Le refroidissement global est en cours !


Prévision solaire de la baisse prochaine de la température terrestre par David Archibald.

L'énergie qui empêche la Terre de devenir Pluton vient du soleil et son niveau change. Le graphique suivant représente les cycles des tâches solaires depuis 1700. La longueur moyenne d'un cycle est de 10,7 années. Le Minimum de Dalton est une période de basse température entre 1796 à 1820 provoqué par la faible amplitude des cycles solaires 4 et 5.

Nous sommes actuellement près de la fin du cycle 23 et le soleil devrait commencer son cycle 24 en 2008 ou plus tard.

changement climatique
Figure 1 : cycles des tâches solaires 1700-2000

Ce graphique montre la réponse en température aux cycles solaires 5 et 6 mesurée en 3 stations européennes. Il y a eu une baisse de 2°C à Oberlach en Allemagne sur cette période.

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Figure 2 : Minimum de Dalton mesuré par 3 stations européennes entre 1770 et 1840

Ce graphique montre la transition d'un cycle solaire au suivant, par exemple la transition du cycle 23 au cycle 24

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Figure 3 : transition du cycle 22 au cycle 23

Le soleil inverse sa polarité magnétique à chaque cycle solaire et les tâches du nouveau cycle commencent à se former avant que celles du cycle précédent ne disparaissent complètement. Le cycle 23 avait démarré en mai 1996 pour atteindre son pic en avril 2000. Pour que le cycle 23 ait une durée proche de la moyenne (10,7 ans), le cycle 24 aurait dû commencer en janvier 2007.

Les premières tâches d'un nouveau cycle solaire apparaissent habituellement au-dessus de 20° de latitude à la surface du soleil. D'après les 2 derniers cycles, les premières tâches apparaissent 12 à 20 mois avant le début du nouveau cycle (détecté par une inversion de polarité magnétique des tâches).

Actuellement, à part quelques dipôles magnétiques qui ne créent pas de tâches, il n'y a pas eu de tâche solaire à polarité inversée au-dessus de 20° de latitude, à la date de cet article (mai 2007). Ce qui veut dire que le cycle solaire 24 n'arrive pas avant un an ou que les observations sont erronées.

Les cycles solaires puissants arrivent en général tôt et les cycles faibles tard. Si les observations concernant la relation entre les premières tâches solaires du nouveau cycle et le timing du minimum solaire sont correctes, le cycle solaire 23 va durer au moins 12 mois. Cela veut dire que plus le minimum du cycle 23 arrive tard, plus le cycle 24 risque d'être faible. Le cycle solaire 4, qui précéda le Minimum de Dalton était long de 13,6 années.

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Figure 4 : prédiction du cycle 24

Vous pouvez vérifier tous les jours ma prédiction d'un refroidissement imminent. Vous pouvez faire cela grâces aux amateurs radio enthousiastes. Ils ont besoin d'un soleil actif avec beaucoup de vent solaire pour avoir de longues distances de propagation. Un bon site de radio-amateurs est www.solar24.com qui met à jour ses données toutes les 6 minutes.

D'après mes calculs, une hausse de 1 ppm de CO2 atmosphérique entraîne une hausse de 1 millième de °C. Par conséquent, cela prend juste 2 jours de retard dans le démarrage du cycle 24 pour compenser la hausse de température provoquée par 1 an de hausse de CO2. A titre d'illustration, si le cycle 23 est de la même longueur que le cycle 4, cycle précédent le Minimum de Dalton, alors le minimum solaire ne sera pas atteint avant novembre 2010 et nous ne verrions pas de tâches solaires du cycle 24 avant novembre 2009.

Chaque jour de retard dans l'apparition des premières tâches du cycle solaire 24 signifie que le climat terrestre va être plus rude au cours des années 2010.

Chaque jour de retard dans l'apparition
des premières tâches du cycle solaire 24
signifie que le climat terrestre va être
plus rude au cours de la décennie 2010

Le graphique ci-dessus est très significatif. Il y a actuellement environ 24 prédictions publiées sur l'intensité du cycle 24. J'ai choisi 7 d'entre elles pour illustrer la plage des prédictions. Toutes ces prédictions sont faites par des chercheurs réputés. Le point important vient du fait que la prédiction la plus haute va correspondre à une température environ 2°C plus haute que la prédiction la plus basse.

Si la prédiction la plus basse se réalise, cela va avoir un impact négatif important sur la production de céréales au Canada par exemple et sur la production agricole des régions septentrionales. L'expérience du Minimum de Dalton a été des hivers plus longs et plus rudes. Et cet effet va nous toucher très bientôt.

Le graphique suivant est à la base des prédictions de Ken Schatten. Le ligne rouge est la force des champs magnétiques polaires (CMP)et la ligne bleue est la force des champs magnétiques toroïdaux (CMT, ceux qui forment les tâches). Pendant un cycle solaire, les CMP sont convertis en CMT et vice-versa. La ligne en noir représente la somme CMP+CMT, en baisse depuis le début des années 1990.
Cette tendance décroissante signifie qu'il y aura bien moins de force magnétique pour créer les tâches solaires donc le cycle 24 va être beaucoup plus faible que le cycle 23.

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Figure 5 : index de dynamo solaire 1975-2006

En combinant les températures des stations rurales aux Etats-Unis et la prédiction de température suite aux cycles solaires 24 et 25 faibles, ce graphique montre la baisse attendue jusqu'en 2030. La baisse de température va être aussi rapide que celle dans les années 1970 qui avait déclenché une panique pour un refroidissement global mais va durer plus longtemps.

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Figure 6 : Projection de température jusqu'en 2030

Source


124 réponses à “Le refroidissement global est en cours !”

  1. J’espère de tout coeur que cela va se produire rapidement qu’il arrête de nous bassiner avec ce réchauffement global. Mais bon les « scientifiques pro réchauffement global » seront surement capable de nous dire que c’est grâce au petit effort déjà fait, et que si on ne continue pas on va prendre 7° de plus a la surface de la terre, blablabla…

  2. Blackhorn:
    ou ils diront que c’est du a une nouvelle forme de pollution (comme dans les années 70 lorsqu’ils voulaient expliquer le refroidissement de l’époque)

  3. Si le refroidissement se produit rapidement, une bonne façon pour les partisans de la théorie de l’effet de serre de détourner l’attention serait de changer complètement de thème pour susciter l’alarmisme. Un peu comme la peur du « trou » de la couche d’ozone dans les années 1980 qui a été remplacée par la peur du réchauffement. Quels pourraient être ces thèmes ? On pourrait organiser un concours de prédiction. Quoi qu’il en soit, je fais confiance au lobby écologiste pour en trouver: il a beaucoup d’imagination.

  4. La réduction des émissions de GES n’est pas pour demain; et si le refroidissement s’accompagnera d’une baisse de la concentration du CO2 comme peuvent le prévoir les interprétations selon lesquelles cette concentration du dioxyde de carbone est fonction de la température et non l’inverse… alors que des modèles ne prévoient en aucun cas une telle baisse avant des décennies ? Dira-t-on bravo la science des modèles !?

  5. #3, les écologistes pourront toujours se jutifier en disant que les climatologues les ont trompés en survendant les modèles et qu’un refroidissement aurait bien plus de conséquences néfastes qu’un réchauffement.
    Et ils auront raison dans les deux cas.

  6. Je ne suis pas convaincu par la démonstration.
    Mais je la trouve intéressante.

    Sinon, c’est vrai, comment va le trou dans la couche d’ozone ?
    Et les pluies acides ?
    On en parle plus trop. Mais il faut dire qu’on était loin de nous bassiner ces faux problèmes comme on nous le fait sur le prétendu réchauffement.

    Murps

  7. J’espère aussi un refroidissement rapide pour clouer le bec de ces paranoïaques qui nous arcèlent à propos du réchauffement global (même si je suis conscient qu’ils vont trouver autre chose pour terroriser la population), et aussi parce-que je suis un amoureux de l’hiver (chose assez rare chez un Québecois). Seulement, je ne suis pas convaincu de la validité de ces modèles mais bon, un refroidissement va suivre, c’est certain, et j’attendrai le temps qu’il faudra.

  8. No. 5: Votre scénario est plausible, mais je me demande comment les écologistes pourraient avancer encore que le capitalisme est la cause d’un changement climatique. C’est dans ce sens que je crois qu’ils seraient obligés de trouver un autre thème pour effrayer la population. Le climat, ce serait terminé pour eux.

  9. Déco….ez pas les gars; on est mieux quand il fait chaud; et puis vous voyez la cata; en plus de la croissance qui explose , il faudra chauffer, on brulera nos réserves encore plus vite; le CO2 va encore grimper plus vite ; cela sera l’empoisonnement carbonique assuré comme annoncé par Nicolas ( encore un Nicolas) mais Adolphe de son prénom; les pluies acides qui reprendront et détruiront nos forêts suite aux charbonnages qui reprendront et transformeront notre terre en gruyère; non assurément, vaut mieux que cela continue à chauffer; vous rendez vous compte du désastre pour la science ; alors qu’on a tellement besoin d’elle dans un futur proche pour assurer la survie energétique de l’humanité; tout ce concensus foutu par terre, tous ces scientifiques bafoués par la triste réalité du refroidissement, des ratés en quelque sorte qui iront à la retraite anticipée ou végèteront dans un recoin de labo s’ils ne retournent pas assez vite leur veste; mais bon , cela n’est pas plus dur en science qu’en politique; il suffit de dire qu’on n’était qu’un simple technicien, cantonné dans sa petite spécialité et qu’en fin de compte c’est le GIEC le responsable

  10. En attendant ce sont tout sauf des climatologues (très majoritairement) qui sont contre le réchauffement. Un comble !

  11. En attendant, tous les climatologues ou presque sont des modélisateurs et donc des mathématiciens… hahaha !!!
    DM, demande à un vrai mathématicien ce qu’il pense des modèles climatiques et de leur utilisation…

  12. Autrement dit :

    Le fait que l’on voit se succéder dans les médias des romanciers, des géochimistes, des spécialistes du soleil qui vienent clamer que eux seuls connaissent la vérité mais surtout pas les dynamiciens de l’atmosphère, les spécialistes de l’effet de serre ou les océanographes., ça a qq chose d’un peu ubuesque. En gros, tout le monde sait tout du climat sauf les climatologues.

    Citation reprise d’un autre site.

  13. Ce n’est pas parce que l’on est climatologue qu’on peut prévoir le climat.
    On ne demande pas aux historiens de prévoir l’avenir politique, pourtant avec de bons modèles…

  14. Merci DM d’abonder dans ma version des faits; sauf si ta culture climatique te vient à travers des romanciers, géochimistes et specialistes du soleil ont, à mon avis, autant à dire dans cette discussion que les dynamiciens que ce soit ceux de l’atmosphère ou de l’océan ou les spécialistes de l’effet de serre, et tu oublies les physiciens et les astronomes, les géologues et les glaciologues, les biologistes et les paléontologistes….; je suis en train de lire le bouquin de J Merle « Océan et climat » eh bien on n’apprend pas grand chose; et cela me conforte dans mon affirmation que le responsable est bien le GIEC et pas le spécialiste dans son petit coin de réflexion sur les ondes de Kelvin, qui pour coller au consensus place quelques schémas éculés et colportés de revue en conférence, de livre en reportage et dont il ne maîtrise ni les tenants , ni les aboutissants.
    Tient lire que : »la lithosphère et la biosphère ne stockent pas et ne transportent pas d’énergie en grande quantité à la surface de la Terre » me fait pratiquement refermer le bouquin , sauf que ma curiosité me pousse à aller à la prochaine inepsie; quand on accuse l’homme du RC actuel en brûlant les HC et en ignorant que le kérogene stocké dans la croûte représente 20 000 fois plus , je suppose qu’on passe à côté de la dimension de nombreux autres facteurs responsables des CC

  15. Et une bonne partie de ces spécialistes (par exemple les glaciologues, LGGE) vont dans le même sens : le réchauffement.

  16. Merci de nous l’apprendre; le RC est une manne pour les glaciologues et ils ne sont pas prêts à tuer la poule aux oeufs d’or

  17. Et pour les sceptiques c’est quoi le RC ? Un empécheur de tourner en rond ? De continuer à rouler en 4×4 avec une bonne conscience ?
    A ce rythme là on peut trouver toute sorte de mauvais mobiles, on n’aboutira à rien de constructif.

  18. @DM

    « A ce rythme là on peut trouver toute sorte de mauvais mobiles, on n’aboutira à rien de constructif »
    Surtout si tu ne réponds pas ou à coté au post qui tesont destiné.

  19. @ DM
    Quand un groupe (le GIEC) entend influencer la vie de plus de 6 milliards d’hommes sur ses conclusions théoriques, il est plutôt sain de chercher à savoir si ces conclusions sont les bonnes.
    Or, on relève presque tous les jours, sur ce site et sur d’autres, des critiques sur les données, les modes de calcul et les conclusions du GIEC.
    Il serait facile de laisser faire les « spécialistes », de croire au consensus et de s’en remettre aveuglément à l’autorité, comme d’ab…
    Personnellement, je n’ai pas de 4X4. Je pense que la majorité n’a pas toujours raison. Je n’ai pas peur que le ciel me tombe sur la tête. Et je profite du droit de parole qui est encore le mien pour l’instant…
    Que proposez-vous DM ? A part obéïr et déléguer ?
    Si les médias ne nous abrutissaient pas de chiffres, de culpabilité, de sermons, de peurs… auriez-vous quelque chose à reprocher à notre climat actuel ?

  20. Or, on relève presque tous les jours, sur ce site et sur d’autres, des critiques sur les données, les modes de calcul et les conclusions du GIEC.

    Et des critiques sur les critiques..
    Vous ne trouverez pas une seule idée qui ne soit critiquée.
    Voyez en politique en France.. de vrais gamins qui n’ont pas eu leur jouet..
    L’évolution est critiquée, l’usage du nucléaire est critiqué (par ceux là même qui critiquent les problèmes de CO2), même la terre ronde est critiqué par les flatearth laugh ..

    La position de critique est la plus facile.

    La majorité n’a pas toujours raison, je suis d’accord sur ce point.

    Nous verrons dans les années qui suivent qui a raison, et nous reviendrons sur ce forum ou d’autres pour en reparler.
    Déjà s’ils se plantent une nouvelle fois pour les prévisions de cyclone cette année..

  21. @ DM

    « Et des critiques sur les critiques« ,
    sur ce site (et climat-sceptique) il s’agit de critiques argumentés ou d’analyses pertinentes fondées sur des mesures (i.e, la troposphère qui ne se réchauffe pas alors qu’il est cruciale pour les théories fondées sur l’effet de serre qu’elle se réchauffe).

    « La position de critique est la plus facile« ,
    seulement quand on se contente d’aligner des mots qui sont, aux mieux, des opinions. Tu en sait quelque chose.

  22. Quelques erreurs dans le texte, très instructif au demeurant :

    Le Minimum de Dalton est une période de basse température entre 1796 à 1820 provoqué par la faible amplitude des cycles solaires 4 et 5.

    Quand je compte, je trouve cycles 3 et 4

    le cycle solaire 23 va durer au moins 12 mois

    C’est 12 ans !

  23. @Curieux
    Parce que sur les autres sites (notamment certains sites officiels, de professionnels) ils n’argumentent pas et n’ont pas d’analyse pertinente ?
    Tu ne confond pas avec télérama ?
    Ne le prend pas mal 😉

  24. Minitax:

    Pour ce qui est de la phrase ‘le cycle solaire 23 va durer au moins 12 mois’, c’est une erreur de traduction.

    voici la version originale en anglais:

    Large solar cycles usually arrive early and small solar cycles late. If the observation rule regarding the relationship between first sunspot of the new solar cycle and timing of solar minimum holds, then Solar Cycle 23 will be at least twelve years long.

  25. # 24
    Ici, vous trouvez aussi des avis de spécialistes, de professionnels. Vous trouvez des arguments et des contre arguments.
    Et beaucoup de questions et de bon sens.
    Aux questions DM, vous répondez, non pas avec votre propre analyse, mais vous ne faites que répétez le discours établi. Vous êtes un relais des alarmistes.

    La position de critique est nécessaire et crucial. Cela évite les fausses vérités, les dictats.

  26. Je ne suis pas chercheur et je n’ai que les données que je peux piocher sur le net.
    Tout comme la grande majorité des participants ici.
    A une analyse je lis la controverse et vois si ca tient la route, si les arguments tiennent compte de tous les paramètres, si la critique est fondé sur du solide ou sur des généralités, de la suspicion, des points secondaires, des incertitudes.

  27. @ DM

    « Parce que sur les autres sites (notamment certains sites officiels, de professionnels) ils n’argumentent pas et n’ont pas d’analyse pertinente »

    Nous pouvons tous lire et comprendre les position « officielles » (et l’avons fait).

    Ce site critique ces positioins de la manière indiqué sur le post #22

    Tu réponds systématiquement soit de manière flou ou à côté.
    ex : Sur la comparaison des modèles en météo et climato initié par fboizard (De toute façon, modéliser le climat n’a en soi pas de sens : nous sommes dans un système au nombre de variables inconnues (sans même parler de connaître ces variables) et au nombre de lois inconnues (sans même parler de connaître ces lois).) :

    1) DM : Ne fais pas semblant de ne pas avoir compris . Si des météorologues sont capables d’avoir des modèles à peu près fiables malgré des incertitudes en pagaille, alors pourquoi pas les climatologues ?
    Curieux : A qui le dis-tu DM en météo la prévision est (assez) précise à 5 jours, pas 100 ans !

    2) DM : « Attends je compare le principe d’un modèle. Evidemment les paramètres et les échelles de temps sont différentes !
    Curieux : Allons au fond, qu’entends-tu par principe ?

    3) DM : « Au fur et à mesure qu’ils auront des précisions ou au contraire de nouveaux facteurs à prendre en compte les modèles s’affineront » ?????
    Curieux : pour t’éviter de répondre à coté : Allons au fond, qu’entends-tu par principe d’un modèle ?

    3) DM : « La prise en compte d’un maximum de paramètres décrivant un système, les algorithmes simulant leurs interactions, et au final une représentation la plus fiable possible d’un phénomène réel. »
    compares ta dernière réponse et la remarqudue de fboizard qui met clairement en doute notre connaissance des variables et même des lois – à juste titre – en climato. On a pas avancé d’un pouce.

    Et la dessus tu me menaces « Tu ne sais pas faire autre chose que critiquer, te moquer, manquer de respect. Si ca continue je te plonke ! »

    Encore un humaniste pas de doute !

  28. @ DM
    « Je ne suis pas chercheur et je n’ai que les données que je peux piocher sur le net. »
    Donc, sans sceptique, vous ne vous seriez pas posé une seule question sur le RC. Vous auriez hurlé avec les loups. Vous n’êtes pas chercheur, soit, mais cela ne vous empêche pas de vous servir de votre cerveau…

  29. @Curieux
    Tu as soigneusement évité les réponses que j’ai donné à tes objections.
    Les arguments contre les modèles de climat (nombre dlois inconnues etc..) pourraient tout aussi bien être utilisés pour les modèles de la météo.
    Et j’ai déjà répondu sur la différence de durée, ca ne change strictement rien quant au principe.
    La plupart des modèles qui existent ne sont pas parfaits, quelque soit le domaine, ca n’empêche pas qu’ils ont une utilité.

    @Abitbol
    Je ne remet en question que ce qui me semble peu cohérent, contredire mes idées (préconcues ou pas).
    J’aime également la controverse, mais ce n’est pas une raison pour tout remettre en doute.

    Je ne suis pas suspicieux et la suspicion est pour moi un grave défaut, trés nuisibles aux bonnes relations.

  30. Je ne suis pas suspicieux et la suspicion est pour moi un grave défaut, trés nuisibles aux bonnes relations.

    Oui mais bon, entre la suspicion et la crédulité, il y a quand même un bon milieu à trouver. Quand on entend toutes les grandes chaînes télé annoncer l’extinction des ours polaires alors que leur population augmente et que ces bêtes féroces ont survécu il y a 8.000 ans lorsque la banquise arctique d’été n’existait pas, il y a quand même de quoi se poser des questions.

  31. #31
    Apparemment c’est selon les régions, un exemple :
    Diminution d’une petite partie de la population :
    http://www.italiq-expos.com/bl…..es-menaces
    Augmentation :
    http://www.grida.no/geo/geo3/french/261.htm

    C’est la chasse la responsable :
    http://www.explorapoles.org/in…..#038;lg=fr

    Diminution à venir :
    http://www.ifremer.fr/envlit/a…..061215.htm
    http://www.ursides.com/les_our…..ostik.html

    Les grandes chaines télé ce n’est pas l’avis des scientifiques, personne ici ne parle de se baser sur les médias.

  32. Allons Minitax, certains ne se posent pas de questions, c’est ainsi ! Ils attendent seulement qu’on leur donne des réponses, des ordres.
    Ça me rappelle un film de Costa Gavras « I comme Icare ». Il reprend une expérience d’une Université américaine. On distribue des rôles à deux cobayes humains. Un pose des questions au second qui est attaché et relié à des fils électriques, pour les besoins de l’expérience. A chaque mauvaise réponse, le premier doit envoyer des décharges électriques de plus en plus fortes à l’autre. Malgré les suppliques de ce dernier, notre bourreau continue de le torturer parce qu’il est sous le contrôle d’une autorité. Un professeur en blouse blanche, un spécialiste, un scientifique. On découvre finalement qu’il n’y avait qu’un cobaye dans cette expérience : le bourreau. Le martyre était en fait un comédien qui simulait la douleur. Ce qui démontre que certains, beaucoup, abandonnent tout leur sens critique et humain sous le contrôle d’un supérieur, d’une autorité quelconque…

  33. @ DM

    Tu as soigneusement évité les réponses que j’ai donné à tes objections

    Oh ! les quelles ?, où ?

    tu veux dire celà « j’ai déjà répondu sur la différence de durée » ? en réponse à ceci : « … système au nombre de variables inconnues (…) et au nombre de lois inconnues (…) » ?
    Je ne vois pas le rapport entre « durée » et « lois et variables ».

  34. @Curieux
    On a du mal à se comprendre.
    Que ca soit la climatologie ou la météorologie, les prévisions se basent sur des modèles en partant de données évidemment en bonne partie différentes et avec une échelle bien évidemment différente.
    Si nous ne connaissons pas toutes les données en climatologie, c’est pareil en météorologie (en plus de l’impossibilité d’avoir une précision suffisante).

  35. Je ne suis pas chercheur et je n’ai que les données que je peux piocher sur le net.
    A une analyse je lis la controverse et vois si ca tient la route, si les arguments tiennent compte de tous les paramètres, si la critique est fondé sur du solide ou sur des généralités, de la suspicion, des points secondaires, des incertitudes.

    Pour n’être pas chercheur, avoir pioché ton savoir sur le net, je trouve que tu te permets de faire des critiques de mec qui domine la situation , qui connaît tous les paramètres, qui sait différencier le solide des généralités tout en maîtrisant les incertitudes de toutes ces données
    C’est ce qu’on appelle en général des discussions de comptoir

  36. Je pense que celui qui était visé par mon commentaire # 35 s’est reconnu

  37. Pour n’être pas chercheur, avoir pioché ton savoir sur le net, je trouve que tu te permets de faire des critiques de mec qui domine la situation , qui connaît tous les paramètres, qui sait différencier le solide des généralités tout en maîtrisant les incertitudes de toutes ces données

    Je « critique » (c’est plutôt moi qui suis le plus souvent critiqué ici) avec des références de personnes qui « dominent la situation ». Ce n’est donc pas moi mais des pairs.
    Ensuite j’essaie de faire usage d’un peu de bon sens et défendre ce que je crois être proche de la réalité.

  38. @ DM

    On a du mal à se comprendre.
    Que ca soit la climatologie ou la météorologie (…) Si nous ne connaissons pas toutes les données en climatologie, c’est pareil en météorologie

    Non, DM. C’est ton fantasme !

    En météo les données sont nombreuses et fiables.
    L’aérologie est bien connu.
    La prévision est à 5 jours.
    On peut, dés lors, confronter la prévision à la réalié et modifier sur des bases réelles le modèle.

    En climato, les données sont rares et non fiables.
    Nous ne savons pas modéliser :
    – la vapeur d’eau et le méthane (70% des GES),
    – les échanges océans atmosphère
    – les échanges océans continents
    Les prévisions à 100 ans (c’est d’un ridicule !!!) ne permettent pas de confronter la prévision à la réalié.

    Enfin les prévisions à 5 jours sont (assez) fiables, mais celle du Giec sont (malgrès leur amplitude) fausses !

  39. http://www.meteofrance.com/FR/…..x_view.jsp
    http://meteocotissois.free.fr/accueil/modeles.html

    On a évoqué les innombrables opérations à effectuer pour faire une prévision : le modèle doit résoudre toutes les équations (une dizaine), pour chaque maille* (il y en a près de 5 millions pour un modèle global de maille 100km…), pour chaque pas de temps (il y en a près de 150 pour une prévision à 24h d’échéance avec un pas de 10 minutes). Et en plus, les données recueillies par le résau d’observation météo sont imprécises…

    Modélisation climatique, exemple de la France :
    http://medias.cnrs.fr/imfrex/w…..vignon.pdf

  40. – la vapeur d’eau et le méthane (70% des GES),

    #38 Euh non, la vapeur d’eau, c’est 95% de l’effet de serre au moins. Concentration dans l’atmosphère : vapeur d’eau = 1%, concentration CO2 = 0,038%.
    U arbre aldulte transpire jusqu’à 100 litre d’eau/jour pour ne pas cuire au soleil: réduisez l’effet de serre, plantez moins d’arbres 😉

  41. # 40 Exact, mon clavier à fourché, il fallait lire « 70% de l’effet de serre des GES »

    #39 « Et en plus, les données recueillies par le résau d’observation météo sont imprécises… »

    nulle prévision météorologique ne saurait aboutir à des résultats fiables et quantifiés sans la présence d’un réseau d’observation fournissant rapidement et précisément au prévisionniste les valeurs prises à l’instant initial par plusieurs grandeurs physiques (notamment la température de l’ air , la pression atmosphérique , les vitesse et direction du vent , l’ humidité relative ), et cela non seulement sur le lieu où l’on souhaite faire la prévision, mais aussi en d’autres sites qui appartiennent à un domaine spatial plus ou moins vaste englobant ce lieu : certains progrès décisifs des instruments de mesure et des moyens de transmission , ayant eu pour conséquence l’organisation d’un réseau de mesure de données et d’échange d’informations synchronisé au niveau international, puis mondial — il est maintenant géré par l’ OMM — , ont ainsi permis la mise en place de l’infrastructure nécessaire à la réalisation des prévisions météorologiques et à la diffusion de leurs exposés

    http://www.meteofrance.com/FR/…..x_view.jsp
    Qui croire MétéoFrance, qui gagne sa vie avec, ou l’autre ?

    #41 tu suppose mal, comme d’hab !

  42. #40
    le pb ne se résume pas à un rapport de concentration; il faut regarder les spectres, les bandes d’absorption et leur état de saturation ; cela complique notoirement le pb, et je n’ai jamais trouvé un consensus concernant ces chiffres ; de plus ce qu’on oublie généralement, c’est que la vapeur d’eau absorbe dans le spectre visible et qu’on est loin de la saturation dans ces longueurs d’ondes ce qui fait que augmenter la teneur en vapeur d’eau de l’atmosphère va changer grandement le flux qui va arriver au sol, de même que sa longueur d’onde
    Mais on avait déjà discuté cela ailleurs

  43. #42

    # 40 Exact, mon clavier à fourché, il fallait lire “70% de l’effet de serre des GES”

    Mais non! L’atmosphère est composée de
    – 78% N2,
    – 20% O2,
    – 1% argon,
    – 1% de vapeur d’eau, (la vapeur d’eau peut atteindre 5% sous les tropiques)
    – gaz à l’état de trace comme le CO2 (0,038%)

    Seules les molécules à nombre impair d’atome sont des gaz à effet de serre: H2O, CO2, CH4, NO2… Or l’eau a un pouvoir absorbant à peu près identique au CO2, sa concentration étant de 25x plus forte que le CO2, il est facile de considérer en première approximation que l’effet de serre très largement dominant est celui de l’eau : 95% selon Friedenreich and V. Ramaswamy dans un article dans le GRL 1993. C’est l’ordre de grandeur qui est intégré dans les modèles, les choses étant rendu plus compliqué par le fait qu’on ne sait absolument pas comment se répartit la vapeur d’eau, sans compter que la plage d’absorption des IR de l’eau est beaucoup plus large que celle du CO2.

    A titre d’illustration, il suffit de citer quelques ordres de grandeur : la hausse de l’effet de serre dû au CO2 (le forçage) depuis 1 siècle, c’est de l’ordre de 1,6W/m2 alors que l’énergie qui arrive du soleil est de l’ordre de 300 W/m2 et que l’incertitude sur le bilan entrée-sortie de cette énergie, c’est supérieur… à 20 W/m2. La hausse de l’effet de serre est donc totalement théorique et absolument impossible à observer. C’est comme si on dit, j’ai mesuré un gain de poids de 1,6 kg en utilisant une balance qui indique le poids à 20 kg près.

    Eh oui, la science climatique en est là ! On aurait pu s’en douter à quel point c’est médiocre en voyant les instituts donner des températures avec 3 décimales alors que l’incertitude, c’est +-0,2°C. Même en terminale littéraire, ce genre de bêtise dans un devoir mérite un zéro pointé. Pas en climatologie.

  44. # 44

    Ok sur l’ensemble, sauf que, selon mes infos, la vapeur d’ean represente en volume 95% des GES et contribue à 54% pour l’effet de serre…

    En tout état de cause H2O et CO2 sont actuellement à leur maximum « d’effet de serre » et quelque soit leur augmentation n’auront qu’un effet marginal sur le dit effet de serre.

  45. No. 44: Si les proportions que vous énoncez sont reconnues par tous les spécialistes, comment les alarmistes peuvent-ils invoquer que les GES émis par les humains détraquent le climat ? Comment rationalisent-ils que la proportion ridicule de GES émis par les humains par rapport aux GES d’origine naturelle soit la cause d’une hausse de température catastrophique ? Ça me dépasse.

  46. Un petit rappel bien fait :

    e know that given the distance of the earth from the sun, if it weren’t for the greenhouse effect, the earth would be below freezing – approximately 0 F. However, the atmosphere is able to diminish the rate at which the earth would radiate heat back into space. The process works in the following manner.

    1. For the earth to be in thermal equilibrium, with its temperature neither increasing nor decreasing, the amount of thermal energy entering the system has to be equal to the amount of thermal energy leaving the system, where the system consists of the ocean, the atmosphere and the ground. We know this because energy must be conserved.
    2. Humans have been putting more carbon dioxide into the atmosphere than can be absorbed by various natural processes. (We know that it is our carbon dioxide which has been entering the atmosphere because of isotopic analysis – the carbon we put into the atmosphere has an extra neutron – making it heavier. This is one of the « smoking guns. »
    3. Now sunlight enters the system, some of it striking either the ocean or the land. At this point we should note that the amount of sunlight entering the system is roughly constant.
    4. When it strikes either ocean or land, some of the energy is absorbed, causing them to heat up.
    5. When objects heat up they emit thermal radiation.
    6. Some of this thermal radiation is absorbed by the atmosphere, causing it to heat up, then re-emitted.
    7. We know the reason why it is absorbed by the atmosphere. Various gasses are opaque to thermal radiation at various wavelengths. Moreover we are able to study this in the lab.
    8. When such thermal radiation is re-emitted by the atmosphere some of it is absorbed by either the ground and water, and some of it leaks to space. The amount of each is roughly half because either it goes up to space or back down.
    9. As it is absorbed by the ground or water this causes the ground or water to heat up more, rising in temperature, emitting more thermal radiation, which is then either absorbed by the the atmosphere or leaks into space.
    10. As the water heats up, some evaporation takes place, adding to the amount of water vapor in the atmosphere, and water vapor will also absorb thermal radiation at specific wavelengths, causing the atmosphere to heat up further and emit more thermal radiation. As such, this is a positive feedback. Moreover, water vapor is a much more effective greenhouse gas.
    12. However, unlike carbon dioxide, water vapor tends to remain in the atmosphere for a much shorter period of time because it will tend to condense into clouds, falling as precipitation either in the form of rain or snow.
    13. Since carbon dioxide tends to remain in the atmosphere for a much longer period of time, the amount of carbon dioxide which is in the atmosphere will regulate the amount of water vapor is in the atmosphere.
    14. Given the greenhouse gasses which are in the atmosphere, the temperature of the system will ultimately rise to the point at which the thermal radiation leaving the system is equal to the amount of thermal energy leaving the system.

    However, there are various feedbacks involved.

    A few are:

    1. Convection. Where hot air rises, shortening the distance that thermal radiation has to travel in order to leak into space. When this happens there will be less re-emission and absorbtion occuring between the atmosphere and itself. As such, this will increase the rate at which thermal radiation leaves the system. As the temperature rises, more convection takes place, therefore this is a negative feedback.
    2. The albedo effect. When thermal energy is absorbed by ice or snow, some of it will melt, reflecting less light back into space and permitting more thermal radiation to enter the system when light is absorbed by either the dark ground or dark ocean, but as the system warms, resulting in positive feedback.
    3. The reduction in the capacity for the ocean to hold carbon dioxide. As the the ocean heats up, it is less able hold either carbon dioxide or oxygen, and therefore the amount of carbon dioxide which remains in the atmosphere will increase. Currently the ocean is still absorbing most of the carbon dioxide which we emit, acting as a sink, but it absorbs less and less each year. At some point it will have warmed enough that it will start releasing the carbon dioxide which it already has, becoming an emitter.
    4. The melting of the permafrost. When permafrost melts, the organic material which was frozen will decay, releasing methane and carbon dioxide into the atmosphere. Since both methane and carbon dioxide are greenhouse gases, this is a form of positive feedback.
    5. Heat stress in plants. The more the temperature rises, the less effective they will be at absorbing carbon dioxide.
    6. Stress on plants due to drought. The more the temperature rises, the more quickly water will evaporate, reducing the amount of water which will be available to plants and thereby reducing their capacity for absorbing carbon dioxide.

    Currently the net effect of the feedbacks is positive as the earth has moved away from the equilibrium which it was in and has to find a new equilibrium. Moreover, as we put more carbon dioxide into the atmosphere, the net effect is to push us further from equilibrium, increasing the temperature which the earth has to reach before it is able to radiate enough thermal energy to balance the thermal energy which is entering the system. As positive feedbacks, the more carbon dioxide which enters the system, the worse they will get.

    At each step, we are able to quantify what is going on, and there have been a great many empirical studies. Enough to convince the vast majority of scientists, and every major science organization which has seen fit to take a position on this. What few reasonable alternative explanations may have existed at one time for the increasing temperature of the earth have been eliminated, i.e. they are no longer reasonable and are kept alive only by special economic or ideological interests which are playing people for fools. However, this does not change what is happening to the earth, or the extent of the threat which faces humanity as it continues to emit more carbon dioxide each year.

    Comment par T. C. — 2 jui 2007 @ 9:54 am

  47. Sur le site de Mr Jancovici :

    Les deux principaux gaz responsables de l’effet de serre de la Terre (depuis que notre planète a une atmosphère qui ressemble à l’actuelle, et pas seulement depuis 100 ou 200 ans) sont :
    la vapeur d’eau (H2O),

    le gaz carbonique (CO2).

    Il en existe d’autres, et même beaucoup d’autres. Certains, comme le CO2 et la vapeur d’eau, sont « naturels », c’est-à-dire qu’ils étaient présents dans l’atmosphère avant l’apparition de l’homme. Cette présence ancienne signifie, par la force des choses, qu’ils possèdent des sources naturelles, mais aussi des « puits », qui retirent les gaz en question de l’atmosphère et permettent à la concentration de rester à peu près stable. Pour l’eau le « puits » s’appelle… la pluie, et pour le CO2 une partie du puits est tout simplement la photosynthèse.

    Les émissions directes de vapeur d’eau des hommes (provenant des centrales électriques, de l’irrigation, des barrages, de la déforestation…) ne contribuent pas à augmenter l’effet de serre de manière décelable, et ne sont donc pas prises en compte dans les émissions humaines. En effet, sur une planète couverte aux 2/3 d’eau (les océans), et compte tenu du fait que l’eau ne s’accumule pas dans l’atmosphère – où son temps de résidence est de l’ordre d’une semaine seulement -, les émissions d’origine humaine sont totalement marginales dans le cycle global de l’eau (à titre indicatif, les émissions annuelles de vapeur d’eau de l’humanité provenant de la combustion des hydrocarbures représentent moins de 1% de l’évaporation naturelle survenant en une seule journée). L’action de l’homme peut très significativement perturber le cycle local de l’eau (la Mer d’Aral ou le barrage d’Assouan en offrent de bons exemples), mais cela n’a pas de répercussions significatives au niveau de la teneur moyenne en vapeur d’eau de l’ensemble de l’atmosphère, or c’est celle-là qui gouverne l’effet de serre qui en résulte.

    Ce qui précède explique pourquoi il n’est pas tenu compte de la vapeur d’eau, excepté dans quelques cas bien particuliers, lorsque l’on calcule les émissions de gaz à effet de serre liées à l’activité humaine.

  48. @ DM

    Nous y voilà !
    Copier-coller de 2 écrans (et en anglais SVP, quelle culture) !
    Et comme d’habitude une toute petite ligne « manuscrite ».

    Enfin la vraie nature de DM !