La NASA aperçoit le Soleil.

Voici une traduction d'une annonce de la NASA faite par Williams.

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8 janvier 2013.

Dans l'ordre galactique, le Soleil est une étoile remarquablement constante. Alors que certaines étoiles présentent d'importantes variations, en taille et en luminosité, et parfois même explosant, la luminosité de notre propre soleil varie faiblement de 0,1% au cours de son cycle de 11 ans.

Cependant, les chercheurs ont progressivement pris conscience que ces même variations apparemment minuscules peuvent avoir un effet significatif sur le climat terrestre. Un nouveau rapport publié par le Conseil national de recherches du Canada (CNRC), sur «Les effets de la variabilité solaire sur le climat de la Terre», expose les mécanismes étonnamment complexes par lesquels l’activité solaire influence notre planète.(NdA : le pdf est gratuit).

 

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Comprendre le lien entre le soleil et le climat nécessite une vaste expertise dans des domaines tels que la physique des plasmas, l’activité solaire, la chimie atmosphérique et la dynamique des fluides, la physique des particules énergiques, et même l’histoire terrestre. Aucun chercheur ne possède à lui-seul l'ensemble des connaissances nécessaires pour résoudre le problème. Pour progresser, le CNRC devait rassembler des dizaines d’experts dans de nombreux domaines dans un seul atelier. Ce rapport résume leurs efforts mutuels pour pour cerner cette question dans une approche véritablement pluridisciplinaire.

L’un des participants, Greg Kopp du Laboratoire de Physique de l’atmosphère et de l’espace à l’Université du Colorado, a fait remarquer que, bien que les variations de la luminosité du cycle solaire de 11 ans est d’un dixième de pour cent de la production totale du soleil, cette petite fraction reste importante. «Même ces variations typiques de court terme de 0,1% en éclairement incident dépasse toutes les autres sources d’énergie combinées (comme la radioactivité naturelle dans le noyau de la Terre)».

D'une importance particulière est le rayonnement dans l'ultraviolet extrême (EUV), qui culmine au cours des années autour du maximum solaire. Dans la bande relativement étroite des longueurs d’onde EUV, elle ne varie pas d’un minuscule 0,1%, mais par un facteur de 10 ou plus. Cela peut fortement affecter la chimie et la structure thermique de l’atmosphère supérieure.
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Plusieurs chercheurs ont examiné comment les changements dans la haute atmosphère peuvent se répercuter jusqu’à la surface terrestre. Il y a beaucoup de voies possibles de l’influence solaire vers la surface. Par exemple, Charles Jackman, du Center Space Flight Goddard décrit comment les oxydes d’azote (NOx) créés par des particules énergétiques solaires et les rayons cosmiques dans la stratosphère pourraient réduire les niveaux d’ozone de quelques pour cent. Parce que l’ozone absorbe le rayonnement UV, moins d’ozone signifie que plus de rayons UV atteignent la surface de la Terre.
•••
Isaac Held de la NOAA a étudié l'étape suivante. Il a décrit comment la perte d’ozone dans la stratosphère peut modifier la dynamique de l’atmosphère sous-jacente. «Le refroidissement de la stratosphère polaire associée à la perte de l’ozone augmente le gradient horizontal de la température près de la tropopause,” explique t-il. “Cela modifie le flux de la quantité de mouvement angulaire des tourbillons des latitudes moyennes. [Le moment cinétique est important parce que] la quantité résultante dans la troposphère contrôle les vents d'ouest en surface. ” En d’autres termes, l’activité solaire via la haute atmosphère,  par une série complexe d’influences,peut faire dévier la trajectoire des tempêtes en surface.
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Beaucoup des mécanismes proposés dans cet atelier sont des machines de Rube Goldberg. (NdA : des usines à gaz…).  Ils fonctionnent en plusieurs étapes d’interactions entre les multiples couches de l’atmosphère et l'océan, certains sur la chimie, d’autres sur la thermodynamique ou la physique des fluides. Que quelque chose soit compliqué ne veut pas dire qu’il n’est pas réel.•••

En effet, Gerald Meehl du Centre national pour les recherches atmosphériques (NCAR) a présenté des preuves convaincantes que la variabilité solaire influence le climat, en particulier dans le Pacifique. Selon le rapport, l'examen des données de température de surface océaniques en période de taches solaires montre que le Pacifique tropical présente une tendance à une configuration de type La Nina, avec un refroidissement de près de 1°C dans le Pacifique équatorial oriental. En outre, il y a  des signes de précipitations accrues dans la zone de convergence intertropicale du Pacifique (Inter-Tropical Convergence Zone ) et dans la zone de convergence du Pacifique Sud (SPCZ South Pacific Convergence Zone) ainsi que de pressions au niveau de la mer supérieures à la normale aux latitudes moyennes dans le Pacifique Nord et Sud», qui sont corrélés avec les maxima des cycles de taches solaires.
Ces signaux  sont si forts dans le Pacifique, que Meehl et ses collègues se sont demandés si le système climatique du Pacifique les amplifiaient. “Un des mystères concernant le système climatique de la Terre … tient au fait que des fluctuations relativement faibles du cycle solaire de 11 ans peuvent produire l’amplitude des signaux climatiques observés dans le Pacifique tropical.” En utilisant les modèles du climat sur supercalculateurs, ils montrent que non seulement des mécanismes "de haut en bas" mais aussi «de bas en haut» impliquant des interactions océan-atmosphère, sont nécessaires pour amplifier le forçage solaire à la surface du Pacifique.
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Ces dernières années, les chercheurs ont envisagé la possibilité que le soleil joue un rôle dans le réchauffement climatique. Après tout, le soleil est la principale source de chaleur pour notre planète. Le rapport du CNRC indique, cependant, que l’influence de la variabilité solaire est plus régionale que mondiale. La région du Pacifique n’est qu’un exemple.
Caspar Amman du NCAR a noté dans le rapport que «lorsque le bilan radiatif de la Terre est altéré, comme dans le cas d’un changement de cycle de forçage solaire, tous les endroits ne sont pas touchés. de la même façon. Le centre du Pacifique équatorial est généralement plus frais, le débit des rivières au Pérou est réduit, et des conditions plus sèches affectent l’ouest des USA. ”

Raymond Bradley de UMass, qui a étudié des archives historiques de l’activité solaire tels que les radio-isotopes dans les cernes des arbres et les carottes de glace, indique que les précipitations régionales semblent être plus affectées que la température. «S’il ya bien un effet solaire sur le climat, il se manifeste par des changements dans la circulation générale plutôt que dans un signal direct de la température.” Cela est cohérent avec les conclusions du GIEC et les rapports antérieurs du NRC où la cause du réchauffement de la planète au cours des 50 dernières années n'est pas imputable à la variabilité solaire.

Beaucoup a été dit sur le lien probable entre le minimum de Maunder, une absence de taches solaires longue de 70 ans à la fin du 17ème et au début du 18ème siècle, et la période la plus froide du Petit âge glaciaire, au cours duquel l’Europe et l’Amérique du Nord ont été soumis à des hivers extrêmemnt froids. Le mécanisme de refroidissement régional pourrait être une baisse de la production d'EUV solaires, mais cela est encore du domaine de la spéculation.
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Dan Lubin de la Scripps Institution of Oceanography a souligné l'intérêt de rechercher les étoiles similaires au Soleil dans la Voie Lactée pour déterminer la fréquence d’un grand minimum similaire. “Les premières estimations de la fréquence d’un grand minimum pour les étoiles de type solaire varie de 10% à 30%, ce qui implique que l’influence du soleil pourrait être déterminante. Des études plus récentes utilisant des données provenant du satellite Hipparcos (un satellite d'astrométrie de l'Agence spatiale européenne) et la comptabilisation correcte de la métallicité des étoiles, place l’estimation à moins de 3%. “ Ce n’est pas un grand nombre, mais il est significatif.
•••
En effet, le soleil pourrait être au seuil d’un mini-événement Maunder en ce moment. Le cycle solaire N°24 est le plus faible depuis plus de 50 ans. De plus, il y a la preuve (controversée) d’une tendance à l’affaiblissement à long terme du champ magnétique des taches solaires. Matt Penn et William Livingston du National Solar Observatory prédisent que lorsque le cycle solaire N°25 arrivera, le champ magnétique du soleil sera si faible que peu ou pas de taches solaires se formeront. Des recherches indépendantes  en héliosismologie et sur les surfaces polaires du Soleil tendent vers cette conclusion. (Remarque : Penn et Livingston n’ont pas participé à l’atelier du CNRC.)

«Si le soleil est vraiment dans une phase non-connue du cycle solaire, nous devons redoubler nos efforts pour comprendre le lien soleil-climat», note Lika Guhathakurta du NASA’s Living with a Star Programe, qui a aidé à financer l’étude du NRC. “Le rapport propose quelques bonnes idées sur la façon de commencer.”

Lors de la table ronde de conclusion, les chercheurs ont identifié un certain nombre d'étapes ultérieures possibles. La première d’entre elles serait le déploiement d’un imageur radiométrique. Les dispositifs actuellement utilisés pour mesurer la valeur totale de l’irradiance solaire (TSI) réduisent le soleil à une seule valeur : la luminosité totale additionnée sur toutes les latitudes, longitudes, et longueurs d’onde. Cette valeur intégrée devient un seul point dans une série temporelle sur le soleil.
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En fait, comme Peter Foukal d'Héliophysic, Inc, l'a fait remarquer, la situation est bien plus complexe. Le soleil n’est pas une balle rayonnant une luminosité uniforme. Au contraire, le disque solaire est parsemé des noyaux sombres des taches solaires et éclaboussé d’écume magnétique lumineuse connue sous le nom de facules. L'imagerie radiométrique permettra, pour l’essentiel, de cartographier la surface du soleil et de révéler les contributions de chacun à la luminosité du soleil. Les facules sont d'un intérêt particulier. Alors que les taches solaires sombres ont tendance à disparaître lors des minima solaire, les facules lumineuses persistent. C’est peut-être pourquoi les données paléo-climatiques sensibles au soleil comme les isotopes C-14 et Be-10 montrent de faibles cycle de 11 ans, même pendant le minimum de Maunder. Un imageur radiométrique, déployé sur certains observatoires spatiaux à l’avenir, permettrait aux chercheurs de développer la compréhension dont ils ont besoin pour projeter le lien soleil-climat dans un e perspective de période sans tâches solaires prolongée.

Certains ont insisté la nécessité de mettre les données du climat solaire dans des formats standards et de les rendre disponibles pour l’étude pluridisciplinaire. Parce que les mécanismes de l’influence du soleil sur le climat sont complexes, les chercheurs dans de nombreux domaines devront travailler ensemble pour réussir à les modéliser et à en comparer les différents résultats. La collaboration continue et améliorée entre la NASA, la NOAA et la NSF est déterminante dans ce processus.

Hal Maring, un scientifique du climat du siège de la NASA qui a étudié le rapport, note que «beaucoup de mécanismes intéressants ont été suggérés par les participants. Cependant, trop peu ont été quantifiées au point que nous pouvons définitivement évaluer leur impact sur le climat. “ Rendre ces hypothèses plus concrètes et les ancrer dans les modèles physiques complets constitue un défi majeur pour les chercheurs.

Enfin, de nombreux participants ont souligné la difficulté de déchiffrer le lien entre soleil et climat à partir des données paléo-climatiques, comme les cernes des arbres et les carottes de glace. Les variations du champ magnétique terrestre et la circulation atmosphérique peuvent affecter le dépôt de radio-isotopes beaucoup plus que l’activité solaire réelle. Un enregistrement à long terme record de l’irradiance du soleil pourrait être présent dans les roches et les dépôts de la Lune ou de Mars. L’étude d’autres mondes pourrait détenir la clé du nôtre.

😉 Williams.(Son site)

@@@@@@

287 Comments     Poster votre commentaire »

201.  le chti | 2/02/2013 @ 21:54 Répondre à ce commentaire

you23

Je n’ai pas dit qu’il n’y aurait plus d’évaporation (relisez moi) j’ai dit qu’il n’en aurait pas suffisamment.

Lacis itou :

If the global atmospheric temperatures were to fall to as low as TS = TE, the Clausius-Clapeyron relation would imply that the sustainable amount of atmospheric water vapor would become less than 10% of the current atmospheric value. This would result in (radiative) forcing reduced by ~30W/m2, causing much of the remaining water vapor to precipitate, thus enhancing the snow/ice albedo to further diminish
the absorbed solar radiation.

Je me demande si vous avez bien lu cette étude.

.

202.  Marot | 2/02/2013 @ 21:56 Répondre à ce commentaire

you23 (#192)
Vous vous donnez du mal pour écrire des choses pertinentes, merci.

Je vous donne déjà la réponse :

« vous n’avez rien compris, relisez ça vous instruira ».

203.  you23 | 2/02/2013 @ 22:25 Répondre à ce commentaire

Le Chti
Je crois, contrairement à vous, que le mécanisme proposé par Lacis n’a pas besoin des GES pour être complet. D’où à nouveau ma conclusion, nous n’avons pas besoin des GES et du CO2 pour le climat général mais nous avons besoin, un grand besoin du CO2 pour la végétation. Un article récent vient d’ailleurs d’indiquer que les coraux du pacifique se portent très bien.

204.  le chti | 2/02/2013 @ 22:54 Répondre à ce commentaire

you23

D’où à nouveau ma conclusion, nous n’avons pas besoin des GES et du CO2 pour le climat général

Si vous le dites, mais je ne me contente pas de dires, il faut me filer à bouffer, donc expliquez moi comment et avec quoi notre système climatique fonctionne.

205.  Zizou | 2/02/2013 @ 23:13 Répondre à ce commentaire

le chti (#195),
avec quoi notre système climatique fonctionne.

————————–
avec du vent

206.  you23 | 3/02/2013 @ 9:17 Répondre à ce commentaire

Le chti (195),
Le système climatique ne fonctionne certainement pas selon les désirs du GIEC. Ce dernier s’est déconsidéré totalement lors des climategate. Il reconnaît que les modèles sur ordinateur qu’il a fait subsidier sont très imparfaits. Les prévisions qu’il donne ne se vérifient pas. Les membres qui le soutiennent modifient selon leurs souhaits les données observées. Les bases physiques sur lesquelles il se fondent ont été contredites par de nombreux travaux. Et on peut continuer…..

207.  Murps | 3/02/2013 @ 10:27 Répondre à ce commentaire

you23 (#197),

Les prévisions qu’il donne ne se vérifient pas.

Je pense que c’est même pire que cela. Les prévisions sont invérifiables, car elles se basent sur des moyennes incompréhensibles de wagons de données vides de sens physique et dont tout à la fois la collecte et le traitement sont bidouillées à tour de bras.

En clair, à partir de d’une grosse masse de données, vous présentez une courbe présentant un signal évanescent et totalement bruité, vous invoquez des lois physiques réelles et plausibles mais vous êtes incapable de reproduire quoi que ce soit en labo.
Là-dessus, 10 ans plus tard, vous prolongez votre courbe en disant « Regardez le signal a bougé ! je l’avais dit »…

On est en pleine science pathologique.

208.  JG2433 | 3/02/2013 @ 10:32 Répondre à ce commentaire

il faut [lui] filer à bouffer

Qu’en terme galant ces choses-là sont dites.
DFTT

209.  le chti | 3/02/2013 @ 11:21 Répondre à ce commentaire

you23 (197)

C’est ça votre argumentaire ? J’attends quelque chose qui soit basé sur de la physique solide. Comment fonctionne notre atmosphère et notre système climatique ? Qu’est ce qui fait que la vie est possible sur terre ?

210.  you23 | 3/02/2013 @ 13:05 Répondre à ce commentaire

Le chti (200)
J’ai reçu cela hier, mais vous semblez plus compétent que moi d’après votre ton, je vous transmet donc le message.

Considering your research in related areas, we cordially invite you to submit a new paper to the International Journal of Energy Science (IJES).
The International Journal of Energy Science (IJES) is an international, peer-reviewed journal, publishing original research, reports, reviews and commentaries on all areas about energy science. For more information, please visit homepage: http://www.ijesci.org/

To promote this journal, it provides rapid publication, indexing and reference service at the present.

Scopes:

*The global climate change and international cooperation on reducing carbon emissions;
*The analysis of international energy demand and supply;
*The analysis of national energy strategy and decision-making;
*The energy growth and economic development;
*The development and management of energy industry;
*The production and operations of energy companies;
*The strategy, tactics and policy support of energy conservation and reduction of pollutant emissions;
*The strategy, tactics and policy support of the new energy development;
*The theory and practice of related technological innovation, institutional innovation, management innovation;
*Ecological economy, circular economy and low-carbon economy;
*Conventional and renewable energy
*New technologies and design for energy efficiency
*Other sustainable energy
*New energy saving technology
*Other related topics.

Your paper will enjoy registration discount if it is accepted.

PAPER SUBMISSION WEBSITE:

http://www.ijesci.org/OnlineSubmission.aspx

Best wishes,

Editorial assistant of IJES

Email: ijes@seipub.org

211.  le chti | 3/02/2013 @ 13:36 Répondre à ce commentaire

you23

Vous ne répondez toujours pas à la question…

212.  le chti | 3/02/2013 @ 13:40 Répondre à ce commentaire

You23

Le rapport entre cette revue et la machine climatique ?

http://onlinelibrary.wiley.com.....)1099-114X

213.  Clem | 3/02/2013 @ 13:47 Répondre à ce commentaire

le chti (#200),

Qu’est ce qui fait que la vie est possible sur terre ?

Puisque vous aimez les questions, j’ai un soudain trou de mémoire, pouvez-vous m’aider : comment s’appelle donc ce gaz, déclaré polluant par la climatologie gouvernementale, sans lequel la vie sur terre serait impossible ?

214.  Murps | 3/02/2013 @ 14:33 Répondre à ce commentaire

le chti (#200), on en sait rien du tout !
ABSOLUMENT RIEN !
Les seules choses que l’on peut faire, c’est rester dans les généralités à partir des mécanismes que l’on connait, probablement de manière exhaustive mais sans savoir lequel est prépondérant à tel moment et à tel endroit.

Le truc qui me chagrine, ce sont les interprétations bidons et non prouvées expérimentalement (comme l’effet de serre) et les modélisations du même tonneau.

Si vous désirez me convaincre,
– trouvez moi s’il vous plait une expérience de labo qui met en évidence
l’effet de serre.
– trouvez moi une prédiction des rapports IPCC d’il y a 10 ans ou plus qui se soit révélée exacte…

215.  Marot | 3/02/2013 @ 14:36 Répondre à ce commentaire

you23 (#202), Clem (#205)

Lui ne répond JAMAIS.

ARRËTEZ DE VOUS FAIRE ENFUMER ET DE NOUS POLLUER

216.  le chti | 3/02/2013 @ 15:21 Répondre à ce commentaire

Murps,

Si on sait ce qui permet la vie sur terre, c’est un phénomène appelé effet de serre. Sans cet effet de serre, pas de phénomène de convection, pas de vent, pas de météorologie etc… Et pas de vie. Cet effet de serre n’existerait pas sans la présence du CO2 et des autres gaz comme le CH4. Cette théorie est en accord total avec la physique. Qu’on conteste cette théorie je le veux bien mais qu’on le fasse avec autre chose que des « On en sait rien ».

217.  scaletrans | 3/02/2013 @ 15:28 Répondre à ce commentaire

Marot (#206),

Tout à fait d’accord !

DFTT

218.  Bob | 3/02/2013 @ 15:54 Répondre à ce commentaire

scaletrans (#211),
Surtout,
1) Que c’est hors sujet
2) Qu’on déjà discuté en long en large et en travers de ces questions sur Skyfall. On doit retrouver ça dans les archives, du moins dans celles qui ont survécu.

219.  you23 | 3/02/2013 @ 16:24 Répondre à ce commentaire

Le chti,
On a tous compris que pour vous nous sommes au moins des farfelus, des ignorants et quoique nous disions pour vous ce sera faux. Pourtant, tous nous avons fait des études dans différents domaines et on ne nous la fait plus. Votre effet de serre décrit par le GIEC ne correspond en rien à ce qui se passe dans une serre (pour les détails voir pensée unique), le CO2 n’existe dans l’atmosphère qu’à l’état de trace. Alors vos affirmations sont à côté de la plaque. Pour ce que nous croyons, comme le dit très bien murps (205), nous ne sommes pas du tout convaincus par le discours orrthodoxe de Jouzel, Van Ypersele et consorts. Au contraire, nous avons quelques informations de base qu’il est inutile de nous faire répèter, vous les trouverez en long et en large sur ce site, chez pensée unique, WUWT, notrickzone, JoNova, etc. Alors cessez de nous casser les pieds avec des affirmations que nous ne croyons pas.

220.  Murps | 3/02/2013 @ 16:32 Répondre à ce commentaire

le chti (#207),

Si on sait ce qui permet la vie sur terre, c’est un phénomène appelé effet de serre. Sans cet effet de serre, pas de phénomène de convection, pas de vent, pas de météorologie etc… Et pas de vie. Cet effet de serre n’existerait pas sans la présence du CO2 et des autres gaz comme le CH4

Ah vous êtes curé ? Mais il fallait le dire tout de suite ! Pardonnez-moi mon père, d’avoir heurté votre sensibilité religieuse.

Cette théorie est en accord total avec la physique. Qu’on conteste cette théorie je le veux bien mais qu’on le fasse avec autre chose que des “On en sait rien”.

Il se trouve que je suis physicien de formation et de métier.
Si on pond une théorie, il vaut mieux qu’elle soit « en accord total avec la physique ».
Mais votre théorie, si belle soit-elle, ne vaudra pas un clou si elle n’est pas mise en évidence par des faits.
Si vous désirez me convaincre, (bis)
– trouvez moi s’il vous plait une expérience de labo qui met en évidence
l’effet de serre.
– trouvez moi une prédiction des rapports IPCC d’il y a 10 ans ou plus qui se soit révélée exacte…

Et au final, non, on en sait rien du climat, et d’après moi, on en saura jamais rien…
C’est pas une contestation, c’est un fait patent.

221.  Marot | 3/02/2013 @ 16:39 Répondre à ce commentaire

you23 (#211), Murps (#212)

Lui ne répond JAMAIS.

ARRËTEZ DE VOUS FAIRE ENFUMER ET DE NOUS POLLUER

222.  you23 | 3/02/2013 @ 16:50 Répondre à ce commentaire

Marot (212)
OK

223.  le chti | 3/02/2013 @ 17:22 Répondre à ce commentaire

murps,

Mais votre théorie, si belle soit-elle, ne vaudra pas un clou si elle n’est pas mise en évidence par des faits.

Les faits sont là, vous existez, j’existe les fleurs, les arbres existent et c’est très bien expliqué par la physique de l’effet de serre.

Puisque vous êtes physicien démontrez moi que cette théorie est fausse, Vous en profiterez pour me montrer une expérience de labo démontrant la vitesse de rotation de la terre autour du soleil.

Vous enseignez dans quelle sorte d’établissement ? collège ? Parce que là, vous remettez en question tout ce qui est enseigné dans la totalité des universités au monde.

Moi je me poserai la question de savoir si des fois le curé ça ne serait pas moi.

224.  Marot | 3/02/2013 @ 17:29 Répondre à ce commentaire

le chti (#215)
Lui ne répond JAMAIS.

ARRËTEZ DE VOUS FAIRE ENFUMER ET DE NOUS POLLUER

la totalité des universités au monde copié de l’autre camé de Volailles.

225.  williams | 3/02/2013 @ 17:43 Répondre à ce commentaire

le chti (#207),

Murps,

Si on sait ce qui permet la vie sur terre, c’est un phénomène appelé effet de serre. Sans cet effet de serre, pas de phénomène de convection, pas de vent, pas de météorologie etc… Et pas de vie. Cet effet de serre n’existerait pas sans la présence du CO2 et des autres gaz comme le CH4. Cette théorie est en accord total avec la physique. Qu’on conteste cette théorie je le veux bien mais qu’on le fasse avec autre chose que des “On en sait rien”.

Oui le chti on le sait que les GES sont indispensables à la vie mais ne vous mettez pas à la tête que c’est le seul facteur permettant d’avoir la vie sur Terre. Car sans l’énergie solaire les GES auraient aucune influence et donc il y aurait pas d’être vivant sur Terre. Puis il ne faut pas oublier l’ozone stratosphérique qui nous protège des UV car sans ce gaz il n’y aurait pas d’être vivant sur les continants. Et voir d’autres facteurs.

Donc ne pensez pas qu’au GES comme vous faites mais à tout ce qui joue sur le climat…

Williams

226.  Bob | 3/02/2013 @ 17:50 Répondre à ce commentaire

227.  Marot | 3/02/2013 @ 18:22 Répondre à ce commentaire

williams (#217)
Lui ne répond JAMAIS.

ARRËTEZ DE VOUS FAIRE ENFUMER ET DE NOUS POLLUER

228.  Zizou | 3/02/2013 @ 20:00 Répondre à ce commentaire

le chti (#207),
Sans cet effet de serre, …………. pas de vie
—————————–
EH ! la vie cela existe aussi en dehors des serres

229.  yvesdemars | 3/02/2013 @ 20:15 Répondre à ce commentaire

williams (#216), Zizou (#219),
DFTT

230.  le chti | 3/02/2013 @ 20:31 Répondre à ce commentaire

Williams,

Je sais très bien que le soleil est primordial mais seul il ne permet pas la vie. Sans les GES la température moyenne de la terre serait bien trop basse. Qu’est ce que les UV viennent faire là-dedans ? On parle de l’existence ou de la non existence de l’effet de serre.

Vous continuez à tout mélanger…

ps l’ozone stratosphérique est un gaz à effet de serre.

Murps

http://ceres.larc.nasa.gov/doc.....1-Talk.pdf

231.  Murps | 3/02/2013 @ 20:54 Répondre à ce commentaire

Marot (#215), ah non, j’ai quelques minutes à perdre !
😆

le chti (#214),

Puisque vous êtes physicien démontrez moi que cette théorie est fausse, Vous en profiterez pour me montrer une expérience de labo démontrant la vitesse de rotation de la terre autour du soleil.

On ne peut pas démontrer la non existence de quelque chose, c’est auxw tenants de la théorie de brandir les preuves.
En ce qui concerne la rotation de la terre, c’est facile, il suffit de regarder les étoiles la nuit. C’EST une expérience de labo.

Votre manière de répondre montre clairement que vous n’avez pas une formation scientifique. Ca ne vous empêche pas de vous exprimer mais sachez tout de même que les discussions techniques nécessitent de maîtriser le sujet…

Maintenant, c’est vrai ce que dit Marot, jamais vous ne répondez aux questions et toujours vous balancez des liens bidons.

Allez, bon vent !
Murps

232.  le chti | 3/02/2013 @ 21:01 Répondre à ce commentaire

Ah tiens censure…. Le meilleur moyen d’avoir raison.

233.  the fritz | 3/02/2013 @ 21:34 Répondre à ce commentaire

le chti (#224),
Les salauds; pour une fois qu’on s’amusait

234.  Murps | 3/02/2013 @ 22:49 Répondre à ce commentaire

the fritz (#233), ah ouais les salauds !
Prévenons Amnesty International !
Ouarf !

235.  le chti | 3/02/2013 @ 22:54 Répondre à ce commentaire

Tiens donc, le commentaire est affiché maintenant.

A quoi joue t’on ? un coup j’te vois un coup j’te vois pas ?

Murps,

On ne peut pas démontrer la non existence de quelque chose

je suis désolé mais l’effet de serre existe et cette existence est largement démontrée. Vous affirmez qu’il n’existe pas, à vous de démontrer que votre affirmation est juste, n’inversez pas la charge de la preuve. Ne confondez pas avec Nessie, dieu, ou les martiens….

236.  Marot | 3/02/2013 @ 23:05 Répondre à ce commentaire

Murps (#231)
ah non, j’ai quelques minutes à perdre !

nous non sur des hors sujets.

237.  williams | 3/02/2013 @ 23:44 Répondre à ce commentaire

le chti (#230),

Williams,

Je sais très bien que le soleil est primordial mais seul il ne permet pas la vie. Sans les GES la température moyenne de la terre serait bien trop basse. Qu’est ce que les UV viennent faire là-dedans ? On parle de l’existence ou de la non existence de l’effet de serre.

Vous continuez à tout mélanger…

ps l’ozone stratosphérique est un gaz à effet de serre.

Murps

http://ceres.larc.nasa.gov/doc…..1-Talk.pdf

Je ne mélange pas tout, c’est plutôt vous qui une fois de plus vous vous y perdez. Car vous avez dit : » Si on sait ce qui permet la vie sur terre, c’est un phénomène appelé effet de serre…« .

Donc l’ozone stratosphérique qui diminue les UV dont je vous ai parlé au message précédent était pour vous montrer qu’il y a d’autres facteurs en plus du CO2 qu’il faut tenir comptepour la vie sur Terre.

Le pb avec vous c’est que vous parlez que des gaz à effet de serre alors qu’il faut tout regarder pour la climatologie, la vie sur terre…

Williams

238.  le chti | 4/02/2013 @ 0:05 Répondre à ce commentaire

Williams,

Je suis d’accord mais si vous enlevez un seul des trois facteurs soleil, ozone et effet de serre, vous n’avez plus de vie sur terre. Les trois sont indispensables.

Conclusion : pas d’effet de serre => pas de vie.

239.  Abitbol | 4/02/2013 @ 0:23 Répondre à ce commentaire

le chti (#238),

Beaucoup de facteurs sont indispensables à la vie sur Terre, il n’y en a pas que trois.
Et oui, l’effet de serre existe bel et bien. Il suffit de quelques mètres cubes enfermés sous un toit de verre pour s’en rendre compte.
Hélas, la démo s’arrête là. On parle d’une planète et de son atmosphère, c’est un peu plus compliqué.

Ciao pantin…

240.  williams | 4/02/2013 @ 10:03 Répondre à ce commentaire

le chti (#238),

Williams,

Je suis d’accord mais si vous enlevez un seul des trois facteurs soleil, ozone et effet de serre, vous n’avez plus de vie sur terre. Les trois sont indispensables.

Conclusion : pas d’effet de serre => pas de vie.

Oui tout à fait, c’est ce que je vous dis qu’il ne faut pas se baser sur un seul facteur comme les GES quand je vous ai dis « c’est pour Donc ne pensez pas qu’aux GES comme vous faites mais à tout ce qui joue sur le climat…« .

Et Abitbol a bien sûr raison, car ces 3 exemples que j’ai donnée (les GES, l’energie solaire, et l’ozone contre les UV) sont parmi plein de facteurs indispensables à la vie comme les océans etc.

Williams

241.  le chti | 4/02/2013 @ 10:50 Répondre à ce commentaire

Williams,

Sans effet de serre il n’y aurait pas d’océans.

Pour ce qui est du climat, dans l’ordre d’importance il y a le soleil et les GES, l’ozone n’interfère que pour très peu (elle assure un rôle de protection).

Quand vous dites qu’il ne faut pas penser qu’aux GES vous avez tort car c’est l’augmentation de ce fameux effet de serre qui fait grimper les températures, vous qui suivez l’activité du soleil vous devriez être le premier à le dire. On ne peut pas dire le contraire l’activité solaire est très basse et les températures continuent à grimper ou même pour faire plaisir à certains « stagnent » Si le soleil était le facteur le plus important dans cette histoire elles auraient du baisser or ce n’est pas le cas.

242.  the fritz | 4/02/2013 @ 10:54 Répondre à ce commentaire

le chti (#241),
Sans effet de serre il n’y aurait pas d’océans
———————-
Eh le chti, cela serait pas un peu le contraire , mais confondre cause et conséquence c’est le propre des warmists

243.  devinplombier | 4/02/2013 @ 12:41 Répondre à ce commentaire

Abitbol (#239),

tout a fait d’accord , sur venus il n’y a pas « d’effet de serre » , il n’est absolument pas prouvé qu’il y en ait un sur terrre .

244.  the fritz | 4/02/2013 @ 12:56 Répondre à ce commentaire

devinplombier (#243),
sur venus il n’y a pas “d’effet de serre”
———————–
Sans doute voulez vous dire « lié au CO2 » et « à la surface « 

245.  le chti | 4/02/2013 @ 13:32 Répondre à ce commentaire

devinplombier

Sur Vénus l’effet de serre est tel que la température moyenne est de 462°.

En fait l’effet de serre ne doit être ni trop fort (Vénus) ni trop faible (Mars).

246.  le chti | 4/02/2013 @ 13:36 Répondre à ce commentaire

the fritz

Eh le chti, cela serait pas un peu le contraire , mais confondre cause et conséquence c’est le propre des warmists

Bah non, révisez votre histoire de la planète notamment celle de l’atmosphère primitive (celle qui permettra la formation des océans).

247.  williams | 4/02/2013 @ 13:44 Répondre à ce commentaire

Williams,

Sans effet de serre il n’y aurait pas d’océans.

Pour ce qui est du climat, dans l’ordre d’importance il y a le soleil et les GES, l’ozone n’interfère que pour très peu (elle assure un rôle de protection).

Quand vous dites qu’il ne faut pas penser qu’aux GES vous avez tort car c’est l’augmentation de ce fameux effet de serre qui fait grimper les températures, vous qui suivez l’activité du soleil vous devriez être le premier à le dire. On ne peut pas dire le contraire l’activité solaire est très basse et les températures continuent à grimper ou même pour faire plaisir à certains “stagnent” Si le soleil était le facteur le plus important dans cette histoire elles auraient du baisser or ce n’est pas le cas.

Le chti aux messages précédents on parlait de la vie sur Terre donc pas du climat exactement.

Donc ne parlait pas spécialement du climat pour dire que les GES c’est ce qui contrôle tout (la vie sur Terre, le climat…). Alors que si les GES n’existerait pas sur Terre bien sûr la vie n’existerait pas mais si par exemple les GES existerait mais pas l’ozone stratosphérique et d’autre gaz dans la mésosphère… la vie n’existerait pas aussi même si la température sur Terre serrait bonne. Ce qui montre que les GES joue un rôle important mais d’autres facteurs joue un rôle aussi pour que la vie sur Terre.
Et question de climatologie c’est la même chose mais encore plus compliquée avec par exemple les océans…

Puis ce n’est pas que ces GES qui font grimper les températures, car si non pourquoi de 1910 à 1945 on a eu un réchauffement de 0,5°C qui a été suivit d’un léger refroidissement entre 1945 et 1976 alors qu’à cette dernière période le CO2 à augmenté 2 fois plus rapidement (de 21.7ppm) que lors du réchauffement de 1910 à 1945 (de seulement 10,10ppm) ??

Williams

248.  papijo | 4/02/2013 @ 13:58 Répondre à ce commentaire

le chti (#245),

l’effet de serre ne doit être ni trop fort (Vénus) ni trop faible (Mars).

Pouvez vous nous expliquer pourquoi l’effet de serre est trop faible sur Mars?
Pourtant, la pression moyenne de CO2 y est beaucoup plus importante que sur terre (Wiki):

Mars:
P Atm = 636 Pa
CO2 = 95%
P CO2 = 604 Pa

Terre:
P Atm = 100 000 Pa
CO2 = 400E-06
P CO2 = 40 Pa

Il y a donc 15 fois (= 604 / 40) plus de CO2 sur Mars que sur Terre, et pourtant, on nous dit que la température moyenne sur Mars (-63°C) est égale à sa température de corps noir. Donc effectivement pas d’effet de serre !

Je sais que le CO2 des Martiens, lui, n’est pas anthropique, mais ça ne devrait quand même pas bouleverser ses propriétés radiatives, non ?

249.  MichelLN35 | 4/02/2013 @ 14:29 Répondre à ce commentaire

the fritz (#244),
devinplombier (#243),

Par principe, je ne réponds pas aux tr lls, mais à vous oui, et je crois que c’est effectivement Abitbol et Devinplombier qui ont parfaitement raison, sur Vénus il n’y a pas d’effet de serre (sur terre non plus à mon avis) car sur Vénus, s’il y avait un effet de serre (par rétroaction infrarouge) il faudrait qu’il explique cette CONSTATATION astronomique issue de MESURES du lapse rate vénusien par de très nombreuses sondes spatiales lancées de la terre :

http://www.skyfall.fr/wp-conte.....oserre.pdf

le ton de l’articleest un peu violent mais les calculs sont incontournables. Et sur terre, l’argument contre le plus simple est qu’à toutes les échelles de temps les variations de températures précèdent celles de la teneur en CO2.

La conséquence ne peut précéder la cause.

250.  Nicias | 4/02/2013 @ 14:54 Répondre à ce commentaire

le chti (#241),

Sans effet de serre il n’y aurait pas d’océans.

bah si, sous la glace.
Et au fond de l’océan, il y aurait de la vie près des sources hydrothermales.

Et même sans cela, le tardigrade par exemple n’a ni besoin de CO2, ni besoin de l’ozone pour survivre. Increvable la bestiole…