Fil info de sceptiques 2016/1


Suite du Fil info de sceptiques 2015/3.

Ici, on parle du changement climatique, du climat, de la physique de l’atmosphère voire de la météo ou de sujets proches. Pas de recettes de couscous ou de propos sur le dernier smartphone.


3 934 réponses à “Fil info de sceptiques 2016/1”

  1. Christial (#448),

    Oui sur France Culture, pareil. On paye des taxes en échange de quoi on devrait avoir droit à un journal d’information. S’il y a un incendie on pourrait s’attendre à ce que le journaliste aille interroger un pompier ou un gars de l’ONF. Non, et c’est systématique sur presque tous les sujets, on a droit à un activiste écolo. Un idéologue incompétent.

  2. Nicias (#451),

    Non, et c’est systématique sur presque tous les sujets, on a droit à un activiste écolo. Un idéologue incompétent.

    Ils en font trop et c’est ce qui les perdra ! Leur tête enfle d’un savoir qu’ils pensent être les seuls à avoir.
    La duperie escrologique devient évidente pour de plus en plus de monde.

  3. Je résume :
    Les feux de forêts en Alberta c’est la faute à El Nino.
    Et des El Nino aussi puissants et aussi fréquents, c’est la faute au réchauffement climatique, sur la foi d’une seule étude parue dans un journal radical réchauffiste.

    Pour être sûr que le scientifique interviewé tienne le langage qui va bien, pourquoi prendre des risques, et bien Le Monde que le monde nous envie a choisi d’interviewer un des auteurs de ladite étude.

    Pour le climatologue Eric Guilyardi (Locean/CNRS, université de Reading au Royaume-Uni), la sécheresse et les fortes températures, qui contribuent aux feux de forêts ravageant l’Alberta, au Canada, trouvent leur cause dans le phénomène El Niño, particulièrement actif cette année.
    (…)
    Depuis quelques dizaines d’années d’observation, on réalise que les événements El Nino sont tous différents. Considérant que cet événement se produit tous les 3 à 7 ans, il faut de très longues séries de mesures pour détecter un changement. Dans une étude publiée il y a deux ans, nous avons cependant pu montrer que dans le scénario du « laisser faire », celui qui nous emmène vers 5 °C de réchauffement global, un doublement de la fréquence des El Nino extrêmes était à prévoir à partir de 2050. En revanche, dans le scénario où l’on met en place les stratégies climatiques pour rester sous le seuil de 2°C de réchauffement, la proportion statistique d’El Nino extrême reste la même, soit un événement sur six.

    http://www.lemonde.fr/planete/….._3244.html

  4. papijo (#458),

    Il me semble avoir lu quelque part que les feux sont bénéfiques au rajeunissement des forêts vieillissantes.

  5. papijo (#460),

    Les feux au printemps en Alberta sont tout ce qu’il y a de plus banal. L’un d’entre eux, en cette année de el nino, a eu lieu près d’une ville champignon construite au milieu d’une foret destinée à bruler.

  6. scaletrans (#459), eh, oui, c’est ce que l’on nomme la régénération naturelle au sens strict. A Yellowstone, les forestiers ne parvenaient pas à renouveler les peuplements de séquoias. Il aura fallu le grand incendie pour que cela se fasse naturellement ! Comme quoi la Nature est malicieuse… et encore mal connue

  7. Gilles des Landes (#464),
    Au Canada comme aux USA et en Australie, le feu est considéré comme un événement normal du cycle de la forêt : les causes sont considérées comme naturelles. C’est bien pratiques vu l’immensité des espaces et on a le discours qui va bien (ça régénère la forêt) : il fallait lire ce qui a été écrit à ce sujet après Yellowstone … Jusqu’au jour où il a été établi que les départs de feux avaient des causes humaines …
    Pour l’Alberta, je ne sais pas (foudre ou activités humaines) mais ce dont on peut être sur est que l’équipement de la forêt n’est pas fait pour intervenir face aux feux (trop grands espaces…) C’est un choix sauf autour des villes, où des pare feux et des équipements permettraient d’éviter ce genre de drames…
    A noter que les incendies en Suède où en Finlande n’atteignent pas ces ampleurs … Pour une forêt similaire .
    Enfin, pour avoir trouvé des publié sur les départs de feux dans le SO des USA, départs imputés au RCA comme il se doit, on s’apercevait que la population avait fortement augmenté …
    Je me souviens d’une conférence à la FAO où les USA sont venus donner des leçons avec le WWF sur la lutte contre les incendies et se faire moucher fort joliment par le Maroc.
    Dans les années 80, d’aucuns ont voulu laisser brûler les forêts en France car c’était la nature. Cela n’a pas duré longtemps, quasiment tous les feux (départs) sont dûs à des activités humaines.

  8. papijo (#458),
    Le problème n’est pas tant l’âge des foréts que la masse de bois mort, qui plus on va au nord met des années à se décomposer ….
    Les forêts canadiennes en ont à revendre d’autant que les ravageurs contribuent à ce stock …
    De plus, plus une forêt brûle plus elle sera susceptible de s’enflammer…

  9. Si, si si, c’est la faute du RCA.
    Le journaliste s’étonne de recevoir des noms d’oiseaux pour avoir supposé (prouvé ?) un lien entre le feu de Mc Murray et le RCA. Il s’insurge de ne pas avoir entendu Trudeau à ce sujet.
    C’est la faute du RCA épissétout.

  10. Bernnard (#471),

    Ce qui est drôle c’est qu’il existe une littérature plus qu’abondante sur l’évolution pendant tout l’holocène des feux de foret locaux.
    Chaque incendie produit et stocke dans le sol une couche de carbone sous forme de charbon de bois.

  11. Bernnard (#471),
    Enfin ! On a trouvé une des causes (anthropique ?) de la montée des océans, par la fonte des glaces du sous-sol de l’Alberta… Un peu capillotracté, mais sait-on jamais… vive la « vraie » science !

  12. Et en l’an 3000 je ne vous dis pas!

    En 2015, la planète étouffe déjà. Et, selon les scientifiques, d’ ici l’an 3 000, le réchauffement climatique va entraîner une érosion de la couche d’ozone. Les êtres humains seront alors beaucoup plus exposés à des quantités de lumière UV élevées et donc vont voir leur peau s’assombrir. Finies les après-midis bronzette!

    La voix du Nord perd vraiment le nord et il n’y a pas que l’érosion des côtes et de la couche d’ozone même le pénis va s’éroder!
    Pensent-ils vraiment qu’on va gober ces fadaises ? c’est risible ! laugh

  13. Bernnard (#475),

    selon les scientifiques, d’ ici l’an 3 000, le réchauffement climatique va entraîner une érosion de la couche d’ozone

    Ca laisse sans voix…
    😯

  14. testut (#478), effectivement c’est terrifiant : en l’an 3000 la couche de zone va prendre 13 K de plus et elle va être toute délabrée ma bonne dame !
    C’est bien ce que je dis : j’en reste sans voix…

    Ca c’est de la science qui dépote : une régression linéaire de 1000 ans à partir d’un échantillon de 20 ans appliquée à une courbe bruitée et bidouillée à mort…
    Le tout extrapolé sur une « couche » d’ozone de 1ppm dont les molécules, avec leurs petits bras musclés, assurent le spectacle médiatique et catastrophiste aussi sûrement que leurs cousins CO2.

    Dans le fond, je ne vois pas pourquoi on s’embête avec la reproductibilité, la relation de cause à effet, la rigueur de mesure et la prudence dans les interprétations, tout ça c’est de la science bourgeoise réac’ de grand papa. Place à la science post-moderne, citoyenne et festive.
    😉

  15. Bernard (#475)
    Hé oui, La Voix du Nord est un « journal » pullulant de journaleux sévèrement éco-conscientisés qui racontent à peu près toujours n’importe quoi. Ils ont fait pendant des années la retape, même pas discrète, pour leurs potes écolos du Conseil Régional (avant le dernier coup de balais).
    J’avais pris la peine , en lisant leurs âneries, de tenter une débat avec un minimum de science et de réflexion critique. Evidemment aucune réponse, ce qui situe leur niveau de compétence et leur approche du « débat citoyen », mantra qu’ils nous balance à toutes les sauces.
    http://www.lecolocritique.fr/e…..urnaliste/

  16. Murps (#479),
    Science « citoyenne », à défaut d’être dite « prolétarienne » comme au temps radieux 😥 de Lyssenko !

  17. Murps (#479),
    Sur le deuxième lien que j’ai donné, celui de RSS, sous « channel  » en haut à gauche, il y a un rectangle dans lequel est marqué TLT et il y figure une flèche vers le bas sur laquelle il faut cliquer; s’ouvre alors les différentes couches de l’atmosphère et il faut cliquer sur C12 pour accéder à la couche où se trouve l’ozone: regarder le réchauffement des 18 dernières années

  18. testut (#482), voui, toutes mes excuses.
    En fait sur la portion d’atmosphère C12 considérée ça chute à donf à la cadence de 0.5 K par décades (et même de 1 K au pôle nord).
    Ergo, nous allons tous mourir de froid dans mille ans, conséquence d’un réchauffroidissement.

    😉

  19. Aux dernières nouvelles, il paraît que l’incendie de l’Alberta va faire fondre la glace du sous-sol et dégager du CO2. Sachant que la T° moyenne en été est de 15° dans la région du feu, j’aimerais qu’un scientifique doué de raison m’explique comment le sous-sol a pu rester gelé pendant des milliers d’années. J’ai une explication très scientifique: les habitants laissent les portes des frigos et des congélateurs ouvertes, sachant que l’air froid est plus lourd que l’air chaud, il se concentre au niveau du sol et constitue une couche qui empêche le dégel. C’est pour cela qu’on peut se promener en short et en chemisette mais il faut garder les chaussettes et les après-skis.

  20. micfa (#484),

    sachant que l’air froid est plus lourd que l’air chaud

    Une nouvelle etude montre que le rechauffement climatique entraine une inversion des lois de la physique… 😉

  21. williams (#488),
    Le Sahel ce n’est pas l’Afrique.
    Il faut lire avec attention ce qui est écrit. L’article publié dans Nature traduit par PU précise qu’il s’agit de toute la planète à l’exception des zones sévèrement désertiques comme le sahara ou les zones englacées. Il est cependant vrai que l’on perçoit un reverdissement du Sahel sur leurs cartes qui est probablement favorisé (aussi) par le régime des pluies.

  22. Une étude parmi tant d’autres nous dit que le réchauffement climatique ferait baisser la libido. Heureusement, sans quoi il aurait fallu enfermer DSK et Beaupin. Toutefois il faut noter que les verts ont grandement besoin de se reproduire pour éviter la disparition de l’espèce qui est peut-être due au réchauffement.

  23. williams (#488), Bob (#489),

    Pour que la photosynthèse fonctionne il faut conjointement de l’eau et du CO2 et de la lumière. C’est pourquoi dans les zones désertiques arides ça demandera plus de temps pour constater un reverdissement. On peut supposer que même dans les régions arides le reverdissement démarre lentement d’une manière peu perceptible pour ensuite s’accélérer. On verra bien la suite.
    Les glaciers du Kilimandjaro pourraient regrossir contrairement aux prévisions (indépendamment des pratiques agricoles dans cette région qui ne sont pas neutres sur les précipitations).

  24. Bernnard (#491),

    il faut conjointement de l’eau et du CO2

    C’est exact mais les processus sont diablement imbriqués. Par exemple, on sait que l’augmentation du taux de CO2 réduit le nombre et l’efficacité de stomates ce qui limite les pertes hydriques et donc les besoins de la plante en eau…Autrement dit, le CO2 aide les plantes à s’adapter aux atmosphères plus sèches.

  25. [Pour info]
    Colloque international « Les territoires : laboratoires du changement climatique » – 30 mai 2016

    Météo et Climat , association fondée sous le nom de Société météorologique de France et présidée par Jean Jouzel, organise un colloque international « Les territoires : laboratoires du changement climatique » le lundi 30 mai 2016 à Paris, au Conseil économique, social et environnemental (Palais d’Iéna, Paris 16e).

    Ce colloque qui se déroule dans le cadre du 13e Forum International de la Météo et du Climat fera le point, six mois après la COP21, sur la contribution possible des territoires à la lutte contre le changement climatique.

    Inscriptions jusqu’au 20 mai 2016 :www.forumeteoclimat.com/colloque-international
    http://littoral.aquitaine.fr/C…..l-Les.html

  26. Bob (#489),

    Le Sahel ce n’est pas l’Afrique.

    Oui ce n’est pas tout l’Afrique mais cela représente tout de même 10,1% de la superficie de l’Afrique avec ses 3 053 000 km².

    Voir ce lien qui explique le lien de l’évolution de la végétation et des précipitations au Sahel : http://docplayer.fr/279913-La-…..ation.html

    Bernnard (#491),

    Pour que la photosynthèse fonctionne il faut conjointement de l’eau et du CO2 et de la lumière. C’est pourquoi dans les zones désertiques arides ça demandera plus de temps pour constater un reverdissement. On peut supposer que même dans les régions arides le reverdissement démarre lentement d’une manière peu perceptible pour ensuite s’accélérer. On verra bien la suite.

    Oui tout à fait. Car dans la nature tout évoluent souvent suivant plusieurs facteurs et non que d’un seul vu la complexité de la nature.

    Williams

  27. lemiere jacques (#496),
    et voici dons l’avis d’un (non) scientifique, ayant eu l’audace de « commettre » une conférence sur le sujet, et donc s’étant renseigné à quelques source( c’est le cas de la dire !) sérieuses, je veux parler, essentiellement mais pas que, de P.U.
    Moi y’en a avoir compris que la contribution « nette » des variations glaciaires de l’Antarctique (plus grande « réserve d’eau douce de la Planète) était de – (oui MOINS) 0,23mm par an, selon une étude du glaciologue Jay Zwally.
    La deuxième réserve d’eau douce c’est le Groenland, dont la masse glaciaire globale varie très peu, malgré quelques « vêlages » très spectaculaires… en été boréal.
    Bon, l’expansion thermique c’est sur ça doit jouer sur quelques (dixièmes de ?) mm par an.
    Quant à l’eau « terrestre », craignez brave gens, ou plutôt ne craignez plus, car on est passé de 10mm (EN UN SIÈCLE) à sans doute moins…
    Comment dit-on marge d’incertitude, déjà ???
    PS : j’ai apprécié la fine analyse introductive, savoir que des territoires en bord de mer de(très) faible altitude avaient des craintes à avoir en cas de montée du niveau de la mer.
    Bien vu !
    Et je dirais même plus, les territoires en-dessous du niveau de la mer, Pays-Bas ou Nexw Orleans ou La Faute sur (sous ?) Mer, au hasard, ont du souci à se faire (surtout si les digues sont mal entretenues…)
    Bref, « The Science is SEAttled »

  28. Je ne sais pas si vendredi certain d’entre vous ont écouté C dans l’air à propos de l’incendie de forêt au Canada nommé le « monstre », mais une fois de plus le réchauffement climatique en serrait la cause alors qu’au Canada il ne fait même pas très chaud comme en plein été.

    L’homme semble avoir la mémoire courte quand on voit qu’il y a eu de très importants incendies alors qu’il faisant moins chaud sur Terre qu’actuellement il y a des décennies voir plus de 100 ans comme :

    – en 1916 (29 juillet) : un grand incendie de forêt de l’Ontario, près de Matheson, qui s’étala sur environ 1 228 000 ha, coûtant la vie à 223 personnes, plus que tout autre incendie de forêt dans l’histoire du Canada.

    – 1915 : il y a eu un incendie en Sibérie, dans des zones inhabitées où 14 000 000 ha ont brûlé.

    – 1949 : le pire incendie français malgré que cela a eu lieu il y a 67 ans et malgré les étés très chauds voir secs qu’il y a eu au cours du temps (1976, 2003, 2006…).

    Peu avant 1789, la forêt était dans le pire état qu’elle n’avait jamais connu, les révolutions ont été ramenées à 100 ans puis à moins d’un demi siècle. On avait atteint la plus basse surface de couvert forestier de l’histoire avec un total compris entre 6 et 7 millions d’ha de forêts (moins de 12% de la surface du territoire) d’après l’ONF. Depuis la surface de la forêt aurait à nouveau augmenté idem pour la population humaine. Ce qui joue bp dans l’augmentation des incendies.

    Puis la majorité des feux de forêts sont causés par l’homme et environ la moitié sont d’origine accidentelle, le reste relève de la mise à feu volontaire et cette dernière cause augmente malheureusement : http://www.senat.fr/rap/r03-195/r03-1957.gif

    Williams

  29. C’est du sérieux de chez sérieux, en effet c’est une ONG qui l’affirme sur la base des travaux du GIEC. Conclusion logique, va falloir sortir le porte-monnaie et pas qu’un peu.

    La montée des eaux menace 1,2 milliard de personnes d’ici à 2060
    Le Monde du 17/05/2016, Laetitia Van Eeckhout

    http://www.lemonde.fr/planete/…..KkSoKkb.99

    Extraits :

    Huit cent vingt-quatre millions de personnes à l’horizon 2030, et 1,2 milliard d’ici à 2060, sont menacées par la montée des eaux. Ce sont les conclusions d’une étude réalisée sur la base des travaux du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), et publiée lundi 16 mai par l’ONG Christian Aid.

    Depuis 2008, plus de la moitié de l’humanité vit en ville. Et selon les Nations unies, en 2050, la planète comptera 6,4 milliards d’urbains, soit 75 % de la population mondiale qui atteindra alors 9 milliards. Or, une grande partie de cette croissance urbaine a lieu en zones côtières, particulièrement vulnérables au changement climatique.

    Les projections de l’étude reposent sur le scénario d’un réchauffement à 3 °C, correspondant aux « contributions nationales » remises par les Etats lors de la COP21. Des engagements qui devront être revus pour tenir l’objectif de l’accord de Paris de contenir le réchauffement « bien au-dessous de 2 °C ».

    Calcutta, la plus exposée

    L’Asie est la région la plus menacée. Les cinq premiers pays les plus exposés sont la Chine, l’Inde, le Bangladesh, l’Indonésie et le Vietnam. Quinze des vingt agglomérations côtières les plus vulnérables se trouvent dans l’un de ces pays. Calcutta (Inde), où 14 millions de personnes pourraient être exposées en 2070, figure en tête des villes les plus à risque, suivie de Bombay (11,4 millions), Dacca au Bangladesh (11,1 millions), Guangzhou en Chine (10,3 millions), puis de Hô Chi Minh-Ville (9,2 millions) au Vietnam, Shanghaï en Chine (5,4 millions), Bangkok en Thaïlande (5,1 millions) et Rangoun en Birmanie (4,9 millions).
    Les nations riches ne sont pas épargnées.
    (…)
    « Ce sont les populations les plus pauvres qui souffriront le plus, s’alarme Alison Doig, une des auteurs de l’étude.
    (…)
    L’ONG appelle à un sursaut de la communauté internationale. Alors que le secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, a demandé à doubler et à porter les fonds destinés à la réduction des risques de catastrophes à 1 % de l’aide mondiale au développement (soit 1 milliard de dollars), Christian Aid demande qu’ils soient élevés à 5 %, pour « aider dès à présent les villes les plus vulnérables et leur population à prévenir ces risques ».

  30. Christial (#499),

    Ce sont les populations les plus pauvres qui souffriront le plus,

    Bah… On leur donnera des conseils gratuits pour résoudre leurs problèmes d’excès d’eau dans leur cuisine/dortoir familial.