!!!! Après la taxe-carbone, place à la taxe-neurone ?
#41 tu trouveras toujours une catégorie qui n’apprécie pas le froid ou le chaud.
Le gel fait beaucoup de bien à la nature et nous en avons besoin.
Le problème des SDF ce n’est pas le climat, mais le logement.
#44
reconnais toutefois qu’un consensus (au moins aussi large que celui du GIEC au sujet du RC ;-)) existe disant que l’humanité a toujours plus tiré des bénéfices des periodes chaudes que froides non ?
Je ne vais pas te contredire.
Mais même si le refroidissement a bien lieu, mais que l’effet CO2 soit bien réel et en ascension. Si ca ne pose pas de problème dans les années qui viennent, ca risque de le devenir quand le soleil refera un cycle plus chaud.
#47.
si l’effet CO2 est la cause du RC.
Les observations à l’échelle des temps semblent démontrer le contraire, c.a.d l’effet RC est la cause de l’augmentation CO2.
Oui mais ça devient n’importe quoi. La théorie du réchauffement (à distinguer de la théorie de l’effet de serre) dû au CO2 anthropique tient parce que justement ses défenseurs considèrent comme négligeable l’influence du soleil.
Et voilà que tu prétendes que le soleil sera un problème. Tu ne peux pas sucer et soufler en même temps, il faudrait choisir.
Au passage, les 4 derniers cycles sont les plus « chauds » parmi les 6 plus chauds jamais mesurés depuis 350 ans. Prétendre que le problème viendra quand le soleil sera plus « chaud » alors que personne n’est capable de prévoir correctement le soleil, ça tient de la lecture de marc de café.
#49 je me placais de ton point de vue au sujet du réchauffement venant du soleil. Ce n’est pas forcément mon opinion. Je n’en ai d’ailleurs pas tellement d’opinion, même si je penche du coté du « consensus ».
J’attends plutot de voir ce qui se passe dans les années qui suivent..
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