2551.  Claude C | 11/05/2017 @ 14:18 Répondre à ce commentaire

Le jeune youtuber a mis cette vidéo intitulée « Réchauffement climatique » en ligne
https://www.youtube.com/watch?v=3QxvNGsZ-ZQ

2552.  douar | 11/05/2017 @ 14:18 Répondre à ce commentaire

volauvent (#2548),
+1
dans le genre complotiste, Soral est dans le peloton de tête.
C’est à se demander si la vidéo n’a pas été mise sur ce site pour nuire aux climato réalistes.

2553.  volauvent | 11/05/2017 @ 14:51 Répondre à ce commentaire

the fritz (#2550),

Je ne reproche absolument rien au youtubeur. Ses premières video me semblent au contraire très bien.
C’est le renvoi au site de Soral qui me gêne. L’auteur n’y est pour rien.

2554.  scaletrans | 11/05/2017 @ 15:04 Répondre à ce commentaire

A noter qu’il est curieux de constater qu’il y a des représentations de dinosaures assez précises aussi bien dans des bas reliefs en Orient que dans de la faïence en Amérique du Sud…

2555.  douar | 11/05/2017 @ 16:41 Répondre à ce commentaire

Un article sur un blog que j’apprécie, ici

Mais là, sophisme classique: Trump est un menteur, Trump ne croit pas au RCA, donc nier le RCA est un mensonge.

2556.  Roby W | 11/05/2017 @ 17:46 Répondre à ce commentaire

Le RCA validé scientifiquement ?

Cédric Villani, célèbre mathématicien français, est candidat aux élections législatives sous l’étiquette « LREM ». Il est déjà membre d’une commission d’experts scientifiques de l’Union Européenne.

La lutte contre le RCA est un des axes affichés du programme du président élu.

DONC, la théorie du RCA est validée scientifiquement.

CQFD

Le futur président avait déclaré que la liberté s’arrête là où commence l’écologie. J’espère avoir lu une citation hors contexte.

2557.  the fritz | 11/05/2017 @ 18:03 Répondre à ce commentaire

volauvent (#2553), scaletrans (#2554),
Y a des images ?

2558.  the fritz | 11/05/2017 @ 18:06 Répondre à ce commentaire

volauvent (#2553),

C’est le renvoi au site de Soral qui me gêne

La politique , c’est au bistrot nous a-t-on dit; je ne connais ni SORAL, ni son site et la lecture de 30 secondes de WIKI à son sujet me suffit pour ignorer le personnage

2559.  Hug | 11/05/2017 @ 18:11 Répondre à ce commentaire

Roby W (#2556),

Le futur président avait déclaré que la liberté s’arrête là où commence l’écologie

Ca serait bien de retrouver la preuve qu’il a dit ça, parce-que ça vaut sont pesant de graine de dictature !!

2560.  the fritz | 11/05/2017 @ 18:20 Répondre à ce commentaire

Hug (#2559),
Ben oui; il a sans doute raison ; quand il aura embauché Corinne , je pense que sa liberté de penser et d’agir concernant ce sujet sera terminée; mais l’a-t-il jamais eu? Je ne pense pas qu’il ait jamais fait un effort pour essayer de comprendre les variations climatiques , ce qui se cache derrière la politique du RCA et les désastres qu’elles entraine

2561.  volauvent | 11/05/2017 @ 18:47 Répondre à ce commentaire

Hug (#2559),

On peut le comprendre de deux façons…la phrase est ambigüe…

2562.  Bernnard | 11/05/2017 @ 19:24 Répondre à ce commentaire

volauvent (#2561),
De deux façons ?

2563.  lemiere jacques | 11/05/2017 @ 20:02 Répondre à ce commentaire

volauvent (#2561), je n’ai aucun problème avec ça…j’ai un problème avec une définition claire de l’écologie …et où elle « commence. »..
pure com….mais véritable annonce de futures lois à « motivation » écologique

2564.  the fritz | 11/05/2017 @ 20:22 Répondre à ce commentaire

volauvent (#2561),
Comme dit Hug et cela s’adresse aussi à Roby, il serait bien de mettre des liens pour retrouver son affirmation

2565.  Roby W | 11/05/2017 @ 21:27 Répondre à ce commentaire

the fritz (#2564), la citation exacte, que j’ai retrouvée :

Au total, selon En marche, plus de 30 experts ont planché sur ces mesures. « La philosophie d’Emmanuel, c’est la liberté. Mais il y a un domaine dans lequel cette liberté doit être bornée, c’est l’écologie », résume Arnaud Leroy. Jusqu’à présent plus connu pour sa promotion des autocars, sa volonté d’assouplir des normes et son décret sur l’extraction de sable marin de Lannion, le voilà défenseur d’une « écologie réaliste ».

Source : Le Parisien du 9 février 2017 http://www.leparisien.fr/elect.....667005.php

2566.  Araucan | 11/05/2017 @ 22:20 Répondre à ce commentaire

scaletrans (#2554),
,
?????????

2567.  Hug | 11/05/2017 @ 22:38 Répondre à ce commentaire

Roby W (#2565),
Merci d’avoir retrouvé cet article.

La philosophie d’Emmanuel, c’est la liberté

Ca vaut mieux, vu que c’est un des 2 principes fondamentaux de notre république…(le 3ème, la fraternité, étant plutôt un vœu pieu…).

Mais il y a un domaine dans lequel cette liberté doit être bornée, c’est l’écologie

Le terme « bornée » étant assez imprécis, passons sur ce que ça vaut en graines de dictature, mais ça me scie quand même comme affirmation. A la limite, ça sous-entend que la sécurité et la protection des citoyens contre les délinquants, escrocs et terroristes, ça ne compte pas, seule compte la protection de l’environnement…

2568.  amike | 12/05/2017 @ 6:56 Répondre à ce commentaire

Roby W (#2565), En pinaillant, on ne peut pas dire s’il s’agit de l’opinion qui sera finalement au pouvoir après les législatives, ou seulement celle du sieur Leroy…

2569.  volauvent | 12/05/2017 @ 8:12 Répondre à ce commentaire

Hug (#2567),

Lisez Hans Jonas, un des philosophes qui a « théorisé » l’écologie dans son livre « le principe de responsabilité ».
Dès lors qu’on pose comme dogme qu’on détruit les chances de vivre des générations futures, les ressources étant limitées, il faut aller vers des contraintes fortes. Elles ne peuvent être imposées dans le cadre de nos démocraties actuelles, car les générations futures ne votent as. Il faut donc un régime politique fort tenu par une élite éclairée.
Pour comprendre l’écologie et ce qui se passe actuellement, il faut absolument lire Hans Jonas.

2570.  Marco40 | 12/05/2017 @ 8:48 Répondre à ce commentaire

volauvent (#2569),

Dès lors qu’on pose comme dogme qu’on détruit les chances de vivre des générations futures, les ressources étant limitées, il faut aller vers des contraintes fortes

Quand on me parle de générations futures, je demande toujours combien….. 2, 10, 100000000000000?
Généralement ça interpelle.
Je profite du blanc pour expliquer que l’intelligence de l’homme en sciences fait que nous trouvons des solutions, et que ce n’est pas par manque de pierres que l’homme est passé de l’âge de pierre à celui du bronze puis du fer.
Borner la liberté pour l’écologie : l’enfer est toujours pavé de bonnes intentions.

2571.  volauvent | 12/05/2017 @ 9:19 Répondre à ce commentaire

Clive Staples Lewis:
“Of all tyrannies, a tyranny exercised for the good of its victims may be the most oppressive. It may be better to live under robber barons than under omnipotent moral busybodies. The robber baron’s cruelty may sometimes sleep, his cupidity may at some point be satiated; but those who torment us for our own good will torment us without end, for they do so with the approval of their own conscience.”

De toutes les tyrannies, celle qui est exercée pour le bien de ses victimes est sans doute la plus opprimante. Il peut être bien meilleur de vivre sous la domination de souverains félons que sous des agitateurs moraux tout puissants. La cruauté d’un souverain félon peut s’assoupir, sa cupidité arriver à satiété, mais ceux qui nous tourmentent pour notre propre bien nous tourmenteront sans fin, car ils font cela avec l’accord de leur propre conscience.

C S Lewis est un écrivain britannique, auteur des célèbres « Chroniques de Narnia »

2572.  Roby W | 12/05/2017 @ 16:26 Répondre à ce commentaire

amike (#2568), ou en même temps !

2573.  Roby W | 12/05/2017 @ 16:28 Répondre à ce commentaire

volauvent (#2571)

[…] l’expérience a montré la facilité avec laquelle la science est mobilisable pour soutenir la dé-Raison…

Pierre Legendre, 2015

2574.  the fritz le testut | 12/05/2017 @ 18:41 Répondre à ce commentaire

volauvent (#2569),

Pour comprendre l’écologie et ce qui se passe actuellement, il faut absolument lire Hans Jonas.

Au fait , il dit quoi qu’on n’aurait pas compris ?

2575.  Murps | 12/05/2017 @ 18:52 Répondre à ce commentaire

the fritz le testut (#2574), je découvre le personnage à l’instant.

Ca serait comme qui dirair une espèce de théoricien des mécanismes sociologiques et philosophiques profonds de l’écologie. Le genre de pensée abstraite ou la liberté semble devenir un luxe du passé et ou on parle de l’obsolescence de l’homme. Concrètement ça fleure un peu le totalitarisme.

2576.  the fritz le testut | 12/05/2017 @ 19:12 Répondre à ce commentaire

Murps (#2575),
Merci de m’avoir épargné du temps gaspillé !

2577.  Murps | 12/05/2017 @ 20:23 Répondre à ce commentaire

the fritz le testut (#2576), ne soyez pas si définitif, il est toujours intéressant d’étudier les théories des agités du bocal…
Quand c’est totalement chabraque, ça détend après une journée de travail.

2578.  the fritz le testut | 12/05/2017 @ 21:29 Répondre à ce commentaire

Murps (#2577),
Sincèrement , je pense qu’il est plus facile de comprendre les vicissitudes des changements climatiques que les théories des agités du bocal; mais à chacun ses choix pour la détente après une dure journée de travail

2579.  jeanl | 13/05/2017 @ 6:11 Répondre à ce commentaire

volauvent (#2569),
Intéressant. A noter que cette idée d’un gouvernement fort, non démocratique en fait mais cela reste prudemment tacite à l’époque, guidé par une élite éclairée, scientifique en général, était très en vogue dans la science-fiction des années 40, 50, au moins outre-atlantique. Presque toute l’oeuvre d’Asimov est fondée là-dessus. Et votre citation de CS Lewis, qui écrivait Narnia à la même époque, confirme que cette tentation existait bien. Car le fond est bien entendu celui-ci : que des hommes éclairés sauront mieux que vous ce qui est bien pour vous. Il semble que ça revienne cycliquement.
Que les scientifiques réunis en comité ne peuvent pas errer contrairement au peuple est une idée tenace qui n’a jamais été vraiment vérifiée, puisqu’aucun gouvernement de ce type à ma connaissance n’a jamais exercé effectivement le pouvoir. Sans doute le verra-t-on un jour, nous ou bien nos descendants (ce n’est pas un souhait personnel; je pars de l’hypothèse que toute expérience pensable et réalisable finit par se produire en quelque temps en quelque lieu).

2580.  Roby W | 13/05/2017 @ 14:19 Répondre à ce commentaire

jeanl (#2579),

J’avais posté cela au bistrot :
http://www.skyfall.fr/2016/03/.....ent-198664

Et je lis sur Atlantico : Tentation autoritaire : La République En Marche… vers le 3e Empire ?

Alors après le rêve d’une République des savants (cf. Bacon), voilà la tentation du manager autoritaire, avec l’impératif humaniste du RCA catastrophique, justifiant la déraison politique ?

Faisons de la politique fiction !

2581.  Volauvent | 13/05/2017 @ 15:17 Répondre à ce commentaire

the fritz le testut (#2578),

Hans Jonas est tout sauf un guignol
Au contraire sa logique est implacable
C’ est ce qui fait peur

2582.  chercheur | 13/05/2017 @ 16:49 Répondre à ce commentaire

Claude C (#2551),

Cette video reprend une présentation de Courtillot dans laquelle il affirme que la hausse de 1°C en Europe a eu lieu entre 1985 et 1987. Avant c’était stable, après aussi. Il ajoute qu’il ne sait pas pourquoi.

De quand date cette présentation ?

Car de deux choses l’une, ou cette courbe ne correspond pas à la réalité de l’évolution des températures en Europe et elle n’aurait pas dû être présentée, ou elle est exacte et elle prouve que tout ce qu’on nous a présenté comme évolution de la température en Europe relève de l’escroquerie.

Que s’est-il passé entre 1985 et 1987 ?

Soit un phénomène physique qui a provoqué une hausse brutale de la température et qui a perduré ensuite avec la même intensité. Et là je m’étonne que l’on ne soit pas capable d’en trouver la cause. Comment est-il possible de ne pas savoir ce qui aurait pu provoquer une hausse permanente de 1°C en l’espace de 2 ans, surtout quand on a constaté une stabilité pendant 80 ans avant?

Soit ce sont les relevés de température qui ont été modifiés pour afficher à partie de 1987 une hausse de 1°C. On peut très bien imaginer une modification de l’étalonnage de sondes électroniques de stations météo au cours de ces deux années par les services météo.
Il faut se rappeler que ces années là sont le point d’orgue de diverses réunions des responsables de la météorologie qui ont débuté à la fin des années 70 dont le but était d’imposer l’idée d’un RCA qui risquait d’être catastrophique et de demander une augmentation énorme de leur budget de fonctionnement.

Quoiqu’il en soit, j’avoue ne pas comprendre pourquoi je prends connaissance de cette courbe grâce à la vidéo d’un jeune youtubeur, alors que cette courbe devrait être communiquée partout et devrait non pas faire l’objet d’un débat, si elle est exacte, mais de demandes permanentes d’explications aux experts du climat qui nous ont présenté des courbes fausses depuis tant d’années.

2583.  the fritz le testut | 13/05/2017 @ 17:08 Répondre à ce commentaire

Volauvent (#2581),

C’ est ce qui fait peur

Qu’est-ce qu’il nous prépare?
La logique implacable d’un « théoricien des mécanismes sociologiques et philosophiques profonds de l’écologie » comme le décrit Murps , cela me fait rigoler

2584.  MichelLN35 | 13/05/2017 @ 18:05 Répondre à ce commentaire

chercheur (#2582),

Il me semble que la remarque faite par un météorologiste allemand concernant le passage des températures prises dans les abris en bois aux températures prises de manière électronique concerne aussi la date de 1986 pour une augmentation de 0,9°C si j’ai bon souvenir, à l’avantage des nouveaux capteurs dont je ne me souviens plus du nom.

Je tenterai demain de retrouver les données de ce météorologiste qui avait gardé et relevé les deux types de thermomètres au même endroit, si personne n’a retrouvé le doc d’ici là. Je crois bien l’avoir archivé.

Il serait peut-être possible aussi de retrouver des mesures de teneurs en 13C dans le CO2 atmo ou dans les cernes pour vérifier s’il y a eu un vrai évènement de température ou simplement un changement d’instrument de mesure. Peut être au Luxembourg chez Massen au lycée d’Ilkirch ou quelque chose comme cela.

2585.  AntonioSan | 14/05/2017 @ 2:20 Répondre à ce commentaire

Visiblement la contestation sceptique est mal acceptee, et pas seulement an science du climat…
Un sommaire est poste ici:
http://physics.princeton.edu/~.....x.html#faq

D’autres liens
Voir la controverse sur le paradigme inflationiste de l’univers.
Voir d’autres liens vers les articles ici

2586.  Curieux | 14/05/2017 @ 8:32 Répondre à ce commentaire

AntonioSan (#2585),

Visiblement la contestation sceptique est mal acceptee

C’est le contraire ! En sciences tout est discuté, à raison ou à tort. C’est ce qui la fait progresser.
Ce que vous montrez ce sont des discussions actives, ouvertes et publiques, ce qui devrait être la norme.
En science du climat, c’est l’inverse qui se produit. De tels papiers sont impossibles à publier dans des médias officiels et ne peuvent s’afficher que sur d’obscures blogs (comme celui-ci 😉 😥 !)

2587.  the fritz le testut | 14/05/2017 @ 9:25 Répondre à ce commentaire

http://utlpaimpol.over-blog.co.....tique.html

2588.  the fritz le testut | 14/05/2017 @ 9:27 Répondre à ce commentaire

Curieux (#2586),
?? Vous dite que c’est le contraire de l’affirmation de San; et puis vous dites

De tels papiers sont impossibles à publier dans des médias officiels et ne peuvent s’afficher que sur d’obscures blogs (comme celui-ci 😉 😥 !)

On ne comprend pas bien votre logique

2589.  Curieux | 14/05/2017 @ 9:56 Répondre à ce commentaire

the fritz le testut (#2588),
Je n’ai pas été assez clair…
Le papier cité par San est publié sur le site officiel de Princeton, c’est donc un débat « officiel » publié sur un site « officiel ».
Le débat est admis. Le débats est nécessaire.
Un papier equivalent sur le RCA n’aurait pu être publié sur un site officiel (cf Judith Cury qui à son propre blog).
Le débat est interdit. La science « is settled », circulez il n’y a rien à voir.

PS, je présuppose que San ne s’oppose pas aux controverses scientifiques, même virulentes, d’où mon « au contraire ».

2590.  Cdt Michel e.r. | 14/05/2017 @ 13:15 Répondre à ce commentaire

Curieux (#2589),

La grosse différence c’est qu’il s’agit d’un débat sur une question de cosmologie, science qui n’est pas politisée comme la « science » du climat, parce que, à part des physiciens théoriques, peu de personnes sont intéressées.

La cosmologie n’ayant aucun impact sur la vie des citoyens, les théoriciens peuvent délirer à leur aise. La plupart des gens s’en foutent de savoir s’il y a eu un Big Bang ou Big Rebound.

Je vais sûrement me faire des amis en disant ça,.. mais peu me chaut.

2591.  AntonioSan | 14/05/2017 @ 15:51 Répondre à ce commentaire

Curieux (#2586), Avez vous lu les liens?
Les auteurs « rebelles » se font sermoner a coup d’arguments d’autorite et le deplorent, en demandant un debat serein. Voila le point de cette controverse qui rappelle que le debat n’est pas si aise a tenir:

The Scientific American article, Pop goes the universe (LINK), elicited an odd response from our colleagues Alan Guth, Andrei Linde, David Kaiser, and Yasunori Nomura. Rather than following the common practice of writing a Letter to the Editor under their own names, they asked 29 leading scientists to co-sign their criticism of our article.

et

We are three independent thinkers representing different generations of scientists. Our article was not intended to revisit old debates but to discuss the implications of recent observations and to point out unresolved issues that present opportunities for a new generation of young cosmologists to make a lasting impact. We hope readers will go back and review our article’s concluding paragraphs. We advocated against invoking authority and for open recognition of the shortcomings of current concepts, a reinvigorated effort to resolve these problems and an open-minded exploration of diverse ideas that avoid them altogether. We stand by these principles.

Je suis d’accord avec vous en revanche sur le principe des debats en science : c’est une evidence.

2592.  the fritz le testut | 14/05/2017 @ 19:30 Répondre à ce commentaire

AntonioSan (#2591),
En principe , en science, on fait des expériences pour prouver des théories ; j’attends que les cosmologistes nous refassent un big bang, ou mettent des barrières aux bornes actuelles du cosmos pour prouver son expansion

2593.  the fritz le testut | 14/05/2017 @ 21:20 Répondre à ce commentaire

Peut-être que ce n’est que du rappel, mais là c’est écrit par l’ADEME
Coûts des énergies renouvelables en France . (ADEME fin 2016).

L’ éolien terrestre :
En France, la capacité éolienne terrestre installée a dépassé les 11 GW fin 201616. La capacité éolienne
terrestre installée au niveau mondial était de 405 GW fin 2015, dont environ 129 GW de capacité installée en
Chine, 74 GW aux Etats-Unis et 41 GW en Allemagne17.L’exploitation de l’énergie éolienne terrestre a
commencé sur les sites présentant des vitesses de vent importantes. L’éolienne standard présente une
puissance nominale de 2,3 MW et un mât de hauteur 80 à 90 m. Depuis 2011, des machines dites de nouvelle
génération, aussi appelées éoliennes toilées, sont proposées avec un plus grand diamètre de rotor pour
une puissance nominale équivalente, et un mât plus haut (typiquement 100 à 110 m). Ces éoliennes toilées
présentent une productivité améliorée, c’est-à-dire une production annuelle plus importante que les machines
standard de même puissance, permettant d’exploiter des sites à vitesse moyenne de vent plus faibles.
La filière éolienne terrestre est dans une phase de croissance en France et dans le monde et des gisements
très importants sont encore inexploités, les éoliennes toilées augmentant considérablement le nombre de
sites exploitables.
Les objectifs de développement de la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE) en termes de capacité
installée sont compris entre 21,8 GW et 26 GW à l’horizon 202318. À l’échelle mondiale, Bloomberg
New Energy Finance (BNEF) prévoyait en 2016 une capacité installée de 691 GW pour 202019 soit un taux
de croissance moyen prévu pour la filière éolienne d’environ 11 % par an de 2015 à 2020.
>
En France, le coût total de production de l’éolienterrestre est estimé entre 54 €/MWh et 108 €/MWh
pour les machines standard, et entre 50 €/MWh et 94 €/MWh pour les éoliennes plus toilées. Pour
chacune des technologies, la plage de variation reflète une variabilité des coûts d’investissement, de la
ressource du site et du productible, suivant différentes hypothèses de taux d’actualisation (3, 5 et 8%).

La durée de fonctionnement est fixée à 20 ans. Les taux de fonctionnement varient de 20 à 27% suivant les régions pour les éoliennes d’ancienne génération et de 27 à 30% pour celles de nouvelle génération.

Le tarif d’achat actuel est de 82 €/MWh pendant 10 ans puis entre 28 et 82 €/MWh pendant 5 ans suivant les sites.

Avec le développement de la filière, l’optimisation logistique et la mise en oeuvre des innovations, les
coûts de production électrique des machines standards devraient baisser d’environ 10 à 15 % à l’horizon 2025 selon l’ADEME .

L’éolien en mer .

En France, les premiers parcs éoliens en mer devraient être mis en opération à partir de 2020
pour un total de 3 GW (1,5 GW en 2020 et 1,5 GW en 2022). La capacité éolienne en mer installée au niveau
mondial était de 12 GW fin 201519, principalement en Europe (Royaume-Uni, Allemagne et Danemark).
L’exploitation de l’énergie éolienne en mer a commencé avec des turbines posées sur les fonds marins
(éolien posé) et continue à se développer avec des turbines montées sur des flotteurs (éolien flottant)
qui faciliteront leur installation plus loin des côtes, indépendamment des conditions de sol et à des
profondeurs plus élevées. L’éolien en mer présente l’intérêt de profiter de régimes de vents plus forts et
réguliers que l’éolien terrestre, et l’éloignement des côtes diminue les conflits d’usage. Cette filière
est dans une phase de forte croissance dans le monde et des gisements très importants sont encore
inexploités notamment dans les principaux pays développés où la demande en électricité est élevée
(Europe, États-Unis, Chine, Japon).

En France, les objectifs de développement de la PPE en termes de capacité installée sont de 3 GW à l’horizon
202318. À l’échelle mondiale, BNEF prévoyait en 2016 une capacité installée de 39 GW pour 202019, soit un
taux de croissance moyen prévu pour la filière éolienne en mer d’environ 27 % par an sur la période 2015-2020.

> En France, le coût total de production de l’éolienen mer est estimé entre 123 €/MWh et 227 €/MWh
pour l’éolien posé, et entre 165 €/MWh et 364 €/MWh pour l’éolien flottant. Pour chacune
des technologies, la plage de variation reflète une variabilité des coûts d’investissement, de la ressource
du site et du productible, suivant différentes hypothèses de taux d’actualisation (3, 5 et 8%).

La durée de fonctionnement est fixée à 20 ans. Les taux de fonctionnement varient de 34 à 45% suivant les zones géographiques.

Caractéristiques techniques
Le potentiel d’innovation reste très important sur l’ensemble de la chaîne de valeur des projets. Avec
le développement de la filière, les coûts devraient baisser d’environ 35 % à l’horizon 2025.

L’hydrolien marin :

Il n’existe aujourd’hui à l’échelle mondiale que des démonstrateurs unitaires hydroliens marins.
En France, un démonstrateur est en phase de test à Paimpol-Bréhat et un autre au large de l’île
Ouessant.La filière est dans une phase de croissance en France et dans le monde et des gisements importants
sont encore inexploités dans des zones bien localisées principalement au Raz Blanchard en France,
dans le Pentland Firth en Écosse, et dans la baie de Fundy au Canada. Des gisements plus diffus mais plus
nombreux existent également en milieux insulaires, en Indonésie notamment.

> En France, les objectifs de développement de la PPE en termes de capacité installée sont de 100 MW
pour l’ensemble des énergies marines à l’horizon 2023. À l’échelle mondiale, l’IRENA prévoyait en
2014 une capacité installée de 200 MW d’hydrolien marin à horizon 2020.
D’après les appels à projets en France et à l’international, le coût total de production de
l’hydrolien marin est estimé entre 123 €/MWh et 571 €/MWh. Le productible considéré pour l’étude
est donc fixe et la plage de variation s’explique principalement par le taux d’actualisation
considéré (3, 8 et 10%).

La durée de fonctionnement est fixée à 25 ans.

Le temps de fonctionnement estimé varie de 1750 à 2250 h/an suivant les sites.

Le photovoltaïque :

En France, la capacité photovoltaïque installée a dépassé les 7 GW à la fin juin 2016. La capacité
photovoltaïque installée au niveau mondial était de 252 GW fin 2015, dont environ 43 GW de capacité
installée en Chine, et plus de 96 GW en Europe (dont environ 40 GW en Allemagne).
Portée par des gisements non exploités conséquents, des soutiens politiques et des choix industriels forts,
cette filière est en pleine croissance à l’échelle mondiale.
En France, les objectifs de développement de la PPE en termes de capacité installée sont compris entre 18,2 GW et 20,2 GW à l’horizon 2023. À l’échelle mondiale, BNEF prévoyait en 2016 une capacité installée de 579
GW pour 202019, soit un taux de croissance moyen prévu pour la filière photovoltaïque d’environ 21 %
par an sur la période 2015-2020.

> En France, le coût total de production du photovoltaïque (technologie silicium) des
centrales au sol est estimé entre 64 €/MWh et 167 €/MWh, le coût total de production en toiture
pour le résidentiel est estimé entre 164 €/MWh et 407 €/MWh pour les installations intégrées au
bâtiment (IAB) et entre 155 €/MWh et 334 €/MWh pour les installations surimposées, et le coût total de
production en toiture pour les secteurs commercial et industriel est estimé entre 98 €/MWh et 246 €/MWh.
Cette plage de variation s’explique notamment par le type de technologie considérée, la ressource du
site et le productible au nord et au sud de la France, et le taux d’actualisation (3, 5 et 8%).

La durée de fonctionnement est fixée à 25 ans.

Les taux de charge varient de 10,8 à 11,9% au nord de la France et de 15,9 à 17,5% au sud de la France.

Le potentiel d’innovation reste très important sur l’ensemble de la chaîne de valeur des projets. Avec
le développement de la filière, les coûts devraient continuer à baisser selon l’ADEME d’environ 35 % à l’horizon 2025 grâce, notamment, à l’amélioration des processus de production des équipements et l’augmentation
des rendements des modules.

Le solaire thermodynamique :

En France, il n’y a pas de centrales solaires thermodynamiques, à l’exception de démonstrateurs
ayant pour objet la constitution d’une vitrine pour l’exportation de technologies (exemples avec les
projets tests de grand four solaire d’Odeillo (1969) et la centrale Themis (1983)). La capacité solaire
thermodynamique installée au niveau mondial était de 6 GW fin 2015.
La filière thermodynamique produit de l’électricité en concentrant le rayonnement solaire à l’aide de
miroirs ou de réflecteurs, permettant de chauffer un fluide caloporteur. Les centrales à miroirs cylindroparaboliques, concentrent le flux solaire sur des tubes récepteurs horizontaux. Les centrales à tour sont
entourées d’un champ d’héliostats (suivant la course du soleil) qui concentrent les rayons au sommet d’une
tour fixe. Quant aux centrales à miroirs de Fresnel, elles utilisent des miroirs plans pour concentrer le
flux solaire sur un tube, récepteur fixe. Cette filière est dans une phase de croissance relative
à l’international car le solaire thermodynamique nécessite d’avoir un fort ensoleillement direct, une
surface au sol importante, et souffre de la concurrence du photovoltaïque dont les coûts ont fortement baissé
ces dernières années.

> En France, faute d’un ensoleillement direct suffisamment important toute l’année27, il n’y
a pas d’objectif de développement fixé par la PPE. Néanmoins, la mise en service d’une nouvelle
centrale à concentration (eLlo) est prévue fin 2017 pour une puissance totale installée de 9 MW28.
A l’échelle mondiale, BNEF prévoyait en 2016 une capacité installée de 13 GW pour 202019 soit un taux
de croissance moyen prévu pour la filière solaire thermodynamique d’environ 17 % par an de 2015 à
2020.
À l’international, le coût total de production du solaire thermodynamique est estimé entre
89 €/MWh et 315 €/MWh. Cette plage de variation s’explique notamment par le type de technologie
considérée – centrale solaire à miroirs cylindroparaboliques, à tour ou à miroirs de Fresnel – et leur
coût d’investissement, le contexte local (le pays, la ressource du site et le productible), et le taux
d’actualisation (5,8 et 10%).

Le solaire thermodynamique est une technologie maîtrisée qui peut être déployée à très grande
échelle. Le potentiel d’innovation reste important sur l’ensemble de la chaîne de valeur des projets. Avec le
développement de la filière, les coûts d’investissement devraient baisser d’environ 20 à 45 % à l’horizon 2025,
notamment grâce à la baisse des coûts de fabrication des miroirs et à l’amélioration des performances
techniques des centrales.

La géothermie :

En France, la capacité de la filière géothermie pour la production d’électricité installée est de 17 MW à la fin
201530. La capacité géothermique installée au niveau mondial était de 12,6 GW fin 201531 dont environ
3 GW en Amérique du Nord et 3 GW aux Philippines et en Indonésie. Il existe deux types de géothermie : la géothermie volcanique – la plus répandue, qui valorise directement la chaleur géothermale pour produire de l’électricité – et la géothermie EGS (Enhanced Geothermal System ou Systèmes Géothermiques Stimulés en français), filière émergente qui, du fait de températures moins élevées, nécessite le passage par un fluide intermédiaire (technologie ORC).
Les gisements à l’échelle mondiale sont localisés principalement dans les zones volcaniques ou
tectoniquement actives. Le potentiel de croissance se situe principalement en Amérique Latine, en
Afrique de l’est et en Asie du sud-est. En France, les objectifs de développement de la PPE en termes
de capacité installée sont de 53 MW à l’horizon 2023, principalement dans les DOM (Martinique et
Guadeloupe) pour la géothermie volcanique et en métropole pour la géothermie EGS.
A l’échelle mondiale, BNEF prévoyait en 2016 une capacité installée de 21,5 GW pour 2020, soit un taux
de croissance moyen prévu pour la filière géothermique d’environ 10 % par an sur la période 2015 à 2020.

> Le prix de production de l’électricité géothermique conventionnelle, c’est-à-dire de type volcanique,
se situe au plan international entre 38 €/MWh et 62 €/MWh pour des centrales standard de
20 à 50 MW d’accès relativement facile. En France, le coût de production de l’électricité de la centrale
de Bouillante en Guadeloupe, seule unité en fonctionnement de type volcanique sur le territoire
national, se situe plutôt aux alentours de 100 €/MWh ; soit un coût plus élevé que les coûts standard en
raison de sa taille (10 MW) et du fait de l’insularité. Pour la géothermie EGS, le coût de production de
l’électricité pour des installations type comme celles qui seront bientôt réalisées en France, varie de
173 €/MWh à 336 €/MWh. La plage de variation s’explique par l’accessibilité de la ressource (profondeur de
forage et température de la ressource) et le coût d’investissement (notamment la technologie de conversion thermoélectrique ORC plus chère que cycle vapeur), et le taux d’actualisation (3, 5, 8 et 10%).

2594.  Cdt Michel e.r. | 15/05/2017 @ 1:53 Répondre à ce commentaire

the fritz le testut (#2592),
Je vous rappelle la réponse de ‘Tonton flingueur’ (pseudo de Christian Magnan, astrophysicien) à mon message sur Wiki à propos de la cosmologie

Alors là je suis drôlement heureux de découvrir quelqu’un qui ne voue pas une admiration béate aux élucubrations métaphysiques de la cosmologie moderne et qui « bondit » devant de telles dérives. Moi je suis indigné [Smiley Colère]. Toutefois il faut faire une distinction entre la vraie cosmologie, celle de l’univers fini de Friedmann et la cosmologie pervertie moderne, par exemple celle de la matière noire et de l’énergie sombre. En outre, si l’univers est né il y a quelque quatorze milliards d’années il est bon de connaître cette vérité, non ? Je pars du principe (indémontrable) que connaître la vérité des choses fait partie de notre destin.
L’univers pourrait disparaître dans le Big Crunch dans peut-être quelque 500 milliards d’années. Voir [1]
Tonton flingueuron cause⋅ Montpellier, le 27 février 2008 à 18:38 (CET)

2595.  Cdt Michel e.r. | 15/05/2017 @ 2:42 Répondre à ce commentaire

the fritz le testut (#2593),

Il aurait été intéressant de donner la source de votre document.
Serait-ce ceci? où l’on trouve :

Document à télécharger
couts_energies_renouvelables_en_france_edition2016v1.pdf
(PDF — 1.57 Mo — 04/04/2017)

2596.  lemiere jacques | 15/05/2017 @ 7:30 Répondre à ce commentaire

Hug (#2567), la majeure partie des gens vivant en société admettent le bornage de leurs libertés, selon l’idée que « on ne doit pas nuire à autrui »; sauf que ce n’est pas si simple. Pour l’écologie c’est plus joli, en gros on se nuit à soi m^me mais on ne s’en rend pas compte où ce qu’on fait nous portera nuisance plus tard… Ce qui est effrayant c’est la certitude parce que dans la vie rien n’est simple, rien ou presque n’est bon ou mauvais. L’écologie a un fort potentiel pour créer les bases idéologiques à une société totalitaire.
Si « la nature et l’environnement « sont notre bien commun alors chacun de nos actes doit être approuvé par tout le monde ( en pratique par un comité central écologique) puisque chacun de nos actes à part peut être la pensée porte atteinte à l’environnement. Totalitarisme.

2597.  the fritz le testut | 15/05/2017 @ 8:21 Répondre à ce commentaire

Cdt Michel e.r. (#2595),
Si vous voulez écouter au lieu de lire
I. Le matin 10 heures
le coût des énergies renouvelables

par
David MARCHAL
directeur adjoint Production et Energies renouvelables de l’ADEME

C’est au siège de la SFEN 103 rue Réaumur Paris 2ème le 18 mai 2017

2598.  Cdt Michel e.r. | 15/05/2017 @ 9:05 Répondre à ce commentaire

the fritz le testut (#2597),
Merci !
Le PDF que je signale dans mon message précédent m’est plus que suffisant.

Me rendre en voiture à Paris pour écouter un gars de l’ADEME, c’est plus de 800 km AR depuis Liège…

2599.  Curieux | 15/05/2017 @ 9:40 Répondre à ce commentaire

AntonioSan (#2591),
Vous me permettrez de ne pas vous suivre.
Dans toutes les activités humaines vous avez un contingent de c… et même de c… particulièrement opiniâtres. Leurs arguments (?) sont du même tonneau.
Sauf à vouloir changer l’espèce humaine (les heures les plus sombre, etc.) ce sera toujours ainsi. Donc en l’espèce et contrairement au dicton, ce n’est pas le contenu qui est le plus important mais le flacon.

2600.  scaletrans | 15/05/2017 @ 14:04 Répondre à ce commentaire

Curieux (#2599),

Là par contre, vous me permettrez de ne pas être d’accord. Il me semble entendre encore ces phrases que l’on entendait dans les amphis en mai 68 en face d’arguments pertinents: d’où parles-tu ?. Donc, le flacon ne correspond pas toujours au contenu, et ce qui est pertinent, l’est quelle que soit l’appartenance de celui qui s’exprime.

Sorry, the comment form is closed at this time.