Voici la traduction faite par Scaletrans de l'article de
Résumé
Les processus de transfert d’énergie qui interviennent à la surface de la Terre sont examinés d’après les principes fondamentaux. L’effet de petits changements dans la constante solaire causés par des variations des cycles solaires et de petites hausses des flux infra rouges descendants de grande longueur d’onde dues à une augmentation de 100 ppm de la concentration de CO2 dans l’atmosphère sur la température de surface est examiné en détail. Les modifications de la constante solaire sont suffisantes pour changer la température des océans et modifier le climat terrestre. Les effets sur la température de surface de petites augmentations de flux descendants d’IRGLO (Infra Rouge de Grande Longueur d’Onde) sont trop ténus pour pouvoir être mesurés et ne peuvent causer de changement climatique. Les hypothèses sous-tendant l’utilisation du forçage radiatif dans les modèles climatiques sont démontrées invalides. L’hypothèse nulle est proposée à propos du CO2 car il est impossible de démontrer que ses changements de concentration aient pu causer le moindre changement climatique, au moins parce que l’actuelle composition de l’atmosphère fut établie par la photosynthèse océanique il y a environ un milliard d’années.
Introduction
Durant les cinquante dernières années, la concentration de CO2 dans l’atmosphère s’est accrue de 70 ppm pour atteindre 380 ppm et l’indice d’activité solaire (nombre de taches solaires) a été de d'environ 70% supérieur à la moyenne historique depuis 1650.1-3 Sur cette période, la température des océans a augmenté, la surface de glace de mer dans l'Arctique a diminué et la température moyenne météorologique de surface a augmenté.4-8 Dans des conditions de ciel clair, les 70 ppm supplémentaires de CO2 augmentent le flux descendant d’infrarouge de grande longueur d’onde (IRGLO) de 1,2 W par m². Cela donne environ 1,7 W par m² pour la totalité des 100 ppm d’augmentation anthropique sur les 200 dernières années. Ces chiffres sont issus des calculs de transfert radiatif de la base de données HITRAN et sont utilisés comme ‘constantes de forçage radiatif’ dans les modèles climatiques du GIEC.9,10 Les données radiométriques du satellite SOHO/VIRGO montrent que la constante solaire a augmenté d'environ 1 W par m² durant le dernier cycle solaire sur un total de près de 1365 W par m².11 L’indice d’activité solaire correspondant est passé de 8,6 à 120 pour descendre de nouveau à 2,8.3 On doit en tenir compte pour relier le changement d’indice d’activité à la variation de la constante solaire. Une augmentation de 100 de l’indice d’activité produit une augmentation de la constante solaire d'environ 1 W par m². Cela signifie que la constante solaire des 50 dernières années (6 cycles solaires) a été d'environ 0,3 W/m² supérieure à sa moyenne historique depuis 1650. La question de physique de base est simple. Comment ces petites modifications solaires et de flux d’IRGLO influencent-elles le processus de transfert d’énergie qui s’effectue à la surface de la Terre et provoquent les changements climatiques observés ? Comme les interfaces air-océan et air-terre se comportent différemment, il est bon de les considérer séparément, en commençant par l’interface air-océan et un peu d’histoire climatique.
L’interface Air-Océan
Lors de la dernière glaciation, la constante solaire fut réduite d'environ 1 W par m² en raison de modifications de l’ellipse de l’orbite terrestre dues aux cycles de Milankovitch.12 Au maximum glaciaire, le niveau de la mer était inférieur d'environ 120 m du niveau actuel.13 Cette eau était stockée sous forme de glace sous les hautes latitudes. Sur une période de 10 000 ans, la chaleur nécessaire pour faire fondre cette glace et réchauffer l’eau résultante à 15°C a requis une augmentation de la constante solaire d'environ 0,4 W par m². Avec le réchauffement des océans, la solubilité du CO2 diminua et la concentration atmosphérique de CO2 passa de 200 à 280 ppm. 4,15 Ceci était un effet et non une cause du réchauffement de l’océan. Le Minimum de Maunder fut la période de 1645 à 1715 durant laquelle il n’y eut presque aucune tache observée sur le soleil. Ceci coïncidait avec le ‘Petit Age Glaciaire’, une période d’hivers très froids. Le nombre de taches solaires ayant augmenté après 1715, le climat de la Terre s’est réchauffé, comme en témoigne la fonte des glaciers et la montée du niveau des mers.16 Cependant , la concentration de CO2 atmosphérique ne commença à augmenter qu’après 1800.
Le soleil est la source de chaleur de la Terre. La moitié de l’énergie solaire est incidente dans la zone latitudinale de ± 30° et 70% de cette énergie l'est pour la bande de ± 47°. Le réchauffement de l’atmosphère des tropiques crée la circulation des cellules de Hadley et les alizés. En contrepartie les alizés entraînent les gyres océaniques de grande échelle et les courants comme le Gulf Stream qui transportent l’eau chaude de l’océan à des latitudes plus élevées. Dans des conditions idéales, le soleil peut réchauffer les océans jusqu’à 100 m de profondeur. L’océan se refroidit par une combinaison de processus d’évaporation et d’émissions d’IRGLO limités à une couche de 1 mm d’épaisseur au plus. Cette évaporation est la principale source de chaleur pour l’atmosphère située au-dessus de l’océan. La Première Loi de Thermodynamique impose seulement la conservation de l’énergie à l’interface air-océan. Il n’y pas de conservation de flux sur une échelle de temps quelconque. Le réchauffement de l’océan par le soleil suit la loi de Beer. Le rayonnement solaire est atténué au long de sa course suivant le coefficient local d’absorption/diffusion. Quand le soleil réchauffe l’océan au printemps et en été, les couches supérieures se réchauffent et un gradient thermique stable s’établit. Lorsque l’océan commence à se refroidir à l’automne, les couches supérieures se refroidissent en premier et une couche uniformément mélangée se développe, s’étendant aux couches plus profondes à mesure que la température décroît. Deux couches distinctes réchauffées par le soleil se forment. Près de la surface l’océan est mélangé par des gradients de densité thermique diurnes et l’action des vagues. Les échelles de profondeur et de temps sont respectivement de 10 à 25 m et 24 heures. Aux plus grandes profondeurs le mélange s’effectue plus lentement par des changements de gradients de densité/salinité car les mouvements de surface ne sont que faiblement couplés à ces profondeurs. Les amplitudes de mélange sont de 25 à 100 m et une ‘saisonnalité’ de 90 jours ou plus.
57 réponses à “L’hypothèse CO2 invalidée.”
Qui est Roy Clark ?
INGARAO (#1),
Un total inconnu…
C’est un ingénieur en aéronautique, qui a été admis à écrire un article sur ce sujet auprès de l’EPA, l’agence environnementale des US.
Un certain Pachari, grand ponte du GIEC (son président en fait) est un ingénieur des chemis de fer.
L’un est plus proche de l’air, lautre de la terre, cherchez qui est qui ?
Et alors ?
« Et alors il se brûle » (parce qu’il prend sa vessie pour une lanterne…)
Pour les fans.
Un peu (beaucoup) de lecture.
On y retrouve l’article de ce fil ainsi que quelques autres.
Un numéro spécial de E&E :
http://www.eike-klima-energie……d_3_Mb.pdf
Bob (#6),
Très intéressant. Tout en ‘wagnérisant’ (j’ai attrapé la maladie wagnérienne tout petit
) j’ai parcouru rapidement et ai trouvé ceci dans le commentaire sur Miskolczy:
• The heat transfer from surface to atmosphere is only by convection, not by
radiation.
• We do not need to know the composition of the atmosphere.
• We do not need to subdivide atmosphere into troposphere and stratosphere
• We do not need to differentiate between low and high latitudes; the theory holds
everywhere.
• We do not need to differ between low & high clouds, only their total albedo effect
matters.
• The surface temperature TS is only coupled by SU = TS
4 = 1.5 F0 to the net SW
absorption F0.
• There is no “greenhouse gas”, no “forcing”, no “feedback”, no “climate
sensitivity”.
• The cloudy sky moves to that equilibrium effective optical density whereby
the net absorbed solar heat can be reradiated out into space with the
minimum greenhouse effect, minimum surface temperature or maximum entropy
production.
Je regrette de manquer de temps. Quelqu’un pourrait-il se pencher là dessus?
Faudrait savoir. Y a « green house effect » ou pas ?
Ceci dit cet article anti-réchauffiste ne changera rien à la polémique. Quand on est croyant, on est croyant…
Il est un peu hardcore quand même celui là 😉
Murps #8
Hum !
On ne peut pas extraire quelques phrases brutes de cet article qui n’est rien d’autre qu’une explication du dernier article sur MIskolczi, pour en tirer des conclusions.
Heureusement, l’article est nettement plus nuancé.
En réalité, l’auteur explique correctement que l’effet de la variation de la vapeur d’eau compense exactement celui des variations de CO2, selon Miskolczi.
C’est à dire qu’il n’y a plus d’effet des greenhouse gases.
Il aurait plutôt dû dire : il n’y a pas de variations de l’effet de serre. quand on rajoute du CO2.
C’est la coeur de ;la théorie de Miskolczi.
Méfions nous des extraits, tirés de leur contexte.
Effectivement, je pense qu’il faut l’interpréter comme cela.
Mais une première lecture à chaud de scaletrans (#7) laisse sur une drôle d’impression.
😉
Warm (#4),
N’importe qui d’autre que warm est « interpellé » par le fait que le Président des soi-disants « 2500 meilleurs climatologues du monde » n’est que spécialiste en signalisation ferroviaire … un petit peu au dessus – tout de même – que « Chef de Gare », mais si peu.
D’ailleurs, quand dans une discussion « de bistrot » j’annonce ce fait, personne ne veut me croire.
Ce qui est merveilleux avec Internet, c’est que tout le monde peut le vérifier.
Ce qui est encore mieux avec l’Internet mobile, c’est qu’on peut maintenant en apporter la preuve même au bistrot !
Essayez tous, ça marche !…
Warm (#2), Un total inconnu oui, ce qui ne signifie en rien que ses idées sont fausses (ou qu’il emporte une partie de vérité…). J’adore le mépris des climatologues sur leur piédestal…
En attendant j’ai étudié le code du GISTEMP que vous avez donné, et j’y ai trouvé des malconceptions… Disons que ce qui y est fait révèle de certaines maladresses, mais je ne m’attendais pas que des climatologues soient spécialistes du code…
C’est la vie.
julien (#13),
Oui, argument d’autorité comme d’hab. Il faut que cela reste dans le bon giron.
julien (#13),
C’est le code publié. Rien ne dit qu’il n’y a pas des petits programmes annexes.
Quand on se souvient de ce qu’est le vrai code du CRU, je ne doute pas qu’il aurait été nettoyé et poli pour publication car c’est une horreur, même Harry l’a écrit.
D’autres articles que celui de Clark, très intéressant, toujours dans la même référence EVE.(voir Bob # 6)
Notamment la « stabilité » de la température de la Terre sur les derniers 500 millions d’années(c’est un nouveau paradigme qui devrait définitivement mettre au chômage tous les alarmo-psitacco-réchauffistes, mais ne rêvons pas), expliquant qu’il y a une régulation naturelle cumulus puis cumulonombus au niveau des zones équatoriales,celles qui reçoivent la majorité de la chaleur du soleil. (je fais court et en langage de béotien, j’assume)
Evidemment, l’auteur n’est ni GIECien, ni un Hansennien, ni un Nicolahulottien, il est donce, forcèment à la solde d’EXXON, Amen, fermez le ban.
Sur Google pour Roy Clark je tombe sur un chanteur (qui ne me plait pas, mais ce n’est pas le problème). Je suis absolument anti Giec, pour dire les choses très simplement, mais un peu de transparence ne fait pas de mal. Le contenu de l’article est dense, il dépasse largement mes facultés de compréhension. Aussi je souhaite savoir qui en est l’auteur. Loin de moi l’idée d’utiliser l’argument stupide : si on n’est pas « climatologue » (comme si cela existait) on n’a rien à dire sur le « réchauffement ».
Alors, qui est Roy Clark ?
INGARAO (#17),
J’ai un Dr Roy clark, chimiste.
http://www.mtsu.edu/chemistry/faculty/rclark.shtml
pecqror (#18), C’était pas lui.
Il travaille pour un truc qui s’appelle ventura photonics près de Los-Angeles
http://www.venturaphotonics.com/
PapyJako (#12),
Le président du GIEC n’a jamais écrit d’article scientifique sur le climat, lui… c’est pourquoi je m’étonne de la comparaison avec M. Clark…
En principe, mais Clark est tellement inconnu que ça ne marche pas
Enfin, si… ça marcherait mieux si l’article était correctement référencé…Mais bon, c’est skyfall, hein !
. …
Petit indice pour les fouineur.. .cherchez sur skyfall.fr, j’ai déjà fait le boulot sur Clark… Oh, on ne trouve vraiment pas grand chose sur lui !
ah ! Bravo pecqror, vous avez trouvé !
On se fout de savoir si Clark est connu ou pas…
Ce qui est important, c’est de savoir si Warm peut démonter ce que dit l’article. L’important est de savoir si ce que dit l’article est vrai ou faux.
Une recherche avec « Roy Clark » et « Thousand Oaks », son lieu de résidence, donne
cinq brevets
les mêmes plus détaillés peut-être.
des compléments à son article envoyés suite à une demande
quelques mots sur son entreprise, Ventura photonics
un autre appareil
Roy Clark me paraît être un scientifique (PhD) qui, hors son activité courante, s’est passionné et a été lancé par la mise en ligne de son article à l’EPA.
Abitbol (#22),
Pouvez-vous refaire les calculs de Clark à partir de ce qui est dans l’article ??
Tout particulièrement la figure 4b…
Avec la traduction, c’est pas facile, vu qu’il manque un bout de l’article original (vive skyfall !!)..
Mais bon, même avec ça… impossible à reproduire sa courbe…
Warm (#24),
Warm (#20),
Warm (#20), l'article a été référencé correctement par Skyfall, donc vos insinuations perfides sont ridicules.
Warm (#4),
Et alors?
——————————
Ca , c’est des répliques de petit galopin de 25 ans; alors cocouche panier, sinon c’est panpan cucu
the fritz (#27),

Tiens, tiens, notre troll de service à l’air un peu déstabilisé!
Changement d’attitude….
Faut dire, qu’avec l’accumulation de mauvaises nouvelles qui n’arrêtent pas, ça doit pas être facile de soutenir la secte climatomancienne !!!!
AH, le bon temps où ils pouvaient parader fièrement! Cette époque ou d’innombrables scientifiques faisaient confiance envers leur collègue
climatoprestidigateurclimatologue!!L’Empire vert de gris de la pensée inique se fissure chaque jours un peu plus, et il devient de plus en plus dur pour ses zélotes de cacher ces failles !!!
Cela devient chaud pour notre warm
Maigre lot de consolation : il l’aura sa petite médaille de l’intrépide soldat venant contre vent de CO2 et marée submergeant Tuvalu, braver ces mécréants de sceptiques…..
Plus tard, en regardant en boucle ses DVD d’Hulot, de YAB et d’Al Gore, il se posera cette terrible question : « Mais qu’est-ce qui a bien plus clocher?
Qui sait, peut-être que les plus cyniques d’entre nous lui offriront une crosse de hockey en souvenir de ses bons et loyaux services?
Frédéric, admin skyfall (#26),
Absolument pas…
L’article de Clark est paru dans E&E, voilà la référence complète:
http://multi-science.metapress…..sMode=Show
Le pire c’est qu’elle a déjà été donné sur Skyfall.. Par RDeuro le 19 juillet dernier.
Et le pire c’est qu’il manque un bout dans la traduction, ce qui rend encore plus incompréhensible un article déjà totalement nul…
http://www.skyfall.fr/?p=542&cp=18#comments
pecqror (#25),
Mauvaise réponse: normalement, un article scientifique doit permettre au lecteur de reproduire les résultats…
Warm (#30),
Ce qui veut dire que tous les articles traitant de sorties de modèles sont non scientifiques…
C’est gentil de nous l’avoir confirmé… 😉
Laurent (#31),
Laurent, le code des modèles (GCM) sont disponibles en ligne, et tout particulièrement ceux utilisés par le GIEC dans l’AR4…
Par exemple celui du GISS:
http://www.giss.nasa.gov/tools/modelE/
Autres modèles:
http://www.cesm.ucar.edu/
http://edgcm.columbia.edu/
http://www.mi.uni-hamburg.de/P…..?&L=3
http://www.gfdl.noaa.gov/fms
Clark aussi utilise un modèle…
Où est son code ?
Neuf articles de « climatologie » pire reviouwés sur 10 (au moins) sont donc à mettre à la poubelle.
On va faire de la place sur les disques et dans les rayons des bibliothèques.
Marot (#33),
On voit que vous ne lisez pas beaucoup d’articles
Warm (#29),
L'article est exactement celui soumis à l'EPA comme c'est précisé dans l'entête de chacune de ses pages. Il a été mis en lien et titré en premières lignes par skyfall comme : "article de Roy Clark (Source) dans le cadre des consultations de l'EPA aux Etats-Unis". On ne peut pas le référencer de manière plus exacte. Qu'il ait été publié dans E&E je ne sais sous quelle forme et quel contenu n'est donc pas la question et ne justifie en aucun cas vos insinuations ridicules.
Quant au morceau qui manque dans la traduction, c'est un fait que c'est une erreur de publication qui sera corrigée. Vous auriez pu le signaler simplement et honnêtement au lieu d'utiliser une rhétorique vile qui consiste à profiter d'une erreur mineure pour tenter de discréditer non seulement la traduction entière mais aussi le blog dont vous êtes l'hôte. Si votre procédé perfide devait convaincre quelqu'un de quelque chose, ce serait de votre absence de scrupule et de décence.
Warm (#24),
Ce qui suppose que vous aviez tenté de produire une courbe par vous-même. Où est-t-elle svp ?
Il me semble que certains oublient que cet article s’appuie sur une bibliographie plutôt importante et sérieuse qu’il faudrait en quelque sorte « inclure » à sa lecture avant de le critiquer, voire critiquer l’anonymat tout relatif de son auteur…
La bibliographie existe bien dans le document en anglais, mais n’a pas été reprise dans la traduction.
Si c’est cela « la partie qui manque » selon Warm, c’est bien minable comme remarque.
Warm (#34),
!!!
Pour l’instant, vous nous avez surtout démontré que si vous êtes fort pour nous abreuver de liens, vous oubliez juste de les lire
Et cela pas qu’une fois !!!
L’AR4, votre sainte Bible pire-reviewed par le WWF et Greenpeace, est chaque jour contestée par de plus en plus de nouvelles publications….
Cela doit être dur, non? Voilà la science qui reprends sa marche, une recherche qui essaie de se débarrasser des biais idéologiques!
Alors que vous, vous êtes condamnés à tourner en rond, répétant votre mantra en boucle : « AR4-AR4-AR4 »
Votre dogmatisme est en tel décalage avec cette science qui avance, qui s’interroge, qui conteste ce qu’il y a peu était considéré comme établi….Quel conservatisme….Être si vieux dans sa tête!!!
Très drôle, quand je suis bien le seul à avoir remarquer qu’il manquait un bout à la traduction française de l’article
…
Warm (#40), Exception qui confirme la règle !!!!!
Mais je parlais de vos liens…. et comme vous n’avez pas démenti et que nous avons le collector à notre disposition !!
Warm (#40),
A part la bibliographie qui est accessible directement grâce au lien donné au début, je ne vois pas ce qui manque.
Par contre, il y a quelques fautes d’orthographe ou d’inattention qui m’ont été signalées. Je suis allé un peu vite entre deux obligations.
Scaletrans (#42),
Il manque ceci:
Warm (#32),
décidément… vous n’avez peur de rien, le mot « ridicule » vous semble même inconnu…
Le code d’un GCM serait suffisant pour reproduire les courbes d’un article sur les GCM, sans disposer d’une documentation complète sur le paramétrage utilisé par l’article en particulier?
Frédéric, admin skyfall (#36),
Et c’est superflu…. cela fait longtemps que plus personne n’a besoin de preuves supplémentaires pour être convaincu…
Warm (#43),
Effectivement, il a du sauter dans les manips que j’ai faites; je viens de le renvoyer, il sera intercalé sous peu.
Ce M. Clark semble ignorer que nous sommes en démocratie : il prétend que telle ou telle affirmation est contraire aux lois de la thermodynamique : mais on sait bien que si une loi ne nous plaît plus, il suffit d’une majorité pour en voter une autre !
Bonjour,
Je n’ai pas lu l’article source, mais juste ce début de traduction. J souhaite préciser que l’argumentaire sur les changements glaciaires interglaciaires est totalement faux.
– Confusion entre constante solaire et impact des changements d’orbite terrestre, à l’échelle multi-millénaire : les changements d’excentricité, d’obliquité ou de précession ont des effets mineurs sur l’énergie solaire totale (moyennée sur la planète et l’année) mais des effets majeurs sur la répartition de l’ensoleillement selon les latitudes et les saisons (allant localement jusqu’à plusieurs dizaines de W/m² pour l’ensoleillement d’été aux moyennes / hautes latitudes).
– Description complètement fausse des modifications du bilan radiatif de la Terre entre période glaciaire et période chaude.
Voir par exemple :
http://epic.awi.de/Publications/Khl2008d.pdf
– Discussion complètement fausse des processus contrôlant les variations glaciaires interglaciaires de la concentration en CO2 atmosphérique. L’effet de solubilité du CO2 ne peut expliquer qu’une fraction de l’amplitude observée.
Voir par exemple :
http://www.clim-past.net/2/57/…..7-2006.pdf
– Moteur des changements glaciaires interglaciaires = orbite terrestre et redistribution de l’ensoleillement. La réponse du climat provient de rétroactions diverses (dont l’albédo neige/glaces et la composition atmosphérique via cycle du carbone) plus tous les processus habituels (vapeur d’eau, nuages, glace de mer…). La perturbation radiative est de plusieurs W/m². L’ampleur des variations de température (de l’ordre de 4-7°C en moyenne globale, plus faible dans les régions tropicales, plus forte aux pôles) est cohérente avec 1) l’ampleur des modifications de bilan radiatif (plus d’albédo, moins d’effet de serre en période glaciaire) estimés à partir des données paléoclimatiques et 2) la sensibilité du climat global connue à partir des observations récentes et simulée par les modèles de climat (en gros, 3°C par 2xCO2).
Bon, voilà encore un cabocentriste, à moins qu’il ne s’agisse de quelqu’un que nous connaissons déjà?
Et en plus il n’a pas lu l’article !!!!! Mais il vient nous exposer sa science divinatoire, l’air de rien. Mais mon bon Monsieur, il n’y a aucune preuve à ce que vous avancez et qui a été mille fois réfutée. De modèle physique à la fantasmagorie de la rétroaction IR point, je dirai même point/barre. Mais vous devez avoir lu ça depuis longtemps y avoir opposé l’autisme commun à tous vos pareils.
A noter la tactique habituelle: ne pas attaquer l’essentiel, irréfutable, mais un détail: toujours la division du savoir pour étouffer la vérité sous un monceau d’incidentes.
Ecrit un peu vite:
C’est ce que vous avancez qui a été mille fois réfuté.