Suite du billet sans sujet n°5.
J’admettrais volontiers qu’à propos de réchauffement global, nous avons franchi la frontière entre le reportage et la plaidoirie
Charles Alexander, éditeur de Time Science, dans une conférence au Smithsonian Institute
- Derniers commentaires
Fétrofroid (#2750),
Non.
Global atmospheric downward longwave radiation over land surface under all-sky conditions from 1973 to 2008 – Wang & Liang (2009)
We found that daily L d increased at an average rate of 2.2 W m−2 per decade from 1973 to 2008. The rising trend results from increases in air temperature, atmospheric water vapor, and CO2 concentration.
Combined surface solar brightening and increasing greenhouse effect support recent intensification of the global land-based hydrological cycle – Wild et al. (2008)
Here we present a first-order trend estimate for the 15-year period 1986–2000, which suggests that surface net radiation over land has rapidly increased by about 2 Wm2 per decade, after several decades with no evidence for an increase. This recent increase is caused by increases in both downward solar radiation (due to a more transparent atmosphere) and downward thermal radiation (due to enhanced concentrations of atmospheric greenhouse-gases).
The climatological record of clear-sky longwave radiation at the Earth’s surface: evidence for water vapour feedback? – Prata (2008)
The results indicate that over the period 1964-1990, there has been a global increase in the clear-sky longwave flux at the surface.
Changes in the fabric of the Arctic’s greenhouse blanket. Francis & Hunter (2005)
« In this study we use new satellite-derived products to investigate which atmospheric parameters are contributing to observed increases in the downwelling flux in longwave radiation (DLF) during spring in sixregions around the periphery of the Arctic Ocean. In areas dominated by low clouds containing liquid water, we find that DLF trends are driven primarily by increasing cloud fraction and more abundant water vapor, and offset by lowering cloud-base heights. »
Measurements of the Radiative Surface Forcing of Climate – Evans & Puckrin (2006)
Measurements of the downward radiative flux have been made for several important greenhouse gases. At mid-latitudes in summer as compared to winter, our measurements show that the downwardsurface flux from H2O has doubled to 200
W/m2. The water increase causes a reduction of the fluxes from the other greenhouse gases. These measurements show that the greenhouse effect from trace gases in the atmosphere is real and adds significantly to the radiative burden of the atmosphere. The greenhouse radiation has increased by approximately 3.52 W/m2 since pre-industrial times.
Clues to variability in Arctic minimum sea ice extent – Francis et al. (2005)
Perennial sea ice is a primary indicator of Arctic climate change. Since 1980 it has decreased in extent by about 15%. Analysis of new satellite-derived fields of winds, radiative forcing, and advected heat reveals distinct regional differences in the relative roles of these parameters in explaining variability in the northernmost ice edge position. In all six peripheral seas studied, downwelling longwave flux anomalies explain the most variability –approximately 40%.
Radiative forcing – measured at Earth’s surface – corroborate the increasing greenhouse effect – Philipona et al. (2004)
However, after subtracting for two thirds of temperature and humidity rises, the increase of cloud-free longwave downward radiation (+1.8(0.8) Wm2) remains statistically significant and demonstrates radiative forcing due to an enhanced greenhouse effect.
BSRN Longwave Downward Radiation Measurements Combined With GCMs Show Promise For Greenhouse Detection Studies – Wild & Ohmura (2004)
On a global mean basis, the LWD is projected to increase
by about 20 Wm-2 towards the end of the 21st Century, corresponding to an increase of approximately 2 Wm-2 per decade. No other component of the global mean radiation and energy budget is expected to undergo such rapid changes.
This makes the LWD an interesting candidate for greenhouse detection studies.
Et hop ca dévie de sujet…vous acceptez sans vraiment accepter la possibilité du phénomène physique (une fantaisie… »faible » ??), et vous dites que de toute façon, ce n’est pas observé dans la vrai atmosphère…
Diversion, repli stratégique…appelez cela comme vous voulez….
Mais vous avez raison, cette stratégie a souvent bien marché, pourquoi en changer ?
Des doutes, toujours des doutes, attaquer sur tout les fronts, surtout ne rien admettre, laisser planer…
Plane hippie, plane.
@warm, (et xlm)
Toujours la même ânerie .. qui tourne en rond sur ce forum.
Comme un derviche et son moulin à prière.
« Un corps reçoit des IR, DONC il se réchauffe, quelle que soit sa température. »
Ben voyons ! ça paraît si simple. Si naturel. Et on trouve ça sur tous les forums réchauffistes… C’est vous dire.
Mais c’est irrémédiablement tronqué et, surtout, c’est irrémédiablement faux !
Il faut poursuivre le raisonnement et ne pas s’arrêter là et, surtout, ne pas oublier l’émetteur et surtout, sa température.
Je croyais que Warm avait (enfin) compris qu’il s’agissait d’un échange réciproque et non pas d’une masturbation solitaire.
Hélas, non ! On le lui a répété cent fois. Peine perdue : Warm ne comprend jamais rien à rien.
Oui, la surface qui reçoit des IR se réchauffe (rait) quelle que soit sa température si…
elle n’émettait pas elle-même et en même temps, de manière simultanée, instantanée et réciproque, un rayonnement vers l’émetteur.
C’est très exactement ce que nous raconte Clausius dont le texte a été cité plusieurs fois sur ce fil. Le bilan global de cet inévitable échange est bien connu : quel que soit le mode de transfert : le chaud réchauffe le froid et pas l’inverse.
Vous n’arriverez pas à renverser le sens de l’évolution de l’entropie, pas plus que vous n’arriverez à faire remonter la pente à un torrent de montagne.
On va tourner en boucle comme ça, indéfiniment ?
Après, on repasse aux deux boules ? puis au cryostat ?
Encore 2000 posts de ce niveau ?
Désolant.
@ xlm : votre vision de l’effet de serre est simpliste parce qu’elle ne prend pas en compte la convection, essentielle pour ces modèles.Tout n’est pas radiatif sauf près de la tropopause et en direction de l’espace. Revoyez l’explication de Lindzen (« taking greenhouse effect seriously »).
Si Warm vous approuve, c’est que vous vous trompez quelque part.
Tout à fait, le soleil chauffe la surface terrestre, l’atmosphère empêche la surface terrestre de se refrodir en rayonnant vers le sol.
Je n’ai jamais rien dit de différent.
Warm (#2755),
Ah bon, la surface terrestre ne se refroidit donc pas en soirée, après le coucher du soleil.
Allez raconter cela à un cheval de bois et vous aurez droit à une ruade.
Vous feriez mieux de vous taire !
Manu95 (#2755),
Tout à fait. La quantité d’énergie échangée est sigmaT^4 (ou epsilon(f)sigmaT^4 dans le cas d’un corps quelconque).
Un corps 2 fois plus chaud irradie 16x plus d’énergie. Ce qui forcément fait que le corps froid ne peut pas réchauffer le chaud, tout juste ralentir son refroidissement.
Mais si on a un apport constant de chaleur (le soleil), on aboutit à un corps plus chaud (la terre) de part la présence d’un corps plus froid (l’atmosphère) qui rayonne.
Allez donc goûtez la nuit lunaire pour sentir la différence…
Argus (#2753),
Bon sang on est encore retombé dans le réchauffer/refroidir moins…je le sentais venir
Donc selon vous la surface absorbe bien de l’énergie radiative venant des GES, mais elle n’en fait rien…l’énergie absorbée disparaît ? En quoi ce rayonnement des GES vers la surface est différent d’une partie de celui du soleil ? Pour vous on peut tronquer une partie du rayonnement solaire IR, la T° ne changera pas d’un iota ?
« Remonter la pente au torrent de montagne »…très bon exemple.
Enfant je faisais des barrages au bords des ruisseaux.Je me rappelle comment rajouter des pierres à mon édifice ralentissait le débit ce qui faisait monter le niveau de l’eau en amont…je comparais avant et après le barrage: de l’eau était bien remonté. Évidemment, la rivière dans son ensemble coulait bien toujours vers la vallée. Car pour inverser complètement le cours du ruisseau il m’aurai fallu un barrage plus haut que la source. Une atmosphère plus chaude que la surface.
La rivière coulait juste moins vite.
Et en y regardant bien, j’avais dans un sens fait remonter toute la rivière. La petite goutte qui a un instant t aurait du se trouver devant moi était 1mm plus haut, et celle qui aurait du se trouver à 1mm de moi, était à 2…
Je crois que c’est à partir de ce moment là que j’ai compris que j’étais un dieu quelque part.
A 10 ans je comprenais déjà mieux le monde qui m’entourais que vous aujourd’hui.
Car oui, la surface se refroidit constamment vers l’atmosphère. Mais empêchez là partiellement de se refroidir et sa température montera.
Et empêcher quelques photons de s’échapper de temps à autres, c’est bien diminuer la capacité de la surface à se refroidir.
xlm (#2757),
Excellent !
j’avais déjà essayé le coup de l’image du barrage, mais là vous le faites fort bien. Espérons que vous ayez plus de succès que moi !
Nos deux trolls sont contents et se congratulent. Bientôt ils feront un concours pour savoir qui est le plus con des deux. Mouarff !
@warm 2156
Bonne idée !
Allons y sur la lune. Sauf que d’autres y ont été et fait des mesures.
les gens de la mission Appolo 17 en particulier. Voici la courbe des températures relevées en 1972 :
Normalement, et sauf l’ajustement dû au reflet de la terre (30K), la température de la lune devrait être proche de 0K si la lune était un corps noir ou gris.
Ce n’est pas le cas. Les nuits lunaires sont d’environ 40K plus chaudes que prévu. Les cosmonautes de la NASA ont alors effectué des mesures de températures à différentes profondeurs et constaté que face réchauffée pendant le jour restituait sa chaleur la nuit (environ 50 cm concernés).
Tout cela n’a rien à voir avec un corps noir et la température lunaire moyenne est d’environ 40K supérieure à celle du modèle du corps noir (+33K sur terre) calculée avec Stefan sigma.T^4
C’est l’effet de serre sur la lune (sans atmosphère) ?
Source : http://climaterealists.com/att....._Final.pdf
« During lunar day, the lunar regolith absorbs the radiation from the sun andtransports it inward and is stored in a layer approximately 50cm thick. As the moon passes into night, the radiation from the sun quickly approaches zero (there is still a bit of radiation from the earth) and, in contrast with a precipitous drop in temperature if it was a simple black body, the regolith then proceeds to transport the stored heat back onto the surface, thus warming it up significantly over the black body approximation. To make this procedure even harder to quantize, the thermal conductivity of the regolith is both
temperature and depth dependent; it thus reacts differently in the lunar day as it does in lunar night and at different depths. The heat flow from the lunar core must also be taken into account. »
La terre et la Lune, des corps noirs ? Bah…..
@xlm
Bigre ! Sans doute mais sûrement pas un dieu de la physique.
Vous croyez vraiment que vous avez inversé le cours du torrent ?
Inquiétant. Faire remonter le niveau n’est pas inverser le sens du courant. Vous ne le comprenez pas ?
Ceci dit la technique est exactement la même que celle de Warm.
Pas étonnant qu’il soit ravi.
Vous écrivez une phrase qui est un horrible nonsens pour la physique. On vous démontre que cette phrase est une ineptie.
Alors vous changez immédiatement de sujet et vous commencez à parler de dynamique… comme le fait Warm depuis des lustres ?
Cela s’appelle changer de sujet quand on a la tête dans le sac.
Votre vision de l’effet de serre est surréaliste (celle de Warm aussi).
Allez donc lire l’explication de LIndzen que je vous ai déjà recommandée plusieurs fois déjà.
Lindzen est un physicien remarquable. Il sait de quoi il parle et son explication n’a rien à voir avec la « backradiation » si chère à Warm et à d’autres….
Quand à savoir que si on empêche un corps chauffé en permanence de se refroidir, il se réchauffe, c’est une évidence.
Mais, l’explication de l’effet de serre qui tient la route n’a rien à voir avec vos élucubrations, fussent-elles celles d’un dieu
Argus (#2764),
xlm doit être un saumon qui s’ignore…
Argus (#2761),
oui et ça ne modifie rien:
ni le niveau de l’eau au dessus
ni le débit
sauf transitoirement
il en est de même avec l’atmosphère
l’exemple était donc inepte
Abitbol (#2762),
doit on lui mettre en place un échelle à poisson pour remonter le courant ????
Argus (#2761),
« Vous croyez vraiment que vous avez inversé le cours du torrent ?
Inquiétant. Faire remonter le niveau n’est pas inverser le sens du courant. Vous ne le comprenez pas ? »
Amusant, c’est exactement ce que j’ai écrit. Que la rivière coule toujours globalement vers la vallée mais que l’eau au dessus du barrage monte tout de même.
Or dans cette analogie, à quoi correspond une inversion globale du cours de la rivière et à quoi correspond l’eau qui monte ??
Réfléchissez aussi à ce qui se passe près du barrage lui même.
J’ai un peu préjugé de vos compétences d’abstraction j’ai l’impression.
Je note aussi que vous ne tentez pas une seconde de répondre aux questions simple que je pose en début de post, vous me renvoyez juste à Lindzen pour me défaire de ma vision « surréaliste » (ouh le bel adjectif, ca convaincra les plus faibles ici certainement).
@yvesdemars
« sauf transitoirement »
???
Tant que le barrage n’est pas détruit…
Vous n’avez jamais fait de barrages vous.
Et en rajoutant des petits cailloux, l’eau monte de plus en plus, et le débit diminue de plus en plus (tant qu’il n’y pas saturation…à un moment rajouter des petits cailloux ne change plus grand chose)
@Tous
ca parle poisson maintenant…c’est rigolo je me disais justement qu’avec vous les choses sont faciles, je lance des perches énormes et vous les prenez.
xlm (#2766),
Avec xlm tous nos brochets sont des truites
Manu95 (#2755), « Le grand dictionnaire de l’argot milita
Manu95 (#2755), Extrait d’un catalogue de livres que je viens de consulter : « Le grand dictionnaire de l’argot militaire par Jean-Marie Cassagne éd.LBM 464 p. 2007 22€ Le livre le plus sérieux et le plus drôle jamais écrit sur l’armée ! Avec plus de 3500 entrées, à la lecture de ce dictionnaire, vous saurez enfin ce que veulent dire : un Manche à boules, … etc. » ça m’a fait penser irrésistiblement à quelqu’un… ???
Argus (#2761),
Ah merci !!! Enfin ! 😉 Vous l’admettez finalement !
Je le disais déjà au post 1998 Warm (#1998),
Mais j’ai été contredit
Par exemple MiniTax
miniTAX (#2047),
Autre intervention:
jmr (#2065),
Je répondais:
href= »#comment-35131″>Warm (#2069),
Robert répondait également:
Robert (#2072),
Je continuais plus loin
Warm (#2110)
Immédiatement mis en doute par Axel:
Axel (#2112),
C’est comme ça sur des pages et des pages… Et maintenant vous me dites « c’est une évidence » ??? . Mais pour moi ça l’a toujours été, un peu moins pour les têtes dures de skyfall !
Oulah, pour comprendre l’effet de serre, il faut déjà admettre ce que vous dites plus haut (qu’empêcher un corps qui reçoit de la chaleur de se refroidir, ça le réchauffe…).
J’ai donné l’explication complète sur l’effet de serre il y a déjà bien des pages… le simulateur d’atmosphère Modtran mis à disposition par Archer permet de très bien comprendre comment ça se passe:
http://geoflop.uchicago.edu/fo......orig.html
Argus (#2760),
Ah non, pas le coup de la lune à nouveau !!
Tout ce que vous démontrez, c’est qu’en rajoutant une capacité thermique au système, on approche la température moyenne réelle de la température de l’équilibre radiatif.
J’ai déjà parlé de ça oulah, il y a des pages et des pages
Warm (#1793),
Et
Warm (#1833),
xlm (#2765),
Ce sont surtout des gens en mission qui sont là avant tout pour défendre un programme politique, la science est le cadet de leur soucis…
Je vous conseille la lecture du dernier bouquin d’Oreski à ce sujet:
http://www.bloomsburypress.com.....ubt_hc_104
http://e360.yale.edu/content/feature.msp?id=2285
Quand on ne sait même pas nommer correctement l’auteur d’un bouquin, il vaut mieux se taire.
Il s’agit bien sûr de l’ineffable Ms Oreskes !
Cela correspond très exactement à la mission et à la manière de travailler du GIEC.
@warm 2769
Quelle esprit confus !
Quel gloubiglouba !
Les citations que vous avez péniblement rassemblées n’ont rien à voir avec ce que je vous ai dit, que tout le monde sait et que personne n’a jamais contesté :
A savoir que si vous mettez un couvercle sur une casserole pleine d’eau l’ébullition se produira plus rapidement, vous pourrez cuire vos patates puis rapidement etc…
Mais une fois de plus, vous avez changé de sujet et vous mélangez tout. Nous parlions des lois fondamentales de la thermo.
Coincés, vous nous reparlez de dynamique, d’états transitoires etc. parce que vos arguments de thermo ne tiennent pas la route et c’est très voyant pour les lecteurs…
Un peu trop facile.
Surtout que cela ne fait pas avancer le problème. Vous croyez toujours à vos photons magiques, aux états « rotatoires » et autres âneries du même genre…
Votre explication sur la lune est absolument délirante. Franchement. Elle est exemplaire de ce que peuvent écrire les réchauffistes…Je la garde et la ressortirai à l’occasion. C’est un modèle du genre. Merci.
Oreskes (Naomi) , « l’historienne des sciences », a réussi à publier une article prétendant qu’il n’existait pas d’article scientifique sceptique alors que j’en avais toute une pile sur mon bureau , tous peer-reviewés, tous publiés dans les bonnes revues… Encore un mensonge digne du climategate.
Le niveau de ces discussions pseudo-scientifiques est lamentable. Il tourne en rond indéfiniment sur des notions élémentaires.
D’autre part,
Pas d’autre argument que d’accuser les autres de faire de la politique quand on est visiblement coincé ?
Vous n’avez donc pas de vrais scientifiques chez les réchauffistes ?
Pouvez-vous préciser ? Où est-ce que je parle d’états transitoires ?
Quand j’affirme quelque chose, je cite. Citez-moi donc l’endroit où je parle de photons magiques ? Quand à rotatoire / rotationel, je l’avoue j’ai traduit un peu vite de l’anglais, mais ça n’enlève rien sur le fond.
Comme toujours, affirmations gratuites sans référence…
Elle vient en grande partie de G&T ! ;-).
Mais libre à vous de calculez la température moyenne de la terre (ou de la lune) sans atmosphère et sans rotation ? A quel chiffre arrivez-vous ?
Et si on ajoute une rotation et une capacité thermique, quel est le résulat ?
Comme toujours, vous prétendez que je ne sais rien, mais pas le début d’un calcul prouvant que j’ai tord. Allons Argus, sortez vos chiffres: résolvez moi le problème ci-dessus !
Je ne vous le fait pas dire, et je l’ai prouvé ci-dessus en citant quelques extraits du débats…
Pour ceux que ça intéresse voici une petite synthèse provisoire de ce que j’ai retenu de la lecture de tous vos passionnants débats.. et des liens auxquels vous renvoyez.
Ce que je crois avoir compris :
Il y a quelque part au dessus de nos tête une énorme source d’énergie appelée soleil. Sorte de chauffage central complètement anti écolo qui se caractérise par sa fabuleuse dépense d’énergie consacrée à rien du tout, sauf peut être à chauffer les petits habitants d’une petite planète et à servir de système de guidage à une civilisation extraterrestre, aussi inconnue que lointaine. Première constatation, la nature ne fait pas dans la radinerie ni dans l’économie d’énergie ni dans le durable.. elle gâche, elle gâche sans compter , elle se fout de ce qui se passera quand y aura plus de soleil. Si on veut prendre modèle sur elle, alors fonçons sans nous retourner… !
En dessous de ce soleil, notre chère planète bleue a laquelle nous sommes finalement très attachés, peut être parce qu’elle est jolie. Ce qu’on voit en premier ce sont les énormes masses des océans . Tellement énormes que vu sous un certain angle notre globe ne présente qu’une surface bleue . A côté des océans, on aperçoit les terres émergées dont une grande partie est couverte de zones faiblement habitées.
Au dessus de tout cela une atmosphère claire parcourue de nuages a la blancheur étincelante.
Je crois avoir compris que
1/ le soleil était soumis a des Meta variations , les fameux cycles solaires
2/ les océans étaient soumis à des mégas variations car ils sont chauffés par le soleil mais servent en même temps de volant d inertie puisque ils possèdent une capacité thermique sans commune mesure avec celle de l’atmosphère. Ces océans sont parcourus de courants complexes qui libèrent à certains endroit l’énergie accumulée mais qui peuvent induire ailleurs des variations sous marines avec des années de retard.
3/ l’atmosphère enfin soumise a des micros variations dues à l’arrivée directe des rayons du soleil lesquels sont réfléchis parfois dans certaines zones par la couche blanche des nuages qui varie sans cesse et de manière bien difficile a calculer étant donnée la complexité des interactions , soleil terres océans qui agissent sur elle.
Le climat est donc le mélange de toutes ces variations entrecroisées.
Il me semble avoir compris que l’origine de tout étant le soleil, c’est là qu’il faut chercher l’origine des variations. Cela semble une évidence. Tout le reste n’étant que retard et inertie à restituer l’énergie reçue.
Il paraît que la totalité de l’énergie utilisée par l’humanité correspond à une heure d’ensoleillement de la surface terrestre . Cette heure d’ensoleillement peut être bouleversée par la simple présence de nuages à la présence aléatoire.
Et il paraîtrait que dans cette fabuleuse machine thermique à la complexité colossale une petite couche de gaz invisible et d’origine naturelle pourrait transformer notre belle planète en poêle a frire . Je rappelle ici que la production de CO2 est naturelle , car la technologie est naturelle, au même titre que les dépôts calcaire au fond des océans sont naturels. Ils sont le produit de la vie d’êtres vivants.
La question est la suivante : et si c’était vrai ? Que les écolos, anti solaires, aient raison de nous alerter.. Les décisions humaines ont elles déja changé le cours des choses dans la gestion de la planete ? les ex-plans de l’ex-Union Soviétique n’ont rien pu faire d’autre que provoquer la misère et le déclin. De même la gestion calamiteuse des catastrophes naturelles par les anciennes civilisation à coup de sacrifices humains ou d’élévation folle de statues expiatoires, n’ont rien provoqué d’autre que des souffrances et la misère.
Il me semble donc que les partisans de ces théories décroissantes devraient mieux suivre l’exemple de la nature, dispendieuse, innovatrice, créatrice de nouvelles formes de vies en permanence. La solution à tous ces problèmes si on se réfère à elle semble plutôt d’investir une grande partie de nos ressources dans la recherche d’énergies nouvelles type fusion nucléaire et vers l’expansion de l humanité vers d’autres planètes. Ca ne veut pas dire de massacrer l’environnement car même les fourmis organisent leur environnement pour gérer les déchets et leur cimetière.
Toutes les options décroissantes sont alors, quand on y pense, finalement très anti écolo.. 😉
Encore une fois affirmation gratuite sans l’ombre du début d’une preuve.
Le papier d’Oreskes a fait l’objet d’attaques qui se sont toutes avérée foireuses.
Oreskes a utilsé la méthode standard et validée appliquées dans le cas des revues systématiques. Utilsation de la base de données ISI et inclusion des seuls articles originaux (c’est à dire excluant les articles de revues et d’opinions).
Peiser et Monckton on bien essayé d’invalider les résultats d’Oreskes, en vain.
http://scienceblogs.com/deltoid/2005/05/peiser.php
piloteman (#2775),
J’adore votre résumé et j’y souscris. Bravo!
piloteman (#2778),
J’ai trouvé un ami, merci !
@warm
Affirmer avec des citations est à la porté du premier venu mais bien choisir la source et la citation demande une plus grande lucidité et sens critique ! (toujours prendre comme référence des disciples du GIEC et nier les autres prouve votre manque de lucidité et de sens critique).
comme d’habitude, vous demandez aux scientifiques soucieux de cherchez et au sens critique très developper de prouvez que les affirmations du GIEC sont fausses alors que celui-ci est incapable de prouver quoi que ce soit. Vous vous faites l’avocat du diable dont le but est de semer le doute sur la base d’affirmations infondées.
Pendant ce temps, de nouvelles publications scientifiques tombent et enfonce la thèse du GIEC dans les abimes ! (c’est vrai qu’en enfer il doit y faire plus chaud)
On se trouve dans une logique machiavélique qui consiste à inverser les rôles afin de faire perdre le temps précieux de nombreux jeunes talents et moins jeunes aussi. Mais venant de lui, cela est normal n’est pas warm ! ce n’est pas sa première intervention de ce type avec une thèse probablement arrachée à l’aide de wikipédia (les sondages montrent que 100% des jeunes sortant de branches liée à la climatologie on utilisé wikipedia (censuré et contrôlé par les adeptes du GIEC))…
Pourquoi perdez vous votre temps avec warm ?
Ah oui, lesquels ? Encore une fois, affirmation gratuite…
Relisez mes interventions… j’ai fait une revue de presse sur les températures antarctiques, et sur la DLR. J’ai donné le lien à des articles originaux, le plus souvent les PDF.
Et de votre coté ???
Faites moi une revue de presse des articles récents qui « enfoncent la thèse du GIEC » !
Warm (#2780),
et ça ???
et encore
faurt aller chez Afflelou mon pauvre ami
C’est quoi le rapport avec la choucroute ?
sauerKraut
les chinois ne jouent pas au hockey
source : Ge, Q.-S., J.Y. Zheng, Z.-X. Hao, X.-M. Shao, W.-C. Wang, and J. Luterbacher. 2010. Temperature variation through 2000 years in China: An uncertainty analysis of reconstruction and regional difference. Geophysical Research Letters, 37, L03703, doi:10.1029/2009GL041281.
cette étude reconstitue les températures sur 5 zones de la Chine dont 3 depuis 2000 ans
on attend les réponses de Mann et consorts
yvesdemars (#2786),
Cherry picking… 5 zones de la Chine ce n’est pas global. La « hockey stick » était une reconstruction multi-proxys…
Tiens, à propos de ça y’a un post intéressant sur Skepticalscience.
Peter Hogarth s’est amusé à analyser un grand nombre de proxys de température décrit dans cette étude. 68 sont disponibles publiquement en ligne. En plus, l’auteur de l’article a tout mis en ligne
Si vous étiez des sceptiques qui se respectent, plutôt que de lire WUWT, vous mettriez le nez dans ce genre de données pour vous faire votre propre avis…
Si on prend juste les proxys qui ont des données de temp (50) et pas les proxys en Z-data. , et qu’on calcule les anomalies (pour avoir des courbes comparables)
Pas de manip « à la Mann », de grillage des données géographiques, d’analyse en composante principale, juste la moyenne des proxys..
On obtient:
C’est ce genre de truc tout bête que les sceptiques ne font jamais… Ils préfèrent chercher la donnée isolée qui conforte leur croyance…
@ warm
Je vous conseille de consulter une étude faite par le climatologue français, Marcel Leroux, prématurément disparu. Source : Académie des Sciences, Paris. Séminaire de travail: Evolution du climat- 5 mars 2007. Si vous ne le trouvez pas, je peux vous le faire parvenir en format PDF.
Warm (#2787),
Et hop à force de fanfaronner et de nous la jouer à la Le Treut notre Warm nous fait dans l’enfumage.
Petit explication de texte: la courbe de Mann n’est pas une reconstruction Multi proxy, mais une reconstruction temporelle discontinue de proxy divers homogénéisés avec un seul et unique proxy (censé dire le vrai) et lisser sur sa « fameuse moyenne déglissante » des 40 dernières années du siècle précédent.
La série de Ljungqvist n’est pas un traitement de séries de proxy bruts (cela ne veut rien dire) mais bien une recomposition à partir de résultat de travaux déja « re-traités ». On ne trouve pas 71 collectes de températures de ces 2 derniers millénaires. On retrouve 71 travaux de reconstructions de températures de ces deux derniers millénaires. Nuance… Et comme vos post précédents, le rapport au réel et la nuance sont des concepts tout aussi étanche à votre esprit que la « couverture magique » aux IR.
Les travaux de MBH (étant donné le caractère non public de leurs données brutes) sont à la base des principales fonction de « reenginering » de data de tous les petits dendro du dimanche…. inutile de nous confirmer que 5 proxy chinois, 12 russes et autant alpins donnant des tendances « non alarmistes », le deviennent une fois appliqués les filtres magiques du Mage Mann. Il n’y a qu’à lire les références de qq « beer-reviewed » de votre historien post pubère.
Et j’espère que vous avez autre chose que des sempiternels doctorants en histoire médiévale pour valider vos pulsions bidulatoriennes.
NB : et non la liste de vos publications précédentes à mon post ne répond une seule seconde à ma question. Toujours aucune trace d’influence de la backwardation et a fortiori aucune trace energétique/calorifique/pipeautronnienne de cet effet remettant en cause l’évolution de notre système.
jipebe29 (#2788),
Vous parlez de ce document là ?:
http://www.skyfall.fr/uploads/.....070305.pdf
Pas du tout convaincu: mauvais travail scientifique. Citations partielles, racourcis douteux, démonstration non soutenue par des observations ou des sources, sources partiales…
Ce qui me chagrine le plus c’est qu’un tel scientifique gobe les élucubrations de Beck sur le CO2… désolant. Même WUWT ne se lance plus dans cette voie du déni, c’est dire ! : « I’m about as skeptical as anyone I know. But I think that the Mauna Loa CO2 measurements are arguably the best dataset in the field of climate science. I wouldn’t waste time fighting to disprove them, there are lots of other datasets that deserve closer scrutiny. »
Les travaux récents de Mann sont totalement ouvert, des données sources au code, tout est disponible ici:
http://www.ncdc.noaa.gov/paleo.....2009b.html
Si vous êtes allergique à Mann, il y a une autre source de données récente ici:
http://www.ncdc.noaa.gov/paleo.....k2010.html
La courbe ci-dessus à été faite sans aucun filtrage. Mais vous avez raison, les données sont pré-traitées, tout comme le sont celle de l’étude chinoise que vous montrez: c’est quoi la différence ? Quel est votre filtre pour dire qu’une série temporelle de reconstruction de T est valable et pas une autre ?
Le seul moyen de faire une étude honnête, c’est de prendre soit un maximum de proxy (Mann en prend presque 1000 dans ses dernières reconstruction), ou alors de prendre au hasard. Sinon c’est partial.
Vous pouvez tourner les données dans tout les sens, dès que l’on prend un nombre significatif de proxys (même des non-dendro), la hockey stick apparait. Les exemples dans la littérature sont très nombreux.
Du reste, étant donné qu’il existe beaucoup de donnés complètement libre à disposition, il est étonnant qu’aucun grand scientifique sceptique (ils sont si nombreux ) ne s’en empare pour publier la vérité sur le sujet: si la « hockey stick » n’apparait qu’après de nombreuses manipulation, il serait facile de le démontrer.
Mais c’est plus simple de dénigrer le travail des autres, hein ?
Si: il fait +15, et pas -18 …
Warm (#2791),
Chapeau: 33°C rien que grace à la couverture magique.. vous venez de battre le dernier record de la Nasa qui se limitait à 41%….
Ah mais oui suis je bête il y a l’eau sous toutes ses formes….. saleté de GES.
Warm (#2790),
Aucune étude ne redonne la courbe de Mann et sa forme alambiquée.
pas même Briffa, Grudd et consorts….. …pas même Mann.
Et l’enjeu n’est pas de définir quel proxy/scientifique est valable, mais si les visées extremistes des gogo-ecolo-scientologues à l’horizon 2100 ont un quelconque fondement scientifique présent et futur…. et la réponse est non.
Et non mon cher Warm en stats comme en science l’augmentation du nombre de séries n’est en aucun cas le garant d’une plus grande acuité (véracité) de l’hypothèse scientifique. Car on parle données « réelles » pas de résultats en laboratoires avec multiplication des tests.
Plus vous avez de séries, plus vous avez d' »histoires locales ». Plus vous avez de « spécificités » plus vous multipliez les bruits.
Eh oui,
Allez, un petit coup de Spencer, :
http://www.drroyspencer.com/20.....se-effect/
Il explique que c’est l’effet de serre qui réchauffe la terre de -18 à +15 et qui « crée » le temps qu’il fait.
« So, let’s imagine an extremely cold Earth and atmosphere, without any water vapor, carbon dioxide, methane or any other greenhouse gases – and with no surface water to evaporate and create atmospheric water vapor, either. Next, imagine the sun starts to warm the surface of the Earth. As the surface temperature rises, it begins to give off more infrared energy to outer space in response.
[…]
Eventually, the surface and lower atmosphere would warm until the rate at which infrared energy is lost by the Earth’s surface to space would equal the rate at which sunlight is absorbed by the surface.
[…]
The global-average temperature at which this occurs would depend a lot on how reflective the Earth’s surface is to sunlight in our thought experiment. ..it could be anywhere from well below 0 deg F [=-18 Celsius] for a partially reflective Earth to about 45 deg. F for a totally black Earth »
Fétrofroid (#2793),
Vous confirmer que vous ne recherchez absolument pas la vérité scientifique, mais vous êtes au service de buts purement politique, à savoir contrer les visées que vous trouvez « extrémistes ».
C’est clair que la discussion n’est pas simple avec des gens comme vous.
C’est bien d’affirmer, mais montrer c’est mieux.
piloteman (#2775),
Mon cher, comment osez-vous, voyons, vous faites de la politique !
C’est rigolo sur cette courbe, l’incertitude augmente au XXième siècle …
Les romains étaient de fameux climatologues …
Warm (#2797),
Oh il suffit de prendre les graphes de Mann 2008
Et bien sur on y retrouve pas une seule fois les données de votre graphe bidon qui dit que le CRU a trouvé une hausse de 1,4°C en 1 siècle. Mais bon deux seules courbes farfelues (CRU et HAD) pour encore plus de courbes plus « soft »‘…..
C’est marrant ces troll qui donnent des réponses comme le bâton pour se faire battre.
Et restons charitable sur les poursuites de ces études avec des données sans lissage décennal et dépassant les années 2000.
Mon cher Warm… vous écrivez bien trop vite et avec trop d’empressement pour ne pas nous faire penser que vous ne lisez pas un dixième de ce que vous listez.
Mais plus prosaïquement, personnellement quand il faut corriger des données brutes de manière à obtenir un résultat en delta final moitié moindre de la valeur initiale, je ne me pose pas la question sur la compétence des scientifiques qui les traitent mais sur la pertinence du thermomètre.
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