201.  jeff hersson | 7/02/2009 @ 14:45 Répondre à ce commentaire

maurice (#197),

qui comme chacun le sait n’a pas d’autres chats bras et chatila à fouetter.

Elle est digne de François Pérusse, celle-là…

202.  maurice | 7/02/2009 @ 16:00 Répondre à ce commentaire

les 2 minutes du peuple c’etait l’autre soir sur France 2… 😉

203.  Araucan | 8/02/2009 @ 15:45 Répondre à ce commentaire

La disparition de la banquise de la Péninsule Ouest Antarctique pourrait modifier l a rotation de la terre et l’axe des pôles…de 0,5 km. Sans compter la quantité d’eau douce relarguée qui pourrait provoquer une augmentation du niveau des mers de 6 mètres sur le continent Nord Américain…

http://www.canada.com/melt+shi.....story.html
http://www.sciencemag.org/cgi/.....type=HWCIT

Une consolation, ils ne disent pas pour quand c’est…

204.  maurice | 8/02/2009 @ 15:53 Répondre à ce commentaire

la boule de cristal est en panne ?

205.  Araucan | 8/02/2009 @ 16:26 Répondre à ce commentaire

Comme elle avait chauffé les données temporelles d’occurence n’étaient plus lisibles… 😉
Dans l’article ils disent qu’il faut prendre ces données en compte…

206.  jeff hersson | 9/02/2009 @ 11:23 Répondre à ce commentaire

Comme je le disais par ailleurs, les bigots réchauffistes se sont emparés du drame des incendies en Australie pour plaider leur cause :

Les incendies au bilan humain sans précédent qui ont ravagé le sud-est de l’Australie accentuent la pression sur le gouvernement pour qu’il combatte avec plus de fermeté le réchauffement climatique.

Pour de nombreux scientifiques, le changement climatique a probablement contribué à l’ampleur des feux qui ont endeuillé ce week-end les Etats de Victoria et de la Nouvelle-Galles-du-Sud. Le dernier bilan, toujours provisoire, est d’au moins 130 morts. Et la canicule qui a sévi ces derniers jours en Australie explique en partie la vitesse de propagation des flammes.

« Il est tout à fait évident, tant dans le monde qu’en Australie, que nous sommes depuis 1950 environ dans une tendance au réchauffement », a déclaré lundi à l’agence Reuters le climatologue australien Kevin Hennessy.

« En un mot, on peut dire que la canicule et les incendies que nous avons observés dans l’Etat de Victoria sont peut-être dus en partie à l’élévation des températures. En extrapolant, les émissions de gaz à effet de serre devraient augmenter, cela aura pour effet d’accroître le réchauffement et, dans le cas du Sud australien, d’accentuer les sécheresses et donc d’augmenter les risques d’incendies. »

L’Australie, estiment les scientifiques, doit donc se préparer à davantage d’événements météorologiques de cette ampleur.

Pour les écologistes, les incendies de l’Etat de Victoria démontrent la nécessité de durcir les objectifs fixés par le gouvernement en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Du fait de son climat, chaud et sec, l’Australie est l’un des pays les exposés aux conséquences du réchauffement climatique. D’ici 2050, les températures moyennes devraient augmenter de 3°C dans les zones tropicales du nord de l’île et les régions désertiques du centre.

« UN APERÇU DE CE QUE SERA NOTRE FUTUR »

Le Premier ministre travailliste, Kevin Rudd, s’est fixé un objectif général de réduction de 5% des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2020; il pourrait resserrer encore cet objectif à 15% à condition d’un large accord international.

Mais les associations écologistes estiment que l’Australie, qui représente 1,5% des rejets mondiaux de CO², ne doit pas attendre et réclament une réduction de 25% au moins des émissions d’ici 2020.

« Au moment où la nation se rassemble dans le deuil, nous devons aussi comprendre que le changement climatique est une réalité et qu’il accentue dramatiquement les risques d’incendie en Australie », a dit la sénatrice Verte Christine Milne, porte-parole de son parti pour les questions climatiques.

« Ces tout derniers jours, a-t-elle ajouté dans un communiqué, nous avons eu un aperçu de ce que serait notre futur. »

Pour Brian Fisher, économiste et analyste influent des politiques climatiques, il est déterminant que l’Australie donne l’exemple aux grands pays pollueurs, dont la Chine et l’Inde.

« La clef, c’est de savoir si nous pouvons persuader d’autres pays d’agir de conserve avec l’Australie. Ceci déterminera ce qu’il adviendra du climat de la planète », affirme ce membre du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC), créé par l’Onu.

Les feux de brousse et les inondations tropicales n’ont rien d’anormal en Australie, et peuvent même jouer un rôle salutaire pour les écosystèmes. Mais après des années de sécheresse et avec les températures records relevées ce week-end dans l’Etat de Victoria, plus la présence de vents chauds soufflant du nord, les facteurs étaient réunis pour une catastrophe majeure.

« Je n’ai jamais vu de conditions météo aussi extrêmes que samedi. C’était sans précédent », souligne l’universitaire Mark Adams, spécialiste des feux de brousse.

La science, ajoute-t-il, ne permet pas d’expliquer totalement l’impact du changement climatique sur ces incendies sans précédent dans l’histoire du pays. « Cependant, toute la littérature scientifique actuelle démontre que nous pouvons nous attendre à des épisodes météo plus extrêmes dans les années à venir, et donc des jours encore plus chauds et des terres encore plus sèches dans le sud de l’Australie. »

C’est vraiment à gerber ! ça me fait penser à ces lobbyistes américains de l’éolien qui souhaitaient un nouveau « Katrina » histoire que le monde « comprenne » bien…
L’Australie émet 1,5 % des GES d’origine humaine… Quand on connait la part de ces derniers dans les GES globaux…
Par contre, les écolos australiens émettent quel pourcentage de c****ries au niveau mondial ?

207.  maurice | 9/02/2009 @ 11:28 Répondre à ce commentaire

jeff hersson (#205),

bah, je crois avoir compris que cette canicule est la pire depuis 1855 (elle n’est donc pas sans précédent).

d’autre part, durant les grands froids subis en France dernièrement et la montée de scepticisme RC du public à cette occasion, les commenatateurs réchauffistes se sont empressés de dire qu’il ne fallait pas tirer de conclusions hatives à partir d’epiphénomènes méteo, et ont meme fait leur mea culpa concernant la relation canicule 2003/RC.

Mais voilà que les bonnes vieilles habitudes reviennent avec l’Australie…

208.  jeff hersson | 9/02/2009 @ 12:00 Répondre à ce commentaire

maurice (#206),
Pour connaitre l’Australie, il est de notoriété que les feux de brousses au sud et les inondations au nord et au Queensland sont normaux en cette saison.
L’eucalyptol des gommiers crame aussi bien que de l’essence, quand d’autres arbres australiens se dépoilent de leur écorce, qui une fois à terre et bien sèche, flambe aussi bien et aussi facilement que de la paille… La canicule n’a strictement rien à voir avec ça ! Les UV, vu l’épaisseur de la couche d’ozone au dessus de l’Australie, font bien plus de dégâts que la chaleur… Quand aux températures chaudes, je renvoie à la ville de Coober Pedy ( « trou de l’homme blanc » en aborigène !) ce n’est donc pas sans précédent, comme ils disent !

Pour avoir roulé sur les routes du Queensland, il n’est pas rare de voir des panneaux routiers indiquant  » road subject to flooding, indicators show depth » avec les dits indicators montant jusqu’à 2m50…

209.  jeff hersson | 9/02/2009 @ 12:16 Répondre à ce commentaire

Une deuxième couche, version AFP :

Alerte info

Madagascar: démission de la ministre de la Défense
Australie: la gravité des incendies liée au réchauffement climatique

il y a 37 min
AFP Neil SANDS

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L’Australie, en proie à des incendies meurtriers, est le pays habité le plus sec au monde avec un environnement naturellement propice aux feux, mais les effets du réchauffement climatique sont de nature à décupler leur gravité, ont averti lundi des experts.

« Le réchauffement, le climat et la sécheresse modifient la nature, la férocité et la durée des feux de brousse », a expliqué Gary Morgan, chef du Centre de recherche Bushfire Coopérative de Sydney.

« Les feux de ce week-end illustrent la nécessité de recherches scientifiques pour améliorer notre compréhension des nombreuses incidences qu’ont ces feux », a-t-il ajouté.

L’Australie est en proie aux incendies les plus meurtriers de son histoire qui ont coûté la vie à au moins 131 personnes depuis samedi dans le sud-est du pays.

« Je n’ai jamais vu des conditions climatiques aussi extrêmes que celles qui ont été observées samedi. C’est sans précédent », a souligné Mark Adams, spécialiste des incendies à l’université de Sydney.

Les flammes se sont propagées à la faveur d’un dangereux cocktail: des températures record, une sécheresse inédite et des vents violents.

Le mercure a frôlé samedi les 47° près de Melbourne, un record pour un mois de février.

Et tandis que les feux ravageaient des milliers de kilomètres carrés au sud, l’Etat du Queensland (nord-est) a été récemment en proie à des inondations provoquées par des pluies diluviennes à la suite de cyclones.

« Nous n’avons pas encore assez de de preuves pour expliquer pleinement ce qui s’est passé ces derniers jours en matière de réchauffement climatique, mais tous les éléments scientifiques dont nous disposons jusqu’à présent démontrent que nous pouvons nous attendre à des conditions météorologiques extrêmes dans les années à venir », a averti M. Adams.

L’Australie a connu en 2007 une sécheresse historique. La production agricole avait diminué de 10% à cause de la sécheresse, qui a ruiné de nombreuses communautés rurales.

Selon les services de météorologie australiens et l’Organisation fédérale pour la recherche scientifique et industrielle (CSIRO), qui ont établi un scénario catastrophe en lien avec les effets du réchauffement, le nombre de jours durant lesquels les incendies présenteront un danger extrême risque de doubler d’ici 2050.

L’organisation écologiste Greenpeace a de son côté établi de noires prédictions pour le pays-continent en lien avec les effets du réchauffement: « l’Australie risque des épisodes de sécheresse plus fréquents, des températures plus élevées, des feux plus intenses, de même des cyclones et des inondations aux conséquences plus lourdes ».

« L’échelle de la tragédie devrait être un aiguillon pour les responsables politiques sur la nécessité de s’attaquer de façon urgente au réchauffement climatique », a estimé John Hepburn, l’un des responsables de campagne de l’organisation.

Vous remarquerez que ces hypocrites parle de la « sécheresse de 2007 » mais « oublie » soigneusement de parler de 2008 et de son exceptionnelle humidité, et des chutes de neige à Sydney, jamais vues depuis 1836 !

210.  maurice | 9/02/2009 @ 13:08 Répondre à ce commentaire

jeff hersson (#208),

voici ce que disais une climatologue rechauffiste Suisse en pleine crise de froid en Europe le mois dernier:

– Avec ce grand froid, vous comprenez que les gens puissent douter du réchauffement?
– Bien sûr. Le réchauffement climatique se fait sur des séries à long terme, d’au moins trente ans. Et aucun cas isolé n’est la preuve de quoi que ce soit. Cela dit, on se dirige vers une plus grande fréquence de températures élevées. Ces grands frimas, on va continuer à les subir, mais moins souvent qu’auparavant. J’ai toujours fait attention de ne pas parler de réchauffement climatique au moment des canicules. Car ce n’est pas parce que vous avez une température caniculaire que vous avez une preuve du réchauffement. Et une température très basse n’est pas la preuve d’un non-réchauffement climatique.

elle devrait éduquer ses collègues….

211.  Marot | 9/02/2009 @ 13:37 Répondre à ce commentaire

jeff hersson (#208),
Et oublie de rappeler les pluies diluviennes dans la même région de Victoria en 2007 :

Inondations dans la province de Victoria en Australie: 1 mort
Le 29-06-2007 à 09h09
L’état de Victoria en Australie est en proie à de graves inondations.

référence : http://www.meteo-world.com/news/index-1455.php

212.  Flo | 9/02/2009 @ 18:23 Répondre à ce commentaire

Tiens, tiens on modifie les modèles…:

http://fr.news.yahoo.com/68/20.....aaa9b.html

« Première découverte de Margo : la couche de glace qui recouvrait les mers nordiques et le nord de l’océan Atlantique Nord lors du dernier maximum glaciaire ne se maintenait pas tout au long de l’année, comme le supposait Climap. Au contraire, elle fondait partiellement en été, fournissant ainsi la vapeur d’eau nécessaire à la croissance et au maintien des grandes calottes polaires en Europe »

Ah? on nous disait pourtant que c’était inédit et dangereux. En fait ça arrivait même aux périodes les plus glaciales et c’était nécessaire à sa propre reconstitution…
Peut-être est-ce un début d’explication sur le fait que plus ça fond l’été, plus ça se reconstitue vite en début d’automne (et en contradiction avec l’explication de la diminution de l’albedo qui enclencherait une réaction en chaîne divergente).

213.  maurice | 9/02/2009 @ 20:44 Répondre à ce commentaire

entendu a la radio à l’instant: « la catastrophe climatique en Australie fait 166 morts »

purée ils vont quand meme pas imputer ces 166 morts à la canicule alors que ce sont les incendies !!!! y en a marre de ce bourrage de mou !

214.  jeff hersson | 9/02/2009 @ 22:00 Répondre à ce commentaire

maurice (#213), Ils vont se gêner, tiens…

215.  Astre Noir | 9/02/2009 @ 22:01 Répondre à ce commentaire

maurice (#213),

Et en plus, j’ai entendu ce soir que la plupart de ces incendies sont d’origine criminelle…

Ah mais oui, c’est vrai, où avais-je la tête ?

L’origine criminelle, c’est nous avec nos tonnes de CO2 qui ont causé le réchauffement climatique…:x

216.  maurice | 9/02/2009 @ 22:49 Répondre à ce commentaire

ce soir l’actualité est focalisée sur la tempete cotes atlantique: va t-on encore assister à une manifestation du RC ? suspense….

217.  Frédéric, admin skyfall | 9/02/2009 @ 23:12 Répondre à ce commentaire

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