Traduction de Scaletrans. Un saros est une période de 223 lunaisons. Voir également chez Jo Nova.
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William R. Livingston
Olympia, WA 98501, USA
Résumé: Je décris ici un modèle climatique correspondant directement aux cycles écliptiques. La théorie se base sur une similarité entre la période écliptique triple saros de 54 ans et la périodicité des sécheresses. Je prétends que les empreintes des éclipses sont une indication de cycles gravifiques, et que l’attraction lunaire variable est l’aspect le plus significatif du processus d’éclipse. Je développe l’idée que le forçage de l’attraction lunaire à un effet important sur la vapeur d’eau dans l’atmosphère terrestre, et peut affecter la densité et l’emplacement des nuages. J’explore la possibilité que la variabilité décennale des niveaux des océans peut s’expliquer par les cycles gravifiques triple saros. Je fais remarquer que l’attraction lunaire n’a pas été prise en compte dans le très significatif rapport climatique de 2007, et que des contradictions dans les données climatiques n’ont pas été relevées par les chercheurs. J’attire l’attention sur la valeur de données qui n’ont pas été intégrées dans les moyennes globales. J’espère que les lecteurs répondront à ces idées et que les meilleures d’entre elles seront reprises et les plus mauvaises écartées. Envoyez s’il vous plait la correspondance à 54.year.cycle@gmail.com. Cet article sera réécrit après réception des réponses.
1 Introduction
On sait depuis plusieurs siècles qu’une période écliptique de 18 ans gouverne la relation physique entre le Soleil, la Terre et la Lune, et que trois de ces périodes mises bout à bout se synchronisent très bien avec la rotation journalière de la Terre. Cette période synchronique de 54 ans est appelée Triple Saros. Je vais décrire un modèle climatique qui correspond à la période du triple saros. Pour la compréhension de ceci, les cycles écliptiques doivent être compris comme des cycles de gravité. Je suggère que la reconnaissance d’un cycle de gravité de 54 ans peut améliorer l’interprétation de données historiques climatiques, et ouvrir la voie à des prévisions à longue échéance des niveaux des océans, de leur température, de la température atmosphérique et des anomalies climatiques locales telles que moussons et sécheresses. Je propose ce modèle climatique comme alternative aux théories du réchauffement et changement climatique anthropiques globaux qui ont été si largement répandues ces dernières années.
Ma quête en vue de prouver que le climat terrestre est en bonne santé m’a amené à étudier la Lune comme possible catalyseur climatique, et j’ai noté une similarité entre la période triple saros de 54 ans et la périodicité des sécheresses. Le graphe suivant illustre la comparaison. Bien que les dates mentionnées ne fassent pas consensus, ces chiffres sont un bon point de départ pour la compréhension du concept que je propose.
2 Définition du Triple Saros
La durée d’un triple saros est précisément de 19 755, 96 jours, soit le temps nécessaire à l’empreinte d’une éclipse lunaire pour revisiter un emplacement spécifique de la surface de la Terre. Chaque fois que l’empreinte touche la Terre, c’est un rappel de l’existence d’une relation avec le cycle de gravité de 54 ans. Si nous pouvons admettre que la gravitation est le composant le plus significatif des cycles écliptiques, nous pouvons commencer à apporter plus d’attention sur le phénomène cyclique et physique causé par l’orbite lunaire
Nombre de chercheurs ont concentré leur attention sur la périodicité de 18,6 ans des marées océaniques sans réaliser que le cycle saros de 18 ans n’est pas synchrone avec la rotation terrestre. Alors que le noyau de la Terre partage une relation de gravité avec la Lune, sa surface est régie par une corrélation de 54 ans. Par conséquent, tout phénomène physique pouvant être causé par une variation de gravité comme les sécheresses, les séismes, les hauts niveaux des océans et les cyclones devraient pouvoir être mieux prédits sur une période de 54 ans si une prédiction à longue échéance est possible.
3 Extrapolation d’une théorie classique des marées
Si la Lune joue un rôle significatif dans la régulation des marées océaniques, il est logique de penser que la vapeur d’eau de l’atmosphère terrestre soit également régie par le même mécanisme gravifique. Dans ce cas, la densité et le positionnement des nuages doivent correspondre au cycle triple saros de 54 ans. La conclusion logique suivante serait que la Lune doit aussi influer dans une certaine mesure le réchauffement et le refroidissement de la Terre car les nuages régulent la quantité d’énergie solaire qui touche la surface terrestre à un endroit donné. Les nuages durant les mois d’hiver aident à freiner le refroidissement de la Terre. Durant les mois d’été, les nuages ont un effet refroidissant car ils renvoient le rayonnement solaire entrant.
Les précipitations ont un rapport direct avec la densité des nuages. Un défaut de précipitation correspond à la sécheresse. Si la couverture nuageuse de la Terre est manipulée par la Lune, la Lune est en partie responsable de la régulation du climat terrestre.
4 Déclinaison des marées océaniques
On admet traditionnellement que la position en orbite de la Lune exerce une influence sur la Terre de façon générale, et que la Lune provoque les marées en remorquant des proéminences de l’océan d’est en ouest – mais ne devrions-nous pas admettre que les proéminences de marées puissent être tractées du nord au sud lorsque la déclinaison de la Lune monte et descend ?
Du fait que les océans sont liquides, nous en concluons généralement que les proéminences de marées disparaissent lorsque la Lune n’est plus au-dessus. Mais comme les proéminences de marées possèdent une hystérésis ou un moment qui fait qu’elles restent là où la Lune les a placées, dans quelle mesure notre compréhension de la marée peut être changée ? Il est évident que les marées montent et descendent de façon journalière, mais pouvons-nous affirmer qu’elles ne se décalent pas d’une région à une autre y compris du nord vers le sud selon un rythme triple saros de 54 ans ?
5 Changement climatique: le facteur manquant
Ceux qui pensent que l’homme provoque le réchauffement de la Terre et l’élévation du niveau des océans diront probablement que tous les mécanismes de marée et de température sont pris en compte dans les calculs, mais je pense qu’ils ne l’ont pas été. La preuve de cette insuffisance, on peut la trouver dans le document même qui a répandu la crainte universelle d’un réchauffement climatique. Le rapport intitulé : « Changement Climatique 2007 : les Fondements Scientifiques de Base » a été édité par les Nations Unies il y a plusieurs années.
Le rapport était planifié comme devant prévenir que le niveau de nos océans s’élevait à un rythme dangereux. Mais le rapport ne donne que peu d’informations sur la façon dont les niveaux des océans fluctuent naturellement. Il y manque également une description de la technique permettant aux scientifiques de différentier les fluctuations naturelles d’une planète en bonne santé et les fluctuations artificielles causées par la pollution de l’atmosphère.
Le rapport ne mentionne jamais la Lune comme facteur causal de la variabilité de la surface océanique. En fait, la Lune n’est mentionnée que deux fois dans le rapport entier, et jamais en relation avec les marées, ce qui est assez remarquable si l’on considère qu’il y a accord unanime au sein de la communauté scientifique sur le rôle majeur de la Lune dans la fluctuation des marées.
6 Variabilité décennale imprévisible
Les rédacteurs du rapport des Nations Unies disent que certains types de prévisions climatiques sont impossibles car les données historiques sont limitées. Ils affirment hautement que le niveau des océans s’élève, tout en indiquant simultanément que les marées fluctuent selon des modes que les chercheurs ne comprennent pas. Le terme qu’ils utilisent pour décrire le mystère est « variabilité décennale ». Le rapport déclare clairement que « la variabilité décennale de l’élévation du niveau des océans reste mal comprise ». Si c’est vrai, pourquoi favoriserions-nous l’opinion selon laquelle le niveau des océans s’élève trop rapidement ?
Si nous croyons que la Lune est la cause des marées de nos océans, nous devrions envisager la possibilité que la mystérieuse variation décennale du niveau des océans puisse être régulée par le cycle gravifique triple saros. Si ce cycle influence aussi la densité et le positionnement des nuages, les moussons pourraient être analogues aux « hautes eaux » dans l’atmosphère terrestre, et les sécheresses analogues aux « basses eaux ». Si l’atmosphère terrestre est régulée par le cycle gravifique triple saros, nous devrions être capables de suivre les sécheresses et de les prédire dans une certaine mesure ; et ce devrait être également vrai pour ce qui regarde les variations à long terme du niveau des océans que l’on nomme actuellement « variation décennale ».
7 Contradictions dans les niveaux océaniques
Alors que le rapport 2007 des Nations Unies contient de nombreuses affirmations à propos de la montée des océans, le rapport indique également que des niveaux océaniques diminuent. Ainsi en 2007, les niveaux océaniques semblent s’élever sur une côte de l’Australie et baisser sur la côte opposée. Si les rédacteurs du rapport ne peuvent expliquer ce conflit, pourquoi devrions-nous accepter leur conclusion généraliste selon laquelle la quantité d’eau des océans s’accroît ? Pourquoi ne conclurions-nous pas que l’eau se déplace d’un point à un autre ?
Des informations contradictoires affectent également une île proche de Fidji appelée Funafuti rendue célèbre par le film documentaire « Une vérité qui dérange ». Funafuti est également mentionnée dans le rapport 2007 des Nations Unies car l’île a été l’objet de quelques submersions. Le rapport onusien cite un article de chercheur qui estime la montée du niveau de la mer à Funafuti à 2 millimètres ± 1,7 millimètre par an. Cela signifie que la véritable élévation serait de 0,3 ou 3,7 mm. La différence entre les deux chiffres est de plus de 1200%, ce qui indique que les chercheurs ne savent pas si l’océan monte ou si l’île s’enfonce. Leur incertitude se complique du fait que la durée des enregistrements marégraphiques est très courte, durée qui, à l’époque du rapport, consistait en 14 années de données de qualité. Quatorze ans, c’est seulement 25% des 54 ans d’une période Triple Saros.
8 Prévisions climatiques: régionales ou globales
Si nous pouvons apprendre à utiliser le cycle gravifique triple saros pour suivre le décalage des sécheresses à travers les continents et la variabilité décennale des marées à travers les océans, nous pourrions finalement être capables de considérer les sécheresses et les gonflements océaniques comme des évènements régionaux et non globaux. Dans cette hypothèse nous devons éviter les calculs représentant des moyennes globales et nous pourrions au contraire nous concentrer sur les données brutes de chaque jauge marégraphique, pluviale ou de température sur une durée au moins égale à 54 ans. Nous devrions aussi envisager que l’occurrence d’une sécheresse à un endroit puisse correspondre à une mousson anormalement humide quelque part ailleurs sur la Terre, même au milieu des océans où elles ne peuvent pas nous affecter. Si nous pouvons nous arranger pour cesser de nous lamenter à propos des niveaux océaniques et à la place voir les fluctuations et gonflements comme des évènements naturels, nous pourrions découvrir qu’un niveau en augmentation dans une zone océanique coïncide parfaitement avec une diminution quelque part ailleurs, y compris dans l’autre hémisphère.
9 Histoire du réchauffement global
Pour ce qui concerne le réchauffement global, les enregistrements continus de température les plus anciens sont ceux de Central England. Les données semblent indiquer que la température moyenne de la Terre a augmenté d’un degré en trois cent cinquante ans, un tiers de degré par siècle. Mais si nous examinons le graphe de température sans le comparer à l’histoire mondiale nous ne voyons pas que les relevés de température commencent juste après que l’Europe ait connu les pires effets de ce qui est dorénavant connu comme « Le Petit Âge Glaciaire ». Ainsi auparavant, l’Europe était plus froide et plus humide. Aujourd’hui, l’Europe semble plus chaude et plus sèche. Ce qui suit est ma version triple saros de ce qui s’est passé.
10 Spéculation théorique
La durée d’une période triple saros est de 54 ans plus un mois environ. Cela signifie qu’une période pourra commencer en Janvier et se terminer en Février, 54 ans plus tard ; et une période qui commence en Février se terminera en mars, et ainsi de suite. . Par conséquent, le temps séparant deux périodes débutant en Janvier est presque de 595 ans. Si 595 est le nombre d’années séparant deux périodes froides, nous pourrions conclure qu’une période chaude doit intervenir au point milieu, soit à 298 ans dans le cycle.
L’année la plus froide enregistrée par Central England fut 1695. Si nous théorisons que 1695 fut l’année la plus froide sur toute la Terre, le réchauffement devrait culminer 298 ans plus tard en 1993. S’accordant assez étroitement avec cette hypothèse, il y a les données climatiques appelées HadSST3 du service météo national du Royaume Uni. HadSST3 indique que l’année la plus chaude pour les océans du globe fut 1998, soit cinq ans après l’approximation de 1993 mentionnée plus haut.
11 Climat: crainte et acceptation
Les changements climatiques naturels ont toujours existé. Sans les années bissextiles, l’hiver pourrait se trouver en juillet. C’est le travail de nos gardiens du temps d’effectuer des ajustements périodiques au calendrier afin que nous ne soyons jamais hésitants quant au moment de planter les récoltes. Le résultat de ces ajustements constants au calendrier est que nous nous attendons à ce que la météo de l’année suivante soit très similaire à celle de l’année en cours ; et lorsque le climat est mauvais, nous nous plaignons.
La peur est une chose nécessaire – c’est un des instincts qui nous maintiennent en vie. Se préoccuper de l’environnement est également une qualité importante. Il n’y a pas si longtemps que chaque famille américaine avait sa décharge derrière la maison, et que nos rivières près des villes étaient polluées par les eaux usées et les déchets. Il est bon d’avoir la volonté de faire des changements pour nettoyer la Terre. S’il nous est possible de produire moins de pollution par le CO2 je pense que nous devons le faire, mais je ne suis pas convaincu que le CO2 soit la cause du réchauffement climatique.
Je ne suis pas celui qui prouvera que le triple saros gravifique est ou n’est pas le régulateur du climat terrestre, mais à l’heure actuelle je favoriserai l’idée selon laquelle le réchauffement de la Terre est un élément d’un processus naturel. Même dans le rapport 2007 des Nations Unies il y a une faible lueur d’espérance que les humains ne soient pas la cause du réchauffement global. L’extrait suivant en est un exemple :
« … le déséquilibre actuel pourrait être un ajustement rapide à courte échéance, qui diminuera dans les décennies à venir ».
Cette sorte de déclaration optimiste est rare dans les 1000 pages du rapport, mais cela indique que les rédacteurs savent qu’ils pourraient avoir tort à propos du réchauffement global anthropique.
12 Perspective de SST
1944 détenait le record de température de surface de la mer la plus élevée jusqu’en 1997. L’année la plus chaude pour la température marine de surface fut 1998. La différence entre 1944 et 1998 est de 54 ans.
13 Conclusion et prévisions
En me basant sur les cycles gravifiques triple saros, je prévois que la Terre est en phase de refroidissement.
La prochaine année de température maximale de la surface des mers devrait être 2052. Les températures de surface de cette année-là devraient être très proches de celles de 1944.
Le Dust Bowl revisitera l’Amérique du Nord de 2039 à 2045. La sécheresse du Midwest revisitera l’Amérique du Nord de 2060 à 2066.
Ci-dessous, une image des températures globales pour Février 2013 d’après le service météorologique national du Royaume Uni. La couleur bleue correspond à des températures inférieures à la moyenne. La couleur rouge correspond à des températures supérieures à la moyenne. La gravitation triple saros devrait faire changer les couleurs de place et d’intensité selon un cycle de 54 ans.
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IPCC, 2007: Climate Change 2007: The Physical Science Basis. Contribution of Working Group I to the Fourth Assessment Report of the Intergovernmental Panel on Climate Change [Solomon, S., D. Qin, M. Manning, Z. Chen, M. Marquis, K.B. Averyt, M. Tignor and H.L. Miller (eds.)]. Cambridge University Press, Cambridge, United Kingdom and New York, NY, USA, 996 pp.
Kennedy J.J., Rayner, N.A., Smith, R.O., Saunby, M. and Parker, D.E. (2011b). Reassessing biases and other uncertainties in sea-surface temperature observations since 1850 part 1: measurement and sampling errors. J. Geophys. Res., 116, D14103, doi:10.1029/2010JD015218 (PDF 1Mb)
Kennedy J.J., Rayner, N.A., Smith, R.O., Saunby, M. and Parker, D.E. (2011c). Reassessing biases and other uncertainties in sea-surface temperature observations since 1850 part 2: biases and homogenisation. J. Geophys. Res., 116, D14104, doi:10.1029/2010JD015220 (PDF 1Mb)
Time series data file for sea surface temperatures: HadSST3_annual_globe_ts.txt
@@@@@@
184 réponses à “Variabilité climatique en fonction des cycles gravifiques triple saros”
Williams
Est ce que je peux vous demander quelle est votre formation scientifique ( Ah, on me souffle aucune) ? Vous devriez commencer par regarder la définition du barycentre. Que vous inventiez des trucs, ok, mais ce n’est pas pour autant qu’ils sont justes (voir la théorie de Svensmark par exemple).
Vous ne m’avez pas répondu sur le cycle de Suess…
@Williams
Ne répondez pas, ça ne sert à rien avec ce genre de troll. DFTT
Le barycentre de barus (poids) et centre est initialement le centre des poids. C’est donc une notion physique et mécanique. Le premier à avoir étudié le barycentre en tant que centre des poids (ce qu’on appelle de nos jours le centre de gravité) est le mathématicien et physicien Archimède (Wikipédia)
Cho_cacao (#150),
Non, « Cosmic rays », c’est le rayonnement cosmique, composé de radiations gamma et d’un flux de particule ionisées provenant des étoiles proches, pas du soleil.
Cela n’a donc rien à voir avec le rayonnement solaire. Il ne faut pas tout confondre.
Le rayonnement solaire est modulé par l’activité solaire, qui influe sur le champ magnétique terrestre et « protège » l’atmosphère du rayonnement cosmique en cas de forte activité.
Ah censure chérie… Tu ne fais jamais grève
Nobody…
L’idée de Svensmark est que l’activité solaire particulièrement importante a empêché une partie des rayonnements cosmiques de jouer leur rôle habituel dans le climat.
Il y aurait donc un lien direct, selon lui, entre acticité solaire et couverture nuageuse (et don climat). Mais cette corrélation semble s’être effondrée depuis ses publications de 2007. Personne n’a une référence de cela éventuellement ? Ca m’intéresse…
Cho_cacao (#156),
Et bien, si une telle référence existe et que cela t’intéresse… tu ne devrais pas avoir de mal à la trouver.
Ou tu fais semblant? c’est un essai de stratégie de « fausse candeur »
Il faut à peut prêt 10 secondes de recherche pour trouver ce que tu cherche, à savoir l’article de Sloane & Wolfendale… et pas beaucoup plus pour trouver l’article de Svensmark, Bondo & Svensmark (2009) qui explique ce que Sloane & Wolfendale on raté.
…après… tu prend parti pour qui tu veux… 😉
Eh bien, malgré votre élan de paranoia, je vous remercie pour ces informations. Pourriez-vous donner les liens correspondants, svp?
Merci
Cho_cacao (#158),
En 2011, Les premiers résultats de l’expérience CLOUD (Cosmics Leaving OUtdoor Droplets) menée au Cern depuis 2006, publiés par Nature, ont apporté enfin des éléments précis sur l’impact des rayons cosmiques sur la formation des aérosols – de potentielles ‘graines’ de nuages. Un élément clef pour le climat.
Voir ici : http://sciencesetavenir.nouvel…..ipent.html ou bien ici : http://www.laterredufutur.com/…..osmos.html
etc
Williams
Cho_cacao (#158),
On vous a dit 10 secondes de recherche, et c’est pas exagéré avec les références que donne nobody en 157.
Williams,
Relisez bien ce qui est écrit dans science et avenir, les résultats de CLOUD ne vont absolument pas dans le sens de la théorie de Svensmark.
Le chti (#161),
Science & Avenir ? Pourquoi pas Science & Vie pendant que vous y êtes ? Ou Science & Vie Junior peut-être bien ?
Sont-ce là vos références scientifiques ?
Décidément mon pauvre ami, vous êtes pitoyable.
Le chti (#161),
Bah si. Ils vont dans le même sens. Mais ils ne permettent pas de valider l’ensemble de la théorie, la nucléation n’en étant qu’une partie.
C’est d’ailleurs aussi ce que dit l’article de science et avenir, au moins pour ceux qui savent lire avec un minimum de bonne foi.
Le chti (#161),
Si les rejets de GES plafonnaient en 2016, scénario irréaliste, les pertes de zones climatiques seraient réduites de 60%. Si les émissions atteignaient un plafond en 2030, ce chiffre serait de 40%.
http://sciencesetavenir.nouvel…..-2080.html
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Un petit commentaire sur cette affirmation de sciences et avenir ? Nage-t-on dans l’irréalisme total ?
the fritz (#164),
Ces magazines pseudo scientifiques sont depuis longtemps décrédibilisés. Ils obéissent en fait aux nécessités de la presse en général qui ne s’intéressent qu’aux trains qui arrivent en retard.
Plus grave est l’implication de ceux qui ressemblent à des scientifiques, qui en ont la couleur, mais pas le goût… pour avoir abandonné leur honneur en chemin.
Le chti (#140), Cesse de poser des questions aux autres et commence à t’en poser de sérieuses. La première: Ai-je assez de neurones pour faire autre chose que troller et avoir une opinion personnelle? Ce serait deja un bon début.
Le chti (#151), Et ta déformation scientifique t’en fait quoi pauv’ buse?
Le chti (#161), Science & avenir, laissez moi rire, depuis l’affaire de la mémoire de l’eau, ce mensuel est le pire torchon de la pseudo science, tellement secoué dans divers scandales scientistes qu’un de plus ou de moins, ça permet de vendre du papier à des pignoufs en mal de catastrophisme. Ce magazine est une farce et je suis poli. Quand à science & Vie depuis le départ de J-F Robredo c’est devenu un nid d’activistes dans des proportion égale aux experts du GIEC donc de la merde, sur papier glacé, mais de la merde quand même.
jojobargeot (#166), cela fait un moment que je me suis fait une opinion sur son CV à partir des réponses qu’il donne sur des sujets techniques simples : à mon avis il n’a pas de formation scientifique spécifique quelle qu’elle soit, ou alors peut-être une formation technologique…
Dans l’absolu ça ne me dérange pas, sauf quand on voit de solides âneries prononcées avec conviction, opinions mises à part.
the fritz (#164), On reconnait une publication réchauffiste facilement, tous les verbes sont au conditionnel. Quel dommage d’avoir abattu des arbres pour publier une merde pareille.
Haaa! Si le ch’ti lisait autre chose que des torchons, il POURRAIT se faire enfin une opinion en toute liberté.
Moi aussi je fais de prédictions.
Murps (#169), Pas assez capable de se remettre en question pour avoir une formation technique. Tient pour ceux que ça passionne, un exemple de technologie assez pointu. Projet auquel je participe très activement depuis 18 mois.
http://3kopru.com/ENG/
jojobargeot (#169),
Le chti (#161),
Vous ne savez pas lire et faire que contredire quand on voit que même en vous donnant des détails, des sources… vous reconnaissez rien mais rien du tout. C’est à ce demander si vous vous interessez bien à la science… !
Pour tout autres personnes voici une autre source encore plus sûr comme elle vient du CERN, l’Organisation européenne pour la recherche nucléaire, http://home.web.cern.ch/fr/about/experiments/cloud , nous disant bien que les rayons cosmiques influenceraient la nappe nuage :
Williams
Williams,
Votre lien ne dit absolument rien des résultats de cette expérience. Les resultats de CLOUD n’avalisent en rien la théorie de Svensmark.
Je vous laisse lire cet interview de Jasper Kirkby (j’espère que vous lisez l’anglais)
http://www.guardian.co.uk/envi…..ate-change
ps ne parlez pas de science, vous ne savez pas ce que c’est..
scaletrans,
Hum, hum, c’est Williams qui a fourni le lien vers Science et avenir, pas moi … Adressez vous donc à lui..
Le chti (#173),
Il faut le faire de dire ceci quand je vois par exemple qu’il y a 4 jours que vous ne savez même pas ce que c’était le barycentre vu votre réaction « C’est quoi cette invention du barycentre du système solaire » et voir d’autres
Puis l’article que vous donnez est une source nettement moins importante que celle du site du CERN qui est la source principale pour nous parler des recherches du CLOUD sur l’influence des rayons cosmiques sur les nuages. Car il faut faire attention aux sources des infos surtout sur internet 🙄
Williams
Williams,
Je crois que vous avez de sérieux problèmes de compréhension du français. Vous ne savez pas distinguer une phrase un peu moqueuse. Le barycentre du système solaire n’existe pas il est même impossible à calculer. Le seul barycentre qui ait une importance dans le système solaire (par rapport à la galaxie) c’est le barycentre Soleil/Jupiter.
Révisez donc la définition de barycentre.
ps vous ne m’avez toujours pas répondu à propos du cycle de Suess.
Williams,
Vous ne comprenez pas l’anglais non plus…. Ce que dit Kirkby est très important
Le chti (#177),
Si vous étiez un peu moins imbu de votre Insignifiance, vous qui parasitez ce blogue depuis si longtemps vous vous souviendriez que le français n’est pas la langue maternelle de Williams. Comme son prénom l’indique, il est anglophone d’origine.
Vous avez encore raté une occasion de ne pas paraître c.o.
Le chti (#176),
Jupiter est bien l’astre qui a le plus d’influence sur le barycentre du système solaire après le soleil vu sa masse et distance au Soleil, mais l’influence de Saturne+Uranus+Neptune quand ils sont alignées sont exactement la même que celle de Jupiter. C’est même pour cela qui si on a jupiter+Soleil+Saturne+Uranus+Neptune que le barycentre du système solaire est situé au centre du Soleil puisque les 3 dernières planètes gazeuses vont « tirez la corde » aussi fort que Jupiter.
Par exemple, dans se site http://www.applet-magic.com/centermass.htm on vous dit : The center of mass of the entire solar system does not deviate from the center of mass of the Sun as much as it does for the two-body combinations shown above, because planets on the opposite sides of the Sun cancel out their individual effects.
Si non regardez cette vidéo http://www.youtube.com/watch?v=1iSR3Yw6FXo qui est en anglais où on réponds à la question suivante « What is responsible for such irregular gyrations ? » PAR « Mainly, it is the varying gravitational attraction of orbiting planets especially the gas giants « , ATTENTION PLANETS et GIANTS AVEC UN S) vous voyez bien que Jupiter n’est pas le seul astre avec le Soleil à jouer sur la distance… du barycentre par rapport au centre du Soleil. C’est pourtant logique et compréhensible vu que la rotation du Soleil est très irrégulière, par sur une orbite eliptique…
Si bien souvent on parle que de Jupiter et du Soleil ou de la Lune et la Terre c’est pour simplifier l’explication de ce qu’est le barycentre. Ici cela te le montre avec un schema et explique bien : http://www.brighthub.com/scien…..17934.aspx
Pour le cycle de Suess je te l’ai dis mais tu a rien compris la aussi.
Williams
Le chti (#173),
Signé : le chti
MDR !!!
Laurent Berthod (#180),
Au moins on ne s’ennuie pas avec un clown pareil.
Le chti (#173),
The guardian, le torchon gauchiste écrit par une activiste de Yale Environment 360, pourquoi ne pas mettre directement un lien vers greenpeace ou le WWF, tant que l’on y est!
pecqror (#182), En même temps on trouve bien des brochures du WWF dans les rapports du GIEC, donc bon…