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Très beau documentaire danois réalisé en 2009 par Lars Oxfeldt Mortensen ou tout ce que vous avez voulu savoir sur le rôle des rayons cosmiques dans les changements climatiques sans jamais oser le demander. Avec les auteurs les plus connus de cette théorie, Svensmark, Veizer, Shaviv, Friis-Christensen, qu’on peut enfin découvrir de visu. Chose remarquable, ce film a été diffusé le vendredi 2 avril 2010 dernier, à 22h sur Arte, chaîne habituellement très « écologiquement correcte ».
Posté par Fred.
139 réponses à “Le secret des nuages.”
Excellent et qui montre bien comment Svensmark n’a pas pu se faire publier sans aucune justification par Nature et comment il a été obligé de monter et financer toute son expérience pour valider la théorie avec sa seule toute petite équipe.
A ne surtout pas manquer l’extraordinaire intervention des pingouins du Giec pérorant sur l’inutilité de l’expérience et insistant sur ce qu’elle ne devait pas être faite ! puis leur sortie de la salle à la queue leu leu, comme dans Tintin, le Lotus Bleu, la sortie des plénipotentiaire Nippon claquant la porte de la SDN. un régal.
Cette théorie est très poétique, le climat de notre bonne vieille Terre est aussi piloter par la Galaxie : quand nous traversons les bras spiraux les rayons cosmiques augmentent avec le nombre d’étoile et refroidissent le climat. Nous sommes en ce moment dans un petit bras annexe d’où le refroidissement modéré de notre quaternaire.
l’accueil froid voire hostile de la part de l’Eglise Officielle de climatologie est à rapprocher de l’impossibilité pour Ross Mc Kitrick de publier une étude sur l’influence de l’utilisation des sols par l’homme (pourtant aussi anthropique …) et qui n’a pas été prise en compte pour la mesure historique de l’évolution des températures moyennes mondiales, ainsi largement faussées. Deux vérités qui dérangent …
Excellente initiative que de poster ce documentaire.
En le voyant et l’écoutant, vous remarquerez que Svensmark parle du refus par les tenants du Giec de considérer ses idées à partir de 13’35 ».
Ceci rappelle des mots de Bert Bolin alors président du Giec :
« extremely naive and irresponsible » pour qualifier Svensmark.
référence :
http://www.denmark.dk/en/servi…..ttruth.htm
Le vocabulaire de ces gens là n’a pas évolué, Pachauri disait l’an dernier :
« arrogant » et « science vaudou » à propos du rapport Raina sur les glaciers de l’Himalaya.
Quelqu’un a-t-il des nouvelles de la santé de ce pauvre Svensmark depuis la crise cardiaque foudroyante qui l’a terrassé, pendant la conférence de Copenhegue, en direct sur un plateau télé. Voir la fin de mon article « Le secret des nuages » selon Henrik Svensmark
Ca serait un coup dur pour les septiques, on a perdu Leroux, ca saurait dommage de perdre Svensmark (52 ans seulement !).
Pour l’anecdote j’ai trouvé une liste des septiques sur Wikipedia:
http://www.wikiberal.org/wiki/…..climatique
Histoire de se marrer
http://www.terra-economica.inf…..,9336.html
Cette vidéo est passionnante. J’en avais visionné une partie et là je là découvre en entier.
Je suis assez stupéfait qu’il y ait fallu l’expérience montrée dans cette vidéo pour démontrer que les rayons cosmiques pouvaient être à l’origine des nuages!
Je suis chimiste de formation et aussi physicien et comme chimiste je sais qu’une précipitation (quand il s’agit d’un solide) ou bien une condensation (quand il s’agit d’un liquide), sont déclenchées par une apport d’énergie. Pensez au chimiste qui gratte son tube à essai pour amorcer une précipitation !
C’est si vrai que sans apport d’énergie il y a retard au changement de phase.C’est le phénomène de surfusion, surébullition ou de sursaturation!
Ces changements de phases sont aussi déclanchées par des impuretés ou des irrégularités du support en contact avec le produit qui change de phase
Pour l’atmosphère la condensation nuageuse est déclenchée par l’énergie véhiculée par les rayons cosmique qui contiennent assez d’énergie pour cela !
@Bernard
L’idée de Svensmark n’est rien d’autre que celle de la chambre à bulles de Wilson , sauf que l’atmosphère n’est pas, en général, sursaturée en vapeur d’eau. Mais peu de gens savent que Wilson avait dans l’idée de comprendre comment se formaient les nuages avant d’inventer sa chambre à bulles qui a fait faire d’immenses progrès à la physique des particules et lui a valu le prix Nobel. C’était dans les années 1930….
@Laurent B : Svensmark vient de proposer un nouvel article avec un collègue russe (je crois) . Mais je ne l’ai qu’entraperçu. Il faut que je le retrouve. Il doit donc ne pas aller trop mal.
Un communiqué du DTU space center a été publié le 16 décembre :
http://www.space.dtu.dk/Nyhede…..aspx?guid={26A4A095-A971-48E2-BACA-C706F380F162}
Traduction approximative :
Le professeur Henrik Svensmark du DTU spatial, qui, dans une émission en direct sur le DR a été frappé par des problèmes cardiaques, sera bientôt de retour au travail.
Henrik Svensmark a été rapidement prisen charge par l’hôpital universitaire qu’il a quitté le jour suivant.
Cet épisode a provoqué beaucoup d’attention autour de son enquête personnelle et à lui, sa famille et collègues de travail ont été formidables. Le volume de courrier a été grand, et Henrik Svensmark tient à remercier pour tous les courriels de soutien et chaleureux. Il a hâte de bientôt pouvoir reprendre son travail.
@argus
j’entends bien!
Le taux d’humidité est de 100% dans les nuages car avec l’altitude le point de rosée (c’est à dire la température ou les gouttelettes d’eau microscopiques formant les nuages apparaissent)est atteint.
Au niveau de la mer prenons par exemple un taux d’humidité de 70% d’une bulle d’air. Cette bulle d’air, plus légère que l’air sec environnant, va monter et la température de cette bulle va descendre jusqu’à atteindre le point de rosée avec un taux d’humidité de 100%.
Ce n’est pas suffisant pour qu’il y ait condensation, il faut un peu d’énergie. C’est l’affaire des rayons cosmiques qui amorcent la condensation!
En tout cas le travail scientifique de Svensmark présenté dans cette vidéo est intègre et cette expérience prouve que toutes les hypothèses ont été évaluées.
Reportage passionnant, merci !
Une chose cependant m’intrigue dans ce qui est donné pour expliquer les périodes de refroidissement.
Cela concerne la structure d’une galaxie.
Je croyais jusqu’ici que les bras étaient formés de poussières et d’étoiles tournant ensemble autour du centre de la galaxie.
C’est ce qui semble être dit ici.
Mais je n’y connais rien, ou pas grand chose, en astronomie. Si vous avez d’autres informations sur la structure d’une galaxie, je suis preneur.
Il faut donc admettre que le soleil tourne en 250 000 000 d’années autour du centre de la galaxie à une vitesse indépendante de la rotation des bras et croise ceux-ci qui sont bourrés ( et cela je le comprends) de rayonnements de toutes sorte.
Ahhh revoilà du skyfal comme j’aime.
Le film est très bien fait, reprenant des passages d’une émission vue sur ARTE il y a… plus de dix ans! J’en avais fait, dès cette époque, mon cheval de bataille contre les réchauffistes. Dès le départ, on pouvait voir que cette hypothèse était la bonne. Ce qui est nouveau, et du en grande partie a Nir Shaviv, c’est que les grandes fluctuations climatiques seraient en relation avec le déplacement de notre système à travers la galaxie.
Heureux d’apprendre que Svensmark va mieux, mais non d’un chien, comment les gens ne peuvent pas voir la mauvaise foi incroyable de ses adversaires ! Décidément, le péché contre l’esprit est le plus grave de tous !
Bernard.
Je voudrais poser une question : le programme « Cloud » qui a commencé l’an dernier a-t-il un rappport avec les théories de Svensmark ; permettra-t-elle éventuellement de les conforter ?
Bernard (#10), Bah non, il y a condensation tout simplement parce qu’il y a détente adiabatique de l’air => refroidissement. De l’énergie pour l’amorcer, il y en a largement assez puisqu’on est en régime turbulent : dans l’atmosphère, vous ne risquez pas de trouver à un seul moment un régime de sursaturation ! C’est comme ça que se forme les colonnes de cumulonimbus, nul besoin de rayons cosmiques. Là où les rayons cosmiques pourraient intervenir en interagissant avec les aérosols dans la nucléation, c’est dans la répartition de la nébulosité entre nuages bas et haut.
Quant à dire que l’air à 70% d’humidité est plus léger que l’air sec environnant, et c’est çà qui ferait qu’il s’élève, bof bof… D’abord, je ne voit pas ce qui vous fait dire que l’air humide est plus léger que l’air sec. Ensuite, l’air (TOUT l’air) s’élève à cause de la convection déclenché par le réchauffement solaire, point.
J’oubliais, le film est effectivement très bien fait et passionnant, merci Skyfal !
Ca nous change radicalement des mièvreries réchauffistes habituels, surtout sur Arte & co.
@minitax
L’air humide est plus léger que l’ai sec !
La densité de la vapeur d’eau est de 18/29. La vapeur s’élève et c’est pour cela qu’il existe des dépressions et que la pression chute quand l’humidité augmente.
Si la pression atmosphérique chute c’est que la masse volumique de l’air diminue avec l’humidité.
D’autre part il existe plein de phénomènes de sursaturation qui font que malgré que la température soit basse, il n’y ai pas de condensation, sauf par apport d’énergie extérieure!
Il faut bien comprendre que cet apport d’énergie est une amorce . La condensation est exothermique et ce dégagement de chaleur permet la propagation de la condensation à l’ensemble de la bulle d’air sursaturée en eau.
Dans ce sens le rayonnement cosmique amorce la condensation des nuages!
@Myke
Je suis optimiste sur cette expérience.
Le programme « CLOUD » devrait confirmer les théories de Svensmark.
Bernard (#17), le % de vapeur d’eau dans l’air, c’est en moyenne 2%, donc ce n’est certainement pas ça le moteur de la convection, votre raisonnement est fantaisiste ! Le CO2 par exemple est 1/3 plus lourd que l’air, pourtant, il ne reste pas près du sol puisqu’il est considéré comme « gaz bien mélangé », ce qui veut dire que la convection par différence de densité est totalement négligeable par rapport à la convection thermique. Sans quoi, les nuages tomberont tous du ciel !
N’importe quoi, la pression de l’air n’a aucun rapport avec la masse volumique de l’air. Dans un même volume, 100 molécules d’air (N2+O2) produit la même pression que 100 molécules d’eau. Dans PV=nRT, la masse volumique n’intervient pas, revoyez vos classiques.
L’apport d’énergie extérieure peut très bien être assurée par la convection, les ondes de Rossby, les courants atmosphériques… D’ailleurs, l’atmosphère est un système turbulent, les conditions de sursaturation donc sont de très loin l’exception et non la règle, sans quoi, il serait hyper simple de provoquer la formation des nuages par la géoingénierie. De toute façon, la théorie de Svensmark suppose une interaction des rayons cosmiques avec les aérosols dans la formation des noyaux de condensation et non uniquement l’apport d’énergie des premiers, donc c’est bien plus compliqué que votre présentation.
A miniTAX
Ne vous cantonnez pas à la loi des gaz parfait!
A température absolue constante une masse d’air ayant des irrégularités d’humidité verra sa densité diminuer avec son taux d’humidité. Faites l’expérience !
A humidité constante une masse ayant des irrégularités de température verra sa densité diminuer en raison inverse de sa température absolue.
Dans ma jeunesse j’ai fait du vol à voile et je sais de quoi je parle.
J’ai autrement fait des études poussées en chimie et physique et je ne considère pas que la loi des gaz parfait pour expliquer les observations physico-chimiques.
Les états physiques en équilibres instables sont très fréquents.
Regardez les états dont je parle : surfusion, sur ébullition, sursaturation dans les références du Web.
Je ne vais pas faire un cours de physique ici
Je vous prie de regarder ce lien concernant les nuages.
J’admets que le moteur d’une ascendance dans l’atmosphère réel est surtout la température mais en tout état de cause les masses d’air les plus élevées sont celles qui ont le plus grand taux d’humidité
Je ne mets pas en cause le travail de Svensmark que je trouve remarquable.
En ce qui concerne la pression atmosphérique : C’est le poids d’une colonne d’air ayant 1m2 de surface et comme hauteur l’épaisseur de l’atmosphère. Donc le poids d’un volume d’air lequel poids dépend du poids volumique de l’air. Cette pression s’exprime en pascal. 1Pa= 1N m-2 .
Revoyez vos classique vous même!
En ce qui concerne l’apport d’énergie pour amorcer un changement de phase je l’ai expérimenté en amorçant des cristallisations de solution saturée par des UV.
J’ai plus de 40ans de recherches (dans le privé toutefois).
D’autre part je suis désolé de vous contredire mais le CO2 resterait près du sol s’il était en mêmes proportions que la vapeur d’eau dans l’atmosphère.
En 1975 j’ai fait parti de l’équipe de Maurice et Katia Kraft (volcanologues français malheureusement décédés dans une nuée ardente), et j’ai bien vu que le CO2 émis par les volcans restait proche du sol du moins tant que sa concentration était élevée.
Une dernière précision concernant le taux d’humidité de l’atmosphère. Le taux d’humidité est relatif. Il représente le rapport du poids d’eau contenu dans un volume d’air sur le poids d’eau nécessaire pour saturer ce même volume d’air à une température déterminée !
Bernard (#17),
exact et c’est comme cela que la cavalerie russe s’est abîmé dans un étang gelé à Austerlitz, alors que le point de fusion de l’eau était dépassé, les trépidations des sabots ont provoqué la fonte (si mes souvenirs d’Histoire sont exacts).
Pour revenir sur les modèles climatiques, celui de Svensmark est séduisant mais ne prend pas vraiement en compte les océans en particulier à travers leur rôle de stockage et de relarguage d’un contenu thermique très nettement supérieur à celui de l’atmosphère (et du sol). Il y a un cycle de réchauffement refroidissement (El Nino/ La Nina) et d’autres cycles plus longs sans doute mais mal cernés.
Bernard (#11), cf Wikipédia sur les galaxies spirales :
« Dans les galaxies spirales, les bras spiraux forment une spirale logarithmique approximative, un schéma qui peut être, en théorie, le résultat d’un dérangement dans la masse d’étoiles rotative uniforme. Les bras spiraux tournent autour du centre, au même titre que les étoiles, mais avec une vitesse angulaire constante. Cela veut dire que les étoiles entrent et sortent des bras spiraux ; les étoiles proches du centre galactique orbitent plus vite que les bras alors que les étoiles les plus externes se déplacent moins vite que les bras. On pense que les bras spiraux sont des zones où la densité de matière est plus haute, on peut donc les voir comme des « vagues de densité ». Lorsque les étoiles traversent un bras, la vitesse de chaque système stellaire est modifiée par les forces gravitationnelles supplémentaires exercées par une densité de matière plus élevée (cette vélocité retourne à la normale une fois que l’étoile ressort du bras). Cet effet est semblable à une « vague » de ralentissement sur une autoroute saturée en voitures. »
Bernard (#21),
miniTAX (#19),
Votre présence quasi simultanée est un coup de chance pour moi, qui ai une question qui me turlupine depuis pas mal de temps.
La voici :
Est-on en droit d’appliquer en première approximation la loi PV=nRT à une tranche horizontale d’air atmosphérique ?
Si oui, y a-t-il ainsi une sorte de température de base pour cette tranche ?
Merci pour vos réponses.
Myke (#14),
oui Cloud doit permettre une validation à plus grande échelle que SKY (dont les financements publics ont été refusés), et dans un cadre scientifique reconnu (CERN).
Notons que Cloud cette fois bénéficie d’un financement européen mais pas celui de la France qui fait là la preuve de son absence d’ouverture d’esprit …
Pour ceux qui ont peu de temps a voir la vidéo de 45mn, je l’avais traité en mettant l’essentiel pour que la vidéo dure 10 minutes avec tout se qu’il faut savoir.
Vous l’avez ici : http://la.climatologie.free.fr…..m#cosmique
Williams
quel plaisir de retrouver MiniTax et de découvrir bernard sur ce blog où on discute librement de questions scientifiques …..
Non ! les masses d’air les plus élevées ont le taux d’humidité le plus faible, pour la simple raison que la température baisse de 0,6°C quand on monte de 100m. Quand la température baisse, le taux d’humidité baisse.
@marot:
PV=nRT est toujours applicable mais avec les restrictions suivantes:
La température doit être considérée comme constante tout point de cette couche et la pression aussi.
Ce qui oblige « à découper » l’atmosphère en tranches très fines.
Dans le cas ou les température et les pressions varient, pour savoir ce que cela donne sur une plus grosse épaisseur il faut intégrer deux fois une première fois avec la température et une deuxième fois avec la pression.
C’est aux mathématiciens de faire le travail avec l’aide d’ordinateurs et des connaissances des lois de variations de température et de pression dans la zone considérée.
Ce calcul complexe ne peux s’appliquer qu’à des zones restreintes et devient extrêmement approximatif si on veut le globaliser à l’ensemble de l’atmosphère.
@yvesdemars
Merci des précisions concernant les galaxies. Je comprends mieux.
miniTAX (#27),
Bahh non, sinon les nuages ne seraient pas en haut au ciel, mais en bas sur terre!!! c’est humide un nuage, non…

ok je sors…
Minitax:
Le taux d’humidité des nuages est de 100% . Regardez ce que je dis a propos ce taux!
Munissez vous d’un hygromètre et prenez un planeur non hermétique vous verrez!
Bernard (#28),
Comme le saucisson, c’est bien meilleur quand la tranche est très fine..
http://smileys.sur-la-toile.co…..ine_56.gif
ok je sors…
Marot (#23), en première approximation oui, c’est le gradient thermique environnemental (environnemental lapse rate ) .
Le corrolaire de ça, c’est ce qu’a expliqué assez bien Willis Eschenbach dans son modèle de la Terre-recouverte d’une sphère creuse en acier : l’effet dit de serre se produit non pas parce qu’on a des « gaz à effet de serre », mais parce qu’on a des gaz, tout court. Sur Venus par exemple, la température est infernale non pas parce que l’air y est composé de CO2 mais à cause de la pression de 100 bar qui règne à sa surface ! Si on regarde son profil de température, à une altitude de 1 bar, la température de Vénus est voisine de celle de la Terre, autour de 15°C, malgré que c’est composé à 99% de CO2.
Bref, la question de la température due à l’effet de serre est loin d’être simple ni d’être réglée comme on veut nous faire croire.
D’ailleurs, vous pouvez faire un test qui tue : demandez à celui qui affirme que « ze debate iz over » sur l’effet des gaz à effets de serre de répondre précisément à la question : « la Terre serait à quelle température avec 0% de CO2 ? » (uniquement de CO2, pas de GES) et constatez par vous-même comment le gars d’en face s’agite pour noyer le poisson. Même Courtillot raconte des énormités sur ce sujet en affirmant dans une de ses vidéos que « la Terre serait à -18°C sans CO2 » !
Non, Gerlich et Tscheuschner ne sont pas à enterrer. Non Miskolczi n’est pas mort !
Bernard (#31), j’ai jamais dit le contraire, pas le peine de noyer le poisson.
@Minitax
On est d’accord!
Juste une aide pour ce blog que je découvre.
Je connaissais skyfal peu avant son interruption.
Je pense que vous êtes ici depuis longtemps.
J’ai besoin d’une aide technique de base:
Comment insérez vous les parties de texte qui vous intéresse dans une réponse et aussi comment répondre directement à un commentaire sans mettre comme je fait @…?
Merci
Bernard (#36),
S’obtient en cliquant sur la flêche à droite de la barre bleutée.
C’est bien ce que je craignais : il y a comme un défaut dans le fait que mon ajout de texte apparaît comme s’il faisait partie de la citation.
Mes excuses !
Donc, attendre de l’aide pour complément d’information.
(Patience, on va y arriver…)
Bernard (#36),
sur le message auquel tu veux répondre figurent la date et l’heure ainsi qu’une petite flèche , clique sur cette flèche pour générer le nom et le numéro du message de ton interlocuteur.
pour citer une partie d’un texte, faire un copier – coller classique, puis selectionner ce texte et choisir [Citer] dans le petit menu situé au dessus de la fenêtre de réponse.
Piloteman (#39), JG2433 (#37),
Merci de vos renseignements
Apparemment ca marche!
Ca me rappelle ce que jancovici racontait lors d’une de ces conférences ( au mines de paris je crois) que la différence de température de mars et de Vénus n’était pas liée à la distance, mais à la quantité de CO2 dans l’atmosphère, 10 UA contre 0,7 UA, ca n’a forcément rien à voir (1 UA égale distance terre soleil) en citant l’exemple de mercure qui est plus froide que vénus mais quasi dépourvu d’atmosphère..
Sachant que la concentration de CO2 de mars et vénus est quasi identique 95%, sauf que la densité marsienne et très inférieur à celle de vénus.
pecqror (#41),
c’est un des dadas de jancovici de citer vénus malheureusement pour lui c’est un argument assez faible:
la chaleur de Vénus est surtout due à la pression non au CO2 qui de toutes façons sature bien en deçà …
Et aucun modèle ne restitue bien l’atmosphère vénusienne sauf celui des russes .. C’est la Théorie adiabatique (ou convective) de Sorokhtin et al.
qui réfute l’effet de serre dans ses modèles
Roy Spencer annonce ce jour une publication revue par les pairs sur JGR (Journal of Geophysical Research) qui semble remettre en question fondamentalement le jeu des rétroactions prévues par le GIEC (positives rappelons le) à cause de l’effet des nuages. Il a eu beaucoup de mal à le faire accepter, mais après un premier rejet puis de longues discussions, il a convaincu les réviseurs. Son annonce est assez laconique car il ne veut pas risquer de contrarier la publication, ça se comprend. Attendons la parution.
Ça ne devrait pas faire plaisir à nos 600 signataires ….
J’aime bien les échanges entre Minitax et Bernard. Je suis peut-être nul, mais est-ce qu’une partie de leurs divergences ne vient pas de la confusion entre humidité relative et humidité absolue, le tout variant avec la température et la pression. Pour chaque cas de figure j’avais appris en météo pour passer mon brevet qu’il y avait une « tension de vapeur saturante ». Reprenez moi si je dis des bêtises !
scaletrans (#44),
Oui je pense aussi que notre divergence venait en partie de la confusion entre humidité absolue et relative. D’où ma réponse .
La tension de vapeur saturante est la pression partielle due à l’eau à une température donnée.
Autrement dit, pour l’eau, à 100°c la pression partielle saturante est égale à la pression atmosphérique c’est pour cela que l’eau bout à 100°C
Si on diminue la pression on peut faire bouillir de l’eau à 20°C (sous vide). La pression où l’eau sera en ébullition à 20°C est la tension de vapeur saturante de cette eau à 20°C
On peut même évaporer l’eau de la glace sous très bon vide( à -5°C par exemple) . C’est la sublimation. passage de l’état solide à l’état gazeux sans passer par l’état liquide.
Cette technique est mise en œuvre pour lyophiliser.
Par exemple on fait du café, on gèle ce café et on met les plaques de café congelé sous très bon vide. Il y a évaporation de l’eau sans passer par l’état gazeux et il restera le café lyophilisé.
J’ai déjà raconté (sur un poste du Mythe Climatique) mon expérience au Parlement Européen, invité par celui-ci pour entériner en fait les futures décisions sur la fiscalité anti-CO2 : je me souviens qu’au début de la première session plénière, un petit groupe d’hommes en colère, manifestement des députés eu. avaient fait un esclandre contre la tenue de cette conférence en soutenant, très colère, que le CO2 n’avait rien à faire avec le climat qui était dirigé par le soleil, avant d’être fermement invités à se taire et à sortir, car visiblement ils n’étaient ni invités ni les bienvenus Parmi eux, le plus énervé était un homme d’une soixant
-taine d’années, barbu grisonnant, plutôt costaud et je crois qu’il était écossais, si j’ai bien compris. Il distribuait des flyers sur sa position mais je ne retrouve pas celui que j’avais dû ramasser… Quelqu’un peut-il dire de qui il s’agit ? Et en général sur ce groupe d’opposition au Parlement Européen sur ce sujet ?
Tout d’abord, très heureux que le site soit revenu, l’attente a été longue.
Très beau documentaire, qui appuie ce que beaucoup de gens, dont je fais partie, croient: le réchauffement anthropique de la Terre n’est qu’une aberration scientifique.
Le refus prolongé de publier les résultats obtenus lors de l’expérience réalisée dans le reportage ne fait que me conforter dans l’idée que la Science, l’un plus beaux domaines auquel je m’intéresse, a été déviée de son but initial, et que malheureusement cela n’ira qu’en empirant si les certaines choses ne changent pas.
Quoi qu’il en soit, c’est aberrant de voir à quel point les scientifiques à l’origine de découvertes majeures et cruciales sont traités comme des moins que rien et jetés à l’opprobre.
Et oui beau reportage, il est cependant dommage qu’Arte n’ait pas précisé que la Théorie de Svensmark est fausse:
http://www.eawag.ch/organisati…..ogovic.pdf
http://www.atmos-chem-phys.net…..5-2010.pdf