Théâtre à Bruxelles


par Benoît Rittaud

Le courrier ci-dessous, du 6 août dernier, est bien le dernier auquel je m’attendais.

Cher Monsieur,

Je suis auteur et metteur en scène de théâtre belge. Le « Théâtre de Poche » de Bruxelles (théâtre essentiellement tourné vers la création contemporaine) a pris l’habitude, depuis quelques années, de commander à plusieurs auteurs belges des textes courts pour les porter à la scène (environ 20 pages pour environ 40 minutes). Cette initiative porte le titre générique de « Contes urbains ». Pour son édition 2010, le “Théâtre de poche“ m’a demandé d’être du nombre (nous sommes quatre auteurs). Cette année, la commande porte sur le thème : « Les Bobos urbains »; catégorie sociale post-moderne dans laquelle nous sommes nombreux, je pense, à nous reconnaître en partie (malgré nos vaines tentatives de nous en défendre). L’intitulé de ce thème général nous oriente, comme on peut s’en douter, à priori, plutôt vers le rire (ou le sourire).
Pour ma part l’envie était grande de “résister“ à ce que je ressens depuis quelque temps comme une vaste tentative de manipulation intellectuelle (“intellectuelle“ dans le meilleur des cas !).
J’ai donc décidé de passer (pacifiquement !) à l’“offensive“ contre les nouveaux prêtres de la déesse nature qui ont (un peu trop à mon goût) troqué leurs crucifix et autres encensoirs contre bicyclettes et chiottes sèches. Pour ce qui est du sacro malsain principe de culpabilité, ils n’ont rien à envier à leurs prédécesseurs.
Dans la forme, il s’agit d’une petite parodie des aventures du Lieutenant Columbo.
Pour me préparer à cet exercice de style, je me suis plongé dans quelques lectures malsaines : “CO2 La dernière Croisade“ de Véronique Anger… Et votre “Mythe climatique“… qui m’a redonné confiance dans nos facultés à réagir.
Et voici (enfin !) l’objet de mon courrier : dans votre livre qui m’a, comme je viens de vous le dire, réjoui, le passage sur “le pari de Pascal“ m’a, littéralement, tendu les bras… Je l’ai donc (et non sans honte) détourné, en partie, dans mon texte. L’idée de m’approprier et de revendiquer sournoisement des mots qui ne sont pas les miens m’apparaît, vous le comprendrez, proprement insupportable.
J’ai donc deux questions à vous poser :
– La première : m’autorisez-vous ce larcin intellectuel ?
– La seconde (conditionnée par la précédente !) : sous quelle forme souhaiteriez-vous que je mentionne mon “emprunt“ (dans la présentation de la pièce, dans le programme, en droits d’auteur, …), ce que je ne veux, sous aucun prétexte, manquer de faire.
Pour vous permettre de prendre votre (vos) décision(s), je joins, c’est bien le moins, mon texte à ce courrier.

J’ose espérer que le caractère surréaliste de ce dernier (mais le surréalisme n’est-il pas une spécialité belge ?) n’aura pour conséquence que de vous prouver le grand intérêt d’un de vos lecteurs.

Croyez, Monsieur Rittaud, à l’expression de mes sentiments choisis !

Christian Baggen.

Cette courte pièce de théâtre de Christian Baggen, intitulée « Bobo va en prison, ou conte philosophique pour climato-sceptiques » sera jouée au Théâtre de Poche de Bruxelles, du 7 au 30 décembre 2010 à 20h30 (avec trois autres pièces au même format, par trois autres auteurs). Inutile de dire que j’irai la voir (sans doute autour du 20 décembre). Si vous le pouvez, je vous conseille d’en faire autant : Christian Baggen a réalisé le tour de force d’écrire une histoire très bien vue et très drôle qui intègre un passage de mon chapitre 4 dont la dimension comique n’est pourtant pas l’élément premier… Il n’est pas nécessaire d’avoir lu Le Mythe climatique (et encore moins de l’avoir apprécié) pour savourer la pièce, tout au plus peut-il être utile de revoir au préalable un ou deux épisodes des enquêtes du lieutenant Columbo…


80 réponses à “Théâtre à Bruxelles”

  1. Bonsoir,
    Je vous recommande à toutes et à tous un petit ouvrage écrit par un journaliste d’investigation suisse :
    « Sale temps pour le GIEC » d’Etienne Dubuis, chez Favre
    Historique sans concession de la genèse, la naissance, le développement, les heures de gloire et la déchéance du GIEC. Rien de technique, mais bien tourné et de lecture aisée.

    Cela nous change agréablement de nos piteux journalistes français « aux ordres »….

  2. Bruler les planches avec un conte pour climato-sceptiques , qui l’eut cru ?
    J’irais bien voir cette pièce si le RCA qui cause tant d’intempéries sur les routes pouvait marquer une pause 🙄

  3. Que voilà une succulente nouvelle! Nos amis bruxellois vont être gâtés! Qui sait si cette pièce ne viendra pas jusqu’à nous, pauvres bretons?

  4. Bon c’était prévisible….

    Aujourd’hui un « auteur et metteur en scène de théâtre belge » en légitime croisade contre « les nouveaux prêtres de la déesse nature » ayant « troqué leurs crucifix et autres encensoirs contre bicyclettes et chiottes sèches. » se retrouve à lire le “Mythe climatique“.

    Cette lecture, évidemment, lui a « redonné confiance dans nos facultés à réagir. » et l’a « réjoui ».

    Et comment en aurait-il été autrement ? Assez vraisemblablement sans connaissances scientifiques particulières, seules les implications positives contre les politiques liberticides ainsi que le pied de nez aux écolos culpabilisateurs et autres bobos à bicyclettes lui sont visibles. De quoi rendre heureux en effet, moi le premier.

    Que l’utilisation néfaste du changement climatique par des militants écologistes extrémistes ou des bobos agaçants soit en partie la faute de la communauté scientifique ne justifie pas que l’agacement contre ces personnes amène à critiquer la science elle même.
    Le fameux « climategate » aurait pu changer la donne, s’il avait montrer un lien clair et fort de l’écologisme, de la politique, sur la science. Ce n’est pas le cas.

    Cela m’attriste que des personnes cultivées se laisse entrainer dans ce raccourci facile.

  5. Puisque l’on parle de Bruxelles, quelques nouvelles rafraîchissantes de sa station météo, située à Uccle (commune de Bruxelles).
    Extrait de la Libre Belgique, édition web du mercredi 1 décembre 2010:
    Neige: Le début de l’hiver météorologique le plus froid en 135 ans
    « Mercredi, les températures diurnes n’ont pas dépassé -4,6 degrés à Uccle, ce qui constitue le début de l’hiver météorologique le plus froid depuis 1875, quand le thermomètre était resté bloqué à -4,8 degrés.
    La journée de demain/jeudi sera tout aussi glaciale, avec des maxima de -6 degrés en basse et moyenne Belgique. Si les températures restent sous les -5,2 degrés à Uccle, ce 2 décembre sera le plus froid depuis 1833. »

  6. Bonjour Mr Rittaud.

    J’ai lu votre livre, il y a quelques semaines. Avec grande délectation.
    Mais une question me taraude:
    Vous écrivez qu’il y a des publications scientifiques montrant qu’en laboratoire le CO2 est un gaz à effet de serre.
    Perso (je suis écologue, je travaille souvent avec de la spectroscopie infrarouge CO2 pour la mesure de la photosynthèse) je n’ai jamais vu de telles publications. Les publi que j’ai trouvé montrent toutes au contraire que le CO2 est un très faible émetteur d’infra rouge. Son émissivité est de l’ordre de 9,2/10.000 à la pression partielle atmosphérique (soit 0,4 w/m²). Ces résultats se retrouvent dans les travaux de Mitchell (1954), HC Hottel (1954), M Lapp (1961),
    Pitts, Donald and Sissom, Leighton. Heat Transfer 1997…
    Donc comment le CO2 peut-être un GES (d’ailleurs j’ai vraiment un gros problème avec ce concept, comment un corps A peut-il réchauffer un autre corps B; s’il a une très faible émissivité et s’il n’est pas plus chaud que B ).

    Autre question (qui dépend de la première): Si le CO2 est un GES, et si comme l’écrit le GIEC (dans sa FAQ) il ré-émet tout les IR qu’il absorbe, alors la spectroscopie IR est impossible. En effet le capteur recevrait autant d’IR que l’émetteur en projette. Le calcul de la [CO2] devient impossible par la loi de Beer-Lambert (absorbance), puisque le CO2 apparait alors « transparent » (sans absorbance; Absorption = émission).

    Bref, la physique est une et indivisible. Donc soit la spectroscopie est une arnaque, soit le RCA basé sur le CO2 en tant que GES est une arnaque.

    Merci de votre réponse.

  7. Daniel (#6),

    Donc comment le CO2 peut-être un GES (d’ailleurs j’ai vraiment un gros problème avec ce concept, comment un corps A peut-il réchauffer un autre corps B; s’il a une très faible émissivité et s’il n’est pas plus chaud que B ).

    Vous devez avoir lu avec intérêt la communication de Gerlich & Tscheuschner ? Ces scientifiques sont la cible d’attaques répétées et figurent en tête des scientifiques sceptiques dans le dernier blog de Judith Curry. Cette dernière pensent qu’ils ont été réfutés, et que leurs réponses n’enlèvent rien aux réfutations. Qu’en pensez-vous?

  8. Vous écrivez qu’il y a des publications scientifiques montrant qu’en laboratoire le CO2 est un gaz à effet de serre.
    Perso (je suis écologue, je travaille souvent avec de la spectroscopie infrarouge CO2 pour la mesure de la photosynthèse) je n’ai jamais vu de telles publications. Les publi que j’ai trouvé montrent toutes au contraire que le CO2 est un très faible émetteur d’infra rouge. Son émissivité est de l’ordre de 9,2/10.000 à la pression partielle atmosphérique (soit 0,4 w/m²). Ces résultats se retrouvent dans les travaux de Mitchell (1954), HC Hottel (1954), M Lapp (1961),Pitts, Donald and Sissom, Leighton. Heat Transfer 1997…
    Donc comment le CO2 peut-être un GES (d’ailleurs j’ai vraiment un gros problème avec ce concept, comment un corps A peut-il réchauffer un autre corps B; s’il a une très faible émissivité et s’il n’est pas plus chaud que B ).

    Ce que vous dites n’a pas de sens sans le spectre d’émission/absorption… Ce qui compte pour le CO2, ce sont ses raies d’absorption dans la région des 10-15microns, qui correspondent justement à la bande d’émission de la surface terrestre.

    Donc comment le CO2 peut-être un GES (d’ailleurs j’ai vraiment un gros problème avec ce concept, comment un corps A peut-il réchauffer un autre corps B; s’il a une très faible émissivité et s’il n’est pas plus chaud que B ).

    Ce n’est pas le CO2 qui réchauffe la terre, c’est le soleil…

    Autre question (qui dépend de la première): Si le CO2 est un GES, et si comme l’écrit le GIEC (dans sa FAQ) il ré-émet tout les IR qu’il absorbe, alors la spectroscopie IR est impossible. En effet le capteur recevrait autant d’IR que l’émetteur en projette. Le calcul de la [CO2] devient impossible par la loi de Beer-Lambert (absorbance), puisque le CO2 apparait alors “transparent” (sans absorbance; Absorption = émission).

    Je ne suis pas sûr de comprendre votre problème… Les GES arrêtent bien une bonne partie du rayonnement de la surface, c’est ce qu’on mesure depuis l’espace…

  9. Bon ça y est, Warmichou remet ça. On n’en a pas fini avec ses restes réchauffés qui sentent le moisi.

    Daniel, ne lui répondez pas et attendez d’autres interlocuteurs. Warm ne vous emmènera que dans des impasses, des cercles vicieux et une rhétorique infernale.

  10. Laurent Berthod (#10), un peu de tolérance voyons, laissez le Warm ventiler son hot air, sinon le peu de neurones qu’il a va fondre. Plus il parle et plus son climatitanic coule.
    D’ailleurs, c’est bizarre que lui, qui d’ordinaire est si friand de corrélations foireuses, n’ait pas détecté cette corrélation.

  11. @ scaletrans

    J’ai lu le papier de G&T. N’étant pas physicien je ne peux pas porter d’avis sur leurs arguments. Je n’ai pas suivis les développement ultérieurs des débats. Mais leurs arguements me semblent très pertinents par rapport à mes connaissances en thermo.

    Cette branche de la physique est très utilisée en biologie (tant au niveau des réactions de biochimie moléculaire, qu’ au niveau écologique pour comprendre les échanges d’énergie et de chaleur dans les écosystème). Pour nous écologues, il apparait clairement que:
    1) le sol est réchauffé par l’apport d’énergie de la lumière du soleil.
    2) que le sol réchauffe directement par contact la couche d’air au-dessus de lui.
    3) que cette couche d’air échauffée monte en altitude par convection.
    4) que cette convection attire vers le sol de l’air plus froid d’altitude (plus dense).
    5) le phénomène s’arrête dès que le soleil se couche.
    6) la nuit la température du sol diminue et celle de l’air aussi.

    La conclusion logique est que les échanges de chaleur se font très majoritairement par contact direct, puis par convection. Que les échanges radiatifs sont très minoritaire (sinon la température de l’air devrait s’élever la nuit ou tout du moins se maintenir, ce qui n’est jamais le cas).
    Pourtant pour le GIEC, les échanges de chaleurs sont majoritairement radiatifs. Ce qui devrait faire disparaitre la convection (heu je crois bien que cela est le cas dans les modèles, mais dans la réalité). En outre, selon les rapports (AR3 et 4) les modèles prédisent une « bulle » d’air chaud entre 8 et 10 km d’altitude (grâce justement aux échanges radiatif) du fait de la plus forte concentration en CO2 à cette altitude. Hors les relevés réels ne montrent rien de tel (ils montrent une décroissance normale de la température avec l’altitude).

    Le CO2 absorbe certaines longueur d’ondes IR (mais pas toutes!!!). Certes il s’échauffe. Mais pour réchauffer la terre, il faudrait qu’il soit plus chaud que le sol.
    Tout les corps absorbent et émettent des IR (vous moi, un chien, un rocher, l’eau, un gaz…). Donc si la théorie du GIEC est vraie, du CO2 (ou un bon gigot d’agneau fera aussi bien l’affaire) mis dans un four (tradi avec résistance électrique et donc émission d’IR), branché sur 200°c, le CO2 donc (ou notre gigot) devrait créer un réchauffement du four (par effet de serre). Mais très honnêtement j’en doute fortement.

  12. Cette branche de la physique est très utilisée en biologie (tant au niveau des réactions de biochimie moléculaire, qu’ au niveau écologique pour comprendre les échanges d’énergie et de chaleur dans les écosystème). Pour nous écologues, il apparait clairement que:
    1) le sol est réchauffé par l’apport d’énergie de la lumière du soleil.
    2) que le sol réchauffe directement par contact la couche d’air au-dessus de lui.
    3) que cette couche d’air échauffée monte en altitude par convection.
    4) que cette convection attire vers le sol de l’air plus froid d’altitude (plus dense).

    5) le phénomène s’arrête dès que le soleil se couche.
    6) la nuit la température du sol diminue et celle de l’air aussi.

    Vous devriez précisez que ces mouvement verticaux induisent un gradient de température, le gradient adiabatique (sec ou humide). Plus on monte en altitude, plus l’air y est froid (jusqu’à la tropopause). Un air plus froid irradiera moins de chaleur dans l’espace. Mais les couches chaudes proches de la surface ne peuvent pas rayonner librement vers l’espace, parce que les GES aborbent le rayonnement. C’est ça l’effet de serre.

    La conclusion logique est que les échanges de chaleur se font très majoritairement par contact direct, puis par convection. Que les échanges radiatifs sont très minoritaire (sinon la température de l’air devrait s’élever la nuit ou tout du moins se maintenir, ce qui n’est jamais le cas).

    In fine, la perte de chaleur de la terre se fera forcément par radiation. Dans l’espcace, pas de conduction ou de convection !

    Pourtant pour le GIEC, les échanges de chaleurs sont majoritairement radiatifs. Ce qui devrait faire disparaitre la convection (heu je crois bien que cela est le cas dans les modèles, mais dans la réalité). En outre, selon les rapports (AR3 et 4) les modèles prédisent une “bulle” d’air chaud entre 8 et 10 km d’altitude (grâce justement aux échanges radiatif) du fait de la plus forte concentration en CO2 à cette altitude. Hors les relevés réels ne montrent rien de tel (ils montrent une décroissance normale de la température avec l’altitude).

    Non, le « tropical hotspot » n’est pas un effet des GES: c’est le signe d’un réchauffement quelque soit sa source… ça n’a rien à voir avec le CO2.

    Le CO2 absorbe certaines longueur d’ondes IR (mais pas toutes!!!). Certes il s’échauffe. Mais pour réchauffer la terre, il faudrait qu’il soit plus chaud que le sol.
    Tout les corps absorbent et émettent des IR (vous moi, un chien, un rocher, l’eau, un gaz…). Donc si la théorie du GIEC est vraie, du CO2 (ou un bon gigot d’agneau fera aussi bien l’affaire) mis dans un four (tradi avec résistance électrique et donc émission d’IR), branché sur 200°c, le CO2 donc (ou notre gigot) devrait créer un réchauffement du four (par effet de serre). Mais très honnêtement j’en doute fortement.

    Encore une fois, ce n’est pas le CO2 qui chauffe la terre, c’est le soleil. les GES ne font que moduler le flux d’énergie sortant. Si moins de puissance est rayonnée en sortie qu’à l’entrée, l’énergie s’accumule. Et l’énergie interne d’un système est refletée en grande partie par sa température. La température monte jusqu’à ce qu’un nouvel équilibre radiatif soit atteind.

  13. @ Warm:

    « Ce qui compte pour le CO2, ce sont ses raies d’absorption dans la région des 10-15microns, qui correspondent justement à la bande d’émission de la surface terrestre. »

    Exact, mais si vous aviez lu les rapports du GIEC, et la FAQ, vous verriez qu’il est écrit que les CO2 absorbe les IR. Donc tous les IR.
    Ce qui est impossible.

    En outre, contrairement à ce qui est écrit dans le GIEC et sur nombre de site écolo, la majorité du rayonnement solaire reçu par la terre est dans les IR. En fait c’est près de 50% (au delà de 0,7 nm). Donc ces IR ne devrait jamais atteindre la terre du fait du CO2….

    « Ce n’est pas le CO2 qui réchauffe la terre, c’est le soleil… »
    Si , si c’est dans les rapport du GIEC « The re-radiation of CO2 cause global warming ».
    Seul un idiot croirait cela.

    « Je ne suis pas sûr de comprendre votre problème… Les GES arrêtent bien une bonne partie du rayonnement de la surface, c’est ce qu’on mesure depuis l’espace…  »
    Pour le GIEC les IR sont ré-émit vers la terre par le CO2.
    Dans un spectroscope IR, la chambre de mesure est réflichissante, de manière à ce que les IR émient arrive bien sur les capteurs (moins ce qui est absorbé = [CO2]). Donc si le CO2 ré-émet tout ce qu’il absorbe, alors les IR devraient tous arriver sur le capteur, autant que ce qui est émit!!! Donc mesure impossible.

  14. Daniel (#14),

    Exact, mais si vous aviez lu les rapports du GIEC, et la FAQ, vous verriez qu’il est écrit que les CO2 absorbe les IR. Donc tous les IR.
    Ce qui est impossible.

    Effectivement, le CO2 n’est pas un corps noir, il n’absorbe que certaines longueurs d’onde.

  15. @ Warm:
    « mouvement verticaux induisent un gradient de température, le gradient adiabatique (sec ou humide) »
    il n’y a pas de gradient adiabatique (où avez vous cela!!!) adiabatique veux dire sans échange de chaleur entre deux systèmes. Donc là bien au contraire, la convection permet l’échange de chaleur entre le volume qui s’élève et le milieux environnant.
    Dans un système ce n’est les mouvements qui induise le gradient adiabatique, mais la variation de pression.

    « Mais les couches chaudes proches de la surface ne peuvent pas rayonner librement vers l’espace, parce que les GES aborbent le rayonnement. C’est ça l’effet de serre. »
    Complètement idiot. Les couches basses échanges de l’énergie avec les autres corps par contact direct. Prenez un thermographe et regardez dedans, vous verrez la chaleur des corps et c’est tout.
    Si les échanges se faisaient par radiations votre thermographe verrait rien que de la chaleur par tout!!!
    Je le redis, tout les corps absorbent des IR, donc tous les corps sont des CES (corps à effet de serre). MDR.

    « In fine, la perte de chaleur de la terre se fera forcément par radiation. Dans l’espcace, pas de conduction ou de convection !  »
    Je vous rappel que pour le GIEC tout ce fait par radiation, et surtout les échanges dans la basse atmosphère.
    Tout le monde c’est que les échanges dans la tropopause se font par radiation (et encore ce n’est pas sur, puisqu’il existe des phénomènes électriques intenses découvert depuis le début de l’ère spatiale)…

    « Non, le “tropical hotspot” n’est pas un effet des GES »
    Mais avez vous lu les rapports du GIEC Bonsang de Bonsoir!!! Il est clairement écrit que le Hotspot est causé par l’augmentation de la concentration en CO2 entre 8 et 10 km d’altitude!!!

    « c’est le signe d’un réchauffement quelque soit sa source »
    Donc pas de hot spot, pas de réchauffement!!! vous venez de vous noyer dans vos explications!!!

    « Si moins de puissance est rayonnée en sortie qu’à l’entrée, l’énergie s’accumule. »
    Certes, mais pour le GIEC l’énergie entrante est inférieur d’un facteur 4 à celle que calcule les physiciens du soleil, ou de celle que les écologues se servent!!! Il y a un hic. UN très gros hic.

  16. Warm (#13)
    Warm est un misérable iconoclaste, contempteur des écritures, hérétique et relaps.
    Il nous ressert la même hérésie négatrice de ses écritures saintes que le 6 août dernier.
    Audiard avait raison, il n’arrête jamais.

    Le mensonge le voici :

    Non, le “tropical hotspot” n’est pas un effet des GES: c’est le signe d’un réchauffement quelque (sic) soit sa source… ça n’a rien à voir avec le CO2.

    Ce misérable piétine ses livres saints et le plus saint d’entre eux l’AR4, WG1, chapitre 9 où les révérendissimes auteurs ont donné aux foules extasiées une figure dé-fi-ni-ti-ve puisqu’issue de modèles page 675.
    Cette figure a une légende :

    Zonal mean atmospheric temperature change from 1890 to 1999 (°C per century) as simulated by the PCM model from (a) solar forcing, (b) volcanoes, (c) well-mixed greenhouse gases, (d) tropospheric and stratospheric ozone changes, (e) direct sulphate aerosol forcing and (f) the sum of all forcings. Plot is from 1,000 hPa to 10 hPa (shown on left scale) and from 0 km to 30 km (shown on right). See Appendix 9.C for additional information. Based on Santer et al. (2003a).

    Basé sur Santer et al. tous hauts dignitaires de sa secte :
    Changements de la température atmosphérique zonale de 1890 à 1999 (°C par siècle) tel que simulé par les modèles PCM à partir de
    a) forçage solaire
    b) volcans
    c) gaz à effet de serre bien mélangés
    d) changements d’ozone
    e) forçage direct des aérosols sulfatés
    f) somme de tous les forçages.

    Mettez en regard :
    La vérité selon Pachauri : well-mixed greenhouse gases
    L’ignoble warminerie : Non, le “tropical hotspot” n’est pas un effet des GES
    Hérétique et relaps, au bûcher le Warm.

  17. Daniel (#16),

    il y a actuellement une polémique intéressante,dont je n’ai pas encore eu le courage et le temps de lire les développements sur la prise en compte de la condensation dans les cyclones, et plus généralement dans les systèmes évaporation, convection, condensation.Il semblerait que les modèles font l’impasse sur le changement de phase, sans que l’on puisse dire d’ailleurs si cela change globalement quelque chose.
    Tout était parti d’un papier traitant de la « mécanique » des cyclones,Qui donnait un éclairage nouveau sur la question.Egalement un papier sur le même sujet traitant du phénomène Cévenole sur le site Pielke.
    Dès que j’aurai lu tout cela, je ne manquerai de revenir ici pour en débattre.

  18. Marot (#17),

    Non. Ce que montre cette figure, c’est le résultat de tous les forçages, mais si vous enleviez le forçage GES, ce serais la même chose au niveau de la troposphère (en fait, il y aurait une différence, ce serait au niveau de la stratosphère, le bleu en haut, qui serait en rouge en cas de forçage solaire uniquement).

    http://www.climat-evolution.co…..52542.html

    http://www.climat-evolution.co…..22542.html

    Ah, oui, je sais, source pourrie, mensonge, complot, toussa smile smile smile

    Ah, comme d’hab, j’appelle Spencer à la rescousse !

    http://www.drroyspencer.com/20…..gerprints/

    « But the hotspot is not a unique signature of manmade greenhouse gases. It simply reflects anomalous heating of the troposphere — no matter what its source. Anomalous heating gets spread throughout the depth of the troposphere by convection, and greater temperature rise in the upper troposphere than in the lower troposphere is because of latent heat release (rainfall formation) there. »

    ça vous va comme confirmation ? où alors Spencer ne dit pas ce qu’il pense ? c’est un complot ! On lui a fait un lavage de cerveau !! smile smile

    Hérétique et relaps, au bûcher le Warm.

    OK, j’irai avec Spencer, et TOUS les scientifiques, qui connaissent parfaitement ce fait basique: le « tropical hot spot » doit se produire quelque soit le forçage !

  19. Non. Ce que montre cette figure, c’est le résultat de tous les forçages, mais si vous enleviez le forçage GES, ce serais la même chose au niveau de la troposphère (en fait, il y aurait une différence, ce serait au niveau de la stratosphère, le bleu en haut, qui serait en rouge en cas de forçage solaire uniquement).

    Je précise une chose: à forçage équivalent

  20. Warm (#19)
    Faux et mensonger comme toujours, merci Audiard
    La figure c), seule où apparaît le point chaud (sauf la f qui est la somme de a à e) a pour légende :

    (c) well-mixed greenhouse gases

    gaz à effet de serre bien mélangés.
    Le menteur congénital prétend que

    Non. Ce que montre cette figure, c’est le résultat de tous les forçages

  21. Daniel (#16),

    Bon, Daniel, de deux choses l’une

    1) Il y des choses que vous ne comprenez pas et vous cherchez des réponses à votre conception faussée du problème. Forcément faussée parce que tout le monde admet la réalité de l’effet de serre radiatif induit par les GES, fait établi et entré dans le corpus de la connaissance scientifique depuis 40 ans. Quand je dis tous le monde, c’est tout le monde, y.c. Courtillot, Lindzen, Spencer, Pielke et même… A. Watts (c’est dire !!)

    http://www.drroyspencer.com/20…..se-effect/

    http://wattsupwiththat.com/201…..se-effect/

    2) Vous savez mieux tout que tout le monde, dans ce cas, bah envoyer un article à Science ou Nature pour éclairer le monde de votre génie infini pour démontrer définitivement que l’effet de serre radiatif est une fiction.

    “Si moins de puissance est rayonnée en sortie qu’à l’entrée, l’énergie s’accumule.”
    Certes, mais pour le GIEC l’énergie entrante est inférieur d’un facteur 4 à celle que calcule les physiciens du soleil, ou de celle que les écologues se servent!!! Il y a un hic. UN très gros hic.

    Quoi ? vous voulez dire que vous n’avez pas compris le rapport entre la constante solaire et la puissance effective reçue au sommet de l’atmosphère ? Vous savez qu’il fait nuit sur la moitié de la surface terrestre ? Oui… effectivement, il faut vite écrire à Nature, Daniel, le monde de la science à vraiment besoin de vous ! smile

  22. Marot (#21),

    Je parlais de la dernière figure… Bon, on va pas faire une guerre de tranchée la dessus. Le hotspot est le résultat de n’importe quel forçage, ce n’est pas la signature particulière de l’augmentation de l’effet de serre radiatif, tout le monde est d’accord la dessus, même Spencer, fin de l’histoire.

  23. Warm (#23),

    Je parlais de la dernière figure

    Il n’avait même pas regardé les figures et pas lu les légendes. Vous vous vautrez encore une fois.

    Le hotspot est le résultat de n’importe quel forçage

    Mensonge, mensonge, mensonge,
    c’est la signature des GAZ À EFFET DE SERRE BIEN MÉLANGÉS
    well-mixed greenhouse gases.

    Ça rentre ?? pas encore ?
    Il vient des envies répréhensibles devant cet étalage d’indécence.

  24. Pour rappel, le hotspot cher aux réchauffistes est toujours aux abonnés absents.

    Voir le résumé sur Pensée-unique avec références sérieuses à l’appui.

    Warmichou semble ne pas connaître cette vérité très dérangeante. Mais qui s’en étonnerait ? Il ne croit que ce qui sort de la bouche des grands-prêtres du giec (sans majuscule et c’est intentionnel) et consorts.
    Penser le contraire ou même simplement en douter serait pour lui un péché capital méritant la damnation éternelle.

  25. miniTAX (#11),

    Je vous reconnais bien là. Vous êtes vraiment sans pitié avec warmichou. Grand méchant, va !

    NB De la lecture des posts suivants, je tire la conclusion que Daniel est un vrai résistant. Il a rétorqué avec des évidences aux sophismes de warmichou. Je le salue.

    Puis il semble avoir laissé tomber.

    Pourquoi ?

    Lassitude ?

    Ou bien impossibilité de déméler un sac de noeuds de spaghettis ? (dans la vie, les noeuds les plus difficiles à déméler sont les noeuds de spaghettis, vous avez remarqué ?)

  26. Marot (#24),

    Mensonge, mensonge, mensonge,
    c’est la signature des GAZ À EFFET DE SERRE BIEN MÉLANGÉS
    well-mixed greenhouse gases.

    Ça rentre ?? pas encore ?
    Il vient des envies répréhensibles devant cet étalage d’indécence.

    “But the hotspot is not a unique signature of manmade greenhouse gases. It simply reflects anomalous heating of the troposphere — no matter what its source. Anomalous heating gets spread throughout the depth of the troposphere by convection, and greater temperature rise in the upper troposphere than in the lower troposphere is because of latent heat release (rainfall formation) there.”

    R Spencer.

    ça rentre ?

    Vous vous vautrez encore une fois…

  27. Laurent Berthod (#26),

    Puis il semble avoir laissé tomber.

    Pourquoi ?

    Bah, il est en train d’écrire son article pour Nature! smile Un tel génie, on s’impatiente de le lire !

    smile

  28. Warm (#27)
    IPCC WG1 CHAP 9 !!!!!!!!!!!!!!!

    arrêtez de bassiner avec un Spencer que vous n’avez pas compris.

    L’AR4 il n’y a que ça !

    et les deux stations d’Afrique de votre copain moyhu?

  29. M (#25),

    Il ne croit que ce qui sort de la bouche des grands-prêtres du giec (sans majuscule et c’est intentionnel) et consorts.

    Eh non, coincé par ses maîtres du GIEC il appelle R. Spencer à l’aide.

    Vous auriez vous, l’idée d’appeler l’ingénieur ferroviaire ?

  30. Marot (#31),

    Vous auriez vous, l’idée d’appeler l’ingénieur ferroviaire ?

    Même pas pour régler le trafic des trains dans une gare de triage.

    Pour moi, le giec, et en général l’onu et toutes ses émanations parasites sont à éradiquer.
    Leurs dirigeants devraient passer en jugement, les bâtiments rasés jusqu’au sol, sol qui serait ensuite copieusement arrosé de sel afin que plus rien n’y repousse.

  31. M (#33),

    Méfiez-vous, il serait capable de nous ressortir un nouveau bidulator, Daniel lui a même tendu la perche, mais s’en est-il rendu compte ?

  32. Au sujet du hospot ( l’arche perdue, vainement recherché)…

    Voici ce qu’écrit Lindzen à ce sujet dans (Taking Global Warmins Seriously)

    « Greenhouse warming must appear in the neighborhood of 300 hPa, but warming at 300 hPa does not have to be greenhouse warming »

    « Le réchauffement par effet de serre doit apparaître au voisinage de 300 hPa mais le réchauffement à 300 hPA n’est pas nécessairement dû au réchauffement par effet de serre. »

    Autrement dit encore, l’observation d’un hotspot est une condition nécessaire pour prouver l’existence de l’effet de serre, mais ce n’est pas une condition suffisante .

    Ce qui a évidemment complètement échappé à Warm dont le sens des nuances remonte à l’école primaire.

    Condition nécessaire et suffisante : Encore une notion à réviser, Warm.

  33. Marot (#41),
    Nick Stokes alias moyhu est un vrai scientifique avec une démarche rationnelle et qui ne se contente pas de brasser du vent mais de refaire tous les calculs et les vérifs de ce qu’il affirme. D’ailleurs, en bon scientifique, il n’affirme quasiment jamais rien et n’avance pas de conclusion qui ne puisse être étayée par DES FAITS, contrairement à notre escrologiste du cru qui fait tout le contraire : aucun esprit critique, aucun calcul (la preuve avec les 2 stations africaines continues qu’il prétend exister mais est incapable de trouver voire de chercher), que des affirmations gratuites sorties de son chapeau ou copiées telles quelles sur ses sources de propagande.

    Alors, svp, CESSEZ d’insulter moyhu en suggérant qu’il serait le copain de Warm 😉 Etre associé à l’insu de son plein gré à une crapule, ce n’est pas flatteur.

  34. Warm #40

    Merci d’apporter la confirmation de Lindzen, de ce que je dis depuis le début:

    Il faut vous reconnaître une grande dextérité à déformer ou à mal interpréter les propos des intervenants.
    Ce qui résulte, sans doute, d’une longue pratique.
    Non, je ne confirme pas ce que vous avez écrit.

    Je précise pour les rares mal-comprenants ce que signifie très précisément la phrase que j’ai écrite ci-dessus et qui est conforme à l’article de Lindzen cité :

    l’observation d’un hotspot est une condition nécessaire pour prouver l’existence de l’effet de serre, mais ce n’est pas une condition suffisante .

    Il n’y a que deux solutions : soit on trouve le hotspot, soit on ne le trouve pas
    :
    1) Si on le trouve pas , comme le dit Lindzen, cela ne peut signifier que trois choses : Soit :

    – La modélisation de l’effet des GES (voire les GCM) est fausse.
    -La mesure des température au sol est fausse
    -La mesure des température et la modélisation sont toutes deux fausses, (ajoute, fort à propos, LIndzen.)

    Or, on ne le trouve pas, ce fameux hotspot, comme s’échine à le répéter Richard Lindzen. Y compris, tout récemment.

    2) Si on le trouvait, cela ne prouverait absolument pas que la théorie des gaz à effet de serre est exacte puisque d’autres causes que l’effet de serre peuvent conduire au même résultat.

    C’est très exactement ce que signifie « une condition nécessaire mais pas suffisante ».

    Ce n’est certainement pas ce que vous avez essayé de dire.

  35. miniTAX (#42),

    Ah merci pour ce soutien en faveur de Nick Stockes, qui démontre plein de choses intéressantes:

    – Une bonne explication sur l’effet de serre:
    http://moyhu.blogspot.com/2010…..lapse.html

    – On peut reconstruire la température globale avec peu de station :
    http://moyhu.blogspot.com/2010…..tions.html

    – Le manque de station en Bolivie dans la base GHCN n’affecte que très peu la mesure régionale de la tendance climatique:
    http://moyhu.blogspot.com/2010…..livia.html

    – L’analyse de la réduction du nombre de station dans la base GHCN:
    http://moyhu.blogspot.com/2010…..-ghcn.html

    – Confirmation du réchauffement rapide de l’Himalaya:
    http://moyhu.blogspot.com/2010…..alaya.html

    – La DLR réchauffe bien les océans:
    http://moyhu.blogspot.com/2010…..ocean.html

  36. Bob (#44),

    C’est très exactement ce que signifie “une condition nécessaire mais pas suffisante”.

    Vous faites ici, mon cher Bob, une hypothèse osée, en tout cas ni démontrée, ni l’objet d’une publication dans une revue à comité de lecture : que warm ait les moyens intellectuels de comprendre un concept aussi puissant de la logique universelle.

    Je vous en laisse l’entière responsabilité.

  37. Daniel (#13),
    Les § suivants écrits par Daniel

    6) la nuit la température du sol diminue et celle de l’air aussi.
    La conclusion logique est que les échanges de chaleur se font très majoritairement par contact direct, puis par convection. Que les échanges radiatifs sont très minoritaires

    ont piqué ma curiosité.
    J’ai cherché (un peu dans la littérature et j’y ai trouvé ceci rédigé par un croyant de premier ordre Beniston, page 111 de Changements climatiques et impacts: De l’échelle globale à l’échelle locale.

    L’augmentation des températures nocturnes est conforme à l’augmentation de la concentration des gaz à effet de serre

    Question naïve : qu’en est-il des observations ?
    Je suis allé fouiller dans une mine peu connue de la Nasa leur site Neo (Nasa earth observations).
    Sur une base 2000-2008, voici les chères « anomalies » nocturnes en septembre 2000 (les premières cartes)

    et en septembre 2010

    Ce que j’y vois ?
    de la variabilité rien de plus.
    En 10 ans
    plus chaud Alaska et Nord-est canadien, sud du Groenland (tous sur représentés en Mercator), nord de la Caspienne et de la mer d’Aral, centre-est de l’Amazonie
    moins chaud Canada, Mexique, toute l’Europe, nord de la Sibérie, Chine orientale, Inde, Sahel, toute l’Afrique sauf une petite partie du Mozambique, Australie.
    La signature de l’augmentation des gaz à effet de serre n’est pas visible.

    P. S. On peut relever des différences notables entre ce site de la Nasa et les cartes mensuelles du Giss, mais ce n’est pas l’objet de ce message.

  38. Marot (#46),

    Très bonne pratique psychologique en effet.
    Il s’agit là d’une méthode dérivée du béhaviorisme que les spécialistes des sciences humaines nomment ETBCDLC (Enfonce toi bien ça dans le crâne).

    Elle n’est actuellement plus guère utilisée mais pourrait être intéressante pour traiter la pathologie de Warm.

    Ce n’est jamais qu’une forme d’acupuncture à grosse aiguille.