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– Un article de la NOAA sur la sellette – Deux minutes 30 secondes avant la fin du monde
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ALERTE CLIMAT
Dans un article publié sur le site de Judith Curry, John Bates ancien scientifique de la NOAA révèle que l’étude de Tom Karl et al. 2015 était destinée à « discréditer la notion d’un hiatus de réchauffement planétaire …et influencer les délibérations nationales et internationales sur la Politique climatique« . John Bates sait de quoi il parle : il est le concepteur du programme pour la production et la conservation de données climatiques qui a reçu une médaille d’or du Département du commerce des États-Unis en 2014. Décryptage en français de cette affaire sur Mythes, Mancies & Mathématiques ici et là, avec un point plus complet là.
Ironiquement, peu avant les révélations de John Bates, Le Monde fustigeait les blogs français niant la réalité du réchauffement anthropique, dont Pensee-unique et Skyfall, tous deux nommément cités. On se souvient aussi que, lors de la sortie de l’article de Karl et al., Stéphane Foucart titrait avec la foi du charbonnier son article : «La « pause » du réchauffement climatique était un mirage»…
VÊLAGE EN ANTARCTIQUE
La plate-forme de glace Larsen C située dans la péninsule ouest de l’Antarctique va, selon toute vraisemblance, s’effondrer sous forme d’un iceberg d’au moins 5 000 kilomètres carrés qui partira à la dérive dans l’océan. Évidemment, l’occasion est belle pour affirmer que « la fonte de l’Antarctique s’accélère », comme l’écrit par exemple Le Temps. Alors précisons. Tout d’abord, les plateformes glaciaires flottantes ne font pas s’élever le niveau de la mer car elles reposent déjà à la surface de l’océan. Ensuite, « En soi, ce vêlage n’est pas alarmant« , comme l’indique le glaciologue de la NASA Jay Zwally dans la revue phys.org : « de grands icebergs se détachent périodiquement de l’Antarctique naturellement, et Il n’y a aucune preuve qui relie cette fissure au changement climatique ». Enfin, selon une récente publication de Nature, si depuis les années 1950, la péninsule antarctique a enregistré de fortes augmentations de la température de l’air, il n’en va plus de même depuis la fin des années 1990, la température moyenne annuelle diminuant depuis à un rythme statistiquement significatif. Selon cette étude, les changements de température décennaux reflètent la variabilité interne extrême de la circulation atmosphérique dans cette région.
VERS UN CHARBON PROPRE
Selon abc.net, le Japon projette de construire 45 nouvelles centrales à charbon tout en respectant ses engagements souscrits dans le cadre de l’accord de Paris. Explication : le pays va investir dans les technologies du charbon propre HELE (High energy, Low Emissions). De même, le gouvernement australien vient de mettre à l’ordre du jour la construction de centrales à charbon propres dans le Nord du pays. Quant à la Pologne, huitième producteur mondial, il ne fait guère de doute que le charbon demeurera crucial pour son économie pendant de nombreuses années. Dans ces conditions, les centrales supercritiques pourraient permettre de faire face au défi environnemental de la filière charbon, selon ce que suggère Connaissance des énergies. Selon EDF enfin, les centrales au charbon à haut rendement sont essentielles pour favoriser la transition énergétique, notamment dans les pays où le charbon demeure la principale source d’énergie.
DEUX MINUTES TRENTE AVANT LA FIN DU MONDE
Oyez oyez braves gens : depuis le 26 janvier 2017 l’horloge de l’Apocalypse qui décompte le nombre de minutes qu’il reste avant minuit (la fin du monde) et qui intègre depuis 2007 les changements climatiques affiche désormais 23h 57min 30s. On en tremble. Les recommandations du BAS (Bulletin of the Atomic Scientists) qui gère l’horloge : plafonner les émissions de gaz à effet de serre…
SUR LE DERNIER LIVRE DE JEAN DE KERVASDOUE
Ils croient que la nature est bonne est paru en octobre dernier chez chez Robert Laffont. Dans ce court essai, Jean de Kervasdoué démontre d’une manière vigoureuse et parfois avec humour, que l’écologie est un domaine
où les préoccupations les plus justifiées voisinent avec les plus évidentes bêtises, où les croyances l’emportent sur la raison, où l’idéologie prend le masque de la vérité, où les intérêts se cachent sous la bannière de la générosité, où les informations sont partielles, partiales et souvent truquées.
Que ce soit sur l’écologie, l’agriculture ou l’alimentation, le membre de l’Académie des technologies, ancien directeur général des hôpitaux et titulaire de la chaire d’économie et de gestion des services de santé du CNAM se demande comment cet amalgame
de faux concepts, de grands sentiments et d’intérêt camouflés, conduit des hommes respectables à proférer doctement les plus évidentes contrevérités et, surtout à prendre les plus incontestables bienfaits de la science pour le plus grand des dangers.
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67 réponses à “Bulletin des climato-réalistes n° 61”
bulletin 61 e ligne
On aurait donc inventé un procédé pour brûler du charbon sans émettre de CO2?
Comprend pas EdF…
La transition vers quoi ????
Pour les Aquitains, notez la conférence de Jean de Kervasdoué le 10 juin à Dax : http://www.bastiat.net/fr/agenda-29/
Il me paraît utile de signaler que ce livre est disponible également sur Amazon.fr au format Kindle au prix de 12 €.
Je préfère le format Kindle qui me permet de lire un bouquin sur mon PC, sans devoir chausser des lunettes de lecture, de le retrouver facilement alors que j’ai tendance à égarer les bouquins imprimés.
Murps (#3), Logique en réalité. Allez y à fond, cher Allemands avec vos centrale à charbon, nous EDF produisons 80% de notre électricité sans produire de CO2, donc nous devrions recevoir des crédits carbone en conséquence, ceux que payent les Allemands entre autres. Donc la transition vers de juteux bénéfices pour EDF.
Larsen ? Vous avez dit Larsen ?
Ah oui, l’effet Larsen , Celui qui permet sans doute aux « journalistes scientifiques » de casser le mur du çon (cher au Canard)
A propos de Jean de Kervadoue : Il ne sera pas engagé comme expert ou conseiller pour les candidats Hamon, Mélenchon ou Jadot ! (sortie du nucléaire + 100% EnRi en 2050 + arrêt du diesel+ arrêt des (presque tous les) pesticides, OGM etc…
Faut croire que « ces gens là » ont des conseillers hyper pointus dans ces domaines (surtout en bouledecristalogie).
Mais rassurons nous ils ont dans les tiroirs des « plans » des « lois cadre », voire inscription du terme « écologique » accolé au mot République dans la Constitution (Jadot).
Vive le retour à l’état de Nature !
https://www.youtube.com/watch?v=chelECaCMOM à partir de 2’09
Vêlage.
Si un glacier vêle c’est parce qu’il avance, s’il régresse ou stagne, il ne vêle plus. Donc c’est un signe de refroidissement.
Ecir (#9),
Pas compris votre remarque. Qu’est ce qui est un signe de refroidissement: Qu’il vêle ou qu’il ne vêle plus?…
« Pausebuster » également lisible sur H16 (Hashtable)
Il veut dire que vêlage signifie refroidissement.
François (#10), Ecir (#9),
Un glacier , c’est comme un fleuve sauf qu’il transporte de la glace au lieu de l’eau
S’il vêle, cela veut simplement dire qu’il est bonne santé ; c’est plus un problème d’approvisionnement , donc de précipitations qu’un problème de réchauffement ou de refroidissement surtout en Antarctique
Et puis Larsen , c’est pas vraiment un glacier , c’est une plateforme qui flotte sur l’eau au bout de la péninsule antarctique au niveau du cercle polaire (aux latitudes sud entre celles d’Islande et Lofoten au Nord ) Alors il faut bien que de temps en temps un bout s’en détache pour faire parler les réchauffistes et éviter au manchots des trajets trop longs pour chercher leur nourriture
the fritz le testut (#12),
Oui, ça je le savais déjà. Mais cela ne clarifie pas la remarque de Ecir…
J’ai voulu dire qu’un glacier qui avance est approvisionné en neige en amont. Il fait donc froid. S’il fait chaud il régresse et ne vêle plus (comme certains glaciers des Alpes).
Ecir (#15), mon pauvre ami : en climatologie quand un glacier recule, c’est la faute du réchauffement, quand il vêle c’est la faute du réchauffement, quand il stagne c’est aussi la faute du réchauffement.
Un glacier qui entrerait en crue en écrasant les villages sur son passage ne serait qu’un épiphénomène qui ne remet pas du tout en cause la réalité du réchauffement.
Ecir (#15),
Bah non.
Larsen C, comme Larsen B se sont des glaces frangeantes et non pas des glaciers.
Il n’y a pas de vêlage suite à un apport de glace en amont mais suite à un recul de régulier de la masse de glace par l’aval.
Sans emettre de CO2 certainement pas. Il s’agit seulement d’en émettre moins (et pas seulement du CO2)
https://www.worldcoal.org/reducing-co2-emissions/high-efficiency-low-emission-coal
Je n’ai fait que reprendre le chapeau » vêlage en Antarctique ». Mais le mot vêlage concerne les glaciers, et la banquise : désagrégation d’une partie de la banquise qui produit des « ijsberg »(Robert).
Tant qu’on est dans les glaces, la l’extension et la fonte actuelle arctique/antarctique ont une explication météorologique chez Météo-France ! Pour une fois, on ne parle pas de RC (A)
Gilles des Landes (#20),
sur les images de CRYOSPHERE de ce jour
Cela ne ressemble pas un peu aux problèmes des températures et de leurs réajustements ?
the fritz le testut (#21), the fritz le testut (#21), ce qui est surprenant, c’est l’énorme volume de glace sur le Groenland, alors que les températures arctiques sont « relativement » élevées quoique négatives
le NSIDC de Mark Serreze … qui a réanalysé les glaces pluriannuelles avec une étonnante disparition des glaces les plus anciennes ( 4 et 5 ans ) et une non moins étonnante disparition des archives , dans le même temps que ces réanalyses . Mark Serreze est également un des apôtres ( avec Wadhams , Al Gore et consorts ) d’un océan Arctique libre de glace pour … dans bientôt …
Gilles des Landes (#20),

ah , toujours cet oubli dans les courbes
S.goddard
Gilles des Landes (#22),
Ce qui n’est pas surprenant par contre, c’est que personne ne vous corrige. Votre graphe ne montre pas le volume de glace du Groenland mais vous pouvez trouver son évolution là (la courbe en rouge tout en bas de la page) :
http://polarportal.dk/nyheder/…..greenland/
(et merci de lire mon lien avant de me répondre).
7ic (#25), faudra changer de lunettes, le graphe de devinplomblier #24 répond à Gilles des Landes #20 qui parle bien de la banquise et non à Gilles des Landes #22 qui parle du Goendland
Ecir (#15),
Bonjour Ecir,
Votre propos est imprécis.
À un temps T, un glacier s’écoule, avec ou sans alimentation en neige, du simple fait de sa masse, de la pente et de la gravité. Dans les zones de rupture (en général rupture de pente et langue terminale), le glacier vêle des blocs de glace avec ou sans variation du climat.
jdrien (#26),
Oups, désolé, il manquait quelques précisions dans mon commentaire, ce qui vous rend la tâche assez difficile. Je corrige : « (et merci de lire mon lien avant de me répondre, ainsi que mon commentaire, ainsi que le commentaire de la personne à qui j’adresse mon commentaire, ainsi que le lien donné par la personne à qui j’adresse mon commentaire). »
Gilles des Landes (#22),
La calotte du Groendland et celle de l’antarctique semblent démontrer que nous ne sommes pas sortis des ères glaciaires. L’absence de glaces sur la plus grande partie de la Sibérie ne s’explique pas par lm
Gilles des Landes (#22),
La calotte du Groenland et celle de l’Antarctique semblent démontrer que nous ne sommes pas sortis des ères glaciaires. L’absence de glaces sur la plus grande partie de la Sibérie ne s’explique pas par les températures qui y règnent mais par l’absence de chutes de neige alimentées par l’humidité tropicale. Elles sont stoppées par les reliefs himalayens et annexes.
La température n’est pas le moteur unique de la glaciation, la circulation des tempêtes tropicales pourvoyeuse d’humidité des zones froides mais sèches, joue un rôle fondamental.
Monmon (#29),
La Sibérie « bénéficie » tout de même d’un plus grand écart de température (jusqu’à +30 ° en été) du fait de sa situation continentale, contrairement à l’île isolée qu’est le Groenland. Et comparée à l’Antarctique qui est une grande montagne, la Sibérie, c’est plat.
Le redoux sibérien est donc parfaitement redoutable pour tout glacier…
amike (#31)
Les 30°C sont largement atteints en juillet sur les plaines américaines du nord couvertes de glaciers il y a 20 000 ans. Le problème est de trouver comment apporter naturellement de l’humidité en abondance sur des zones relativement sèches à la température 0°C et d’y conserver la neige. Il faut donc qu’il en tombe beaucoup plus qu’il n’en tombe aujourd’hui, même au Québec. Peut-être Sandy en janvier?
Une étude corroborerait les résultats de celle de Tom Karl et al. 2015 qui est, elle, à jeter aux poubelles de la mauvaise science. De mémoire c’est un chercheur de l’université de Berkeley, étude financée par la Berkeley Earth.
Nul doute que nos très chères merdias, qui ont oublié de publier l’avis de décès de l’étude de Karl (qu’est-ce que tu fiche , Foucard ?), sauront rebondir sur ce papier.
Un combattant de la lutte contre le RCA tombe, un autre prend la relève, c’est beau !
Christial (#33),
Vous trouverez pleins de jolis graphes ici.
Comme vous noterez entre autre l’accord avec les obs satellites (merci de lire les liens avant de répondre) et comme les obs satellites, c’est la vérité vraie, vous voilà convaincu.
Christial (#33), Discuté sur le site de Benoît Rittaud, avec passe d’armes en commentaire
Plateau de température
😉
Depuis des dizaines d’années, les écologues ont réussi à faire croire à la sixième extinction des espèces.
Leur argumentation utilise la méthode des multiplicateurs du style: « Les disparitions d’espèces ont été multipliées par 100 depuis 1900 ». Rares sont ceux qui contestent ces affirmations ridicules.
Les climatologues imitent maintenant les écologues…
https://www.newscientist.com/article/2120951-simple-equation-shows-how-human-activity-is-trashing-the-planet/
https://www.theguardian.com/environment/2017/feb/12/humans-causing-climate-to-change-170-times-faster-than-natural-forces
Avec une telle démonstration, je me demande comment les scientifiques d’autres disciplines peuvent encore prendre au sérieux les climatologues?
chercheur (#35),
Le paragraphe incriminé:
Sauf que de l’avis même de Marcott et ainsi noté par le site PenseeUnique:
7ic (#34),
Je suis convaincu :
1/ que l’étude de Karl est à benner, que ses résultats soient corroborés ou non,
2/ que hausse ou pas, les modèles du GIEC, qui sont le seul élément de preuve d’une hausse majoritairement anthropique qui conduirait à des catastrophes planétaires, doivent suivre le même chemin.
Je le dis et le répète, être climatosceptique n’est pas nié que la température puisse monter.
D’ailleurs elle a monté avec une courbe de même pente et dans les mêmes proportions entre 1910 et 1945 avec un taux de CO2 anthropique pourtant 4 fois moindre qu’aujourd’hui et sans que les modèles soient capables de la reconstituer. Sacrées preuves que voilà, incapables de reproduire la passé et incapables de prédire quoi que ce soit, il faut un jury tordu pour y croire.
C’est la vérité vraie, je le jure sur Gaïa.
amike (#35),
L’étude de Karl est donc vicié dans son processus de conception et de documentation mais aussi dans sa présentation. De grosses ficelles utilisées pour améliorer l’emballage et magistralement démontées par Benoit Rittaud. Il est quand même étonnant que, sur ce dernier point, il ait fallu attendre l’article de Nature, quelques milliers de milliards de $ en jeu, quand même !
Pour l’hiatus, patientons peut-être 2 ou 3 ans avant de régler définitivement le compte aux prévisions climatiques du GIEC.
Moi ce que je vois, c’est qu’avant ou après la révision des T°, on voit toujours un plateau de 2000 à 2015. Le hiatus est toujours là.
Toutes les études sur les températures sont nulles et non avenues !

TOUTES !!!
Il suffit de ressortir un post vieux de 9 ans du blog de Steve McIntyre, pour voir la couverture en station météorologique sur le globe depuis 1885 jusqu’à 2006 et se rendre compte que les données sont largement insuffisantes :
Comment peut-on faire de la science (demandez à un mathématicien statisticien) climatique et des courbes de tendance sur un siècle en sachant qu’il n’y a PAS de données de température en 1900 pour l’Afrique, l’Amérique du Sud, l’Arctique, l’Antarctique, la Chine, et si peu en dehors des USA et de l’Europe; sans parler des mers et des océans qui ne couvrent, c’est vrai, que 70% de la planète ?
Le lien pour la couverture historique de station par le NOAA :
https://climateaudit.org/2008/02/10/historical-station-distribution/
Abitbol (#41),
J’ai regardé la page d’où vous tirez ces cartes.
Le nombre de stations passerait par un maximum en 1965 en évaluant du regard !
Bernnard (#43),
Oui, c’est déjà assez étrange… mais le plus étrange est de se plonger dans le détail des données à disposition par la NOAA via le SEUL (the only one) organ
Bernnard (#43),
Oui, c’est déjà assez étrange… mais le plus étrange est de se plonger dans le détail des données à disposition par la NOAA via le SEUL (the only one) organisme qui recueille ses données.
Chercher seulement à regarder les données françaises pour vous apercevoir de la qualité absolument désastreuses de ces dernières, alors qu’elles sont parmi les plus « précises » au niveau mondiale…
Bernnard (#43), Abitbol (#45),
C’est pourquoi la couverture satellite, quoique ne représentant pas l’idéal, est bien plus étendue et homogène. Malheureusement, nous n’avons que trente ans de données. Au moins nous avons une droite de tendance… qui ne plait pas à certains car elle est plutôt plate !
On peut essayer de reconstituer le régime alimentaire de Jules Cesar entre sa 20e année et sa mort. On connaît à peu près les aliments qu’il avait à disposition. Il y a peut être des écrits qui décrivent un ou deux de ses repas.
Mais on ne peut pas donner ses menus au jour le jour avec les cuissons et les quantités ingérées, et surtout pas au gramme près.
Affirmer la température moyenne globale pour la planète terre avant les années 1980 avec deux décimales revient exactement à la même escroquerie que l’exemple du régime de Jules Cesar. Personne n’a assez d’information pour prétendre à une étude « scientifique ».
Ceux qui croient ces sornettes sont juste des bigots d’une religion dont la foi repose sur les mêmes absurdités que la multiplication des pains, l’ouverture d’une mer en deux ou le discours divin recueilli par un marchand.
L’enquête commence…
https://science.house.gov/sites/republicans.science.house.gov/files/documents/02.14.17%20SST%20Letter%20to%20Acting%20Administrator%20Friedman.pdf
Abitbol (#41), le nombre de données est insuffisant d’autant plus que des centaines de stations situées en campagnes ont été fermées depuis les années 70, à la faveur de celles situées en ville ou dans les aéroports selon Kenneth Richards.
Christial (#39),
Veuillez me pardonner, mais au lieu de » pour l’hiatus » il serait préférable d’écrire « pour le hiatus » !!!
Détail, peut-être, mais c’est aussi pour faire avancer la science…