Et si on ne faisait rien au sujet du réchauffement climatique ?

  Les rivages 
 
  Il y a eu tellement d'avertissements sur l'élévation du niveau des océans et l'inondation des zones côtières qu'il est difficile de discuter de cette catégorie sans condescendance. Les plus grands dommages causés aux villes et aux basses zones côtières par les tempêtes ne sont pas dus au fait que les tempêtes soient pires ou que le niveau des mers soient plus élevés, mais parce qu'il y a beaucoup plus de gens qui vivent le long des côtes (voir "Coastal Growth, Not Global Warming, Blamed for Rising Storm Losses"). Encore une fois, les évaluations chiffrées des dommages sont un exemple de statistiques trompeuses utilisées par des charlatans, des nigauds, ou les deux à la fois.  
 
   Des millions de personnes sont-elles sur le point d'être inondées par la montée des eaux ? Est-ce que 30% des zones humides côtières vont être perdues ? Il y a peu de signes d'une telle augmentation à ce jour. Cela dit, ceux qui se sentent menacés ont fait énormément de battage pour que soient prises des mesures. Les Hollandais travaillent déjà sur l'extension de leur système de digues et de protections. Ce qui nous amène à la constatation que de nombreux endroits à travers le monde sont déjà construits sur des zones d'inondation connues ou au dessous du niveau des mers : Londres, La Nouvelle Orléans, Venise et les Pays-Bas viennent immédiatement à l'esprit. Tandis que, même avec la menace des inondations, les habitants de ces zones ne sont pas disposés à partir, préférant construire des digues plus hautes. 
 
 
 
                                           Même la hausse des marées ne fera pas déplacer les populations 
 
 
  Il en sera de même à l'avenir, si on se fie à la nature humaine. L'adaptabilité a toujours été le point fort d'Homo Sapiens. Ces zones humides "perdues", si elles sont immergées, seront probablement remplacées par de nouvelles zones humides un peu plus à l'intérieur. Et puisque les zones humides génèrent une énorme quantité de gaz à effet de serre, une réduction des zones humides ne peut pas être une mauvaise chose (en supposant que le réchauffement climatique ne soit pas souhaitable). Le niveau des océans de la planète a changé de plusieurs dizaines de mètres dans le passé et le fera encore, que les êtres humains y soient pour quelque chose ou non.  
 
  La santé  
 
 
   Finalement, qu'une personne normalement informée puisse penser que le réchauffement climatique soit un préjudice pour la santé humaine est stupéfiant. Pourquoi les vacances des Européens privilégient-elles la Côte d'Azur, Majorque et les îles grecques ? Pourquoi les Américains du Nord prennent-ils leur retraite en Floride et en Arizona, pendant que les étudiants des collèges vont en troupeau à Cancun et à Cabo San Lucas lors des vacances scolaires ? Pourquoi ? Parce que le chaud est meilleur que le froid ! Pourtant, les pronostiqueurs ignorants du GIEC suggèrent que le réchauffement climatique aura pour conséquences une malnutrition (à cause du manque d'approvisionnement ?), des diarrhées (à cause des inondations ?), des maladies cardio-respiratoires (par des vents de sable ?) et d'affaiblissements infectieux (parce que cela fait peur ?). 
  
  Peu importe que les experts en contrôle des maladies infectieuses aient appelé cela un non-sens. Le paludisme est la maladie infectieuse la plus citée comme un fléau susceptible de se propager à cause du réchauffement climatique. Ce que les "experts" de l'alarmisme climatique n'expliquent pas, c'est que durant les années 1800 il y avait des épidémies de paludisme à Chicago, Saint-Pétersbourg et dans plusieurs villes scandinaves. À cette époque ces lieux étaient encore plus froids qu'aujourd'hui, ce qui prouve que ce n'est pas le climat froid qui empêche la propagation de cette maladie dite "tropicale". Le paludisme a été éradiqué dans la plupart des régions développées du monde uniquement grâce à la lutte antiparasitaire.
 
 Selon une étude, intitulée "Climate change and the global malaria recession" le lien entre le changement climatique et le paludisme a été réfutée. Dans la revue Nature, Peter W. Gething et al. ont mis à mal cette bêtise alarmiste :
 
 "Les prévisions d'une intensification du paludisme dans un monde plus chaud, basées sur l'extrapolation de relations empiriques ou de mécanismes biologiques, doivent être analysées dansle contexte d'un siècle de réchauffement qui a vu un déclin mondial marqué de la maladie, et un affaiblissement substantiel de la corrélation globale entre le caractère endémique du paludisme et le climat".

 
  Comme je l'ai dit dans "Climate Change-Malaria Link Debunked", ce que la science dit est que "cela ne fonctionne pas de cette manière". Au-delà des menaces exagérées de maladies infectieuses, examinons les statistiques accumulées par Bjørn Lomborg concernant les décès dûs au froid par rapport à ceux imputables à la chaleur. 
 

  Lomborg a été mis en disgrâce chez certains sceptiques du réchauffement climatique parce qu'il croit que le réchauffement est une réalité – il ne croit simplement pas que ce soit un grave problème. Selon un article sur les conclusions de Lomborg dans le magazine Discover, Global Warming, the Great Lifesaver", la peur que le réchauffement climatique ait provoqué de nombreux morts de chaleur est un faux argument
 
  "Pour l'Europe dans son ensemble, environ 200.000 personnes meurent à cause d'un excès de chaleur chaque année. Cependant, environ 1,5 millions d'Européens meurent chaque année d'un excès de froid. C'est plus de sept fois le nombre total de décès provoqués par la chaleur. Dans la dernière décennie seulement, l'Europe a perdu environ 15 millions de personnes par le froid, ce qui fait plus de 400 fois les morts emblématiques dus à la chaleur de 2003. Que nous négligions si facilement ces décès et que si facilement nous mettions en exergue ceux causés par le réchauffement climatique montre que notre sens des proportions est faussé". 
   Dans sa totalité, l'épouvante des maladies et des morts liées au changement climatique ne tient pas la route devant les données réelles. Les experts, l'expérience et le bon sens nous disent tous qu'un monde plus chaud est un monde plus sain.   

101.  M | 21/02/2011 @ 22:05 Répondre à ce commentaire

IMAZ-AIZPURUA (#100),

De rien !

On peut aussi automatiser la collecte et l’enregistrement des rapports METAR en suivant les instructions données dans le fichier d’aide sous Command-lines options.

Si cela t’intéresse j’expliquerai en détail comment je procède deux fois par jour pour être certain de tout récupérer sans trou.

Voilà, par exemple la ligne de commande qui me permet de récupérer les rapports détaillés d’une journée dans un fichier avec date et heure.

C:\MyTools\Nirsoft\mweather\mweather.exe /stab "c:\METAR2\D_%Date:~-10%_%time::='%.txt" -download "c:\METAR2\_myconfig_det.cfg"

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