Aperçu de l’identifiant :https://www.skyfall.fr/2020/02/24/fil-info-de-sceptiques-2020/
Aperçu de la méta description :Suite du Fil info de sceptiques 2018/1. Ici, on parle du changement climatique, du climat, de la physique de l’atmosphère voire de la météo ou de sujets proches.
Merci de rester sur ces thèmes, la modération est féroce.
2 840 réponses à “Fil info de sceptiques 2022”
Cdt e.r. Michel (#2750),
Il est devenu difficile d’être élu, le métier s’est professionalisé, il n’est donc pas étonnant que la compétence principale de ces gens soit la course à l’élection. Cette compétence n’a hélàs que peu à voir avec une compétence en gestion sage des affaires publiques….
Cdt e.r. Michel (#2750),
Je suis sûr que la piece jointe , te plairas aussi , mais peut-être la connais tu
fritz (#2729),
https://www.climato-realistes.fr/la-formation-des-nuages-est-plus-sensible-aux-aerosols-de-petite-taille-quon-ne-le-pensait/
fritz (#2753),
Cela est normal.
Pour qu’une phase aqueuse se sépare d’un milieu où l’eau est à l’état vapeur dans l’air il y a trois conditions:
1) La concentration en vapeur d’eau est en sur-concentration
.Mais ce n’est pas suffisant car l’eau liquide est en équilibre instable par surcondensation. Il y a le même phénomène pour la cristallisation des solides.
https://www.mt.com/fr/fr/home/applications/L1_AutoChem_Applications/L2_Crystallization/Supersaturation_Application.html#:~:text=La%20sursaturation%20est%20l'%C3%A9l%C3%A9ment,de%20la%20taille%20des%20cristaux.
Il faut 2 autres choses qui peuvent agir de concert ou isolement
2) un apport d’une très faible quantité énergétique. Et c’est vrai que l’énergie d’un photon peut suffire. Ceci afin de détruire l’instabilité signalée plus haut.
3) et/ou une impureté qui peut être une minuscule goutte ou un cristal solide qui évite à la démixion de phase vapeur / liquide d’avoir à créer une surface séparative des deux phases qui consomme de l’énergie.
fritz (#2752),
Je ne me souviens pas d’avoir lu ça.
Ce n’est pas mal ! Aurais-tu un lien vers la source ?
Il y a 30 ans que j’ai acheté mon premier PC sous Windows. J’ai donc des dizaine de milliers de documents archivés. Je ne peux pas me souvenir de tout.
Pour m’y retrouver j’utilise un excellent utilitaire « Find on Click », qui est très efficace.
Il fait partie d’une suite d’utilitaires gratuits, que je recommande
2BrightSpark
Cdt e.r. Michel (#2755),
Faut mettre un message à mon ami Bokken qui me l’a envoyé
Fritz
fritz (#2756),
Je me suis contenté d’en faire une copie jeux-de-mots.odt
Ecophob (#2748), la pluviosité importante que l’on constate depuis déjà quelques années dans la zone soudano-sahélienne correspond à une phase de refroidissement. C’est ce qu’on apprenait autrefois dans le cours de climatologie à la fac de géographie.
Il pleut même dans les zones arides, comme en Somalie et en Arabie saoudite. A comparer aux épisodes pluviaux dans le Sahara durant les périodes glaciaires.
Le Rouméliote (#2758),
L’eau en excès dans l’atmosphère n’en fini pas de retomber !
Les questions auxquelles on devrait répondre: Pourquoi cette eau se trouve-t-elle en exces. Et pourquoi cela dure t-il ?
Je doute que le CO2 puisse expliquer cela.
Chercher la source de chaleur négligée jusqu’ici et capable de vaporiser en peu de temps d’énormes quantité d’eau est la piste la plus évidente à suivre.
Le Rouméliote (#2758), Olivier Postel Vinay parle de ces grands lacs au début de son livre pour dire qu’ils sont passés d’un état où ils étaient immense et très profonds à un état où ils ont perdu plus de 95 % de leur eau, mais sans situer cela dans des cycles climatiques.
Le Rouméliote (#2758), Bernnard (#2759),
J’avais cru comprendre que les périodes fastes du Sahel correspondaient plutôt à des épisodes de réchauffement.
scaletrans (#2760), les périodes fastes pour le Sahel, sont les épisodes pluvieux. L’aridité est une catastrophe : voir les 7 années sans pluie dans les années 1970.
Il y a bien corrélation de périodes froides aux hautes et moyennes latitudes et pluviales dans les zones désertiques et sahéliennes. La zone soudanaise connaît une période de type équatorial.
https://en.wikipedia.org/wiki/5.9_kiloyear_event
Le Rouméliote (#2761), scaletrans (#2760),
C’est une certitude : plus de précipitation entraîne un dégagement de chaleur supplémentaire. Il faut bien récupérer une partie de la chaleur qui a vaporisé l’eau supplémentaire qui se retrouve à l’état vapeur dans l’atmosphère. Cela au niveau mondial !
Le Rouméliote (#2761),
Tous les indicateurs climatiques signalent des années 1970 particulièrement froides qui ont même provoqué l’avance de nombreux glaciers. N’est-ce pas paradoxal ?
Bernnard (#2762),
Que voulez-vous dire ?
La chaleur latente se transforme en chaleur sensible là où la condensation se produit c’est à dire dans la troposphère. Cette chaleur est évacuée vers l’espace par les GES. Où irait-elle d’autre ?
Plus +++ ou PLU , il n’y en a plus
phi (#2763),
La vapeur d’eau qui est en excès (en sursaturation) dans l’air alors que la température est basse va se condenser, donner des nuages et de la pluie et la température de l’air va augmenter.
C’est comme ce qui se passe avec la surfusion de l’acétate de sodium dans cette petite expérience sauf qu’il s’agit dans cette vidéo d’un changement de phase liquide / solide au lieu de liquide /gaz.
Tout changement de phase est exothermique.
https://youtu.be/VPKniLU6vII?si=j48ql7tQGQ_bwLO4
Et bien sûr cela se passe dans le haut de la troposphère.
La chaleur va effectivement s’évaluer vers l’espace ensuite.
Mon propos est de lier l’augmentation de la température mondiale qu’on observe actuellement (Cf Roy Spencer) par satellite à l’abondance observée de la pluviométrie qui elle aussi semble mondiale.
fritz (#2764),
Un dégagement de chaleur en plus à l’endroit de la précipitation (j’aurais du dire condensation).
Bernnard (#2765),
Pour l’épisode 2023, c’est possible, je n’ai pas de chiffre. Ce qui est par contre assez curieux, c’est que la hausse globale annoncée des températures au XXème siècle ne corresponde à aucune tendance nette d’augmentation des précipitations.
phi (#2768),
Je ne sais pas si la vitesse d’augmentation globale des températures avant 2023 est facile à corréler avec une vitesse lente de la pluviométrie dans le même moment . En 2023 la vitesse assez rapide de l’augmentation de la température observée par satellite est peut-être plus facile à corréler à une augmentation rapide elle aussi des précipitations.
Il devrait être possible d’avoir des études plus précises à ce sujet dans les années à venir,
https://www.techno-science.net/actualite/quand-lutte-contre-pollution-air-contribue-rechauffement-climatique-paradoxe-environnemental-N24837.html
Edifiant , ouvrons les mines de charbons
fritz (#2770),
Des précisions …
Je signale avec un peu de retard cette triste nouvelle pour ceux qui connaissaient:
https://jacqueshenry.wordpress.com/2024/05/04/annonce/
fritz (#2770),
Il a quelques mois, je lis un article expliquant la « victoire » des écolos à propos du fuel lourd utilisé par les cargos qui est de plus en plus dé-sulfuré, afin d’éviter le rejet de toutes les particules de souffre dans l’atmosphère en haute mer. Le même jour, un article dans une autre revue explique que l’on a démarré des essais pour disperser des particules de souffre dans l’atmosphère dans le cadre de l’ingénierie climatique, pour lutter contre le réchauffement.
Ce sont les shadocks, un qui souffle de l’air d’un côté pendant que l’autre aspire à l’autre bout. On espère que la ballon va gonfler….
Demokratia (#2773),
C’est bien de relancer cette discussion
En ce qui me concerne , je pense que moins de pollution ( faudra préciser ) egal moins de nuages ; moins de nuage égal moins d’albedo; moins d’albédo egal plus de soleil arrivant à la surface ; plus de soleil arrivan à la surface egal plus de chaleur
Après , faudra faire le tri où cela se passe , devant votre maison ou là haut et faire le tri entre CO2 et aérosols
fritz (#2774),
Cet enchainement des choses me parait logique aussi.
Maintenant une couverture nuageuse la nuit évite un refroidissement rapide et plus de pollution égal plus de nuages… Si en plus on a des thermomètres en ville où il y a plein de poussières et où existe l’effet d’ilot de chaleur…
C’est là qu’on se rend compte de la difficulté quand pour évaluer un réchauffement, on utilise des températures qui varient dans l’espace et le temps.
Les conclusions, souvent biaisées sont à prendre avec prudence et comme vous dites : faire le tri !
Bernnard (#2775),
Question.; est-ce que les nuages se forment la nuit pour garder la chaleur à la surface , ou est-ce que les nuages se forment le jour renvoyer le rayonnement solaire
fritz (#2776),
Personnellement je pense que les deux cas de figure sont possibles en plus de leur formation qui est un peu aléatoire en fonction des conditions d’humidité et de température qui varient dans l’espace et le temps, ils sont aussi inclus dans des masses d’air qui se déplacent. D’où la difficulté d’être précis dans les prévisions locales en météo.
Bernnard (#2772),
Paix à son âme. Il m’arrivait souvent d’aller sur son site.
scaletrans (#2778),
Je l’avais croisé chez Rhône-Poulenc. Il avait des convictions !
Bernnard (#2766), Pour conforter ce que vous disiez sur l’importance des transferts de chaleur durant les changements de phase, voici ce qui est écrit dans cette publication qui est en cours de relecture (espérons qu’elle passera ce stade car elle ne parle que de l’importance des nuages et de l’océan dans le réchauffement avec en particulier la baisse de l’activité nuageuse entre 1980 et 2022): « L’eau évaporée à la surface des océans est le moteur du système climatique. « La plus grande partie de la chaleur transportée dans l’air est sous forme de chaleur latente lors de la condensation ultérieure et de la formation des nuages. Le bilan thermique au-dessus de la mer est principalement contrôlé par la chaleur latente libérée dans l’air ». (Albrecht 1940). C’est la « source de chaleur d’une gigantesque machine à vapeur »… ».
https://egusphere.copernicus.org/preprints/2024/egusphere-2024-1243/
L’auteur est Reiner Feistel, un théoricien de la thermodynamique qui a créé le TEOS-10 qui permet de calculer les propriétés physiques de l’eau de mer. Il a écrit cet article pour les 20 ans de la revue Ocean Science de l’EGU, éditeur Copernicus. Souvenons-nous cependant que c’est Copernicus qui a du rétracter l’article de Pascal Richet…
scaletrans (#2778),
Son fils Frank semble vouloir maintenir son site.
Je conseillerais à tous ceux qui détiennent un site d’en faire un back-up ou d’en donner les clés d’accès à un héritier, de sorte que quelqu’un puisse reprendre le flambeau si quelque chose leur arrive.
Si j’ai pu vous proposer une copie du site de Christian Magnan, c’est parce qu’il avait mis à disposition une copie de son site sous forme d’un fichier zip dont j’avais extrait les fichiers sur mon PC.
Ecophob (#2780),
Oui mais nous oublions souvent qu’une machine à vapeur fonctionne entre une source chaude et une source froide. Probablement parce que la source froide des machines à vapeur est en général tout simplement l’environnement.
C’est un peu la même chose avec les machines hydrauliques, l’altitude de l’exutoire a la même importance que l’altitude de la prise d’eau mais nous y pensons moins spontanément.
Ecophob (#2780),
L’atmosphère est une machine qui fait un travail mécanique et dissipe la chaleur (accumulée) conformément au second principe de la thermodynamique ! Effectivement !
Ecophob (#2780),
Je serais très prudent avec ce papier.
Dans l’introduction :
Un réchauffement par le soleil est nettement amplifié sur les continents et ce n’est pas la configuration de 2023. Il est assez clair que l’origine de ce coup de chaud provient d’un relargage de chaleur par l’océan. En 2023, l’océan n’a pas accumulé mais libéré de la chaleur.
phi (#2784),
Je suis prudent avec cette phrase.
Oui évidemment, le soleil est la première source, mais…
On oublie (ou on minore) une autre source de chaleur importante dont parfois nous en voyons de spectaculaires effets (je ne parle pas du CO2 qui en ce qui me concerne n’est pas une source de chaleur).
Sinon l’océan confine (c’est un mot à la mode) la chaleur et elle « distille » peu à peu dans tout le reste du système climatique terrestre.
Bernnard (#2785),
Je dirais plutôt que l’océan confine la « froideur » (tiré de https://rwu.pressbooks.pub/webboceanography/chapter/6-2-temperature/) …
L’océan, c’est une grosse masse d’eau à une température « glaciale » d’environ 3°C entre 3800 m (profondeur moyenne des océans) et 300 ou 400 m de profondeur, recouverts d’une fine couche superficielle de 200 m à température « ambiante », (mais un peu plus froide), et une couche intermédiaire entre les deux. Pour faire varier la température « moyenne » de surface des océans, pas besoin d’un apport de chaleur, il suffit d’un peu de vent pour repousser la couche superficielle « tiède » ou au contraire pour mieux l’étaler, et le tour est joué (c’est le principe de El Niño et la Niña).
phi (#2784), La discussion est en accès libre sur le site de la cette revue. Auparavant le peer-review se faisait uniquement par la discussion pour les journaux de l’EGU. Donc vous pouvez y aller si vous contestez ce qu’il a écrit. Il est possible que ce que vous dites soit vrai, mais dans ce cas on devrait voir une diminution de la température océanique, à moins que cette diminution soit infime par rapport à la quantité de chaleur stockée et au rapport 89 % / 1 %.
Ce qui est intéressant quand même, c’est que pour une fois on a un article d’un éminent physicien, qui sort du dogme du CO2 et avance des éléments pour faire réfléchir la communauté des océanographes qui est bien engluée dans les rapports du GIEC.
Bernnard (#2785), cette phrase est une simplification, et peut être une provocation de sa part pour éveiller les consciences bien assoupies par le CO2.
Un commentaire bloqué (10 h 49) …
Qui pilote le climat: le soleil ou le CO2 ?
Un graphique intéressant: comparaison du nombre de cyclones de forte intensité avec le nombre de tâches solaires … (Tiré de Klimanachrichten)
Ecophob (#2787),
Ce que l’on devrait pourvoir observer, mais c’est très difficile, est une baisse du contenu thermique des océans. Pour les températures de surface, il n’y a baisse qu’à l’épuisement du phénomène.
Le plus probable est que le jeu des courants océaniques ait fait monter la température moyenne de surface. Ce qui est certain, c’est que les océans amortissent les réchauffements d’origine externe grâce à l’évaporation, cela s’observe très bien sur les relevés de températures.
Sinon, je pense qu’il faut éviter les positions partisanes. Le fait est que le présupposé d’une cause externe pour le réchauffement de 2023 ne paraît pas soutenable.
Pour ce qui est de la revue ouverte. Skyfall semble très bien faire l’affaire. Je ne plaisante qu’à moitié. Von Schuckmann et al. 2023 est cité dans l’introduction. La dernière mise à jour de ce papier a très probablement tenu compte de critiques de détails faites ici même. Les dates correspondent parfaitement et deux corrections un peu trop singulières pour être due au hasard ont été faites. Le canal de skyfall à von Schuckmann est lui aussi assez clair.
papijo (#2786),
Le froid ou le chaud.?
L’un existe que parce que l’autre existe !
L’ombre existe que parce que la lumière existe !
On peut tout aussi bien dire que l’océan retient le froid comme on peut dire que l’océan retient la chaleur.
Ensuite dans les calculs il convient de respecter les règles établies et de s’y tenir.
Qu’est ce qui chauffe la terre ou les océans.?
Qu’est ce qui refroidi la terre ou les océans ?
Soit on s’intéresse à la chaleur soit au froid.
papijo (#2786), le graphique du profil de température est un peu exagéré. Il est rare d’être à moins de 5 °C à – 1000 m. Si vous regardez le graphique 6.2.3 on est plutôt entre 7 et 10 °C en Atlantique et 12-14 °C en Méditerranée. Sous nos latitudes la thermocline disparaît en hiver avec le brassage lié au vent et aux courants d’Eckman.
phi (#2790), vous voulez dire Von Schuckman = Anton ? Possible…
Bernnard (#2791),
Bien sûr, mais avec une température moyenne de l’ordre de 4 ou 5°C, quelle que soit la latitude, pour moi, les océans sont froids ! Je n’y tremperais pas le bout du pied … heureusement qu’ils ont une « couverture tiède » facilement accessible !
phi (#2790),
Pour ce qui est de la revue ouverte. Skyfall semble très bien faire l’affaire. Je ne plaisante qu’à moitié. Von Schuckmann et al. 2023…
Oh ! mais c’est bluffant !
Ecophob (#2780),
Après avoir nettoyé le préprint d’Egusphere des entêtes et numéros de pages ainsi que les numéros de lignes (qui allaient gêner dans la traduction ) et supprimé froidement les Réferences, (qu’il vaut mieux ne pas traduire) j’ai envoyé le PDF à DeepL Pro, qui ne s’en est pas trop mal tiré, sauf avec les formules et bien sûr les mises en exposant ou en indice, comme d’habitude…
Traduction brute de décoffrage
L’original est disponible sur Egusphère : Lien de téléchargement
Bonne lecture.
P.S. : Cette nuit, vers 3h 30 j’ai eu la surprise de recevoir par mail la facture de renouvellement de mon abonnement à DeepL. Pro. J’hésitais à le renouveler. Maintenant c’est reparti pour un an.
Pour les vapeurs, il n’y a pas que les eaux de surface et les volcans lors des éruptions.
Voir la vidéo impressionnante de XTG Family. Ils sont à 5000 m d’altitude en Bolivie.
J’ai une réponse qui n’est pas passée. Elle est d’hier vers 18h30.
phi (#2784), Bernnard (#2785),
et tous les autres qui peuvent me répondre
Pourquoi l’été commence quand le soleil commence à baisser ?
fritz (#2797),
Car c’est au déclin
Que fruit mûr devient.
phi (#2799),
Tu devrais retourner discuter avec MLA chez Rittaud , MLA qui va bientôt remplacer VMD au GIEC et qui a écrit chez Benoit pour te répondre
On est vraiment mal barré , c’est le cercle vicieux et la cata pour 2050 comme annoncé par les écolos ; alors faut arrêter de bruler du fossile ; brulez du bois , cela permet aux forêts de repousser et consommer du CO2; parce que ne faisons pas confiance au soleil qui entre en éruption et nous éclaire nos nuits