1.  Murps | 24/02/2020 @ 11:53 Répondre à ce commentaire

Bienvenue sur la version 2020.
Vous pouvez retrouver vos commentaires du fil précédent ici.

2.  Murps | 24/02/2020 @ 12:08 Répondre à ce commentaire

D’après une étude américaine, un quart des tweets climato-sceptiques seraient écrits par des robots mais on ne sait toujours pas qui se cache derrière ces « bots ».

25 % des participants de ce site sont donc des bots.

Ces bots écrivent des trucs infâmes comme :

Vous me parlez de réchauffement climatique mais chez moi il fait frais ce matin »,

ou bien

« s’attaquer au CO2 est un crime je vous explique pourquoi »,

ou encore

« la mort des ours blancs c’est terrible mais j’en veux pas dans mon jardin »,

voilà quelques exemples de tweets que vous recevez lorsque vous parlez environnement tous les matins sur RTL.

Il paraitrait que nous sommes peu nombreux dans le monde mais remarquablement organisés.
C’est pas ce que me dit ma femme en tout cas.

Fritz, c’est encore vous qui pourrissez le site Luxembourgeois avec vos textos contestataires ?
C’est vous le plus proche du Luxembourg, je vois pas d’autres responsables.
Envoyez un mail d’excuses.
laugh

3.  AntonioSan | 25/02/2020 @ 19:25 Répondre à ce commentaire

Murps (#2), Les fameux Cook et Lewandovsky…

4.  fm06 | 26/02/2020 @ 16:55 Répondre à ce commentaire

Jolie bataille de commentaires dans cet article sur Naomi Seibt:
https://www.lepoint.fr/environnement/naomi-seibt-l-anti-greta-des-climatosceptiques-25-02-2020-2364308_1927.php

5.  dan | 26/02/2020 @ 20:19 Répondre à ce commentaire

Voici la question que j’ai posé à un article vu sur « les crises »:

« J’aimerai qu’on m’explique enfin : en roulant 20 000 km/an avec ma voiture et en admettant qu’elle consomme 10 litres de carburant au 100 km, ça fait 2000 l, c’est à dire en poids environ 2000 kg, soit 2 tonnes. Comment est-il possible que j’envoie dans atmosphère 4,8 tonnes, selon ce qui est écrit ci-dessus, c’est à dire plus du double en poids que ce que j’ai mis de carburant dans ma voiture ? Il y a là une transmutation que je n’arrive pas à m’expliquer, quelqu’un de savant peut-il m’aider ? Merci d’avance. »

6.  Araucan | 26/02/2020 @ 21:32 Répondre à ce commentaire

dan (#5),
Lien ?

7.  Araucan | 26/02/2020 @ 21:43 Répondre à ce commentaire

dan (#5),
C’est de cela dont vous parlez ?
‘´La récente édition du Global Carbon Budget donne une image complète de ces empreintes territoriales dans le monde jusqu’en 2018. Cette année-là, les rejets de CO2 dans l’atmosphère résultant de l’usage d’énergie fossile et de procédés industriels ont atteint 36,5 gigatonnes de CO2, soit 4,8 tonnes par habitant : ce qu’on émet en produisant 3 tonnes d’acier ou en roulant 20 000 km dans une voiture de moyenne gamme. Les quatre premiers émetteurs – Chine, États-Unis, Union européenne, Inde – contribuent pour un peu plus de 60 % à ces rejets, mais connaissent des évolutions contrastées.´´

L’essence étant plus légère que l’eau, son poids est inférieur à un kilo 😉.
En gros, comme par la combustion on passe d’hydrocarbures ( en gros du carbone et de l’hydrogène) à du CO2 ( deux oxygène pour un carbone avec l’atome d’oxygène plus lourd que celui de carbone), ils arrivent à ce chiffre de 4,8 t . Mais il n’y a pas plus de carbone rejeté qu’il n’y en avait dans l’essence !

8.  Bernnard | 26/02/2020 @ 21:47 Répondre à ce commentaire

dan (#5),
Je suppose que vous parlez du poids de CO2.
Il faut juste appliquer la règle de 3 suivante :
Si P1 est le poids de carburant (Essence, Gasoil, kérosène…peut importe, il faut juste que ce soit des hydrocarbures saturés en majorité. C’est généralement le cas), et P2 le poids de CO2 emis:
P2 ~P1x44/14 ou bien P2 sensiblement égal à P1 x 3,14. (ce n’est pas Pi)
Bien sûr, si la combustion est complète
Autre chose:
1 litre d’essence pèse environ de 720 à 775 g (aux températures usuelles)
1 litre de gasoil pèse environ de 820 à 845 g (« )
1 litre de kérosène de 755 à 840 g à 15°C

9.  dan | 26/02/2020 @ 22:02 Répondre à ce commentaire

Ma question est : comment peut-on rejeter plus que ce l’on consomme ?, à mon sens ce devrait être l’inverse, il devrait y avoir une perte entre la quantité de carburant utilisée et transformée en énergie pour faire rouler le véhicule et la masse rejetée dans l’air par suite de sa combustion, il ne peut pas y avoir création de matière.
https://www.les-crises.fr/les-trois-thermometres-de-laction-contre-le-rechauffement-climatique-par-christian-de-perthuis/

10.  Bernnard | 26/02/2020 @ 22:14 Répondre à ce commentaire

dan (#9),
C’est de la chimie 12 g de carbone (C) génère 44 g de gaz carbonique (CO2) (l’oxygène (O2) de l’air se fixe sur le carbone).

11.  Murps | 26/02/2020 @ 22:29 Répondre à ce commentaire

Bernnard (#10), Toutafé.

D’une manière générale
CnH(2n+2) + (3n+1)/2 O2 → n CO2 + (n+1) H2O + chaleur

L’essence est du genre C7H16 ( en moyenne, en fait c’est le b…el )

Ca fait
C7H16 + 11O2 → 7 CO2 + 8 H2O + chaleur

Donc 100 g d’essence produisent 308 g de CO2

Vous envoyez plus dans l’atmosphère parce que vous rajoutez l’oxygène de l’air.

On parle de « bilan carbone » et on fait des calculs de CO2.
Je trouve cette présentation du « Global Carbon Budget » malhonnête, mais bon on ne peut pas s’attendre à de la rigueur et de l’éthique chez une association dont l’objectif est de faire de l’agit prop.

12.  amike | 26/02/2020 @ 22:44 Répondre à ce commentaire

« Il y a 2 sources de chaleur sur Terre : le soleil et la géothermie ; l’effet de serre n’est pas le 3ème », disait un commentateur.

Voila 2 sites qui défendent respectivement le premier et étonnamment le second !
Bilan énergétique thermodynamique de la Terre – Le graphique en support de l’article est remarquable : il ne donne pas l’impression que la Terre est plate !
Déduire la géothermie – La blogueuse développe la théorie que c’est en grande part la géothermie qui permet à la température moyenne à la surface de la Terre d’être au dessus de zéro !

Bien sûr, ça chauffe entre les deux smile

13.  Marco40 | 27/02/2020 @ 7:41 Répondre à ce commentaire

dan (#9), Bernard vient de vous répondre. J’ajouterai que « l’on oublie » fréquemment qu’un moteur thermique ne consomme pas seulement du carburant, mais aussi l’oxygène de l’air. Oxygène qu’elle ne transporte pas.
Ce qui explique l’excellent rendement volume carburant transporté/poids du véhicule. Ce que ne peut pas un véhicule électrique.

14.  Nicias | 27/02/2020 @ 8:26 Répondre à ce commentaire

Murps (#2),

Ils tweetent beaucoup les climatosceptiques français ?
AMHA, les bots c’est 100% des tweets français climatosceptiques.

« la mort des ours blancs c’est terrible mais j’en veux pas dans mon jardin »

Je l’aime bien celui là. Je le rajoute dans la base lexicale de mon suppléant.

15.  scaletrans | 27/02/2020 @ 9:57 Répondre à ce commentaire

amike (#12),
Merci !
Le graphique sphérique est dans ma base de données. kiss

16.  oger | 27/02/2020 @ 17:49 Répondre à ce commentaire

Le dogme animant le GIEC depuis sa création repose sur le CO2 anthropique produisant des GES qui seraient à l’origine du réchauffement climatique.
Le CO2 occupe 30% des GES et l’anthropique y a une part de 5% environ.
Sur le total l’homme est donc responsable de 30 x 5% = 1,5% des GES !
Ces chiffres sont des approximations mais donnent une idée de l’effet produit par nos activités.
A coups de milliards de $ de dépenses de toutes sortes nous avons la prétention de régler la t° de la planète au demi-degré près !
G.O.

17.  Hug | 27/02/2020 @ 19:18 Répondre à ce commentaire

oger (#16),
J’en ai marre de voir ce chiffre de 5% de part anthropique du CO2 alors que les rechauffistes disent que la part anthropique du CO2 est plutôt de 30% ((410-280)/410).
Personnellement je ne sais pas, donc ce serait bien de préciser comment ce chiffre de 5% est obtenu.

18.  pastilleverte | 27/02/2020 @ 19:23 Répondre à ce commentaire

dan (#5),
N’oubliez pas que vous combinez comburant (air, donc azote et oxygène) et hydrocarbures HnCx.
En aviation, avec le kérosène (jetA1), une tonne de kéro consommée = 3,15T de CO2 (+H2O + Nox + HC)
Si c’était vraiment cela votre interrogation ?

19.  pastilleverte | 27/02/2020 @ 19:27 Répondre à ce commentaire

pastilleverte (#18),
Oups, désolé, des gens bien plus savants que moi ont déjà répondu.
Par contre je connais bien les chiffres pour l’aviation, étant un retraité d’une grande compagnie aérienne franco-néerlandaise dont je tairais le nom smile
j’avais plaisir à présenter un « slide » affichant seulement 1 = 3,15, pour vois la réaction du « public ».

20.  Murps | 27/02/2020 @ 19:55 Répondre à ce commentaire

pastilleverte (#19), Provocateur….
laugh

21.  volauvent | 27/02/2020 @ 23:03 Répondre à ce commentaire

Hug (#17),

Cela vient du cycle du carbone; en l’absence de nos émissions, le cycle est équilibré, 100 Gt de C émis (sous forme de CO2) et 100 Gt absorbé . On en émet 5GT par an, ça fait 5% de ce qui monte.
Ce chiffre de 5% est donc une imposture, ce n’est évidemment pas comme ça qu’il faut compter. C’est le stock qui est important, pas le % en flux montant.

22.  pastilleverte | 28/02/2020 @ 12:20 Répondre à ce commentaire

Murps (#20),
Non, non, juste flatteur
laugh

23.  Hug | 28/02/2020 @ 13:48 Répondre à ce commentaire

volauvent (#21),
Oui j’en étais à peu près sûr que le 5% ne correspond qu’au flux et non au stock. C’est aussi faux que de dire que le CO2 anthropique reste 100 ans dans l’atmosphère.
Mais je souhaiterai que ce soit ceux qui annoncent ce chiffre qui nous l’expliquent, parce que c’est typiquement le genre d’assertion qui est répétée sans vérification ni esprit critiue, simplement parce-qu’elle va dans le sens du climatosceptisme.

24.  Anecdote | 28/02/2020 @ 17:29 Répondre à ce commentaire

http://www.meteofrance.fr/actu.....-en-france

25.  Nicias | 28/02/2020 @ 18:35 Répondre à ce commentaire

volauvent (#21), Hug (#23),

Les 100Gt sont un flux brut, et les 5% le flux net anthropique rapporté à ce flux brut. On mélange les choux et les carottes.

26.  Philippe | 28/02/2020 @ 23:38 Répondre à ce commentaire

Hug (#17),

Dans l’atmosphère, le CO2 est présent à l’état de trace, à raison de 0,04% (avant l’ère industrielle, vers 1850, on était à 0,03%).
0,04%, c’est 4 molécule de CO2 pour 10.000 molécules d’air.

D’après le rapport AR5 du GIEC (page 471, figure 6.1), la proportion de CO2 d’origine anthropique est de 3,8% de tout le CO2 atmosphérique.
Il y a donc 0,04% x 3,8% = 152 molécules de CO2 anthropique sur 100.000 molécules d’air.

Il faudra qu’on nous explique comment une densité aussi ténue peut provoquer toutes les catastrophes climatiques qu’on nous annonce…

27.  AntonioSan | 28/02/2020 @ 23:53 Répondre à ce commentaire

Anecdote (#24), Oui et alors? Des situations synoptiques qui ne favoriserent pas l’Europe occidentale, en 120 ans.
Exceptionnel? Oui. Jamais vu? Pourquoi arreter les statistiques au debut du XX siecle chez MF? Quelque chose a cacher peut etre? Un hiver similaire fin XIX siecle alors que le taux de CO2 etait beaucoup plus bas?
Imaginons si on avait vecu au contraire un hiver hyper-rigoureux… Le pire en 120 ans. On nous aurait bien fait comprendre que la France c’est petit et que cela ne remet bien sur pas en question le rechauffage global…
Mais quand le Groenland bat un bon record de froid en Janvier -66 C, rien. Quand le record en Colombie Britannique est battu en janvier a -48,5 C, rien. L’air froid est pourtant la.

28.  Cdt Michel e.r. | 29/02/2020 @ 7:45 Répondre à ce commentaire

amike (#12) et scaletrans (#15),

Il y a près de 9 ans que J.E. Postma combat la théorie « terre platiste » du GIEC.

J’ai retrouvé dans mes archives 3 PDF (publiés en 2011) et la traduction de l’un d’eux par Michel le Normand en 2014 (que j’ai quelque peu corrigée).
Lien Frefox Send (valide pendant 7 jours)

Bonne lecture !

29.  Marco40 | 29/02/2020 @ 9:33 Répondre à ce commentaire

Cdt Michel e.r. (#28), Thx!

30.  Anecdote | 29/02/2020 @ 10:10 Répondre à ce commentaire

AntonioSan (#27),
Il n’y a pas que la France. A l’échelle européenne cet hiver est exceptionnel (au nord surtout) et j’en ai parlé plusieurs fois sur ce fil, tant sur le plan comptable que sur le plan synoptique, mais vous n’avez pas réagi.
Loin de moi l’idée de généraliser évidemment, mais c’est notable et on peut en parler.

31.  scaletrans | 29/02/2020 @ 10:15 Répondre à ce commentaire

Cdt Michel e.r. (#28),
Merci !

32.  Anecdote | 29/02/2020 @ 10:16 Répondre à ce commentaire

Anecdote (#30),
https://www.smhi.se/klimat/klimatet-da-och-nu/arets-vader/vintern-2020-ovanligt-rekordrik-vinter-1.155690

L’hiver 2019/2020 a été doux pendant les trois mois d’hiver et en janvier, de nombreux records de température ont été établis. La saison dans son ensemble est devenue un record dans le sud de la Suède et même dans plusieurs endroits du Norrland, elle est devenue un record. En raison de l’air doux qui dominait, il était inhabituellement enneigé dans le sud de la Suède et au printemps est arrivé tôt à Götaland, au sud de Svealand et dans certaines stations côtières de Norrland. L’hiver a été pluvieux à de nombreux endroits et à Växjö et Ljungby, entre autres, il a battu des records.

(Traduction Google)

33.  scaletrans | 29/02/2020 @ 10:18 Répondre à ce commentaire

Anecdote (#30),
Et je gage que si on remonte, ne serait-ce que 100 ans en arrière, on aura vu des situations comparables, même si exceptionnelles. Comme le fait remarquer AntonioSan, rien sur le Groenland et l’Amérique du Nord où près de 20% des récoltes de maïs ont été perdues à cause d’un hiver précoce.

34.  Paul Aubrin | 29/02/2020 @ 10:56 Répondre à ce commentaire

dan (#5), La différence dépend si l’on compte en poids de « carbone » ou de « dioxyde de carbone ».
Supposons que l’on brûle de l’octane C8H18. La masse molaire est 114, 96 pour les atomes de carbone, 18 pour ceux d’hydrogène. Une fois brûlé, cela donne 162 g d’eau et 352 g de dioxyde de carbone.
On a brûlé 114g de carburant et produit 352g de CO2, un peu plus de 3 fois plus. Pour tout un tas de raison, plus ou moins bonnes, on ne mentionne pas les 162g d’eau.
Le plus souvent, le coefficient appliqué est 44/12 ~=3,67.
Comme l’astrologie, la climastrologie repose en partie sur des bases scientifiques.

35.  Bernnard | 29/02/2020 @ 14:38 Répondre à ce commentaire

Paul Aubrin (#34),
Le coefficient appliqué est plutôt de 44/14.
-CH2- (masse 14) donnant (CO2) (masse 44). Pour les longues chaînes, on néglige la masse des H terminaux (2).

36.  Michel Le Rouméliote | 29/02/2020 @ 18:25 Répondre à ce commentaire

scaletrans (#33), Et pour reprendre la remarque d’Antonio San #27, on peut remarquer que, si on regarde la Terre en vue polaire nord, le froid, cet hiver, est descendu entre le Groenland et la Sibérie et que le chaud est remonté entre l’Europe occidentale et la Russie, comme s’il y avait un partage « est/ouest » des flux. Cela n’aurait-il pas à voir avec les facteurs orbitaux de la Terre ?

37.  AntonioSan | 29/02/2020 @ 22:40 Répondre à ce commentaire

Anecdote (#30), C’est la raison pour laquelle j’ai mentionne l’Europe occidentale, pas seulement la France. Je partage votre observation concernant l’absence d’AMPs scandinaves qui sont en general les responsables des vagues de froid. Ce qui est important c’est bien qu’absent de l’Europe occidentale, le froid record a bel et bien existe, mais ailleurs.
Que MF demarre sa serie la ou cela l’arrange est un autre probleme.
Michel Le Rouméliote (#36), Et comme a ma connaissance en septembre personne n’avait predit cette situation, on en arrive effectivement a se poser la question de ce qui controle ces configurations saisonnieres. Si le systeme etait si chaotique que cela, on ne voit pas comment la configuration pourrait durer des mois.

A part cela, je suis recemment tombe sur un rapport sur l’evolution climatique de l’Alberta, redige par l’inalterable alarmiste Hayhoe et m’amusait de cartes prospectives issues des modeles usuels montrant l’augmentation des precipitations en fonction de la temperature globale de +1C a +4C par rapport a la base 1980-2009… Ce qui etait amusant c’est que seule l’intensite des precipitations changeait mais pas leur situation! Comme si un tel changement global de temperature ne se traduisait pas par une migration des structures pluviogeniques du fait de la reduction du gradient de temperature pole/equateur qu’un rechauffement entrainerait! Ce detail demontre comment ces modeles et ceux qui les interpretent n’ont aucune realite des processus meteos qui vont se faire les relais du suppose changement climatique qu’ils annoncent. A mediter quand on va nous sortir les memes aneries modelisees pour l’hexagone…

38.  Jojobargeot | 29/02/2020 @ 22:56 Répondre à ce commentaire

AntonioSan (#37), Il faut peut être chercher du côté des ondes de Rossby pour expliquer ce phénomène. On constate aussi que la conséquence d’un climat à tendance océanique cet hiver explique à la fois les températures et les précipitations.
Ceci dit, après près de trois ans de déficit hydrique, ce n’est pas un mal, on en avait besoin. Ça fluctue, ça change normal quoi.

39.  Curieux | 29/02/2020 @ 22:57 Répondre à ce commentaire

AntonioSan (#37),

Si le systeme etait si chaotique que cela, on ne voit pas comment la configuration pourrait durer des mois.

Si il est chaotique alors il y a nécessairement une imprévisibilité des périodes, donc des périodes stables qui peuvent être longues.

40.  AntonioSan | 29/02/2020 @ 23:43 Répondre à ce commentaire

Curieux (#38), Oui vous avez raison, mon erreur.
https://arxiv.org/abs/1707.04569
https://arxiv.org/pdf/1707.04569.pdf

41.  Araucan | 1/03/2020 @ 11:03 Répondre à ce commentaire

Curieux (#39),
Ni l’heure, ni le lieu …😉

42.  Anecdote | 1/03/2020 @ 11:07 Répondre à ce commentaire

Moscou a pulvérisé de 3°C son ancien record d’hiver doux (1961) avec une moyenne positive (+0.2°C).
Ne me tombez pas dessus svp, c’est juste une info smile

43.  micfa | 1/03/2020 @ 11:51 Répondre à ce commentaire

Toutes les moyennes anciennes ayant été homogénéisées, c’est à dire trafiquées, plus rien n’est fiable, puisqu’elles ne correspondent pas aux t° brutes réellement enregistrées. Le terme « jamais enregistré » ne veut plus rien dire. Les records de chaleur ou de douceur ne sont pas homogénéisés, il n’y a que les moyennes, mais ils sont dopés par l’effet urbain pour toutes les stations des villes, et donc eux non plus ne sont pas fiables et ne veulent plus rien dire. Par exemple, il n’est pas possible de comparer les t° actuelles de Toulouse-Blagnac avec celles des années 40. Si on survole Blagnac avec Google maps satellite, il est certain que l’agglomération ne devait pas être la même.

45.  Anecdote | 1/03/2020 @ 14:51 Répondre à ce commentaire

micfa (#43),
Là je trouve que vous charriez, le record de Moscou est solide.
Il y a eu du vent presque tout le temps, atténuant nettement l’effet urbain.

46.  Anecdote | 1/03/2020 @ 14:52 Répondre à ce commentaire

micfa (#43),
Pour les journées calmes ok

47.  micfa | 1/03/2020 @ 16:42 Répondre à ce commentaire

Anecdote (#45), C’est possible, mais qui vous dit que l’environnement urbain de la station était exactement le même lors du précédent record? Impossible à dire. Ce n’est donc pas une certitude. Ne faisons pas comme les médias. Lorsqu’on compare des températures avec le passé les conditions environnementales de mesure doivent être rigoureusement les mêmes, peu importe le vent, il fait partie des conditions naturelles.

48.  Paul Aubrin | 1/03/2020 @ 17:52 Répondre à ce commentaire

Anecdote (#24),
Les hivers doux selon meteo-paris.
1900 : janvier extrêmement doux, presque printannier.
1916 : janvier le plus doux depuis au moins 1851, la végétation est en avance, les abricotiers fleurissent.
1920 : février très, très sec, exceptionnellement ensoleillé. Les températures du 25 au 31 décembre ont été plus élevées qu’entre le 4 et le 8 juin.
1922 : février, températures printannières.
1925 : décembre, températures estivales.
1926 : février le plus doux depuis 1874, aucune gelée sur l’ensemble de la France.
etc.

49.  Anecdote | 1/03/2020 @ 17:59 Répondre à ce commentaire

Paul Aubrin (#48),
Je sais tout cela.
A ce stade on parle des 3 mois d’hiver, pas d’un seul.

50.  Anecdote | 1/03/2020 @ 18:00 Répondre à ce commentaire

micfa (#47),
Le vent atténue nettement l’effet d’ilot de chaleur urbain.

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