Pourquoi un tel réchauffement ?

• • • • •

En comparant la température GISTEMP du GISS* à celles fournies par les 4 autres agences officiellement chargées de compiler la température globale, on constate parfois des écarts considérables. Par exemple si on cale GISTEMP (courbe rouge) à celle de l'UAH (satellite, courbe verte) en janvier 2008 (graphique 1, point A), en mars, la température du GISS était devenue supérieure de 0,35°C à celle de l'UAH (point B), soit, en relatif, la moitié du réchauffement sur tout le 20e siècle (0,7°C) !


Figure 1 : Comparaison température globale de surface
du GISS (GISTEMP) et la température par satellite (UAH)

D'où viendrait cet écart, toujours dans le sens d'un réchauffement pour GISTEMP ? Une des raisons est la faible couverture spatiale des stations de mesure utilisées le GISS. En mars 2008, on voit sur la carte du GISS (graphique 2) de larges zones du globe non couvertes (Afrique, Canada, Arctique, Pacifique). Or ces zones ont été, d'après les données satellites (graphique 3) particulièrement froides. En les excluant de sa compilation de température, le GISS a introduit un biais positif conséquent dans son calcul de "température globale".

Figure 2 : Température GISS, Mars 2008


Figure 3 : Températue satellite UAH, Mars 2008

La question serait pourquoi le GISS continue-t-il à annoncer une température dite globale avec des données aussi incomplètes et avec un réseau de capteurs dont le nombre ne cesse de diminuer (6.000 dans les années 80, environ 2.000 de nos jours selon ses propres sources) ?

*Le GISS est une agence de la NASA chargée de l'étude climat et dirigée actuellement par James Hansen, scientifique mondialement connu en tant qu'activiste engagé dans la thèse d'un réchauffement catastrophique et un des conseillers principaux d'Al Gore sur le changement climatique.

201.  cocaaladioxine | 24/06/2008 @ 15:38 Répondre à ce commentaire

Curieux : ce qui est très drôle, c’est la façon dont vous vous autosatisfaisez…

miniTAX : tiens, ce n’est pas ce que j’ai lu dans les articles mentionnés. Vous devriez les lire aussi ! Histoire de vous tenir au courant.

202.  miniTAX | 24/06/2008 @ 15:53 Répondre à ce commentaire

@201 quoi donc ?

203.  Marot | 24/06/2008 @ 15:58 Répondre à ce commentaire

miniTAX soyez indulgent, il était 15h38, il sortait épuisé de sa sieste comme dit par ailleurs.

204.  cocaaladioxine | 24/06/2008 @ 16:02 Répondre à ce commentaire

miniTAX : voir post 191

Marot : je commence à 7h00 et termine à 20h. J’ai le droit de me déclarer un peu fatigué de temps en temps.

205.  Marot | 24/06/2008 @ 16:03 Répondre à ce commentaire

Mais oui, mais oui, personne ne le conteste.

206.  cocaaladioxine | 24/06/2008 @ 16:04 Répondre à ce commentaire

Si ce n’est vous, semble-t-il. Vous pouvez me rappeler votre occupation professionnelle ?

207.  Marot | 24/06/2008 @ 16:06 Répondre à ce commentaire

et mon état-civil complet ?

208.  cocaaladioxine | 24/06/2008 @ 16:13 Répondre à ce commentaire

Non, mais si vous critiquez ma soi-disant oisiveté, c’est que vous devez avoir des raisons.

209.  laurent | 24/06/2008 @ 20:39 Répondre à ce commentaire

@cocaa

envoyer 1 lien devrait vous prendre 3 secondes. Ou alors je suis le seul à devoir me justifier sur base de références ici ?

Trouver un lien avec tous les mots clés à ta disposition devrait aussi te prendre 3 secondes.
Tu n’es pas le seul à sortir des références… pas la peine de jouer à calimero.

je vous rappelle que vous affirmiez initialement qu’aucun modèle n’existe prenant en compte l’effet de feedback des nuages sur le climat

Ou ais-je affirmé cela?… j’ai relu toutes mes interventions du fil pour voir si j’avais dis cette bétise… il n’y en a aucun…

Vous voue référez sans doute à votre propre l’hypothèse (au post #180) d’une affirmation de ma part « Comment pouvez-vous dire que je suis un hérétique qui serait le seul à penser à cet effet de saturation ? Qu’il n’existe aucun modèle prenant en compte un tel effet ? » qui n’a d’ailleurs rien à voir avec l’affirmation que vous me prêtez maintenant.
… et ou de plus vous ne parliez que « d’effet de saturation » et pas de modélisation basique de « cloud feedback » (dont aucun modèle ne donne une estimation négative… ce qui veut bien dire que la plupart de ces modèles en font un « accélérateur », et pas un « ralentisseur par effet de saturation »…. fermez la parenthèse… 😉 )
Donc, en premier vous me mettez les questions auxquelles vous souhaitez répondre dans mes écrits, et ensuite vous répondez à coté aux questions que vous avez vous-même posé…..
Vous nous avez envoyé 6 liens qui n’ont strictement rien à voir avec un quelconque « effet de saturation » (ce que j’avais prévu au post #186)
qui noie le poisson?

Pour recadrer – tu veux une affirmation qui viens de moi, en voila une: Tous les modèles actuels qui tentent de modéliser la rétroaction des nuages sur le climat, le font avec des approximations grossières qui n’ont aucune validité physique et qui n’ont aucun autre effet que de réduire encore la robustesse déjà très faible des dits modèles…

L

210.  laurent | 24/06/2008 @ 20:46 Répondre à ce commentaire

@cocaa

envoyer 1 lien devrait vous prendre 3 secondes. Ou alors je suis le seul à devoir me justifier sur base de références ici ?

Trouver un lien avec tous les mots clés à ta disposition devrait aussi te prendre 3 secondes.
Tu n’es pas le seul à sortir des références… pas la peine de jouer à calimero.

je vous rappelle que vous affirmiez initialement qu’aucun modèle n’existe prenant en compte l’effet de feedback des nuages sur le climat

Ou ais-je affirmé cela?… j’ai relu toutes mes interventions du fil pour voir si j’avais dis cette bétise… il n’y en a aucun…

Vous voue référez sans doute à votre propre l’hypothèse (au post #180) d’une affirmation de ma part « Comment pouvez-vous dire que je suis un hérétique qui serait le seul à penser à cet effet de saturation ? Qu’il n’existe aucun modèle prenant en compte un tel effet ? » qui n’a d’ailleurs rien à voir avec l’affirmation que vous me prêtez maintenant.
… et ou de plus vous ne parliez que « d’effet de saturation » et pas de modélisation basique de « cloud feedback » (dont aucun modèle ne donne une estimation négative… ce qui veut bien dire que la plupart de ces modèles en font un « accélérateur », et pas un « ralentisseur par effet de saturation »…. fermez la parenthèse… 😉 )
Donc, en premier vous me mettez les questions auxquelles vous souhaitez répondre dans mes écrits, et ensuite vous répondez à coté aux questions que vous avez vous-même posé…..
Vous nous avez envoyé 6 liens qui n’ont strictement rien à voir avec un quelconque « effet de saturation » (ce que j’avais prévu au post #186)
qui noie le poisson?

Pour recadrer – tu veux une affirmation qui viens de moi, en voila une: Tous les modèles actuels qui tentent de modéliser la rétroaction des nuages sur le climat, le font avec des approximations grossières qui n’ont aucune validité physique et qui n’ont aucun autre effet que de réduire encore la robustesse déjà très faible des dits modèles…

La tu

211.  cocaaladioxine | 25/06/2008 @ 8:03 Répondre à ce commentaire

Vous nous avez envoyé 6 liens qui n’ont strictement rien à voir avec un quelconque “effet de saturation”

Alors, vous ne les avez pas lu ? Même pas l’article de Cess ? OK, je vais vous faciliter la tâche. Voici un exemple bien concret :

CARBON-DIOXIDE AND CLIMATE – THE IMPACT OF CLOUD PARAMETERIZATION
Author(s): SENIOR CA, MITCHELL JFB
Source: JOURNAL OF CLIMATE Volume: 6 Issue: 3 Pages: 393-418 Published: MAR 1993

When interactive cloud water is included, however, this effect is almost entirely compensated for by a negative feedback from the change of phase of cloud water from ice to water. Additional negative feedbacks are found when interactive radiative properties of cloud are included and these lead to an overall negative cloud feedback.

N’oubliez pas que cet article, parlant donc de cet effet de rétroaction négatif des nuages sur l’effet de serre, date d’il y a 15 ans. Tous les modèles (valables) actuels de CG incluent incluent de tels feedbacks.

212.  Curieux | 25/06/2008 @ 9:30 Répondre à ce commentaire

Hé, coco, le patatoïde intellectuel, lit les références que tu cites :

Résumé / Abstract
The importance of the representation of cloud in a general circulation model is investigated by utilizing four different parameterization schemes for layer cloud in a low-resolution version of the general circulation model (…) Schemes that include a prognostic cloud water ariable show some improvement on those with relative humidity-dependent cloud, but all still show marked differences from the ERBE data.

Tout le contraire de tes affirmations, brillantissimes !

213.  cocaaladioxine | 25/06/2008 @ 9:46 Répondre à ce commentaire

Je vous rappelle que ces liens devaient indiquer que la modélisation du feedback négatif dû aux nuages existe réellement, pas que les simulations sont géniales, infaillibles et révolutionnaires. Vous avez lu ça où ?

Mon affirmation était : « L’idée de base est que l’élévation de T induit une augmentation de l’évaporation de l’eau qui est un gaz à effet de serre important. A long terme, ceci implique aussi plus de nuages, ce qui devrait saturer l’augmentation des T. « 

214.  Curieux | 25/06/2008 @ 10:23 Répondre à ce commentaire

Coco arrête l’auto-feedback,

que la modélisation du feedback négatif dû aux nuages existe réellement,

Ton liens est EXPLICITE c’est écrit : parameterization

215.  cocaaladioxine | 25/06/2008 @ 10:26 Répondre à ce commentaire

Cher Curieux,

tout modèle nécessite une paramétrisation. Je pensais que vous le saviez. Qui plus est, j’ai déjà donné 7 références différentes de modèles incluant le feedback que je mentionne, ce n’est pas assez ?

216.  Curieux | 25/06/2008 @ 10:44 Répondre à ce commentaire

Mais t’es con ou quoi ? Laurent te dit :

« Tous les modèles actuels qui tentent de modéliser la rétroaction des nuages sur le climat, le font avec des approximations grossières qui n’ont aucune validité physique et qui n’ont aucun autre effet que de réduire encore la robustesse déjà très faible des dits modèles… »

tu réponds

CARBON-DIOXIDE AND CLIMATE – THE IMPACT OF CLOUD PARAMETERIZATION

Qui est exactement ce que te dis Laurent.

Coco c’est plus du feedback mais tu tourne en boucle comme un vieux vinyle rayé !

217.  miniTAX | 25/06/2008 @ 11:01 Répondre à ce commentaire

Mon affirmation était : “L’idée de base est que l’élévation de T induit une augmentation de l’évaporation de l’eau qui est un gaz à effet de serre important. A long terme, ceci implique aussi plus de nuages, ce qui devrait saturer l’augmentation des T. “

@213
Ton affirmation repose sur du vent. Aucun modèle ni personne ne sait actuellement si avec un réchauffement, il y aura plus ou moins de nuages ni comment ça se répartirait entre nuages bas (effet réchauffant) et nuages haut (effet refroidissant).

218.  cocaaladioxine | 25/06/2008 @ 11:46 Répondre à ce commentaire

Curieux : votre incompréhension à la lecture devenant petit à petit pathologique, je crois que je vais en rester là. Même en mettant le modèle devant vos yeux, vous diriez encore qu’il ne prend pas en compte la dynamique des couches nuageuses.

MiniTAX : mais c’est pas possible, vous n’avez donc pas lu les références que j’ai envoyées ? Que voulez-vous que je fasse de plus ? Tout y est suffisamment explicite.

PS restons polis, svp.

219.  Marot | 25/06/2008 @ 13:37 Répondre à ce commentaire

Il faut se méfier des idées personnelles selon lesquelles ceci ou cela…

La NOAA fournit ceci :

Le premier qui trouve une tendance liée à la température a gagné.

220.  Curieux | 25/06/2008 @ 15:17 Répondre à ce commentaire

Même en mettant le modèle devant vos yeux

Vous parlez au dessus de votre condition.

mais c’est pas possible, vous n’avez donc pas lu les références que j’ai envoyées ?

Mais coco c’est toi qui ne lit pas tes références !

221.  cocaaladioxine | 25/06/2008 @ 15:33 Répondre à ce commentaire

Maiiiiiis oui, ça doit être juste, je ne lis pas mes références, mais ceux qui postent des messages disant exactement l’inverse de ce qu’il y a dedans doivent les avoir lus. Je dis bravo !

Marot : c’est un graphe de quoi ? L’humidité à quelle altitude et où sur terre ? Que signifie exactement le « up to 300 millibar only » ?

De toute façon, il y a clairement une tendance. Il suffirait de faire une régression pour s’en rendre compte. Par contre les mesures (dont on ne sait pas comment, où et quand elles ont été prises of course) semblent fortement bruitées.

222.  cocaaladioxine | 25/06/2008 @ 15:52 Répondre à ce commentaire

Un petit cadeau pour vous : ce qui se passe quand on effectue une régression linéaire des températures globales (HADCRUT)entre 1998 et 2008, les fameux dix ans « durant lesquels la température globale n’a pas augmenté » et qui « prouvent bien qu’il n’y a pas de réchauffement ».

Il y a une différence entre impression visuelle et calcul… Dans ce cas-ci, une augmentation de température globale de 0.14 deg en dix ans (je me demande bien ce que ça doit faire par siècle).

Remarquez au passage que ceci inclus avril 2008, alors que les graphiques « montrant clairement » une diminution de T s’arrêtent tous en février… Vous comprenez maintenant pourquoi : les températures globales sont remontées subitement après. Manipulation, quand tu nous tiens…

223.  Marot | 25/06/2008 @ 15:53 Répondre à ce commentaire

Ah, paresseux impénitent :

1) lisez la légende
2) allez compléter vos connaissances ici

http://www.cdc.noaa.gov/cgi-bi.....series1.pl

Quant à la tendance, j’attends.

224.  cocaaladioxine | 25/06/2008 @ 15:54 Répondre à ce commentaire

Youpsie, les axes ont été décalés, donc pas 0.14 degrés. Mais une augmentation tout de même – vais me renseigner sur l’échelle.

225.  cocaaladioxine | 25/06/2008 @ 15:56 Répondre à ce commentaire

Ah ben non, c’est bien 0.14 – suis-je bête c’est une variation par rapport à des données translatées, donc la pente reste la même…

226.  cocaaladioxine | 25/06/2008 @ 15:59 Répondre à ce commentaire

Euh.. quelle légende ? Après chpotage, vous avez donc porté le taux d’humidité en latitude et longitude 0 (bref, en un seul point de l’équateur) en bloquant les données à 380 mb. OK, vais faire le test avec un balayage un peu moins ponctuel…

227.  cocaaladioxine | 25/06/2008 @ 16:12 Répondre à ce commentaire

Voilà, régression faite… augmentation de 2% depuis 1940, mais à un rythme de 7% depuis 1970.

228.  Marot | 25/06/2008 @ 16:33 Répondre à ce commentaire

Je n’ai rien porté ni en long ni en large ni en travers.

Arrêtez de faire le mal comprenant et adressez-vous à la NOAA.

Faites vos tests et ne revenez qu’après avec quelque chose à dire.

229.  miniTAX | 25/06/2008 @ 17:03 Répondre à ce commentaire

Un petit cadeau pour vous : ce qui se passe quand on effectue une régression linéaire des températures globales (HADCRUT)entre 1998 et 2008, les fameux dix ans “durant lesquels la température globale n’a pas augmenté” et qui “prouvent bien qu’il n’y a pas de réchauffement”.

Quand on vient crâner, il faut savoir de quoi on parle et non se contenter de recoller un truc prémâché sans même faire un minimum de vérif !

« Ton » graphe ne représente pas la température du HADCRU mais du GISS, l’agence dirigée par l’uber-hystérique Hansen qui est la SEULE à donner une température plus haute que les autres et la SEULE à donner une tendance positive entre 1998 et maintenant, cherchez l’erreur ! (cf ce lien et les données)

D’ailleurs, « ton » graphe est pourri ! Si on fait la tendance entre janvier 1998 et mai 2008 (mois le plus récent pour lequel on a la température), le « réchauffement sans précédent » aurait une pente de 0,11°C par décennie, soit une hausse de 1,1°C par siècle.

Comme « accélération du réchauffement », c’est catastrophique… pour les réchauffistes. Pas étonnant qu’ils soient aussi désespérés et hystériques.

230.  Curieux | 25/06/2008 @ 18:06 Répondre à ce commentaire

Boudiou et moi qu’avait acheter le parasol et l’huile bronzante pour 2100 !
Que vais-je en faire ?
Hé coco, j’te les donne, y-z-ont pas servis toi qui y croit ça te donnera un look tendance.

231.  Curieux | 25/06/2008 @ 18:10 Répondre à ce commentaire

A voir d’urgence sur youtub « George Carlin – Saving the Planet » une bonne illustration d’un génial sceptique.

232.  Ben | 25/06/2008 @ 18:57 Répondre à ce commentaire

Thanks, Curieux ! I didn’t knew this guy ! Excellent !

233.  laurent | 25/06/2008 @ 21:37 Répondre à ce commentaire

@cocaa

Alors, vous ne les avez pas lu ? Même pas l’article de Cess ?

Si, je les ais même commenté … sauf la 6ième, mais y compris l’article de Cess
Vous vous enfoncez… 😉

Par contre, je me passe de lire de Senior et Mitchell qui est totalement obsolète (1993)… tu vois, quand je ne lis pas, je te le dis… 😉
Ta conclusion

Tous les modèles (valables) actuels de CG incluent incluent de tels feedbacks (négatifs)

est elle totalement fausse…. c’est de ta part juste une affirmation gratuite qui démontre que tu ne sais pas de quoi tu parle… 😉

La preuve en est (encore une fois), dans la bible (GIEC AR4), chapitre 8.6.2.3, page 633….. je cite:
« but in the absence of cloud feedbacks, current GCMs would predict a climate sensitivity (±1 standard deviation) of roughly 1.9°C ± 0.15°C (ignoring spread from radiative forcing differences). The mean and standard deviation of climate sensitivity estimates derived from current GCMs are larger (3.2°C ± 0.7°C) essentially because the GCMs all predict a positive cloud feedback (Figure 8.14) but strongly disagree on its magnitude »

Donc contrairement à ce que tu « affirme », TOUS les modèles actuels montrent un rétroaction POSITIVE des nuages (effet de serre additionnel > albédo additionnelle), et viennent augmenter, de façon IMPORTANTE (plus ou moins suivant les modèles…. mais +1,3° en moyenne, ce n’est pas de la gnognote… 😉 ) le réchauffement prédit.
(et la dispersion accrue confirme mon affirmation sur la robustesse des dits modèles).

Et ton affirmation:

A long terme, ceci implique aussi plus de nuages, ce qui devrait saturer l’augmentation des T

N’est qu’une affirmation sans fondement (en ce qui concerne les modèles et le GIEC et les connaissances actuelles) et contraire à la doctrine officielle.

Je pense tout de même qu’il est possible qu’elle se révèle un jours correcte (par exemple quand l’effet Iris aura été prouvé complètement… 😉 on y revient)… mais il faudra attendre les résultats des collectes de données de Parasol et des autres satellites de la constellation A-Train… et si ce n’est pas suffisant, d’autres expériences à venir.

Quand on dit que tu es un sceptique qui s’ignore….. une preuve de plus…. 😉 smile

234.  cocaaladioxine | 26/06/2008 @ 6:45 Répondre à ce commentaire

miniTAX, quel art de la manipulation… Vous prenez les températures en démarrant « comme par hasard » en le mois le plus chaud jamais mesuré (à cause d’el nino). Alors, évidemment, les températures ont l’air de diminuer. Mais commencez votre graphe en 96, 95, 94 , 93… ou en 99 ou 2000 et elles montent… Ca alors ! C’est ce qu’on appelle une tendance non-robuste (allez voir sur google)

Mais enfin laurent, comment est-ce possible ? J’ai ces articles là, les pdfs ouverts devant mes yeux, qui parlent de l’effet rétroactif négatif des nuages. Et de nouveau, le GIEC n’est pas ressource universelle de savoir.

Autre point : des chercheurs ont aussi montré qu’il devrait exister un effet de saturation lié au temps de ve du CO2 et d’H2O dans l’atmosphère, i.e. que ces gaz devraient arriver à un moment à une concentration atmosphérique d’équilibre qui saturerait l’effet de serre.

235.  Curieux | 26/06/2008 @ 7:30 Répondre à ce commentaire

Vous prenez les températures en démarrant “comme par hasard” en le mois le plus chaud jamais mesuré (à cause d’el nino). Alors, évidemment, les températures ont l’air de diminuer. Mais commencez votre graphe en 96, 95, 94 , 93… ou en 99 ou 2000 et elles montent… Ca alors

J’ai trouvé l’origine du refroidissement actuel, c’est coco, il est givré !

image déjà posté ce qui confirme l’hypothèse givré.

236.  miniTAX | 26/06/2008 @ 8:00 Répondre à ce commentaire

@234 Coca
Non, je n’ai pas commencé par le mois le plus chaud, arrête de mentir. J’ai commencé par début 2008, point, qui d’ailleurs n’est pas le mois le plus chaud.

Quant à la « tendance pas robuste », ha le scoop. On le sait déjà juste en regardant le R2 autour de 0,11, il n’y a que toi qui le découvres. De toute façon, le climat suit des cycles donc que tu traces une droite sur 10 ans ou sur 1 siècle, la régression linéaire ne sera toujours pas « robuste » donc tu parles pour ne rien dire.

D’ailleurs, je rappelle que c’était toi qui venait triomphalement proposer » « un petit cadeau pour vous : ce qui se passe quand on effectue une régression linéaire », alors hein.

237.  Marot | 26/06/2008 @ 9:38 Répondre à ce commentaire

Il faudrait arrêter les affaires de « trend », de droite de régression et de toute présentation linéaire.

L’approximation linéaire ne vaut que pour un phénomène linéaire bruité.

L’évolution du climat et des températures et de tout le reste n’est pas linéaire.

Le seul cas acceptable est la recherche de tendance à court terme, quand on peut raisonnablement rester « tangent » à l’évolution continue sous-jacente.

Le 0,7° en 150 ans n’a aucun sens.
Une tendance sur quelques années en a encore une sous réserve des effets de bord.

À voir les courbes lissées des derniers siècles, je pense pour ma part que 5 à 8 ans ne doivent pas être dépassés.

Le travers des « réchauffistes » consistant à faire du linéaire sur 15-20-30 ans et plus est inacceptable.

238.  cocaaladioxine | 26/06/2008 @ 12:11 Répondre à ce commentaire

miniTAX : la robustesse d’un système n’est pas lié à l’écart-type, comme vous semblez l’affirmer, mais dans le cas de de séries temporelles (comme ici) à la sensibilité par rapport à un décalage (disons delta) dans les conditions initiales. Si je fais une tendance en démarrant 1 an avant ou 1 an après votre proposition, je ne trouve plus de refroidissement. Si je la refais en descendant dans les années, je trouve toujours un réchauffement.

Quand on fait une régression linéaire il faut respecter au moins deux points 1- se limiter à des durées relativement courtes (en effet Marot) et 2- tester la sensibilité aux conditions initiales.

Pour voir l’évolution sur de plus longues durées, les analystes font des moyennes à 5-10 ans (c’est selon), donc dans un premier temps une régression linéaire localement dans le temps. La série ainsi extraite est fitée avec des formes polynomiales. 0.7 deg c’est juste le delta T, pas la pente d’une régression linéaire.

239.  Marot | 26/06/2008 @ 12:48 Répondre à ce commentaire

Alors qu’est venue faire cette figure dans votre post 72 ?

qui en plus montre des droites qui commencent soigneusement dans un creux de 1983.

240.  cocaaladioxine | 26/06/2008 @ 13:57 Répondre à ce commentaire

Ce n’est pas moi qui ai fait cette régression, et vouspouvez être sûr qu’en commençant en 1978 vous aurez aussi une pente positive. Vous voyez aussi le pic de 98 du à El nino ? OK, imaginez la courbe sans ce pic…

241.  Curieux | 26/06/2008 @ 15:16 Répondre à ce commentaire

Ce n’est pas moi qui ai fait

Ça fait gamin de dix ans, il faut juste ajouter « une bêtise ».

242.  Marot | 26/06/2008 @ 15:43 Répondre à ce commentaire

Ce n’est pas moi qui ai fait cette régression

et qui l’a affichée ici ?

243.  cocaaladioxine | 26/06/2008 @ 16:03 Répondre à ce commentaire

Ce n’est en rien une bêtise, et vous devriez le savoir étant donné votre expertise dans le domaine. Je l’ai affichée car, pour une fois, quelqu’un a fait une analyse linéaire de la tendance plutôt que, comme d’autres parmi lesquels on peut vous trouver, simplement regarder une figure en disant « c’est sûr, ça ne monte pas ».

C’est la différence entre l’amateurisme et la science.

244.  Marot | 26/06/2008 @ 16:10 Répondre à ce commentaire

Ben voyons, votre science se contredit à deux posts de distance.

Mission impossible.

245.  cocaaladioxine | 26/06/2008 @ 16:20 Répondre à ce commentaire

Je me demande bien où je me contredis…

De nouveau, concernant la régression, j’ai mis ce que j’ai pu trouver. Perso, je ne l’aurais pas fait exactement comme cela, mais je n’ai pas les données brutes.

Je crois surtout que ça vous fait mal aux yeux de voir que ces températures augmentent réellement. Vous les fermez pour vous convaincre d’avoir raison, mais c’est fort triste.

Dès que l’on traite les données de T ou d’humidité, ou de niveau des océans comme on devrait le faire, il y a une seule et même tendance : ça monte…

246.  Marot | 26/06/2008 @ 16:33 Répondre à ce commentaire

On ne « met » pas ce qu’on trouve.

et on n’affiche pas une régression sur quasiment 30 ans en reconnaissant quelques posts plus loin qu’il ne faut pas le faire.

247.  miniTAX | 26/06/2008 @ 16:33 Répondre à ce commentaire

De nouveau, concernant la régression, j’ai mis ce que j’ai pu trouver. Perso, je ne l’aurais pas fait exactement comme cela, mais je n’ai pas les données brutes.

Si t’es pas fichu de trouver les données brutes au point d’avancer l’excuse bidon du « j’ai pas les données », alors que c’est indiqué au moins une dizaine de fois dans ce fil, notamment dans le sujet même, qui nous dit que tu serais capable de réfléchir par toi-même.
T’es qu’une caricature, une FARCE.

248.  laurent | 27/06/2008 @ 0:24 Répondre à ce commentaire

Mais enfin laurent, comment est-ce possible ? J’ai ces articles là, les pdfs ouverts devant mes yeux, qui parlent de l’effet rétroactif négatif des nuages.

Ce qui est tout à fait possible… et même vérifié maintenant… c’est que tu n’a aucune idée de comment fonctionnent les modèles, comment ils sont paramétrés et quels sont les sorties.
Tu peux au moins faire confiance au GIEC pour te dire ce qu’il y a et ce qu’il n’y a pas dans les modèles (vu que ce sont justement les modélisateurs qui font la pluie et le beau temps au GIEC… ).
Je t’avais d’ailleurs conseillé de lire le chapitre 8 de l’AR4…. mais comme tu es une tête de mule… 😉

Et de nouveau, le GIEC n’est pas ressource universelle de savoir.

Oui, oui, oui…. on le sait que tu es sceptique…. mais ce n’est quand même pas la peine de faire du zèle… 😉

249.  laurent | 27/06/2008 @ 1:08 Répondre à ce commentaire

@cocaa

miniTAX : la robustesse d’un système n’est pas lié à l’écart-type, comme vous semblez l’affirmer, mais dans le cas de de séries temporelles (comme ici) à la sensibilité par rapport à un décalage (disons delta) dans les conditions initiales. Si je fais une tendance en démarrant 1 an avant ou 1 an après votre proposition, je ne trouve plus de refroidissement. Si je la refais en descendant dans les années, je trouve toujours un réchauffement.

Quand on fait une régression linéaire il faut respecter au moins deux points 1- se limiter à des durées relativement courtes (en effet Marot) et 2- tester la sensibilité aux conditions initiales.

Pour voir l’évolution sur de plus longues durées, les analystes font des moyennes à 5-10 ans (c’est selon), donc dans un premier temps une régression linéaire localement dans le temps. La série ainsi extraite est fitée avec des formes polynomiales. 0.7 deg c’est juste le delta T, pas la pente d’une régression linéaire.

J’avoue que j’ai rarement lu un tel tissus d’âneries…

– Confusion totale entre régression linéaire (pour qui les « conditions initiales » ont aucun sens… le R2 par contre est la mesure directe de la ressemblance entre la série et son modèle linéaire) et modélisation linéaire glissante.

– l’invention de préceptes qui n’ont jamais existé (nécessité de séries courtes, etc…)

– l’affirmation d’un fit polynomial sorti du chapeau (jamais utilisé par aucun article revu par le GIEC)

– encore une affirmation tout à fait érronée, le 0,7° calculé eur la série longue est bien le résultat d’une régression linéaire (différence d’ordonnées de la droite régressée entre Tinital et Tfinal)

Vous êtes sois-disant un statisticien??? (qui ne savait pas ce qu’étais un coefficient de corrélation linéaire avant qu’on lui dise… et qui depuis qui l’a découvert raconte n’importe quoi suivant la vielle méthode « plus les bêtises qu’on affirme sont énormes, et plus il y a de chances qu’elles passent…. »)

Si tu es statisticien Cocaa… moi je suis la réincarnation du boudha…

250.  cocaaladioxine | 27/06/2008 @ 9:55 Répondre à ce commentaire

Ouaaaah, laurent, vous avez l’air de maîtriser les maths c’est incroyable.

– Toute fonction ne peut être approximée par une dépendance linéaire que dans un intervalle court autour d’un point de référence donnée, et ce à la seule condition que la dérivée première soit non-nulle. (cf développements de Taylor et McLaurin).

– une régression linéaire n’a un sens que si la varation de la pente et de l’ordonnée à l’origine est faible pour une translation faible dans l’espace des données – théorie formelle de la réduction des modèles, deuxième année.

Je crois que vous n’avez juste pas le niveau

Sorry, the comment form is closed at this time.