Nouveau Modèle de Climat


Traduction: Scaletrans

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Le problème des modèles de climat existants :

Ces gens qui affirment que l’activité humaine affecte globalement le climat plutôt que localement ou régionalement semblent admettre que les modèles climatiques existants sont incomplets. Il est entendu que les modèles existants n’intègrent pas pleinement les données ou mécanismes impliquant la couverture nuageuse ou les variations de l’albédo global (réflectivité) ou de la vitesse du cycle hydrologique et que la variabilité des températures des surfaces océaniques et le contenu énergétique total de l’océan sont mal connus et largement mal quantifiés dans les tentatives primitives de modèles couplés océan / atmosphère. De plus, l’effet de la variabilité de l’activité solaire sur le climat est mal connu et mal quantifié de la même façon.

Les modèles actuels supposent un bilan d’énergie globale généralement statique avec une variabilité interne du système relativement faible ce qui fait que les changements mesurables des éléments entrants et sortants ne peuvent provenir que de forçages externes tels que les variations de la concentration atmosphérique de CO2 causée par les émissions anthropiques ou peut-être des effets temporaires postérieurs aux éruptions volcaniques, collisions de météorites ou changements importants de la puissance solaire.

Pour que des modèles aussi simples puissent avoir une utilité pratique, ils doivent démontrer qu’ils ont une certaine capacité prédictive. Malheureusement, il semble qu’ils n’en aient aucune malgré des progrès considérables de la puissance de calcul et les millions ou même les milliards d’heures de travail de scientifiques reconnus et expérimentés durant de nombreuses décennies.

Pratiquement toute variabilité climatique résulte d’une variabilité systémique interne (bien que provoquée de l’extérieur du système Terre par la variation solaire) et de surcroît, non seulement le système met en place indépendamment un grand nombre de variabilités, mais aussi possède des mécanismes pour limiter puis réduire cette variabilité interne. C’est nécessaire, sinon nous n’aurions plus d’océans liquides. Les modèles actuels ne reconnaissent parfaitement ni la présence de ce système de variabilité interne ni le processus qui le stabilise au final.

L’approche générale est actuellement de décrire le système du bas vers le haut en accumulant de grands nombres de données, en observant comment ces données ont évolué dans le temps, attribuant une pondération pour chaque élément ou catégorie de données et en extrapolant l’avenir. Lorsque le monde réel diffère de ce qui était attendu des ajustements sont alors apportés pour ramener les modèles en conformité avec la réalité. Cette méthode est connue sous le nom de ‘hincasting(Ndt évaluation à rebours).

Bien que cette approche ait été utilisée depuis des décennies, aucune capacité prédictive n’a jamais émergé. À tout moment, les modèles ont été ajustés à l’aide de supputations (ou de jugement informé comme diraient certains) pour les ramener en ligne avec les observations en continu du monde réel lorsqu’une nouvelle divergence entre les prévisions du modèle et les événements réels a commencé à apparaître.

Cela fait maintenant quelques années que l’influence attribuée au CO2 a été ajustée pour gommer une divergence croissante avec le réchauffement réel ayant lieu et qui n’avait pas été parfaitement pris en compte dans les modèles d’alors. Depuis lors, une nouvelle divergence s’est produite et prend maintenant une importance embarrassante pour ceux qui ont procédé à cet ajustement. En conclusion, l’importance donnée aux effets d’une augmentation du CO2 dans l’air était excessive.

Le problème est directement comparable à un résultat de comptabilité financière qui est juste, mais seulement parce qu’il comporte de multiples erreurs compensatrices. Le fait qu’il soit à l’équilibre est une simple illusion. Les comptes sont toujours incorrects et malheur à celui qui leur fait confiance pour prendre des décisions commerciales utiles.

La correction de multiples erreurs compensatrices, que ce soit dans un modèle climatique ou dans un système de comptabilité financière, ne peut se faire à l’aide de supputations parce qu’il n’y a aucun moyen de savoir si la supposition réduit ou aggrave les erreurs sous-jacentes qui demeurent en dépit de l’équilibre apparent du budget financier (ou pour le climat, de l’énergie totale).

Le système en usage dans l’ensemble de la communauté climatique pourrait bien être fondamentalement déficient.

Une meilleure approche :

Nous en savons pas mal sur les lois fondamentales de la physique, comment elles affectent notre existence quotidienne et nous avons de plus en plus de données détaillées sur le comportement du climat passé et présent.

Nous avons besoin d’un Nouveau Modèle de Climat (référencé dorénavant comme NMC) créé dans le sens ‘du haut vers le bas’ en regardant les phénomènes climatiques qui se produisent effectivement et utilisant un raisonnement déductif pour décider quels mécanismes seraient nécessaires à l’apparition de ces phénomènes sans violer les lois de la physique.

Nous devons commencer d’abord avec les théories brutes et nous servir des données détaillées seulement comme guide. Si une théorie brute correspond à la réalité, les données détaillées tomberont justes, même si la théorie nécessite une amélioration durant le processus. Si la théorie brute ne correspond pas à la réalité, on doit l’abandonner, car en adoptant cette démarche, nous démarrons toujours avec une théorie brute qui correspond clairement à la réalité ; ainsi en adoptant une démarche pas à pas basée sur l’observation, la logique, le tri et le perfectionnement un Nouveau Modèle Climatique (NMC) utilisable avec quelque aptitude à la prévision devrait émerger et plus le modèle qui est construit sera détaillé, plus il aura d’aptitude à la prévision.

C’est exactement ce que je fais pas à pas depuis avril 2008.

Je pense avoir rencontré un certain succès, car beaucoup de phénomènes climatiques qu’au départ, je n’avais pas pris en compte en détail semblent coller avec le NMC que j’ai construit.

Dans le processus que j’ai trouvé, il y a nécessairement diverses propositions novatrices qui ont troublé et irrité les réchauffistes aussi bien que les sceptiques, mais c’est inévitable si l’on suit juste la logique sans agenda préconçu, ce que j’espère avoir fait.

Je vais maintenant décrire le NMC aussi simplement que je le peux oralement (c’est un modèle conceptuel plus qu’un modèle mathématique).

Points préliminaires :

  • A ce stade je mentionnerai “le paradoxe du soleil faible” parce qu’il illustre la puissance de nos océans exerçant une réponse systémique négative aux variations solaires :

https://en.wikipedia.org/wiki/Faint_young_Sun_paradox

Malgré une augmentation substantielle de la puissance du soleil sur des milliards d’années, la température de la Terre est restée remarquablement stable. Je suggère que la raison en est l’existence d’eau sous forme liquide dans les océans se combinant avec une densité atmosphérique relativement stable. Si l’entrée d’énergie solaire change cela a pour effet de simplement accélérer le cycle de l’eau.

On peut comparer avec une casserole d’eau bouillante. Bien que l’énergie entrante s’accroisse, le point d’ébullition reste à 100° C. La vitesse de l’ébullition change cependant en réponse au niveau d’énergie entrante. Le point d’ébullition ne change que si la densité de l’air, au-dessus, change et donc la pression sur la surface de l’eau. Dans le cas de l’atmosphère terrestre, une entrée solaire correspond à un changement du taux d’évaporation et donc de la vitesse de l’ensemble du cycle hydrologique stabilisant la température globale malgré un changement de l’énergie solaire reçue.

Une modification de la vitesse du cycle hydrologique entier a un effet climatique, mais comme nous le verrons pour les périodes correspondant à la présence humaine, il est trop petit face à la variabilité interne du système provenant d’autres causes.

Sauf si plus de CO2 d’origine humaine pouvait accroitre la densité atmosphérique totale, il ne pourrait avoir d’effet significatif sur la température troposphérique globale. Par contre, la vitesse du cycle hydrologique change dans une très faible mesure pour maintenir l’équilibre des températures de surface de l’air et des mers. Un changement limité à l’air seul loin d’une augmentation de la densité et de la pression atmosphérique totales est incapable de modifier l’équilibre sous-jacent, car les océans sont dominants. La quantité d’énergie qu’une atmosphère planétaire peut contenir dépend seulement de sa masse, de la force du champ gravitationnel et de l’ensoleillement du Sommet Atmosphérique. Toutes les variations de composition résultent uniquement d’un changement de la circulation atmosphérique global tel que nécessaire à la conservation d’un équilibre énergétique stable du Sommet Atmosphérique. Autrement, l’atmosphère disparaîtrait.

  • Deuxièmement, nous devons réaliser que la température absolue de l’ensemble Terre n’a que peu de rapport avec ce que nous percevons du climat. Les variations de température de l’ensemble Terre sont faibles en raison de l’effet de modulation rapide de la vitesse du cycle hydrologique et de la vitesse du flux d’énergie rayonnée vers l’espace qui cherche toujours à correspondre à la valeur énergétique de l’ensemble du spectre d’énergie reçu du soleil.

Le climat dans la troposphère est le reflet de la répartition d’énergie courante dans l’ensemble du système Terre et en interne le système est infiniment plus complexe que ne le reconnaissent les modèles actuels.

Cette répartition d’énergie peut être inégale horizontalement et verticalement dans les profondeurs océaniques, la troposphère et l’atmosphère supérieure et en outre, la répartition change avec le temps.

Nous voyons le contenu d’énergie des océans s’accroître ou décroître comme s’accroît et décroît le contenu d’énergie troposphérique. Nous voyons la stratosphère se réchauffer alors que la troposphère se refroidit, et se refroidir alors que la troposphère se réchauffe. Nous voyons le sommet de l’atmosphère se réchauffer alors que la stratosphère se refroidit, et vice et versa. Nous voyons la surface des régions polaires se réchauffer alors que les latitudes moyennes se refroidissent ou que les tropiques se réchauffent alors que les pôles se refroidissent et ainsi de suite selon d’infinies permutations de temps et d’échelle.

Comme je l’ai dit ailleurs :

“Il est de plus en plus évident que le taux de transfert d’énergie varie constamment entre l’océan et l’air, l’air et l’espace, et entre différentes couches des océans et de l’air. On peut considérer la troposphère comme un sandwich entre les océans dessous et la stratosphère au-dessus. La température de la troposphère est constamment affectée par des variations du taux d’énergie provenant des océans et déterminé par la variabilité interne des océans, éventuellement causée par les fluctuations de température le long du parcours de la circulation thermohaline et par des variations du flux d’énergie du soleil qui affecte la taille (et donc la densité) de l’atmosphère et le taux de fuite d’énergie vers l’espace.

Le climat observé est juste la réponse de retour vers l’équilibre à de telles variations avec la position des systèmes de circulation atmosphérique et la vitesse du cycle hydrologique ajustant en permanence les différentiels d’énergie entre les nombreuses couches océaniques et atmosphériques (Ndt Loi de Wilde citée, inconnue au bataillon)

De plus, mes propositions fournissent les mécanismes physiques des calculs mathématiques du Dr. Miskolczi…”.

Il semble avoir démontré mathématiquement que si les gaz à effet de serre autres que la vapeur d’eau augmentent, alors la quantité de vapeur d’eau diminue afin de maintenir une profondeur optique optimale de l’atmosphère qui module le flux d’énergie pour maintenir l’équilibre des températures de surface de l’air et des océans. Autrement dit, le cycle hydrologique accélère ou ralentit exactement comme je le suggère.

  • Les variations de l’albédo global nécessaire pour produire la variabilité climatique et les variations de l’énergie solaire entrante dans les océans peut s’expliquer par les décalages latitudinaires des trois principales bandes nuageuses, soient les deux générées par les jet-streams de latitude moyenne plus la zone intertropicale de convergence (ZIC).

Il apparaît maintenant clairement que lorsque le soleil est actif, les jet-streams sont plus directionnels (de l’est vers l’ouest) avec de courtes lignes de mélange de masses d’air et moins de nuages alors que lorsque le soleil est moins actif les jets sont plus méridionaux (oscillant entre le nord et le sud) avec des lignes plus longues de mélange de masses d’air et plus de nuages.

L’effet net est l’altération de la quantité d’énergie solaire pénétrant les océans pour alimenter le système climatique.

La position moyenne de la ZIC se trouve au nord de l’équateur parce que la majorité des océans se trouvent dans l’hémisphère sud et ce sont les températures de l’océan qui dictent sa position en gouvernant le taux de transfert énergétique des océans vers l’atmosphère. Par suite, si les deux jets de moyenne latitude se déplacent vers le sud, et que la ZIC se rapproche de l’équateur l’effet combiné sur l’albédo global et la quantité d’énergie susceptible de pénétrer les océans sera substantielle et contredirait toute autre proposition d’effets de l’intensité des rayons cosmiques sur les variations d’albédo dues aux changements de couverture nuageuse suivant Svensmark.

  • Le soleil provoque un décalage de zone climatique avec des variations dans le degré de zonalité / méridionalité du jet-stream en altérant l’équilibre la création/destruction d’ozone différemment selon les altitudes au-dessus de la tropopause. Le résultat net est un changement du gradient de la hauteur de la tropopause entre l’équateur (relativement élevée) et les pôles (relativement basse).

Il semble que la cause ne soit pas l’irradiance solaire brute (TSI) qui varie trop peu, mais au contraire, le mélange exact de particules et longueurs d’onde provenant du soleil qui varie de façon plus importante et affecte les quantités d’ozone au-dessus de la tropopause.

Cela permet le glissement en latitude des jets et des zones climatiques sous la tropopause amenant des changements dans la couverture nuageuse et l’albédo globaux qui altère la quantité d’énergie pénétrant dans les océans.

Le Nouveau Modèle Climatique (NMC)

1) L’activité solaire augmente, réduisant la quantité d’ozone au-dessus de la tropopause, en particulier au-dessus des pôles.

2) La stratosphère se refroidit. Le nombre de réactions chimiques dans la haute atmosphère augmente en raison de l’accroissement des effets du soleil avec une destruction plus rapide de l’ozone.

3) La tropopause s’élève, spécialement au-dessus des pôles, modifiant le gradient d’altitude de l’équateur au pôle.

4) Les cellules polaires de haute pression rétrécissent et s’affaiblissent en même temps qu’une augmentation des Oscillations Arctique et Antarctique positives.

5) Le système de circulation atmosphérique des deux hémisphères se déplace vers les pôles et la ZIC glisse vers le nord lorsque la vitesse du cycle hydrologique augmente en raison d’une stratosphère plus froide augmentant le différentiel de température entre la stratosphère et la surface.

6) Les principales bandes nuageuses se déplacent en direction du nord vers des régions où l’insolation est moins intense et l’albédo global total décline via une réduction de la couverture nuageuse globale due à de plus courtes lignes de mélanges de masses d’air.

7) Plus d’énergie solaire atteint la surface et en particulier les océans quand les cellules subtropicales de hautes pressions s’étendent.

8) Il y a moins de précipitations sur les surfaces océaniques leur permettant de plus se réchauffer.

9) La pénétration d’énergie solaire dans les océans s’accroît mais tout ne retourne pas dans l’atmosphère. Une portion entre dans la circulation thermohaline pour un voyage de 1000 à 1500 ans. Une impulsion d’eau légèrement plus chaude est entrée dans la circulation océanique.

10) La puissance des événements réchauffants El Niño s’accroît par rapport au événements refroidissants La Niña et l’atmosphère se réchauffe.

11) L’activité solaire passe par un maximum et commence à décliner.

12) Les niveaux d’ozone se reconstituent. La stratosphère se réchauffe.

13) La tropopause chute, spécialement aux pôles, modifiant le gradient d’altitude équateur/pôles.

14) Les cellules polaires de haute pression s’étendent et s’intensifient, accroissant les Oscillations Arctique et Antarctique négatives.

15) Les systèmes de circulation atmosphériques des deux hémisphères reviennent vers l’équateur et la ZIC s’en rapproche alors que la vitesse du cycle hydrologique décroît en raison du réchauffement de la stratosphère, réduisant le différentiel de température entre stratosphère et surface.

16) Les principales bandes nuageuses se déplacent en direction de l’équateur vers des régions où l’insolation est plus intense et l’albédo global total augmente en raison de lignes plus longues de mélange de masses d’air.

17) Moins n’énergie solaire atteint la surface des océans en particulier alors que les cellules subtropicales de haute pression se contractent.

18) Les précipitations sur les surfaces océaniques augmentent, les refroidissant encore plus.

19) L’entrée d’énergie solaire dans les océans diminue.

20) La force des événements réchauffants El Niño décroît par rapport à celle des événements refroidissants La Niña et l’atmosphère se refroidit.

21) Il devrait être compris que les oscillations océaniques internes modulent substantiellement les effets induits du soleil en apportant une réponse atmosphérique similaire mais de bas en haut (et principalement depuis l’équateur) quelquefois masquant et quelquefois se combinant aux effets solaires du haut vers le bas (et principalement depuis les pôles), mais sur des périodes multi décennales l’influence solaire devient
suffisamment claire dans les données historiques. L’histoire entière du changement climatique est simplement l’enregistrement de l’interaction constante entre les influences solaires de haut en bas et océaniques de bas en haut avec une quelconque contribution de nos émissions égale à peu près à zéro.

Nous avons vu des déplacements en latitude de zones climatiques atteignant 1000 miles dans certaines régions entre l’Optimum Médiéval et le Petit Âge Glaciaire. Je serais surpris si nos émissions les avaient déplacées d’un mile.

Points de discussion :

Falsification :

Toute hypothèse sérieuse doit pouvoir être prouvée fausse. Dans le cas de ce NMC, mon exposé est rempli d’opportunités de falsification si dans le monde réel futur les observations divergent du modèle de causes et effets que j’ai établi.

Cependant, cette narration se base en fait sur ce que j’ai observé sur une période de 1000 ans, en remplissant les vides par une déduction instruite par les lois physiques connues.

Pour l’instant, je ne constate aucun phénomène climatique qui donnerait lieu à falsification. Si quiconque suggérait une telle chose, je suppose qu’il demanderait un perfectionnement du NMC plutôt que son abandon.

Pour la falsification, nous aurions besoin d’observer des événements comme le déplacement des jets de latitude moyenne vers les pôles durant une phase de refroidissement océanique et une période de soleil calme ou la ZIC se déplaçant vers le nord alors que les deux jets iraient vers l’équateur ou la stratosphère, la troposphère et la haute atmosphère se réchauffant ou se refroidissant en tandem, ou peut-être une Oscillation Arctique négative inhabituelle durant une période d’activité solaire élevée et une phase de réchauffement océanique.

Capacités prédictives :

Pour être pris au sérieux, le NMC doit démontrer des capacités prédictives meilleures que celles des modèles informatiques actuels dont le niveau de réussite fait actuellement question.

En lisant ma narration, on voit rapidement que si le NMC est conforme à la réalité, de nombreuses prévisions sont alors possibles. Elles peuvent ne pas être précises en termes d’échelle ou de timing, mais elles sont cependant utiles pour identifier où nous nous situons dans le schéma général des choses et la direction la plus probable de la tendance future.

Par exemple, si les jets de moyenne latitude restent là où ils sont actuellement nous devons nous attendre au développement d’un tendance au refroidissement.

Si les jets se déplacent vers les pôles pour un temps, une tendance au réchauffement peut revenir.

Si la surface du soleil devient plus active nous devrions alors voir une Oscillation Arctique plus positive.

Copyright © Stephen Wilde 2017

 

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11 réponses à “Nouveau Modèle de Climat”

  1. j’ai regardé par hasard un documentaire sur la 5 d’origine anglaise : la terre sous influences. Assez factuel à partir d’observations satellitaires. A le voir, on se dit que les modèles climatiques sont vraiment très simplistes par rapport aux phénomènes observables. Rôle de la vapeur d’eau et des nuages, des courants marins en surface et en profondeur, interaction avec le monde vivant… Pas un mot sur le réchauffement climatique. Même la dernière phrase (qui dit que l’Homme doit prendre soin de la Terre) est plutôt soft.
    Quelqu’un d’autre l’a-t-il vu ?

  2. Cela rejoint les conclusions de Leroux publiées il y a 20 ans dans La Dynamique du temps et du climat. Il se fondait sur les observations permises par les images satellitales. Comment allons-nous sortir de l’idéologie réchauffiste fanatique avec un Bulot au ministère et un G7 qui se masturbe autour des accords de Paris ? J’ai le moral dans les chaussettes !

  3. Le Rouméliote (#3),
    « le moral dans les chaussettes?
    Pourtant, à lire les nombreux articles suite au G7, j’ai plutôt l’impression que ce sont les journalistes et les dirigeants européens qui ont le moral dans les chaussettes.
    D’où la quasi hystérie actuelle.

  4. Le Rouméliote (#3),

    Comment allons-nous sortir de l’idéologie réchauffiste fanatique avec un Bulot au ministère et un G7 qui se masturbe autour des accords de Paris

    C’est vrai, je pense qu’il va falloir attendre un moment , peut-être la fusion du spermafrost, ou une éjaculation précoce de notre gastéropode rampant

  5. Quels grands changements climatiques l’humanité a-t-elle connu?
    L’inondation saharienne avec le « grand lac Tchad » et les glaciations nord américaines et nord européennes mais très peu sibériennes. La glaciation affecte encore le Groenland, l’Antarctique et le lac Tchad n’est pas complètement asséché.
    Ces phénomènes sont gouvernés par une répartition spécifique de l’eau dans ses différents états solides, liquides ou gazeux sur les continents et non à l’évidence par la température seule, ni par la vie qui stocke de l’énergie solaire à partir du CO2 au risque de manquer un jour de matière première.
    Sommes nous capables de rivaliser avec de tels changements sauf à nous y adapter et à accepter que l’ANGLETERRE DEMEURE UNE ILE fruit d’un réchauffement local et d’une élévation globale des océans associée aussi à des phénomènes localisés.

  6. jdrien (#2), Bien que mal construit et pollué par une bande-son de film catastrophe, ce documentaire (daté, semble-t-il, de 2012) m’a appris beaucoup de choses. Je m’attendais au pire lors du commentaire conclusif, mais comme vous l’écrivez : c’est resté « soft ».

  7. Bonjour,

    puisque nous parlons modèles, je me souvient avoir vu trainer quelque part une comparaison peu flateuse de la réalité et des modèles GCM, y aurait il moyen de la retrouvée? ou est ce que quelqu’un aurait ce graphique, de préférence la plus récente des versions (jusque 2016?)?
    merci

  8. Si l on intègre pas tous on ne peu avoir une vision claire,admétont que l univers a une structure fractale ,alors on peu voir le refroidissement du soleil comme une « opposition »au refaufement de la terre ,cela implique que l homme soit une structure fractale et que la  » volonté « ne sois qu ‘une illusion.

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