951.  pastilleverte | 11/06/2015 @ 9:25 Répondre à ce commentaire

Murps (#949),
j’ai mis du temps à comprendre, j’aurais rajouté un « – » aussi …

952.  luc | 12/06/2015 @ 8:12 Répondre à ce commentaire

Il ne s’agit pas de climat, mais simplement d’une info ridicule du moins dans son expression:

http://www.lefigaro.fr/secteur.....l-iran.php

953.  luc | 12/06/2015 @ 8:21 Répondre à ce commentaire

Celle-ci est plus construite mais bâtie sur le même concept:

http://sante.lefigaro.fr/actua.....e-piratees

954.  scaletrans | 12/06/2015 @ 15:46 Répondre à ce commentaire

Cet article de la Tribune ne fera sans doute pas le buzz:

1. Essor de la « chimie verte » : des doutes sur l’aspect éthique et écologique

9 juin 2015

La Tribune.fr

Prendre de la paille de blé et l’utiliser comme matière première pour des biocarburants ou des matériaux de construction : ce type de raffinerie végétale, également appelée bioraffinerie, est désormais à portée de main en Midi-Pyrénées. Dans le Tarn, la société CIMV fait figure de pionnière. L’entreprise a mis au point un procédé unique au monde pour séparer les trois composants de la paille de blé et les transformer en produits à haute valeur ajoutée. Ces composants sont l’hémicellulose (un sucre transformable en biocarburant), la cellulose (qui sert à faire du papier) et la lignine (qui permet d’obtenir des résines pour remplacer ceux d’origine pétrolière dans la composition des adhésifs, des plastiques…).Sur son site de Lavaur, la PME espère transformer sa future unité de démonstration en véritable usine, capable de produire jusqu’à 1 000 tonnes de biomatériaux par jour. Un nouveau souffle pour l’industrie chimique À l’image de l’initiative de CIMV, la chimie verte connaît un essor grandissant en Midi-Pyrénées. 14 ans après l’explosion de l’usine AZF à Toulouse, les industriels cherchent à limiter les substances dangereuses en remplaçant les produits issus du pétrole par des matériaux d’origine biologique. Au-delà de l’utilisation des agroressources, la chimie verte (ou « durable ») vise également l’optimisation des procédés en réduisant les déchets toxiques. La chimie durable peut être à la base de la fabrication de plastiques biodégradables, peintures et colles sans solvants nocifs. Plus écologique, cette démarche est censée lutter contre les émissions de CO2 et faire face à la pénurie des réserves de pétrole. Sur le plan économique, ce marché porteur pourrait devenir un grand pourvoyeur d’emplois et donner un nouveau souffle à l’industrie chimique régionale. qui emploie aujourd’hui plus de 5 000 personnes dans 134 sociétés. Dans le Tarn, le cofondateur de CIMV, Michel Delmas estime : « Environ 40 emplois seront créés au lancement de l’unité de démonstration mais les effectifs seront multipliés en cas d’ouverture de l’usine. » En Haute-Garonne, le centre de recherche Toulouse White Biotechnology (TWB) connaît lui aussi un beau succès. En trois années d’existence, la plateforme a déjà signé pour 12,8 millions d’euros de contrats et ses travaux ont généré 9 brevets. Une trentaine de projets est en cours : biocarburants pour Airbus, matériaux plastiques biodégradables à base d’enzymes, ou transformation génétique de la levure de boulangerie en micro-algues pour en faire de l’alcool carburant. Pour Pierre Monsan, son dirigeant, « la région dispose de nombreuses surfaces agricoles et la chimie verte permet de donner plus de valeur ajoutée à ces terres ». Pour encourager cette dynamique, un cluster chimie verte a été lancé en janvier 2014 en Midi-Pyrénées. « Notre objectif est de mutualiser les compétences des entreprises régionales afin d’acquérir une part importante du marché de la chimie verte qui envisage un chiffre d’affaires de 200 milliards d’euros en Europe d’ici à 2020 », précisait alors Cédric Cabanes, PDG d’Agronutrition. 38 sociétés adhèrent à ce nouveau cluster par lesquelles figurent des piliers régionaux comme les Laboratoires Pierre Fabre ou Agronutrition. –> Un des laboratoires de TWB, à Toulouse Doutes sur l’impact écologique et Éthique Mais certains experts émettent de sérieux doutes sur l’impact écologique de cette nouvelle forme de chimie. Chercheuse en économie à l’université Toulouse 2 et membre du conseil scientifique d’Attac, Geneviève Azam considère ainsi : « Les terres cultivables se sont considérablement réduites du fait de la bétonisation. Si on convertit de plus en plus de terres pour de la culture intensive (par exemple sur du maïs) dans le but de faire de l’énergie, cela pose des problèmes au niveau agricole. Nous sommes face à des enjeux qui nous dépassent et beaucoup croient que nous pouvons nous en sortir par de la technique. Or, nous devons d’abord diminuer notre consommation d’énergie. » L’économiste pointe aussi des problèmes éthiques: « Il existe plusieurs formes de chimie verte : la chimie de synthèse, et les agrocarburants. Avec la chimie de synthèse, il est possible de concevoir des organismes qui n’existent pas dans la nature et capables de produire de l’énergie. Or, nous ne maîtrisons absolument pas les conséquences de ce type de manipulation. » Pour parer ce genre d’écueils, TWB a implanté depuis sa création dans le centre de recherche un plateau éthique piloté par le philosophe et physicien Vincent Grégoire-Delory. Objectif : apporter un regard extérieur sur le travail des scientifiques et veiller au respect d’une démarche éthique. « Je ne travaille pas avec les startups à partir d’une liste d’écueils à éviter, ce serait trop caricatural, explique le philosophe. Il s’agit plutôt de mener une réflexion globale autour du vivant puisque la chimie verte permet de modifier en profondeur certaines molécules. Il faut se demander : que se passe-t-il si ces molécules transformées sortent de la zone confinée et se promènent dans la nature ? De la même manière, si l’homme absorbe une bactérie modifiée, quel impact cela aura-t-il ? Des scientifiques ont démontré que le type de bactéries logées dans votre intestin pourrait influer sur le risque de contracter des maladies. » Cette vigilance éthique et écologique est essentielle dans le développement de la chimie verte pour éviter tout phénomène de « greenwashing », autrement dit un procédé marketing à couleur verte qui ne sert qu’à donner une image responsable à l’entreprise…

Par ailleurs, le Conseil Économique et Social met l’accent sur le stockage, et devinez quoi? Pour le doper, rien de mieux que de « donner un prix au CO2 ». Ils fument quoi au CESE ?

955.  Bob | 12/06/2015 @ 15:47 Répondre à ce commentaire

Josh et les Américains se moquent des Français (Ze pour The)

"Prepare for the spin" : Préparez vous au baratin !

Pas besoin de se préparer, c'est déjà en cours…

956.  Bob | 12/06/2015 @ 16:03 Répondre à ce commentaire

Dernier bobard à la mode : Le nounours à l’envers et les journaleux délirants et incultes…

« Les ours polaires dévorent les dauphins à cause du réchauffement climatique« .

Le texte qui suit est très éclairant :

Vision d’horreur sur la banquise: les ours polaires sont en train de se transformer en dévoreurs de dauphins. Des scientifiques ont vu pour la première fois des ours blancs se repaître de dauphins dans l’Antarctique, plus précisément dans l’archipel norvégien du Svalbard. Ils attribuent ce changement de régime alimentaire au réchauffement climatique.
Et maintenant, la pollution s’attaque au pénis de l’ours blanc

Il n’y a pas que l’orthographe qui décline. Il faudrait que ces plumitifs apprennent d’abord à distinguer le pôle Nord du pôle Sud, mais c’est sans doute trop leur demander…

957.  volauvent | 12/06/2015 @ 16:17 Répondre à ce commentaire

Quel rapport avec son pénis ?

958.  Nicias | 12/06/2015 @ 16:23 Répondre à ce commentaire

Bob (#956),

«Il est probable que de nouvelles espèces apparaissent dans l’alimentation de l’ours polaire à cause des changements climatiques, parce que de nouvelles espèces poussent vers le nord», explique-t-il.

Bon ben finalement, il va s’en tirer le gentil ours blanc.

959.  Bernnard | 12/06/2015 @ 16:26 Répondre à ce commentaire

scaletrans (#954),

14 ans après l’explosion de l’usine AZF à Toulouse, les industriels cherchent à limiter les substances dangereuses en remplaçant les produits issus du pétrole par des matériaux d’origine biologique

Comme si cela n’était pas pris en compte dans le passé !
Ce qui me désole est cette croyance que nous, les chimistes sommes des empoisonneurs.
Je n’ai jamais connu un procédé industriel de synthèse qui ne prenait pas en compte les contraintes liées à l’environnement et d’y intégrer les coûts.
Au cours de ma carrière, j’ai eu à transformer profondément des procédés de fabrication pour les rendre plus propres, et moins gourmands en énergie : changement de catalyseurs, nouveaux réactif …
Décidément, il n’y a que les ignares qui pensent que nous faisions de la chimie sans nous occuper des conséquences environnementales.
La chimie française, comme celle allemande, paie le prix de cette ignorance.

960.  Nicias | 12/06/2015 @ 16:29 Répondre à ce commentaire

volauvent (#957),

Peut être que les dauphins sont blindé de POPS (PCB) et que cela rend stérile les ours ? L'article est il est vrai pas très détaillé sur la chose. Au vu de l'histoire des Svalbard en Antarctique, il n'ont peut être pas intérêt à rentrer dans les détails.

961.  miniTAX | 12/06/2015 @ 16:43 Répondre à ce commentaire

Nicias (#960), Ahhhh, les fameux perturbateurs endocriniens, encore une autre de ces menaces fantômes préférées des journaleux et des escrolos (on se souvient de la campagne d’agit-prop planétaire de Greepisse sur la prétendue baisse de nos taux de spermatozoïde).

« Après 20 ans de recherche, le risque sur la santé humaine [des soit-disant perturbateurs endocriniens] reste une hypothèse non prouvée et improbable »

Devinez quelle est l’officine turbocompressée à l’argent des salauds d’industriels a dit cela ? ( “Overall, despite of 20 years of research, a human health risk from exposure to low concentrations of exogenous chemical substances with weak hormone-like activities remains an unproven and unlikely hypothesis.”)

962.  Nicias | 12/06/2015 @ 17:36 Répondre à ce commentaire

miniTAX (#961),

Je ne sais pas. L'OMS ? je fais une recherche google dans l'espoir de trouver plus croustillant ?

J'ai une position modérée sur le sujet. Ces cochonneries sont persistantes. Nuisibles aujourd'hui, c'est pas impossible pour ceux qui ont un régime alimentaire à chier comme certaines populations du grand nord (ou les ours blancs). Le RCA devrait remédier à ce problème éventuel en diversifiant leurs sources d'alimentation. Nuisibles demain à force d'accumulation ? C'est plus sur ceteris paribus, peut être pas de beaucoup.

Dans nos contrées, j'essaye d'expliquer que le saumon d'élevage est moins dangereux que celui péché en océan vu que l'on contrôle la qualité de son alimentation (sans POPS). Je suis un peu de mauvaise foi sur ce point, mais ce raisonnement est soutenable et cela m'amuse.

963.  papijo | 12/06/2015 @ 22:16 Répondre à ce commentaire

Retourner un climatosceptique, c’est facile !
Lien: « A practical guide to countering science denial »

L’auteur John Cook est « Climate Communication Research Fellow » en Australie

964.  Laurent Berthod | 13/06/2015 @ 0:16 Répondre à ce commentaire

Bernnard (#959),

Et il n’y a que le ignares pour penser qu’un produit « naturel » est forcément moins dangereux qu’un produit issu de la chimie minérale ou organique de synthèse !

965.  Laurent Berthod | 13/06/2015 @ 0:28 Répondre à ce commentaire

Comment inventer des résultats scientifiques et en faire parler les médias, un article qui conduit à réfléchir aux pratiques « scientifiques’ dans nos temps postmodernes : peer review, open access, communication, médias…

Les sujets des deux publications épinglées ne relèvent pas de la climastrologie, mais la façon de faire sans soute un peu, sinon beaucoup !

966.  Bernnard | 13/06/2015 @ 16:17 Répondre à ce commentaire

Laurent Berthod (#965),
C’est un article intéressant.
Les journalistes « scientifiques » actuels devraient le lire eux qui écrivent plus vite que leur ombre dés qu’une revue « prestigieuse » publie un papier.
C’est toute une profession qu’il faudrait reformer.

967.  luc | 14/06/2015 @ 14:33 Répondre à ce commentaire

Ségo interdirait la vente en jardinerie du Roudup qu’elle confond avec un pesticide.

968.  Cdt Michel e.r. | 14/06/2015 @ 14:45 Répondre à ce commentaire

L’encyclique sur le Changement climatique serait publiée ce jeudi, selon le Sunday Times

http://www.thegwpf.com/pope-he.....te-change/

969.  luc | 14/06/2015 @ 15:39 Répondre à ce commentaire

Cdt Michel e.r. (#968),
D’après ce papier, le pape dûment coaché par le Postdam machin, se préparerait à se tirer une balle dans la soutane???

970.  Cdt Michel e.r. | 14/06/2015 @ 16:01 Répondre à ce commentaire

luc (#969),

Les commentaires vont être passionnants, à mon avis.
Personnellement je sortirai le popcorn…
J’arrête ici avant qu’on ne me reproche encore mon athéisme.

P.S. : J’ai été pendant environ un an administrateur d’un forum anti-isl.am dont la devise était : « Nous respectons les personnes, pas leurs opinions ».

971.  luc | 14/06/2015 @ 17:09 Répondre à ce commentaire

Cdt Michel e.r. (#970),
Le pape qui engagerait son infaillibilité sur une question scientifique, on se croirait revenu au procès de Galilée.

972.  pastilleverte | 14/06/2015 @ 20:28 Répondre à ce commentaire

Puisqu’on est au bistrot…
pas très gai, désolé, mais très intéressant :
http://www.lexpress.fr/informa.....95879.html

973.  the fritz | 14/06/2015 @ 22:18 Répondre à ce commentaire

pastilleverte ➡

974.  scaletrans | 14/06/2015 @ 22:47 Répondre à ce commentaire

Cdt Michel e.r. (#968),

S’il est vrai que Bergoglio a pris Schnellnhuber comme conseiller, il n’y a plus qu’à tirer l’échelle. Mais je ne me suis jamais fait d’illusions sur l’occupant actuel du Siège…
luc (#971),
Un pape n’est infaillible que dans le domaine de la foi et des mœurs.

975.  luc | 15/06/2015 @ 1:16 Répondre à ce commentaire

scaletrans (#974),
oui, mais s’il publie une encyclique sur un sujet écolo c’est qu’il considère que cela en fait partie. Quand on vous dit qu’il ne s’agit pas de science, mais de foi.

976.  geoff chambers | 15/06/2015 @ 13:25 Répondre à ce commentaire

#967 Luc
Pendant une demi-heure sur BFMTV/i-télé hier soir j’ai entendu que Ségolène avait:
– interdit Roundup
– interdit Roundup pour les particuliers
– interdit Roundup et 700 autre produits qui contiennent le “probablement carcinogène” glyphosate
– suggeré que les jardineries ne devaient pas stocker Roundup
Pour une autre point de vue sur ce produit, voir:
http://risk-monger.blogactiv.e.....st-shills/

977.  Cdt Michel e.r. | 15/06/2015 @ 13:55 Répondre à ce commentaire

L’encyclique que tous attendent avec impatience était annoncée pour ce jeudi sur GWPF. Mais elle pourrait sortir dès demain :

« L’encyclique du pape François sur l’écologie sera publiée le 16 juin »
La Croix

Qui a raison ?

978.  the fritz | 15/06/2015 @ 14:29 Répondre à ce commentaire

Cdt Michel e.r. (#977),
Aimez vous les uns les autres , mais ne faites pas d’enfants ; ne gaspillez pas les richesses, laissez les en terre mais venez en aide aux plus démunis; ne polluez pas la planète que vous allez laissez à vos enfants ; soyez plus accueillants avec les réfugiés climatiques

979.  Cdt Michel e.r. | 15/06/2015 @ 21:28 Répondre à ce commentaire

The encyclical leaked
Jun 15, 2015 Climate: WG3

A copy of the encyclical has been leaked to the Italian press. A copy can be seen here, for those who speak Italian. Maurizio advises that his impression is very much that this is going to be seen as a damp squib. He points in particular to this paragraph (translated mostly by Mr Google): …

Traduction par Bing :
« Une copie de l’encyclique a été divulguée à la presse italienne. Une copie peut être vu ici, pour ceux qui parlent italien. Maurizio conseille que son impression est tout à fait que cela va être perçu comme un pétard. Il pointe en particulier sur ce paragraphe (traduit principalement par M. Google) :

Pour les pays pauvres, la priorité devrait être l’éradication de la pauvreté et du développement social de leurs habitants ; en même temps le niveau scandaleux de la consommation de certains secteurs privilégiés de leur population doit être réfléchie et mieux contre la corruption. Bien sûr, ils doivent également développer moins polluante la production d’énergie de formes, mais pour cela ils ont besoin de compter sur l’aide de pays qui poussent une grande partie au détriment de la pollution aujourd’hui la planète. L’exploitation directe de l’énergie solaire abondante nécessite que vous créer des mécanismes et subventions afin que les pays en développement peuvent avoir accès au transfert de technologie, pour une assistance technique et des ressources financières, mais toujours faire attention aux conditions concrètes, depuis la compatibilité des systèmes avec le contexte pour lesquels ils sont soumis n’est pas toujours correctement évalué. Le coût serait faible par rapport aux risques du changement climatique. En tout cas, c’est avant tout un choix éthique, fondé sur la solidarité de tous les peuples.

 »
J’ai eu la curiosité de télécharger et de lire quelques parties de ce PDF en italien (192 pages, rien que cela). C’est moins pire que je ne le craignais…

980.  the fritz | 15/06/2015 @ 21:47 Répondre à ce commentaire

Cdt Michel e.r. (#979),
Je ne peux m’empêcher de remettre cette prière de Vincent Roca qui concluait une superbe lettre sur la taxe carbone et son promoteur Borloo à l’époque; s’il y a des amateurs pour la lettre complète , je la remettrait en ligne
.

♫ Prions mes frères :
« Notre vert qui êtes au Ministère, que votre couleur soit sanctifiée, que votre volonté
veloutée verte soit faite, sur la Terre vue du ciel comme au ciel, donnez-nous aujourd’hui
notre taxe quotidienne, ne nous laissez pas succomber à la pollution gratuite, mais
délivrez-nous des scrupules, maintenant et à l’heure des déjections, et des élections,
Au nom du lierre, du lys et du pissenlit, cyclamen ! » ♫
Vincent Roca

981.  the fritz | 15/06/2015 @ 22:20 Répondre à ce commentaire

http://www.dna.fr/actualite/20.....-actualite

climatophilie : premier procès au Vatican en juillet
Le Saint-Siège a annoncé lundi coup sur coup l’ouverture en juillet d’un premier procès au Vatican pour anti-climatophilie concernant un ancien nonce en République dominicaine et le limogeage de deux évêques américains accusés d’avoir couvert des prêtres climatosceptiques dans leur diocèse.

982.  Bernnard | 15/06/2015 @ 22:36 Répondre à ce commentaire

Des extraits de la lettre des scientifiques de la NASA ( apollo) au Pape que miniTAX avait signalée ICI

983.  pastilleverte | 15/06/2015 @ 22:48 Répondre à ce commentaire

luc (#971),
Bon, on se calme, l’infaillibilité pontificale ne peut concerner que des dogmes (de « théologie »), dont le ??? climatique ne fait pas partie (jusqu’à preuve du contraire…)
Pour info, elle n’ a été utilisé q’une seule fois depuis 160 ans.

984.  pastilleverte | 15/06/2015 @ 22:54 Répondre à ce commentaire

the fritz (#973),
Censure ???

985.  Ben | 15/06/2015 @ 22:57 Répondre à ce commentaire

Cdt Michel e.r. (#979), « damp squib » signifie « pétard mouillé« .
Il faudra voir ce qu’il y a dans le texte, mais selon les passages traduits en anglais dans les commentaires de Bishop Hill, on a quand même l’air très dans la ligne du PC (Parti Climatique), avec une dose de « c’est une question d’éthique encore plus que de science » qui est un non sens total. Pétard mouillé peut-être, mais plutôt dans le sens où l’encyclique m’a l’air d’un conformisme trop grand pour faire bouger les lignes.
Dommage pour l’Église, qui avait un coup à jouer, à mon avis. Mais bon, ça la regarde…

986.  scaletrans | 15/06/2015 @ 23:06 Répondre à ce commentaire

pastilleverte (#983),

Faux. L’infaillibilité concerne aussi le magistère ordinaire universel pour tout ce qui touche à la foi et aux mœurs, et je vous fait remarquer que, par exemple, le dogme de l’Assomption a été promulgué en 1950.

987.  the fritz | 15/06/2015 @ 23:21 Répondre à ce commentaire

pastilleverte (#984),

Censure ???

Non dégout

988.  the fritz | 15/06/2015 @ 23:28 Répondre à ce commentaire

Ben (#985),

l’encyclique m’a l’air d’un conformisme trop grand pour faire bouger les lignes.

Avec tous les cierges qui seront allumés , cela va encore polluer un max

989.  Murps | 16/06/2015 @ 0:02 Répondre à ce commentaire

Au nom du lierre, du lys et du pissenlit, cyclamen ! » ♫

😆

990.  AntonioSan | 16/06/2015 @ 0:53 Répondre à ce commentaire

Maintenant, que ceux qui croient encore que Benedict XVI a demissionne de son plein gre levent le doigt…
Quelle que soit la nature et la teneur, alarmiste ou moderee, de cette encyclique, elle temoigne de l’echec cuisant des scientifiques infeodes a la Cause a demontrer scientifiquement l’alarmisme climatique. C’est l’aveu d’impuissance climatique supreme et le recours a la religion, au culte en desespoir de cause. L’obscurantisme erige en juge supreme afin d’apporter une reponse a une question scientifique.
Cela confirme d’une part que le CAGW est une fraude organisee, que ceux qui sont derriere cet agenda sont prets a tout, y compris les pires horreurs, que le danger est reel et enfin, accessoirement, que ce pontif est un acteur de cet agenda et sera complice des bouleversements a venir.
J’attends avec impatience les recommandations de sa Saintete en chirurgie cardiaque, physique des plasmas, astrophysique, ou prosaiquement en degraissage de l’eau de vaisselle.

991.  Ben | 16/06/2015 @ 2:09 Répondre à ce commentaire

Le Vatican annonce que la version divulguée n’est pas la version finale. En attendant, le National Journal a fait un petit topo en anglais sur le contenu de cette version (italienne) pas finale. Et c’est pas très rassurant.

992.  pastilleverte | 16/06/2015 @ 9:59 Répondre à ce commentaire

scaletrans (#986),
Oui l’immaculée conception et le seul cas d’infaillibilité réellement prononcé, et c’était au XIX° siècle sur une question « théologique » qui « traînait » depuis 300 ans.
Voir cette explication sur le site très catho Aleteia :

L’infaillibilité ne joue que dans des conditions très restrictives. Il faut que le pape s’exprime comme pasteur universel : est donc exclue la prise de position sur des problèmes particuliers. Quelle que soit l’importance de Lourdes, le pape n’y a pas engagé son infaillibilité, même si les papes successifs ont donné de nombreux signes d’approbation. Il faut ensuite qu’il engage explicitement son autorité apostolique, celle qu’il détient comme successeur de Pierre : sont ainsi exclues les prises de position personnelles et les enseignements de circonstance, même très officiels comme les encycliques. Enfin, il faut que les « définitions » touchent à la foi et aux mœurs : sont ainsi exclues les questions politiques, ce que redoutaient les gouvernements de l’époque.

Donc le réchauffement/dérèglement/chaos/bouleversement/désordre climatique du fait du « péché » (pour utiliser un terme judép chrétien) de l’Homme ne pourra en aucun cas rentrer dans le cadre de l’infaillibilité pontificale et de toutes façons pas via une encyclique.
Mais que le(s) pape(s) se questionne(nt) et nous questionne(nt) sur la responsabilité de l’Homme dans les « dégradations » sociales, environnementales ou économiques n’a rien de choquant. Après tout un chacun est libre de lire, écouter, commenter, réfléchir, soupeser, ignorer, critiquer, rejeter, exécrer le contenu des paroles/écrits vaticanesques en général et des encycliques en particulier.

993.  scaletrans | 16/06/2015 @ 10:34 Répondre à ce commentaire

pastilleverte (#992),

Nous sommes donc en désaccord sur la notion de l’infaillibilité. Je m’en tiens pour ma part à celle qui a toujours eu cours… jusqu’en 1958. Et je rappelle que la promulgation du dogme de l’Assomption en 1950, relève du magistère extraordinaire. Et que 90% des définitions dogmatiques relèvent du magistère ordinaire, or elles sont infaillibles.
Point final en ce qui me concerne.

994.  scaletrans | 16/06/2015 @ 10:37 Répondre à ce commentaire

Bernnard (#982),

Vu qu’un troll me cherche des poux dans la tête, j’aimerai trouver les références de la lettre, accompagnée de la liste des signataires.

995.  Hug | 16/06/2015 @ 10:41 Répondre à ce commentaire

Ben (#991),
Le pape a ouvertement placé son pontificat sous le signe de l’aide aux pauvres et miséreux d’où le choix du prénom en référence à St-François d’Assise. De là à se considérer comme le « Robin des bois » catholique du 21eme siècle, il n’y a qu’un pas qu’il va logiquement franchir en mettant son action dans la ligne de celle de l’ONU: ponctionner les pays « riches » de 100Mds$ par an au profit des pays « pauvres » (la lutte contre le prétendu RCA n’étant que le prétexte pour justifier cette ponction).
Rien que de très logique en fait.

996.  scaletrans | 16/06/2015 @ 11:07 Répondre à ce commentaire

Hug (#995),

Ça prouve qu’il fait partie du système.

997.  Murps | 16/06/2015 @ 12:30 Répondre à ce commentaire

pastilleverte (#992), scaletrans (#993), on se croirait à la curry, ooops ! à la Curie….

998.  the fritz | 16/06/2015 @ 13:23 Répondre à ce commentaire

Ben (#991),
Vite vite , ouvrons un fil « encyclique »

999.  williams | 16/06/2015 @ 14:38 Répondre à ce commentaire

Bob (#956),

Dernier bobard à la mode : Le nounours à l’envers et les journaleux délirants et incultes…
“Les ours polaires dévorent les dauphins à cause du réchauffement climatique“.
Le texte qui suit est très éclairant :
Vision d’horreur sur la banquise: les ours polaires sont en train de se transformer en dévoreurs de dauphins. Des scientifiques ont vu pour la première fois des ours blancs se repaître de dauphins dans l’Antarctique, plus précisément dans l’archipel norvégien du Svalbard. Ils attribuent ce changement de régime alimentaire au réchauffement climatique.
Et maintenant, la pollution s’attaque au pénis de l’ours blanc
Il n’y a pas que l’orthographe qui décline. Il faudrait que ces plumitifs apprennent d’abord à distinguer le pôle Nord du pôle Sud, mais c’est sans doute trop leur demander…

Ceci est une fois de plus des bêtises car les ours polaires se nourrissent de tout types de mammifères marins donc aussi bien de phoques, morses que de dauphins et même de baleines échouées sur les côtes comme on le voit ici : http://www.ourspolaire.org/ima.....009-70.jpg

Les dauphins refont surface périodiquement dans des trous dans la glace pour respirer comme les phoques… puisque ce sont des mammifères marins, donc l’ours en profite pour les attraper et les manger. Car il mange se qu’il trouve. Ceci n’a rien voir avec le réchauffement climatique de plus de voir ceci que depuis avril 2014 ne montre rien puisqu’ils ne peuvent pas se baser sur 1 ou 2 années.

Williams

1000.  Ben | 16/06/2015 @ 14:44 Répondre à ce commentaire

the fritz (#998), c’est fait, merci de la suggestion. Rendez-vous là-bas.

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