Pour discuter de nos vaillants efforts afin de décarboner l’économie.
Le rapport de l’académie des technologies sur la réglementation thermique 2012.
Ils sont contre les éoliennes :
Le site de l’EPAW, Plateforme européenne contre l’éolien industriel.
Stop these things (Australie, eng), » We’re not here to debate the wind industry, we’re here TO DESTROY IT ! »
Le Plan Climat de Nicolas H.
Hug (#5835),
Mais bien sûr qu’il est anthropologue puisqu’il a vécu chez les Inuits avant de devenir guide de haute montagne
Floyd (#5847),
Oui le mot magique : « :NORMAL »
Cher aux écolos et dont en discutait ici récemment la signification à propos de météo France et des températures « normales »
La normalité à géométrie variable. Quelle trouvaille pour asservir une population ! 1984 est actuel !
Floyd (#5847),
Pour ceux qui voudraient lire le livre sur Ken Wilber en électronique : https://1lib.eu/book/11004427/07b002
Ce livre résume assez bien les travaux de Wilber, philosophe américain qui essaie proposer une vision plus intégrale de la réalité, en tentant de réconcilier la science et la spiritualité. Pour moi Wilber est l’exemple de l’anti-dogmatisme. Il rejette tout autant la science matérialiste dogmatique qui rejette toute notion de transcendance et les dogmes des religions qui sont basés sur des superstitions. Sa théorie décrit également l’évolution de la conscience et les problèmes qui peuvent intervenir à chaque stade de l’évolution.
Pour moi le problème principal dans les sociétés humaines c’est le fait que très souvent nous prétendons détenir la vérité absolue, alors que l’interprétation de celle-ci évolue de façon continue tout au long de l’histoire de l’humanité. Quand j’étais plus jeune j’étais un matérialiste convaincu qui croyait que la science matérialiste pouvait tout expliquer. Depuis les expériences de la vie m’ont fait comprendre que nous n’avons jamais une vision totalement objective de la vie et que celle-ci est toujours subjective. Cela signifie que personne ne détient la vérité absolue. Ce n’est pas pour cela que j’ai rejeté la science, bien au contraire, car je trouve celle-ci passionnante, mais cela m’a montré qu’il faut toujours avoir de l’humilité. Le plus important ce ne sont pas les croyances, mais le fait de ne pas être totalement identifié à celles-ci et surtout ne pas vouloir les imposer à tout prix aux autres. Pour moi peu importe si une personne adhère ou pas a une croyance ou à une autre. Le principal ce sont ses qualités humaines, son ouverture d’esprit, son esprit critique et sa capacité à remettre constamment en cause les croyances qui nous nous sont imposées par la société. L’ennemi c’est le dogmatisme, et celui se trouve également dans tous les domaines, que ce soit dans la science, les religions, la politique ou l’économique.
Bernnard (#5852), Je ne crois pas que « 1984 » traite de la normalité future, prédite, et donc avec la garantie de la Science, par les modèles.
Pour reprendre à l’envers Revel : « Jadis, ce qui était la norme était ce qui était légitime et choisi par la majorité. Aujourd’hui, ce qui est la norme est ce qui est modélisé par les scientifiques, qui sont légitimes par ce qu’ils représentent la meilleure connaissance relative possible de la vérité, même si faillible ».
Si un comité Théodule scientifique dit une bêtise à l’encontre de l’évidence ou contre la majorité, et effectivement se trompent, ils pourront toujours se justifier en disant qu’ils ont décidé en l’état de la meilleure connaissance disponible, dont ils sont les seuls et exclusivement à disposer.
JG2433 (#5849),
La ville d’Amiens se serait elle fait une spécialité du ratage écologique ?
Amiens a été la première ville en France à s’équiper en « méthanisation des déchets ménagers » dans les années 80: le système a complètement foiré (ce qui n’a pas empêché d’autre élus « responsables » de les imiter !), mais depuis, ils persistent en modifiant un truc ici, un autre truc là … et le contribuable … contribue !
Les bus électriques sont donc une nouvelle étape !
Et la suivante, ce sera … ???
Bernnard (#5852), le problème est que le mot normal n’a pas le même sens en statistique (voir loi normale) que dans le langage courant où il est plus binaire (normal/pas normal).
amike (#5854),
Intéressant cette remarque de JF Revel. Sur comment on décide de la norme.
J’ai entendu parler récement du même phénomène dans le domaine de l’art. Avant, était un artiste celui qui produisait des oeuvres d’art (c’est à dire des oeuvres qui étaient reconnues comme artistiques). Aujourd’hui, est une oeuvre d’art ce qui est produit par un artiste. Il faut d’abord être « reconnu » artiste (par cooptation, nomination dans un comité adhoc, récipiendaire de budgets artistiques) et alors tout ce que vous faites est une oeuvre d’art.
Une fois encore, la réalité est ce que JE décide, et non pas ce que l’expérience nous apprend.
Floyd (#5853),
La science matérialiste sait tout expliquer dans des domaines précis où elle a réussi à comprendre « comment ça marche ». Dans ces domaines, il n’y a pas à se poser de questions sur son objectivité. Mais dans tous les autres domaines, où elle est encore en manque de connaissances, elle permet l’émergence de toutes sortes de croyances et de dogmes. Ce n’est pas la science matérialiste qui est en cause, mais une majorité de scientifiques qui ont perdu ou jamais acquis ce que sont les fondements de la science. La science matérialiste n’est rien d’autre que la science. Une science non matérialiste est une pseudo-science.
Vous estimez que nous avons toujours une vision subjective de la vie. D’où vient cette subjectivité? Uniquement de votre cerveau qui a enregistré des données nouvelles extérieures qui se sont confrontées à des anciennes par des processus chimiques et électriques. C’est votre vérité absolue du moment qui ne sera jamais strictement celle des autres.
Paradoxalement, notre cerveau, qui est le moteur unique de toutes nos réflexions, pensées, et actions, est l’organe le moins bien connu et de très loin, de notre organisme. En réalité, on ne sait pratiquement rien de son fonctionnement. Pourquoi avons-nous si peu avancé dans ce domaine?
Qui a remplacé Jean-Pierre Changeux, Gerald M. Edelman, Eric Kandel et autres chercheurs de la 2ème partie du XX ème siècle? La connaissance fine de ce qui se passe dans notre cerveau n’est plus à la mode. Il est de bon ton de parler d’un esprit humain immatériel qui ne serait pas accessible à la science matérialiste. C’est une manière de dire: ne cherchons plus à découvrir comment fonctionne notre cerveau. Certains le justifient même par la mécanique quantique comme ceux-ci:
https://inexplore.inrees.com/articles/Manifeste-science-Beauregard
C’est fou comme l’incompréhension de ce qu’est la réalité de la mécanique quantique peut faire comme ravages.
« Die kalte Sonne » a sorti aujourd’hui un article consacré à l’énergie (ne pas faire attention au titre) – traduction.
Un extrait, tiré d’un article, paru sur le site du groupe parlementaire « die Linke », concernant l’hydrogène (traduction à peine retouchée):
On réouvre Fessenheim ?
Une petite (1′ 18″) vidéo à ne pas rater à la fin de l’article (lien direct)
papijo (#5859),
sgf
L’hydrogène naturel : état de la recherche en France
Limite de dépôt des résumés : 28 février 2021
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L’hydrogène naturel : état de la recherche en France
Lundi 03 mai 2021
09h00 – 17h30
Salle Van Straelen
77 rue Claude Bernard
75005 Paris
Appel à soumission jusqu’au 28 février 2021 – Télécharger le template qui vous servira de référence pour proposer votre résumé : document cliquer ici (35 KB)
Dead-line : 28 février 2021 (oral ou poster)
Envoyer directement votre soumission par mail à : confh2@geosoc.fr
Inscription obligatoire pour les intervenants et participants sur notre site internet : cliquer ici
L’H2 naturel est une nouvelle ressource énergétique décarbonée et renouvelable. Elle est désormais reconnue comme telle par certains pays, et labélisée H2 blanc dans le plan hydrogène de l’Allemagne, les projets d’exploration se multiplient. Néanmoins, beaucoup de points scientifiques restent à préciser. Génération, mode de transport et interactions, zones propices à son accumulation, méthodes d’exploration sont autant de sujets qui animent la recherche française en Sciences de la Terre, particulièrement active dans le domaine. Dix-huit mois après la journée prospective du CNRS sur le sujet, cette journée thématique de la SGF fera le point sur l’état de la recherche autour de l’H2 naturel. Dans le but d’attirer une communauté scientifique la plus large possible, cette journée est prévue la veille du congrès annuel « Hyvolution 2021 » qui réunit plus largement les acteurs de l’hydrogène en France et en Europe.
Zones d’études en France (Nouvelle Calédonie, Pyrénées, Graben du Rhin), en Europe (Espagne, Islande, Ukraine) ou plus lointaines (Oman, Mali, Brésil, USA ou RMO) permettront de discuter des sources d’hydrogène (oxydation ou autres) et du transport de l’H2 dans le sous-sol. Les modes de transport, dissous ou gazeux, et les conditions propices à une accumulation seront discutés. Enfin l’activité bactérienne, souvent consommatrice d’H2 que ce soit dans les sols, les accumulations et/ou les stockages qui pourraient être mise en place, est un des sujets sur lequel il faudra échanger. La présence de certaines bactéries, comme d’autres méthodes en train d’être précisées, pourraient être des proxys pour la présence d’H2.
Enfin de nombreux projets sont en cours d’évaluation ou de montage et cette journée sera une occasion d’échanger sur ce début de structuration de l’écosystème de recherche dans le domaine et d’identifier les verrous qui ne seraient pas traités.
Organisateurs : I. Moretti (UPPA), F. Brunet (ISTerre), V. Zgonnik (NH2E)
Frais de participation :
– 35 € pour les non adhérents à la SGF – Intervenant et/ou participant
– 25 € pour les adhérents de la SGF – Intervenant et/ou participant
Ce tarif comprends le livre électronique des résumés et les pauses café.
papijo (#5859), the fritz (#5860), Die Linke semble faire la chasse aux fantômes. La France et son hydrogène « jaune » ? Les Allemands s’imaginent encore que la France a une stratégie dans un quelconque domaine… Encore faudrait-il que 1/il y ait une capacité nucléaire suffisante, 2/pour un besoin réel, 3/avec l’acceptation des Français que leur outil nucléaire (et ses déchets) serve à produire pour l’industrie allemande forcément au détriment des besoins français !
papijo (#5859),
J’ai traduit l’article de Die kalte Sonne annoncé par Papijo et quelques autres cités dans un second document
Lien vers un site canin
C’est un fichier zip. « Extraire ici » suffit, les deux documents se trouvant dans un dossier du même nom.
Comme je l’explique à la fin du premier document, il me reste la possibilité de traduire 18 documents complets au cours de cette période (avant le 08 mars).
Ecolo-fiasco à Berlin: les bus électriques lâchent à cause du froid, remplacés par les diesel : https://fl24.net/2021/02/11/ecolo-fiasco-a-berlin-les-bus-electriques-lachent-a-cause-du-froid-remplaces-par-les-diesel/
Floyd (#5863),
Décidément, c’est une vraie pandémie, il faut les confiner.
Dans le temps, on se moquait de l’état de « South-Australia » et de son système électrique vertueux, responsable, moderne … et soumis à des black-outs « pires que ce qu’on imaginait ! »
Maintenant, le Texas, bien connu pour ses puits de pétrole et de gaz naturel s’y met aussi: Une vague de froid inhabituelle (jusqu’à -15 à – 20°C, certainement le résultat du RCA) a mis HS les éoliennes, et il n’y a plus de centrales fossiles pour assurer le relais. Vous devinez le résultat !
Source: WUWT (traduction)
papijo (#5865),
2ème envoi (inutile de valider le précédent)
Sur le même sujet (toujours en cours): US News, Fox News,
Un extrait:
S’il vient à faire – 15°C à Paris comme là-bas, Anne Hidalgo n’aura qu’à recopier et traduire ce tweet !
papijo (#5866),
Une vague de froid historique frappe les États-Unis
https://www.lefigaro.fr/flash-actu/une-vague-de-froid-historique-frappe-les-etats-unis-20210215
papijo (#5865), Vi, d’ailleurs même conséquences qu’en Australie : les prix de l’énergie montent en flèches, et cela devient la faute de tout le monde sauf des EnR : du consommateur qui consomme trop et mal, du prix du fioul ou du gaz, du réseau qui peut craquer et des producteurs d’électricité fossiles qui … doivent « assurer le relai » ? Ce n’est pas un synonyme de « compléter » çà ? Voila qui va réveiller le biais de dissonance cognitive d’eauchere !
Moralité de ces histoire de black-out électriques
Ayez toujours un moyen de chauffage de secours n’ayant pas besoin du réseau électrique pour fonctionner, pour pouvoir chauffer au moins une ou quelques pièces
Si vous avez encore une cheminée :
– un poêle à bois ou au charbon,
– un poêle au gaz naturel
– un ancien poêle au mazout raccordé à une citerne extérieure de minimum 1000 litres
Si vous n’avez pas de cheminée, un ou des radiateurs fonctionnant au gaz en bouteille ou au kérosène.
Un petit groupe électrogène de 750 W suffit pour l’éclairage et éventuellement permettre le fonctionnement d’une chaudière au gaz naturel.
On trouve actuellement pour moins de mille € des petits groupes électrogènes à essence produisant jusqu’à 4500 W.
Chez moi, nous nous chauffons et cuisinons uniquement à l’électricité ( J’ai un raccordement en triphasé 220 V, 40 A). Mais j’ai conservé dans mon living au rez-de-chaussée un ancien poêle au mazout raccordé à une citerne de mazout de 2000 litres, pleine au 3/4.
Et j’ai deux petits chauffages au kéro. plus un canon à chaleur de 20 kW consommant du kéro ou du mazout de chauffage, de marque Stanley, n’ayant besoin que d’une alimentation en 220V de 150 W pour fonctionner. Ces 150 W je peux les fournir grâce à une batterie de voiture de 12 V, 60 Ah et un petit inverter. Je l’ai souvent utilisé pour réchauffer rapidement mon bateau de 14 mètres, le matin, avant de passer à un chauffage au gaz ou au kéro.
Avec ce canon à chaleur, en laissant les portes intérieures ouvertes, je pourrais chauffer toute la maison.
Cdt e.r. Michel (#5869),
Les poêles au mazout que je connais ont besoin d’électricité pour fonctionner (ventilateur, pompe mazout, …). Dans une installation domestique, la convection (appelée par les fumistes, corporation dont je m’honore d’avoir fait partie, tirage naturel) ne permet pas le fonctionnement du brûleur, contrairement à un poêle à bois où on se fiche pas mal des rendements et de la pollution (mais les écolos s’en occupent !)
Et, publicité gratuite, des petits groupes électrogènes à moins de 100 € existent, chez Brico-Dépot par exemple. J’en ai un mais n’ai pas eu l’occasion de l’utiliser « pour de vrai » encore !
¨Pour en revenir au Texas, pour info, des nouvelles d’un journal local (choisi au hasard) au sujet des coupures électriques. Clairement, le coupable n’est pas le « réchauffement climatique » même pas mentionné, mais la politique de sous-investissement en matière d’énergies fossiles (à croire qu’ils se foutent du « zéro carbone ») et de réseau au profit des énergies « nouvelles » ! (traduction)
Cdt e.r. Michel (#5869), papijo (#5870),
J’ai aussi un petit groupe électrogène en cas.. Avec une autonomie de quelques heures pour alimenter la pompe de circulation de la chaudière (à gaz) ou bien pour alimenter le ventilo du poêle à granulés.
Il existe des groupes électrogènes qui, en cas de coupure électrique démarrent automatiquement au gaz naturel (si on est raccordé) avec une puissance suffisante pour un petit pavillon ou une PME. Le coût est d’environ 30000 euros installation comprise (j’ai demandé un devis il y a 6 mois par curiosité). Il faut veiller à avoir un débit suffisant de gaz tout de même. C’est vraiment en cas de blackout durable et profond avec les stations services en panne et pas de véhicules en circulation (pour le moment, on en est pas là!)
Je ne sais pas si les vannes qui sont installées sur le réseau de distribution de gaz demandent ou non une puissance électrique. Si c’est le cas, une installation de secours comme celle mentionnée ci-dessus ne servira à rien. Reste la cuve de gasoil (à maintenir pleine) en réserve…
papijo (#5870),
J’ai encore dans mon living un ancien poêle à mazout qui est alimenté par la cuve extérieure. Le tirage de la cheminée est excellent. Il n’a pas besoin d’électricité.
Ce poêle fonctionne si bien qu’en le réglant au minimum, il faut laisser une porte ouverte sinon il fait vite trop chaud, alors que la pièce fait 32 m² au sol avec une hauteur de 3,2 m (~ 100 m³).
Bernnard (#5871),
Je ne suis pas spécialiste, mais je doute fort que le réseau de gaz fonctionne en cas de blackout électrique ! Il fut bien y faire circuler le gaz et mettre de la pression dans les tuyaux.
Le meilleur moyen semble donc être une chaudière au mazout, avec une cuve bien pleine et un groupe électrogène diesel qui peut être alimenté par la cuve de mazout. Avec un groupe essence basique, il faudrait stocker de l’essence en quantité en plus du mazout.
Et c’est marrant, mais les gouvernements qui nous veulent du bien, mettent des lois pour supprimer en premier les chauffages au mazout…. C’est sûrement une bonne intention et pas un complot, mais c’est comme par hasard encore un moyen de rendre le peuple dépendant.
Un article pro-Energiewende sur l’Usine Nouvelle.com
Demokratia (#5873),
Oui, l’électricité est partout en fin de compte. Notre monde est devenu extrêmement fragile à un manque d’énergie électrique. Il existe encore certainement des régions du globe sans électricité, mais ça va devenir exceptionnel.
Il y a peu de chance de voir une panne de courant continentale (ou pire planétaire) se produire, mais si ça arrivait, on retournerait instantanément à l’âge des cavernes. Quand on voit la panique provoquée par une « pseudo-pandémie virale » mondiale, je n’ose m’imaginer ce que serait une panne de courant électrique générale. Dans l’échelle des risques possibles, je ne sais pas du tout si nos dirigeants, si aptes à proposer des « gardes fous » en tout genre quand ça leur coûte rien, feraient dans le cas d’un énorme black-out électrique !
Dans le genre catastrophe, je me souviens avoir lu il y a longtemps ce livre « La grande panne«
Demokratia (#5873),
Je n’ai pas de mot pour qualifier votre intervention.
Vous êtes totalement irresponsable.
Un criminel climatique.
En plus, je suis certain que vous mangez de la viande.
Si nous n’étions pas entre personnes de qualité, je vous aurais affublé de noms d’oiseaux.
Demokratia (#5873),
J’ai travaillé quelques années dans une société qui vendait des compresseurs utilisés dans les réseaux de gaz, d’une puissance de quelques MW fonctionnant en général avec des turbines à gaz, donc indépendantes du réseau électrique …
Bernnard (#5871), papijo (#5870), J’ai acheté il y a quelques semaines un groupe électrogène qui fonctionne aussi bien au gaz (gaz GPL, butane, propane) qu’à l’essence.
Plutôt « silencieux » en mode gaz.
Production : 7500w (et possibilité de monter jusqu’à 8000w en crête. Ce qui est largement suffisant pour toute notre maison (abonnement 6kw)
Konner & Sohnen groupe électrogène KS10000E G 8KW gaz ou essence
Prix de 1.100 euros
Franchement trèèèè bien. Démarrage au quart de tour. Il me reste à mettre un inverseur au tableau et hop!
Demokratia (#5873), Les GE au gaz sont moins bruyant et moins cher à l’usage. (Gaz bouteille, pas de ville)
États-Unis : la vague de froid se poursuit, plus de 2 millions de foyers sans électricité
EN IMAGES – Près de 100 millions d’Américains subissent des températures entre 11 et 19 degrés sous les normales de saison.
https://www.lefigaro.fr/international/etats-unis-la-vague-de-froid-se-poursuit-plus-de-3-millions-de-foyers-sans-electricite-20210217
Marco40 (#5879),
Ce groupe délivre t’il un courant stabilisé en fréquence et tension pour alimenter les appareils électroniques ?
Marco40 (#5879),
J’ai regardé rapidement: il semble être en rupture de stock un peu partout. On le trouve encore mais à 4000€.
Daniel (#5881),
Puisqu’on parle de la ville d’Amarillo, je me souviens qu’on y avait relevé au moment du Dust Bowl des années trente des températures dépassant de la même marge, mais inversée, les moyennes (et non les normales…) de saison.
Quant à l’explication synoptique de la situation météo, si on y reconnaît bien le rôle des anticyclones (AMP) polaires, on y associe des dépressions qui n’en sont que le corollaire (advections). Quand va-t-on nous ressortir le « vortex polaire » où des masses d’air à moins de 200 Hpa « libèrent » des masses d’air à 1050 (en soi, la queue qui remue le chien)
Marco40 (#5879),
D’après le descriptif technique, le gaz naturel (méthane principalement) semble exclu. À vérifier.
Daniel (#5882), Bernnard (#5883), Bernnard (#5885),
Pas de technologie Inverter pour fréquence et sinusoïde parfaite. Mais bon, pour avoir un GE avec Inverter et la puissance que je veux, le prix n’est pas le.mème. je ne sais plus (je ne suis pas sur place ) si il y a le système AVR. Pour moi, l’intérêt est de pouvoir m’éclairer, me chaufffer et alimenter les plaques de cuisson.
Pour mon ordi portable, je me dis que la carte d’alim après le transfo, devrait faire l’affaire.
Fonctionnement au GPL, butane ou propane. Pas le gaz de ville (méthane )
Je l’avais commandé sur manomano….
De dangereux complotiste ont prétendu que les coupures massives d’électricité au Texas étaient dues à une politique de sous investissement dans les réseaux et les centrales fossiles au profit des ENRs, et à la défaillance des éoliennes et autres panneaux solaires ! Heureusement, le service de propagande de la BBC (appelé « Reality Check » – ça ne veut pas dire « la réalité du chèque » … quoique …) veille et vient de sortir un article qui rétablit la vérité ! (traduction)
https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/bas-rhin/strasbourg-0/strasbourg-un-compresseur-thermique-pour-station-service-a-hydrogene-une-premiere-mondiale-1960303.html
Faut bien compenser Fessenheim
the fritz (#5888),
Produire de l’hydrogène à partir de bois, c’est certes amusant, mais est-ce que la station en produira suffisamment pour faire tourner les camions amenant le bois et ceux évacuant les cendres, charbons et goudrons divers ?
Marco40 (#5880),
Le gaz a sûrement des avantages, mais le problème est de stocker une quantité suffisante de carburant. Si vous utilisez des bouteilles, il en faut beaucoup pour avoir l’équivalent d’une cuve à mazout pleine. Car lorsqu’il y aura coupure, je ne suis pas sûr que l’on puisse acheter des bouteilles de gaz comme on veut. Si la caisse enregistreuse du magazin dépend du réseau…. Si l’idée est d’être tout à fait autonome pour une certaine durée, je ne vois pas mieux que le mazout. A moins de stocker beaucoup de bouteilles de gaz.
Demokratia (#5890), En fait, tout dépend de vos besoins. De ce que je comprends, vous supposez d’être autonome sur une très longue période, d’où le raccordement à une cuve avec un GE diesel. Effectivement, c’est le meilleur choix (attention néanmoins à la qualité du courant).
Alors que j’envisage pour une courte période (quelques jours). Une cuve nécessite (pour mon cas), un emplacement de plus, l’achat d’une cuve et le remplissage (500 litres?) avec une énergie fortement taxée.
Pour mon engin, une simple bouteille de 23kg me permettrait de tenir plusieurs jours sans gros sacrifices en terme de qualité de vie (arrêt de quelques heures en pleine journée car même en plein hiver, j’aurai assez de lumière et mon poêle-insert est en marche.
Vous soulevez (comme Daniel) les questions que l’on doit affectivement se poser : le choix d’un GE impose de savoir quels sont ses besoins, et ils ne se limitent pas à la puissance.
L’immense majorité des GE à moins de 1000€, ne peuvent pas fonctionner en continue longtemps, possèdent de petits réservoirs (essence) pour une autonomie d’une poignée d’heures. A cela s’ajoute la qualité d’un courant : tension à 230v stabilisé (ou avec un % autour de cette valeur très faible), stabilité dans la fréquence et surtout pour l’électronique : un signal sinusoïdale propre.
Marco40 (#5891),
Effectivement, avec ce cahier de charge, votre choix paraît tout à fait judicieux. Et comme vous le dites, le bruit est une nuisance importante pour ce genre d’appareil (sauf si l’on habite un château avec de grandes dépendances un peu éloignées….) et donc un appareil plus silencieux est important.
Demokratia (#5892), Marco40 (#5891),
Pour l’électronique, je pense qu’on doit pouvoir intercaler par exemple un « vieux » transfo 220V/110V (la plupart des chargeurs pour ordis et électronique fonctionnent sur les 2 tensions), ou mieux un « stabilisateur de tension » (qu’on utilisait il y a longtemps pour alimenter les TVs). Ces appareils doivent filtrer la plupart des parasites.
Par contre, je me méfierais d’un groupe diésel qui a besoin de courant pour démarrer, donc d’une batterie chargée. Me connaissant, pour un appareil qui sert une fois tous les 5 ou 10 ans, la recharge de la batterie a de grandes chances de passer aux oubliettes, à moins d’avoir un système automatique, ou la vigilance de notre Cdt !
papijo (#5887),
Les porteurs de la parole vraie de BBC NEWS arrangent bien à leur sauce la présentation des chiffres, que je ne conteste pas.
Checkons les checkers avec ces mêmes chiffres.
Les 20% des ENRI sont responsables de 35% des pertes de capacité.
Pire, 100% des ENRI ont été défaillantes.
On ne pourra compter sur elles pour sécuriser l’avenir, les solutions techniques n’existent pas en pratique, seule l’électricité issu du fossile et du nucléaire permet, moyennant investissements, de passer les hivers particulièrement rudes.
Les ENRI sont une impasse, elles ne fonctionnent qu’avec la roue de secours du fossile ou du nucléaire. Absurde
J’avais un peu réfléchi à préparer une possibilité d’autonomie électrique (de tentative désespérée, plutôt) ; j’ai un GE essence à 150 € que je n’ai jamais lancé, il faut que je m’y mette : il est prévu pour le brûleur de la chaudière mazout, et les circulateurs d’eau chaude.
Pour l’électronique, mon approche est la suivante (enfin, il faudrait que je m’y mette sérieusement) : passer mes matériels, principalement PC, en 12V, puis les alimenter par une batterie-tampon (grosse, au plomb). Cela permet de re-charger la batterie avec plusieurs sources différentes, dont les GE bas de gamme avec leur signal trapézoïdal pourri, et leur tension approximative. Ou le secteur, entre les coupures de délestage, smile. Je raconte cela parce qu’il serait temps que je m’y mette enfin sérieusement.
Un long trajet en électrique – possible ? : https://www.youtube.com/watch?v=UVy28s7n4-Q
Un groupe de passionnés d’automobile essaie de faire un trajet de 500 km en une journée avec une voiture électrique. Le périple devient une galère avec les bornes électriques qui ne fonctionnent pas, ou qui ne sont pas assez puissantes et qui demandent un temps de chargement long.
L’électrique c’est peut-être supportable pour des petits trajets quotidiens, mais pour l’instant sûrement pas pour des grands trajets. Sans parler des périodes de froid ou de chaud avec la dépense d’énergie pour le chauffage et la climatisation. Imaginez être bloqué pendant des heures dans un embouteillage en hiver avec le chauffage. Le véhicule électrique sera bloqué, faute d’énergie.
papijo (#5889), Et est-ce qu’on aura assez de bois ? Quand on voit le désastre des coupes à blanc pour produire des granulés (pellets in french) !
papijo (#5893),
Vous avez tout à fait raison pour le démarrage d’un groupe diesel par batterie : si on ne l’utilise pas régulièrement, le jour où on en a besoin, cela ne fonctionnera pas. Il faut donc choisir un groupe avec démarrage manuel, cela existe (pour des petits modèles). Je n’ai pas réussi à trouver un modèle avec démarrage électrique ET manuel. C’est assez étonnant. Sinon il faut vérifier que le démarrage se fait sur une batterie de 12 volts et compter sur sa batterie de voiture.
Demokratia (#5898),
Vous vouliez dire « »avec démarrage emmanuel » » »
Floyd (#5896),
Disons que la voiture électrique est un engin d’aventure, dont le but est de faire des voyages animés avec des péripéties plus ou moins variées. Mais ce n’est pas un outil de transport dont le but soit de vous emmener d’un point A à un point B le plus vite possible avec la plus grande fiabilité possible.