Un rapport sur le CO2 déboulonne les Catastrophes du Changement Climatique


Traduction, par PapyJako, de l'article de  Doug L. Hoffman


CO2 Report Debunks Climate Change Catastrophes.

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Depuis des décennies, les alarmistes du changement climatique ont produit une foule de scénarios apocalyptiques, tous fondés sur la théorie du réchauffement climatique anthropique : les émissions de CO2 d’origine humaine vont forcer le climat de la Terre à se réchauffer de manière incontrôlable, ce qui causerait toutes sortes de désagréments. Une nouvelle étude, publiée par le Centre d’études du Dioxyde de Carbone et du Changement Global ("Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change"),  aborde frontalement les plus importants effets prédits du réchauffement climatique. Faisant un ample usage de papiers de recherche revus par les pairs, les sinistres prédictions des alarmistes du climat sont démolies pierre par pierre. En définitive, les auteurs concluent que les concentrations atmosphériques croissantes du CO2 découlant du développement de la Révolution Industrielle ont, en fait, été bonnes pour la planète.

Le rapport de 168 pages, "Le Dioxyde de carbone et l’avenir de la Terre : sur le chemin de la prudence" ("Carbon Dioxide and Earth’s Future: Pursuing the Prudent Path"), écrit par Craig D. Idso et Sherwood B. Idso, aborde l’ahurissant marécage de la désinformation du changement climatique, en utilisant des données scientifiques solides, pour réfuter les prédictions de désastres environnementaux futurs. Comme les auteurs le font remarquer, le méchant de l’histoire est l’industriel, qui a « altéré le cours de la nature » en émettant de grandes quantités de dioxyde de carbone dans l’air, par la combustion du charbon, du gaz et du pétrole. Les questions abordées par le rapport sont formulées dans le résumé :

Dans sa composition actuelle, l’atmosphère de la Terre contient un peu moins de 400 ppm du gaz incolore et sans odeur que nous appelons dioxyde de carbone ou CO2. Cela représente seulement quatre pour-cent de un pour-cent. En conséquence, même si la concentration de l’air en CO2 était triplée, le dioxyde de carbone ne représenterait toujours qu’un petit peu plus d’un dixième de pour-cent de l’air que nous respirons, ce qui est beaucoup moins que ce qui imprégnait l’atmosphère terrestre il y a quelques éons, lorsque la planète n’était qu’un jardin. Néanmoins, on prédit souvent qu’un petit accroissement de cette quantité minuscule de CO2 produira un enchaînement de terribles conséquences environnementales, incluant du réchauffement global, une élévation catastrophique du niveau des mers, et la destruction de beaucoup d’écosystèmes naturels, aussi bien que de spectaculaires augmentations des phénomènes météorologiques extrêmes tels que les sécheresses, les inondations et les cyclones.

Aussi étrange que cela puisse paraître, ces effrayants scénarios d’avenir sont dérivés d’une seule source d’information : les modèles climatiques sur ordinateur, en permanente évolution, qui prétendent réduire la somme des processus physiques, chimiques et biologiques, qui se combinent pour produire l’état du climat terrestre, à un ensemble d’équations mathématiques d’où ils tirent leurs prévisions. Mais savons-nous vraiment ce que sont tous ces processus complexes et leurs interactions ? Et même si nous le savions – ce qui n’est pas le cas – pourrions nous les capturer correctement en un programme informatique gérable nous produisant des prévisions fiables à 50 où 100 ans ?

Craig D. Idso, qui est le fondateur et ex-président du "Centre d’études du Dioxyde de Carbone et du Changement Global" (“Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change", est titulaire d’un Doctorat de Géographie de l’Université d’état de l’Arizona. C'est le frère de Keith E. Idso et le fils de Sherwood B. Idso. En 2009, il a co-signé avec son père le livre "CO2, Réchauffement Global et perspectives d’extinction des espèces pour le futur" ( “CO2, Global Warming and Species Extinctions: Prospects for the Future”).

Sherwood B. Idso assume la Présidence du Centre d’études du Dioxyde de Carbone et du Changement Global depuis le 4 octobre 2001. Auparavant, il était Physicien Chercheur au Département de Recherche en Agriculture de l’agence de protection des eaux à Phoenix en Arizona.

Le Docteur Idso est auteur ou co-auteur de plus de 500 publications, en particulier « Le dioxyde carbone : ami ou ennemi ? » (1982) et « Dioxyde de carbone et Changement Global : La Terre en Transition (1989). Il a fait partie du comité de rédaction de la revue internationale « Agriculture et Météorologie de la Forêt » de 1973 à 1993 et depuis 1993 fait partie du comité de rédaction de « Environnement et Botanique Expérimentale ». Au cours de sa carrière, il a été critique invité de manuscrits pour 56 journaux scientifiques différents et 17 agences de financement différentes, représentant un spectre inhabituellement ouvert de disciplines. En d’autres termes, il fait largement partie du courant principal des scientifiques de l’environnement.

D’après l’analyse détaillée d’Idso & Idso, les observations du monde réel sont en contradiction avec à peu près toutes les prédictions alarmistes faites par les catastrophistes du réchauffement climatique et, en ce qui concerne les modèles climatiques, ceux-ci révèlent beaucoup de lacunes et d’insuffisances. L’observation de la nature démontre que, même si le monde s’est substantiellement réchauffé sur le dernier siècle et un peu plus, aucune des conséquences environnementales désagréables prédites par les alarmistes du climat ne s’est manifestée.


587 réponses à “Un rapport sur le CO2 déboulonne les Catastrophes du Changement Climatique”

  1. Titoune (#447),

    Puytre : « L’essentiel de leur travail a été effectué sur les données, pas sur les modèles. »

    Schmidt : « The second paper is a more standard detection and attribution study »

    Les auteurs : « We use the Hadley Centre global land-based gridded climate extremes data set (HadEX)4, which is based on daily observations from 6,000 stations and covers the period 1951–2003 »

    Puytre prétend qu’il y a une prouesse dans l’utilisation des données et que le travail n’est pas une D-A classique à partir des modèles : Schmidt dit le contraire (c’est un travail standard de DA), les auteurs aussi (la référence 4 est la simple reprise des données d’Alexander 2006, aucune prouesse). Et l’étude vaut que dalle, voici ce que dit Trenberth 2011 sur les modèles AR4 (CMIP3) sur les précipitations, utilisés par Min et al 2011 :

    « all models contain large errors in precipitation simulations, both in terms of mean fields and their annual cycle (such as the spurious migration of the ITCZ into the other hemisphere), as well as their characteristics: the intensity, frequency, and duration of precipitation, plus the amount (e.g. IPCC 2007, Bosilovich et al. 2008, Liepert & Previdi 2009) »

    Puytre ment. Toi aussi. Continuez dans vous rouler dans la merde, le spectacle est plaisant.

  2. AuchD (#449),

    Vous ne comprenez pas que ce qui fait “concenssus” est le savoir accumulé de centaines d’expérience rapporté dans des milliers d’articles. Aucun article pris indivuduellement n’est conclusif, beaucoup d’études sont incomplètes. Mais la somme qui s’accroit continuellement permet de devenir de plus en plus certain sur le fait que les GES réchauffe la planète.

    Des milliers d’articles pour arriver à une généralité émise voici 150 ans. Je n’ai pas besoin d’un doctorat pour comprendre que tes propos n’ont aucun sens. Viens m’expliquer les raisons physiques pour lesquelles le réchauffement de surface ferait 3,2 K ± 0,6 K pour un doublement CO2, on va beaucoup rire.

    (Tu me rappelles Olivier, il vient pondre une généralité autosatisfaite, puis on lui pose des questions précises sur des articles précis et il se débine)

  3. AuchD (#449),

    C’est vrai ça, à quoi ça sert de faire un doctorat, de consacrer sa vie à une discipline scientifique finalement ?

    Un doctorat c’est une formation par la recherche mais pas forcément pour la recherche.
    Les thèses de doctorats ne valant pas tripettes sont légion.

    En sciences de la terre et en particulier en climatologie, on peut raconter ce qu’on veut, ce n’est que rarement vérifiable.
    Le « doctorat et la vie consacrée à la recherche » ne pèsent pas lourd face à la réalité.

  4. Titoune (#440),

    Ce qui n’empèche que quelque soit la quantité d’humidité relative sa durée de vie est limitée. Quand elle atteint la saturation il y a précipitation et assèchement de la masse d’air correspondante.

    Abyssal….
    La seule chose qui compte (pour la théorie de l’effet de serre radiatif) c’est le contenu total de l’atmosphère en vapeur d’eau. Si la température augmente, le contenu atmosphérique moyen en vapeur d’eau augmente (le cycle évaporation/précipitation n’y change rien) « l’effet de serre radiatif » augmente… et la température augmente, et ainsi de suite…

    Le pouvoir de réchauffement global de la vapeur d’eau est nul.

    Hérétique!!!! Va relire l’AR4, en particulier les parties qui parlent du feedback du à la vapeur d’eau…. avant de discuter ici, essaie au moins de maitriser les bases de la théorie que tu essaie pathétiquement de défendre…

  5. joletaxi (#446),

    Ce qui me sidère toujours dans ces modèles, c’est l’absence de changement de phase de l’eau qui évidemment est le premier facteur de transfert d’énergie.

    Je n’ai pas bien compris cela. De l’aveu même du GIEC (voir encore ci-dessus Trenberth), les modèles sont médiocres sur le cycle hydrologique, mais ils l’intègrent et calculent les changements de phase, non ?

  6. AuchD (#449),

    Aucun article pris individuellement n’est conclusif

    Ce qui montre bien qu’on a pas grand chose à se mettre sous la dent. Dans d’autres domaines de science physiques, les articles conclusifs existent… et c’est ceux qui font référence…. le reste c’est de la soupe permettant de justifier l’existence des scientifiques (qui n’existent que s’ils publient…)

    Mais la somme qui s’accroit continuellement permet de devenir de plus en plus certain sur le fait que les GES réchauffe la planète.

    C’est en fait le contraire…. la somme s’accroit continuellement parce qu’il existe un courant mainstream qui est de plus en plus certain (ou qui fait au moins profession de foi… attribution des crédits obligent) de la validité de l’approximation simpliste du modèle de réchauffement purement radiatif.

    Chaque étude apporte un petit peu d’information qui permet de devenir de plus en plus certain.

    La vraie science est une affaire de théories et de preuves expérimentales (ou fournies par l’observation), pas une question d’opinions qui s’affermiraient en s’accumulant.
    Soit les mesures permettent de confirmer sans ambiguïté une théorie…. soit la théorie est juste une hypothèse.
    Ce que vous décrivez est valable pour une science molle, pas pour la physique.

  7. AuchD (#449),

    C’est vrai ça, à quoi ça sert de faire un doctorat, de consacrer sa vie à une discipline scientifique finalement ?

    A gagner sa vie… comme pour les autres métiers….

    En ce qui concerne l’utilité pour la science, elle est souvent beaucoup plus discutable… il y a plein de scientifiques qui publient beaucoup sans apporter grand chose à la science.
    Comme dans tous les corps de métiers, il y a les bons, les moins bons, les médiocres et les boulets….

  8. skept (#454),
    il y a eu un très bon article sur le sujet sur airvent,j’essayerai de le retrouver,notamment sur la dynamique des cyclones.
    Il semblerait que les modèles intégrent globalement les transferts d’énergie par évaporation, sans prendre en compte les changements de phase,l’idée étant que cela ne change rien,affirmation à prendre telle quelle.
    Cela me rappelle un très bon article sur le phénomène Cévenolle,chez Pielke,qui reprend les mécanismes explicités dans l’article cité plus haut, sur la dynamique des cyclones.
    Si vous retenez que toute l’eau qui coule dans les fleuves, qui fait pousser la végétation,qui alimente les glaciers provient de l’évaporation,vous n’avez qu’une idée partielle des transferts d’énergie qui s’opèrent par ce cycle.
    C’est l’idée de la théorie de la hotwaterbottle effect,qui en vaut bien une autre.
    Je vous souhaite une bonne nuit, car je fatigue.

  9. Laurent (#455)

    La vraie science est une affaire de théories et de preuves expérimentales (ou fournies par l’observation), pas une question d’opinions qui s’affermiraient en s’accumulant.

    Ah mais pour la « science » climatologique, les expériences sont maintenant générées par ordinateur. Si, si, véridique, c’est écrit en noir sur blanc sur ClimatePrediction.net, même pas honte les mecs !

    Bah oui, pour quoi faire les veilles méthodes archaïques, la blouse, le microscope, les doigts dans le cambouis,… alors qu’assis dans son fauteuil dans un bureau climatisé, on peut faire des « experiments » en veux-tu en voilà : Thermohaline experiment
    Sulphur cycle experiment
    Mid-holocene experiment
    Geoengineering experiment
    Millennium experiment
    Validation and attribution experiment
    Seasonal Attribution Experiment

  10. Laurent (#453),

    Hérétique!!!! Va relire l’AR4, en particulier les parties qui parlent du feedback du à la vapeur d’eau…. avant de discuter ici, essaie au moins de maitriser les bases de la théorie que tu essaie pathétiquement de défendre…

    Je lui ai déjà cité le sous-chapitre en question, mais il ne veut rien comprendre. Le « potentiel de réchauffement global », concept utilisé pour classer les GES selon leur durée de vie et leur efficacité radiative, est totalement à côté de le plaque dans la présente discussion. Soit Titoune ne comprend pas le discours de ses maîtres, soit il a peur de comprendre (que l’essentiel du réchauffement prédit tient à l’insaisissable destin de la vapeur d’eau dans ce discours… et qu’il n’a aucune sorte de robustesse, pour cette raison parmi d’autres.)

  11. Bonjour,

    the fritz (#428),

    mais la plupart des photons qui quittent la surface , n’arrivent pas en TOA; ils sont absorbés et d’autres de plus basse énergie sont ré-émis

    Il me semble que cette formulation que l’on lit partout soit fausse quand il s’agit de gaz (elle est vraie pour un solide ou un liquide).
    Dans un gaz les interactions entre voisins sont négligeables (l’atmosphère peut être considérée comme un gaz parfait). De ce fait les phénomènes d’absorption de photons sont moléculaires. Une molécule absorbe un photon et se retrouve dans un état excité. En l’occurrence une molécule triatomique (CO2, H2O) est capable d’absorber un photon IR (dans la bande des 15 mcrons pour CO2, ce qui correspond aux photons thermiques émis par la surface de la terre vers 300 K) et se retrouve alors dans un état excité d’énergie E = E0 + hnu (désolé je ne sais pas faire les lettres grecques). L’état excité correspond dans ce cas à un mode vibrationnel. Je néglige les modes rotationnels qui viennent élargir la bande d’absorption.
    Elle a deux moyens pour retourner à son état fondamental : soit elle ré-émet un photon de même longueur d’onde soit elle entre en collision avec une molécule voisine, et perd son énergie en transmettant de l’énergie cinétique (elle augmente donc la température de la voisine, directement liée à son énergie cinétique). En aucun cas elle ne peut ré-émettre un photon de longueur d’onde différente puisque sa fréquence est liée à la différence entre énergie de l’état excité et énergie du fondamental.
    Ce faisant, j’ai négligé les états rotationnels, donc en toute rigueur, le photon ré-émis peut être de fréquence légèrement différente par couplage entre les états vibrationnels et rotationnels.
    Il se trouve que dans la troposphère, la durée de vie d’un état excité du CO2 est supérieure au temps moyen entre collision. Ce qui veut dire que le phénomène de collision domine le phénomène de désexcitation. On parle de thermalisation du photon, puisque son énergie s’est retrouvée sous forme d’augmentation de température du gaz.
    Tout ceci est fort différent du cas du solide, où l’on a un continuum d’absorption du fait des interactions entre atomes dans le solide. Et donc là, effectivement un solide absorbe un photon, qui chauffe légèrement le solide, et qui ré-émet un photon de plus basse énergie.
    Une illustration simpliste : si vous chauffez un solide (un morceau de fer par exemple), il va commencer à émettre des photons de fréquence de plus en plus haute (longueur d’onde courte) au fur et à mesure que sa température augmente. On a même des échelles de couleur en fonction de la température et des appareils (pyromètres) permettant de mesurer la température à partir de la couleur.
    Quelqu’un a-t-il déjà vu un gaz « chauffé au rouge » ? Si on prend un chalumeau, en dehors de la flamme (partie où le gaz est ionisé), le gaz (et si c’est un chalumeau acétylénique, il y a du CO2) est incolore. De fait, le gaz échange son énergie surtout par collisions et très peu par émission.

    Revenons aux gaz. Le photon absorbé augmente l’énergie de la molécule que l’absorbe, qui reperd (principalement) cette énergie en la transmettant sous forme cinétique à ses voisines. Le gaz a donc augmenté légèrement sa température. La population des molécules de CO2 est principalement dans l’état fondamental, sauf quelques unes, dont la proportion est simplement un peuplement de Boltzmann (en exp(-E/kT). En augmentant la température on augmente légèrement la proportion (très faible aux températures considérées) de molécules excitées, donc on augment légèrement le nombre de molécules se désexcitant en émettant un photon (mais toujours à la même longueur d’onde). Ce faisant on refroidit légèrement le gaz. (les désexcitation par choc dominent, mais elle ne modifient pas l’état du gaz).
    Le même phénomène vaut pour H20, mais pas aux mêmes longueurs d’onde.
    Donc localement (dans l’atmosphère) l’absorption de photons IR ne change pas la température du gaz.
    En revanche la ré-émission du photon se faisant de manière isotrope, une moitié revient vers la terre. Mais c’est tout aussi vrai de H20, et le temps de séjour ne change strictement rien à l’affaire. Le seul paramètre important est la concentration.
    Et à ce titre, on ne peut effectivement pas comprendre, sans prendre en compte les phénomènes de convection, de changement de phase (pour l’eau), de gradient adiabatique, etc., comment se fait-il qu’on ne soit pas déjà grillé à cause de l’eau dans l’atmosphère.

    Titoune (#440),
    Il va falloir prendre quelques cours de météorologie de base. Et apprendre la différence entre humidité relative et pression de vapeur saturante de l’eau.

  12. skept @

    The second paper is a more standard detection and attribution study

    Cette réflexion est en rapport avec l’article précedent rien de plus, ton propos est donc totalement hors sujet et inexact.

    Puytre ment. Toi aussi. Continuez dans vous rouler dans la merde, le spectacle est plaisant.

    Pour le reste ton ton vulgaire est révélateur, en fait tu n’es qu’un petit con qui se la pète et qui croit être arrivé.

  13. René (#460)
    Vous écrivez successivement

    le phénomène de collision domine le phénomène de désexcitation. On parle de thermalisation du photon, puisque son énergie s’est retrouvée sous forme d’augmentation de température du gaz
    Soit
    la ré-émission du photon se faisant de manière isotrope, une moitié revient vers la terre.
    Phénomène minoritaire d’après la phrase précédente.
    Donc localement (dans l’atmosphère) l’absorption de photons IR ne change pas la température du gaz.
    Je ne comprends pas comment le phénomène minoritaire se retrouve à égalité avec le phénomène majoritaire.

    Merci d’avance.

  14. Titoune (#461),

    Pour le reste ton ton vulgaire est révélateur, en fait tu n’es qu’un petit con qui se la pète et qui croit être arrivé.

    En matière de « petit con qui se la pète », tu sais de quoi tu parles, pov tâche.

  15. Titoune (#461),

    Pour le reste ton ton vulgaire est révélateur, en fait tu n’es qu’un petit con qui se la pète et qui croit être arrivé.

    Et ta tante, elle est vulgaire ?

    J’ai assez perdu de temps avec une fantôme à pseudos multiples ne souhaitant s’engager dans aucun débat de fond et se retranchant derrière des arguments d’autorité dès qu’il est mis en défaut de compréhension ou d’explication. Surtout que tu continues dans la falsification grossière que tu pratiquais avec tes amis chez Huet.

    Fais comme Kev’, cherche la chaleur manquante, cela t’occupera.

  16. René (#460)

    C’est vrai , ce n’est pas l’évaporation qui est responsable de l’effet de serre (sauf près de la surface). J’ai oublié la loi de Clapeyron qui limite la quantité d’eau en dessous de la pression saturante et qui décroît très vite avec la température (0.1gr/kg vers 300hpa pour une température d’environ -35°).

  17. Marot (#462),

    R : Donc localement (dans l’atmosphère) l’absorption de photons IR ne change pas la température du gaz.
    M : Je ne comprends pas comment le phénomène minoritaire se retrouve à égalité avec le phénomène majoritaire.

    Bis. Pour reformuler la même interrogation chez moi (par rapport à René) : l’absorption du photon conduit à la collision plutôt qu’à la désexcitation. La collision (retour à l’équilibre par énergie cinétique) est majoritaire par rapport à l’émission isotrope (retour à l’équilibre par émission d’un photon). Or, cela semble dire que la T augmente (par collision) plus qu’elle ne diminue (par émission), donc je ne comprends plus pourquoi la T du gaz resterait constante après absorption des photons IR. (Merci aussi par avance de l’explication).

  18. skept (#466),

    « Bis. Pour reformuler la même interrogation chez moi (par rapport à René) : l’absorption du photon conduit à la collision plutôt qu’à la désexcitation. La collision (retour à l’équilibre par énergie cinétique) est majoritaire par rapport à l’émission isotrope (retour à l’équilibre par émission d’un photon). Or, cela semble dire que la T augmente (par collision) plus qu’elle ne diminue (par émission), donc je ne comprends plus pourquoi la T du gaz resterait constante après absorption des photons IR. (Merci aussi par avance de l’explication).  »

    Vous faites fausse route… L’explication de l’effet de serre n’est JAMAIS dans un raisonnement purement radiatif, qui mène à une impasse. L’effet de serre est un phénomène radiatif-convectif qui s’appuie sur le gradient adiabatique, lui même issu des mouvements verticaux de l’atmosphère.

    Vous feriez mieux de mieux lire vos bouquins de référence, plutôt que de vous laisser ballader ! Tout le blabla de René ne dit absolument rien sur l’effet de serre…

  19. AuchD (#467),

    Vous faites fausse route… L’explication de l’effet de serre n’est JAMAIS dans un raisonnement purement radiatif, qui mène à une impasse. L’effet de serre est un phénomène radiatif-convectif qui s’appuie sur le gradient adiabatique, lui même issu des mouvements verticaux de l’atmosphère.
    Vous feriez mieux de mieux lire vos bouquins de référence, plutôt que de vous laisser ballader ! Tout le blabla de René ne dit absolument rien sur l’effet de serre…

    Il me paraît difficile de « faire fausse route », « mener à une impasse » et de ne dire « absolument rien sur l’effet de serre » en discutant paisiblement du mécanisme d’absorption-émission du rayonnement IR par certains gaz traces de l’atmosphère. Vous observerez d’ailleurs que le GIEC commence par cet exposé radiatif pour expliquer l’effet de serre.

    Quant au reste, votre définition devient trop large, et du même coup peu pédagogique. Une fois que l’on a bien compris le transferts d’énergie lié au rayonnement thermique, on peut se demander en quoi cela modifie sur la colonne verticale les flux de chaleur sensible liés à la convection et les flux de chaleur latente liés aux changements de phase de l’eau. Et au final, tous les mouvements de l’atmosphère (pas seulement « verticaux », après tout les advections horizontales dépendent des gradients verticaux de pression, de densité et de T, qui influent les écoulements géostrophiques).

    C’est plutôt intéressant de bien comprendre chaque élément de cette dynamique, et de se demander : « un modèle est donc capable de simuler cela aujourd’hui et sur 100 ans? » Par exemple, rien pour la dimension radiative CO2 dont on parle pour le moment, l’AR3 GIEC a fait évoluer le forçage (ou effet de serre additionnel) d’un doublement CO2 de 4,37 à 3,5 W/m2. Pourquoi cette subite baisse de 15%? Parce que le calcul même de l’effet de serre par les modèles de transfert radiatif ligne à ligne est déjà quelque chose de complexe et d’approché. Nous verrons d’ailleurs si ce chiffre reste constant avec les corrections HITRAN2008.

    Plus on détaille et assimile ainsi les mécanismes physiques à l’oeuvre dans le climat, mieux on interprète la principale observation sur la modélisation: une redoutable stagnation depuis environ 40 ans dès qu’il s’agit de contraindre un peu plus précisément les évolutions dynamiques de ces transferts radiatifs-convectifs et de la circulation A-O.

  20. L’explication de l’effet de serre n’est JAMAIS dans un raisonnement purement radiatif, qui mène à une impasse.

    Ce n’est pas, et alors ?

    phénomène radiatif-convectif qui s’appuie sur le gradient adiabatique

    Vide total.

    lui même issu des mouvements verticaux de l’atmosphère.

    Toujours creux !

    Tout le blabla de René ne dit absolument rien sur l’effet de serre…

    Ad hominem encore.

    Bref, contribution nulle.

  21. skept (#418),
    Votre analogie avec l’épidémiologie me paraît nouvelle et très intéressante. Et comme en matière climatique, c’est un domaine où on peut dire et faire de grosses bétises.

  22. Myke (#470),
    Merci. Le raisonnement par analogie ne vaut pas pour le contenu des modèles (climatiques, épidémiologiques, économiques, ce que l’on veut), qui renvoie à des sciences différentes, mais pour leur acceptabilité sociale et politique. Il me semble que jamais on accepterait le discours climatique en d’autres domaines si ces domaines présentaient un niveau équivalent d’incertitude et s’ils avaient autant de conséquences potentielles sur la vie quotidienne des gens.

    Je pense que « cela passe » parce que le discours climatique ne produit finalement… rien, comme le montre involontairement le texte Juppé ou comme le détaille ce remarquable texte de Ted Nordhaus et Michael Shellenberger (reproduit chez Curry). A partir de la fin des années 1990, dans le domaine de l’opinion publique, le climat est devenu quelque chose de scénarisé, du storytelling hollywoodien, à la Gore ou à la Greenpeace avec de jolies et terrifiantes animations, une affaire de comm’, de buzz et de biz’comme bien d’autres. (Même la crosse de hockey était une forme d’hollywoodisation de la communication GIEC.) Les gens aiment bien les films catastrophes, cela ne coûte rien de se faire peur. Mais dès qu’on en vient aux conséquences concrètes, cela foire (à Copenhague comme ailleurs). Et si cela réussit un peu, c’est pour des raisons purement économiques et énergétiques : on ne veut pas être trop dépendant du fossile (et on a bien raison à mon avis !).

    Il y a eu une série de distorsions en cascades : entre le comportement du climat réel et les modèles ; entre ce que les modèles disent et ce qu’en dit le résumé GIEC ; entre les résumés GIEC et le discours des lobbies (ou des médias vendeurs de pub donc de catastrophe), etc. Une sorte de grande fête virtuelle de la terreur climatique, une course en avant à qui sortira le scoop prédictif le plus noir, la petite phrase la plus angoissante. Puis la fête est finie, la gueule de bois commence, on en revient au début : mais au fait, comment tout cela a-t-il commencé ? Que fait vraiment le climat et que produisent vraiment les modèles ? Qui sont finalement les « milliers de chercheurs » produisant un discours ? Etc. Les gardiens du temple essaient évidemment d’interdire ces questions – on observe ici ou ailleurs leurs stratégies très classiques (attaques ad hominem, arguments d’autorité, répétition ad nauseam, diversion sur les sujets qui fâchent, falsifications, etc.)

    Malgré tout l’agacement que cela procure, il faut garder l’esprit lucide et ouvert, revenir aux faits et aux hypothèses. On verra bien comment évoluent les sciences climatiques… et avant elles le climat !

  23. Ce qui m’amuse aussi avec Auchd, Titoune et la compagnie schizo-carbonique déjà rencontrée chez Huet, c’est l’accusation sous-jacente de ne pas lire la littérature climatique… alors que l’on démontre à longueur de textes que c’est au contraire sa lecture qui nous inspire la plus grande méfiance. J’en donne encore un exemple parmi bien d’autres : cette évaluation des simulations multimodèles par Knutti et al J Clim 2010. On est là dans le pur mainstream, ce n’est pas de la copie de blog sceptique. Lisez l’abstract (et le papier qui se trouve en libre accès) : il n’y a pas un seul point positif. On ne sait toujours pas comment classer les modèles individuels en « bons » ou « mauvais » (après 30 ans !), on admet que la simulation multimodèles a des défauts (alors que l’AR4 en use massivement en disant qu’elle est plus fiable), on reconnaît (dans la conclusion que je ne peux pas copier-coller intégralement car le pdf est protégé) que les modèles partagent des biais et ne sont pas réellement indépendants, et, je cite quand même texto, que les « quantitative methods to combine models and to estimate uncertainty are still in their infancy ».

    Or, ce sont les mêmes qui, reconnaissant tous ces problèmes côté cour (tambouille de la littérature primaire), se mettent à pondre des conclusions consensuelles « very likely » côté jardin (résumé GIEC). Ce double discours confine à la schizophrénie et montre que les chercheurs, sortis de leur labo, n’ont aucune maîtrise de la communication des incertitudes aux décideurs et à l’opinion. Curry l’analyse très bien, toute reconnaissance d’une incertitude risque de nourrir le doute, tout doute risque de faire faillir la mission (politique) d’une estimation d’un changement dangereux, alors on opte pour la langue de bois. Et comme il est difficile de se dédire d’un AR l’autre tout en restant crédible, on évacue les erreurs les plus gênantes (crosse de hockey) au fin fond du rapport. Manque de pot, tout cela est de plus en plus transparent.

  24. skept (#468),

    « Il me paraît difficile de “faire fausse route”, “mener à une impasse” et de ne dire “absolument rien sur l’effet de serre” en discutant paisiblement du mécanisme d’absorption-émission du rayonnement IR par certains gaz traces de l’atmosphère. Vous observerez d’ailleurs que le GIEC commence par cet exposé radiatif pour expliquer l’effet de serre. »

    Bien entendu que c’est important, mais si il n’y avait que cet aspect, vous n’auriez pas l’effet de serre tel qui existe sur terre !

    « Quant au reste, votre définition devient trop large, et du même coup peu pédagogique. Une fois que l’on a bien compris le transferts d’énergie lié au rayonnement thermique, on peut se demander en quoi cela modifie sur la colonne verticale les flux de chaleur sensible liés à la convection et les flux de chaleur latente liés aux changements de phase de l’eau. Et au final, tous les mouvements de l’atmosphère (pas seulement “verticaux”, après tout les advections horizontales dépendent des gradients verticaux de pression, de densité et de T, qui influent les écoulements géostrophiques). »

    Absolument pas, c’est bien plus basique que ça… tout l’effet de serre est résumé dans cette figure, que Lindzen reprend du reste dans son papier « Taking greenhouse effect seriously »:

    L’effet de serre, c’est simplement « l’épaississement » de la zone opaque au rayonnement IR, qui fait que la zone qui rayonne l’énergie terreste vers l’espace est décalée vers le haut. Le gradient adiabatique fait que cette zone est plus froide, donc permet à la terre de rayonner moins d’énergie et de déséquilibrer son bilan. Le bilan se rétabli en réchauffant tout le système.

    Bien entendu, l’opacité au IR est à l’origine du phénomène, mais sans la baisse de température avec l’altitude, on aurait pas d’effet de serre tel que celui qu’on observe.

    Ensuite, le raisonnement sur l’absorption / émission complique inutilement le problème. Bien sûr qu’il est au coeur de l’effet, mais il faut plutôt utiliser la loi de Beer-Lambert qui permet de résoudre avec un modèle simple l’effet d’une couche absorbante aux IR sur le flux sortant. Là où le bat blesse, c’est que cette loi est totalement non-linéaire (décroissance exponentielle) et que le cerveau humain à du mal à conceptualiser des effets non linéaires. Science of doom a récemment réaliser tout une suite de billet sur un modèle simple qui permet d’apréhender l’effet de serre:

    http://scienceofdoom.com/2010/…..-part-one/

    http://scienceofdoom.com/2011/…..-part-two/

    http://scienceofdoom.com/2011/…..art-three/

    http://scienceofdoom.com/2011/…..part-four/

    J’attire tout particulièrement votre attention sur cette partie 4. Là, il est question de simuler l’effet de la décroissance de la température avec l’altitude, les résultats sont les suivants:

    http://scienceofdoom.files.wor…..s-flux.png

    Si la température était constante (atmosphère isotherme), il n’y aurait pas d’effet de serre. Plus le gradient est important, plus l’effet de serre est fort, comme montré dans la figure en bas à droite… C’est pourquoi raisonner sur la simple aborption/émission pour une couche d’atmosphère mêne à une impasse, parce que vous vous mettez dans le cas de l’atmophère isotherme, et bien sûr vous ne pouvez que conclure que l’effet de serre n’existe pas… Science of doom le dit mieux que moi:

    « The radiatively-active gases absorb and also emit. If the emission is from a location in the atmosphere which is at the same temperature as the source of the original radiation then, in simple terms, “the amount taken out (absorbed)” = “the amount put back in (emitted)”.

    The lapse rate increases in each of the following 3 graphs in figure 4, meaning that the atmosphere gets colder at any given height. Therefore, the emitted radiation from a given height will be from a colder gas and therefore will be of a lower intensity. »

  25. René (#461),
    Elle a deux moyens pour retourner à son état fondamental : soit elle ré-émet un photon de même longueur d’onde soit elle entre en collision avec une molécule voisine
    ————————————————
    Comment alors expliquer la fen^tre dans le spectre d’émission de la terre qui correspond aux longueurs d’ondes d’absorption du CO2, par exemple?

    Sachant que face à un photon d’une certaine énergie, un atome peut :

    L’absorber en effectuant une transition vers une couche supérieure : un nouveau photon de même énergie (ou plusieurs plus faibles) sera ensuite recréé, mais il ne partira pas forcément dans sa direction initiale
    L’absorber en étant ionisé
    Changer sa fréquence et le dévier par effet Compton
    Ne pas interagir avec lui si son énergie ne permet aucune des actions précédentes

  26. Auchd #473

    Merci de citer LIndzen … en oubliant de citer la suite qui dérange.
    Comme d’habitude.

    Lindzen (source) poursuit :

    « How warming at the τ=1 level relates to warming at the surface is not altogether clear. »

    Dans quelle mesure le rechauffement au niveau (d’émission vers le cosmos) tau=1 est relié au réchauffement de la surface, n’est pas complètement clair  »

    It is at this point that models prove helpful. Figure 4 shows how temperature changes when CO2 is doubled in 4 rather different General Circulation Models (Lee et al, 2007). The runs shown
    differ from those that were run for the IPCC in that the models were simplified to isolate the effects of CO2 forcing and climate feedbacks.

    « C’est à ce point-là que les modèles se révèlent utiles. La FIgure 4 montre comment la température change quand le CO2 est doublé etc… »

    Et Lindzen d’expliquer plus bas le coup du hotspot… qu’on ne trouve pas.
    Il y a comme un problème !

    Bon, Auch, Chaud, WArm ou qui que ce soit qui passe sa vie sur les forums (sans aucun résultat) , ça fait dix fois qu’on a ce genre de conversation sur skyfall.

    Rien de nouveau dans ces « visions » qui sont démenties par les observations. Entre autres, par celle-ci de Ole Humlum, climatologue norvégien qui a produit ce diagramme :

    Voici son CV :
    http://www.unis.no/35_staff/st…..rsonal.htm

    Je me demande combien d’années il faudra encore aux gens comme vous pour comprendre que l’atmosphère ne se réchauffe pas autant (loin de là) que prévu par vos modèles d’effet de serre.

    Et que ça pose un gros problème. Un énorme problème pour votre physique « hand waving ».

  27. AuchD (#473),

    vous ne pouvez que conclure que l’effet de serre n’existe pas

    Euh… je ne conclus rien de tel et on examine seulement le mécanisme radiatif de base. Il contribue à clarifier un des points que vous signalez, à quel T la couche émet un photon de quelle longueur d’onde ?

    Sur le reste, il est notoire que les effets de la vapeur d’eau et du gradient thermique adiabatique sont couplés (c’est expliqué dans ce lien AR4 que je vous avais donné). C’est une des complications qui mêle cette fois la thermodynamique (chaleur sensible et chaleur latente) et la radiation. L’essentiel n’est pas sous la couche limite, mais dans la troposphère libre (et au niveau des Tropiques).

    The humidity distribution within the tropical free troposphere is determined by many factors, including the detrainment of vapour and condensed water from convective systems and the large-scale atmospheric circulation. The relatively dry regions of large-scale descent play a major role in tropical LW cooling, and changes in their area or humidity could potentially have a significant impact on water vapour feedback strength (Pierrehumbert, 1999; Lindzen et al., 2001; Peters and Bretherton, 2005). Given the complexity of processes controlling tropical humidity, however, simple convincing physical arguments about changes under global-scale warming are difficult to sustain, and a combination of modelling and observational studies are needed to assess the reliability of model water vapour feedback

    (Ce qui est dit par le GIEC dans le cadre des rétroactions VE et gradient thermique concerne exactement la même chose que les mécanismes de base de l’effet de serre dont on parle.)

    Plus le gradient est important, plus l’effet de serre est fort

    Pour cet aspect-là, la question est justement de savoir si le gradient (tropicale) augmente ou diminue en situation de réchauffement. Mais à nouveau, ce sont deux discussions relativement autonomes sur les mécanismes impliqués, pour l’instant j’aimerais clarifier avec René l’histoire des transferts radiatifs.

  28. the fritz (#475), Marot (#469), René (#460),
    Un point que je ne comprends pas bien, c’est le rapport entre la loi de Kirchhoff (l’émission et absorption se font à la même longueur d’onde) et la fonction de Planck (l’émission se fait en fonction de la T). Un photon part de la surface et est absorbé 8 km plus haut, après désexcitation, la molécule renvoie à quelle longueur d’onde (celle que l’on attend pour la T de sa couche selon Planck ou celle identique au photon reçu selon Kirchhoff)? Bon, cela ne fait peut-être pas une différence énorme non plus sur 220-320K, on reste à 4-15 micromètres où absorbent H2O et CO2, mais c’est juste le déatil que je saisis mal.

  29. Un point que je ne comprends pas bien, c’est le rapport entre la loi de Kirchhoff (l’émission et absorption se font à la même longueur d’onde) et la fonction de Planck (l’émission se fait en fonction de la T). Un photon part de la surface et est absorbé 8 km plus haut, après désexcitation, la molécule renvoie à quelle longueur d’onde (celle que l’on attend pour la T de sa couche selon Planck ou celle identique au photon reçu selon Kirchhoff)? Bon, cela ne fait peut-être pas une différence énorme non plus sur 220-320K, on reste à 4-15 micromètres où absorbent H2O et CO2, mais c’est juste le déatil que je saisis mal.

    Vous persistez à vous compliquer la vie, Skept. Celà démontre que vous ne cherchez pas à comprendre, mais simplement à semer le doute, dans le plus pur style « sceptique ».

    Tout simplement, la température de la couche à 8km n’est pas influencée uniquement par les radation qu’elle reçoit, mais aussi (et principalement) par la convection et la courbe adabatique de décroissance de la température… Sans prendre en compte celà, vous vous mettez dans la situation isotherme et vous ne trouvez aucun effet de serre.

    Vous prétendiez avoir lu des livres de base sur la physique de l’atmosphère, j’ai du mal à le croire. Lisez SienceOfDoom, ça vous fera le plus grand bien…

  30. skept (#476)

    Un point que je ne comprends pas bien, c’est le rapport entre la loi de Kirchhoff (l’émission et absorption se font à la même longueur d’onde) et la fonction de Planck (l’émission se fait en fonction de la T).

    Mouarrfff… Ce n’est pourtant pas compliqué.

    Un photon part de la surface et est absorbé 8 km plus haut,

    Hautement improbable (cf la remarque de AuchD).

    Et laisse tomber les citiques sur la modélisation tu n’y piges que dalle.

  31. Elle est bien bonne,

    Il y en a un (Titoune) qui recommande de relire les bonnes sources comme Manicore (Janco), le gars qui calcule les « empreintes carbone  » (à grands frais, avec l’appui de l’ADEME) ) et dont le dernier diplôme connu est un diplôme de télécommunications…

    Et un autre, « Scienceof doom « , alias « la physique, revue et corrigée par les climatologues »…

    Et pourquoi pas SkepticalSCience du réputé John Cook tant qu’on y est.

    Sinon, les rapports du GIEC en disent très long sur la capacité de ces gens à torturer les fondamentaux de la science en ignorant toutes les observations contraires.

    ça ne devrait plus durer très longtemps.

  32. AuchD (#478), Pur trollisme d’une rare et orwellienne débilité (poser des questions = ne pas chercher à comprendre). Et votre manière de raisonner (à quoi bon « se compliquer la vie ») indique que non seulement vous n’êtes pas plus scientifique que moi, mais que vous avez surtout de sacrées oeillères. Vous répétez depuis cinq messages la même chose : personne n’a parlé d’un effet de serre en atmosphère isotherme, il se trouve que l’on s’intéresse à autre chose. Si je vous parle des gyres océaniques, je ne vous parle pas de la thermohaline, bien qu’il y ait un lien entre les deux. Ben là c’est pareil, on ne s’intéresse pas à des généralités sur l’ES mais à des points précis sur le rayonnement : soit vous avez des réponses, soit vous laissez les gens en débattre. Vous êtes un fort mauvais chien de garde de votre cause.

  33. Il est intéressant de constater que le gardien auto-proclamé du temple abandonne le tout radiatif qui fut la rengaine des 15 dernières années. Pauvre Trenberth, pauvre misère.

    Ce pourrait être un retour à une physique plus saine, malheureusement il n’a appris que l’argumentaire, pas le contenu.

    Pour le moment il produit de la bouillie écœurante :

    la température de la couche à 8km est influencée par la courbe adabatique. !
    Une température influencée par une courbe , collector qu’il dit.

    Son cerveau défaille, rappelez-vous qu’il nous abreuvait de droites de tendances, alors il généralise :
    le cerveau humain à du mal à conceptualiser des effets non linéaires je n’en vois qu’un qui a du mal.

    Il appelle R. Lindzen à la rescousse, celui qu’il traitait de désinformateur, gâteux, manipulateur, menteur, lamentable :
    la zone qui rayonne l’énergie terrestre vers l’espace est décalée vers le haut.

    Il applique une nouvelle consigne mais est incapable de maîtriser le contenu, AUCUNE explication n’est donnée. C’est : allez lire là, lisez ça.

    Vous feriez mieux de mieux lire vos bouquins de référence lesquels ? mystère.
    Lisez SienceOfDoom, ça vous fera le plus grand bien…

    Scienceofdoom a remplacé le nullissime Cook de skeptikalscience.

    Qu’il lise, qu’il comprenne lui-même, on en reparlera plus tard.

  34. Titoune (#478),
    La figure ci dessus a un lointain rapport avec la modélisation…
    c’est relativement simple et c’est pour cela que les gens »croient » à l’effet de serre…
    ça traduit simplement que si il y plus de co2 dans l’atmosphère, la chaleur venant du sol au départ est absorbée plus près du sol, en conséquence de quoi…la haute atmosphère se refroidit, et conforme ment à la loi d’émission émet moins de chaleur..qui reste donc dans le système….qui se rechauffe ..
    Avec des raisonnement comme ça on arrive en gros au degré si on double le CO2…(et il y a du grain à moudre là dessus)
    dans la tête des gens il y l’idée « mais si il fait plus chaud..plus de flotte s’evapore..encore plus d’effet de serre.« .
    .La conviction des gens se fait la dessus …pas sur les modèles…

    Mais combien? et ne peut on pas imaginer une rétroaction négative par exemple par un plus grand ennuagement?

    Les modèles sont incontournables pour quantifier….compte tenu de l’importance de leurs évaluations surtout en ce qui concerne le rôle de l’eau , il est naturel d’être intraitable à ce sujet….
    On notera que le mauvais traitement avoué des nuages pose problème…

    Une remarque..on n’a pas à avoir à comprendre quoique ce soit à la modélisation ou à la physique pour tester les modèles..il suffit de comparer leur résultats et la physique..
    En ce qui me concerne et en m’arrêtant au simple résumé pour les décideurs ai je droit de lire cela puisque je ne suis pas décideur….( mais qui est un décideur? c’est expliqué au fait?)…pourquoi on agrège les résultats des modèles pour les comparer aux courbes de températures de surface? Pourquoi on les compare avec les températures de surface?
    Il y a sans doute des arguments pour les comparer aux températures de surface.par exemple le fait que les températures de surfaces évoluent en gros comme les températures données par les satellites…mais je ne comprends pas du tout l’agrégation des résultats des modèles masquant d’éventuelles faillites individuelles ( tel modèle bon pour l’arctique est erroné ailleurs mais tel autre erroné en arctique est bon ailleurs…

  35. René (#460),
    Il est bien difficile de lier le microscopique au macroscopique…
    et aussi de traiter un phénomène dynamique ( ou le voir d’une façon dynamique ) s’appuyant à moitié sur un hypothèse de thermalisation ce qui semble contradictoire..
    cette voie est une impasse car trop complexe….il est amusant que vous utilisiez une expression de la loi de boltzman avec une temperature tout en suggérant que ..;ce n’est pas tout à fait ça mais…
    mais toute la physique est la dedans….

    .

  36. Marot (#469)

    Ad hominem encore.

    Bref, contribution nulle.

    Que dire de ton commentaire (#480) ? Toi pratiquer l’ad hominem ? Non jamais, tu n’oserais pas…..

    lemière Jacques (#481)

    Une remarque..on n’a pas à avoir à comprendre quoique ce soit à la modélisation ou à la physique pour tester les modèles..il suffit de comparer leur résultats et la physique..

    Est ce quer tu te ferais opérer à coeur ouvert par un médecin généraliste ? Crois tu qu’un généraliste (à fortiori un quidam lambda) est à même de juger si une opération est réalisée dans les règles de l’art ? La modélisation est une affaire extraordinairement complexe. déja il faut commencer par comprendre pourquoi les modèles sont faits.

    Une explication ici (pour faire plaisir à Marot).

    http://www.skepticalscience.com/climate-models.htm

  37. Titoune (#485),

    Est ce quer tu te ferais opérer à coeur ouvert par un médecin généraliste ? Crois tu qu’un généraliste (à fortiori un quidam lambda) est à même de juger si une opération est réalisée dans les règles de l’art ? La modélisation est une affaire extraordinairement complexe. déja il faut commencer par comprendre pourquoi les modèles sont faits.

    Faut-il croire le GIEC ? Faut-il croire Trenberth 2011 quand il admet que les modèles sont nuls sur les précipitations ? Faut-il croire Knutti et al 2010 quand ils soulignent les problèmes des simulations intermodèles, l’impossibilité de classer les modèles et de quantifier correctement l’incertitude ? Faut-il coire l’IAC dans ses recommandations au GIEC ?

    C’est cela qui colle pas Titoune : on te met le pif sur les papiers de modélisateurs (ou du GIEC ou des évaluateurs du GIEC) qui reconnaissent noir sur blanc les problèmes, tu continues à nier et à faire comme si le message venait d’un simple quidam, et non pas du papier que ce quidam cite et met en lien. Ou alors tu falsifies purement et simplement ces contenus. Je te l’ai dit plus haut skept (#472), et tu continues exactement le même procédé. Tu t’en fous, tes propos sont contredit par les modélisateurs eux-mêmes mais tu continues à défendre des positions indéfendables.

    Ton argument vis-à-vis des chercheurs, c’est l’argument féodal des ouailles qui ne comprennent pas le latin d’église et qui doivent obéissance au curé sans moufter. Que tu ne t’en rendes pas compte est juste pathétique.

  38. Il est intéressant de constater que le gardien auto-proclamé du temple abandonne le tout radiatif qui fut la rengaine des 15 dernières années. Pauvre Trenberth, pauvre misère. »

    N’importe quoi. Le modèle radiatif-convectif de l’atmosphère date de Manabe en 1967…

    Pour le moment il produit de la bouillie écœurante :

    la température de la couche à 8km est influencée par la courbe adabatique. !
    Une température influencée par une courbe , collector qu’il dit.

    Votre attitude est déplorable, vous déformez mes propos, j’ai dit: « la température de la couche à 8km n’est pas influencée uniquement par les radation qu’elle reçoit, mais aussi (et principalement) par la convection et la courbe adabatique de décroissance de la température »

    Vous n’avez aucun argument et vous contentez de pinailler sur la forme, forcément quand le fond est vide…

    Il applique une nouvelle consigne mais est incapable de maîtriser le contenu, AUCUNE explication n’est donnée. C’est : allez lire là, lisez ça.

    Et vous, votre explication ?

  39. Titoune (#483)
    Réponse nulle comme d’habitude.

    L’histoire du chirurgien est cul par dessus tête.
    lemiere jacques (#481) a bien raison de dire qu’on n’a besoin de rien pour constater les résultats.

    Un grain de bon sens suffit pour savoir si le patient est mort ou vivant, ou si la prédiction du modèle est bonne ou mauvaise.

    Quant au Cook de service, lisez son exemple
    éclairant
    et pertinent
    et convaincant
    et tout et tout.

    Il est tout fiérot de sa prose :

    For example, a climate model can tell you it will be cold in winter…

    Par exemple, un modèle climatique peut vous dire qu’il fera froid en hiver…
    C’est pour cela que je le dis grotesque (Qui prête à rire par son côté invraisemblable, excentrique ou extravagant, Synonymes : bouffon, burlesque, caricatural, cocasse, risible. TLF)

    ……………………………………………………………………………………

    Le retour aux légos s’impose.

  40. Et vous, votre explication ?

    Vous êtes si bête que vous croyez que je vais me fendre d’un papier pour vous ?

    Je vous parle des 15 dernières années et en bon tr.ll il ressort un bidule de 1967.

    Toujours les même tactiques !

  41. Marot (#488), Je pense que ce site mérite son nom, il nous incite à douter.

    En allant sur la page suivante du lien donné par Titoune, on voit que le modèle Hansen (figure 2) est dans les choux, il surestime déjà les T de 0,4 K en 2010 (équivalent à 2005 dernière année de la courbe en question pour Gistemp ; vu que les émissions sont conformes au scénario A, les T auraient dû suivre la courbe verte qui part en flèche, pas de pot elle sont conformes à la courbe mauve du scénario C selon le modèle, la plus plate). Donc super, prolongeons nos erreurs décennales sur 90 ans et nous aurons une excellente idée du climat 2100.

    Mais bien sûr, on sort les fantômes du placard, c’est le soleil faible (bizarre, le soleil n’avait aucune influence discernable depuis 50 ans), c’est la variabilité naturelle (étrange, elle était supposée s’annuler par des phases de hausse et baisse tous les trois-quatre ans)… bref les GES dirigent very likely les T, mais en fait non, pas tout à fait, presque very likely. Quelle pitié.

    Et ils demandent : How reliable are climate models? laugh

  42. Marot (#486),

    For example, a climate model can tell you it will be cold in winter…

    Oui, ce genre de fulgurance, Jouzel & co nous la sortent aussi dès qu’ils en ont l’occasion. Ce qu’ils ne disent pas, c’est qu’une simple équation de durée d’ensoleillement montre tout aussi bien, voire mieux que les modèles qu’il fait froid en hiver et chaud en été. Ou qu’une simple équation se basant sur la PDO & l’AMO arrive à simuler bien mieux les variations de températures sur 1 siècle que les modèles climatiques qui-ne-peuvent-pas -simuler-le-réchauffement-sans-le-CO2. Et le tout, pour bien moins cher.

    Toujours pareil, quand les réchauffistes nous racontent une belle histoire, on est sûr que c’est un mensonge soit commission, soit par omission.
    Normal, ils puisent tous dans le même pot commun à conneries de leur pseudo-science. Leur argumentation consiste à réciter comme des perroquets ce qu’il y a dans le manuel internet « how to deal with climate deniers » et dès qu’on leur demande de développer leurs arguments, ils passent aussitôt à l’ineptie suivante, ni vu ni connu que je t’embrouille.
    On en a une illustration permanente, par ex. avec le troll multi-pseudo Titoune et son « 100% d’humidité c’est 100% » ou sa « durée de vie atmosphérique » dont il est incapable de donner la définition.
    Ils sont persuadés que la seule la comm compte, qu’il suffit d’occuper le terrain à tout prix en balançant un max d’âneries pour convertir les indécis. Pas étonnant qu’ils foirent lamentablement et que la religion réchauffiste parte en sucette, malgré tout l’appareil de propagande médiatico-politique dont ils disposent. Tout ce qu’il touche Midas le transforme en or et les réchauffistes le transforment en bouse.

  43. skept (#487)

    on te met le pif sur les papiers de modélisateurs (ou du GIEC ou des évaluateurs du GIEC) qui reconnaissent noir sur blanc les problèmes, tu continues à nier et à faire comme si le message venait d’un simple quidam, et non pas du papier que ce quidam cite et met en lien. Ou alors tu falsifies purement et simplement ces contenus.

    Tu oublies juste une chose, tes compétences en la matière sont nulles donc ce que tu dis n’a aucune importance c’est direct « classement vertical » pour être poli. Ce n’est que ton avis et dans ce cas ton avis ne vaut rien.

  44. Titoune (#493)
    Deuxième sortie de route

    Soutenir que parce que c’est skept qui cite des papiers, il met à la poubelle est une preuve de mauvaise foi qui me fait demander son exclusion.

  45. miniTAX (#458),

    mais pour la “science” climatologique, les expériences sont maintenant générées par ordinateur

    Je vous trop bien dur miniTax, car des expériences scientifiques des plus sérieuses sont menées par le Met Office :

    Les Anglais font des bulles de savon pour aider les climatologues

    Par ats – Mis en ligne le 02.03.2011 à 13:33

    L’office météorologique britannique demande aux Anglais de faire des bulles de savon, parmi d’autres expériences, pour l’aider à mesurer le changement climatique. Le scientifique en herbe rapportera ses observations et pourra envoyer ses photos sur un site dédié.
    L’étude, fort sérieuse, appelle les Anglais à suivre les bulles de savon pour détecter la direction et la force du vent, mais aussi à observer les traînées d’avions – qui ont un impact réchauffant sur le climat – et à rapporter leurs sensations de froid ou de chaleur.
    Loin d’être anecdotiques, ces observations vont servir à confirmer ou non les calculs des ordinateurs du Met Office, qui tentent de caractériser les phénomènes à l’origine du changement climatique.
    Traînées d’avions

    « Tous ces aspects sont très difficiles à mesurer et à analyser avec nos instruments standard, et ces nouvelles données vont nous en apprendre un peu plus », a expliqué Mark McCarthy, climatologue au « Met Office ». « Par exemple, pour les traînées des avions, nous voulons savoir si les modèles climatiques sont capables de prévoir leur formation ».
    L’impact des traînées formées par les avions est mal cerné par les modèles informatiques. Le carburant brûlé par les avions forme de la vapeur d’eau, qui se condense sous l’effet du froid. Ces nuages empêchent les radiations du soleil qui chauffent la terre de repartir dans la haute atmosphère, ajoutant à l’effet de serre qui réchauffe la planète.
    Les traînées se forment à haute altitude (10’000 km) lorsque la température est inférieure à 40 degrés, particulièrement lorsque l’atmosphère est humide.

    Perception du chaud

    L’étude demande aussi aux apprentis climatologues de noter s’ils ont chaud ou froid pour mieux comprendre comment le changement climatique nous affecte.

    La perception de la température est en effet hautement subjective: un Finlandais résistera mieux qu’un Espagnol à un temps glacial, et inversement la canicule de 2003 a été ressentie plus cruellement en France, moins préparée que les pays du sud aux fortes chaleurs.

    Ce que vous ne comprenez miniTax, ce que nous somme entrés dans l’ère de la science post-moderne. Ce qui compte, ce ne sont pas les mesures, mais le ressenti! 😉

    Un autre article sur le sujet:
    http://motls.blogspot.com/2011…..fying.html

  46. Marot (#494), C’est surtout une preuve de sa connerie et de sa volonté de nuire : il n’est pas là pour débattre et il le dit. Je ne pensais tout de même pas que l’on en était à ce point, une malhonnêteté intellectuelle qui n’a plus honte de s’exposer dans sa médiocrité crasse. Pour le GIEC, c’est l’ambulance, mais pour sa militance à front de taureau, on est au bord du corbillard, l’encéphalo ne tressaute plus guère.

    AuchD (#488),

    Vous n’avez aucun argument et vous contentez de pinailler sur la forme

    Et son siamois qui a découvert Manabe 67 dans le kit du parfait petit climatologue, et ne l’a pas lu comme il se doit. Sinon il saurait que Manabe et Strickler 64 avaient déjà des flux convectifs ajustés, et que Manabe et Wetherald 67 travaillent surtout sur le réalisme de l’humidité relative et absolue, comme ils l’expliquent très bien. (Les flux convectifs sont toujours ajustés comme en 1964 mais le ratio de mélange de vapeur d’eau est calculé, ce qui est la principale originalité du papier. En gros c’est de l’adiabatique humide plutôt que sec. Mais le kit du parfait petit climatologue n’a pas dû donner ces précisions).

  47. Bonsoir Skept

    j’ai lu rapidement ce qui s’est passé.Je constate que c’est déjà beaucoup moins clair, et qu’il faut bien réfléchir avant de répondre à la proposition de Spencer.

  48. Marot (#494)

    Soutenir que parce que c’est skept qui cite des papiers, il met à la poubelle est une preuve de mauvaise foi qui me fait demander son exclusion.

    En fait de mauvaise foi et d’interprétation douteuse tu te poses là..

    Ce ne sont pas les papiers que je mets à la poubelle c’est ce qu’en dit skept qui ne les a pas compris ou en déforme le sens.

    Marot ne fait jamais d’ad hominem, non jamais….