Economie du changement climatique/3

2.4.5. Absence d’influence du CO2 sur les températures durant les trois derniers millions d’années.

Dans une perspective de bien plus long terme sur les 3 derniers millions d’années de l’histoire de la Terre, le CO2 semble n’avoir également qu’un rôle très limité dans l’établissement des températures interglaciaires selon Marsh [53]. Il pense que, durant les périodes interglaciaires passées, les températures étaient plus élevées qu’aujourd’hui, et très probablement en raison d’un albédo nuageux moins élevé du à des décroissances périodiques du flux de rayons cosmiques atteignant l’atmosphère terrestre.

Bien que la recherche résumée dans ce sous chapitre ne réfute pas l’hypothèse 3a, elle jette un doute considérable sur elle. L’apparente invalidité des hypothèses 1 et 2 suggère pourquoi l’hypothèse 3a ne peut avoir plus de succès.

2.5. Implications d’un temps de résidence plus court et d’une CSF plus faible pour le CAGW.

Le temps de résidence beaucoup plus court du CO2 dans l’atmosphère et la CSF plus faible déterminés plus haut ont d’importantes implications pour l’hypothèse du GIEC sur les effets néfastes du CAGW. Le temps de résidence plus court suggère que la contribution du carburant fossile à l’élévation du niveau de CO2 atmosphérique est en réalité assez petite et par conséquent il y a peu de chances qu’il produise des effets de CAGW autres que ceux intervenus durant les trois derniers millions d’années. Les effets sur l’atmosphère de telles contributions semblent à relativement court terme, très petits comparés à la vaste capacité d’absorption des océans, et il est improbable qu’ils se traduisent par un emballement catastrophique des températures.
Une CSF beaucoup plus faible suggère qu’un doublement –hautement improbable- des niveaux de CO2 atmosphérique produirait une élévation des températures globales de seulement 0,6 à 0,7°C. C’est inférieur à l’élévation des températures globales depuis le minimum de Dalton du Petit Âge Glaciaire au début du 19ième siècle. La Terre a connu auparavant des augmentations de cette magnitude durant la période interglaciaire actuelle et il n’y a aucune preuve d’effets CAGW majeurs comme le décrivent ses adeptes.

Au contraire, la preuve est faite que durant les périodes interglaciaires des 3 derniers millions d’années on risque plutôt une baisse de température que le contraire. Comme nous approchons du point où l’Holocène atteint la durée où, historiquement, un nouvel âge glaciaire a toujours démarré dans les cycles glaciaires précédents, c’est ce qui semble être probablement le seul effet CAGW que peut raisonnablement craindre l’humanité.

La Terre est en ce moment dans une période interglaciaire assez similaire aux autres suivant et précédant chaque période glaciaire qu’elle a connu dans les 3 derniers millions d’années. Durant ces périodes interglaciaires, on ne connaît pas de cas où les températures globales aient soudainement et dramatiquement augmenté au-dessus de la moyenne interglaciaire pour atteindre des températures nettement plus élevées. Bien sûr, il y a eu des périodes interglaciaires qui ont connu des températures légèrement plus élevées, mais aucune de celles que nous connaissons n’ont vu après 10.000 ans une soudaine et catastrophique augmentation des températures globales. Il existe au contraire une relative instabilité en direction de températures nettement plus froides, en particulier durant les dernières phases des périodes interglaciaires. En fait, la Terre a continuellement comptabilisé de nouveaux âges glaciaires d’environ 100.000 ans durant les cycles récents, et les périodes interglaciaires ont duré environ 10.000 ans. Nous sommes actuellement très proches de la marque des 10.000 ans de la période interglaciaire actuelle.

Ainsi, autant que l’histoire puisse servir de guide, la principale préoccupation devrait être celle de l’entrée dans un nouvel âge glaciaire, avec ses calottes de glace en progression, qui balayerait probablement la civilisation dans les régions tempérées de l’Hémisphère Nord – et non le réchauffement global. Les conséquences économiques d’un nouvel âge glaciaire seraient vraiment importantes, et presque certainement catastrophiques. Malheureusement, il très probable que cela arrive tôt ou tard.

Il n’y a pas de preuve réelle que cette périodicité des températures, vieille de trois millions d’années, ait changé ou changera dans un avenir proche. Et si elle l’a fait, ce serait préférable pour les humains car cela voudrait dire que la menace d’un nouvel âge glaciaire serait moindre, lequel serait sûrement pire pour l’activité humaine qu’un réchauffement mineur supplémentaire.

2.6 Conclusions générales sur les avantages économiques de la réduction des GES.

La conclusion de cette analyse est que les hypothèses 1 et 2 sont invalidées par les données actuelles, et que l’hypothèse 3a est d’une validité scientifique douteuse et jette un doute supplémentaire sur la validité de 1 et 2. Comme mentionné dans le paragraphe 1.2.2., ces conclusions doivent être analysées au cas par cas pour déterminer la validité et la pertinence des données utilisées. Mais le résultat est que les estimations des avantages faites par nombre d’économistes de la réduction des émissions de CO2 semblent devoir être grandement réduites pour tenir compte des effets de la réduction de la CSF et du temps de résidence bien plus court du CO2 dans l’atmosphère.

Aucun des économistes et autres analystes qui ont tenté de déterminer les avantages économiques du contrôle du changement climatique passé en revue ici ne m’a permis de savoir s’ils avaient vérifié que les éléments physiques qu’ils utilisaient directement ou indirectement étaient de la science valide fondée sur leur correspondance avec les données réelles en utilisant la méthode scientifique.

Les estimations des bénéfices se basent sur les effets économiques de l’augmentation de température qui serait évité par la décroissance des émissions grâce à leur contrôle. La décroissance des émissions due à leur contrôle est censée réduire les niveaux ambiants de CO2 atmosphérique compte tenu de la CSF supposée. Mais si la réduction des émissions a peu d’effet sur les niveaux ambiants de CO2 (ce qui devrait être le cas étant donné que l’hypothèse 1 apparaît invalide), il n’y aurait aucun changement, ou alors très faible, dans les niveaux de CO2 ambiant et donc peu de changement de température, particulièrement avec une CSF plus faible.


2.6.1. Incidences de la réduction du temps de rémanence du CO2 sur les avantages économiques du contrôle des émissions.



La correction économique résultant de l’apparente invalidité de l’hypothèse 1 semble avoir un effet très important, comme on l'a vu au paragraphe 2.2 ci-dessus. Selon l’analyse de Segalstad (8,10,12) résumée ici, les émissions de CO2 demeurent en moyenne à peine plus de cinq ans dans l’atmosphère, après quoi elles sont absorbées par les océans, les plantes ou les sédiments océaniques et n’exercent dès lors, sur la température globale, aucune action ressortissant à l'effet de serre. Les avantages économiques des efforts de réduction accomplis en une année quelconque ne seraient donc sensibles que durant les cinq années suivantes en moyenne.

En l’absence d’informations claires sur les hypothèses retenues pour le temps de rémanence par le GIEC et les modèles utilisés, ou ceux utilisés directement ou indirectement par les analyses économiques précédentes, je propose d’user d’un coefficient de correction égal au temps de rémanence de 5 ans de Segalstad comme exposé au chapitre 2.2, divisé par 125 ans (en prenant le point milieu entre 50 et 200 ans (ndt ????) du rapport de 1990 du GIEC), soit 0,04. S’il s’avère que c’est l’estimation de plus de 1000 ans de  Solomon et al. (voir [9] et l’exposé au Chapitre 2.2) qui a été utilisée dans les modèles de l’AR4, le coefficient de correction serait de moins de 0,005, soit de presque un ordre de grandeur plus petit.

L’argument est que chaque tonne de CO2 empêchée d’entrer dans l’atmosphère signifierait que le CO2 atmosphérique serait réduit pour une durée de 5 ans quoiqu’il en ait été durant cette période. Cette réduction causerait la diminution des températures globales de très peu si l’on compare à ce qu’elle serait si elle était basée sur la CSF de cette période, mais en moyenne et non par la suite. Mais à la fin de cette période, le CO2 reviendra à son niveau moyen tel qu’il aurait été sans réduction des émissions.

C’est un bon argument car les avantages économiques du contrôle seraient annulés, la fraction en question surestimant la correction à faire. Il est clair qu’on pourrait faire une estimation plus fine en prenant en compte la réduction à attendre des avantages économiques qui ne se produiront plus, mais ce serait  du temps perdu étant donné les taux de réduction que les précédents analystes ont utilisés, les bases insuffisantes que les modèles du GIEC et chaque analyse économique en rapport ont adoptés, et l’obligation de calculer des corrections individuelles pour des analyses individuelles. Pour ces analyses économiques qui ont utilisé des taux de réduction proche de zéro cependant, la correction du taux de réduction serait également proche de zéro. Et ce sont probablement les seules analyses qui font vraiment problème pour savoir ce qui reste de significatif des bénéfices économiques après la révision des hypothèses 1 et 2. De même, la surestimation du temps de résidence due à l’ignorance du taux de réduction peut être contrebalancée par le fait que les premières analyses économiques utilisaient l’hypothèse des modèles du GIEC qui était effectivement de 125 ans de temps de résidence lorsqu’en réalité ils avaient peut-être considéré qu’il était de plus de 1000 ans.

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Acronymes :
AMO    Oscillation Atlantique Multidécennale
AR4    Quatrième rapport d’évaluation du GIEC publié en 2007
CAGW    Réchauffement Global Anthropique Catastrophique
CO2    Dioxyde de Carbone
CSF    Facteur de Sensibilité Climatique
°C    Degrés Celsius
13C    Taux d’isotopes 13C ou 12C défini comme la différence normalisée par rapport à la norme Pee Dee Belemnite (PDB).
ENSO    Oscillation Sud El Niño
ERD    Décarbonisation Réglementaire Exclusive
EU    Union Européenne
GCM    Modèle de Circulation Générale
GDP    Production Domestique Brute
GWP    Production Globale Mondiale
GES    Gaz à Effet de Serre
GIEC    Groupe Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat
MER    Valeur sur le Marché
PDO    Oscillation Pacifique Décennale
RCIO    Proportion de Carbone de la Production
RT    Temps de Rémanence (Résidence)
SRM    Gestion du Rayonnement Solaire
TSI    Irradiance Solaire Totale
US    Etats-Unis
US$    Dollar US
UN    Nations Unies (ONU)

@@@@@@

1.  François | 22/09/2011 @ 11:09 Répondre à ce commentaire

Lorsque j’étais en prépa, j’avais un professeur de chimie qui nous expliquait les choses grâce à ce qu’il appelait  » la loi de la catastrophe ».
Cette loi disait que les produits d’une réaction tendent toujours à s’opposer à celle ci. (aujourd’hui on dirait « rétroréaction négative).
Car si ce n’était pas le cas, disait il, si les produits dune perturbation augmentaient les effets de celle ci, ( rétroaction positive), toute variation serait divergente dans ses conséquences et il y a beau temps que la terre aurait disparu et que nous ne serions plus là pour nous poser la question.

2.  Bob | 22/09/2011 @ 13:17 Répondre à ce commentaire

François (#1),

Vous aviez un prof de chimie intelligent, visiblement, mais ce qu’il disait était assez proche de la loi de Le chatelier 1884.

Certains l’ont évoqué, de manière générale, pour évoquer l’évolution du climat et la nécessité des rétroactions négatives.

http://www.bibnum.education.fr.....nalyse.pdf

3.  RanTanPlan | 22/09/2011 @ 15:56 Répondre à ce commentaire

François (#1),
Comment considère t’on une réaction en chaîne ? Comme une explosion nucléaire, par exemple ?

4.  François | 22/09/2011 @ 17:31 Répondre à ce commentaire

RanTanPlan
Que fait le soleil? C’est une réaction nucléaire naturelle stabilisée et non divergente depuis des milliards d’années et pour aussi longtemps encore…
Il doit bien y avoir ici aussi des rétroactions négatives pour l’empêcher de diverger et respecter la « loi de la catastrophe »…
Votre exemple de l’explosion nucléaire concerne un système purement artificiel, très difficile à obtenir, requérant une grande précision et limité à un petit périmètre. On a jamais vu une explosion de cette sorte se propager au monde extérieur en le transformant lui même en bombe.

5.  RanTanPlan | 22/09/2011 @ 18:22 Répondre à ce commentaire

Le soleil est un système fermé qui s’auto entretient. Pas de « divergence » possible (l’explosion ne se propage pas en dehors du système), mais aucune rétroaction négative non plus. Dans une réaction nucléaire en chaine, on se place dans des conditions effectivement particulières qui font que le produit de la réaction entraine statistiquement une ou plus autre réaction identique.
La « rétroaction » (soleil ou bombe atomique) est simplement du au combustible qui s’épuise.

6.  Bob | 22/09/2011 @ 18:57 Répondre à ce commentaire

Rantanplan #5
-L’idée que les soleil est un bombe atomique (Bombe H en l’occurence) est actuellement contestée. Un certain nombre de caractéristiques observées ne semblent pas vraiment coller. A vrai dire, le soleil c’est encore pour beaucoup « terre incognita ».
-En réalité la totalité de l’énergie du soleil est dissipée dans l’espace sous forme de rayonnement (dont nous parvient une petite fraction seulement = (1/215) au carré).
Le soleil est apparemment l’équivalent d’un corps noir pratiquement en équilibre thermique, à la différence de l’atmosphère terrestre.

7.  François | 22/09/2011 @ 19:16 Répondre à ce commentaire

@ RanTanPlan
Epuisement du combustible? Dans le cas d’une bombe, peut être, mais dans le cas du soleil, j’ai un doute. Il en a encore pour quelques milliards d’années avant d’épuiser son combustible.
D’autre part, les fluctuations de l’activité solaire ( connues depuis des siècles) prouvent qu’il faut bien que quelque chose se passe pour que son activité diminue. Et ce quelque chose ne peut pas être l’épuisement du combustible puisque son activité croît à nouveau après avoir diminué, et ainsi de suite…

8.  Bob | 22/09/2011 @ 20:00 Répondre à ce commentaire

François (#7),

Il en a encore pour quelques milliards d’années avant d’épuiser son combustible.

4 milliards d’années. Dit-on…
On a un peu de temps devant nous.

9.  Marot | 22/09/2011 @ 20:57 Répondre à ce commentaire

Bob (#8)
Raaaah, c’est une ressource non renouvelable.

Il faut faire quelque chose !

10.  Marco33 | 22/09/2011 @ 21:00 Répondre à ce commentaire

Marot (#9), Y planter des éoliennes? 😈

11.  Mihai V | 22/09/2011 @ 23:14 Répondre à ce commentaire

Bob (#8),

4 milliards d’années. Dit-on…

Quand même un peu plus que cela, si l’on en croit l’article principal sur le Soleil (pas encore (trop) pollué par les activistes écolos-bobos).

Je résume rapidement :
Notre soleil, une étoile ordinaire de la Galaxie est une étoile naine jaune. Le Soleil est une étoile âgée de 4,6 milliards d’années, soit à près (un peu moins) de la moitié de son chemin sur la séquence principale, elle devrait donc encore durer plus ou moins 7.5 milliards d’années avant de se transformer en géante rouge. Pendant cette séquence principale elle consomme l’hydrogène pour le transformer en hélium.

Quand elle atteindra le stade de géante rouge elle gonflera et sa taille dépassera celle de l’orbite terrestre : la Terre ne sera plus alors qu’un désert calciné.
Elle consommera ensuite son hélium avant de se transformer en naine blanche puis de s’éteindre progressivement.

Voir l’article pour les détails. Tout particulièrement les parties Présentation générale et surtout Histoire naturelle.

12.  Bob | 22/09/2011 @ 23:21 Répondre à ce commentaire

Mihai V
4 milliars d’années, dit-on, c’est la durée encore habitable de la terre. Du moins, dit-on.
Mais très franchement, les astrophysiciens ne sont pas vraiment d’accord sur ces questions. C’est encore pire que pour le RCA.

13.  Bob | 22/09/2011 @ 23:24 Répondre à ce commentaire

Mihai (suite #11) et j’ajoute que Wikipedia n’est pas vraiment une référence, dans les domaine controversés comme le soleil.

14.  Mihai V | 22/09/2011 @ 23:25 Répondre à ce commentaire

Mihai V (#11), (suite)

Image reprise de Wikipédia

Représentation schématique des étapes de la vie du Soleil.

15.  Mihai V | 22/09/2011 @ 23:47 Répondre à ce commentaire

Bob (#13),

C’est bien parce que je connais le « sérieux » de Wikipédia que j’ai écrit : « si l’on en croit Wikipédia ».

Sur mon (ébauche de) site canin je propose la traduction d’un article publié en l’anglais :
Pourquoi je ne recommande plus Wikipédia ?

L’auteur, un Américain, résume le problème majeur de Wikipédia :
« L’essentiel, c’est que vous n’avez pas idée si la dernière personne à avoir modifié la page wiki que vous lisez est un professeur titulaire de deux doctorats ou un [étudiant] raté de 24 ans du Kentucky. »

P. S. : Les amateurs de vieilles chansons françaises cliqueront avec profit sur le chien pianiste au bas de la page d’accueil.
Je déconseille aux croyants, de cliquer sur le A écarlate, à sa droite.

16.  Laurent Berthod | 23/09/2011 @ 0:34 Répondre à ce commentaire

Une bien bonne.

Un astrophysicien donne une conférence sur le système solaire. Il parle de la future explosion du soleil en géante rouge qui fera disparaître la terre.

Au moment des questions-réponses une dame dans la salle dit :

-Professeur, je suis très angoissée par ce que vous nous avez dit. Le soleil et la terre vont vraiment disparaître d’ici environ quatre millions d’années ?

Le professeur :

-Madame, vous m’avez mal compris, j’ai parlé de quatre milliards d’années.

– Ah ! Professeur, merci, vous me rassurez !

laugh

17.  Marot | 23/09/2011 @ 2:13 Répondre à ce commentaire

Un très très grand merci à scaletrans et MichelN35 pour ce très bon et très considérable travail de traduction.

18.  JG2433 | 23/09/2011 @ 11:49 Répondre à ce commentaire

Marot (#17),

Un très très grand merci à scaletrans et MichelN35 pour ce très bon et très considérable travail de traduction.

Encore que, pour ce qui est de vous, Marot, vous comprenez et pratiquez la langue anglaise parfaitement !
Et j’ai déjà eu l’occasion de vous remercier de vous donner la peine de traduire en français les contenus des articles en anglais que vous commentez sur Skyfall.

Alors les remerciements que je me permets d’adresser aujourd’hui à scaletrans et MichelN35 vont sans dire – et encore mieux en les disant ! 😐

19.  scaletrans | 23/09/2011 @ 21:22 Répondre à ce commentaire

Marot (#17), JG2433 (#18),

Et aussi un très très grand merci à Araucan qui se dévoue pour faire vivre ce site .

20.  JG2433 | 24/09/2011 @ 8:25 Répondre à ce commentaire

scaletrans (#19),

Et aussi un très très grand merci à Araucan qui se dévoue pour faire vivre ce site.

Je m’associe à vous dans les remerciements à Araucan.

21.  pastilleverte | 24/09/2011 @ 10:54 Répondre à ce commentaire

@Mihai V
lettre A en bas à droite ?
il n’y a pas de quoi brûler un hérétique fouettre un chat (SPA Help !).
En revanche l’affichage vestimentaire de cette lettre A rouge (sang ?), me met mal à l’aise;

Bonne démarche de « dédiaboliser » (c’est très à la mode…) les athées (et je suis « croyant » comme vous dites), mais est-il besoi d’afficher sa différence (quelle différence ?)Pourquoi pas un K comme pour le Klu Klux Klan ou une étoile (couleur au choix) , ou une barbe, une burqa, ?

22.  Mihai V | 24/09/2011 @ 14:10 Répondre à ce commentaire

pastilleverte (#21),

En revanche l’affichage vestimentaire de cette lettre A rouge (sang ?), me met mal à l’aise;

Ce sont des pratiquants – de mémoire, probablement des évangélistes américains – qui ont proposé d’obliger les sites athées à afficher un A rouge pour mettre en garde les pratiquants. Un peu comme on indique « Interdit aux moins de 16 ans » pour certains films.
Les athées ont choisi alors cet A écarlate comme symbole. Un autre symbole moins connu est la licorne noire.

A mon âge, il ne me viendrait pas à l’idée de porter un T-shirt avec ce symbole. Mais je ne trouve pas cela plus ridicule que de porter à son cou un bijou représentant un instrument de torture.
[fin du HS]

23.  Murps | 25/09/2011 @ 22:04 Répondre à ce commentaire

d’obliger les sites athées

C’est quoi un site athée ?????????
Obliger qui ? obliger quoi ???
Qui sont ces fascistes ?

Les sites religieux ne devraient pas être interdits, plutôt et tant qu’on y est ??

24.  Mihai V | 26/09/2011 @ 5:57 Répondre à ce commentaire

Murps (#23),

J’aurais dû être plus précis. Il s’agit bien sûr de tous les sites s’attaquant ouvertement aux religions établies, faisant la promotion de l’athéisme ou de la laïcité.
Ne pas oublier qu’aux USA, il y a une longue tradition puritaine (une population principalement d’origine protestante anglo-saxonne), s’afficher comme athée y est considéré comme une tare pour qui veut faire une carrière politique, etc.

Si l’on veut continuer à discuter de ce sujet, je propose de le faire au Bistrot.

25.  thierry_st_malo | 27/09/2011 @ 18:39 Répondre à ce commentaire

Bob (#6),
Je suis tombé par hasard sur votre post, et en le lisant je me suis souvenu avec amusement qu’au XVIIe siècle le jésuite Athanase Kircher prétendait que le Soleil est un astre froid et que ses rayons sont obscurs, lumière et chaleur n’étant produites que par leur arrivée dans l’atmosphère terrestre…
Ceci dit il est bien clair que je ne suis qu’un ignare en physique ( entre autres ). Je ne mentionnais cela qu’à titre d’amusement. Il faut bien rire un peu !

26.  Nobody | 27/09/2011 @ 19:21 Répondre à ce commentaire

dégraissage…

27.  Nobody | 27/09/2011 @ 19:22 Répondre à ce commentaire

Ooops… mauvais fil…

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