Discussions sur l’effet de serre


L’effet de Serre atmosphérique engendre d’innombrables discussions sur son interprétation et son fonctionnement. Voici une page dédiée aux commentaires le concernant.

Un peu de lecture pour le comprendre :

Taking greenhouse warming seriously par Richard Lindzen

L’effet de serre atmosphérique : plus subtil qu’on ne le croit ! par Jean-Louis Dufresne

Comprendre l’effet de serre par P. de Larminat

Les commentaires seront lourdement modérés. Pas de hors-sujet et restons courtois.

Le fil de discussion précédent est archivé ici.

 


4 492 réponses à “Discussions sur l’effet de serre”

  1. papijo (#4450), certes, mais au début, à la création du GIEC, c’était plus politique que fric. (Amike en 4448 parlait du GIEC)

  2. amike (#4448),
    Cdt TSM (ER), n’est pas une montée en grade.
    C’est juste une précision : en clair, je suis Capitaine-commandant des Troupes du Service Médical, en retraite. Pour ce qui est soins aux blessés, je n’ai eu qu’une formation de brancardier de combat.

  3. Merci à amike pour ses liens !
    Une série de 3 articles par Javier Vinós sur WUWT au sujet des liens entre climat et activité solaire qui apportent des points de vue « inédits » sur les liens possibles. Seuls les 2 premiers sont sortis pour l’instant. En fin de chaque article, il y a un lien vers une vidéo avec sous-titres en français … mais qui ne fait que lire l’article d’après le peu que j’en ai vu.
    – article 1: Lien et traduction
    – article 2: Lien et traduction

  4. papijo (#4454),
    Excellents articles qui méritent une large diffusion !
    Par contre, si j’ai bien vu la vidéo en fin du premier article, je n’ai pas vu celle en fin du second article.

  5. papijo (#4454),
    Excellents articles qui méritent une large diffusion !
    Par contre, si j’ai bien vu la vidéo en fin du premier article, je n’ai pas vu celle en fin du second article.

  6. Bernnard (#4455),
    Dans le 1er article, le lien est dans le 1er commentaire
    Dans le 2ème article, le lien est dans la dernière phrase, juste au-dessus du mot « References »

  7. Bernnard (#4455),
    Dans le 1er article, le lien est dans le 1er commentaire
    Dans le 2ème article, le lien est dans la dernière phrase, juste au-dessus du mot « References »

  8. papijo (#4454),
    L’image anomalies vs températures absolues publié sur WUWT; à droite de l’article, devrait être largement copiée pour être mise sous le nez des climato-anxieux.

    Sur l’image du haut l’échelle des T est fortement grossie, elle va de 56 à 59.5 °F, soit 13.33 à 15.28 °C. Même pas 2 °C
    La Tmin = 56.4 °F = 13.56 °C (vers 1914/1915) et la Tmax = 59 °F = 15 °C (en 2020). Le delta T est de 1.44 °C
    Sur l’image du bas, l’échelle des T est graduée de -20 à 120 °F soit -28.89 à 48.89 °C.
    Les variations de températures sont quasi dans l’épaisseur du trait supérieur

  9. papijo (#4454),
    L’image anomalies vs températures absolues publié sur WUWT; à droite de l’article, devrait être largement copiée pour être mise sous le nez des climato-anxieux.

    Sur l’image du haut l’échelle des T est fortement grossie, elle va de 56 à 59.5 °F, soit 13.33 à 15.28 °C. Même pas 2 °C
    La Tmin = 56.4 °F = 13.56 °C (vers 1914/1915) et la Tmax = 59 °F = 15 °C (en 2020). Le delta T est de 1.44 °C
    Sur l’image du bas, l’échelle des T est graduée de -20 à 120 °F soit -28.89 à 48.89 °C.
    Les variations de températures sont quasi dans l’épaisseur du trait supérieur

  10. La théorie de l’effet de serre démolie par un « prétendu scientifique non-climatologue » (il est juste prix Nobel de physique …) Howard “Cork” Hayden !
    Ce qui chauffe l’atmosphère, ce n’est pas le CO2, mais le soleil … ou pour être plus précis, la diminution de la couverture nuageuse.
    Lien: https://www.sepp.org/science_papers/A%20Startling%20Revelation.docx (s’ouvre avec un Word récent … pas mon vieux Word 97, LibreOffice, etc.) – Article repris par WUWT, mais sans les diagrammes

  11. @ papijo #17
    « …docx (s’ouvre avec un Word récent … pas mon vieux Word 97, LibreOffice, etc.) »
    Vous pouvez utiliser gratuitement Convertio pour convertir les fichiers .docx en fichier .doc.
    Convertio prend en charge plus de 300 formats.
    https://convertio.co/fr/

    Les limites pour les conversions gratuites sont élevées : taille maximum d’un fichier 100 Mo et 10 conversions par période de 24 heures.

    Je comprends que vous ne vouliez pas passer à une version récente de Word. Mais vous pouvez installer LibreOffice qui est gratuit et open-source. Et ce, tout en gardant votre vieux Word 97.
    LibreOffice existe aussi en version portable, qui ne nécessite aucune installation.
    https://www.libreoffice.org/download/download-libreoffice/

  12. Qu’est-ce qui chauffe les océans ?

    Le CO2 ? … ça reste à prouver … les infra-rouges ne pénètrent que de quelques microns dans l’eau !

    Le soleil ? … cela semble possible compte tenu d’une pénétration du rayonnement solaire sur 100 à 200 m. On peut même montrer que les eaux douces peuvent constituer une barrière thermique efficace en formant une couche « froide peu dense » flottant au-dessus de la « couche chaude salée et dense » pour conserver cette chaleur et la transporter sur de grandes distances.
    Cet article de WUWT décrit le mécanisme proposé. (traduction)

  13. Oui ! quelle étrange idée de penser que le CO2 puisse réchauffer les océans alors qu’il y a le soleil et, il ne faut pas l’oublier, la chaleur interne de la terre qui à la différence du soleil est émise de manière inégale suivant les coordonnées mais de jour comme de nuit.

  14. @ Amike
    Pour ma part, je pense que cette éruption extraordinaire à été la partie émergée (si je puis dire) et spectaculaire d’une activité volcanique sous marine, elle même dépendant d’une activité tectonique inhabituelle. On ne sait pas, car cela a lieu à de très grandes profondeurs et donc invisible, si de fortes éruptions volcaniques sous marines ne se sont pas produites de manière presque concomitantes

  15. J’aimerais avoir l’avis de spécialistes de thermodynamique, Phy s’il consulte encore Skyfall ou PapyJo, sur cette publication sortie dans La météorologie en 2019 : https://lameteorologie.fr/issues/2019/107/meteo_2019_107_53
    L’auteur (du CNRM) prétend donner une définition de l’entropie absolue de l’air humide.
    Il s’oppose ici (https://egusphere.copernicus.org/preprints/2024/egusphere-2024-1243/) a un autre théoricien de la thermodynamique de l’eau de mer, qui ne veut pas entendre parler de sa définition (voir commentaire du 16 juin et réponse du 17), et qui essaye de sortir un papier que l’on pourrait classer dans la catégorie climato-réaliste.
    Lequel vous paraît être dans le vrai?

  16. @Ecophob
    Pour être franc avec vous, je trouve que ces discussions ressemblent à de l’enc…age de mouche !
    Je n’ai pas tout lu et ne suis pas sûr d’avoir bien compris, mais en gros,il s’agit d’établir une « loi universelle de la thermodynamique » de formulation « simple » qui s’appliquerait que le temps soit beau, ou brumeux, ou pluvieux … sauf que si on veut un résultat « utile » (genre: « quelle quantité de pluie va arroser mon jardin ? ») cette théorie ne me donnera aucune réponse, et il faudra repasser par les équations traditionnelles !

  17. Ecophob,
    Discussion pointue mais dont le fond est probablement trivial, mon avis de non spécialiste.

    Une première remarque, il n’y a pas de définition de l’entropie absolue en thermodynamique classique, elle y est indéterminée ou infinie parce que l’expression du troisième principe S=0 à 0K implique que dS=dQ/T commence par être infini à 0K. La physique quantique est nécessaire pour définir une entropie absolue à partir du troisième principe.

    Les remarques de Feistel me paraissent tout à fait pertinentes. Marquet cherche à exprimer la température potentielle dans l’atmosphère en passant par la physique quantique, c’est très curieux parce qu’elle se calcule simplement en thermodynamique classique dans des conditions adiabatiques.

    Nous sommes probablement en face d’un superbe développement pataphysique. La température potentielle est intimement liée au noyau de la pataphysique du climat, d’une certaine manière, c’est sur cette notion que repose le calcul de l’effet de serre. Je suppose que Marquet cherche à se débarrasser de la condition adiabatique, non satisfaite dans la troposphère, pour ancrer cette théorie foireuse directement sur les principes de la thermodynamique. C’est assez pathétique parce que le problème n’est pas du tout là mais dans la prise en compte des échanges radiatifs. On en revient toujours à Manabe et Wetherald.

  18. papijo dit :
    16/07/2024 à 14:14 Ce n’est pas tout à fait de l’en..de mouche, car ces définitions et leur mise en pratique avec des données mesurées, sont ensuite à la base des modèles de prédiction en océano ou en météo. Merci toutefois pour votre regard sur cette question.

  19. phi dit :
    17/07/2024 à 18:02 je pense que vous avez raison. Feistel est le théoricien du TEOS-10 qu’il a bâtit en fonction des données (sur la vitesse du son, les fondements de l’échelle thermodynamique des températures…) dont il disposait dans les années 2000. Depuis 2018, l’échelle de température a été redéfinie à partir de mesures de la constante de Boltzman, mais la mesure des autres grandeurs océanographiques est toujours sans lien avec la mécanique quantique.
    Je pense donc que Marquet, avec ses remarques inappropriées, cherche à coincer la publication de Feistel.
    Je serais curieux de savoir si les publi de Marquet ont été mises en application dans la communauté du climat.

  20. Une vidéo de Nir Shaviv au sujet des preuves de l’influence du soleil sur le climat (en anglais « très compréhensible » après la présentation en allemand)

  21. Mieux que Greta qui « voit le CO2 », le satellite GOES de la NOAA voit « la température du CO2 » ! ( vidéo Youtube) – Au travers de la mesure du rayonnement à 13.5 µm, à la limite fenêtre atmosphérique / bandes CO2, cette mesure donne la température d’émission de l’atmosphère. Les températures s’étalent de 50°C en rouge quand l’émission provient d’un sol chaud à -90°C en blanc quand l’émission provient des zones les plus froides de la stratosphère (lire les explications – traduction). La conclusion évidente: ce sont les nuages qui pilotent les échanges thermiques entre la terre et l’espace !

  22. Voici une publication qui parle, à partir de la page 18, de la part anthropique de CO2 dans l’atmosphère et qui estime son temps de résidence avec une nouvelle méthode. Ca ne va pas trop plaire à Fritz, mais cette part ne serait que de 4 % pour les 65 dernières années. Le flux des émissions naturelles serait 3,5 fois plus important que celui des émissions anthropiques (p19) et le temps de résidence serait d’environ 5 ans. On nous aurait menti ? Non, j’y crois pas !
    https://www.researchgate.net/publication/383444867_Refined_Reservoir_Routing_RRR_and_Its_Application_to_Atmospheric_Carbon_Dioxide_Balance

  23. Je pense que cela contredit Fritz. Les émissions anthropiques ne représentent peut-être que 4% des émissions totales, mais cela ne les empêche pas de représenter la cause principale de l’augmentation des concentrations dans l’atmosphère !
    Pour ceux qui n’ont pas la patience de lire la publication en entier, un résumé sur WUWT (traduction)

  24. Mon commentaire précédent
    En fait j’avais voulu débuter par: « Je pense que cela NE contredit PAS Fritz » (la fatigue du WE après une dure semaine de retraité ?)

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