Qui se souvient des pluies acides ?


(Un film de l'INRA à regarder, qui montre bien comment la réflexion a évolué et qui n'est pas sans similitudes avec le RCA, mais à une échelle moindre et sans traité à la clef !).

• • • • •

 

Forêt au Nord du cercle polaire (Laponie)

"Les pluies acides, une peur oubliée…" (27 mn)

http://www.inra.fr/audiovisuel/films/environnement/la_foret__1/pluie_acide 

Sur les dispositifs de mesure de l'atmosphère en forêt : "Des tours en forêt",  toujours de l'INRA. (6 mn)

http://www.inra.fr/audiovisuel/films/environnement/la_foret__1/des_tours_en_foret

(Autres vidéos )

,

6 réponses à “Qui se souvient des pluies acides ?”

  1. L’ironie dans l’histoire, c’est que l’hystérie des pluies acides est parti de la Suède, tout comme celle du réchauffement climatique, dont l’un des premiers promoteurs est Bert Bolin, qui n’est d’autre que le premier directeur du… GIEC.

    Quel pays de paranos, pas étonnant qu’ils ont l’un des taux de suicide le plus élevé du monde.

  2. miniTAX (#1),

    Quel pays de paranos, pas étonnant qu’ils ont l’un des taux de suicide le plus élevé du monde.

    Bon, il faut dire aussi que leur climat ne les aide pas pour la joie de vivre 😉

  3. Pas moins que les Finlandais, qui sont pourtant plein d’allant… sans parler des Norvégiens (le pétrole serait-il bon pour le moral ? smile )

  4. Ayant fait partie d’un laboratoire qui travaillait sur la forêt à cette époque, je peux témoigner de l’hystérie qui régnait à l’époque sur ce sujet, non au sein de mon labo où des chercheurs compétents savaient prendre le recul nécessaire, mais dans le milieu scientifique et le grand public. Pas question, là aussi, de présenter un sujet de recherches sur la forêt sans évoquer ce thème.

  5. Fabge02 (#5),

    Bonneau à l’époque a toujours été mesuré. En Allemagne ,c’était l’hystérie.
    Mais ce qui est un peu triste dans ce reportage, c’est qu’il n’y a aucune mention des réseaux de suivi mis en place au niveau européen et français, on parle juste de l’INRA et de la recherche.
    On ne parle pas non plus de l’évolution de la santé des forêts en soi et la conclusion est plutôt insatisfaisante.