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Par Steve Goddard
Il semble que GISS travaille dur pour que 2010 soit l’année la plus chaude jamais enregistrée. Comme vous pouvez l’observer, le graphe ci dessus montre que 2010 a beaucoup plus d’aire au dessus de la courbe de 1998 qu’en dessous. J’ai fait une intégration numérique du graphe, en montrant qu’on y trouve 2,8 fois plus d’aire où la courbe est au dessus de 1998 qu’en dessous.
Que nous disent d’autres sources d’information? HadCrut a ajusté ses données à la hausse, mais même avec cet ajustement, nous trouvons seulement 0,04 fois d’aire au dessus de la courbe de 1998.
UAH a 0,12 fois d’aire au dessus qu’en dessous. C’est 25 fois moins que GISS.
RSS a 0,07 fois autant d’aire au dessus que dessous la courbe de 1998. C’est 40 fois moins que GISS.
Le graphe ci dessous nous montre l’écart entre GISS et les autres indicateurs:
L'index du GISS est le seul indicateur de température globale qui montre 2010 comme année la plus chaude jamais enregistrée. Les autres en sont loin. Celà est sans doute dû à leur formidable couverture des zones arctiques non existante bien meilleure que celle des autres :
Conclusion: Dr. Hansen pense que le réchauffement continue de façon sans précédent depuis 1998, tandis que les indicateurs HadCrut, RSS et UAH pensent qu’il y a eu stabilisation ou pause.
GISS
Had crut
Source : WUWT, traduction par Julien
671 réponses à “Le GISS veut faire de 2010 l’année la plus chaude”
joletaxi (#499),
Ola Joletaxi … 😆
Je ne suis tout de même pas Ministre d’Etat !… 👿
PapyJako (#493), J’achèterais, si je n’étais persuadé qu’en réalité, nous fabriquerions ainsi de telles quantités de chômeurs, en difficulté pour payer leurs traites et autres cartables neufs à leurs enfants, que je n’aurais le coeur à la chose…. Imaginer un chercheur cherchant… un emploi, il n’y a rien de plus tragique !
@ tous…
Comme Manu95 est parti, je vais prendre le relai comme emmerdeur officiel défenseur de la langue française.
J’ai remarqué une erreur fréquente, issue d’un anglicisme…
En français, une décade est une période de 10 jours
La période de 10 ans est une décennie
C’est tout, vous pouvez reprendre une activité normale
the fritz (#398),
revirement, vraiment?:
http://www.climat-evolution.co…..83136.html
floyd (#504),
Sans doute quelqu’un qui voudrait mettre les lois physiques et les théorèmes (souvent appelés « axiomes » dans les manuels… c’est vous dire!) aux voix… en toute démocratie
Astre Noir (#503), parti…parti… pas si sûr, puisque la personne est toujours là sous un autre pseudo plus court ! 😉
Les premières estimations pour la température globale moyenne de septembre commencent de tomber.
La réanalyse NCAR met septembre 2010 au 4e rang des mois de septembre les plus chaud.
Selon RSS (MSU/AMSU, satellite), la basse troposphère (chanel TLT) n’a jamais été aussi chaude depuis le début des mesures (1978) pour un mois de septembre: le record a été nettement battu à +0.525 (précédent record, 1998 à +0.494).
Warm (#507)
Très bien d’arriver à l’heure à son travail.
9h00 c’est une belle ponctualité.
À 9h00 pile, premier versement au « collector » du spécialiste qui voit une réanalyse alors que
On n’a pas toutes les données, elles ne sont que des estimations et craaac, il a déjà vu une réanalyse.
C’est la science climatique à la sauce moderne.
Warm (#507),
VENDEZ !!
On peut toujours raconter n’importe quoi sur les températures.
En choisissant soigneusement ses bases de données, ses références etc..
Dire que « tel mois est le 4ème plus chaud depuis… » permet de cacher la tendance. Et c’est la tendance qui est intéressante.
C’est un truc (a » trick ») éculé pour « hide the decline ».
Alors voici des données non traffiquées sur plusieurs années.
Mesures satellites AMSU UAH (source :
http://discover.itsc.uah.edu/a…..?amsutemps)
La température de surface des océans est en plongée (valeur la plus basse pour le mois d’octobre depuis 6 ans)
2010 = trait jaune
Les autres couleurs = les cinq années précédentes.
Après avoir longtemps survolé le graphique à cause du dernier El Nino, la temp de surface des océans a plongé, comme l’avait prévu Spencer. D’autre part la température des 700 premiers mètres des océans est aussi à la baisse depuis 2003-2005.
Les températures vont baisser… (sauf sans doute, chez Hanson and Co, mais ça va être de plus en plus dur à cacher)
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AMSU UAH , canal Ch05(Aqua) (celui qui sert à mesurer la temp de la basse atmosphère)
La courbe en jaune, c’est 2010. Là encore, elle a survolé les courbes des 7 années précédentes, à cause du récent El Nino.
Visiblement, elle rentre dans le rang. La temp va baisser.
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Quant à l’extension de la glace arctique (à 30%), elle remonte à vitesse grand V.
On a déjà rejoint et dépassé celle de 2005.
source :http://ocean.dmi.dk/arctic/icecover.uk.php
Dans ce parc de l’Oregon, ils donnent chaque jour les renseignements de la station météo : ça fait combien en celsius, 54° Fahrenheit ? http://parks.ashland.or.us/weather/
PBR 512
12,2°C
http://www.la-calculatrice.com…..lsius.html
Bob (#513), gla-gla !
Patrick Bousquet de Rouvex (#512),
°C = (°F – 32) * 5/9
Pour un calcul mental rapide, °F-32 puis diviser par 2 et ajouter 10% (ou mieux 11%) au résultat.
En effet, 5/9 = 0.55555… = 0.5 * 1.11111…
D’où 54 – 32 = 22 -> 11 + 1.1 + 0.11 = 12.21
M (#515), il faudrait l’inscrire dans le marbre -enfin dans la colonne de gauche, pour le retrouver en cas de besoin, car s’en souvenir, pas évident…
Patrick Bousquet de Rouvex (#516),
Ou avoir une carte de conversion comme celle qui m’accompagne depuis… 1965
Scaletrans (#517), pour un amateur éclairé des questions climatiques, ce doit être aussi important dans le portefeuille que la carte de groupe sanguin !!!
Patrick Bousquet de Rouvex (#518),
A ceci près que ça ne tient pas dans un portefeuille…
anomalie de septembre +0,60
soit au cumul:
1998 +0.590
2010 +0.553
en moyenne.
Comme l’écrit Roy Spencer la combinaison de la sortie de El Nino vers La Nina avec une SST en baisse très nette et des écarts plus faibles aux tropiques doit amener immanquablement une nette baisse des températures moyennes mais ceci dépend de la célérité de Dame Nature qui a plus d’un tour dans son sac
commentaire à mon post précédent, pas de quoi pavoiser pour le RCA …..
et comme l’a remarqué très judicieusement Roger Pielke Sr l’évolution du climat mondial est bien mieux reflétée par le contenu global thermique incluant celui des océans notamment qui constituent et de loin la plus grande masse de stockage
“Unlike temperature at some specific depth in the ocean or height in the atmosphere, where there is a time lag in the response to radiative forcing, no time lags are associated with heat changes, since the actual amount of heat present at any time is accounted for. Moreover, because the surface temperature is a massless two-dimensional global field while heat content involves mass, the use of surface temperature as a monitor of climate change is not accurate for evaluating heat storage changes. “
image:
Scaletrans (#519),
On peut imprimer cette image et garder le papier dans son portefeuille.
M (#524),
Bonne idée !
C’est ce que je vais faire…
Merci !
Aïe… du gras…
Je n’ai pas fait exprès.
yvesdemars (#520),
En effet, UAH confirme les résulats de RSS.
Septembre record. 6e anomalie la plus haute tous mois confondus depuis 1978.
Comme chaque mois depuis mai, Spencer répète « ça va se refoidir »
Tiens, avec cette série de très hautes anomalies en 2010, pas de bol pour les « cherry pickers ».
Impossible de trouver une tendance négative dans les température UAH. Fini de dire « la température n’augmente plus depuis 200x »
Bon faudra trouver autre chose pendant quelques mois, avant que ENFIN le refroidissement prédit arrive
Warm (#527),
Pôv Warm, en être réduit à confondre météo et climat pour voler au secours de son climatitanic avec un pathétique « record » ! Décidément, notre spécialiste de la pluie et du beau temps est en plein débâcle.
Vu la Nina qui s’installe (la grosse bande bleue qui se pointe !) , le contre-coup de ce « record », càd une chute sévère de température (comme en 1998) va lui être fatal. J’espère pour eux que les bigots de FARCE, après avoir chanté leur litanie catastrophiste tout l’été auront fait un gros stock d’anxiolytique les premières bises venues, comme les Russes font leur gros stock de bois pour cet hiver (prévu pour battre le « record » du plus froid depuis 1000 ans).
Et un mensonge diffamatoire de plus. Du Warm tout craché quoi…
miniTAX (#529),
Faut bien qu’il anime les conversations !!
miniTAX (#529),
Très bon j’ai citer votre message sur notre forum tellement c’est pleins de vérité !
Marco33 (#530)
Ce n’est pas de l’animation, c’est un écho avarié des voix de ses maîtres Hansen et Romm.
La chaleur c’est du climat :
Ce qui est clair, cependant, est que la période la plus chaude de 12 mois dans l’analyse du GISS a été atteinte à la mi-2010.
Quel malheur, ce réchauffement !
Le froid c’est de la météo :
Sans aucun doute, la tendance au refroidissement dans l’année était due au raffermissement de La Niña, et la fraîcheur inhabituelle en janvier a été aidée par une fluctuation de l’hiver.
Boff, c’est La Niña et des fluctuations, pas plus.
L’implication de R. Spencer c’est le coup de pied de l’âne.
Marot (#532),
il ne faut pas faire dire à Monsieur Spencer ce qu’il ne dit pas:
Past experience (and radiative-convective equilibrium) dictates that the global tropospheric temperature, still riding high at +0.60 deg. C for September, must cool in response to the cool ocean conditions.
But given Mother Nature’s sense of humor, I’ve given up predicting when that might occur.
Lui au moins a le mérite de l’humilité….
Un record d’anomalie mensuelle globale de température, ce n’est pas de la météo. Anomalie veut déjà dire que l’on compare à la normalité climatique. Ensuite on travail au niveau global (je n’ai jamais vu de prévision météo donnant la tendance du temps pour la terre entière ) et sur une moyenne mensuelle.
Warm (#528),
Il est intéressant votre graphique, Warm. Où on voit une tendance de +0,12° sur 15 ans. (et pas n’importe quels 15 ans: explosion des taux de CO2 lâchés dans l’atmosphère, soleil en plein cycle 23, etc…)
Sur un siècle, ça fait une pente de 0,7° à 0,8°. Terrifiant 😥
Comment il disait déjà le chef du CRU/GIEC ? Ah oui, pas « statistiquement significatif ». Nous sommes d’accord.
Warm (#534), C’est pour ça que la météo est une discipline plus sérieuse que la climatologie!
Warm (#534), mais oui, bien sûr ! Donc si on devait suivre le raisonnement pourri sorti de ton chapeau, le record planétaire du mois janvier (presque) le plus froid jamais mesuré, c’est en 2008, avec -0.196°C et ce n’est pas de la météo et c’est le signe d’un refroidissement inéluctable.
Ah, on me murmure que c’est incompatible avec une accélération sans précédent des émissions de gaz sataniques par les salauds de Terriens.
La réalité ne colle pas aux simulations de CAO (Catastrophisme Assisté par Ordinateur) , le problème doit venir de la réalité 😈
Faux…
Janvier 1984: -0.32
Janvier 1994: -0.24
Janvier 2008: -0.20
miniTAX écrit « presque »,
gnagnagna répond Faux !
miniTAX écrit -0,196
gnagnagna rectifie -0,20
On a fait un grand pas.
Eh bien quand je lis
Je dis NUL.
1998 is still the warmest year on record
http://www.accuweather.com/uki…..e-blog.asp
en fait les donnée satellitaires sont sûrement frappée d’ »une incertitude de 0,10 à 0,20, ne serait-ce que par le maillage qui reste relativement grossier (même s’il incomparablement supérieur au GISS de hansen pour les zones de hautes latitudes), sans compter le fait que les nuages perturbent les mesures même au niveau de ch05 14.000 pieds, donc:
1984 n’est sans doute pas plus significatif que 2008, concluons que les deux chiffres ne sont pas départageables donc sont comparables et en ce qui me concerne je ne sens pas de différence de température inférieure à 1 à 2°C, alors les 0,12 ou 0,13 de warm en forme de communiqué de victoire me font doucement rigoler ….
yvesdemars (#541), l’incertitude d’au moins 0,2°C, ce n’est pas une hypothèse, c’est une certitude ! Il suffit de comparer les 2 sources de Tsat, RSS et UAH pour en avoir la preuve. Prenons par exemple les « records » à la noix de Warm :
– Pour UAH (je reprends ses dates)
Janvier 1984: -0.32
Janvier 1994: -0.24
Janvier 2008: -0.20
– Pour RSS
Janvier 1984: -0.27
Janvier 1994: 0.01
Janvier 2008: -0.07
Quand on trouve 2 valeurs différentes pour une même grandeur physique, ça veut dire qu’on n’a rien trouvé du tout ! Bref, il faut avoir le crâne rempli de ketchup pour croire que ces « records » ridicules ait un sens et plus encore, un sens « climatologique ».
Notez d’ailleurs comment notre expert en mauvais temps, qui veut insinuer perfidement que la température dite « globale » mensuelle aurait une signification climatologique se défile lamentablement quand il s’agit d’expliquer pourquoi Janvier 2008 avait été aussi froid alors qu’on est sensé être en plein thermo-apocalypse depuis 2 décennies, surtout après le recul « sans précédent » de la banquise arctique 4 mois auparavant !
miniTAX (#542),
tout à fait d’accord, et en ce qui concerne les températures depuis 1850 le bruit (ou incertitude) est encore plus grand sans doute proche de 0,50 ….
sur les Tsat qui s’est livré à une analyse statistique des écarts pour en déduire un intervalle de confiance ???
L’un de vous pourrait-il dire où sont disponibles les diverses (?) mesures du rayonnement TOA de la Terre, IR et dans le visible.
En dire un peu plus sur les satellites et capteurs qui font cela serait plus qu’utile.
Merci
Marot (#544),
Pour ERBE, tu peut trouver toute la doc et les données ici:
http://eosweb.larc.nasa.gov/PR….._erbe.html
Pour CERES (successeur de ERBE), la doc et les données sont ici:
http://eosweb.larc.nasa.gov/PR…..ceres.html
Avant cela, il y avait aussi un radiomètre Installé à bord des satellites météo défilant (orbite polaire) russes (ScaRaB sur METEOR)
Le principe est toujours le même, ce sont des radiomètres large bande spectrale et faible résolution qui scannent la terre d’horizon à horizon perpendiculairement à l’orbite. La calibration et son suivi sont assez complexe et mobilisent des équipes d’ingénieur à plein temps.
Pour ERBE, il y avait aussi un radiomètre fixe, à larges bandes spectrales, pour mesurer la TSI.
ERBE était installé sur les satellites météo en orbite polaire NOAA (10 et 11) et sur un satellite dédié (ERBS)
CERES est installé sur TRMM, TERRA et AQUA
Laurent (#545)
Merci pour ces liens.
A-t-on une idée de la précision des mesures ?
Je pense bien entendu aux bilans de Trenberth au W/m² près.
Marot (#546),
C’est un peu une question à tiroir….
Les radiomètres eux-mêmes (qu’ils soient à balayage ou fixes) sont soigneusement conçus (pour éviter les réflexions multiples et la lumière parasite) et bien calibrés (avec des dispositifs d’auto-calibration et des mesures d’obscurité), la calibration est suivie en continu. Les gains et courant d’obscurité sont mesurés avec des précisions de l’ordre de 0,1%… ce qui au final donne une précision de l’ordre de 1 à 2 W/m2.
De plus, le traitement sol permet d’améliorer encore la précision.
Par contre, cette précision s’applique à ce que les radiomètres mesurent…. et qui n’est qu’une partie du rayonnement terrestre:
La totalité des satellites embarquant ces capteurs volent à une altitude d’en gros 800 km (un peu plus haut pour certains)… ce qui fait qu’ils ne voient qu’une partie du globe (avec un calcul à la louche, cela fait une surface d’environ 6000 km de diamètres).
De plus, la plupart des satellites embarquant ces capteurs sont en orbite sur un plan orbital faisant un angle fixe avec la direction terre-soleil (hormis ORBS et TRMM qui sont asynchrones), ce qui fait qu’ils ne « voient » chaque point du globe que sous une série limitée de combinaisons « incidence solaire (heure) /angle zénithal », qui ne couvre pas la totalité (et même qu’une petite partie) du spectre bi-directionnel.
Comme ni la réflexion, ni l’émission radiative ne sont lambertiennes, cela veut dire que l’on estime le rayonnement total à partir d’un échantillon discret… et on ne connait pas théoriquement l’erreur de cette estimation.
ERBS et TRMM permettent de couvrir une bien plus grande portion du spectre bi-directionnel, et donc à priori d’estimer cette erreur (mais du coup, ils ne « voient pas » les hautes latitudes)… je n’ai pas lu de travaux donnant un résultat de cette estimation.
Ces capteurs ont toujours été des passagers sur des satellites, et n’en constituent donc pas la mission prioritaire, mais juste une mission secondaire comme une autre. Seul ORBS à été un satellite dédié (et donc avec une orbitographie planifiée en conséquence).
Il est donc difficile d’estimer une erreur pour la mesure absolue du rayonnement terrestre total…. mais elle est sans doute de quelques %.
Pour l’améliorer, il faudrait lancer une constellation de satellites dédiés évoluant sur des plans orbitaux d’angles différents (une série de plans fixes répartis et quelques asynchrones pour relier le tout…)
Par contre, on peut considérer qu’en relatif, la mesure d’un capteur qui voit toujours la même chose à la même heure a du sens (surtout si on l’intègre sur des périodes suffisamment longues)… et que donc la mesure des variations de rayonnement global est d’une meilleure précision que la mesure absolue, et sans doute, après intégration temporelle, de l’ordre du W/m2.
…. Sauf que… en ce qui concerne ERBE sur NOAA10 et NOAA11, ces deux satellites, comme la plupart des satellites de la série TIROS, dérivent temporellement, ce qui correspond à une rotation du plan orbital… et donc à un déplacement d’échantillonnage, ce qui plombe forcément la mesure relative.
Je ne suis pas sur d’avoir donné une réponse satisfaisante à ta question…. mais c’est un sujet loin d’être simple (et qui fait l’objet d’une foultitude de publications diverses). Ce que j’en dis n’est qu’une analyse très superficielle.
Laurent (#547),
C’est très éclairant malgré tout, et me convainc définitivement qu’on peut tirer plus de renseignement fiables à parti d’un réseau comme celui des flotteurs ARGO sur les changements… à venir dans la circulation atmosphérique.
Laurent (#547)
C’est bien pour cela que j’ai posé cette question car je ne m’en sortais pas dans mon temps disponible.
Un très très grand merci pour tout cela et…
une méfiance toujours bien installée vis-à-vis des bilans trenberthiens.
L’unique W/m² de chaleur manquante me paraît toujours illusoire sinon plus dans les deux estimations par rapport au :
..flux entrant total (341) 3 pour mille;
..flux sortant total IR (239) 4 pour mille.
Référence Kevin E. Trenberth, John T. Fasullo, Jeffrey Kiehl
Un très grand merci renouvelé.
sur la base des 25 premier jours d’octobre (source UAH):
anomalie octobre 2010 (e) +0,40 vs +0,36 octobre 2009
anomalie cumulée fin octobre 2010 (e) +0,54
il est peu probable que 2010 soit significativement supérieur à 1998 …
Remarquons que de la SST à Aqua05 2010 est repassé récemment en dessous de 2009 …
Verra -t-on la moyenne mobile annuelle revenir à zéro comme en 1999 ???