Aller à contre-courant
La question fondamentale est celle-ci : devrions-nous essayer d'arrêter le réchauffement climatique? Comme nous l'avons vu, la plupart des "mauvaises" choses que le changement climatique est censé provoquer soit ne se produisent pas, soit sont une malédiction déguisée. La déclaration universelle du réchauffement de la planète comme quelque chose de nuisible est basée sur l'hypothèse que tout ce que font les êtres humains est mauvais pour l'environnement. Ceci est manifestement faux, comme on le voit dans une étude récente qui montre que l'homme est responsable d'une forte baisse des incendies de forêt.
Selon la plupart des climatologues, le changement environnemental que nous devons craindre le plus, c'est un retour à des conditions glaciaires. Au plus fort de la dernière période glaciaire, il y a 20.000 ans environ, l'Europe du Nord a été largement couverte de glaces, y compris l'intégralité de l'Islande et la majorité de la Grande-Bretagne. Environ 97% du Canada était recouvert de glaces, avec une couverture s'étendant approximativement jusqu'à l'emplacement du Missouri et des rivières de l'Ohio. New York City était ensevelie sous pratiquement 1,5 km de glace.
Ce qui n'était pas recouvert de glace était surtout froid et aride.
Le niveau des mers était d'environ 120-135 mètres au dessous de leur niveau actuel, ce qui place la plupart des villes portuaires du monde à l'intérieur des terres. La glace couvrait environ 29% des terres émergées, soit à peu près 44.39 millions de km2. Ce qui ne gisait pas sous de la glace était surtout un paysage désert, froid et désolé. Cela était dû en grande partie aux plus froides et plus sèches conditions atmosphériques dues à la quantité de toute cette eau transformée en glace. Les alarmistes du climat s'inquiètent de ce que le réchauffement climatique provoque des conditions arides et l'apparition de plus de déserts, alors que l'histoire de la Terre montre que c'est exactement le contraire qui se produit.
Le Cénozoïque a commencé avec un climat beaucoup plus chaud, sans calottes glaciaires en Antarctique ni au Groenland, mais à la fin de cette ère la planète était entrée dans une phase froide. Au cours des 2 derniers millions d'années, les glaciers ont cycliquement recouvert de vastes zones continentales avec d'épaisses couches de glace. Ce refroidissement a été accompagné d'une perte quasi continue du CO2 atmosphérique, qui est passé d'une concentration d'environ 2.000 ppm au début de cette période à un peu moins de 300 ppm au cours du dernier million d'années. Comme on peut le voir sur la figure ci-dessous, la tendance dominante au cours des 65 derniers millions d'années, après un pic chaud pendant l'Eocène, a été plus froide.
La tendance de la température durant le Cénozoïque a été encore plus froide.
La Terre au cours de la dernière période glaciaire n'était pas un endroit très agréable à vivre. Les étés étaient cours et les hivers brutaux. La vie animale et végétale en particulier avaient du mal à se maintenir. La science réaffirme ce que Dante avait imaginé, le plus intime cercle de l'enfer est gelé, et non pas chaud et rempli de flammes. Les êtres humains sont arrivés à survivre au pire de la période glaciaire du Pléistocène, mais la survie n'a été arrachée que de justesse. Aujourd'hui, grâce au réchauffement climatique, tout cela a changé, au moins temporairement.
Depuis l'avènement de la civilisation humaine, nous avons été gratifiés de bonnes conditions climatiques, la plupart des 10.000 dernières années ayant été plus chaudes que le présent. À l'exception d'une brève période froide d'environ 8.200 ans, toute la période de 1500 à 10.500 ans en arrière fut significativement plus chaude qu'actuellement. Le graphique ci-dessous vient du Dr Don J. Easterbrook, elle est basée sur les données des carottes de glace GISP2 du Groenland. Accordez toute votre attention au fait que 2010 se pose comme concurrent pour "l'année la plus chaude du siècle". Sur les 10.500 dernières années, 9.100 ont été plus chaudes que 1934/1998/2010) Ainsi, quelle que soit l'année qui se révèle être la plus chaude du siècle écoulé – 1934, 1998, ou 2010, la NOAA ne cessant de changer ses données – qui se révèle être la plus chaude du siècle passé, elle n'atteindra que le rang numéro 9099 dans la liste de long terme du Holocène.
Les températures enregistrées dans les carottages de glace GISP2 du Groenland au cours des 10.000 dernières années
Voilà qui remet en perspective le concours de "l'année la plus chaude depuis …". Pour plus d'informations consultez la section "2010 – où s'inscrit-elle dans la liste des années les plus chaudes ?"sur le site Watts Up With That ?. Encore une fois, la conclusion est que le chaud est bon, et que plus chaud c'est mieux. S'il n'y avait pas eu de réchauffement climatique, nous serions toujours entassés dans des grottes et irions à la chasse au mastodonte pour le dîner.
Certaines régions ont échappé à la glaciation pendant l'âge glaciaire du Pléistocène parce qu'elles étaient trop sèches, un manque de chutes de neige empêchant la formation de glaciers. D'autres régions étaient trop élevées en altitude pour que la glace les recouvre, ou bien elles se situaient plus au sud que l'avancée des glaciers. Les zones libres de glaces sont appelées "refugia", et les plantes et les animaux qui y ont survécu ont repeuplé le monde lorsque les glaciers ont fondu. A moins que l'humanité ne tienne à s'entasser dans des zones similaires pour la prochaine période glaciaire prolongée (~ 80.000 années) peut-être devrions-nous essayer de provoquer un réchauffement climatique.
Les effets probables du réchauffement de la planète sont une météorologie modérée aux plus hautes latitudes, plus de nourriture à cause de plus importantes précipitations et de saisons de croissance plus longues, et une meilleure santé pour tous. Les régions tropicales sont peu susceptibles d'avoir des dommages et il y aura moins de tempêtes tropicales. Le commerce sera renforcé à mesure que de nouvelles routes commerciales apparaîtront autour de la glace autrefois envahissante de l'Arctique, qui deviendra également disponibles pour l'exploration pétrolière et gazière. Le niveau des mers pourrait s'élever de quelques décimètres avec le temps (certainement des siècles), mais si vous pouvez construire une digue autour d'une ville ou même d'un pays pour tenir à distance un océan, il n'y a rien par contre qui puisse arrêter l'avance d'un glacier.
Voilà qui éloigne la hantise d'un réchauffement climatique.
Comme Svante Arrhenius l'a déclaré il y a plus de 100 ans, le réchauffement climatique rendra le climat de la Terre "plus uniforme". Pesez les avantages par rapports aux inconvénients et la conclusion est évidente : au lieu d'essayer d'enrayer le réchauffement climatique, à tout le moins nous devrions rebondir et ne rien faire.
Soyez tranquilles, profitez de la période interglaciaire et restez sceptiques.
IMAZ-AIZPURUA (#100),
De rien !
On peut aussi automatiser la collecte et l’enregistrement des rapports METAR en suivant les instructions données dans le fichier d’aide sous Command-lines options.
Si cela t’intéresse j’expliquerai en détail comment je procède deux fois par jour pour être certain de tout récupérer sans trou.
Voilà, par exemple la ligne de commande qui me permet de récupérer les rapports détaillés d’une journée dans un fichier avec date et heure.
C:\MyTools\Nirsoft\mweather\mweather.exe /stab "c:\METAR2\D_%Date:~-10%_%time::='%.txt" -download "c:\METAR2\_myconfig_det.cfg"
Sorry, the comment form is closed at this time.