Fil info de sceptiques 2022


Aperçu de la méta description :Suite du Fil info de sceptiques 2018/1. Ici, on parle du changement climatique, du climat, de la physique de l’atmosphère voire de la météo ou de sujets proches.
Merci de rester sur ces thèmes, la modération est féroce.

2 840 réponses à “Fil info de sceptiques 2022”

  1. Cdt e.r. Michel (#2750),
    Il est devenu difficile d’être élu, le métier s’est professionalisé, il n’est donc pas étonnant que la compétence principale de ces gens soit la course à l’élection. Cette compétence n’a hélàs que peu à voir avec une compétence en gestion sage des affaires publiques….

  2. Cdt e.r. Michel (#2750),

    Il n’y a pas que la Sardine Ruisseau. Tous les sinistres et dépités sont à mettre dans le même sac,

    Je suis sûr que la piece jointe , te plairas aussi , mais peut-être la connais tu

    Ramadan : Ce que disait Eve pour faire avancer le bateau
    Expatriées : Anciennes petites amies mal rangées
    Pistachier : Chemin particulièrement odorant
    Gaspacho : Flatulence froide
    Théologie : Mais café au travail
    Immatriculé : il m’a sodomisé 3 fois
    Constipation : Quand la matière fait cale
    Châtaigne : Félin méchant
    Le Petit Poucet : Car il était constipé
    Les poubelles : Les moutons aussi
    Cédille : Invention stupide créée par un certain Monsieur Duçon
    Allégorie : Fait d’encourager un gros singe
    Ferrailleur : Agir dans un autre endroit
    Syntaxe : Fête des impôts
    Fêtard : Il faut rentrer se coucher
    Incontournable : Personne conne pouvant pivoter
    Coûts totaux : Arme blanche pour bégayeur
    Mercato : Maman pratiquante
    Sismique : Salaire élevé car correspondant à six fois le salaire minimum en France
    Elastique : Pour que ce soit propre
    La moustache : Le ketchup aussi
    Patois Nîmois : Mais c’est qui alors ?
    L’humeur : Pas de panique, les autres voyelles sont toujours en vie
    Le romarin : Inverse du pet terrestre
    Groupe sanguin : Les loosers du Loto
    Simba : C’est qu’il est plus fort que moi
    Pomme dauphine : Pomme de terre arrivée deuxième à Miss Patate
    Un skieur alpin : Le boulanger aussi
    Considéré : Tellement il est con, il n’en revient pas lui-même
    Terre des hommes : Parce qu’il est impossible de faire taire des femmes
    Théorie : Pays le plus agréable à vivre car en Théorie, tout va bien
    Chapitre : Matou rigolo
    Chinchilla : Emplacement réservé aux chiens pour faire leurs besoins
    Portail : Cochon Thaïlandais
    Serviette : Cerf vietnamien
    Amsterdam : La femme du hamster
    Calcutta : Quelle chance tu as
    Népalais : Beau bébé
    Pékinois : Flatulence mortelle
    Perruche : Flatulence choviétique Liban : canapé clic-clac
    Gabon : Mec vraiment trop sympa
    Perroquet : Accord du paternel
    Melon : Cri de la vache qui dure longtemps
    Yes, we can : Phrase prononcée par Obama le vendredi soir
    Pompier : Personne qui brûle tous les feux pour aller éteindre un incendie
    Mon amiral : Mon copain rouspète
    Libyen : Bon en lecture
    La camisole : La drogue me rend solitaire
    Le gospel : L’enfant a un coup de soleil
    Péniche : Zizi portugaiche
    Aventurier : Et maintenant tu ne ris plus
    Un poussin : Égale 2
    Un parrain : Chacun son tour
    Un enfoiré : Une année de perdue
    La Bosnie : C’est quand ta patronne ne veut pas avouer ses torts
    Le mascara : Déguisement pour rongeurs
    Bonduelle : Combat intéressant
    N’importe quoi : Personne de petite taille dont on ne sait pas ce qu’il a dans les mains
    Un ingrat : Un petit gros
    Consentant : Moule pas fraîche
    Tequila : Interpellation d’un inconnu chez soi
    Salsa : Chose pas très propre
    Cramponner : Douleurs nasales
    Gévaudan : Ce que l’on dit à mamie quand on a enfin retrouvé son dentier
    Jennifer : Ni table à repasser
    Sandra : La couverture pique
    Ted et Bill : Deux frères pas très futés
    James Dean : Le soir, comme tout le monde
    Nathalie Baye : Parce qu’elle est fatiguée
    Patricia Kaas : Mais elle ne répare jamais
    Jodie Foster : Personne avec qui il ne faut pas parler le Jeudi
    Philippe Manoeuvre : Mais il n’a toujours pas réussi à se garer
    Entrer dans l’arène : Action permettant d’assurer la descendance du royaume
    Il faut s’y faire : Expression utilisée pour les chevaux à six pattes
    Se faire à l’idée : Faire l’amour avec Johnny ou David
    Chauffeur de corbillard : Pilote décès
    Le Massif Central : Le gros au milieu
    Fractions de bonheur : Déposer sa moitié dans un car et prendre un demi en compagnie d’un tiers
    La maîtresse d’école : L’institutrice prend l’avion
    Les ciseaux à bois : Les chiens aussi
    Les tôles ondulées : Les vaches aussi
    1 de perdu, 10 de retrouvés : Ça ne marche qu’avec les kilos
    Les petits poissons rouges : Non, ils sont verts
    Je suis encore enceinte : L’imparfait du préservatif
    Ingrid Betancourt : Femme qui ne comprenait rien à l’école

  3. fritz (#2753),
    Cela est normal.
    Pour qu’une phase aqueuse se sépare d’un milieu où l’eau est à l’état vapeur dans l’air il y a trois conditions:
    1) La concentration en vapeur d’eau est en sur-concentration
    .Mais ce n’est pas suffisant car l’eau liquide est en équilibre instable par surcondensation. Il y a le même phénomène pour la cristallisation des solides.
    https://www.mt.com/fr/fr/home/applications/L1_AutoChem_Applications/L2_Crystallization/Supersaturation_Application.html#:~:text=La%20sursaturation%20est%20l'%C3%A9l%C3%A9ment,de%20la%20taille%20des%20cristaux.
    Il faut 2 autres choses qui peuvent agir de concert ou isolement
    2) un apport d’une très faible quantité énergétique. Et c’est vrai que l’énergie d’un photon peut suffire. Ceci afin de détruire l’instabilité signalée plus haut.
    3) et/ou une impureté qui peut être une minuscule goutte ou un cristal solide qui évite à la démixion de phase vapeur / liquide d’avoir à créer une surface séparative des deux phases qui consomme de l’énergie.

  4. fritz (#2752),
    Je ne me souviens pas d’avoir lu ça.
    Ce n’est pas mal ! Aurais-tu un lien vers la source ?

    Il y a 30 ans que j’ai acheté mon premier PC sous Windows. J’ai donc des dizaine de milliers de documents archivés. Je ne peux pas me souvenir de tout.

    Pour m’y retrouver j’utilise un excellent utilitaire « Find on Click », qui est très efficace.
    Il fait partie d’une suite d’utilitaires gratuits, que je recommande
    2BrightSpark

  5. Ecophob (#2748), la pluviosité importante que l’on constate depuis déjà quelques années dans la zone soudano-sahélienne correspond à une phase de refroidissement. C’est ce qu’on apprenait autrefois dans le cours de climatologie à la fac de géographie.
    Il pleut même dans les zones arides, comme en Somalie et en Arabie saoudite. A comparer aux épisodes pluviaux dans le Sahara durant les périodes glaciaires.

  6. Le Rouméliote (#2758),
    L’eau en excès dans l’atmosphère n’en fini pas de retomber !
    Les questions auxquelles on devrait répondre: Pourquoi cette eau se trouve-t-elle en exces. Et pourquoi cela dure t-il ?
    Je doute que le CO2 puisse expliquer cela.
    Chercher la source de chaleur négligée jusqu’ici et capable de vaporiser en peu de temps d’énormes quantité d’eau est la piste la plus évidente à suivre.

  7. Le Rouméliote (#2758), Olivier Postel Vinay parle de ces grands lacs au début de son livre pour dire qu’ils sont passés d’un état où ils étaient immense et très profonds à un état où ils ont perdu plus de 95 % de leur eau, mais sans situer cela dans des cycles climatiques.

  8. scaletrans (#2760), les périodes fastes pour le Sahel, sont les épisodes pluvieux. L’aridité est une catastrophe : voir les 7 années sans pluie dans les années 1970.
    Il y a bien corrélation de périodes froides aux hautes et moyennes latitudes et pluviales dans les zones désertiques et sahéliennes. La zone soudanaise connaît une période de type équatorial.
    https://en.wikipedia.org/wiki/5.9_kiloyear_event

  9. Le Rouméliote (#2761), scaletrans (#2760),
    C’est une certitude : plus de précipitation entraîne un dégagement de chaleur supplémentaire. Il faut bien récupérer une partie de la chaleur qui a vaporisé l’eau supplémentaire qui se retrouve à l’état vapeur dans l’atmosphère. Cela au niveau mondial !

  10. Le Rouméliote (#2761),

    L’aridité est une catastrophe : voir les 7 années sans pluie dans les années 1970.

    Il y a bien corrélation de périodes froides aux hautes et moyennes latitudes et pluviales dans les zones désertiques et sahéliennes.

    Tous les indicateurs climatiques signalent des années 1970 particulièrement froides qui ont même provoqué l’avance de nombreux glaciers. N’est-ce pas paradoxal ?

    Bernnard (#2762),

    plus de précipitation entraîne un dégagement de chaleur supplémentaire.

    Que voulez-vous dire ?
    La chaleur latente se transforme en chaleur sensible là où la condensation se produit c’est à dire dans la troposphère. Cette chaleur est évacuée vers l’espace par les GES. Où irait-elle d’autre ?

  11. plus de précipitation entraîne un dégagement de chaleur supplémentaire.

    Plus +++ ou PLU , il n’y en a plus

  12. phi (#2763),
    La vapeur d’eau qui est en excès (en sursaturation) dans l’air alors que la température est basse va se condenser, donner des nuages et de la pluie et la température de l’air va augmenter.
    C’est comme ce qui se passe avec la surfusion de l’acétate de sodium dans cette petite expérience sauf qu’il s’agit dans cette vidéo d’un changement de phase liquide / solide au lieu de liquide /gaz.
    Tout changement de phase est exothermique.
    https://youtu.be/VPKniLU6vII?si=j48ql7tQGQ_bwLO4
    Et bien sûr cela se passe dans le haut de la troposphère.
    La chaleur va effectivement s’évaluer vers l’espace ensuite.
    Mon propos est de lier l’augmentation de la température mondiale qu’on observe actuellement (Cf Roy Spencer) par satellite à l’abondance observée de la pluviométrie qui elle aussi semble mondiale.

  13. fritz (#2764),
    Un dégagement de chaleur en plus à l’endroit de la précipitation (j’aurais du dire condensation).

  14. Bernnard (#2765),
    Pour l’épisode 2023, c’est possible, je n’ai pas de chiffre. Ce qui est par contre assez curieux, c’est que la hausse globale annoncée des températures au XXème siècle ne corresponde à aucune tendance nette d’augmentation des précipitations.

  15. phi (#2768),
    Je ne sais pas si la vitesse d’augmentation globale des températures avant 2023 est facile à corréler avec une vitesse lente de la pluviométrie dans le même moment . En 2023 la vitesse assez rapide de l’augmentation de la température observée par satellite est peut-être plus facile à corréler à une augmentation rapide elle aussi des précipitations.
    Il devrait être possible d’avoir des études plus précises à ce sujet dans les années à venir,

  16. https://www.techno-science.net/actualite/quand-lutte-contre-pollution-air-contribue-rechauffement-climatique-paradoxe-environnemental-N24837.html

    Quand la lutte contre la pollution de l’air contribue au réchauffement climatique: le paradoxe environnemental

    Selon l’étude, la baisse de la pollution atmosphérique aurait représenté jusqu’à 40 % de l’augmentation de l’énergie responsable du réchauffement climatique entre 2001 et 2019.

    Edifiant , ouvrons les mines de charbons sad

  17. fritz (#2770),
    Il a quelques mois, je lis un article expliquant la « victoire » des écolos à propos du fuel lourd utilisé par les cargos qui est de plus en plus dé-sulfuré, afin d’éviter le rejet de toutes les particules de souffre dans l’atmosphère en haute mer. Le même jour, un article dans une autre revue explique que l’on a démarré des essais pour disperser des particules de souffre dans l’atmosphère dans le cadre de l’ingénierie climatique, pour lutter contre le réchauffement.
    Ce sont les shadocks, un qui souffle de l’air d’un côté pendant que l’autre aspire à l’autre bout. On espère que la ballon va gonfler….

  18. Demokratia (#2773),
    C’est bien de relancer cette discussion
    En ce qui me concerne , je pense que moins de pollution ( faudra préciser ) egal moins de nuages ; moins de nuage égal moins d’albedo; moins d’albédo egal plus de soleil arrivant à la surface ; plus de soleil arrivan à la surface egal plus de chaleur
    Après , faudra faire le tri où cela se passe , devant votre maison ou là haut et faire le tri entre CO2 et aérosols

  19. fritz (#2774),
    Cet enchainement des choses me parait logique aussi.
    Maintenant une couverture nuageuse la nuit évite un refroidissement rapide et plus de pollution égal plus de nuages… Si en plus on a des thermomètres en ville où il y a plein de poussières et où existe l’effet d’ilot de chaleur…
    C’est là qu’on se rend compte de la difficulté quand pour évaluer un réchauffement, on utilise des températures qui varient dans l’espace et le temps.
    Les conclusions, souvent biaisées sont à prendre avec prudence et comme vous dites : faire le tri !

  20. Bernnard (#2775),

    Maintenant une couverture nuageuse la nuit évite un refroidissement rapide

    Question.; est-ce que les nuages se forment la nuit pour garder la chaleur à la surface , ou est-ce que les nuages se forment le jour renvoyer le rayonnement solaire

  21. fritz (#2776),
    Personnellement je pense que les deux cas de figure sont possibles en plus de leur formation qui est un peu aléatoire en fonction des conditions d’humidité et de température qui varient dans l’espace et le temps, ils sont aussi inclus dans des masses d’air qui se déplacent. D’où la difficulté d’être précis dans les prévisions locales en météo.

  22. Bernnard (#2766), Pour conforter ce que vous disiez sur l’importance des transferts de chaleur durant les changements de phase, voici ce qui est écrit dans cette publication qui est en cours de relecture (espérons qu’elle passera ce stade car elle ne parle que de l’importance des nuages et de l’océan dans le réchauffement avec en particulier la baisse de l’activité nuageuse entre 1980 et 2022): « L’eau évaporée à la surface des océans est le moteur du système climatique. « La plus grande partie de la chaleur transportée dans l’air est sous forme de chaleur latente lors de la condensation ultérieure et de la formation des nuages. Le bilan thermique au-dessus de la mer est principalement contrôlé par la chaleur latente libérée dans l’air ». (Albrecht 1940). C’est la « source de chaleur d’une gigantesque machine à vapeur »… ».
    https://egusphere.copernicus.org/preprints/2024/egusphere-2024-1243/
    L’auteur est Reiner Feistel, un théoricien de la thermodynamique qui a créé le TEOS-10 qui permet de calculer les propriétés physiques de l’eau de mer. Il a écrit cet article pour les 20 ans de la revue Ocean Science de l’EGU, éditeur Copernicus. Souvenons-nous cependant que c’est Copernicus qui a du rétracter l’article de Pascal Richet…

  23. scaletrans (#2778),
    Son fils Frank semble vouloir maintenir son site.
    Je conseillerais à tous ceux qui détiennent un site d’en faire un back-up ou d’en donner les clés d’accès à un héritier, de sorte que quelqu’un puisse reprendre le flambeau si quelque chose leur arrive.

    Si j’ai pu vous proposer une copie du site de Christian Magnan, c’est parce qu’il avait mis à disposition une copie de son site sous forme d’un fichier zip dont j’avais extrait les fichiers sur mon PC.

  24. Ecophob (#2780),

    C’est la « source de chaleur d’une gigantesque machine à vapeur

    Oui mais nous oublions souvent qu’une machine à vapeur fonctionne entre une source chaude et une source froide. Probablement parce que la source froide des machines à vapeur est en général tout simplement l’environnement.

    C’est un peu la même chose avec les machines hydrauliques, l’altitude de l’exutoire a la même importance que l’altitude de la prise d’eau mais nous y pensons moins spontanément.

  25. Ecophob (#2780),
    L’atmosphère est une machine qui fait un travail mécanique et dissipe la chaleur (accumulée) conformément au second principe de la thermodynamique ! Effectivement !

  26. Ecophob (#2780),
    Je serais très prudent avec ce papier.

    Dans l’introduction :

    Quite recently in 2024, climate research has published alarming news: “The world’s oceans absorbed 43 more heat in 2023 than in any other year since records began in the 1950s. …

    Sunlight is the only available heat source of sufficient power to cause the observed warming

    Un réchauffement par le soleil est nettement amplifié sur les continents et ce n’est pas la configuration de 2023. Il est assez clair que l’origine de ce coup de chaud provient d’un relargage de chaleur par l’océan. En 2023, l’océan n’a pas accumulé mais libéré de la chaleur.

  27. phi (#2784),

    Sunlight is the only available heat source of sufficient power to cause the observed warming

    Je suis prudent avec cette phrase.
    Oui évidemment, le soleil est la première source, mais…
    On oublie (ou on minore) une autre source de chaleur importante dont parfois nous en voyons de spectaculaires effets (je ne parle pas du CO2 qui en ce qui me concerne n’est pas une source de chaleur).
    Sinon l’océan confine (c’est un mot à la mode) la chaleur et elle « distille » peu à peu dans tout le reste du système climatique terrestre.

  28. Bernnard (#2785),

    l’océan confine (c’est un mot à la mode) la chaleur et elle « distille » peu à peu dans tout le reste du système climatique terrestre.

    Je dirais plutôt que l’océan confine la « froideur » (tiré de https://rwu.pressbooks.pub/webboceanography/chapter/6-2-temperature/) …
    L’océan, c’est une grosse masse d’eau à une température « glaciale » d’environ 3°C entre 3800 m (profondeur moyenne des océans) et 300 ou 400 m de profondeur, recouverts d’une fine couche superficielle de 200 m à température « ambiante », (mais un peu plus froide), et une couche intermédiaire entre les deux. Pour faire varier la température « moyenne » de surface des océans, pas besoin d’un apport de chaleur, il suffit d’un peu de vent pour repousser la couche superficielle « tiède » ou au contraire pour mieux l’étaler, et le tour est joué (c’est le principe de El Niño et la Niña).

  29. phi (#2784), La discussion est en accès libre sur le site de la cette revue. Auparavant le peer-review se faisait uniquement par la discussion pour les journaux de l’EGU. Donc vous pouvez y aller si vous contestez ce qu’il a écrit. Il est possible que ce que vous dites soit vrai, mais dans ce cas on devrait voir une diminution de la température océanique, à moins que cette diminution soit infime par rapport à la quantité de chaleur stockée et au rapport 89 % / 1 %.
    Ce qui est intéressant quand même, c’est que pour une fois on a un article d’un éminent physicien, qui sort du dogme du CO2 et avance des éléments pour faire réfléchir la communauté des océanographes qui est bien engluée dans les rapports du GIEC.
    Bernnard (#2785), cette phrase est une simplification, et peut être une provocation de sa part pour éveiller les consciences bien assoupies par le CO2.

  30. Ecophob (#2787),
    Ce que l’on devrait pourvoir observer, mais c’est très difficile, est une baisse du contenu thermique des océans. Pour les températures de surface, il n’y a baisse qu’à l’épuisement du phénomène.

    Le plus probable est que le jeu des courants océaniques ait fait monter la température moyenne de surface. Ce qui est certain, c’est que les océans amortissent les réchauffements d’origine externe grâce à l’évaporation, cela s’observe très bien sur les relevés de températures.

    Sinon, je pense qu’il faut éviter les positions partisanes. Le fait est que le présupposé d’une cause externe pour le réchauffement de 2023 ne paraît pas soutenable.

    Pour ce qui est de la revue ouverte. Skyfall semble très bien faire l’affaire. Je ne plaisante qu’à moitié. Von Schuckmann et al. 2023 est cité dans l’introduction. La dernière mise à jour de ce papier a très probablement tenu compte de critiques de détails faites ici même. Les dates correspondent parfaitement et deux corrections un peu trop singulières pour être due au hasard ont été faites. Le canal de skyfall à von Schuckmann est lui aussi assez clair.

  31. papijo (#2786),
    Le froid ou le chaud.?
    L’un existe que parce que l’autre existe !
    L’ombre existe que parce que la lumière existe !
    On peut tout aussi bien dire que l’océan retient le froid comme on peut dire que l’océan retient la chaleur.
    Ensuite dans les calculs il convient de respecter les règles établies et de s’y tenir.
    Qu’est ce qui chauffe la terre ou les océans.?
    Qu’est ce qui refroidi la terre ou les océans ?
    Soit on s’intéresse à la chaleur soit au froid. smile

  32. papijo (#2786), le graphique du profil de température est un peu exagéré. Il est rare d’être à moins de 5 °C à – 1000 m. Si vous regardez le graphique 6.2.3 on est plutôt entre 7 et 10 °C en Atlantique et 12-14 °C en Méditerranée. Sous nos latitudes la thermocline disparaît en hiver avec le brassage lié au vent et aux courants d’Eckman.
    phi (#2790), vous voulez dire Von Schuckman = Anton ? Possible…

  33. Bernnard (#2791),
    Bien sûr, mais avec une température moyenne de l’ordre de 4 ou 5°C, quelle que soit la latitude, pour moi, les océans sont froids ! Je n’y tremperais pas le bout du pied … heureusement qu’ils ont une « couverture tiède » facilement accessible !

  34. phi (#2790),

    Pour ce qui est de la revue ouverte. Skyfall semble très bien faire l’affaire. Je ne plaisante qu’à moitié. Von Schuckmann et al. 2023…
    Oh ! mais c’est bluffant !

  35. Ecophob (#2780),

    Après avoir nettoyé le préprint d’Egusphere des entêtes et numéros de pages ainsi que les numéros de lignes (qui allaient gêner dans la traduction ) et supprimé froidement les Réferences, (qu’il vaut mieux ne pas traduire) j’ai envoyé le PDF à DeepL Pro, qui ne s’en est pas trop mal tiré, sauf avec les formules et bien sûr les mises en exposant ou en indice, comme d’habitude…

    Traduction brute de décoffrage
    L’original est disponible sur Egusphère : Lien de téléchargement

    Bonne lecture.

    P.S. : Cette nuit, vers 3h 30 j’ai eu la surprise de recevoir par mail la facture de renouvellement de mon abonnement à DeepL. Pro. J’hésitais à le renouveler. Maintenant c’est reparti pour un an.

  36. Pour les vapeurs, il n’y a pas que les eaux de surface et les volcans lors des éruptions.
    Voir la vidéo impressionnante de XTG Family. Ils sont à 5000 m d’altitude en Bolivie.

  37. J’ai une réponse qui n’est pas passée. Elle est d’hier vers 18h30.

  38. phi (#2799),
    Tu devrais retourner discuter avec MLA chez Rittaud , MLA qui va bientôt remplacer VMD au GIEC et qui a écrit chez Benoit pour te répondre

    La réalité physique, c’est que le CO2 et la température sont 2 paramètres du climat qui interagissent.
    L’un peut faire augmenter l’autre et inversement.

    On est vraiment mal barré , c’est le cercle vicieux et la cata pour 2050 comme annoncé par les écolos ; alors faut arrêter de bruler du fossile ; brulez du bois , cela permet aux forêts de repousser et consommer du CO2; parce que ne faisons pas confiance au soleil qui entre en éruption et nous éclaire nos nuits dash

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