Heureusement, cela se passe à l’étranger


Un nouveau rapport publié par la Global Warming Policy Foundation lance un appel à Michael Gove, le secrétaire d' Etat britannique à l'éducation, pour diligenter une enquête officielle sur la façon dont l'écologie et en particulier le changement climatique sont enseignés dans les écoles.

Dans le rapport, les auteurs Andrew Montford et John Shade décrivent comment l'écologie en est venue à imprégner les programmes scolaires à travers le Royaume-Uni, dans une étonnante variété de matières, de la géographie à l'éducation religieuse et les langues modernes (1). Passer des examens désormais implique généralement la capacité de réciter des mantras verts plutôt que de comprendre les questions subtiles de science et d'économie concernées.

Les auteurs examinent en détail le matériel pédagogique sur le changement climatique actuellement utilisés dans les écoles britanniques, avec des résultats inquiétants. Il existe de nombreuses preuves de déclarations non scientifiques, graphiques manipulés, et des matériaux de militants utilisés en classe et même dans les manuels.

Le rapport décrit également comment les enseignants militants tentent de faire des enfants des petits soldats du mouvement vert, en les encourageant à harceler leurs camarades de classe et leurs parents pour provoquer un «changement de comportement».

L' utilisation de la peur du changement climatique pour modifier le comportement des enfants est également mis en évidence. Ceci a sans aucun doute des conséquences néfastes sur le développement des enfants et des sondages indiquent que la peur de l'avenir est très répandue. Le rapport cite un enfant en disant :

"Je m'inquiète du réchauffement climatique, parce-que je ne veux pas mourir."

Pour l'auteur Andrew Montford : "Le lavage de cerveau de nos enfants à des fins politiques est honteux. Les responsables de l'éducation au Royaume-Uni doivent prendre des mesures et rapidement".

Source.

Le rapport (eng) est téléchargeable ici.

1 Montford cite ailleurs comme exemple les cours de Français…

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48 réponses à “Heureusement, cela se passe à l’étranger”

  1. La peur, toujours la peur, et on s’étonne après ça que les français soient parmi les plus grands consommateurs d’anxiolytiques et se sentent plus malheureux que les afghans (ayant élu Hollande, on les comprend !)
    Ah, pardon, c’était au UK, ben dis donc qu’est ce que ce sera en France !!!

  2. Le rapport décrit également comment les enseignants militants tentent de faire des enfants des petits soldats du mouvement vert

    Comme quoi, les excès de la vidéo ci-dessous – que beaucoup parmi nous connaissent déjà – ne sont finalement pas une représentation si décalée que cela (l’aspect sanglant en moins) des modes d’action mis en œuvre par la propagande verte. 😥

    http://www.dailymotion.com/vid…..res_webcam

  3. C’est très bien, ce type de rapport.
    Mais à partir du moment où tous les responsables politiques du monde entier, ou presque, confirment ce qui est enseigné, j’ai beaucoup de mal à imaginer qu’un tel rapport puisse être efficace.
    Mais il a le mérite d’exister.
    L’écologie doit être classée dans les religions puisqu’elle impose ce qu’il faut faire et croire dans la vie. Le problème est que la grande majorité des scientifiques y ont adhéré et prétendent que l’écologie est scientifiquement justifiée. Cet état de fait n’est pas prêt de changer et l’on entre dans une phase d’obscurantisme qui risque d’être très longue.

  4. Dans leur Debunking Handbook paru en français sous le titre de Précis de réfutation (1), John Cook et Stephan Lewandowsky illustrent leur propos d’exemples relatifs au climat. Ce faisant, ils propagent leur « bonne parole » et font exactement ce qu’ils prétendent dénoncer : de l’endoctrinement ! S’autoriser ce que l’on condamne, je trouve cela plutôt pervers. Malheureusement, nombreux sont ceux qui tombent dans le piège.

    (1) http://www.skepticalscience.co…..French.pdf

  5. wilbert (#5), Amusant ce texte avec les references a un programme specifique de CBC, le France Television du coin, dont le moins qu’on puisse dire est qu’il est d’un alarmisme militant confondant.

  6. Sans aller à l’étranger, voilà ce que j’ai trouvé sur l’agence régionale de l’environnement de haute Normandie comme fiche pédagogique pour sensibiliser les enfants au réchauffement :
    http://arehn-asso.superdoc.com…..atique.pdf
    Elle a été mise à jour en janvier. C’est édifiant !

  7. J’ai trois enfants scolarisés en France (première, troisième, ce2) : c’est exactement le même cirque. Qu’il s’agisse de thèmes d’exposés, de TPE, de recherche documentaire, tout tourne autour du RCA. J’ai emprunté à mon fois en classe de troisième ses bouquins : le RCA est évoqué en SVT (évidemment …), mais aussi en géographie, en histoire, en anglais, en éducation civique… Si c’est pas du lavage de cerveau…

  8. Bernnard (#7),
    J’ai froid ! / ORANGE, Muriel (2008). Harfleur : Arthur et cie ,
    A partir de 3 ans 837.14/ORA (J) Le petit pingouin a toujours froid sur sa banquise. Alors, il fait tout pour réchauffer le climat : il laisse sa lumière allumée, il circule en vélomoteur… Mais ses amis lui expliquent que, si la Terre se réchauffe trop, la banquise fondra et il n’aura plus de toit !

    Et pour aller encore plus loin avec ce livre … Fichier d’activités pour la maternelle. Pour découvrir le chaud, le froid, le réchauffement climatique : 16 fiches pédagogiques / TOVAGLIARI, Sophie (2008). Harfleur : Arthur et cie 18 p. A partir de 3 ans

    Incroyable, les trois/quatre ans concernent même la majorité des ouvrages proposés.

    Enfin dans 20 ans, l’ex enfant devra bien se coltiner l’AMO négative et chauffer son igloo. Il se souviendra de ses lectures d’enfance avec nostalgie.

  9. chercheur (#3),
    L’écologie doit être classée dans les religions puisqu’elle impose ce qu’il faut faire et croire dans la vie
    —————————–
    C’est pire que la religion; nous sommes dans un état laïc ; on peut croire ou pas dans ses dogmes et on peut pratiquer ou pas ; pour l’écologie via les politiques vous n’avez pas le choix , on vous l’impose

  10. chercheur (#3),
    Cet état de fait n’est pas prêt de changer et l’on entre dans une phase d’obscurantisme qui risque d’être très longue.
    ————————————-
    J’ai passé deux heures dans ma librairie Kléber préférée après plusieurs mois d’inculture; Il n’y a plus rien qui est publié en ce qui concerne le réchauffement climatique lié aux GES; par contre , l’écologie regorge de prise de position et tout tourne autour de la transition énergétique; on ne parle pas souvent de pic oïl ici depuis que miniTax nous snobe, mais on peut parier sur la fin de l’obsession du RCA quand les problèmes énergétiques vont se poser un peu plus crûment: hausse des tarifs , coupures de courants , fermetures de robinets , ras le bol des taxes etc

  11. Sylvestre (#4),
    Franchement , pour une personne saine d’esprit, je pense que la publication d’un tel article va à l’encontre de ce qu’il cherche : on dirait des étalagistes vendant leur camelote au marché

  12. Les auteurs examinent en détail le matériel pédagogique sur le changement climatique actuellement utilisés dans les écoles britanniques, avec des résultats inquiétants. Il existe de nombreuses preuves de déclarations non scientifiques, graphiques manipulés, et des matériaux de militants utilisés en classe et même dans les manuels.

    Il faut absolument que je vous fasse un petit topo sur le travail demandé à ma fille en seconde cette année (je devrai poster un article plus complet, avec photos et extraits documentaires).

    La matière : histoire/géographie/éducation civique
    le sujet : l’agriculture brésilienne
    l’objectif : montrer que l’agriculture brésilienne doit impérativement passer à la développitude durable.
    les outils (tenez vous à votre fauteuil) : des articles de Libérnation, du imMonde et de Greennpisse à analyser !

    Le bouquin scolaire en question est à lui seul un scandale en termes déontologiques : c’est un document de propagande environnementaliste qui n’a rien à foutre dans une bibliothèque de manuels d’une l’école républicaine digne de ce nom.

    Mais personne ne moufte, et surtout pas les enseignants concernés.

  13. The Fritz (#11),

    non le peak oil est bien décalé on trouve plein de pétrole de charbon et de GDS partout*

    quand j’ai fini mes études (en 1965) les spécialistes de l’Ecole des Mines prévoyaient l’épuisement du pétrole ( à rythme inchangé) en … 2005

    En fait le peak oil c’est comme un mirage dans le désert quand on avance il recule et à la fin il s’évanouit ….

    http://blog.turgot.org/index.p…..ri-energie

    par contre comme on exploitera toutes ces ressources on va mourir de chaud …

  14. yvesdemars (#14),
    J’ai lu, il y a quelques temps, une explication de ces fameuses prévisions, toujours repoussées depuis 3/4 de siècles, de la pénurie d’hydrocarbures. C’est un ancien des compagnies pétrolières qui expliquait qu’elles se basaient sur les réserves estimées par les compagnies pétrolières (qui sont les personnes les plus au courant en la matière puisqu’elles sont à l’origine des recherches).
    Il expliquait que les compagnies pétrolières limitaient volontairement leurs prospectives à 40 ans, car, contrairement au GIEC, leurs actionnaires ne les payent pas pour tirer inconsidérément des plans sur la comète dans un avenir aussi hypothétique que fumeux.
    Voilà pourquoi, depuis des décennies, on nous promet la fin du pétrole pour dans 40 ans et que depuis des décennies cette pénurie est repoussée au fur et à mesure…

  15. Nicias (#9),

    Enfin dans 20 ans, l’ex enfant devra bien se coltiner l’AMO négative et chauffer son igloo.

    Je crois que vous n’avez pas bien compris le véritable impact des oscillations océaniques sur le climat.

  16. François (#15), possible, mais en même temps, quand bien même les actionnaires accepteraient de payer pour des prospectives à plus de 40 ans, on serait incapables de répondre, à la fois en termes de prévision de production, que de demande…

    Il y a des agences gouvernementales, payées par le contribuable, qui se plantent systématiquement depuis deux siècles sur ce sujet. Une véritable constante…

  17. Murps (#13),

    Il faut absolument que je vous fasse un petit topo sur le travail demandé à ma fille en seconde cette année (je devrai poster un article plus complet, avec photos et extraits documentaires).

    Pour ma part, je ne peux que vous encourager à le faire. Et vous pouvez me croire, je vous lirai avec le plus grand intérêt. D’avance, merci à vous pour votre implication.

  18. JG2433 (#18),

    C’est même l’objectif de ce post, documenter ce qu’il se passe en France, ou ailleurs comme au Canada.

  19. Le chti (#16), Ferme la. Toi tu ne comprend rien a rien. T’es pas un bon a rien mais un mauvais a tout. Et LA PREUVE l’as-tu? Non alors ferme la.

  20. « Anyway », le « piquoille » n’est jamais que celui concernant les quantités exploitables à un prix jugé « raisonnable » à un moment donné.
    En 1973 on pouvait déjà sans grand risque annoncer le PO dans peu de temps pour le pétrole à 35$ le barril…

  21. yvesdemars (#14),
    Je vous recommande de lire un petit ouvrage appelé « parlons gaz de schiste en 30 questions »; c’est rédigé par Pierre René Bauquis , un ancien boss et néanmoins ami que je rencontre tous les ans à la sortie des anciens de TOTAL; il est nettement plus mesuré que Laherrère (ASPO) sur la longueur du plateau qui remplace le peak oïl, et en plus il croit au RCA; les discussions sont parfois animées

  22. The Fritz (#12),

    Oui, mais ça marche et de nombreuses personnes, pourtant saines d’esprit, se laissent berner. Si les pages scientifiques des rapports du GIEC restent prudentes et écrites au conditionnel imposé par l’aspect probabiliste des prévisions et l’imperfection des modèles, il n’en va pas de même de l’interprétation qu’en font les spécialistes en communication et les médias – ou du moins certains d’entre eux – habitués à transformer des possibilités ou des probabilités en certitudes et plus soucieux de persuader que d’informer objectivement. Pourtant, la vérité scientifique ne se mesure pas au nombre d’adhérents ni en termes de facteur d’impact.

    Devant l’incertitude scientifique et le doute légitime en l’occurrence, la question que chacun devrait se poser n’est-elle pas : en l’absence d’une connaissance plus complète, pouvons-nous prendre le risque de ne pas agir ? Autrement dit, l’urgence apparente de la situation, est-elle avérée et suffisante pour convoquer un principe de précaution qui requière des actions collectives et individuelles immédiates ?

    Une réponse est formulée dans cette suggestion de la COMEST :
    « La COMEST a établi, en 2005, une définition pratique détaillée de ce principe stipulant, en outre, que dans le contexte d’un danger potentiel, l’incertitude scientifique ne doit pas conduire à l’inaction mais bien plutôt à l’action, en poursuivant notamment l’approfondissement de la connaissance des risques. En d’autres termes, comme le suggère la COMEST : lorsque des activités humaines risquent d’aboutir à un danger moralement inacceptable, qui est scientifiquement plausible mais incertain, des mesures doivent être prises pour éviter ou diminuer ce danger.» (1)

    Cela est bel et bien mais…comment déterminer ce qui serait « moralement inacceptable » et pour qui. On peut toujours, évidemment, poursuivre l’approfondissement de la connaissance mais il est quasiment impossible de connaître les éventuels feedbacks que pourraient avoir les actions préconisées. Et il y a tant de risques qui sont (et qui furent) scientifiquement plausibles…

    (1) COMEST, Commission mondiale d’éthique des connaissances scientifiques et des technologies, Les implications éthiques du changement climatique mondial, 2010, p. 30.

  23. Le chti (#23), je n'ai pas a argumenter, c'est votre clique d'ecolo pathologique qui accuse l' humanite de tous les maux. Quand on accuse ils faut des preuves. C'est ces ou plutot cette preuve que je reclame, or comme elle n'existe pas et que depuis des mois vous nous insultez, vous n' avez toujours pas repondu a cette demande simple et claire. Donc je n'ai pas a argumenter le fait de demander de la fermer a tout jamais. Vous ne parlez que pour rien dire et etes incapable d'avoir le moindre argument ou preuve de ce vous defendez bien mal.
    A part nier de la maniere la plus imbecile les arguments que nous avons peut etre la betise de vous proposer, vous n'avez jamais presente quoi que ce soit de serieux pour vous y opposer.
    Vous etes l'archetype du […], inutile, injurieux et sans la moindre repartie autre que les litanies de votre bible du GIEC. Vous ne savez rien, ne comprennez rien, ne voyez rien de ce qui se trame autour de vous, bref un bon p'tit soldat ideal: execute les ordres sans reflechir et sans les comprendre. Il est certain que dans le milieu militaire vous y evoluez comme un poisson dans l'eau et a l'instar de ce dernier n'avez besoin que de la colonne vertebrale pour y survivre, mais tous les participants de skyfall l'avaient deja remarque.

  24. Ce qui est leplus navrant dans cet endoctrinement, c’est que ce sont le meilleurs élèves, ceux qui retiennent le mieux leurs leçons, c’est à dire, la future élite des pays, qui comprend et retient le mieux tous ces arguments fallacieux, sans esprit critique. J’en ai eu la preuve récemment en discutant avec des candidats aux concours maths spé.. Les autres oublient ou ne font pas attention. Ils semblent moins influençable…

  25. Ecophob (#24),

    …qui comprend et retient le mieux tous ces arguments fallacieux, sans esprit critique.

    Ils ont le temps de développer un esprit critique, du moins espérons-le !

  26. Jojobargeot (#25),
    +1

    Il est certain que dans le milieu militaire vous y évoluez comme un poisson dans l’eau et a l’instar de ce dernier n’avez besoin que de la colonne vertébrale pour y survivre, mais tous les participants de skyfall l’avaient déjà remarqué.

    Ce qui m’inquiète c’est qu’un endoctriné comme le chti soit officier embarqué à bord d’un sous-marin nucléaire. On s’attendrait à ce que l’on ne sélectionne ces officiers que parmi ceux qui ont un solide bon sens et quelque chose qui fonctionne bien entre les oreilles. Pour le chti, ces dernières ne servent qu’à soutenir le képi.

  27. Sylvestre (#24),

    il est quasiment impossible de connaître les éventuels feedbacks que pourraient avoir les actions préconisées

    Je ne suis pas sur de vous suivre sur ce point. De quoi voulez vous parler ?
    Il y a le bénéfice attendu. On ne le connais pas, sauf les inconditionnels des modèles qui y croient dur comme fer.
    En revanche on connait relativement bien les coûts de ces actions préconisées.
    Sur le blog de S. Huet, on peut y lire des propos tenus par H. Le Treut (climatologue catégorie modélisateur) :
    «Ce n’est pas facile pour les journalistes», s’amuse le chercheur «très sceptique» sur la possibilité de chiffrer en dollars ou en euros —l’outil favori des économistes avec le Produit intérieur brut— les conséquences du changement climatique. «Peut-on donner une valeur monétaire aux morts ?», interroge t-il.

    Ce n’est pas du tout mon opinion et étant modérateur, je vais taire ce que je pense de ce bonhomme dont je ne comprend pas ce qui l’amuse ici. Ses modèles, il peut y croire, moi pas.
    Par contre je connais tout un tas de gens qui connaissent le prix d’une vie humaine. Un médecin qui gère le budget limité de son hôpital connait le prix d’une vie humaine. Un gars qui s’occupe des équipements routiers et qui doit décider de construire ou non un rail de sécurité connait le prix d’une vie humaine (c’est 1 million, je connais ce chiffre).

    Je ne sais pas combien de vies on pourrait sauver si on supprimait la CSPE ou toutes ces subventions pour faire des « économies d’énergie ». Ce n’est pas zéro. Les gens font des choix ou subissent ceux de la majorité, en réaction, ils dépensent moins au restaurant mais aussi pour des dépenses moins futiles comme les impôts qui financent hôpitaux et infrastructures routières.

    Je peux, c’est ma conviction, donner l’ordre de grandeur des vies que l’on pourrait sauver si l’on consacrait les 4,5 milliards de la CSPE à la lutte contre le paludisme : des millions.

  28. Cdt Michel e.r. (#28),
    Pour le chti, ces dernières ne servent qu’à soutenir le képi.
    ——————————
    celle là , elle est pas mal; mais il me semble que le simple matelot n’avait qu’un béret

  29. The Fritz (#32),

    … le simple matelot n’avait qu’un béret

    C’est exact, mais le chti a prétendu être officier à bord d’un SNLE, il devrait donc normalement porter un képi.
    Mais à y réfléchir, je me demande s’il ne nous enfume pas également avec cela.
    En effet, nous ne connaissons que son pseudo et rien ne nous permet de vérifier qu’il est bien embarqué sur un SNLE. Le secret des missions est bien pratique comme couverture de ses affabulations.

  30. A mon souvenir d’aspirant (de l’armée de terre, artillerie), le képi se porte en fonction de la circonstance. comme j’ai des copains bretons dans la marine, a priori, c’est des laxistes au niveau protocole.

  31. Dans la Royale les officiers portent des casquettes… Pas de képi.

    D’autre part, certains semblent avoir une vision un peu limitée du fonctionnement militaire : l’obéissance aux ordres est le mode de fonctionnement mais les meilleures armées du monde sont celles ou l’initiative est encouragée et ou les personnels sont capables d’adaptation aux situations imprévues…

    De plus, à mon avis il n’y a pas plus d’écolos branche dure chez les militaires que dans le reste de la population.

  32. The Fritz (#10), merci de rectifier : parlons de l’écologisme et non de l’écologie, ce n’est pas la même chose. En ce qui me concerne, je me considère dans mon boulot comme écologue, mais ne suis pas adepte de l’écologisme tel qu’il est pratiqué ou enseigné… nuance…
    Pour en revenir à l’enseignement, c’est donc l’écologisme qui est professé, je doute fort que l’écologie soit objectivement abordée. L’écologie est une science, pas une idéologie (enfin, dans l’absolu…)

  33. Nicias (#31),

    Lorsque j’évoquais les éventuels feedbacks, je parlais évidemment des bénéfices attendus (incertains) et de possibles effets négatifs (mal ou non évalués). Je suis d’accord avec vous pour dire qu’il y a des problèmes immédiats avérés dont il est insuffisamment tenu compte et dans lesquels il est vital d’investir.
    Voir un article intéressant ici :
    http://www.spiegel.de/internat…..60569.html

    Je pense aussi que le fait de se focaliser sur les changements climatiques et les hypothèses y afférentes est dangereux car cela peut conduire à omettre de régler les problèmes urgents bien réels.

  34. Gilles des Landes (#36),

    Bob il me semble a souligné qu’en anglais ils ont deux mots « l’environnementalisme » et l’écologie. On ne fait pas cette distinction en français et c’est regrettable. Pour ma part quand je parle des « écolos » qu’il soit bien clair que je ne parle que de l’écologie politique encore que je ne saurait mettre dedans des gens comme PBR.

  35. jojobargeot (#38),
    Je crois que c’était le directeur de polytechnique lors de son discours à la promotion entrante il y a beaucoup, beaucoup d’années… ( En fait, il l’avait dit plus poliment:  » Les imbéciles, plus ils sont triés et plus ils sont dangereux »).
    Je ne me souviens malheureusement pas de son nom.

  36. Une espèce est un ensemble de gamètes capables de se reproduire et d’évoluer dans espace environnemental plus ou moins défini.
    L’arbre et la forêt temple sacré de l’écologisme qui occupe l’espace pendant des millénaire et plus est un frein à la diversité des espèces végétales.

  37. Ecophob (#26),

    Tous les « bons » élèves ne sont pas si influençables. Mais de toute façon, c’est aux parents de réagir ainsi qu’aux enseignants dans les conseils de profs.

    En Amérique voici une réaction « exemplaire » dans tous les sens du terme :
    http://bishophill.squarespace……reens.html
    La traduction Google n’est pas trop mauvaise, et la discussion est bien argumentée.

  38. MichelLN35 (#43),

    Bons ou mauvais élèves, il me semble qu’ils réagiront uniquement s’ils ont reçu une éducation développant un esprit critique dans tous les domaines sans exception. Et cela, c’est malheureusement très rare.

    Oui, c’est aux parents de réagir. Mais l’image que reçoivent les enfants quand leurs parents contestent l’enseignement d’un professeur est toujours déplorable.

    Or ces deux approches sont contradictoires sauf si tous les profs sont excellents, ce qui…n’existe plus.

    Donc le mal est fait quand ceux qui conçoivent les programmes y intègrent leur idéologie.

    Dans cette lettre, j’ai noté que l’auteur considère comme plus néfaste d’être embrigadé dans l’écologie plutôt que dans le christianisme. Je pense que les conséquences sont effectivement aujourd’hui beaucoup plus graves.

  39. chercheur (#44), Sauf que c’est parce qu’il reste sur ses positions tout aussi « idéologiques » plus que par souci de vérité scientifique : Croire aux miracles de Moïse ouvrant la Mer Rouge et refuser ceux de Jésus, où est la logique ? Les preuves manquent tout autant, non ? Et refuser le recyclage en y opposant quelle pratique cohérente ? Ce n’est pas une attitude ouverte, c’est le moins qu’on puisse dire.

  40. de Rouvex (#45),

    Sauf dans de rares cas, le recyclage est une aberration économique. Les chiffres qui annoncent que c’est plus rentable que l’incinération sont complètement manipulés, car ils parlent de coûts après les subventions et non de coûts réels. De plus les matériaux qui en sortent sont très souvent de moindre qualité.

    Je vous accorde qu’il aurait dû argumenter un peu. Quant aux miracles, vous avez tout à fait raison.

  41. J’ai voulu envoyer à un ami le lien vers le texte (assez long) que j’avais publié ici (titre : Le crédo de l’Afis) mais il a disparu…
    En revanche, les réactions que ce texte a suscitées et certaines de mes réponses sont toujours lisibles.
    Y a-t-il un problème ?

  42. Pardon ! J’avais cherché sous un autre post !
    Je n’ai plus les yeux en face des trous… J’ai dû abuser de lectures anti-sceptiques…

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