N'avez-vous pas l'impression, par moment, que les prévisions météo "déraillent", même à 3 jours. Les informations météo ont ceci de curieux qu'elles présentent toujours des prévisions, du lendemain, à 3 jours voire à 7 jours mais jamais de révisions, càd la confrontation a postiori entre prévisions et réalité pour donner une idée leur fiabilité. Voilà ce qui est fait avec cette page mise à jour quotidiennement.
On peut supposer que les prédictions climatologique soient de "meilleure" qualité que les prévisions météo (qui en soi sont médiocres à 3 jours). Mais tant que les "révisions" climatologiques n'existent pas, le pouvoir prédictif de la climatologie reste à l'état d'hypothèse.
Les lecteurs intéressés par la prévision climatologique pourront utilement se référer aux articles en lignes de la SMF, notamment l'article la Prévision Météorologique à l'Echelle Saisonnière : que Sait-on Faire et que Peut-on Espérer.
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Données Météo France, température (après-midi), précipitations (journée)
130 réponses à “Révision climatologique”
Pym (#91),
Je ne vous demande pas de prouver quoi que ce soit sur ce blog mais de préciser quelles prédictions vérifiées tendraient à prouver le réchauffement anthropique. Ce n’est tout de même pas compliqué de donner une référence (si une telle référence existait évidemment mais c’est ce que vous prétendiez).
phi (#101),
surtout que la corrélations températures globales /CO2 n’est bonne qu’en gros de 1975 à 1995, elle était tellement mauvaise de 1945 à 1975, puisque les températures baissaient (et plus que ne l’ont fait ressortir le GISS et le CRU qui ont truqué insidieusement les données) et les idées de Callendar précurseur de Hansen passèrent à la trappe !!!
Patrick Bousquet de Rouvex (#100),
Il est clair que les gens comme Pym fonctionnent en circuit fermé, chez eux les documents scientifiques sceptiques sont mis systématiquement à l’index et ils ne leur viendrait jamais à l’idée de les consulter. Nous avons un avantage sur eux, nous lisons la littérature carbocentriste, nous connaissons leurs arguments, ce qui à l’évidence n’est pas leur cas. D’où le fait qu’ils ressassent la vulgate du GIEC et l’assortissent d’arguments d’autorité.
J’aimerais quand même soulever un point difficile à assumer dans votre discours, comme celui de Laurent.
On ne pourrait « prédire » le climat (passé, présent ou futur) parce qu’il y a beaucoup d’interactions, et peut-être des interactions que l’on ne connaît pas.
Pourquoi alors ne remettez-vous pas en question beaucoup d’autres domaines de recherche, où les interactions sont très nombreuses ? càd presque tous les systèmes physiques. A titre d’exemples : l’astérosismologie, la cosmologie, la dynamique moléculaire, l’étude de la structure interne de la Terre, l’évolution des galaxies, … et surtout, l’étude du corps humain ou même juste de l’un de ses organes. Peu de données par rapport à l’ensemble des interactions et des mécanismes à l’oeuvre.
La question qui se pose alors est : comme on ne peut connaître a priori toutes les interactions en jeu dans ces systèmes, on ne peut donc rien prédire les concernant, et tout ce que l’on sait sur eux grâce à l’intégration de principes physiques est inévitablement, intrinsèquement illusoire ?
Si la science physique avançait sur un sujet en s’imposant tout d’abord de connaître la totalité des mécanismes mis en jeu et leurs interactions, on n’aurait jamais obtenu un seul résultat. Vous exigez donc de la climatologie ce que vous n’exigez pas d’autres sciences où il y a autant (d’après vous, aussi peu) d’observations. Pourquoi ne remettez-vous donc pas en question tous les résultats obtenus dans ces domaines (où il y a autant (d’après vous, aussi peu) d’observations) ? Pourquoi cette fixation sur le climat ? Pourquoi pas d’autres blogs sur le corps humain, où encore plus d’argent est investi ?
Supposons que ce soit le CO2 qui soit effectivement le principal facteur responsable du réchauffement (ce qui évidemment n’est pas le cas, mais supposons – et supposons aussi qu’il y a réchauffement): quel genre d’observations vous convaincrait que c’est bien ce gaz qui est responsable ?
Ou bien pensez vous qu’ontologiquement, avec un nombre d’observations fini (nécessairement fini), on ne pourra jamais être sûr que c’est l’effet de ce gaz, car on n’aura jamais épuisé d’étudier l’infinité des interactions possibles ? Ce serait une position dure à tenir car le mécanisme physique, lui, est bien à l’oeuvre, et se manifeste nécessairement autour de nous.
En gros, si dans 20 ans on n’a toujours pas trouvé d’autres mécanismes concurrents, et que les modèles, améliorés d’ici là, et prenant en compte d’autres mécanismes, continuent d’expliquer l’évolution des températures (globale pour le moment, mais imaginons ensuite locale également), changerez-vous d’avis, ou bien direz-vous encore (car cette démarche est inépuisable) : on ne connaît pas toutes les interactions, coller à l’évolution de la température n’est pas suffisant, donc on ne peut toujours pas se prononcer.
Et je répète l’une de mes questions : quel genre d’observations vous convaincrait que c’est bien ce gaz qui est responsable ? ou quelles observations permettraient de montrer que ce n’est pas ce gaz ? (idem pour les autre mécanismes auxquels vous penseriez)
Patrick Bousquet de Rouvex,
Un peu de respect pour le boulot des autres, même si tu penses qu’il est erroné !
J’ai lu certains des articles de Courtillot, j’ai lu l’article de Svensmark dès la semaine de sa parution. intéressants, mais malheureusement, le mécanisme avancé par ce dernier (Courtillot, lui, n’en formule pas un propre à lui), tant qu’il ne sera pas intégré dans un modèle, ne pourra être évalué par comparaison à des observations de nuages.
Je n’ai pas encore lu ce G&T mais je vais le faire (au passage, j’ai des collègues à l’IPSL, mais je n’en fais pas partie). Je n’ai pas lu le bouquin de Rittaud, et je ne le ferai pas, car j’ai un bouquin de Saint John Perse en cours, et que je n’ai pas encore lu le bouquin que mon grand-père a écrit sur l’impossibilité de définir la température de la couronne solaire.
Les articles de Courtillot, eux, se basent sur des corrélations visuelles. Normal, il n’y fait pas de physique, et ne rentre pas dans le détail des processus.
Et puis, finalement, plutôt que de débattre, il suffit d’attendre 10 ou 20 ans. Quoique non, on ne pourra jamais rien affirmer …
Et puis finalement mettons des œillères et croyons (religieusement) que le CO2 est coupable de tout ! ainsi, on ne cherchera plus et on ne regardera pas les causes réelles et peut être quelque chose d’énorme nous éclatera dans la figure car on aura préférer créer une religion afin de satisfaire l’appétit des politiques (vu le coté pervers, il s’agirait plus d’une religion « satanique »!) et ramasser le plus gros magot possible pour « in fine » ne plus pouvoir agir faces à une nouvelle découverte majeure et réelle (on ne peu dilapider toutes les richesses de la terre sur la base d’une « croyance » alors que la connaissance d’un sujet est à ces débuts et déjà faussé par idéologie) !
Question: pourquoi pensez vous que le Vatican à investi des sommes énormes à la construction d’observatoires très performant dont le but principal est d’observer le comportement du soleil ? est on en droit de penser qu’Il y a des personnes qui savent plus que d’autres et qui espèreraient en tirer profit au détriment du peuple ?
Autre exemple: suite à l’interdiction de vol du à l’éruption du volcan… L’Otant n’aurait pas interdit les vols et même profité pour tester certains équipements stratégiques nécessitant plusieurs jours de tests ! Est ce que la Russie avait arrêté les vols dans les zones à risques ! (ils avaient donc plus d’informations que ce que l’on a bien voulu nous dire et l’AMP aurait peut bien été prise en compte pour eux !).
Finalement, pour mieux comprendre les axes et consensus politiques (ex: GIEC), il faut obligatoirement regarder en arrière puis faire une projection vers le futur pour voir et comprendre les résultats à venir des décisions politiques. La politique, c’est comme la science, il faut observer sur plusieurs décennies (voir 1 siècle!) pour comprendre l’impact qu’a eu chaque décision (au final, l’objectif central (majeur) des politiques, diverge t-il réellement entre les différent parties ou est ce juste l’emballage qui change ?)
Je n’avais pas l’intention d’intervenir dans ce pinaillage, pour ne pas dire trollage de Pym.
Mais cela me fait hurler. Contrairement à la cosmologie, théorie des cordes et autres « sciences » à la mode, qui peuvent se tromper lourdement parce que cela ne remet nullement en cause notre mode de vie et même notre survie, la climatologie telle que pratiquée par les suppôts du GIEC aurait des conséquences incalculables sur l’avenir de l’Humanité. Et pour cela, il faudrait pour me convaincre des preuves extrêmement solides, pas des hypothèses uniquement vérifiées par des modèles bidouillés pour cracher le genre de réponse que l’on souhaite même quand on les nourrit de données fantaisistes.
De toutes les pseudo-sciences ou sciences molles, la climatologie est bien la pire de toutes par ses répercussions possibles.
Que les cosmologues se trompent sur la date du Big Bang, que celui-ci ait eu ou n’ait pas eu lieu, peu me chaut. Que la théorie des cordes soit une foutaise intégrale, comme je le pense, cela n’a aucune importance pour nous pauvres vermisseaux qui nous agitons sur la planète Terre, même pas un grain de sable dans l’Univers.
On connaît les dégâts que peuvent causer une science dévoyée. Voir l’interdiction du DDT qui est responsable de millions de morts …
Manu95 (#109), Coup de gueule parfaitement justifié.
Ras la casquette du troll.
Laurent (#99),
Pas bien méchant, d’accord, mais prévisible à la phrase près. D’un ennui mortel, sa conversation. d’ailleurs, me dema
Laurent (#99),
Pas bien méchant, d’accord, mais prévisible à la phrase près. D’un ennui mortel, sa conversation. Me demande d’ailleurs si c’est pas le but de la manoeuvre : nous faire mourir d’ennui.
jean l (#112),
C’est une possibilité . C’est pourquoi il serait préférable de revenir au fond du sujet, c’est à dire à parler science. A deux reprises, j’ai mis sur d’autres fils des références d’articles s’opposant, l’un à la théorie de Svensmark http: //www.eawag.ch/organisation/abteilungen/surf/publikationen/2010_calogovic.pdf
l’autre à un aspect de l’article de G & T:
http://atmoz.org/blog/2007/07/…..e-effects/
Si quelques honorables correspondants avaient les capacités de détailler, et éventuellement de réfuter ces articles (dans le premier il y a sans doute un biais), cela serait très constructif.
@ pym
Pour la « vulgate » vous vous êtes trompé d’interlocuteur
Pym (#104),
Dans les modèles qui ont une once de validité, les phénomènes inconnus mais significatifs sont pris en compte empiriquement par ajustement des paramètres et des algorithmes. Dans le cas qui nous occupe, au vu de l’échelle temporelle des phénomènes, la fiabilité des observations synthétisées et leur extension dans le temps sont très largement insuffisantes pour permettre une validation sérieuse des prédictions. La situation est en général différentes dans les autres cas que vous mentionnez.
Monseigneur Jean 1er,
Je suis tombé sur un nid de cloportes ou quoi ? Ca grouille dans l’humidité sous un caillou, ça se reproduit en petit comité fermé, ça se tient chaud en se frottant les uns contre les autres, ça n’aime pas la lumière.
Jamais vu un tel blog !! Même l’Opus Dei n’est pas aussi sectaire, Mgr the Pope.
Pourquoi me suis-je égaré sur ce site ? Allez, il fait beau, la manif du 1er mai va bientôt commencer, je me casse (ben oui, je suis un Bobo, tu sais, cette race que tu détestes).
Jean 1er, ne craignez pas le Ciel, je prierai pour votre Rédemption !
Pym (#116),
Adishatz !
Allah akbar !
Encore un qui est passé, mais ils ne tiennent pas leur parole ces rats.
Pitoyable, prévisible et tellement révélateur…
Pym (#105), On se tutoie ? On se connaît ? Vous ne savez visiblement pas ce que signifie vulgate, terme employé par scaletrans (qui sait ce que ça veut dire, lui… ) pour définir un ensemble de propositions affirmatives ordonnées dans un but pédagogique à l’attention du plus grand nombre, même s’il est peu cultivé dans le domaine (le vulgus comme dans l’expression vulgum pecus…) : on peut comparer avec le terme catéchisme, qui convient bien à la cléricature giéciste… quelque soit le « boulot » effectué, erroné ou vrai, le terme est pertinent en l’occurence : même les bobos peuvent apprendre les bases !
Pym (#104),
Je n’ai jamais dit cela. Il est évident que l’on peut dégager des lois empiriques ou semi-empiriques pour tout un tas de phénomènes (et même leurs limites d’applicabilité), même en étant pas capable d’intégrer la totalité des mécanismes physico-chimiques sous-jacents.
Et pour valider ces lois, on dispose d’une démarche scientifique qui s’appelle l’expérimentation.
Pour ce faire, il faut élaborer des protocoles expérimentaux rigoureux, et comparer des résultats d’expériences avec des prévisions faites à partir des lois.
…. Ce n’est évidement pas le cas avec les modèles climatiques (ou la paramétrisation et la validation ne sont pas strictement indépendantes).
Par exemple, quand on parle d’empirisme en climatologie, on peut déjà se référer à tous les travaux sur l’influence de la circulation océanique sur les climats régionaux et sur le climat Global (personne ne remet en cause le lien entre les oscillations océaniques et le climat). Or il n’existe aujourd’hui aucun modèle de circulation océanique qui permette des prévisions fiables sur la période exacte et surtout sur l’intensité de ces oscillations… à tel point qu’une partie des équipes qui bossent sur les modèles climatologiques utilisent les observations (températures de surface) en lieu et place des prévisions…
Pour les variations climatiques de période courte (quelques années à quelques décades, soit sur le type de période permettant de caler et de « valider » les modèles actuels)…. c’est un phénomène de premier ordre, pas du second.
…et on voudrait nous faire croire qu’on arrive à valider un phénomène du second ordre alors qu’on est in foutu d’isoler les conséquences des phénomènes de premier ordre (et d’en faire un bilan suffisamment précis pour que les inévitables erreurs de modélisation ne viennent pas polluer l’interprétation des autres phénomènes)?
Et ce n’est qu’un exemple… on voit bien qu’aujourd’hui il est de plus en plus reconnu qu’il existe des modulations du climat « naturelles » (sic…) qui viennent « polluer » (ou masquer, bruiter… tout autre terme qui te conviendra mieux) le signal que les carbocentristes cherchent à identifier… ce qu’il ne peuvent évidement pas faire sans avoir quantifié les « perturbateurs naturels »…. ou tout du moins le bilan de ces perturbateurs…
Je pense que tu comprendra mieux pourquoi j’avais tiqué sur ton emploi du « premier ordre »….
Le problème n’est d’ailleurs même pas de savoir si l’augmentation du CO2 atmosphérique joue sur le climat. Il est évident qu’il doit avoir un rôle (il absorbe une partie des IR émis par la terre, c’est indéniable). Le problème est de quantifier son rôle global final, et de savoir, en fonction des périodes de temps considérées, s’il est du premier, du deuxième… ou du quinzième ordre parmi les différent contributeurs.
Et à partir du moment ou dans les modèles, les autres contributeurs voient le bilan de leur rôle mal quantifié, avec des incertitudes importantes… soit pas quantifié du tout parce que pas suffisamment connu (et donc intégrés en variables fixes à bilan nul)… alors la prévision sur le bilan spécifique du CO2 atmosphérique est de la poudre aux yeux.
Je pense que tu devrais lire l’intervention de Pierre Morel (ex patron du LMD) en octobre 2009 au Bureau des longitudes… il reste un carbocentriste convaincu, mais ne se leurre pas sur l’apport des modèles en ce qui concerne la quantification de l’effet du CO2 anthropique.
Tu n’oserai quand même pas comparer le « tuning/validation » des modèles climatiques et les très lourdes expérimentations pharmaceutiques en double ou triple aveugle, avec des protocoles lourdement contraignants (et qui malgré tout ne donnent pas toujours des résultats probants)…. si ?????
Bah… déjà un protocole expérimental en labo permettant de quantifier la variation de température d’un mélange de gaz (proportion atmosphérique) à 15°C irradié par un flux IR émis par un mélange de CO2 à -60°C…. histoire d’éteindre les polémiques sur l’effet des « backradiation » (Cela n’a rien à voir avec les modèles, j’en conviens… mais cela permettrait de faire le sort des schémas de représentation simpliste qu’on montre au gogo pour le persuader de la réalité du réchauffement anthropique…)
Oui… et alors?
L’occupation du sol (modifications anthropiques ou pas) a aussi un effet sur le climat, mesurable grossièrement en climat local. Quasiment tout le monde s’accorde pour dire que le bilan en climat régional ou global est sans doute infime…
Une caractérisation complète et précise des effets « naturels » connus aujourd’hui par exemple… 😉
S’il reste une tendance importante ensuite, cela ne sera pas une preuve, mais cela pourrait replacer le CO2 anthropique parmi les candidat crédibles.
Si on arrive un jours à construire des modèles reproduisant très correctement le comportement climatique, avec un seul paramètre variable (l’apport en CO2 anthropique), et que les variations induites par ce paramètres (entre 0 et la valeur estimée par exemple) soient au moins d’un ordre de grandeur supérieures aux différences entre les variations prédites et les variations mesurées sur une période d’au moins 30 ans (à condition bien sur que les incertitudes de la mesures soient elle-mêmes d’un ordre de grandeur au-dessous de la différence)… alors on aura quelque chose de crédible.
Mais je sais… je demande la Lune… 😉
Nous entrons depuis quelques années dans un minimum d’activité solaire… quelques années de plus devraient donner beaucoup d’enseignements sur l’hypothèse solariste.
De toute façon, pourquoi veut-tu qu’on soit « convaincu »???
L’hypothèse carbocentriste n’est justement absolument pas problématique tant qu’elle reste une hypothèse de travail parmi d’autres. Qu’on soit « convaincu » ou pas n’a aucune espèce d’importance.
C’est à partir du moment ou on cherche à convaincre le public que ce n’est pas une hypothèse mais une « théorie prouvée » et que l’on s’en sert pour faire du catastrophisme et pour justifier des dépenses colossales de plusieurs centaines de milliards (à l’échelle du globe) que cela devient très problématique.
Politiquement, l’hypothèse carbocentriste n’est pas un problème en soit, c’est qu’on elle rencontre la philosophie du risque zéro et le principe de précaution dogmatisé qu’elle devient un fléau.
laurent (#122),
C’est là qu’est tout le problème, vous l’avez parfaitement résumé.
Connaissez-vous ce blog carbocentriste de Meteor ? http://www.climat-evolution.co…..nt60846023
Patrick Bousquet de Rouvex (#124), Il vient de temps en temps sur ce site, sous le nom de « robert »
Cette page est bien torchée :
GIEC, OMS, Goldman Sachs : les Menteurs sont dans la place, et les gens regardent ailleurs.
http://www.legrandsoir.info/GI…..leurs.html
pecqror (#125), ah, bon ! C’est lui ??! J’aurais juré que le dénommé Robert était moins instruit que celui qui tient ce blog ?
Patrick Bousquet de Rouvex (#126),
Très bon article en effet. Sûr que si je n’avais pas déjà suffisamment de sujets d’indignation, je m’intéresserais de près à cette affaire du H1N1 qui semble hallucinante de cynisme et d’incompétences mêlés, telle une assoc de malfaiteurs.
pecqror (#125), 77. Robert | 2/05/2010 @ 14:09 Répondre à ce commentaire
“” »”La glace dilatée par le froid ne fait que reprendre son volume initial en fondant et qu’aucune goutte de sirop ne sortira du verre!” »” »
A la différence près que si le verre est rempli à ras-bord quand on y mettra les glaçons (qui ne s’y trouvent pas naturellement) le liquide débordera.
C’est la même chose pour les icebergs ou les langues glacaires, elles ne font pas monter le niveau de l’eau en fondant mais en entrant dans l’eau.
C’est beau l’ignorance….
C’est l’un des derniers exploits du bonhomme ! Dire que l’autre est ignorant alors qu’il a dit autre chose, c’est le comble de la suffisance ! Robert/Meteor, si c’est bien le même devrait être un peu plus modeste : ce n’est pas parce qu’il est un sportif de haut niveau (en altitude s’entend…) qu’il faut être aussi prétentieux et méprisant : il ferait mieux de se relire calmement et il verrait que l’ignorance supposée chez son interlocuteur n’existe que dans sa mauvaise foi !
Patrick Bousquet de Rouvex (#129),
http://www.skyfall.fr/?p=316&cp=34#comments
Je me suis peut être trompé de bonhomme